Francaisdefrance's Blog

20/06/2012

Le rassemblement “Hollande n’est pas mon président” du 7 juin à Paris, en vidéo

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 22:49

Le rassemblement “Hollande n’est pas mon président” du 7 juin à Paris, en vidéo

Le rassemblement "Hollande n'est pas mon président" du 7 juin à Paris, en vidéo

Nous avons déjà relaté le succès de ce rassemblement du 7 juin à Paris et montré des photos. Le voici maintenant en vidéo.

La dissidence est allé crier haut et fort “François Hollande n’est pas mon président !”, rue de Solférino, devant le siège du Parti Socialiste.

Ce rassemblement s’inscrit dans le cadre de la campagne “Hollande n’est pas mon président” des identitaires qui avait déjà fait l’objet d’affichages (un exemple ici) ou demanifestations dans de nombreuses régions de France.

Un site internet est dédié à cette campagne, où d’autres renseignements peuvent être trouvés et où l’on peut commander affiches et autocollants.

Les Communistes français élèvent la vermine terroriste Georges Ibrahim Abdallah au rang de citoyen d’honneur

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 18:12

A quand un Nuremberg bis contre le communisme aux 100 millions de morts

19 juin 2012 | Classé dans: France,Histoire,Terrorisme | Posté par: 

Le communisme est l’idéologie du crime. Il a ce talent pour dénicher les pires vermines du monde et les soutenir avec fierté.

Ainsi le terroriste Georges Ibrahim Abdallah vient d’être fait citoyen d’honneur de Grenay, une petite ville du Pas-de-Calais.

Non, ce n’est pas un canular. Oui la ville est communiste. Oui le conseil municipal a voté à l’unanimité. Oui Abdallah a du sang sur les mains. Oui les communistes encouragent le meurtre, le terrorisme, la dictature autoritaire, la suppression des libertés, le mensonge et la manipulation, le lavage des cerveaux et la torture, la souffrance des peuples, s’ils peuvent servir leur idéologie de mort. Oui cela ressemble à l’Islam. Oui c’est pour détruire l’occident, les pays libres et démocratiques que les communistes sont la catin de l’Islam. Oui l’islam leur crache dessus, et oui encore, les communistes feignent de ne pas le voir, tant cette alliance diabolique sert leurs desseins.

Georges Ibrahim Abdallah est incarcéré en France depuis 27 ans pour complicité dans l’assassinat de deux diplomates.

Assassinat ? Les communistes s’en moquent. C’est de la résistance, de l’activisme, un « geste » de ce membre du FPLP (Front populaire de libération de la Palestine). Les victimes étaient citoyens du « lobby de la finance internationale » et de ce capitalisme qu’ils accusent de détruire la civilisation comme les Verts accusent l’homme de détruire la terre.

Cet Abdallah là avait été arrêté le 24 octobre 1984, puis condamné à perpétuité en 1987, pour complicité dans les assassinats de deux diplomates, l’Américain Charles Robert Day et l’Israélien Yacov Barsimantov.

Georges Ibrahim Abdallah : pouris en prison puis brûle en enfer.

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

Plusieurs élèves ont passé le bac voilées à Créteil

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 17:13

 

Publié le 23 juin 2010 | lu sur FDS

 

Les bachelières ont pu, pendant trois jours, passer les épreuves vêtues d’un voile. Les enseignants de l’établissement, scandalisés, ont dû lancer une pétition pour les leur faire ôter.


Les faits se sont déroulés jeudi dernier. Trois élèves de terminale se présentent au lycée Gutenberg de Créteil, devenu le temps du bac centre d’examen, en portant le voile. En l’occurrence, un Hidjab (voile ne laissant apparaître que l’oval du visage). Face à l’étonnement des examinateurs, elles sortent un papier arguant du fait que, s’agissant d’un examen, la loi les autorise à passer les épreuves ainsi vêtues. Deux enseignants décident alors de prévenir la proviseur de l’établissement et lui demandent d’exiger des élèves qu’elles enlèvent leur voile. Mais après réflexion, elle se contente de les isoler dans une salle où elles sont autorisées à poursuivre les épreuves avec leur voile. Les enseignants décident alors de rédiger une pétition qu’ils envoient immédiatement au rectorat. Ce n’est qu’au bout de trois jours qu’un représentant de l’Education nationale se rend sur place. Après discussion, les trois bachelières acceptent finalement de se dévoiler. Coopération de courte durée: selon nos informations, les lycéennes sont à nouveau présentées mardi voilées pour la fin de leur bac.

(Merci à Fier Gaulois)

Syrie : le ton monte !

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 14:45

Manœuvres conjointes Russie, Chine, Iran en Syrie (TV)

Le canal de Suez

© RIA Novosti. A. Zorin12:22 19/06/2012DUBAI, 19 juin – RIA Novosti
La Russie, la Chine et l’Iran mèneront dans les semaines à venir des manœuvres militaires conjointes en Syrie, rapporte la chaîne de télévision Al-Arabiya basée à Dubaï.

Ces exerces militaires, les plus importants de l’histoire du Proche-Orient, réuniront quelque 90.000 militaires des forces terrestres, navales et aériennes, selon le communiqué.

La chaîne a par ailleurs annoncé que douze navires de la Marine chinoise ont reçu l’autorisation de franchir le canal de Suez. Ils arriveront à proximité des côtes syriennes d’ici deux semaines.

D’après Al-Arabiya, ces manœuvres impliqueront quelque 400 avions et 1.000 chars. En outre, des sous-marins, des contre-torpilleurs et un porte-avions russes y prendront part.

La Syrie profitera de ces exercices militaires pour tester ses missiles sol-air ainsi que ses systèmes de défense antiaérienne.

 vu sur  http://www.fr.rian.ru/defense/20120619/195088533.html

Les législatives sans le peuple

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 14:37

Le : 19 Juin 2012

Les législatives sans le peuple
   

Les soirées électorales sont ainsi faites que les réalités concrètes y sont souvent camouflées. L’élection de Jacques Bompard à Orange avait mille fois plus de sens que la débâcle de Ségolène Royal à La Rochelle. Mais on en a moins parlé… Voici une première réaction, encore à chaud, de Polémia. Michel Geoffroy et Andrea Massari s’interrogent sur la légitimité réelle des nouvelles instances de gouvernement. Nous publierons une étude chiffrée d’Etienne Lahyre d’ici quelques jours.
Polémia

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1-Une abstention record

Au deuxième tour de l’élection législative, le 17 juin 2012, 47,60% des électeurs se sont abstenus ou ont voté blanc ou nul. C’est un record absolu sous la Ve République. Plus de la moitié des moins de 44 ans se sont abstenus, tout comme la majorité des employés et des ouvriers. Illustration du désintérêt pour l’élection : durant l’entre-deux-tours, les couvertures des magazines (Le Nouvel Observateur, L’Express, Marianne) titraient, non sur l’enjeu du scrutin, mais sur la guerre des concubines présidentielles (« La première femme contre la première dame », selon France Dimanche).

2-Une assemblée à la représentativité douteuse

Avec 16,5% des inscrits au premier tour le Parti socialiste a la majorité absolue. Avec 2% à l’élection présidentielle, les écologistes disposent de 18 élus. Avec 18% à l’élection présidentielle, le Front national dispose de 2 élus.

On notera, en contrepoint, que les minorités ethniques disposent au titre de la « diversité » de 10 députés et de 3 ministres.

Précisons que la circonscription de Marine Le Pen avait été redéfinie par le gouvernement Fillon pour rendre la victoire de la gauche plus facile (avec l’ancien découpage Marine Le Pen aurait été élue avec 53% des suffrages !)

Marine Le Pen (18% à la présidentielle), Jean-Luc Mélenchon (11%), François Bayrou (9%) sont exclus de l’assemblée nationale : soit trois personnalités représentatives de 38% des électeurs.

3- La stratégie centriste de Fillon, Copé, Juppé a démobilisé les électeurs UMP

Avec la « stratégie Buisson », celle d’un langage à droite toute, Nicolas Sarkozy est parvenu à rassembler 48,5% suffrages, le 6 mai 2012. A contrario, la mollesse de la campagne législative Copé/Fillon a accentué la démobilisation naturelle de l’électorat. L’UMP ne retrouve que 44% des suffrages, soit 4,5 points de moins qu’à la présidentielle.

Les reports du FN vers l’UMP ont été découragés par les déclarations politiquement correctes des Juppé, Dati, Jouanno (tous non candidats), NKM et autres Copé.

A contrario, les médias ont beaucoup glosé sur la défaite des élus UMP de la droite populaire, sans voir que beaucoup d’entre eux partaient de situations très défavorables ; pourtant, dans leurs circonscriptions, Jean-Paul Garraud, Brigitte Barèges ou Bernard Carayon, quoique battus, limitent les pertes par rapport à la moyenne nationale.

4- L’union à droite, cela marche : le populiste Bompard élu à Orange

L’élection de Jacques Bompard à Orange a été très largement passée sous silence par les médias. Or Bompard a été particulièrement bien élu, obtenant près de 59% des suffrages. Parti de 22% au premier tour, il a réuni sur son nom la quasi-totalité des 40% de suffrages dispersés sur le Front national, l’UMP et les candidats divers droites. Ce brillant résultat est le fruit d’une fidélité sans faille à ses convictions politiques, d’un travail de terrain constant et d’une habile stratégie électorale. C’est dans ce contexte, propre au Comtat Venaissin, que Marion Le Pen a été élue à Carpentras avec l’aide de l’équipe de campagne de son suppléant intelligemment choisi parmi la Ligue du Sud de Bompard.

5-Les reports UMP/FN ont existé et le Front national est donc entré dans un processus de normalisation politique

Là où le FN était fort, il a bénéficié de bons reports de l’UMP : notamment à Hénin-Beaumont dès le premier tour ; dans le Gard pour Gilbert Collard qui a même bénéficié, au deuxième tour, d’un « vote utile » en sa faveur ; et aussi dans les Bouches-du-Rhône où deux candidats FN ont atteint 49% : des chiffres insuffisants pour gagner mais néanmoins très significatifs, puisque supérieurs aux résultats obtenus en 1988 et 1997. De même Florian Philippot a bénéficié de bons reports UMP en Lorraine.

Le Front national est donc bien entré dans un processus de normalisation politique, au grand dam de la gauche et de l’oligarchie.

Cela tient à la fois à la personne et à l’action de Marine Le Pen, mais aussi au fait que la situation générale de notre pays et de l’Europe confirme les analyses de la droite identitaire. Le discours d’ostracisme vis-à-vis du Front national est donc de moins en moins audible, dans un pays de plus en plus en crise. Le Front de gauche, malgré un soutien systématique de l’oligarchie médiatique, a d’ailleurs été incapable de supplanter le Front national, en particulier à cause de sa position sur l’immigration.

6-La partialité médiatique a une fois de plus biaisé l’élection en faveur des médiagogues

Il y a une grande différence entre un référendum et une élection représentative. A un référendum les électeurs votent pour des idées et des projets. A une élection représentative les électeurs votent aussi en fonction des images des candidats. Ainsi certains candidats – NKM par exemple – sont angélisés. D’autres sont diabolisés, comme le furent Christian Vanneste (éliminé dès le premier tour), Nadine Morano ou Jean-Paul Garraud. Et l’opinion est, volens nolens, influencée par les personnalités les plus présentes dans les médias qui sont précisément celles qui tiennent le discours le plus convenu et le plus politiquement correct.

7-Hollande : des pouvoirs réduits, une légitimité faible

Les médias ont glosé sur les pouvoirs rassemblés par Hollande : la majorité absolue de l’Assemblée nationale, la majorité du Sénat, la majorité des collectivités territoriales.

Mais ces pouvoirs sont limités par ceux des organisations internationales : l’Union européenne, l’Organisation mondiale du commerce, l’OTAN. Sa marge de manœuvre est dérisoire.

En interne ses pouvoirs sont limités par les organes juridictionnels : sait-on, par exemple, que depuis 40 ans, 90% des lois et décrets sur l’immigration ne sont pas le fait des députés mais celui du Conseil d’Etat, de la Cour de cassation, du Conseil constitutionnel, de la Cour de justice européenne, de la Cour européenne des droits de l’homme ?

Hollande a été choisi (à défaut de DSK, indisponible) comme gérant d’apparence des intérêts de la superclasse mondiale. Sa marge de manœuvre est faible. De retour de la conférence du Bilderberg (où il a séjourné, en Virginie, du 29 mai au 3 juin), Erik Israélewicz, directeur du Monde (dont Matthieu Pigasse, de la banque Lazard, est l’actionnaire de référence), fixe la feuille de route présidentielle : dans des éditoriaux à l’arrogance mal dissimulée, le patron du Monde dit au président de la République ce qu’il doit faire, sur l’euro, l’Europe, la Grèce, le redressement des comptes publics et même comment il doit recadrer sa concubine…

8-Hollande, une légitimité fragile

Or Hollande, malgré les discours euphoriques de médias versatiles, a une légitimité faible : il n’a obtenu que 48,64% des votants du deuxième tour, davantage par rejet de Nicolas Sarkozy que par adhésion. Et il n’a obtenu la majorité des suffrages exprimés que par le vote des minorités ethniques dont les représentants les plus agités ont fêté la victoire en agitant des drapeaux étrangers.

Aux législatives, on l’a dit, et là aussi malgré la mobilisation du vote ethnique en sa faveur, le Parti socialiste n’a rassemblé que 16,1% des suffrages.

Jamais sous la Ve République la coupure entre le pays légal et le pays réel n’a donc été aussi profonde ; l’usure du système politique français, de moins en moins représentatif, est manifeste et le clivage gauche/droite recouvre donc de plus en plus un clivage identitaire, ce qui va contribuer à radicaliser le débat politique.

Sur le plan du style, la « présidence normale » et son gouvernement se sont coulés dans la continuité de l’hyperréactivité émotionnelle, les morts de militaires et de gendarmes et les blessures de policier servant cyniquement de carburant électoral. C’est une stratégie médiatique efficace à court terme mais dangereuse dans la durée.

Bon courage, M. Hollande

Michel Geoffroy et Andrea Massari
19/06/2012

 source http://www.polemia.com/article.php?id=4930

un article très intéressant du CF2R (Centre Français de Recherche sur le Renseignement) sur le crime organisé.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 13:22

NOTE D’ACTUALITÉ N°274
LE CRIME ORGANISÉ, PRINCIPALE MENACE DU XXI E SIÈCLE
 
Alain Rodier
13-06-2012
Le crime organisé est aujourd’hui un fait incontournable qui ne peut plus être nié comme l’ont fait beaucoup de responsables politiques par le passé. En effet, longtemps, ils ont littéralement refusé l’évidence en prétendant que c’était juste un sujet digne d’être développé dans les romans de gare et dans des films à succès. Même de nos jours, la presse parle de la « fin des mafias » quand elle n’en nie pas l’existence même. C’est une erreur grotesque car le crime organisé est, au contraire, en pleine expansion et menace directement la vie des Etats démocratiques en s’attaquant désormais à leur économie.

C’est la puissance financière considérable des Organisations criminelles transnationales (OCT) qui leur permet d’être de plus en plus redoutables. Bien que des statistiques soient extrêmement difficiles à réaliser dans ce domaine – car, par définition, les profits du crime restent camouflés – l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) estime que 2,1 trillions (soit 2,1 milliards de milliards de dollars), hors évasion fiscale, soit 3,6% du PIB mondial, ont des origines pour le moins « douteuses ». Ils seraient, pour l’essentiel, issus des trafics de drogues, de migrants clandestins, d’armes, de contrefaçons, d’espèces protégées, de bois, d’or, d’étain, du racket, de la traite des êtres humains, etc.

L’argent du crime investit l’économie légale
Une partie importante de l’argent sale issu des profits tirés des différentes activités du crime organisé est redirigée vers des investissements respectables sur les marchés financiers. En conséquence, une part de la dette publique de nombreux Etats est désormais détenue, en partie, par des organisations criminelles sous forme d’obligations et de bons du Trésor. Certains de ces pays se retrouvent ainsi placés sous la houlette de créanciers dont certains dépendent de groupes criminels. En outre, ces derniers exercent une influence occulte sur la politique macro-économique des gouvernements grâce à leurs actions sur les marchés.

Afin de pénétrer discrètement l’économie légale, le crime organisé s’est infiltré dans un certain nombre de banques d’affaires, de cabinets juridiques, de sociétés de courtage et de transports qui lui apportent à la fois leur expertise et une couverture légale très appréciée. Il investit également en bourse dans les marchés spéculatifs de matières premières et de produits dérivés, en utilisant de multiples sociétés écran.

Enfin, les OCT bénéficient à plein de la mondialisation et de la crise économique planétaire en injectant des fonds gagnés de manière illégale dans des entreprises qui ne parviennent plus à emprunter auprès des établissements financiers devenus frileux. A terme, les « parrains » du crime organisé seront en mesure de racheter de nombreuses sociétés ayant pignon sur rue, ce qui leur donnera la respectabilité qu’ils recherchent à tout prix[1].

Ce que l’on qualifiait autrefois d’économie souterraine est désormais intimement lié à son homologue officielle, le sort de cette dernière étant parfois rendu partiellement dépendant du crime organisé. Par exemple, la contrefaçon qui était artisanale dans les années 1990, atteint aujourd’hui un niveau industriel. Elle met directement en danger l’existence de certaines PME occidentales, plus fragiles que les grandes entreprises[2]. Comme le pouvoir d’achat moyen des consommateurs occidentaux est en train de baisser progressivement du fait de la crise, ces derniers n’hésitent plus à se tourner vers des denrées à bas coûts dont la provenance est parfois plus que douteuse. Cela se fait, non seulement au détriment des industries nationales, mais aussi et peut-être surtout, en faisant courir des risques mal estimés aux acquéreurs de ces produits. En effet, n’étant soumises à aucun contrôle de qualité, les contrefaçons peuvent présenter un véritable danger pour leur sécurité. Ce n’est pas trop grave quand il s’agit de montres[3] ou d’habits de luxe, mais c’est une autre histoire quand ce sont des jouets destinés à de jeunes enfants ou des plaquettes de freins pour automobiles. Cela peut même atteindre des sommets d’inconscience avec les faux médicaments distribués à profusion sur les marchés africains[4] ou avec les pièces de rechange destinées à l’industrie aéronautique. Certes, les avions assurant les vols internationaux sont régulièrement contrôlés, mais il n’en est pas de même pour les lignes intérieures de certains Etats en voie de développement. La série de catastrophes que connaissent les avions civils[5] et militaires iraniens peut éventuellement s’expliquer par ce fait. Car Téhéran, qui est placé sous embargo international, est obligé de se fournir auprès de son allié chinois qui ne peut que lui proposer des pièces de rechange contrefaites dont la fiabilité est sujette à caution.

 la suite sur http://www.cf2r.org/fr/notes-actualite/le-crime-organise-principale-menace-du-xxie-siecle.php

Après le foot, le handball, le Qatar veut se payer le rugby !

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 13:17

L’ombre du Qatar plane sur le rugby

Publié le 18/06/2012 à 12:18, mis à jour le 19/06/2012 à 10:59
Le Qatar est devenu un nouveau partenaire du rugby français, avec notamment la diffusion par beIN Sport des deux tests Argentine-France. Midi Olympique a enquêté sur le phénomène…
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Sur ce sujet

 Argentine-France en direct sur BeIn Sport
 Al Jazeera se tourne vers le rugby
Samedi dernier, la rencontre entre l’Argentine et la France a été diffusée sur la chaîne qatarie beIN Sport. Une situation inédite qui a privé de nombreux supporters de la retransmission du match et n’a pas manqué de créer la polémique. « Je regrette cette situation », s’est ainsi exprimé Pierre Camou, le président de la FFR. « Je comprends que certaines personnes soient déçues », a reconnu Charles Biétry, vice-président en charge des programmes de beIN Sport, dans une interview vérité accordée à Midi Olympique. A partir de cet imbroglio, le journal du rugby a donc choisi d’ouvrir le dossier sur l’arrivée progressive du Qatar dans le sport français et son influence future dans le rugby en particulier. Un sport auquel il s’intéresse de plus en plus. La programmation de beIN Sport (Ligue celte, Super League, NRL…) ou encore la présence de l’équipementier Burrda Sport (financé par un fonds d’investissement qatari) à Toulon ou Biarritz en sont la preuve matérielle.

Biétry: « Aucune envie de négliger le rugby »

Ceci attise aussi de nombreux fantasmes. C’est ainsi qu’un projet de championnat du monde des clubs serait à l’étude. Surtout, l’ombre des Qataris a plané cette saison au-dessus de Bayonne et Toulon. Depuis, Alain Afflelou et Mourad Boudjellal ont démenti ces rumeurs de reprises. Mais toujours est-il que l’arrivée du Qatar sur le terrain du rugby paraît à l’heure actuelle inévitable. « Il n’est pas impossible que beIN Sport se mêle aux prochains appels d’offres pour le Top 14 ou la H Cup, souligne d’ailleurs Charles Biétry. […] Nous n’avons aucune envie de négliger le rugby ».

Droits télé, reprise de clubs, projet de compétition… Midi Olympique a enquêté sur le phénomène en consacrant deux pages complètes à ce dossier dans son édition de ce lundi.

vu sur http://www.rugbyrama.fr/rugby/rugby-l-ombre-du-qatar_sto3316391/story.shtml

Un rocard sinon rien !

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 13:13

Il faut franchement qu’il arrête la bibine celui-là.

JBJ

Pour réduire les déficits, Michel Rocard propose de supprimer la dissuasion nucléaire

20 juin 2012 – 9:06

Après Martine Aubry, qui a évoqué un « accord avec l’armée pour réduire l’armée » et le président du groupe écologiste au Sénat, Jean-Vincent Placé, qui a récemment suggéré de se passer de « l’arme nucléaire française, totalement autonome, totalement indépendante », c’est au tour de l’ancien Premier ministre socialiste, Michel Rocard, de plaider pour une réduction du budget de la Défense afin de ramener le déficit des finances publiques à 3% du PIB en 2013.

« On supprime la force de dissuasion nucléaire, 16 milliards d’euros par an qui ne servent absolument à rien » a-t-il ainsi déclaré sur BFMTV, le 19 juin, en répondant à une question portant sur les « recettes nouvelles » à mettre en oeuvre pour lutter contre les déficits.

Cela étant, Michel Rocard est bien loin du compte et semble avoir confondu entre les francs et les euros. La force de frappe française coûtera en effet 3,403 milliards d’euros en 2012 (du moins selon le projet de Loi de finances adopté par le Parlement à la fin de l’année dernière), soit 4,7 moins!

La position de l’ancien Premier ministre de François Mitterrand (et par ailleurs ambassadeur de France chargé des négociations sur l’Arctique et l’Antarctique depuis 2009) n’est pas nouvelle. Il l’a exprimée à plusieurs reprises ces dernières années, notamment en co-signant avec Alain Juppé, avec qui il a présidé la commission du Grand emprunt, Alain Richard et le général Norlain, une tribune qui, publiée par le quotidien Le Monde, plaidait pour un désarmement nucléaire mondial.

En juin 2008, en plein débat au sujet des recommandations du nouveau Livre blanc sur la Défense et la sécurité nationale (LBDSN), Michel Rocard avait défendu l’idée de supprimer la dissuasion nucléaire pour en réaffecter les crédits à la construction d’un second porte-avions, au crédits d’équipements des forces armées et à l’entraînement de ces dernières, et non à la réduction de la dette publique, comme il vient de le proposer.

« L’arrivé à la détention d’armes nucléaires par des Etats gouvernés par des fanatiques religieux, en dehors de toute référence à la rationalité dans le traitement des conflits, est un danger extrême. Comme l’est davantage, peut-être, la saisie de bombes ou même seulement de matières nucléaires par des groupes terroristes non étatiques », écrivait-il alors dans les colonnes du Figaro.

« Devant de telles menaces, qui sont celles d’aujourd’hui, il est clair que la destruction de populations entières n’est pas la bonne réponse. La bonne réponse, c’est la destruction ponctuelle et précise d’installations et d’engins, voire de personnes. Le nucléaire n’est ici d’aucune utilité », avait-il poursuivi, alors que le président de la République de l’époque, Nicolas Sarkozy déclara, trois mois plus tôt, que la dissuasion était « l’assurance-vie de la Nation ». Et de conclure : « C’est dans le secteur du nucléaire qu’il faut commencer à faire les économies nécessaires pour (…) le deuxième porte-avions, qui, lui, répond concrètement à beaucoup de conflits aujourd’hui. »

Quoi qu’il en soit, lors de la campagne électorale qui l’a mené à l’Elysée, le président François Hollande a répété qu’il n’entendait pas remettre en cause la dissuasion nucléaire nucléaire. Mieux même : il n’était pas question pour lui de remettre en cause la composante aéroportée de la force de frappe française.

Mais, en tout cas, il est certain que les ressources allouées à la dissuasion suscite des convoitises en ces temps de crise…

 vu sur http://www.opex360.com/2012/06/20/pour-reduire-les-deficits-michel-rocard-propose-de-supprimer-la-dissuasion-nucleaire/

« Halalisation » de l’abattoir de Guéret et risque sanitaire gravissime pour nos enfants

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 10:25

Posted on 19 juin 2012 by Roger Heurtebise – Article du nº 256 de Riposte Laïque

Je vous avais déjà parlé de la manifestation le 26 mai dernier contre un projet d’abattoir halal à Guéret (Creuse), organisée par la Fondation Brigitte Bardot et d’autres organisations. Une centaine de personne ont participé au rassemblement.

http://www.fondationbrigittebardot.fr/s-informer/animaux-de-ferme/abattage/actualites/projet-d-abattoir-halal-a-gueret

Le principal organisateur était le collectif NARG (Non à l’Abattoir Rituel de Guéret), qui n’en est pas resté là. Il a tenu à avertir les autorités sur l’extrême risque sanitaire causé par l’abattage halal, à savoir la contamination de la viande par la bactérie escherichia coli (ou e-coli en abrégé), par régurgitation de l’œsophage après l’égorgement rituel.

Voici donc la lettre envoyée par le collectif NARG à Michel Vergnier, député-maire de Guéret :

http://ripostelaique.com/wordpress/wp-content/uploads/2012/06/lettre_dossier_sanitaire_halal_gueret.pdf

Cette lettre est accompagnée d’un dossier très complet de 17 pages sur ce risque sanitaire majeur, en particulier pour les enfants consommant de la viande halal « à l’insu de leur plein gré » à cause du recyclage dans les circuits normaux (boucheries et supermarchés) :

http://ripostelaique.com/wordpress/wp-content/uploads/2012/06/dossier_sanitaire_halal_gueret.pdf

La suite de l’article à cette page:

http://ripostelaique.com/halalisation-de-labattoir-de-gueret-et-risque-sanitaire-gravissime-pour-nos-enfants.html

L’extrême droite dans les parlements européens

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 09:33

http://elections.lefigaro.fr/presidentielle-2012/2012/06/18/01039-20120618ARTFIG00705-l-extreme-droite-dans-les-parlements-europeens.php

Le PS et le FN, grands gagnants de la cagnotte des législatives

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 07:28

Parlons gros sous, le nerf de la guerre

 | publié le 18/06/2012 à 12:40
Source : http://elections.lefigaro.fr/presidentielle-2012/2012/06/18/01039-20120618ARTFIG00587-le-ps-et-le-fn-grands-gagnants-de-la-cagnotte-des-legislatives.php

INFOGRAPHIE – Les subventions publiques aux partis politiques sont en grande partie calculées en fonction des résultats aux législatives. Le Figaro.fr fait le point sur ce que vont gagner ou perdre les principales formations ces cinq prochaines années.

L’heure des comptes a sonné pour les partis politiques au lendemain du second tour des législatives. Après deux campagnes nationales coûteuses, les formations vont pouvoir estimer les subventions publiques auxquelles elles vont avoir droit ces cinq prochaines années. Première source de financement des partis, ces subsides sont calculés en grande partie en fonction des résultats aux législatives.

Régies par une loi de 1988, les aides annuelles se décomposent en deux parts. La première enveloppe est répartie en fonction du nombre de voix récoltées au premier tour: un parti reçoit environ 1,68 euro par an et par voix sur cinq ans, s’il a passé le seuil de 1% des voix dans 50 circonscriptions. Cette somme pourra être diminuée si le parti ne respecte pas la parité. La seconde fraction du financement public est destinée aux partis qui ont des élus: chaque parlementaire – député ou sénateur – rapporte environ 42.200 euros par an à la formation à laquelle il est rattaché.

Avec 1,2 million de voix et 89 sièges de députés supplémentaires par rapport à 2007, le PS devient le parti le mieux doté en aides publiques. Il recevra chaque année près de 30 millions d’euros de subsides. L’UMP, elle, perd plus de 13 millions d’euros de subventions dans la bataille et aura en outre près de 4 millions d’euros à payer par an pour non-respect de la loi sur la parité.

Grâce à sa percée au premier tour, le FN tire quant à lui son épingle du jeu et empochera chaque année plus de 6 millions d’euros, multipliant ses gains par trois. De quoi rembourser les dettes du parti, qui se sont accumulées après les législatives désastreuses de 2007.

Bonne opération également pour les écologistes, qui profitent d’un regain de sièges et de voix suite à l’accord conclu avec les socialistes. Europe Écologie touchera chaque année plus de 3,5 millions d’euros, soit près d’1,7 million d’euros de plus qu’en 2007. Une manne financière vitale pour le parti écologiste, qui n’a pas atteint pour la deuxième fois consécutive le seuil des 5% ouvrant la voie au remboursement des dépenses réalisées lors de la campagne présidentielle.

Malgré un nombre de sièges limité, le Front de gauche progresse en termes de voix par rapport à 2007 et profitera d’un demi-million d’euros supplémentaires. Une somme qui reviendra pour l’essentiel au Parti communiste, le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon n’ayant obtenu qu’un des dix députés de l’alliance.

La situation est en revanche critique pour le MoDem, qui perd à la fois des voix et des sièges, et verra ses subventions divisées quasiment par trois. En 2007, le parti de François Bayrou était la 3e formation la mieux dotée en financements publics. Il est aujourd’hui en queue de peloton, derrière le Parti radical de gauche, qui profite de l’accord conclu avec le Parti socialiste.