Francaisdefrance's Blog

29/03/2012

Dernière saillie de Hollande le fossoyeur de la France: « Je vais vous donner des papiers, et vous serez aussi Français que les Français de souche de ce pays. »

Article emprunté à l’excellent site Le Gaulois

jeudi 29 mars 2012

– POLITIQUE –

Le 5 mars 2012, à 15h à EVRY, sous les acclamations délirantes d’un public arabo-français de 6000 personnes … François Hollande s’exprime :

« Ici, c’est la nouvelle France, celle qui émerge, celle qui s’engage, celle du futur … Vous les habitants des cités, islamiques ou pas, vous êtes l’avenir de la France, vous êtes la génération montante, celle qui sauvera ce pays de la ruine, vous affrontez durement la réalité, je n’ignore rien de la difficulté d’accéder au logement , au travail (…) Je sais aussi que l’insécurité n’est pas ce que dit l’opposition », a-t-il lancé.
«Je veux m’appuyer sur ses quartiers populaires (…) J’aime cette France et j’aime ces Français, je n’oppose personne, je ne stigmatise personne, je ne considère pas qu’il y aurait une anti-France, bien au contraire », a poursuivi le candidat PS. « Moi, je ne veux pas installer la peur, je veux au contraire faire émerger l’espoir » et « je veux rassembler les Français »
«Est-il normal que ce soient toujours les mêmes jeunes qui se fassent interpeller, suspecter ? »… « Est-il normal que des milliers de personnes attendent des jours dans la nuit, dans le froid, pour attendre tout simplement des papiers français ? Et bien moi, je dis non ! Je vais vous donner des papiers, et vous serez aussi Français que les Français de souche de ce pays … »
(Merci à Robert)

Coup d’oeil dans le rétroviseur de la résistance depuis 2003 jusqu’à nos jours

Pierre Cassen à son meilleur dans ce journal des résistants du 28 mars 2012,  une verve et un humour ravageurs. C’est jubilatoire!

 

Plan national d’action contre le racisme et l’antisémitisme : un totalitarisme poisseux

Le : 28 Mars 2012

démarchetotalitaire racisme pland’action antisémitisme libertéd’expression

Les tueries (islamistes) de Toulouse et Montauban ont débouché sur un festival de bobards et d’intoxication « antiraciste », dans l’esprit de ce qui s’était passé à la suite des attentats contre la synagogue de la rue Copernic et de la rue des Rosiers : un phénomène sans surprise, quelques jours après la publication par le gouvernement de son plan d’action contre le racisme et l’antisémitisme pour les années 2012-2014.

Pierre Milloz analyse ce plan pour Polémia.

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Le gouvernement vient de publier son Plan d’action contre le racisme et l’antisémitisme pour les années 2012-2014.

Comme on pouvait s’y attendre, il expose l’idéologie dominante, celle dans laquelle baignent les médias de l’oligarchie, celle des gouvernements et de la plupart des partis politiques.

Limiter la liberté d’expression au nom de l’antiracisme

Alors que l’opinion publique conteste de plus en plus la passivité des gouvernements face à un courant migratoire qui menace de submerger la nation, le Plan a pour objet de combattre cette contestation en invoquant les principes universalistes et en la qualifiant de « raciste ». Pour autant, il prétend en l’espèce n’avoir nulle intention de limiter la liberté d’expression. Il fait seulement valoir que celle-ci n’est garantie par la loi de 1881 que dans le respect de l’ordre public. Or, dit-il (page 9), l’extériorisation du racisme est attentatoire à l’ordre public, donc la liberté d’expression n’est pas menacée. (Il suffisait d’y penser.) Merci Orwell !

Orienter la répression vers la population majoritaire

Le Plan porte donc évidemment un jugement extrêmement favorable sur cette immigration : « L’apport des populations étrangères a constitué une chance pour la France », dit-il (p. 91), et, comme dans tous les régimes totalitaires à pensée unique, il entend en persuader les enfants : « Les programmes d’histoire doivent permettre aux enfants de le comprendre. » Cette chance pour la France se manifeste de diverses manières.

D’abord, les immigrés ne sont pas racistes (ce qui implicitement oriente la répression vers ce que le Plan appelle la population majoritaire – 76% du total) : « Il faut noter l’émergence récente de quelques cas de racisme dirigés contre des Blancs, mais cela reste pour l’instant relativement rare » (p. 53). Apparemment le ministre de l’Intérieur n’a pas eu connaissance de cet incident que son collègue chargé de l’immigration dénonçait en mars 2011 : « Quand, après le match de football Algérie-Egypte où la France n’est même pas concernée, 20.000 jeunes Marseillais, étrangers, français d’origine étrangère vont sur la Canebière brûler les drapeaux français, n’est-ce pas l’indice d’une difficulté ? » Mais le ministre de l’Intérieur est pardonnable, tant il est vrai que cet incident est passé relativement inaperçu, les médias n’ayant pas jugé bon de s’appesantir sur lui. Mais rien n’interdit d’imaginer le retentissement qu’aurait eu un incident au cours duquel 20.000 jeunes Français, d’origine française, seraient allés sur les Champs-Elysées brûler les drapeaux algériens…

Promouvoir la diversité à l’école : une démarche totalitaire ?

Echappant donc au reproche éventuel de racisme, les immigrés confirment qu’ils sont une chance culturelle pour la France. Cet atout offert à notre pays résulte aussi de leur effort incessant et inlassable pour la France : « les artistes, les écrivains, mais aussi les citoyens venus d’ailleurs ne cessent d’enrichir le patrimoine culturel de la France » (p. 99). N’est-il pas indiqué dès lors que l’on se tourne à nouveau vers les enfants pour les en persuader et seuls les esprits pervers feront à nouveau le rapprochement avec la propagande des régimes totalitaires dans les établissements scolaires : « la diversité à l’école » figure au programme national de pilotage qui « permettra de mieux prendre en compte la diversité » (p. 28).

Aider les étrangers même en situation irrégulière

En conséquence, les immigrés doivent être accueillis et aidés et, indépendamment des mesures nationales en leur faveur, on peut noter que le Plan rappelle (p. 85) que les étrangers même en situation irrégulière ont un droit à l’hébergement, qu’apparemment ils peuvent faire valoir en saisissant une commission de médiation (mais dans ce cas on distingue mal les conséquences sur leur présence en France. Peut-être l’obtention d’un hébergement vaut-elle titre de séjour ?).

La « diversité » contre l’assimilation

Les notations qui précèdent ont présenté l’attitude générale de bienveillance du ministre de l’Intérieur dans ce Plan. Cette attitude conduit à un paradoxe évident : d’une part, conformément à la doctrine officielle, le document insiste sur l’unicité du peuple français et le refus des communautés intermédiaires et, d’autre part, ne préconisant pas l’assimilation des étrangers, il entend « promouvoir la diversité ». Et de fait la défense et la promotion des diversités au sein de la nation française forment le leitmotiv du Plan, en réponse aux contempteurs de celles-ci, accusés de racisme.

Les caractéristiques de la population autochtone n’intéressent personne

En contrepoint on ne trouvera pas dans tout le document les mots : traditions françaises, population française, ethnie française, Français d’origine ou de souche. Bien sûr, on peut objecter que là n’est pas le sujet du Plan : pourtant, puisqu’il s’agit de populations étrangères dont il faut protéger les caractéristiques, ne serait-il pas normal que le document se préoccupât en même temps des caractéristiques des populations autochtones, celles qui reçoivent ? Il n’en fait rien, bien sûr.

Le défenseur des droits : des pouvoirs accrus par rapport à la HALDE

Telle est la tonalité du Plan. Si on en vient maintenant aux mesures, on notera que le document fait un rappel de toutes les décisions déjà prises dans le passé et propose pour les trois années à venir diverses mesures nouvelles dont la principale est la nomination d’un défenseur des droits. Ce haut fonctionnaire aura la charge d’ensemble du dossier et sera donc appelé, d’une part, à revigorer certaines des mesures existantes et, d’autre part, à mettre en œuvre quelques autres, qui intéressent surtout les domaines de l’interdiction et de la répression, sujets auxquels on va venir maintenant.

En la matière, les pouvoirs publics s’autorisent toutes sortes de facilités et d’approximations, dont la description suscitera nombre d’observations critiques.

La Constitution en son article 1 est invoquée à l’appui de l’idée selon laquelle les habitants du territoire français ne peuvent faire l’objet que d’un traitement uniforme. C’est à tort : il est exact que la Constitution « assure l’égalité devant la loi sans distinction d’origine, de race ou de religion », mais elle réserve cette prescription aux seuls citoyens, c’est-à-dire aux nationaux, et, contrairement à ce que prétend abusivement le Plan (p. 7), elle n’interdit nullement un traitement différencié des étrangers. Elle l’autorise même par sa rédaction.

Les pouvoirs exorbitants et liberticides du… défenseur des droits

Des pouvoirs exorbitants sont conférés à une nouvelle institution : le défenseur des droits. Ce haut fonctionnaire peut procéder à des vérifications sur place (le document ne prononce pas le mot de perquisition…) et à des visites inopinées, sous le contrôle du juge des libertés, il est vrai (p. 32). Il a le pouvoir d’enjoindre à une administration ou à « l’organisme en cause » (sa compétence s’étend donc au-delà de la sphère publique, tout comme celle d’un service de police) de réformer une décision (mais aucun service de police ne dispose d’un tel pouvoir !) (p. 33).

Si le cas dont le défenseur des droits saisit « l’organisme en cause » est de nature à justifier des poursuites disciplinaires et si celles-ci ne sont pas engagées, ledit organisme doit justifier son abstention auprès du défenseur. Là encore on rencontre une disposition extraordinaire qui limite de fait la liberté d’une autorité privée d’exercer ou de ne pas exercer son pouvoir disciplinaire (p. 33).

Une nouvelle dialectique de la preuve : à l’innocent de prouver qu’il l’est !

D’autres règles juridiques habituelles sont « adaptées » à la matière. Sauf en matière pénale, lorsque des faits laissent supposer qu’un acte discriminatoire (et pas seulement de nature raciste) a été commis, l’autorité qui s’en inquiète n’a pas à faire la preuve de l’infraction : c’est au suspect qu’il appartient de prouver son innocence ! Le Plan qualifie pudiquement cette innovation de « nouvelle dialectique de la preuve » (p. 8) !!!

La répression de ce genre de délit mérite une attention toute spéciale. Elle doit s’exercer dans la presse, les films, les objets et insignes. Les préfets doivent renforcer leur collaboration avec les « associations engagées », avec les directeurs d’école (« pour prévenir et sanctionner dans les établissements et leurs abords »). Des magistrats « référents » en la matière sont institués au sein du parquet, comme une centaine de « référents sûreté » sont formés au sein de la police et de la gendarmerie.

Favoriser la dénonciation : « La République récompense les dénonciateurs » (1793)

Le Plan, en effet, regrette la « difficulté récurrente de faire émerger des plaintes » et en conséquence il consacre un paragraphe entier (4.2.2) à « Favoriser l’émergence des plaintes ». Dans cet esprit, des conventions ont été passées (on n’en connaît pas le coût) avec des associations comme la LICRA et SOS-Racisme dont le rôle est notamment de « contribuer à la dénonciation des faits les plus graves ». Par ailleurs, « des cellules de veille ont été mises en place destinées à trouver les moyens de permettre aux victimes de discrimination de porter plainte ». Autrement dit, la dénonciation devient l’un des moteurs de la répression et l’appel aux associations engagées et à la délation pourrait ouvrir une période la plus sombre de notre histoire.

LICRA, SOS-Racisme : un soutien financier justifié

De façon générale, la contribution des associations « justifie », selon le Plan, « le soutien financier qui leur est apporté par l’Etat et les collectivités territoriales ». Le contribuable, toujours inquiet, aimerait connaître le coût de ce soutien, et il est d’autant plus inquiet que le Plan parle du « foisonnement des initiatives associatives »… (p. 36). Mais on ne le lui dira point.

Il s’inquiétera aussi, mais cette fois en tant que citoyen, de voir ces associations, de droit purement privé, chargées de mission de service public qu’à première vue on verrait plutôt assurées par l’administration. Il n’est pas normal, par exemple, que la LICRA soit chargée de contribuer à la formation des gendarmes et des policiers (!) (p. 38) ou qu’un établissement public comme l’ACSE (Agence pour la cohésion sociale et l’égalité des chances) « soutienne les services juridiques des associations LICRA, SOS-Racisme, MRAP, LDH » (p. 35) dont le plan donne une liste impressionnante des activités, y incluse la « capitalisation » (?).

La lutte dite « antiraciste » n’a pas à souffrir des restrictions budgétaires

La lutte dite antiraciste n’a pas à souffrir des restrictions budgétaires. Y participent, pour le seul échelon central, sept comités, un haut conseil, un défenseur des droits, deux délégués interministériels, un délégué ministériel, un secrétariat général, une agence, deux offices et quatre observatoires. Cette énumération à la Prévert pourrait passer pour bouffonne. Pourtant elle ne fait que récapituler l’effort du gouvernement pour résoudre ce qu’il semble considérer comme le problème majeur de la France dans la compétition internationale actuelle : dans un tel cas, pour lui l’argent ne compte pas.

Il faut ajouter à l’énumération ci-dessus un nombre indéterminé d’observatoires régionaux de la jeunesse et des sports et les COPEC. Les COPEC sont des commissions départementales pour la promotion de l’égalité des chances et la citoyenneté. Elles bénéficient de soins particuliers puisqu’elles ont non pas un mais trois présidents : le préfet, l’inspecteur d’académie et le procureur. Dans chaque département elles coordonnent l’action de la lutte antiraciste. Il convient aussi de mentionner que l’un des offices cités plus haut dispose de 29 directions territoriales et de 12 délégations (p. 25).

Les statistiques sur le racisme mobilisent 800 policiers

Enfin, il n’est pas possible de passer sous silence l’effort financier qu’a consenti l’administration de la police pour avoir une connaissance statistique précise des discriminations. Il est apparu en effet que dans de nombreuses affaires pénales le motif raciste pouvait exister et n’avoir pas été pris en compte. Aussi a-t-il paru nécessaire de reprendre toutes ces procédures une à une par un traitement manuel, pour mieux qualifier les faits : à cette tâche, ce sont « environ 800 fonctionnaires de police qui ont été formés dans les services statistiques de terrain » (p. 40). Il y aura comme toujours (mais comment l’éviter ?) des malveillants pour avancer que tous ces policiers auraient mieux été utilisés pour le maintien de l’ordre dans certaines banlieues.

Toutes ces notations auront à plusieurs reprises inquiété le lecteur, curieux de connaître le coût de toutes les opérations dont le présent compte rendu n’évoque que les parties les plus caractéristiques. Sa curiosité malheureusement ne sera pas satisfaite car, arrivé à la dernière page du Plan, il apprend – hélas ! – que « l’Etat ne dispose pas des outils lui permettant d’évaluer l’ampleur de son engagement financier dans la lutte contre le racisme et l’antisémitisme ».

Une vision totalitaire

C’est là une constatation extrêmement regrettable dans les circonstances actuelles. Pourtant, l’impression générale qu’on tire de la lecture du document conduit à une conclusion encore plus regrettable : celle qu’on a affaire à une vision totalitaire : une vision où la surveillance de la population par une multitude d’organes et l’érection de la délation comme un moyen de gouvernement sont caractéristiques d’un totalitarisme poisseux.

Pierre Milloz
24/03/2012

L’intégralité du Plan en PDF

http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_la_une/toute_l_actualite/ministere/plan-national-d-action-contre-racisme (renseigner la boîte de recherche avec plan national d’action contre le racisme et sur la page obtenue apparait le lien cherché. D’accord c’est un véritable jeu de piste. A croire que le gouvernement ne doit pas tenir à ce qu’ l’on lise ce plan d’action

vu sur http://www.polemia.com/article.php?id=4720

A voir, revoir et transmettre tous azimuts : Je suis patriote donc je ne voterai pas pour…

Nous republierons régulièrement cet article jusqu’aux élections présidentielles. Il est impensable que les Français votent pour cet internationaliste sans la moindre expérience politique, adepte forcené du vote des étrangers . Envoyez ce article à tous vos amis, connaissances, voisins, collègues de travail qui seraient tentés de voter pour le moins pire de tous les pires fossoyeurs de la France. Vous pouvez vous contenter de transmettre uniquement l’URL de cet article:http://ripostesita.wordpress.com/2012/03/07/je-suis-patriote-donc-je-ne-voterai-pas-pour/

Une liste non exhaustive d’élus PS avec quelques PCF, PRG et autres EELV mis en examen ou condamnés:

http://pierre.parrillo.over-blog.fr/article-liste-des-elus-ps-et-de-gauche-condamnes-98170356.html

Je ne voterai pas pour François Hollande parce qu’on ne voit pas comment un élu qui gère depuis 4 ans de manière si catastrophique un département:  la Corrèze pourrait diriger la France et ses plus de 90 départements autrement qu’en l’entraînant vers la ruine et  le chaos. Il est bien évidemment totalement discrédité.

F Hollande a coulé la Corrèze en 4 ans

F Hollande a coulé la Corrèze en 4 ans

Je ne voterai pas pour François Hollande qui, élu président, n’aura cesse d’aller à Canossa Alger pour abaisser un peu plus la France dans des repentances à sens unique pour la période où la France a donné un nom à cette terre l’Algérie et y a apporté routes, voies ferrées, hôpitaux, agriculture, pétrole etc… Hollande c’est l’anti-France, la haine de la France. L’immense majorité des Pieds Noirs n’étaient pas de richissimes propriétaires terriens.

Cliquer sur l’image pour agrandir et lire le texte ou aller le lire à cette page:

https://francaisdefrance.wordpress.com/2012/03/06/saint-francois-hollande-lapotre-de-la-repentance/. Hollande c’est l’anti-France.

Je ne voterai pas pour François Hollande  qui à peine élu n’aura cesse grâce au Sénat désormais sous majorité de gauche (encore une brillante réussite de Sarkozy) de donner le droit de vote aux étrangers avec toutes les conséquences désastreuses que l’on peut imaginer en provenance du lobby islamique. Décidément Hollande c’est l’anti-France.

Je ne voterai pas pour François Hollande

car il ne se cache pas d’être internationaliste donc ennemi de concept de nation. N’a-t-il pas déclaré dans cette vidéo que sa préoccupation première en tant que président ne sera pas de s’occuper de ses concitoyens. http://youtu.be/lSd_qoHcYSI à partir de 5:51

Plus anti-France que Hollande il n’y a pas.

http://ripostelaique.com/hollande-et-les-siens-naiment-pas-la-france.html

http://ripostelaique.com/christine-tasin-pourquoi-je-pense-que-le-pire-serait-larrivee-de-la-gauche-au-pouvoir-video-11.html

http://www.siel-souverainete.fr/umps/4-umps/18-francois-hollande-a-escroque-son-chauffeur-mohamed-belaid.html

François Hollande “dézingué” par Christine Tasin: http://youtu.be/lSd_qoHcYSI

Les amours hollando-mélenchonesques  façon “je t’aime moi non plus”.  La malhonnêteté de François Hollande dénoncée par Mélanchon ou les coulisses peu ragoûtantes du fonctionnement interne du PS: http://24heuresactu.com/2012/03/14/ps-melenchon-avoue-avoir-magouille-avec-hollande-video/

Comment les “éléphants” du PS piétinent allègrement Hollande par des propos assassins: http://www.dreuz.info/2012/03/les-leaders-socialistes-ne-veulent-toujours-pas-de-francois-hollande/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29

flanby collabo

flanby collabo

Il y en a d’autres pour lesquels je ne voterai pas. Affaire à suivre prochainement  sur ripostesita.

Au pays du « vivre ensemble » : Retour sur la politique écolo-socialo-bobo de la ville rose

La suite est « empruntée » au blog de Gérard Brazon que je ne saurais trop vous recommander de lire régulièrement http://puteaux-libre.over-blog.com et de mettre dans vos favoris.

Cet article de Jérôme Cortier « Les musulmans toulousains sont écolos et végétariens  » est un peu ancien puisqu’il date du 11 avril 2011, mais il est parfaitement d’actualité.

Vote de Pierre Cohen pour le second tour des elections municipales a ToulouseA Toulouse, on peut poignarder son prochain en pleine rue (1), violer une femme sous les yeux de son amant (2), tirer sur des pavillons (3), exécuter froidement un adolescent pour une sombre affaire de drogue (4), sans que la municipalité ne remette en cause sa politique sécuritaire. Pierre Cohen, maire PS de la ville rose et ses acolytes Verts, se grattent encore la tête pour savoir si la vidéo surveillance n’est pas une atteinte aux droits de l’Homme (5). L’extrême gauche, quand à elle, se dit hostile à l’installation de nouvelles caméras et parle d’État policier.En revanche, ces prochaines années, les toulousains devraient voir sortir de terre 5 jolies mosquées. Pierre Cohen n’a sur cette question aucune hésitation. Il se dit même prêt à accompagner le mouvement. Sans surprise les verts approuvent, eux qui en 2009 se félicitaient de partager la rupture du jeûne avec les musulmans de la mosquée Tabar (6). Une visite amicale et communautariste qui, sous la plume de l’islamo-écolo-bobo Danielle Charles, prend des allures de conte de milles et une nuits.

Un extrait pour vous délecter de la mièvrerie exaltée dont est capable la prêtresse islamophile du Capitole. Elle parle ici de la rénovation de la mosquée Tabar, ancien château du XVI siècle :

– « La brique sera au rendez vous. Les minarets guère plus haut que les pigeonniers. Penser la mosquée comme la rencontre de la tradition et de la modernité : architecturale, environnementale. Penser à l’Alhambra, merveille du monde, issue des cultures partagées par les gens du livre : modernité de l’époque où l’eau arrive à l’intérieur du palais par gravitation naturelle des montagnes neigeuses. L’idée n’a jamais effleuré Louis XIV le bâtisseur. L’eau, source de vie, est par tradition une préoccupation musulmane. Alors une récupération des eaux de pluie sera faite par les toits. » (7).

Vous ricanez ? Je vous comprend. La comparaison entre les minarets et les pigeonniers est audacieuse. Après vérification, « muezzin » n’est pas une traduction approximative du mot « pigeon » en arabe. En langage écolo en revanche ce sont les « contribuables » qui se confondent avec les « pigeons », les crétins, les abrutis ou les benêts. Y a le choix…
Mais faisons fi de l’humour involontaire de Danielle Charles et regardons ce que sous entend l’élue verte de la ville rose : pour elle les musulmans de l’Espagne conquise étaient bien plus écolos que ce gros couillon de Louis XIV, parce qu’ils avaient une maîtrise intelligente de l’eau, élément considéré par la tradition musulmane comme source de vie. Elle ne fume pas que du foin la jument verte ! Elle serait persuadée que l’écologie prend sa source dans le coran que ça ne m’étonnerait pas.

C’est peut-être pour satisfaire les préoccupations écologiques de la communauté musulmane, que l’association isla-mao-gauchiste « Génération spontanée » vient d’organiser un rassemblement au pied des immeubles de la Reynerie, pour demander au maire de Toulouse l’instauration de repas végétariens dans toutes les cantines des écoles de la ville. En parallèle, cette association fait circuler une pétition inspirée d’un texte de Dounia Bouzar. La pétition se sert d’un argument sanitaire pour faire passer ses revendications religieuses :

– « Nous sommes des parents d’élèves soucieux de la santé de nos enfants et pour se faire nous voulons attirer votre attention sur le problème des familles dont les enfants ne peuvent consommer de viande à la cantine et ce, pour diverses raisons…..
c’est très récemment que la mairie de Toulouse a pris la peine d’intégrer des plats de substitution pour le porc elle ne l’a pas fait pour les autres viandes, ne tenant pas compte de la consommation de viande non halal pour les enfants musulmans, et il arrive que des parents soient obligés de récupérer leurs enfants à midi vu le contenu du menu (viande en entrée et plat principal)..
Il est normal de payer un service et d’en être satisfait ce qui n’est pas toujours le cas , sous couvert de laïcité. Il faut savoir que souvent on demande aux enfants d’enfreindre les règles et que manger des viandes non halal ce n’est pas grave profitant de leur crédulité!! » (http://www.generations-spontanees.org/petitions/index.php?petition=3)

Dans un reportage de propagande réalisé par la télévision brejnévienne TV BRUITS (9), l’une des représentantes de l’association Génération spontanée, proche des Indigènes de la République, affirme que Pierre Cohen ne voit pas d’un mauvais œil cette proposition et qu’elle bénéficie du soutien de l’adjoint au maire chargé des cultes, l’écologiste Régis Godec.

Cette pression communautaire exercée par des islamistes et des associations gauchistes est monnaie courante. Les élus s’y sont habitués. Plus aucun ne semble se soucier de l’intérêt général et se dit prêt à répondre favorablement aux revendications particulières d’une minorité. Cette alliance entre une association gauchiste, dont on retrouve des militants au sein des organisations pro-palestiniennes les plus manichéennes, et des islamistes conquérants, devrait alerter nos élus sur la nécessité de renouer avec les citoyens de ce pays en organisant, par exemple, de véritables référendums d’initiatives populaires… (pas comme cette mascarade soutenue par la mairie de Toulouse en faveur du droit de vote des étrangers: http://ripostelaique.com/la-votation-toulousaine-ou-la.html)

Et en ce qui concerne les repas végétariens, notre position a été rappelée par Christine Tasin à l’occasion de la Conférence de presse du 4 avril 2011, à propos du débat sur « laïcité et islam » :

– « Il ne faut pas créer de menus alternatifs végétariens dans les cantines. Celles-ci sont un service rendu à l’usager, qui a la possibilité de déjeuner chez lui ou de se trouver un autre lieu pour déjeuner si le contenu du menu ne lui plaît pas, d’autant plus que les musulmans ont tout à fait le droit, prévu dans le coran, de ne pas manger halal quand ce n’est pas possible. Accéder à leur demande de repas spécial, et ce dès les cantines scolaires, c’est contribuer à forger, chez les enfants eux-mêmes, un réflexe identitaire qui les isole et les amène, peu à peu, à vivre en ghetto, entre « purs », et à refuser l’intégration et encore plus l’assimilation. Tout cela finissant par créer des situations de guerre civile ou d’émeutes. Chacun a toujours la possibilité, comme le font les végétariens depuis toujours, sans avoir jamais fait de demandes de reconnaissance officielle, de ne pas manger la viande proposée. »

Ne nous faisons pas d’illusion, les collabo-cocos de l’islamisation en ont encore sous le coude. Dans leurs rangs la muflerie n’a pas de répit. Mais que Monsieur Cohen s’occupe en priorité de l’explosion des actes de violence au sein de la ville dont il a la charge…il viendra nous faire des leçons d’écolo-islamo-compatibilité plus tard.

Jérôme Cortier (Prêchi-Prêcha)

VV&D s’invite à la manifestation de SOS racisme

Jeudi 29 mars 2012429/03/Mars/201201:23
On rappelle que VV&D est l’association Vérité Valeurs et Démocratie dont un combat essentiel est de lutter pour faire capoter le projet du maire de Paris de subventionner l’Institut des Cultures d’Islam (ICI) à hauteur d’une trentaine de millions d’euros tout en affirmant que la ville de dépensera pas un euro dans ce projet.

La Licra et SOS-racisme accompagnées de diverses formations généralement proches de la gauche tentent de dissoudre l’acte de guerre jihadiste de Mohamed Merah dans un amalgame de racisme, d’anti sémitisme et de terrorisme.

Pour cela elles ont organisé une manifestation silencieuse et « unitaire » de solidarité avec les victimes du tueur islamique de Toulouse.

La grande majorité des organisation juives de France a appelé à boycotter cette tentative de manipulation qui ne vise, une fois de plus, qu’à éviter que les Français se posent les bonnes questions sur les motivations de Mohamed Merah.

D’où vient la motivation des actes criminels de ce fanatique ?

La doctrine islamique contient-elle vraiment des incitations à la violence contre les non-musulmans ?

Y a-t-il une partie des enseignements de l’islam qui puisse transformer un citoyen de la République en ennemi de la France ?

Le fait de prétexter la solidarité avec les victimes d’un jihadiste pour encore une fois protéger l’islam du regard critique et de l’examen du contenu criminogène de la charia est preuve d’un cynisme glacial. Les citoyens qui se déplacent pour participer à un hommage aux victimes se trouvent ainsi utilisées à protéger la cause du drame qu’ils sont venus dénoncer :

La charia et les prêcheurs de haine qui la diffusent tel l’UOIF.

Ceux qui ont vu clair dans la manoeuvre des « anti racistes » n’étant pas venus en ce Dimanche de mars, la rue allait appartenir aux dissimulateurs et sembler cautionner le mensonge.

C’est pour cela que VV&D est venu dire, en plein milieu d’une tentative de tromperie, ce que les organisateurs de la manifestation ne voulaient pas dire :

Non à la charia !

Elle contient l’incitation au jihad et à la violence contre les non-musulmans.

et

Non aux prêcheurs de haine

comme Al Qaradawi qui, avec la complicité active de l’UOIF, diffuse des incitations au jihad contre les non-musulmans et tout particulièrement contre les juifs.

Il est à noter qu’aucun journaliste présent sur cette manifestation, à part une équipe de télévision canadienne, n’a voulu nous interroger et que ceux que nous avons contacté sur place n’ont pas voulu enregistrer ce que nous avions à dire (M6, i télé, etc…)

Nous avons même constaté que lors de notre passage certaines caméras s’écartaient ou se baissaient pour ne pas nous filmer !

Dans le cortège nous avons rencontré Michel Ciardi de l’UFJ (Union des français juifs), venu lui aussi protester et qui s’est joint à nous en toute simplicité. C’est donc ensemble que nous sommes allés jusqu’à la place de la Nation où nous l’avons interrogé sur les motifs de sa présence.

Aidez-nous à agir, soutenez nos action,

N’oubliez pas de signer d’un commentaire notre initiative concernant un audit parlementaire des valeurs politiques de l’islam