Pas étonnant dans le pays du Traitre Fillon
http://www.ia72.ac-nantes.fr/1354529315230/0/fiche___actualite/&RH=1189410773390
Pas étonnant dans le pays du Traitre Fillon
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Publiée le 5 déc. 2012 par Pressresistance
Discours d’Alain Wagner au nom de L’International Civil Liberties Alliance (ICLA) lors de la manifestation du 2 décembre à Bruxelles organisée par M. Modrikamen du Parti Populaire.
A l’heure où la Belgique vit une crise institutionnelle grave en voyant des élus d’un parti antidémocratique promouvant la charia entrer officiellement dans la vie politique du pays, les premiers défenseurs de droits de l’Homme et de la Démocratie font entendre leur voix. L’ICLA se devait d’être présente pour briser le silence assourdissant de la société belge et Européenne.
lefigaro.fr Mis à jour le 05/12/2012 à 17:57 | publié le 05/12/2012 à 17:39
La Cour d’appel de Bruxelles a estimé aujourd’hui que la bande dessinée « Tintin au Congo » ne contenait pas de propos racistes et n’était pas une œuvre « méchante ». Dans son jugement, elle déclare « qu’Hergé s’est borné à réaliser une œuvre de fiction dans le seul but de divertir ses lecteurs. Il y pratique un humour candide et gentil ». La Cour a donc confirmé le jugement de première instance rendu en 2011. La BD peut désormais se vendre et être diffusée librement.
En 2010, l’association française Le Cran (Conseil Représentatif des Associations Noires) et Bienvenu Mbutu Mondondo, un Congolais résidant en Belgique, avaient estimé que la BD d’Hergé « Tintin au Congo » contenait des propos racistes. Les deux associations demandaient aux maisons d’éditions de cesser l’exploitation commerciale de l’oeuvre. Rejetés en première instance, ils avaient fait appel. Mais la Cour de Bruxelles a estimé qu’il n’y avait aucune volonté de l’auteur de véhiculer des idées à caractère raciste ou humiliantes voire dégradantes à l’égard des Congolais, ni même d’inciter les lecteurs à la discrimination.
Je conseille la lecture, ce mercredi, de l’entretien accordé à Libération par le père Henri Boulad, 81 ans, chrétien d’Egypte, ancien supérieur des jésuites d’Alexandrie. Il note « la désintégration d’un sentiment pro-Frères dans la population », tout en reconnaissant la puissance de leur organisation, qui a pris la main sur tous les appareils du pouvoir. Il met en garde contre la mise en place d’un « obscurantisme », déjà soutenu par les milices des Frères musulmans. Surtout, il explique : « C’est une farce de croire que les Frères musulmans sont acquis à la démocratie. L’illusion a remarquablement fonctionné car il ne fait aucun doute qu’avec leur double jeu, Morsi et les Frères ont séduit l’opinion. Cela dit, il serait bon de ne pas chasser des mémoires leur idéologie et principes. Ils souhaitent instaurer une dictature islamo-fasciste en s’appuyant sur ce slogan qu’on entend dans les manifestations : « Le peuple veut la loi de Dieu » ».
C’est ce totalitarisme qu’encouragent les Etats-Unis de Barack Obama et la France capitularde, qui feignent de croire en un « islamisme modéré », conciliable avec la démocratie. Ultime remarque du père Boulad : « Quant à la Russie, c’est la seule qui s’intéresse au sort des chrétiens et revient dans le jeu diplomatique ».
Dernière minute: je participerai, ce mercredi, à On refait le monde sur RTL (19h15-20h)
On savourera cet article de la journaliste suisse Mireille Valette, auteur deIslamophobie ou légitime défiance, paru en 2009 aux Editions Favre, et de Boulevard de l’islamisme, aux Editions Xenia, qui vient de sortir, que nous avions interviewée en septembre.
Source : http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=5426
enquête le 04/12/2012 par Laure Daussy
Le 24 novembre 2011, Caroline Sinz doit faire un reportage au Caire, sur les jeunes dans la révolution égyptienne. Mais à la fin de son tournage sur la place Tahrir elle est prise à partie par des manifestants, et subit un viol. Nousvous le racontions ici. La journaliste témoignait : « Ils étaient une cinquantaine, ils ont déchiré mes vêtements, ont arraché mon jean, mes sous-vêtements. M’ont violée avec leurs doigts. Pendant 45 minutes. La foule applaudissait autour. «
« TROP ABRUPTE POUR LES TÉLÉSPECTATEURS »
Ce qu’on ne connaissait pas, c’était l’attitude de sa rédaction. Caroline Sinz l’a racontée la semaine dernière à Midi Libre lors d’un colloque, et le raconte aujourd’hui à @si.
La journaliste pensait intervenir en direct – comme c’était le cas tous les jours – et y faire mention du viol. Mais ce jour-là, sa rédaction a décidé de ne pas faire de direct. « Alors j’ai voulu parler de l’agression en fin de sujet en l’expliquant brièvement sur les dernières images que nous avions tournées », explique-t-elle. Lorsque le reportage est diffusé, Caroline Sinz se rend compte que cette partie a été coupée. « C’était trop abrupt pour les téléspectateurs« , lui a-t-on expliqué. « On ne voulait pas que tu aies l’étiquette « violée » sur le front« , a-t-on même précisé.
Voilà donc ce que l’on peut voir dans le reportage du 19/20.
Aucune mention du viol À la fin de ce reportage, la présentatrice Carole Gaesler annonce que Caroline Sinz et son cameraman Salah Agrabi ont été « très violemment agressés par des jeunes manifestants qu’ils venaient de filmer », mais n’évoque pas le viol. « Ils disent que l’on est en sécurité dans l’hôtel comme si tout était terminé alors que j’étais détruite », souligne Caroline Sinz. |
« TERME CHOISIS ET PUDIQUES »
Constatant le caviardage de son reportage, la journaliste insiste, en larmes, pour en parler dans le Soir 3 qui va suivre. Sa rédaction en chef accepte, mais avec de nombreuses précautions : « J’ai ainsi eu droit à un plateau enregistré de 15 secondes que j’ai dû écrire « avec du recul et en termes choisis et pudiques » en le faisant relire à Paris avant de l’enregistrer »,explique-t-elle à @si. Et on lui aurait demandé de ne pas employer le mot « viol », mais « agression sexuelle ». Rappelons que la « pénétration digitale » qu’elle explique avoir subi correspond à la définition du viol en droit français.
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« QUI PARLAIT? LA VICTIME OU LA JOURNALISTE ? »
De son côté, Pascal Golomer, directeur de la rédaction de France 3, confirme avoir décidé de couper la fin du reportage pour le 19/20, mais assure avoir prévenu la journaliste avant de le faire. Selon lui, Caroline Sinz terminait son commentaire en disant : « J’ai été victime d’une agression sexuelle. » « Il était de ma responsabilité vis-à-vis des téléspectateurs de ne pas le diffuser en l’état sans explication », explique Golomer. À ses yeux, la journaliste n’avait pas « le recul nécessaire pour témoigner de ce qu’elle avait subi », ajoute-t-il. « Je pensais à ses proches, aussi, qui apprendraient par la télévision ce qui lui était arrivé. » Golomer assure « être choqué » que Sinz ait interprété la modification de son reportage comme une censure. Quant au plateau diffusé au Soir 3, il a effectivement demandé à la journaliste « d’en parler avec elle avant, pour ne pas livrer son témoignage en pâture. » « Tout le problème réside dans le fait qu’elle était à la fois victime et journaliste. Qui parlait ? La victime ou la journaliste ? » Et Golomer de rappeler que France télévisions s’est engagé dans une campagne contre le viol.
De retour dans sa rédaction parisienne, Caroline Sinz se voit confrontée à des difficultés qu’elle n’avait pas imaginées : « J’étais entourée de gens qui se moquaient de moi, qui remettaient ma parole en cause. » Elle demandera à être transférée à France 2 où elle travaille désormais, au service société. « Le viol, c’est honteux, tabou. Si on m’avait tiré dessus, cela aurait paru plus glorieux », déplore la journaliste. Caroline Sinz a porté plainte. Elle a fourni à la Justice des preuves telles que des sous-vêtements déchirés sur lesquels ont été relevées de « nombreuses traces d’ADN masculin trop nombreuses pour être isolées« . Une information judiciaire pour viol en réunion a été ouverte par le parquet de Paris.
Mise à jour, mardi, 19 heures : ajout de la réponse de Pascal Golomer, directeur de la rédaction nationale de France 3.
Publié le 05.12.2012, 11h59 | Mise à jour : 12h22
L’enquête ouverte en juin 2011 à Paris après des accusations d’actes de pédophilie lancées par Luc Ferry contre un ex-ministre, non cité, a été classée sans suite.
« C’est pire qu’en 1981 où l’économie était fermée.
« En 1981, ceux qui partaient étaient de vieilles dames riches. En 2012, ce sont les forces vives et le mouvement, hélas, ne va pas s’arrêter »
Une dizaine de voitures brûlées. Des conteneurs poubelles incendiés. Un braquage. Depuis une semaine, rien ne va plus. Il n’y a pas d’explication à ce regain de violence dans ce quartier «apaisé», en apparence. Tout le monde est sur les rangs.
Olivier Marot | 5 décembre 08:53 |
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Montargis (45) : Les enfants d’une école maternelle sont privés de la visite du Père Noël
C’est une histoire qui met en ébullition une école maternelle de Montargis, dans le Loiret. Alors qu…
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07:22 (Il y a 9 heures)
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Bonjour,
La Fondation du Mémorial de la traite des noirs vous remercie chaleureusement de votre soutien quant à ce travail de mémoire sur la traite et l’esclavage des noirs dans le Maghreb et le monde arabe.
Sans diabolisation ni victimisation, notre intention est de faire la lumière sur ce crime contre l’humanité, de sortir de l’oubli ces esclaves aussi, de combattre le racisme et de construire une citoyenneté plus vigilante. Un Universel basé sur la connaissance et la mémoire garantes de la paix entre les peuples.
Il s’agit d’une exigence de Vérité et de Justice qui s’impose aux peuples et sociétés mondialisés.
Comme le disait Aimé Césaire, « Un peuple sans mémoire est un peuple sans avenir ».
Bien chaleureusement
Karfa Sira Diallo Président de la Fondation
Marine Le Pen contradictrice de Manuel Valls dans
Des paroles et des actes
le 6 décembre à 20h45 sur France 2
30 Novembre 2012 12h44
http://www.rtl.be/info/belgique/faitsdivers/962547/sharia4belgium-fouad-belkacem-condamne-a-6-mois-de-prison-pour-incitation-a-la-haine
Cette mère reçoit le RSA qui, grâce à ses deux enfants, se monte à 845,88 euros.
Si elle loue un appartement à 500 euros par mois, elle bénéficie d’une APL de 473,22 euros.
Ses allocations familiales seront de 125,87 euros.
Son allocation de rentrée scolaire, en général très attendue, sera de 575,68 euros, soit 47,97 euros si nous la lissons sur 12 mois.
Cette mère pourrait sûrement bénéficier d’autres aides, mais nous ne prendrons que ces quatre-là qui sont les plus communes.
Ainsi, elle touchera un total de 1501,85 euros par mois, soit plus que si elle travaillait (voir dans le corps de l’article)
29/11/2012
http://www.contribuables.org/2012/11/29/lorniere-des-aides-sociales/