Et d’autres humiliés en place publique. Adolf Hitler était un « petit joueur »…
Et le beau Bachar de dire « c’est pas moi, m’sieur »… Ca, on ne connait que trop…
Il faut vite atomiser cette ordure: il ne s’arrêtera plus.
FDF
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Encore un « ami » de la France…
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Le Conseil national syrien (CNS) a dit « mener les contacts nécessaires » en vue d’une réunion d’urgence du Conseil de sécurité » de l’ONU.
Une cinquantaine de corps de femmes et d’enfants ont été retrouvés dans la ville syrienne de Homs (centre), un « massacre » attribué lundi par l’opposition aux forces du régime et par les médias officiels à des « gangs terroristes ». Les photos et les vidéos diffusées par les militants montrent des images insoutenables d’enfants à la tête ensanglantée et au visage mutilé ainsi que des corps complètement carbonisés. Le Conseil national syrien (CNS), principale formation de l’opposition, a précisé que le « massacre » avait été perpétré dimanche et a dit « mener les contacts nécessaires avec l’ensemble des organisations et des pays amis du peuple syrien en vue d’une réunion d’urgence du Conseil de sécurité » de l’ONU.
Le président de l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), Rami Abdel Rahmane, a confirmé ces tueries dans le grand quartier de Karm al-Zeitoun, dont une partie est contrôlée depuis quelques jours par l’armée et l’autre par les militaires dissidents. « Des centaines de familles ont fui Homs dans la nuit, notamment du quartier de Karm al-Zeitoun, par crainte de nouveaux massacres par les forces du régime », et « beaucoup ont passé la nuit en plein air », selon lui.
« S’ils n’ont rien d’autre à dire, qu’ils se taisent »
« Les corps d’au moins 26 enfants et 21 femmes ont été retrouvés dans les quartiers de Karm al-Zeitoun et Al-Adawiyé, dont certains égorgés, d’autres poignardés par les chabbiha », les milices pro-régime, a affirmé Hadi Abdallah, militant local de la Commission générale de la révolution syrienne. La télévision d’État a accusé des « gangs terroristes armés » d' »avoir kidnappé des citoyens à Homs » et de « les avoir tués et filmés pour susciter des réactions internationales contre la Syrie« , et a affirmé que les autorités compétentes « ont délivré les habitants de Karm al-Zeitoun des terroristes ». « Les gangs terroristes armés nous ont habitués à commettre plus de crimes avant les réunions du Conseil de sécurité », a-t-elle indiqué, dénonçant une « hystérie médiatique terroriste contre la Syrie ».
L’AFP n’est pas en mesure de confirmer ces informations en raison des restrictions draconiennes imposées aux médias pour la couverture de la crise en Syrie, où le régime de Bachar el-Assad réprime depuis un an dans le sang une contestation populaire qu’il assimile à du « terrorisme ». Selon Hadi Abdallah, « des membres de l’Armée syrienne libre (ASL, formée des militaires dissidents) sont parvenus à transporter les corps au quartier de Bab Sebaa (à Homs), plus sûr », et c’est là que les militants ont filmé les corps. « Certaines victimes ont été égorgées avec des couteaux, d’autres poignardées. Des enfants ont été frappés à la tête avec des objets tranchants. Une fillette a été mutilée et certaines femmes ont été violées avant d’être tuées », a indiqué Hadi Abdallah.
« De nouveaux massacres pourront être encore perpétrés à l’avenir si la communauté internationale reste silencieuse, a affirmé Hadi Abdallah. Nous appelons sans détour à une intervention militaire étrangère, à des frappes contre le régime et à armer l’ASL. Nous ne voulons plus de paroles, cela fait des mois que les États-Unis et les autres appellent Bachar à cesser les violences, mais il continue de tuer les gens. Ça suffit, s’ils n’ont rien d’autre à dire, qu’ils se taisent. » Dans un incident séparé, Hadi Abdallah a rapporté que les forces du régime « ont rassemblé dimanche des dizaines de femmes et filles sur des places publiques à Karm el-Zeitoun, les ont dénudées et ont commencé à rigoler, en présence de leurs familles ». « Des parents témoins de ces humiliations m’ont dit qu’ils ne pouvaient que pleurer, (étant) menacés par une arme », a-t-il dit.
Source: http://www.lepoint.fr/