Francaisdefrance's Blog

16/03/2012

Cheikh Abdul Aziz bin Abdullah: « il est nécessaire de détruire toutes les églises de la région » (Koweit)…

Ok, Abdul mon frère; il ne faudra pas t’étonner si on riposte… Les mosquées en terres chrétiennes, ce n’est pas ça qui manque…

FDF

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Eglise en terre d’islam…

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Le Cheikh Abdul Aziz bin Abdullah, Grand Mufti d’Arabie Saoudite, une des plus hautes autorités musulmanes sunnites, estime « qu’il est nécessaire de détruire toutes les églises de la région ». Le Grand Mufti fait cette déclaration en réponse à une question posée par un membre d’une délégation du Koweït, question à propos de l’appel d’un député du Parlement koweïtien à la suppression des églises. Plus tard, ces mêmes gens ont allégué qu’ils voulaient simplement dire qu’aucune église ne devait être construite au Koweït. La délégation koweïtienne désirait confirmer la position de la charia contre les églises.

Mais le fait demeure que selon le Cheikh Abdul Aziz bin Abdullah, Grand Mufti d’Arabie Saoudite, il est nécessaire de détruire toutes les églises de la région, églises au demeurant tantôt peu nombreuses, tantôt inexistantes parce que déjà détruites. Cette affaire pose une fois de plus la question de la réciprocité. Si les églises sont interdites par la charia en terre d’islam, octroyer des mosquées aux musulmans d’Europe, n’est-ce pas absurde ? Les philippines catholiques qui travaillent comme domestiques en Arabie saoudite sont privées d’églises et donc privées de messe le dimanche.

Il reste surprenant que les candidats aux élections présidentielles et législatives, qui auront lieu dans quelques semaines en France, ne soient jamais ou pratiquement jamais interpellés sur ce problème par les électeurs catholiques…

http://weaselzippers.us/2012/03/14/saudi-arabias-grand-mufti-calls-for-destruction-of-all-churches-in-the-region/

http://www.asrare.com/religion/212.html

http://www.mcndirect.com/showsubject_ar.aspx?id=32143

Reproduction autorisée avec mention www.dreuz.info

église détruite 2 Ce Cheikh qui veut détruire toutes les églises

Autre ex-église en terre d’islam

Merci à Zenri…

L’ICI (Institut des cultures d’islam) ne concerne pas que les Parisiens mais chaque Français y contribue avec ses impôts…

Personnellement, ça m’écoeure de voir de façon impuissante où passe mon fric… Il faut avouer qu’il y a de quoi…

FDF

Avec NOTRE pognon…

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Intervention de François PAYS-BAS, candidat socialiste à l’élection présidentielle.

Excellent…

FDF

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http://www.dailymotion.com/video/xpftwx_2-intervention-de-francois-pays-bas-candidat-a-l-election-presidentielle_fun

Danemark: 150 membres du gang musulman des « Black Cobra » arrêtés.

Tiens, du nouveau: des gangs islamistes jouent aux gros bras? ils feraient mieux d’aller « jouer dans leur cour ». Celle des grands n’est pas pour eux; il faut être doté d’un peu de sérieux pour imiter les Black Angels…

Je les imagine à chameau moto, la djellaba flottant au vent. Oh le délire…

FDF

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150 membres du gang musulman des « Black Cobra » (qui réclament l’application de la charia) ont tenté de prendre d’assaut un poste de police et un tribunal.

La raison de l’agression est le procès contre deux sympathisants pakistanais des Hells Angels (gang de motard) qui avaient tiré sur un certain nombre d’islamistes du gang Black Cobra. Les 150 individus étaient venus exiger « vengeance. »

Bon nombre des immigrants criminels des Black Cobra étaient masqués. Un grand nombre d’officiers de police sont intervenus, ont fouillés et arrêtés les musulmans.

Environ 20 armes différentes ont été trouvées sur les voyous. La police a été soumise à des jets de bouteilles. Les criminels musulmans ont ravagé et saccagé plusieurs banlieues nord et provoqué des émeutes afin de se venger des arrestations.

La guerre entre les Hells Angels et les gangs islamiques continue également sans relâche. Ces six derniers mois, tous les tirs par armes à feu, une cinquantaine, à Copenhague, sont liés à une lutte de pouvoir entre les Hells Angels et les gangs musulmans agglomérés autour des Black Cobra, maintenant habituellement appelés les « gangs de la charia« .

Black Cobra est très implanté dans la ville de Malmö. La situation est tellement désastreuse à Copenhague que la police semble avoir renoncé à certains districts, les services municipaux ont cessé de fonctionner et le public est invité à rester à l’intérieur ou à éviter les districts. »

Source: http://infos-meconnues.blogspot.com/

ArcelorMittal: les manifestants accueillis par des gaz lacrymogènes !

Tirs de lacrymogènes contre les manifestants? On dirait que le « printemps Français » arrive…

La répression façon « despotes du Maghreb », ça m’étonnerait que ça se passe sans douleurs…

FDF

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A la veille des présidentielles…
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Les syndicats de l’usine ArcelorMittal Florange, menacée de fermeture, ont refusé l’invitation du chef de l’Etat à l’Elysée. Nicolas Sarkozy a réagi en accusant la CGT de vouloir jouer « un rôle politique ».

Les métallos d’ArcelorMittal Florange (Moselle) ont quitté jeudi en début d’après-midi la rue de la Convention, où se situe le QG de campagne de Nicolas Sarkozy, pour se rendre à pied à la Tour Eiffel, où ils envisageaient de déployer une banderole. Aux cris de « merci Sarko », « travaillez plus pour gazer plus », les salariés de Florange, où deux hauts-fourneaux sont à l’arrêt depuis plusieurs mois, avaient l’intention de déployer une banderole proclamant « l’acier lorrain vivra ». Ils ont indiqué aussi vouloir se rendre à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) au siège d’ArcelorMittal France.

De brèves échauffourées ont opposé jeudi à la mi-journée quelque 200 métallurgistes de l’aciérie ArcelorMittal de Florange (Moselle) aux forces de l’ordre, devant le QG de Nicolas Sarkozy, et les métallos ont décidé de boycotter la rencontre proposée lundi à l’Elysée. Venus pour défendre l’avenir de leur usine, les salariés de Florange, où deux hauts fourneaux sont à l’arrêt depuis plusieurs mois, étaient arrivés à 12H00 dans le XVe arrondissement, à proximité du QG de campagne, où un important dispositif policier avait été déployé.

Nicolas Sarkozy, en déplacement dans la Marne, n’était pas présent à son QG. Partis vers 07H00 de Lorraine, quatre autocars affrétés par une intersyndicale CFDT-CGT-FO avaient été escortés par les CRS depuis le péage autoroutier de Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne), a constaté un journaliste de l’AFP. Lors de brèves échauffourées, les métallos ont été aspergés de gaz lacrymogène par la gendarmerie mobile et refoulés vers le pont Mirabeau.

« Le candidat du peuple accueille le peuple avec des CRS », a regretté à sa descente de bus le responsable de la CFDT, Edouard Martin, qui a reçu plusieurs jets de gaz lacrymogène. « Nous ne sommes pas venus dans un esprit d’affrontement mais dans un esprit de dialogue, faire de la pédagogie sur la situation de notre usine », a-t-il ajouté. Revêtus de la tenue argentée de la « coulée » et au milieu de feux de bengale et de pétard, les « métallos » ont demandé à être reçus par un membre de l’équipe de campagne.

« On est reçus avec des gaz lacrymogènes »

Nicolas Sarkozy avait quitté son QG vers 11h30, selon des journalistes sur place. A sa sortie, il a indiqué qu’il « avait des obligations » et que « les métallos (devant venir à Paris) n’étaient pas représentatifs », en réitérant sa proposition de rendez-vous pour lundi à l’Elysée à 11H00. Mais, mécontents de l’accueil qu’ils ont reçu à proximité du siège de campagne de Nicolas Sarkozy, les représentants de la CFDT et de la CGT ont annoncé qu’ils refusaient de se rendre à l’Elysée. FO aussi.

« On n’a jamais dérapé, on est reçu avec des gaz lacrymogènes. On n’ira pas à l’Elysée lundi », a expliqué Edouard Martin, responsable CFDT, la CGT confirmant de son côté une décision similaire. Nicolas Sarkozy leur avait proposé de les rencontrer en l’absence de tout décideur d’ArcelorMittal. Dans l’après-midi, les ArcelorMittal voulaient déployer sur la tour Eiffel une banderole géante proclamant « L’acier lorrain vivra ». « Le symbole de la France, c’est la tour Eiffel. Or, l’acier de la tour a été forgé en Lorraine », a expliqué Edouard Martin.

Nicolas Sarkozy, en déplacement à Suippes (Marne), a accusé dans l’après-midi la CGT de vouloir jouer « un rôle politique », en commentant les incidents survenus devant son QG de campagne entre des salariés d’ArcelorMittal venus de Florange et les forces de police. « Que les syndicalistes défendent les syndiqués et ne fassent pas de politique et la CGT se portera mieux (…) Je dis aux vrais salariés de Florange, ceux qui travaillent, que je suis à leur disposition », a déclaré le président-candidat, en ajoutant: « que la CGT ne pense pas qu’elle a un rôle politique à jouer dans cette campagne, ça ne lui va pas, ce n’est pas bien ».

Le 22 mars, la CGT organisera à Florange une « grande journée nationale » de manifestation sur le thème de « L’industrie et la sidérurgie en France ». Elle prévoit de faire venir en Lorraine « des milliers » de métallos français, belges, luxembourgeois et allemands. En engageant leur mouvement le 20 février, les syndicats avaient promis de faire de Florange « le cauchemar du gouvernement » si les deux hauts-fourneaux de l’aciérie, en sommeil depuis plusieurs mois, n’étaient pas remis rapidement en route. ArcelorMittal assure qu’il ne s’agit que d’une mise en veille temporaire, rendue nécessaire par une demande mondiale d’acier insuffisante.

Source: http://lexpansion.lexpress.fr/

Kadhafi a bien financé la campagne de Sarkozy en 2007 !

Saïf al-Islam Kadhafi avait, après son arrestation, promis de faire des révélations fracassantes si la France continuait son « action » en Libye…  Il a tenu parole.

FDF

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Mouammar Kadhafi a-t-il financé Nicolas Sarkozy ? La question, soulevée peu avant la guerre en Libye, vient d’apparaître en toutes lettres dans l’affaire Takieddine. Selon un document consulté par Mediapart, le marchand d’armes Ziad Takieddine, organisateur en 2005 des visites du ministre de l’intérieur et de ses proches en Libye, puis en 2007 du président élu, aurait mis en place les « modalités de financement » de sa campagne présidentielle par le régime de Kadhafi, en lien avec Brice Hortefeux, alors ministre des collectivités locales.

Le 18 octobre 2011, les policiers ont versé au dossier d’instruction une note de synthèse sur laquelle figure une référence « GEN/ NS V. MEMO DG », qui contient sans les expliciter les initiales du président de la République. Cette note a été rédigée et remise aux enquêteurs par un témoin du dossier, Jean-Charles Brisard, ancien membre de l’équipe de campagne d’Edouard Balladur, en 1995, aujourd’hui dirigeant d’une société de renseignements privée. Le document contient aussi les références du compte suisse de la sœur de Jean-François Copé, le patron de l’UMP, dont M. Brisard est un proche.

 

Mediapart s’est procuré l’intégralité de la note « GEN/ NS V. MEMO DG », qui n’a pas été communiquée aux enquêteurs par M. Brisard. Son contenu est explosif. Il s’agit des confessions de Didier Grosskopf, « DG », l’ancien médecin personnel de Ziad Takieddine, qui l’a accompagné à plusieurs reprises en Libye, pour y soigner des membres de la famille Kadhafi. Ces confessions ont été recueillies le 20 décembre 2006, à Lausanne, en Suisse, par M. Brisard.
 

Le premier volet du document est intitulé « CAMP07 » et concerne la campagne présidentielle de 2007. D’après la note, les« modalités de financement de la campagne » de « NS» ont été « réglées lors de la visite Libye NS + BH » le 6 octobre 2005. Cette visite officielle avait été activement préparée par Ziad Takieddine, comme en attestent ses notes à Claude Guéant, qui figurent au dossier d’instruction.

Contacté lundi 12 mars, M. Hortefeux, actuel vice-président de l’UMP chargé de la cellule « riposte » du parti, a confirmé à Mediapart sa présence en Libye lors de la visite de Nicolas Sarkozy du 6 octobre 2005. Mais il a souligné qu’« il n’a jamais été question de financement politique, ni de près de loin ».  

La note « CAMP07 » évoque « plusieurs entretiens préalables » entre « ZT et Saïf Al Islam », l’un des fils du colonel Kadhafi. « ZT » apparaît comme étant « chargé du montage », en marge de ses « interventions » sur des contrats de sécurisation des communications des armées et de fabrication de cartes d’identité à puces. Comme Mediapart l’a déjà souligné, ce premier marché, confié à la société Amesys, a effectivement été signé grâce aux bons offices rémunérés de M. Takieddine.

Selon la note, le financement libyen prévu s’élevait au total à 50 millions d’euros. Et les opérations financières faisaient intervenir personnellement Brice Hortefeux. Le « montage » inclut ainsi une société « BH » au Panama, plus une banque suisse non déterminée. Ce passage se clôt par une phrase sans ambiguïté : « Financement campagne totalement réglé ». Questionné par Mediapart sur cette mystérieuse société panaméenne, M. Hortefeux a déclaré : « Je ne sais même pas ce que c’est. »

« Plus à l’aise pour évoquer l’autre sujet important »
Les soupçons soulevés par cette note sont aujourd’hui confortés par les notes personnelles de Ziad Takieddine, remises par son ex-épouse à la justice, et qui ne sont pas contestées par leur auteur. « Les notes que j’ai établies sur mon ordinateur sur les différents pays, la Syrie, l’Arabie saoudite, la Libye et le Liban, sont réelles et ont été remises par moi-même à M. Guéant, qui en avait besoin pour les remettre au ministre (ndlr, Nicolas Sarkozy), qu’il appelait le patron », a témoigné M. Takieddine, le 12 octobre 2011, devant le juge Renaud Van Ruymbeke.

Le relevé des voyages du marchand d’armes fait apparaître qu’il a effectué onze voyages à Tripoli pour la seule année 2005. Au même moment, il a rédigé une dizaine de notes consacrées à la Libye pour le cabinet de M. Sarkozy, au ministère de l’intérieur. M. Takieddine a notamment préparé la visite officielle du ministre le 6 octobre 2005, celle qui est précisément au cœur de la note « GEN/ NS V. MEMO DG ». Et, selon nos documents, il était présent à Tripoli pour les visites de MM. Guéant, Hortefeux et Sarkozy.  

 

Dans une première note, datée du 6 septembre 2005, et consacrée à un rendez-vous préparatoire de Claude Guéant, l’exposé de M. Takieddine est lourd de sous-entendus : « La visite préparatoire est inhabituelle, écrit-il. Elle doit revêtir un caractère secret. Il sera préférable que CG se déplace seul et que le déplacement s’effectue sans fanfare. L’autre avantage : plus à l’aise pour évoquer l’autre sujet important, de la manière la plus directe…»   

Une autre note du 22 septembre 2005, évoque un « tête-à-tête » de Nicolas Sarkozy « avec le Leader », la remise des « CV de NS et BH » à Kadhafi et la négociation de plusieurs marchés de sécurité et d’armement. Ce document contient lui aussi une phrase énigmatique : « Avec le ministre de l’intérieur : jusqu’où ? »

Les policiers ont aussi trouvé parmi les documents de M.Takieddine des lettres de MM. Sarkozy (10 septembre 2005), Guéant (23 septembre 2005), Hortefeux (15 novembre 2005) adressées aux autorités libyennes.

L’homme à l’origine des révélations du mémo « GEN/ NS V. MEMO DG », le neurochirurgien Didier Grosskopf, est un proche de Jean-François Copé. C’est d’ailleurs ce qui l’a conduit au chevet de Ziad Takieddine, grièvement blessé à la tête lors d’un séjour sur l’île Moustique, en avril 2004.

« J’ai reçu un appel sur mon téléphone portable du porte-parole du gouvernement qui était M. Jean-François Copé, a déclaré aux policiers le Dr Grosskopf, en octobre dernier. C’est au titre de médecin et d’ami que M. Copé m’a demandé de m’occuper d’un personnage important, qui avait un problème de santé, à savoir Ziad Takieddine. J’ai accepté cette mission par amitié pour M. Copé. Un personnel de la préfecture m’a conduit à l’aéroport. »

Didier Grosskopf : « Je veux protéger mes intérêts »
Arrivé après l’intervention chirurgicale, M. Grosskopf a organisé « le rapatriement de M. Takieddine » à l’hôpital de la Salpêtrière, puis il s’est chargé de sa convalescence. Par la suite, le neurochirurgien affirme avoir été « sollicité par M. Takieddine pour soigner d’autres malades que lui dans ses relations personnelles ». Il confirme « être allé en Libye pour donner des conseils à des malades », « à la demande de M. Takieddine ».

C’est à l’occasion de ses multiples déplacements à Tripoli, que M. Grosskopf aurait été mis dans la confidence de ce qu’il n’aurait pas dû apprendre.

Questionné le 29 février par Mediapart, M. Grosskopf n’a pas contesté la substance des informations contenues dans le mémo rédigé par M. Brisard. « M. Brisard est un ami, je me suis entretenu plusieurs fois avec lui de ce sujet, il m’a aidé, a-t-il indiqué. Mais ce qu’il dit n’engage que lui. Je ne veux pas être un acteur de cette affaire. Je veux protéger mes intérêts, c’est-à-dire ma femme et mes enfants. A un moment donné, j’ai été suivi. J’ai eu très peur.»

A l’automne 2006, M. Takieddine a brutalement coupé les ponts avec son médecin et a engagé une procédure à son encontre devant le conseil de l’Ordre, pour obtenir un remboursement des honoraires qu’il lui avait versés. C’est au milieu de ce conflit que M. Brisard recueille les confessions du médecin, le 20 décembre 2006. Il l’a revu plusieurs fois. Au moins un autre mémo aurait été rédigé.

« C’est une affaire qui dépasse l’imagination la plus féconde, poursuit le Dr Grosskopf. Je suis désolé comme citoyen par cette affaire. Mais je ne pouvais pas imaginer, en organisant le rapatriement sanitaire de ce monsieur, qu’il s’agissait du plus grand corrupteur de la République. » Le docteur dit en vouloir « au pouvoir » qui l’a entraîné là, mais pas à Jean-François Copé « qui reste un ami ».

Alors qu’il vient de publier un livre, L’Ami encombrant (Editions du Moment),  dans lequel il conteste l’existence d’une corruption, M. Takieddine avait déclaré le 11 octobre, à l’émission Complément d’enquête, qui l’enregistrait en caméra cachée : « Je les tiens tous dans ma main ! Je peux tous les faire tomber !». Et à la question de savoir « qui ? », le marchand d’armes avait murmuré « tous ! ».

 

Le soupçon d’une participation libyenne au financement de Nicolas Sarkozy avait été alimenté par les autorités de Tripoli elles-mêmes il y a un an par les déclarations spectaculaires de Kadhafi et de son fils, Saïf al-Islam. Dès le mois de mars 2011, deux jours avant l’intervention militaire occidentale, ce dernier avait accusé le pouvoir français dans un entretien donné à la chaîne Euronews : « Il faut que Sarkozy rende l’argent qu’il a accepté de la Libye pour financer sa campagne électorale. C’est nous qui avons financé sa campagne, et nous en avons la preuve. Nous sommes prêts à tout révéler. »

Ah… Z’êtiez prévenus…

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« La première chose que l’on demande à ce clown, c’est de rendre l’argent au peuple libyen, avait-il ajouté. Nous lui avons accordé une aide afin qu’il œuvre pour le peuple libyen, mais il nous a déçus. Nous avons tous les détails, les comptes bancaires, les documents, et les opérations de transfert. Nous révélerons tout prochainement. »

Les espèces de Takieddine
Ces déclarations, dans le contexte d’unité nationale d’avant guerre, n’avaient pas provoqué d’interpellations politiques. Pourtant, à elles seules, elles auraient déjà mérité l’ouverture d’une enquête, parlementaire ou judiciaire. L’enquête des juges sur Ziad Takieddine alimente, elle aussi, les mêmes soupçons. L’examen du fonctionnement des sociétés offshore du marchand d’armes faisant apparaître l’existence de commissions occultes d’origine libyenne.

En mars 2011, Ziad Takieddine avait également été interpellé de retour de Tripoli à l’aéroport du Bourget, avec 1,5 million d’euros en espèces sur lui. « J’y étais allé porteur d’un message de Claude Guéant et je l’ai d’ailleurs appelé de là-bas, a-t-il expliqué le 9 novembre au juge Van Ruymbeke. Croyant bien faire, je suis revenu porteur d’une réponse de Kadhafi que, compte tenu des circonstances de mon “accueil” à l’arrivée, je n’ai pas pu livrer. » Lors de son interpellation le 5 mars, il a déclaré sur procès-verbal aux agents des douanes que « c’est le gouvernement libyen » qui lui a « remis les billets de banque». Il avait précisé que cet argent couvrait ses propres honoraires.

 

 

L’apparition de Brice Hortefeux dans la note « GEN/ NS V. MEMO DG » renvoie aux missions officieuses qu’il a effectuées avant 2007 pour le ministre de l’intérieur. Il a en particulier assuré le contact avec l’intermédiaire Ziad Takieddine, qui se faisait fort d’ouvrir les portes de plusieurs pays arabes au ministre de l’intérieur. Le marchand d’armes avait d’ailleurs conduit, fin 2003, Brice Hortefeux en Arabie saoudite pour y négocier un important contrat de surveillance des frontières (nom de code : Miksa).

A l’été 2007, Ziad Takieddine a également été l’un des acteurs principaux de la libération des infirmières bulgares par le régime libyen, ouvrant une « nouvelle page » – c’est son expression – des relations franco-libyennes. Mais permettant surtout à la France de dérouler le tapis rouge sous les pas du dictateur, dont on a monté la tente, en décembre 2007, dans les jardins de l’hôtel Marigny, résidence officielle des hôtes de l’Etat.

Plusieurs photos publiées par Mediapart attestent par ailleurs des relations amicales nouées avec M. Takieddine et des visites mutuelles qu’ils se rendaient dans le sud de la France. Des relations favorisées par Thierry Gaubert, un autre ami de Nicolas Sarkozy, impliqué dans la campagne Balladur de 1995. Les policiers avaient intercepté, en septembre dernier, des conversations téléphoniques entre MM. Gaubert et Hortefeux, s’inquiétant de la progression de l’enquête sur M. Takieddine.

De fait, en décembre 2011, Nicola Johnson, l’ex-épouse de M. Takieddine, mettra aussi en cause Brice Hortefeux. Selon son témoignage, l’ancien ministre était venu chercher en 2005 une somme en espèces du marchand d’armes lors d’une visite à son domicile avenue Georges-Mandel, à Paris, en compagnie de Thierry Gaubert. Un témoignage vivement contesté par M. Hortefeux, qui n’a toutefois pas déposé plainte, contrairement à ce qu’il avait annoncé.  

Contactés par Mediapart, l’Elysée et Ziad Takieddine n’ont pas donné suite à nos sollicitations.  

 
Cet article est la poursuite d’une enquête de plusieurs mois de Mediapart sur Ziad Takieddine. Partie des interrogations sur le financement de la campagne d’Edouard Balladur en 1995, en marge de l’affaire Karachi, notre enquête a débouché sur les étonnantes connexions politiques du marchand d’armes, qui, dès 2002, a repris son rôle d’intermédiaire officieux du gouvernement. Et tout particulièrement du ministre de l’intérieur, Nicolas Sarkozy.

Sous le titre “Les Documents Takieddine”, Mediapart a publié, de juillet à septembre, des notes et des mémos remis par M. Takieddine au cabinet de Nicolas Sarkozy, de 2003 à 2008. « Les notes que j’ai établies sur mon ordinateur sur les différents pays, la Syrie, l’Arabie saoudite, la Libye et le Liban, sont réelles et ont été remises par moi-même à M. Guéant, qui en avait besoin pour les remettre au ministre (ndlr, Nicolas Sarkozy), qu’il appelait le patron », a d’ailleurs assuré M. Takieddine, le 12 octobre 2011, devant le juge Renaud Van Ruymbeke.

Dans cet ensemble, la Libye tient une place centrale, initialement liée aux contacts du marchand d’armes avec, d’une part, Abdallah Senoussi, l’ancien chef des services secrets libyens, et, d’autre part, avec Saïf al-Islam Kadhafi, l’un des fils du dictateur déchu, aujourd’hui emprisonné en Libye.

Du point de vue judiciaire, les juges Renaud Van Ruymbeke et Roger Le Loire ont été saisis en décembre 2010 d’une enquête sur les marchés d’armement en Arabie saoudite et au Pakistan, qui a provoqué la mise en examen, outre de Ziad Takieddine, de plusieurs proches du chef de l’Etat : Thierry Gaubert, son ancien collaborateur au ministère du budget, Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d’Edouard Balladur et actuel n°2 du groupe LVMH, et Renaud Donnedieu de Vabres, ancien conseiller spécial du ministre de la défense, Francçois Léotard.

L’enquête a, depuis, fait apparaître des mouvements de fonds suspects liés à d’autres marchés d’armement, mais aussi pétroliers, en particulier avec la Libye. Voir nos précédents articles “Sarkozy-Guéant : le grand soupçon libyen” et “L’émissaire du clan Sarkozy en Libye rétribué secrètement par Total”.

Source: Mediapart

SOURCE /  http://www.wikistrike.com/m/article-101424795.html

Mauvais signe…

Gravissime…

Nous ne pouvons accepter ça! C’est de la provocation. Un de ces jours, des actes isolés de « résistance » ne vont pas ressembler aux autres…

FDF

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Voila ce que des parents dont les enfants sont scolarisés à l’école AICE-ERROTA à Saint Jean de Luz (64)  ont reçu. Je vous laisse apprécier …

En pièce jointe :  une notre « POUR L’APPRENTISSAGE à L’ÉCOLE de la LANGUE ARABE »  

« EN ACCORD   ENTRE LE MAROC, L’ALGÉRIE,  LA  TUNISIE   et la France

Tandis que l’un des nouveaux dirigeants islamistes de Tunisie, à, récemment déclaré :
 « qu’il ne voulait pas que la langue française, vienne polluer son pays »

J’appelle votre attention à tous, sur  ces signes précurseurs…            qui n’annoncent rien de bon….

DES QUE HOLLANDE SERA ÉLU,  L’ARABE DEVIENDRA LA LANGUE PRINCIPALE,  LE Français  sera une langue secondaire.
Normal………    ainsi qu’il l’a annoncé hier soir:
 « il veut régulariser un maximum d’étrangers »  
et aussi
« supprimer  les camps de rétention »    pour ainsi favoriser encore plus l’immigration« 

JC JC…

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Yvelines: une jeune musulmanne prise d’un délire intégriste .

Ca devient grave, chez les momos… L’ islamisme rend fou. Provocations, stigmatisation, crises. Mais ça, tout le monde l’avait déjà remarqué.

FDF

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UNE FOLLE D’ALLAH !!!!!!!   ils ne savent même plus comment faire chier le monde avec leur allah, et celle -là  est en récidive
« Fatigués, les locataires avaient alors appelé la police pour mettre fin au tapage. En arrivant sur place, les fonctionnaires ont été accueillis par une volée d’insultes et la résidante leur a lancé plusieurs objets depuis son appartement.
L’an passé, elle avait été, malgré elle, à l’origine d’une polémique. Appelée par les policiers pour récupérer sa fille arrêtée après un vol à l’étalage, elle s’était présentée au commissariat vêtue d’un niqab, ce voile qui recouvre intégralement le corps et le visage. Ce type de vêtement étant interdit dans l’espace public, elle avait écopé d’une amende… ce qui déclencha chez elle une crise de folie. »
(JE VOUS ENVOIE LA COPIE DU PROCES VERBAL  EN PJ  –  LISEZ LE  CA VAUT SON PESANT DE COUSCOUS  –   LISEZ LE C’EST EDIFIANT )

JC JC…

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Une femme de 35 ans devait être présentée hier soir devant les magistrats du tribunal correctionnel de Versailles.

Dimanche, en fin de journée, elle avait importuné ses voisins d’une façon assez singulière : elle avait placé les enceintes de sa chaîne hi-fi dans la cage d’escalier de son immeuble et avait diffusé, le son réglé à fond, des versets du Coran.

Fatigués, les locataires avaient alors appelé la police pour mettre fin au tapage. En arrivant sur place, les fonctionnaires ont été accueillis par une volée d’insultes et la résidante leur a lancé plusieurs objets depuis son appartement.

Finalement, celle-ci a été interpellée lundi matin et immédiatement placée en garde à vue. Au commissariat, elle s’est montrée tout aussi violente en s’attaquant à une policière lors de la fouille de sécurité, lui assénant des coups et la griffant violemment au visage.

Lors de son audition, elle a reconnu les faits, sans pouvoir cependant expliquer son comportement totalement irrationnel. Plus tard, dans sa cellule de garde à vue, elle s’est mise à réciter à haute voix des versets du Coran.

Cette jeune femme, décrite comme fragile, a une réputation difficile. « Dans son quartier, les habitants n’en pouvaient plus. Elle faisait régner la terreur auprès de ses voisins, qui étaient littéralement terrorisés », détaille un enquêteur. Elle est aussi défavorablement connue des services de police.

L’an passé, elle avait été, malgré elle, à l’origine d’une polémique. Appelée par les policiers pour récupérer sa fille arrêtée après un vol à l’étalage, elle s’était présentée au commissariat vêtue d’un niqab, ce voile qui recouvre intégralement le corps et le visage. Ce type de vêtement étant interdit dans l’espace public, elle avait écopé d’une amende… ce qui déclencha chez elle une crise de folie.

Elle avait alors tenu des propos hostiles à la France. Par on ne sait encore quel canal, le procès verbal relatant cette affaire s’était alors retrouvé sur Internet. Des médias traditionnels mais aussi des sites d’extrême droite qui avaient récupéré la polémique, au grand dam de la hiérarchie policière.

Source: http://www.leparisien.fr/

On ne pourra plus dire « nique ta race »…

Voyelles/ Consonnes; 9 lettres…

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C’est Hollande qui a l’intention d’instaurer ça. Mais cela ne nous concerne pas, nous les sous-chiens. Ce sont les sous-merdes d’en face qui l’utilisent, ce terme, à ce que je sache…

Je suis inquiet. François Hollande brigue t’il le poste de président des Français ou des anti-Français???

FDF

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François Hollande reprend à son compte une idée géniale:
 Pour lutter contre le racisme, nions la « race », supprimons le mot « race » dans la constitution. C’est aussi simple que cela.
 
 L’ennui, évidemment, c’est que les autres, en face, les ennemis de notre société,  portent haut leur identité « raciale » et ne désarment pas.
Il faudrait que monsieur Hollande leur explique.

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Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

François Hollande supprimant la « race », oui, c’est vraiment pire encore qu’un manieur du déconomètre, c’est tout simplement un con.

Après que sa proposition fiscale sur le barème des 75 % ait fait justement reprendre par François Bayrou une expression de Michel Audiard sur « le déconomètre fonctionnant à pleins tubes », François Hollande a sans doute encore voulu prouver qu’il était vraiment un très grand dans l’ordre de la connerie idéologique.

Il a donc prévu s’il était élu de supprimer le mot « race » de l’article premier de la constitution. Sans doute pense-t-il ainsi dans une sorte de confuse crédulité kabbaliste abracadabrantesque (abracadabra signifie en araméen : « il a créé comme il a parlé ») que si l’on peut créer en prononçant un mot, on peut décréer en le supprimant !

Ainsi, plus de mot, plus de race ! Et le tour est joué.

L’argument socialiste en faveur de cette éradication tient au fait qu’au nom de la race on aurait fait bien des mauvaises actions. Mais n’en a-t-on pas fait d’aussi vilaines au nom de la classe, de la nation, de la religion, et même au nom de la liberté et au nom de l’égalité aussi ?

Bigre, que de mots alors à supprimer ! Mais si plus de race, alors plus de racisme, ni d’antiracisme, et comment alors parler de métissage (entre quoi ?) et de diversité ?

Comme si le mot de race ne recouvrait pas simplement un déterminant parmi d’autres de la réalité humaine et justement de l’heureuse diversité de la nature humaine ?

Alors va-t-il falloir dans la logique hollandiste expurger aussi le mot race de la Bible et du Talmud, des œuvres de Voltaire et de Montesquieu, de Rousseau, de Taine et de Renan, de Marx et d’Engels, de Ferry, de Jaurès, de Clémenceau et de Blum, de Senghor et de Mandela.

Du travail en perspective d’abord pour les penseurs de gauche qui devront montrer l’exemple de la vigilance idéologique politiquement correcte !

Ensuite, dans la foulée, il faudra bien sûr expurger pour le moins cinq cent mille penseurs et écrivains de tous pays et de toutes races ! Car tant que demeurera le mot dans quelque livre de quelque recoin de bibliothèque, le danger de réapparition de la réalité subsistera. Du travail donc, pour les manieurs de ciseau de l’intelligentsia de la gauche hollandiste.

À vrai dire, résidait là un des secrets de Hollande, celui de la création nécessaire de cent mille postes d’épurateurs de bibliothèques et d’un million de surveillants de la pensée correcte.

Même le président Mao, « ce phare de la pensée universelle » selon Mr Giscard d’Estaing, n’aurait pas imaginé cela !

Mais que faire aussi pour le prochain salon de l’agriculture où l’on exalte, entre autres, les diverses races bovines, porcines, ovines, chevalines.  Désormais, seul sera accepté le mot déjà assez usité de « filière » !

Et comme on ne saurait, selon l’idéologie correcte, conserver plus longtemps la discrimination entre un pseudo « règne humain » et les autres règnes animaux, ne faudra-t-il pas appliquer également à l’animal « homme » ce vocable de « filière », peu discriminant ?

On parlera ainsi de « filière latine » ou de « filières nordiques », voire même, aux limites de la sécurité idéologique, de filières blanches, jaunes ou noires.

Pour l’instant, avec le camarade Hollande, la filière de la connerie se porte bien !

Merci à R.S…

Un « Niçois » de 37 ans condamné pour la 36e fois !

Bonjour tout le monde et merci de vos mots de sympathie.

J’ai eu un peu de mal à me lever ce matin et il faut que j’y aille doucement. Donc « pédale douce » (Henri : pas de remarques désobligeantes…).

C’est reparti tranquille…

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Et encore les bienfaits de l’immigration.

La loi sur la récidive, elle est où ???

FDF

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Mohamed Bouziani, 37 ans, 36 condamnations   qui dit mieux?

En matière judiciaire, il est l’un des recordmen en activité à Nice. Triste record en vérité : à 37 ans, Mohamed Bouziani a écopé lundi soir de sa 36e condamnation. Le tribunal de la 7e chambre correctionnelle, consterné face à un tel casier, l’a condamné à huit mois ferme pour trafic de stups.

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Source:  http://www.nicematin.com

Merci à JC…

Deux militaires ont été tués par balles hier après-midi à Montauban !

De mieux en mieux, la délinquance. De mieux en mieux.

Des militaires en tenue… La guerre en Afghanistan… Bon allez; on ne va pas s’étendre… Il y en a qui risqueraient de comprendre à l’envers.

FDF

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Deux militaires ont été tués par balles hier après-midi à Montauban par un tireur en deux-roues qui a pris la fuite, a-t-on appris de source préfectorale. Les militaires tués étaient âgés de 24 et 26. Un troisème militaire, âgé de 28 ans, est lui grièvement blessé et son pronostic vital est engagé.

Tous trois appartiennent au 17e Régiment du génie parachutiste (RGP), près duquel la fusillade est survenue vers 14h10, en pleine rue à Montauban, a-t-on ajouté de source policière.  Les trois militaires, qui étaient en tenue, se trouvaient à proximité de commerces et d’une agence bancaire lorsque qu’un tireur à scooter, qui portait un casque à visière, a ouvert le feu sur eux, d’après la préfecture.

D’après les premiers éléments de l’enquête, le tireur aurait a priori agi seul. Les enquêteurs ont retrouvé sur les lieux une quinzaine de douilles, selon une source policière.

Un important dispositif policier mobilisé

Selon une source préfectorale, on ignore si les trois hommes retiraient de l’argent à un distributeur ou s’ils sortaient d’un commerce au moment où ils ont été pris pour cible. Le tireur a pris la fuite et est recherché activement. Un important dispositif policier et de gendarmes a été mobilisé pour le retrouver.

Dimanche à Toulouse, un militaire de 30 ans, qui n’était pas en service, a été tué d’une balle dans la tête dans un quartier résidentiel par un meurtrier qui a pris la fuite. De source policière, on se refusait à établir tout lien entre cette affaire et la fusillade de Montauban.

Source: http://www.lefigaro.fr/