Francaisdefrance's Blog

21/02/2012

Message pas du tout subliminal…

Dans le diaporama qui suit est livré un message. Au fur et à mesure de la lecture mais aussi tout à la fin…

Ca devrait vous faire sourire, au moins…

FDF

Le Japon 6 mois apres1

La Chambre d’agriculture d’Ile-de-France confirme les propos de Marine Le Pen sur la viande halal !

On nous ment; encore et toujours… Et l’on cherche à discréditer Marine Le Pen, encore et toujours… En Ile de France, tout le monde mange halal; que ça plaise ou non.

Sarkö dégage en touche lâchant que c’est une simple polémique. On réglera ça dans une soixantaine de jours…

FDF

.

Contents ou pas, on nous fait manger halal ou casher…

.

La Chambre d’agriculture d’Ile-de-France a confirmé aujourd’hui dans un communiqué que 100% de la viande abattue en Ile-de-France l’était selon les traditions musulmane et juive.

« Aucun choix n’est donné aux éleveurs franciliens » qui doivent partir en province pour faire abattre leurs animaux, regrette la Chambre d’agriculture, qui rassemble les professionnels du secteur agricole de la région. Les animaux doivent faire des « centaines de kilomètres », les carcasses devant être rapatriées pour le conditionnement et la distribution en Ile-de-France, souligne l’organisme qui dénonce la « perte de temps et d’argent ».

Auparavant, les abattoirs de la région étaient gérés par les communes mais « le désengagement des municipalités a vu peu à peu l’ensemble de l’abattage francilien confié à des opérateurs privés », explique la Chambre. Pour des « raisons de simplification des process et poussés par la réduction des coûts », ces opérateurs ont privilégié un « procédé unique d’abattage rituel« , regrette encore la Chambre d’agriculture qui pointe du doigt « le consentement coupable des services de l’Etat ».

Les abattoirs franciliens représentent cependant moins de 2% de la consommation francilienne de viande, affirment encore les professionnels. Ces derniers regrettent également le manque d’information des consommateurs. « En France on estime que 30% de la viande est abattue selon les rites musulman et juif alors que la demande ne représente que 7%; 23% sont donc commercialisés comme de la viande ‘traditionnelle‘ », toujours selon les professionnels.

Nicolas Sarkozy a estimé aujourd’hui que « la polémique » déclenchée par la présidente du FN sur la viande halal « n’avait pas lieu d’être », lors d’une visite au marché d’intérêt national de Rungis. La candidate du FN, Marine Le Pen, avait lancé la polémique en affirmant samedi que toute la viande distribuée en Ile-de-France serait, à l’insu des consommateurs, « exclusivement » de la viande halal. La présidente du Front national a réaffirmé ce matin qu' »on ment aux Français » sur ce sujet.

Merci à JC JC…

Parainages: le Conseil constitutionnel vient de se mettre le Front National à dos ainsi que beaucoup de monde…

Il fallait s’y attendre: le Conseil constitutionnel valide la publicité des parrainages d’élus nécéssaires pour se présenter à l’élection présidentielle !!! Ce qui est à deviner maintenant est la réaction du peuple qui surveillait cette « forfaiture »… On a fait passer un moyen de pression pour  de la transparence…

On peut s’attendre à tout; maintenant, dans huit jours, dans les urnes… Et je n’ose pas imaginer le cas où Marine Le Pen pourrait, par la faute de cette décision, ne pas pouvoir se présenter.

Démocratie…

Le communiqué officiel: http://tinyurl.com/7erpsh6

FDF

.

Une bataille de perdue; pas la guerre…

.

Marine Le Le Pen: « Il n’y a plus de fonctionnement démocratique dans notre pays »

Marine Le Pen a perdu la bataille des parrainages.

Le Conseil constitutionnel a décidé ce mardi que la règle imposant de rendre publics les 500 parrainages d’élus nécessaires pour concourir à la présidentielle était toujours valable.

La règle de la publicité, inscrite dans la loi organique du 6 novembre 1962 sur l’élection du président de la République au suffrage universel, « ne saurait en elle-même méconnaître le principe du pluralisme », selon la décision communiquée à la presse, qui déboute la candidate du Front national Marine Le Pen de sa demande de rétablir l’anonymat des parrainages.

Selon le juge constitutionnel, « en instaurant une telle publicité, le législateur a entendu favoriser la transparence de la procédure de présentation des candidats à l’élection présidentielle », et la publicité « est conforme à la Constitution ».

« On s’approche des 500 parrainages »

Marine Le Pen avait fait valoir qu’en dépit de l’audience de son parti, elle risquait de ne pas pouvoir réunir les 500 parrainages nécessaires, au motif, selon elle, que les maires ne pouvaient pas donner leur signature dans l’anonymat et qu’ils étaient l’objet de pressions. 

« Le Conseil constitutionnel a remis les clefs du fonctionnement démocratique aux deux grands partis » (l’UMP et le PS, ndlr). Il n’y donc plus de fonctionnement démocratique dans notre pays », a immédiatement réagi la présidente du Front national.

« S’il devait être apporté une preuve que je suis bien la candidate du peuple contre le système, je remercie le Conseil constitutionnel d’avoir donné cette preuve aujourd’hui », a-t-elle ajouté, affirmant que « 60% des Français étaient pour l’anonymat des parrainages » et qu’une « majorité des maires » y étaient aussi favorables.

La présidente du FN affirme disposer d’environ 440 promesses de signatures, sur 42 000 élus habilités à parrainer. Mais « il ne s’agit là que de promesses, je persiste à être inquiète de cette situation« , a-t-elle dit.

Source: http://www.lexpress.fr/

Ode à la Turquie.

Je vous laisse méditer ça. Qui ne date pas d’hier…

FDF

.

Visionnaire…

.

« Considérer la Turquie telle qu’elle était au règne de François Ier, comme une puissance utile à notre politique, c’est retrancher trois siècles de l’histoire.

Prétendre civiliser la Turquie en lui donnant des bateaux à vapeur et des chemins de fer, en disciplinant ses armées, ce n’est pas étendre la civilisation en Orient, c’est introduire la barbarie en Occident ; des Ibrahims futurs pourront ramener l’avenir au temps de Charles Martel, ou au temps du siège de Vienne…Je dois remarquer que j’ai été le seul, avec Benjamin Constant, à signaler l’imprévoyance des gouvernements chrétiens : un peuple dont l’ordre social est fondé sur l’esclavage et la polygamie est un peuple qu’il faut renvoyer aux steppes des Mongols.

Il est bien difficile de prévoir quelle sera la conduite d’une race d’homme qui n’ont point les idées européennes. A la fois rusés comme des esclaves et orgueilleux comme des tyrans, la colère n’est jamais chez eux tempérée que par la peur.

En principe de grande civilisation, l’espèce humaine ne peut que gagner à la destruction de l’empire Ottoman : mieux vaut mille fois pour les peuples la domination de la croix à Constantinople que celle du Croissant…Tous les éléments de la morale et de la société politique sont au fond du christianisme, tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet. On dit que le sultan actuel a fait des pas vers la civilisation…Depuis quand l’apprentissage machinal des armes est-il la civilisation ? C’est une faute énorme, c’est presque un crime, d’avoir initié les Turcs dans la science de notre tactique.

Vous ne voulez pas planter la croix sur Sainte Sophie ? Continuez de discipliner des hordes de Turcs, d’Albanais, de Nègres et d’Arabes, et, avant vingt ans peut-être, le croissant brillera sur Saint Pierre. Appellerez-vous alors l’Europe à une croisade contre des infidèles armés de la peste, de l’esclavage et du Coran? Il sera trop tard. »

.

Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe

L’humanitariste avec une guillotine…

Bien intéressant, tout ça…

Un peu « raide à lire » mais bien vu.

FDF

.

The God of the Machine : « Le Dieu de la Machine »

L’humanitariste avec une guillotine

Chapitre XX de « The God of the Machine » (1943)

 

https://i0.wp.com/www.contrepoints.org/wp-content/uploads/2011/05/GUILLOTINE002-218x300.gif

par Isabel Paterson

 

traduit par Hervé de Quengo

 

Isabel Paterson était une romancière et, de 1924 à 1949, une célèbre chroniqueuse littéraire au Herald Tribune. Au cours du temps sa chronique ne resta pas confinée à la littérature, mais finit par embrasser l’économie, la politique, l’histoire, etc., les livres étant un prétexte à sa chronique, signée I.M.P. (Isabel Mary Paterson). Elle fut virée du journal en 1949 pour des raisons politiques, le centralisme socialiste qui s’installait aux États-Unis avec Roosevelt n’étant pas sa tasse de thé (notons que, contrairement à son amie Rose Wilder Lane, elle n’appréciait pas non plus Herbert Hoover, bien que Républicaine).

Au Herald Tribune, elle eut comme collaboratrice et protégée une jeune immigrée russe qu’elle influença par sa vaste culture dans beaucoup de domaines : Ayn Rand. The Fountainhead (La Source vive) de cette dernière parut en même temps que The God in the Machine de Paterson. L’athéisme militant de Rand n’était cependant pas du tout partagé par Isabel Paterson, ce qui fut une des raisons qui conduisit à leur rupture. Plus tard, bien qu’ayant rompu avec Rand, Isabel Paterson défendit Atlas Shrugged contre une mauvaise critique de la National Review de William Buckley, journal (conservateur) auquel elle collaborait à l’occasion.

Le livre The God in the Machine fut salué par Albert Jay Nock, qui considérait qu’avec The Discovery of Freedom de Rose Wilder Lane il s’agissait des « seuls livres intelligibles sur la philosophie de l’individualisme qui aient été écrits en Amérique au cours de ce siècle ». Malgré les désaccords et la rupture (et surtout le titre du livre), Ayn Rand cita l’ouvrage à plusieurs reprises dans les articles de son recueil Capitalism, The Unknown Ideal (1967) et le recommanda dans la bibliographie. Quant à Murray Rothbard, il le cite dans Man, Economy, and state ainsi que dans Power and Market.

Les informations ci-dessus ont pour une grande part été tirées de la longue introduction de Stephen Cox pour l’édition de Transaction Publishers (1999).


L’humanitariste avec une guillotine

Dans le monde, la plupart du mal est faite par des braves gens, non par accident, faute ou omission. C’est au contraire le résultat de leurs actions délibérées, longuement continuées, qu’ils pensent être motivées par de grands idéaux et pour des motifs vertueux. On peut le démontrer et il ne pourrait en être autrement. Le pourcentage des personnes sincèrement malfaisantes, vicieuses ou dépravées est nécessairement faible, car aucune espèce ne pourrait survivre si ses membres étaient naturellement et consciemment enclins à se faire du mal les uns aux autres. La destruction est si facile que même une minorité ayant une mauvaise intention persistante pourrait rapidement exterminer la majorité des personnes bien disposées qui ne se méfient pas. Tout individu à toute époque a facilement en son pouvoir la possibilité de perpétrer le meurtre, le vol, la rapine et la destruction. Si on suppose qu’il est uniquement restreint par la peur ou la force, alors la peur de quoi, et qui pourrait utiliser la force contre eux si tous les hommes avaient ce même état d’esprit ? Sans aucun doute, si le mal fait délibérément par des criminels devait être calculé, on trouverait que le nombre des meurtres, l’étendue des dommages et des pertes sont négligeables en comparaison de la somme totale de morts et de dévastations infligées aux êtres humains par leurs semblables. Il est donc évident que lors des périodes pendant lesquelles des millions de gens sont abattus, durant lesquelles la torture est pratiquée, la famine forcée et l’oppression une politique, ce qui est le cas actuellement dans une grande partie du monde et fut souvent le cas dans le passé, ce doit être le résultat des ordres donnés par de nombreuses braves personnes, et même le résultat des actions directes menées pour ce qu’elles estiment un but noble. Si elles ne sont pas les exécutants immédiats, elles donnent leur accord, élaborent des justifications ou gardent le silence sur les faits, et évitent toute discussion.

A l’évidence, ceci ne pourrait pas se passer sans raison, sans cause. Et il faut comprendre que, dans le passage précédent, lorsque nous disons des braves gens, nous voulons vraiment parler de gens biens, de personnes qui ne voudraient ni effectuer ni envisager intentionnellement des actes qui puissent faire du mal à leurs semblables, que ce soit par perversion ou pour en tirer un bénéfice personnel. Les braves gens veulent le bien d’autrui et espèrent mettre leurs actions en accord avec ce choix. De plus, nous ne voulons pas dire ici qu’il y ait un quelconque « transfert de valeurs », confondant le bien et le mal, ou suggérant que le bien engendre le mal, ou disant qu’il n’y a pas de différence entre le bien et le mal ou entre les braves gens et les personnes mal disposées. Nous n’insinuons pas non plus que les vertus des braves gens ne sont pas de véritables vertus.

C’est donc qu’il doit y avoir une très grosse méprise sur les moyens par lesquels ils cherchent à atteindre leurs fins. Il doit même y avoir une erreur dans leurs axiomes premiers, pour leur permettre de continuer à utiliser de tels moyens. Quelque chose de terriblement faux, quelque part. De quoi s’agit-il donc ?

A coup sûr, les massacres commis de temps en temps par des barbares envahissant des régions habitées, ou les cruautés capricieuses de tyrans avoués, ne se montent pas à un centième des horreurs perpétrées par des gouvernants armés de bonnes intentions.

Comme le raconte l’Histoire qui nous est parvenue, les anciens Égyptiens furent mis en esclavage par les Pharaons pour un plan charitable de « greniers toujours approvisonnés ». Des réserves étaient faites contre la famine. Et, alors, les gens furent forcés d’échanger propriété et liberté contre ces réserves, qui étaient préalablement soustraites à leur propre production. La rudesse inhumaine des anciens Spartiates était également pratiquée pour un idéal civique de vertu.

Les premiers Chrétiens furent persécutés pour des raisons d’État, de bien-être collectif. Et ils luttèrent pour le droit de la personne, chacun parce qu’il avait une âme personnelle. Ceux qui furent tués par Néron pour le sport étaient peu nombreux comparés à ceux qui furent condamnés à mort pour des raisons strictement « morales, » par des empereurs ultérieurs. Gilles de Retz, qui assassina des enfants pour satisfaire une perversion bestiale, n’en tua au total pas plus de cinquante ou soixante. Cromwell ordonna le massacre de trente mille personnes d’un coup, y compris des enfants, au nom de la vertu. Même les brutalités de Pierre le Grand avaient comme prétexte le but de bénéficier à ses sujets.

La guerre actuelle [la Deuxième Guerre Mondiale], qui a commencé avec un traité entre deux puissantes nations (la Russie et l’Allemagne), selon lequel elles pouvaient écraser leurs plus petits voisins avec impunité, ce traité ayant été rompu par une attaque surprise d’un des deux conspirateurs, aurait été impossible sans la puissance politique intérieure dont on s’était emparé, dans les deux cas, avec l’excuse de faire du bien à la nation. Les mensonges, la violence, les meurtres de masse furent pratiqués en premier lieu sur les peuples de ces deux nations par leur gouvernement respectif. On pourrait dire, et il se pourrait bien que ce soit vrai, que les détenteurs du pouvoir étaient dans les deux cas de vicieux hypocrites, que leur objectif conscient était le mal dès l’origine. Cependant, ils n’auraient pas pu arriver au pouvoir sans le consentement et l’assistance de braves gens. En Russie, le régime communiste a pris le pouvoir en promettant la terre aux paysans, dans des termes que ceux qui faisaient les promesses savaient être un mensonge. Une fois à la tête du pays; les communistes confisquèrent aux paysans la terre qu’il possédaient déjà et exterminèrent ceux qui voulurent résister. Ceci fut fait avec un plan et intentionnellement. Le mensonge fut salué comme de « l’ingénierie sociale » par leurs admirateurs socialistes d’Amérique. Si c’est de l’ingénierie, alors la vente d’une mine fantôme en est aussi. Toute la population de Russie fut soumise à la contrainte et à la terreur. Des milliers furent tués sans jugement. Des millions travaillèrent jusqu’à en mourir et moururent de faim en captivité. De même toute la population d’Allemagne fut soumise à la contrainte et à la terreur, avec des moyens identiques. Avec la guerre, les Russes dans les prisons allemandes et les Allemands dans les prisons russes n’endurent pas de destin pire ou différent de celui qu’un aussi grand nombre de leurs compatriotes ont connu chez eux du fait de leur gouvernement. S’il y avait une quelconque petite différence, ils souffrent plutôt moins de la vengeance d’ennemis déclarés que de la prétendue générosité de leurs compatriotes. Les nations vaincues de l’Europe, sous la botte russe ou allemande, font simplement l’expérience de ce qu’ont enduré les Russes et les Allemands pendant des années, sous leur propre régime national.

De plus, les principaux acteurs politiques au pouvoir en Europe, y compris ceux qui ont vendu leur pays à l’envahisseur, sont des socialistes, des ex-socialistes ou des communistes : des hommes dont le credo fut le bien collectif.

Avec ces faits pleinement démontrés, nous avons devant nous l’étrange spectacle d’un homme qui a condamné des millions de ses compatriotes à la famine et qui est admiré par des philanthropes dont le but déclaré est de voir chacun, dans le monde entier, recevoir son litre de lait. Un professionnel diplômé de la charité a parcouru la moitié du monde pour obtenir l’interview de ce maître du commerce et pour produire des écrits enthousiastes sur le fait d’avoir obtenu ce privilège. Pour garder leur emploi, dans le but avoué de faire le bien, des idéalistes similaires acceptent volontiers le soutien politique d’escrocs, de souteneurs avérés et de casseurs professionnels. Cette affinité de types se produit invariablement quand survient l’occasion. Mais quelle est cette occasion ?

Pourquoi la philosophie humanitaire de l’Europe du dix-huitième siècle a-t-elle inauguré le règne de la Terreur ? Ce n’est pas arrivé par hasard. Ce fut la conséquence de la prémisse originelle, de l’objectif et du moyen proposés. L’objectif est de faire le bonheur des autres en tant que justification première de l’existence. Le moyen est le pouvoir collectif. Et la prémisse est que le « bien » est collectif…

Suite et source: http://tinyurl.com/6uuq64m

Les élites algériennes tentées par l’exil… Et où veulent ils aller, croyez vous ???

Là, on est mal. Nous avions déjà sur le dos toute la « crème » indésirable de là-bas. On va maintenant voir arriver les « pontes ». Demandeurs d’asile politique, bien sûr. Courage, fuyons! C’est désormais leur devise…

En France, on va devoir « pousser les murs »; ou bien dégager. Mais c’est ça qu’ils veulent… Alors, reste une option qui va plaire aux écolos: le tri sélectif…

FDF

.

L’élite algérienne a déjà choisi sa direction…

.

Les islamistes algériens avaient déjà remporté les législatives de 1991, aussitôt annulées. Conséquence: une guerilla chronique, à ce jour inachevée, dont le bilan provisoire se chiffre par centaines de milliers de victimes.  La vague islamiste a traversé la Méditerranée, car « ils » importent chez nous ce qu’ils fuient chez eux.  Les prochaines législatives algériennes auront lieu dans six mois. Le résultat est prévisible. Merci la démocratie, cheval de Troie de l’islamisme!
 
L’Algérie n’est pas un cas unique. Alors que tous les pays riverains du Sahara sont désormais contaminés, nos belles âmes nous parlent toujours de « printemps arabe » au sud et des charmes de la diversité au nord…

Les élites tentées par l’exil
Algérie : À six mois des législatives, alors que les émeutes se multiplient dans le pays, nombre de ministres et de hauts cadres préparent leur avenir… à l’étranger

Un vent de révolte souffle sur l’Algérie depuis plusieurs mois, entre manifestations (ici des ouvriers de l’industrie, le 26 décembre à Alger), émeutes et immolations par le feu.
A six mois des législatives et à près de deux ans de la fin du troisième mandat du président Abdelaziz Bouteflika en 2014, des ministres de l’actuel gouvernement préparent déjà leur avenir… à l’étranger. Au moins six membres du gouvernement du Premier ministre, Ahmed Ouyahia, ont entamé il y a quelques semaines des démarches pour faciliter l’installation de leurs enfants dans des pays européens, notamment en France. Ici, le durcissement des lois sur l’immigration a rendu les conditions d’accueil et d’installation des étrangers plus difficiles. Ces ministres multiplient les interventions pour obtenir des visas d’études – en particulier à leurs enfants – auprès des ambassades des pays européens, particulièrement ceux avec lesquels l’Algérie entretient d’importantes relations économiques, à savoir la France, l’Italie, le Portugal et l’Espagne.

Ces hauts responsables cherchent à sécuriser l’avenir de leurs enfants à l’étranger en les aidant à quitter l’Algérie, un pays instable politiquement et dont l’avenir est plus que jamais incertain. L’économie locale dépend entièrement de l’exportation du pétrole et du gaz, deux richesses naturelles en voie d’épuisement.

Sur le plan sécuritaire, les émeutes sont devenues quotidiennes et le risque d’un embrasement « à la libyenne » préoccupe les décideurs.

En plus de ces perspectives sociales sombres, les législatives de mai prochain pourraient permettre aux islamistes de prendre le contrôle du Parlement et du gouvernement. Dans un contexte régional marqué par les révoltes arabes, le pouvoir algérien aura du mal à tricher pour éviter une victoire de l’opposition. Du coup, beaucoup de ministres devraient céder leur place après les législatives à de nouveaux arrivants qui feront partie d’un nouveau gouvernement. Contrairement aux années précédentes, les partants n’auront cette fois aucune garantie de reconversion ou de retour dans une nouvelle équipe. Un nouveau mandat de Bouteflika en 2014 semble en effet définitivement écarté. De nombreux ministres et hauts responsables civils et militaires craignent aussi des poursuites judiciaires pour des détournements de l’argent public. La course aux visas concerne aussi les hauts gradés de l’armée et des fonctionnaires de l’administration qui veulent fuir le pays.

L’expatriation, une habitude
En fait, ces ministres et hauts gradés qui cherchent à expatrier leurs familles ne font pas exception. Quand ils ne sont plus aux commandes, les hauts cadres de l’État algérien préfèrent majoritairement s’exiler et vivre à l’étranger, que ce soit en Europe ou dans les pays arabes. Sur près de 700 anciens ministres et premiers ministres qui se sont succédé aux différents gouvernements depuis l’indépendance, au moins 500 vivent à l’étranger, selon un rapport officiel établi en 2009. Hormis quelques exils forcés comme celui de l’ancien Premier ministre Abdelhamid Brahimi, tous les autres ont fait le choix volontaire d’aller vivre ailleurs, notamment en France, où ils possèdent des biens immobiliers.

Rares sont les anciens hauts responsables algériens qui restent vivre dans leur pays après avoir quitté le pouvoir. Et même durant leur règne, ils vivent dans des résidences d’État, à l’ouest d’Alger, complètement déconnectés de la réalité du pays.

(dès le lendemain de l’accès à l’indépendance de l’Algérie en 62 les anciens chefs fellouzes ont pris l’habitude de venir notamment en Suisse et en France pour profiter des bienfaits de la civilisation de l’horrible colonisateur !
Des millions d’Algériens se sont installés dans notre pays pendant ces dernières décennies, sans pour autant se sentir le moindre du monde français , même si de plus en plus ils accèdent à des positions de décideurs tout en haïssant les « souchiens » !
On observe que depuis que la gauche est devenue majoritaire au Sénat, on a désormais une vice-présidente socialiste d’origine algérienne, fille d’un ex combattant de l’ALN, peut-être responsable de l’assassinat de civils et militaires français !
Quant à nos hôpitaux, on constate de plus en plus la présence de médecins originaires d’Algérie* du fait de l’incurie de nos gouvernants imprévoyants qui ont instauré le numérus causus d’étudiants français et qui ont encore l’audace de se représenter aux élections !

* Expérimenté par moi-même à la suite d’une agression d’un meeting FN vers 1990 par des hordes de jeunes maghrébins. Blessé grièvement j’avais été conduit avec trois autres militants à l’hôpital de Coulommiers où l’interne de service qui s’était chargé de mon cas était un Algérien. Il savait par la police et les pompiers qui nous avaient transportés que nous étions des « lepénistes »… à l’époque. Comme par hasard il n’avait plus de champs opératoires ni de catgut de diamètre convenable et m’avait recousu les plaies avec un fil presqu’aussi gros qu’une ficelle. Deux mois après un chirurgien m’avait retiré un éclat de verre d’environ 1 cm de diamètre resté (volontairement ?) dans la plaie de mon avant bras recousu par une vingtaine de points de suture . Et je ne parle pas de l’attitude méprisante qu’il avait eue à notre égard, et sa passivité alors que nous étions sur les tables d’opération et qu’un groupe de « jeunes » était parvenu à entrer dans la salle des urgences avec des barres de fer pour nous « terminer » ainsi qu’ils le hurlaient. Il avait fallu que les policiers interviennent en force pour que nous ne soyons pas achevés.
Voilà à quoi l’on s’expose désormais si on a le malheur de devoir être soigné par ces « chances pour la France » et qu’on ait été repéré comme opposant à l’invasion !

Source: Les Fugitifs d’Algérie

Source: SUD-OUEST

7,5% du PIB ! C’est le coût annuel de la délinquance en France…

Alors; on attend quoi pour la réduire, cette délinquance ? On ne paye pas assez d’impôts pour faire face à l’insécurité? Zut! J’ai commis une bourde, là. J’ai donné une idée au Gouvernement…

FDF

.

Photo d’illustration

.

La délinquance estimée à 150 milliards d’euros par an


L’économiste Jacques Bichot publie une étude sur le coût du crime et de la délinquance. Le crime organisé représenterait à lui seul un préjudice de 23 milliards d’euros.
 
Plus de 150 milliards d’euros, soit 7,5% du PIB! La facture annuelle du crime en France est salée. Le «noyau dur» de la délinquance, constitué par les violences physiques ou sexuelles, les vols, le vandalisme, les escroqueries, mais aussi les frais de sécurité privés, représenterait, à lui seul, environ 80 milliards d’euros. Dans cet ensemble, le crime organisé causerait le préjudice le plus élevé: plus de 23 milliards d’euros, entre les faits de proxénétisme, la contrefaçon et les trafics en tous genres. Et c’est compter sans les fraudes sociales et fiscales, les infractions routières ou le coût des politiques de sécurité, du fonctionnement de la police à la gendarmerie, en passant par le budget de la Justice, qui font quasiment doubler la note.

L’économiste qui s’est livré à ce calcul, Jacques Bichot, n’est pas un fantaisiste. Professeur émérite à l’université de Lyon 3, il fait publier ses travaux.

Dans sa dernière étude donc sur «le coût du crime et de la délinquance», que Le Figaro a pu décortiquer, ce scientifique dit s’être livré à une estimation a minima. Et il le reconnaît: «le tribut prélevé par les criminels et les délinquants n’est pas facile à évaluer, car dans la majorité des cas il ne s’agit pas directement d’argent», écrit-il. De fait, comment traduire le contrecoup financier d’un meurtre, d’un rapt ou du fameux sentiment d’insécurité souvent évoqué à l’approche des grandes consultations électorales?

Une lacune statistique
Les assureurs, les spécialistes de la sécurité routière, mais aussi les responsables d’hôpitaux sont «professionnellement confrontés à cette question» des coûts, précise l’auteur de l’étude, que le préjudice soit physique ou moral. Dans certains pays, des modèles économiques ont même été mis au point. Le Home Office en Grande-Bretagne ou le ministère de la Justice au Canada, se livrent ainsi chaque année à ce genre d’estimations. Mais en France, l’acteur public semble plus timoré. Voici comment l’économiste et ses soutiens ont entrepris de combler cette lacune.

D’abord, il y a les éléments matériels. Le vol, par exemple. «Nous devons bien sûr nous intéresser au prix de remplacement de ce qui est dérobé, mais cela ne suffit pas», prévient Jacques Bichot. Car dans ses calculs tout y passe: «les dégâts éventuellement commis par le voleur», «la peur qu’il a pu causer», «la valeur sentimentale des objets», «le temps qu’il a fallu perdre» en démarches, «pour remplacer ce qui s’est envolé», mais aussi «le coût de fonctionnement des assurances, qui s’ajoute aux primes pures destinées à dédommager les victimes». Il inclut également dans ses comptes «les dépenses de sécurité (portes blindées, serrures perfectionnées, systèmes d’alarme, etc.)» et «la partie des impôts qui sert au fonctionnement des services publics ayant pour mission d’empêcher et de punir les vols». Total général obtenu: 9,2 milliards. Rien que pour les vols…

1.263.255 euros pour un mort
Et le prix de la vie humaine, de l’intégrité physique? Il y a au moins une référence, selon lui: les bases financières retenues pour l’indemnisation des victimes de la route. En incluant les coûts médicaux et administratifs, mais aussi les «pertes de production», les organismes officiels retiennent 1.263.255 euros pour un mort, 136.474 pour un blessé hospitalisé, et 5578 euros pour un blessé léger.

Cynique, le Pr Bichot? Au-delà de la victime et des proches qui dépendent éventuellement d’elle, il y a aussi la «société» à prendre en compte, poursuit-il. Car l’État et les organismes sociaux seraient en quelque sorte lésés, si l’on considère la victime comme un acteur économique qui produisait de la richesse et contribuait à l’impôt ainsi qu’au remplissage des caisses sociales. Le «manque à produire» à lui seul est estimé à 20.000 euros par an et par individu en moyenne.


Source:  http://www.lefigaro.fr/

Toujours pas compris, les hyènes de service !

Encore quelques messages d’amour, de paix et de tolérance… D’insultes, de provocation, aussi…

Autant de plaintes, donc… C’est le tarif. Ils vont bien finir par comprendre; quoi que…

FDF

.

New comment waiting approval on Francaisdefrance’s Blog  
  ta mere commented on Béziers. Mansour Larabi, Le compagnon d’Adeline placé en garde à vue.

bande de facho aller vous faire foutre


 
 
More information about ta mere

IP: 77.198.49.29, 29.49.198.77.rev.sfr.net
Email: laguna256@hotmail.fr
URL: http://aas
Whois: http://whois.arin.net/rest/ip/77.198.49.29

.

New comment waiting approval on Francaisdefrance’s Blog  
  Ghhcddg commented on « Religion » de tolérance…

On vous baise tous on est chez nous et pour 1350 ans au moins Hahahahaha

 
 
More information about Ghhcddg

IP: 83.152.227.126, sev93-11-83-152-227-126.fbx.proxad.net
Email: Ggyjh@GhhcddgGgyjh.com
URL:
Whois: http://whois.arin.net/rest/ip/83.152.227.126

.

New comment waiting approval on Francaisdefrance’s Blog  
  Ghhcddg commented on « Religion » de tolérance…

T’as peur d’ecrire « bougnoul » ??? On te fais tant peur que cela ???? Pfff tafiole, tu te sent déjà plus chez toi hein ?? Jvais m’acoupler (comme un chien) avec ta sœur …. Vous êtes tous foutus Hahahahaha

 
 
More information about Ghhcddg

IP: 83.152.227.126, sev93-11-83-152-227-126.fbx.proxad.net
Email: Ggyjh@GhhcddgGgyjh.com
URL:
Whois: http://whois.arin.net/rest/ip/83.152.227.126

.

(Info à Ghhcddg: J’ai demandé à ma soeur; elle n’aime pas les « bougnoules« …)

Ah, désolé, il l’a cherché, non ?

FDF

.

Pour info: à propos du mot « bougnoule »: http://fr.wiktionary.org/wiki/bougnoule

Record de visites battu hier, insultes comprises…

Je sentais hier une certaine agitation sur ce blog…  Et, qu’Allah en soit remercié

, j’ai pu constater ce matin que ce lundi a été particulièrement fructueux puisque j’ai battu mon record de visites :

6 408 !

La preuve:

Le dernier record datait de novembre 2011, je ne souviens plus quel jour, avec 6 292…

Ca fait plaisir et vous y êtes toutes et tous pour quelque-chose. Alors merci.

Objectif: le million! Le million !!! Non; j’déconne…

FDF

Clash entre Marine Le Pen et Ruth Elkrief sur BFM !

Et pan, la journaliste !

FDF

.


Regroupement familial: en route pour la France !

Juste une photo, histoire de rire un peu. Ca nous changera…

FDF

.

Le poisson du jour. Attention! C’est plein d’arêtes !

Et voilà. Je parle des honteuses déclarations « politiques » du frère à Cantat et ce pantin sorti d’on ne sait où m’insulte…Il se sent « heurté », même…

Ils n’arrêteront donc jamais…Et puis le MRAP, parlons en: je leur ai envoyé une preuve de racisme anti blanc et anti-Français (je me répète…) mais toujours pas de nouvelles. On a compris.

Même punition que les autres pour no pasaran: plainte en bonne et due forme. Les menaces sont assez claires…

Et comme Marine Le Pen est citée, je lui fait parvenir une copie, elle s’occupera des suites…

FDF


.

 

 no pasaran commented on Xavier Cantat (Europe-Ecologie) : « Je me fiche pas mal de la France » !

Sale faf de merde , ton blog pue la haine raciale , TOUS ENSEMBLE ON FAIT FRONT FACE AU FRONT !!!!

NO PASARAN , t’es qu’un vert de gris , on t’as balancé , le mrap va te limer les crocs et quand on saura qui t’es on te balancera sur tout le réseau , à la tondeuse le facho !

Tu heurte tout ceux qui comme nous sont démocrates , tous les musulmans et juifs du monde !!!

T’es un fasciste de merde , un fasciste de merde , Hollande va virer la mère lepen puis on vous boutera de France !


 

 

More information about no pasaran

IP: 193.200.150.137, mail137.anonymouse.org

Email: bixente64@hotmail.com

URL:

Whois: http://whois.arin.net/rest/ip/193.200.150.137

 

Idéologie rétrograde: connaissez vous la falaka ???

Peut-être pas. Ce n’est pas une nouvelle danse.

Mais voici de quoi satisfaire votre curiosité. Encore un des bienfaits de la religion l’idéologie d’amour, de paix et de tolérance…

FDF

.

La sharia, l’islam, le coran   ne manquent  pas d’idées très originales pour  les différentes tortures,  et châtiments corporels.   Si possibles il faut que ce  soit  « invisible »    par un juge. Après les « conseils » du coran  disant de ne pas battre sa femme au visage (parce que ça se voit)

Voici    LA FALAKA

PETITE leçon de supplice oriental, jeudi soir, au tribunal correctionnel de Reims. À l’occasion du procès d’un père accusé de mauvais traitements sur sa fille de 10 ans, les juges se sont intéressés à la falaka, technique de punition ancestrale répandue dans le bassin méditerranéen, notamment en Turquie, et qui consiste à donner des coups de bâton sur la plante des pieds.

Son usage a d’ailleurs valu à l’Etat turc quelques condamnations prononcées par la Cour européenne des droits de l’Homme, qui assimile ce châtiment à des actes de « torture ».
« L’avantage de ce châtiment corporel, si j’ose dire, est d’être extrêmement douloureux sans laisser de trace particulière. Les hématomes sont internes. Après avoir soumis une personne à la falaka, on peut la présenter à un juge avec le visage parfaitement lisse »

En l’occurrence, comme à leur habitude, le père tortionnaire est dans le déni total.  Il prend quand même 3 mois avec sursis.
La fillette ne vit plus avec ses parents. Elle a fait l’objet d’une ordonnance provisoire de placement.

JC JC…
.

Il punit sa fille à coups de bâton sur les pieds

 Né en Turquie, un Rémois s’est retrouvé devant le tribunal pour avoir frappé sa fille à coups de bâton sur la plante des pieds. Un mode de punition ancestral très répandu dans son pays d’origine.

PETITE leçon de supplice oriental, jeudi soir, au tribunal correctionnel de Reims. À l’occasion du procès d’un père accusé de mauvais traitements sur sa fille de 10 ans, les juges se sont intéressés à la falaka, technique de punition ancestrale répandue dans le bassin méditerranéen, notamment en Turquie, et qui consiste à donner des coups de bâton sur la plante des pieds.

Son usage a d’ailleurs valu à l’Etat turc quelques condamnations prononcées par la Cour européenne des droits de l’Homme, qui assimile ce châtiment à des actes de « torture ». Ce fut le cas en 2007, sur requête d’un opposant politique qui avait subi le supplice de la falaka en prison.
Nouvelle condamnation en 2008, cette fois-ci à l’initiative d’un adolescent de 17 ans ramené dans un poste de police avec d’autres jeunes après une bagarre. En guise de « bonne leçon », les policiers les frappèrent à coups de matraque sur les mains, à l’exception de l’ado qui leur demanda de ne pas subir pareil traitement en raison d’une opération récente aux doigts. Les policiers l’avaient alors soumis à la falaka, avant de le relâcher sans autre procédure.

« L’avantage de ce châtiment corporel, si j’ose dire, est d’être extrêmement douloureux sans laisser de trace particulière. Les hématomes sont internes. Après avoir soumis une personne à la falaka, on peut la présenter à un juge avec le visage parfaitement lisse », observe le procureur-adjoint Laurent de Caigny.

Devant lui, à l’audience, un Rémois de 32 ans originaire de Turquie. A-t-il puni sa fille en ayant recours à la falaka ? Il s’en défend, mais plusieurs éléments du dossier tendent à penser le contraire.
Courant janvier, la fillette confie à des camarades de classe que son père vient de la frapper à coups de bâton sur les pieds. Le médecin scolaire est informé. Elle lui confirme ses déclarations. A l’examen, le médecin constate des « érosions cutanées » et des « entailles sensibles au niveau de la plante des pieds », ainsi que des traces de coups sur les deux gros orteils.
Les marques sont toutes récentes, et ont d’ailleurs disparu lorsqu’un nouvel examen est pratiqué une dizaine de jours plus tard au CHU à la suite de l’enquête diligentée par le parquet.

Interrogée par les policiers de la brigade départementale de protection des familles, l’écolière précise que le bâton utilisé « sert à faire de la farine » et que les coups sont réguliers depuis 2009. Elle révèle un autre type de sanction : « Il me punit en me demandant de rester debout sur un pied à côté des toilettes. » Trois enfants vivent sous le toit familial. « Quand mon petit frère pleure, ça fait mal aux oreilles de papa et il crie dessus. »
Interpellé mardi puis jugé en comparution immédiate, l’homme affirme qu’il n’a jamais frappé sa fille. Seule la punition consistant à rester debout sur un pied est reconnue. « Elle est peut-être tombée », dit-il à propos des traces constatées par le médecin. Ou bien elle a été frappée par quelqu’un d’autre qu’elle ne veut pas dénoncer.
Déclaré coupable, le père est averti par une peine de trois mois de prison avec sursis. La fillette ne vit plus avec ses parents. Elle a fait l’objet d’une ordonnance provisoire de placement. L’enquête n’a révélé aucune maltraitance sur les deux autres enfants du foyer.

SOURCE  : http://www.lunion.presse.fr