Francaisdefrance's Blog

06/02/2012

Le Carnaval est de l’islamophobie, en Macédoine…

C’est bientôt Carnaval, CHEZ NOUS, en France. Veillons à ne pas nous déguiser en « prophète ». Il y en a qui se sentiraient « heurtés »…Mais celles qui se déguisent en fantômes, on ne leur dira rien… Cherchez l’erreur.

FDF

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Dessin d’illustration

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Macédoine : provocations, « révolte islamique » et escalade de la violence à Struga

Depuis vendredi, violences et incidents se multiplient dans la région de Struga. Tout a commencé par une manifestation de la communauté islamique, qui entendait dénoncer les « provocations » du carnaval de Vevčani, où des masques affublés de burqas avaient défilé deux semaines plus tôt. Lundi soir, l’église orthodoxe du village de Labuništa a été incendiée. La Communauté islamique dénonce un climat « d’islamophobie ». Une nouvelle manifestation est prévue ce mardi.

D’après le maire de Struga, Ramiz Merko, le vent qui aurait arraché les drapeaux qui flottaient aux mâts de la commune menacerait d’emporter aussi la fragile coexistence intercommunautaire. Ces derniers jours, Struga, cité multiethnique de l’ouest de la Macédoine, sur les bords du lac d’Ohrid, ne quitte plus la une de l’actualité.

Les manifestations organisées par la communauté islamique pour protester contre la présence de personnages affublés d’une burqa lors du carnaval traditionnel de Vevčani ont dégénéré. Le drapeau national a été brûlé, des autobus détruits. Certains exigent la démission des responsables du festival, voire leur traduction en justice. Depuis le début du week-end, la situation ne cesse de se dégrader.

Une personne non identifiée a endommagé la croix en bois de quatre mètres de haut qui se trouvait dans la cour de l’église de la Vierge-Marie de Borovec, village proche de Struga. On ne sait pas si cet acte de vandalisme doit être relié aux événements des derniers jours, mais il révèle en tout cas combien l’atmosphère demeure tendue dans la région. Dimanche soir, des inconnus ont brisé avec des pierres les six doubles fenêtres ainsi que la porte d’entrée du dispensaire du village de Labuništa/Llabunishtë. Lundi soir, l’église orthodoxe de ce village majoritairement albanais, datant des XVIIIe et XIXe siècle, a été incendiée.

Tout a commencé lorsque la Communauté islamique, deux semaines après la fin du carnaval de Vevčani, a décidé de protester contre la présence de masques affublés de burqas lors de cet événement traditionnel, qui a lieu chaque année les 13 et 14 janvier, à la veille de la nouvelle année du calendrier julien.

Vendredi 27 janvier, la Communauté islamique a organisé une manifestation devant la mairie de Struga, au cours de laquelle le drapeau macédonien a été descendu, tandis qu’étaient levés à sa place le drapeau albanais ainsi qu’un autre drapeau de couleur verte portant des inscriptions islamiques.

Les manifestants scandaient des slogans comme : « A bas les infidèles » « Morts aux infidèles » « A bas Vevčani » et « Dieu est avec nous ». Le mufti de Struga, Ferhat Polisi, a demandé des excuses publiques et exigé la démission du maire de Vevčani. La Communauté islamique de Struga a également écrit au ministère de la Culture pour lui demander de cesser de soutenir de tels événements festifs.

La suite: http://balkans.courriers.info/article19130.html

Source: http://www.medias-france-libre.fr/

Aux âmes bien nées…

Vous connaissez tous ce proverbe:

AUX ÂMES BIEN NÉES LA VALEUR N’ATTEND POINT LE NOMBRE DES ANNÉES…

Bon; le reportage est en langue arabe. Mais pour comprendre, nul besoin de connaître le dialecte…

FDF

La ville de Salé, au Maroc.

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Maroc (ville de Salé): viol et meurtre d’un bébé de 3 ans!  Le délinquant un enfant de 8 ans !

Source et vidéo:  http://www.femmezoom.com/femme-4240-Maroc_sale_viol_et_meurtre_d_un_bebe_le_delinquant_un_enfant.xhtml

C’est la plus insolite affaire de viol dans le monde. La plus sordide, aussi…

Merci à JC JC…

C’est beau, la charia…

Si il y en a encore qui me menacent pour avoir publié ce billet qui ne montre que la vérité… Je ne vise personne en particulier. Ah, si, c’est vrai: un certain Thierry A. Si tu cautionnes ça, mon gars, il faut vite aller consulter…

FDF

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ÂMES SENSIBLES NE PAS REGARDER LES PHOTOS

MAIS IL FAUT,  TOUTEFOIS,  QUE TOUT LE MONDE   PRENNE BIEN CONSCIENCE DE CE QU’EST LEUR SHARIA
D’AUTANT PLUS QUE  C’EST CE QU’ILS VEULENT INSTAURER EN FRANCE

JC JC…

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La Charia En France Un Jour ? Roubaix France 2010
http://www.youtube.com/watch?v=0SX88RUMsRw
(filles défigurées à l’acide pour être allé à l’école)
http://www.youtube.com/watch?v=lo6uRwwnFH0&feature=g-vrec&context=G2d5a5baRVAAAAAAAAAg

Scenes of amputation by criminal Taliban in Kabul

Source et horribles photos :  http://www.rawa.org/handcut3.htm   

A Taliban fighter with the amputated limbs of the victims paraded through the streets of Kabul.

Info à Thierry A. Il faut ester en justice contre Claude Guéant pour ses propos !

Si si, Thierry A.

Les propos de Claude Guéant me semblent injurieux vis à vis d’une certaine « civilisation », va t’on dire… Bon; vous savez où aller dénoncer. Je ne vous montre pas le chemin…

Je sais, je sais, c’est du gros gibier. Mais dans votre « lutte », il faut savoir ce qu’on veut.

Courage; nous sommes là.

FDF

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Il est sûr que là, ce n’est pas FDF…

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Quelques précisions sur les propos de Claude Guéant

Chers amis,

            Comme vous le savez certainement, puisque les médias en ont abondamment parlé, le week-end dernier, l’UNI organisait sa traditionnelle convergence à Paris (une réunion rassemblant, à huis-clos, les 300 cadres étudiants et professeurs de notre mouvement et quelques invités). Claude Guéant, ministre de l’Intérieur, nous a fait l’honneur d’y participer.

Alors que Claude Guéant a prononcé un discours d’une trentaine de minutes, le parti socialiste et l’ensemble des maîtres-censeurs du politiquement correct (SOS racisme, Cécile Duflot, Harlem Désir ..) ont décidé d’instrumentaliser une phrase, en la sortant volontairement de son contexte. Leur objectif était de diaboliser les propos du ministre afin d’alimenter une nouvelle polémique.
Voici ce qu’a réellement dit le ministre de l’Intérieur :

 » Or, il y a des comportements, qui n’ont pas leur place dans notre pays, non pas parce qu’ils sont étrangers, mais parce que nous ne les jugeons pas conformes à notre vision du monde, à celle, en particulier de la dignité de la femme et de l’homme. Contrairement à ce que dit l’idéologie relativiste de gauche, pour nous, toutes les civilisations ne se valent pas. Celles qui défendent l’humanité nous paraissent plus avancées que celles qui la nient. Celles qui défendent la liberté, l’égalité et la fraternité nous paraissent supérieures à celles qui acceptent la tyrannie, la minorité des femmes, la haine sociale ou ethnique.

En tout état de cause, nous devons protéger notre civilisation. »

Le PS peut-il réellement soutenir le contraire ?

Le ministre a, de façon courageuse, décidé d’affrontrer cette polémique en confirmant ces propos (retrouvez son intervention sur RTL ou dans le Figaro).

Je tenais à vous apporter ces quelques précisions. Nous ne devons pas nous laisser intimider par tous ceux qui, au nom du politiquement correct, refuse de regarder la réalité en face. Soutenons Claude Guéant dans son juste combat contre les maîtres-censeurs du politiquement correct.

Cordialement

Olivier Vial

PS: désolé, j’aime bien être emmerdé de temps en temps, mais il ne faut pas que ça dure… Et tout mon soutien à Claude Guéant.

FDF

A quatre pattes, les copains: « nous sommes tous des Arabes » !!!

Sponsorisé par Al Quaïda et tout le monde islamiste intégriste? Même pas. Mais avouez que ça fait froid dans le dos…

Nous voilà tous frères, tous cousins. Allons de ce pas conquérir par la force le monde Occidental ! Ah ben non; on ne peut pas. Puisque que le monde Occidental est arabe. Mais qu’est-ce qu’on va pouvoir conquérir?

Ce qui suit n’engage que son auteur… Je me demande si c’est un « convertit. Ca se peut…

Bon allez; je courre aller m’acheter quelques exemplaires du coran, des tapis de prière, faire un don à l’association islamo-terroriste du coin, demander un stage au Pakistan, et profiter de mon nouveau statut de polygame. C’est ma femme qui va être surprise…

Ah; il me faut aussi des babouches, un bol pour mettre sur la tête, ré-apprendre à manger sans couverts, m’interdire de bouffer du cochon, haïr les chiens, les « sous-chiens » (ah oui, il n’y en a plus), passer mon temps à me lamenter et mentir. Je crois que ça va être très très dur…

Il faut aussi que j’apprenne à égorger? C’est pas trop mon truc, ça. Mais la religion l’idéologie islamiste demande parfois beaucoup d’abnégations…

الله أَكْبَر

FDF

Tous les hommes descendraient d’ancêtres communs ayant peuplé la péninsule arabique, selon les généticiens.

Nous sommes tous des Arabes ! Telle est la dernière révélation fracassante des généticiens. Que cela plaise ou non à Marine Le Pen et à Claude Guéant, tous autant que nous sommes, Français, Américains, Esquimaux, Chinois ou Papous, nous descendons d’ancêtres communs ayant peuplé la péninsule arabique ! Après être née en Afrique, l’humanité aurait donc fait une étape dans l’Arabie heureuse, après avoir franchi la mer Rouge. C’est du scoop. En effet, jusque-là, les grands experts des migrations humaines pensaient que la division des troupes s’était plutôt faite au Proche-Orient ou en Afrique du Nord.

Les paléogénéticiens des universités de Leeds et de Porto ont été amenés à faire cette hypothèse à la suite des confidences d’un indic ! Un indic qui se cache par milliers dans chacune de nos cellules : la mitochondrie. Ce minuscule organite, qui officie en tant que centrale énergétique de nos cellules, possède son propre ADN. Comme les chromosomes, il peut muter. Ainsi, quand les généticiens observent exactement la même mutation chez deux peuples différents, ils peuvent en conclure que ceux-ci partagent un passé commun. En comparant l’ADN mitochondrial prélevé sur des centaines d’individus à travers le monde et dans la péninsule arabique, les chercheurs sont parvenus à la conclusion que tous les hommes, hors les Africains, ont tous effectué un passage de plusieurs milliers d’années très certainement, en Arabie. Voilà pourquoi nous sommes tous des Arabes et fiers de l’être. L’étude est parue dans American Journal of Human Genetics.

Éden Arabie

Voilà donc comment il faut réécrire l’histoire de l’humanité : après avoir surgi il y a quelque 200 000 ans en Afrique de l’Est, l’homme moderne (homo sapiens) a commencé par se répandre dans toute l’Afrique, se fragmentant en de nombreuses populations. La vie était belle et la nourriture largement disponible jusqu’au jour où une tribu s’est mise en tête d’aller voir si le soleil ne brillait pas davantage ailleurs. Elle a donc profité d’une baisse des eaux pour franchir la mer Rouge et débarquer sur la péninsule arabique. Jusqu’ici, on pensait que le premier passage avait dû avoir lieu, entre – 70 000 et – 40 000 ans. Mais la découverte d’outils façonnés par l’homme moderne datant de 106 000 ans repousse donc la conquête d’au moins 30 000 ans !

On a même trouvé le lieu de débarquement, dans le sultanat d’Oman. Il faut dire qu’à l’époque le climat arabique était humide : à la place d’un désert les nouveaux arrivants ont trouvé un paradis terrestre constitué de grandes prairies. L’occupation de ce nouvel Éden aurait duré plusieurs millénaires avant que l’homme ne poursuive sa conquête du monde. D’abord en empruntant la route du Sud-Est asiatique s’achevant en Australie, puis celle de l’est jusqu’au Japon, puis enfin la route du Nord, vers le Proche-Orient, puis l’Europe atteinte voilà environ 40 000 ans.

Des Indiens dans l’Altaï

L’Amérique est le dernier continent conquis. Mais là encore, il y a du nouveau. Et du lourd ! Grâce à de nouvelles confidences de l’indic mitochondrial, des chercheurs de l’université de Pennsylvanie ont identifié la terre d’origine des Indiens d’Amérique. Ne cherchez pas, vous ne pourriez pas trouver ! Il s’agit de l’Altaï. C’est une région montagneuse au coeur du continent eurasien, là où se rencontrent la Chine, la Mongolie, la Russie et le Kazakhstan. Le grand départ aurait eu lieu voilà 15 000 à 20 000 ans. Quelques dizaines ou centaines d’individus auraient pris la route du nord-est. Après de nombreuses générations, leurs descendants auraient fini par atteindre le détroit de Béring qu’ils auraient traversé en une ou plusieurs fois lors des glaciations, puis ils auraient descendu tout le continent américain. La découverte récente, par des chercheurs de l’université du Texas, d’objets façonnés par l’homme dans l’État de Washington datant de 13 800 ans conforte cette hypothèse.

Depuis sa venue au monde dans un petit bled africain, l’homme n’a cessé d’avoir la bougeotte. Les migrations font partie de sa nature. L’Europe et encore plus la France, située à son extrémité ouest, n’ont pas arrêté d’être enrichies par des vagues d’immigrants. Il n’y a pas de raison que cela cesse…

Source: http://www.lepoint.fr/

Merci à Henri pour le tuyau…

« Thierry A » récidive… Merci de propager un maximum ce billet.

Dessin: Mandrika

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Le « fameux » Thierry A. n’en n’a décidément pas marre de passer pour un justicier masqué… Et il commence à nous les « briser menu » (désolé, mais là, je m’énerve). Cette fois, il me menace en me demandant de fermer mon blog. Il me menace de porter l’affaire devant SOS Racisme, officine auprès de laquelle je viens de signaler un cas flagrant de racisme anti-blancs, agrémenté de menaces de mort, etc…

Alors, on va riposter. Nous ne nous plierons jamais devant ce genre de dhimmi qui semble t’il, n’a rien d’autre à faire que de déposer des plaintes et ça doit lui donner de l’importance (il en est à qui il ne faut pas grand-chose). Ce qui m’étonne, c’est quel bénéfice il doit tirer d’agir ainsi envers des patriotes; satisfaction personnelle? Bien piètre façon d’occuper ses journées…

Je pense que si il avait vécu il y a quelques décennies, ce type aurait été un fervent partisan du peloton d’exécution; et il y a quelques siècles, un inquisiteur très actif… Toutes les « mots qui font peur » sont employés: gendarmerie, plainte, SOS Racisme, huissier,  procureur, respect de la loi, xénophobie, etc…

J’en viens à me demander si ce « Thierry A. » ne bosse pas pour Forsane Alizza. Dans le cas contraire, je lui demande d’aller visiter leur site; là, il trouvera matière à occuper ses journées. Mais cette une association d’ampleur. Mieux vaut s’en prendre « aux petits »… Courageuse, comme méthode.


C’est par la faute de gens comme lui que NOTRE France est en train de perdre son identité nationale et son patriotisme.

Comme le dit si justement BVK dans un récent commentaire: « On n’aura jamais assez de tondeuses pour les collabos« . A méditer…

A classer dans les indésirables, ce Thierry A; c’est fait, d’ailleurs.

Je vous laisse lire son message d’amour, de paix et de tolérance… Remarquez qu’il ose finir son billet par le mot « cordialement« …

Moi, je signe le mien par « avec mon profond mépris« . C’est moins « faux cul…

FDF

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Thierry A. commented on Gauche caviar: on entretient le mythe…

Bonjour,

Etant donné que vous ne disposez pas d’un dispositif de contact sur votre blog, je poste donc en tant que commentaire.

Malgré le fait qu’une plainte vous concernant soit en cours, vous continuez à provoquer, à diffamer, et à faire la promotion de la haine raciale par le biais de vos articles et/ou de vos commentaires.

Plus grave encore, les menaces de mort à mon encontre de la part de vos lecteurs. Sachez que je vais me rendre cette après-midi à la gendarmerie pour déposer une plainte pour menaces de mort, j’ai pu procéder à des captures d’ecran authentifiées par huissier.

Le procureur pourra décider si votre responsabilité en tant que propriétaire du blog et modérateur est engagée.

Concernant la plainte pour incitation à la haine raciale et appel à la violence.

Le dossier est maintenant finalisé, les preuves versées au dossier et l’association SOS racisme en recevra une copie.

Au vu d’une réunion avec mes collaborateurs nous avont decidé de vous laisser le choix en demandant la fermeture de votre blog sous 48h.

Dans le cas contraire nous procéderont à l’envoi du dossier de plainte au procureur de la republique de Versailles avec constitution de partie civile. Et apres requete aupres de WordPress.com vous devriez recevoir un courrier en RAR de la part de l’O.C.L.C.T.I.C.

Sachez que dans ce pays toutes atteintes aux droits de l’homme, l’incitation à la haine raciale ainsi que la xénophobie sont sévèrement punis par la loi. La liberté de parole n’empeche pas le respect de la loi.

En vous souhaitant bonne reception de cette missive.

Cordialement,

Thierry A.

More information about Thierry A.

IP: 188.95.153.254, inet-1g-gw.dp.uaip.org
Email: association.veille.discriminations@vmail.me
URL:
Whois: http://whois.arin.net/rest/ip/188.95.153.254

Mahomet, dont la conduite doit être imitée dans les moindres détails, avait une conception pragmatique du mensonge.

Et bien qu’il se rassure, le « prophète »… Il a été entendu et suivi. Encore de nos jours. Le double langage de l’islam, vous connaissez ? Et la Taqiyya ? Lisez ce qui suit.

FDF

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« la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » (13).

Plusieurs ulémas estiment que la tromperie fait partie intégrante de l’art de la guerre.
« La taqiyya pose un ensemble de problèmes éthiques.
Quiconque croit véritablement que Allah justifie, et même, par l’exemple de son prophète, encourage la tromperie, n’aura aucun scrupule éthique à mentir. »
« Puisque Allah est censé être la source de ces versets révélés, il est considéré comme étant Lui-même implicitement le perpétrateur absolu du mensonge, ce qui n’a rien de surprenant puisque il est décrit dans le Coran comme étant le meilleur makar, c’est-à-dire fourbe, trompeur »
« On peut conclure que face à l’opposition naturelle entre guerre et paix, qui existe dans le cadre occidental, il est plus approprié de parler d’une opposition entre guerre et dissimulation dans le cadre islamique. Car, selon le point de vue islamique, les périodes de paix, qui n’ont lieu que quand l’islam est plus faible que ses rivaux infidèles, sont des périodes de paix simulée et de dissimulation, bref de taqiyya. »

La doctrine de la Taqiyya

Les formulations de la taqiyya
La tromperie dans les exploits guerriers de Mahomet
La taqiyya dans la révélation coranique
La guerre est éternelle
L’hostilité sous les traits de la récrimination
Taqiyya  ou fourberie  musulmane

Voilà qui résume assez le texte ci-dessous,  que je vous conseille de lire, afin de ne pas vous laisser berner encore plus, le  titre à lui seul est suffisamment évocateur et explicite.
ET ENSUITE VOUS  NE POURREZ PAS DIRE QUE VOUS NE SAVIEZ PAS  CE QUI SE TRAMAIT,  et à QUI NOUS AVONS à FAIRE.

JC JC…
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La Taqiyya et les règles de la guerre islamique
par Raymond Ibrahim
Middle East Quarterly

Translation of the original text: How Taqiyya Alters Islam’s Rules of War
Adaptation française: Jean Szlamowicz, pour debriefing.org


L’islam doit apparaître aux non-musulmans comme une religion bien paradoxale. D’un côté, on ne cesse de la présenter comme la religion de la paix et, de l’autre, ses membres sont responsables de la majorité des actes terroristes dans le monde. Les apologistes de l’islam soulignent que cette foi se fonde sur une grande exigence éthique. Les autres constatent qu’il s’agit d’une religion légaliste. La dualité des critères de vérité et de fausseté dans l’islam révèle une nature paradoxale : car si le Coran est contre les croyants qui trompent d’autres croyants (en vertu du fait que « Allah ne guide pas celui qui est outrancier et menteur » (1), la tromperie aux dépens des non-musulmans, généralement appelée, en arabe, taqiyya, reçoit également l’approbation coranique et fait partie des actes légalement permis aux musulmans.
La tromperie musulmane peut être considérée comme un moyen, qui manque, certes, de noblesse, au service de la fin glorieuse que constitue l’hégémonie islamique de la chariah, considérée comme favorable aux musulmans et aux non-musulmans. En ce sens, il s’agit d’un mensonge altruiste, ce qui est autorisé. L’imam Mahmoud al-Masri a récemment donné en exemple une histoire où un musulman raconte un mensonge à un Juif pour le forcer à la conversion, et dont il parle comme d’une « magnifique tromperie ».
La taqiyya a deux utilisations principales. La plus connue consiste à masquer ses convictions religieuses par crainte de persécutions. Il s’agit là de pratiques historiques de la taqiyya au sein de la communauté chiite, dans tous les cas où leurs rivaux sunnites étaient plus nombreux et constituaient une menace. Inversement, les sunnites, loin d’être persécutés, ont toujours pratiqué quand c’était possible une forme de taqiyya au service du djihad contre les incroyants, faisant de la taqiyya une pratique non plus seulement de dissimulation, mais de tromperie active. En fait, le mensonge, qui a, dans l’islam, un fondement doctrinal, est souvent présenté comme égal, et parfois supérieur, aux autres vertus guerrières que sont le courage, la détermination, ou le sacrifice.
On pourra se demander comment il se fait que les musulmans soient à la fois exhortés à la sincérité et encouragés à la tromperie, et que cette dernière soit non seulement dominante mais bénéficie aussi de l’approbation divine.
Qu’est-ce au juste que la taqiyya? Comment les théologiens, ainsi que ceux qui en font usage, la justifient-ils ? Comment s’inscrit-elle dans l’éthique islamique, notamment dans son rapport avec les non-musulmans ? Et, plus précisément, quelles sont les implications de la taqiyya pour toutes les relations entre musulmans et non-musulmans ?

La doctrine de la Taqiyya
Selon la charia, c’est-à-dire l’ensemble des règles qui définissent le comportement d’un musulman dans toutes les circonstances de la vie, la tromperie est non seulement permise dans certaines circonstances mais peut être considérée comme obligatoire. Contrairement à la tradition chrétienne primitive, les musulmans contraints de choisir entre reniement de l’islam et persécution avaient la permission de mentir et de feindre l’apostasie. D’autres juristes ont décrété que les musulmans étaient obligés de mentir afin de se préserver (2), en se fondant sur les versets coraniques qui interdisent aux musulmans de concourir à leur propre mort (3).
Telle est la définition classique de la taqiyya. Construit sur un mot arabe connotant la crainte, le terme de taqiyya passe (notamment auprès des chercheurs occidentaux) pour une stratégie à laquelle on peut avoir recours en cas de persécution religieuse, ainsi que les groupes minoritaires chiites l’ont fait quand ils vivaient au sein de majorité sunnites hostiles (4). La taqiyya a ainsi permis fréquemment aux chiites de masquer leur appartenance religieuse face aux sunnites, non seulement en remisant leurs convictions religieuses à la clandestinité, mais en priant et en se comportant comme des sunnites.
Cependant, l’un des rares ouvrages consacrés à ce sujet, At-Taqiyya fi’l-Islam (« De la dissimulation dans l’islam ») dit clairement que la taqiyya ne se limite pas à la dissimulation par crainte de persécutions. Son auteur, Sami Mukaram, ancien professeur d’études islamiques à l’niversité américaine de Beyrouth, qui a écrit environ vingt-cinq ouvrages sur l’islam, démontre clairement la variété des applications de la taqiyya :

« La taqiyya est d’une importance fondamentale dans l’islam. Pratiquement toutes les factions islamiques la reconnaissent et la pratiquent (…) On peut même dire que la pratique de la taqiyya fait partie de la norme de l’islam, et que les rares factions qui ne la pratiquent pas sont justement en dehors de la norme musulmane. La taqiyya est dominante dans la politique islamique, en particulier durant la période moderne » (5).

La taqiyya n’est donc pas, comme on le suppose souvent, un phénomène exclusivement chiite. Bien sûr, en tant que minorité dispersée au sein de communautés sunnites ennemies, les chiites ont historiquement plus de raisons de pratiquer la dissimulation. Inversement, l’islam sunnite ayant rapidement dominé de vastes empires, de l’Espagne à la Chine, ses membres ne devaient rien à personne et n’eurent pas à faire allégeance à d’autres, ni à se cacher face à des incroyants infidèles (l’Espagne et le Portugal de la Reconquista sont les rares exceptions où les sunnites ont dissimulé leur identité religieuse (6)). Ironiquement, les sunnites qui vivent en Occident se trouvent désormais dans la situation qui était celle des chiites, puisqu’ils vivent comme une minorité encerclée par ses ennemis traditionnels, les chrétiens infidèles. Ces derniers, à la différence des chrétiens de la Reconquista, se comportent rarement en adéquation avec cette inimitié historique, et la reconnaissent encore moins. En fait, les sunnites se retrouvent dans les circonstances générales qui ont fait de la taqiyya un élément important du chiisme mais sans risquer la menace physique qui en avait été initialement la source.

Les formulations de la taqiyya
Le verset 3:28 du Coran est souvent considéré comme le premier qui admet la tromperie envers les non-musulmans :

« Que les croyants ne prennent pas pour alliés des infidèles au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux » (7).

Muhammad ibn Jarir at-Tabari (mort en 923), auteur d’un commentaire du Coran, qui fait autorité, explique ainsi le verset 3:28 :

« Si vous [les musulmans] êtes sous l’autorité de non-musulmans et craignez pour vous-mêmes, conduisez-vous avec une apparence de loyauté envers eux, par la parole, tout en conservant votre hostilité à leur égard par devers vous (…) [sachez que] Allah a interdit aux croyants de se montrer amical ou intime avec les infidèles, sauf si les infidèles les dominent. Dans ce cas précis, qu’ils se comportent amicalement avec eux tout en préservant leur religion » (8).

Toujours à propos de ce verset du Coran, Ibn Kathir (mort en 1373), qui est une autre grande autorité coranique, écrit :

« Quel que soit le lieu ou le moment, quiconque craint des tourments [venant de non-musulmans] peut se protéger en donnant le change ».

Il en veut pour preuve une citation d’Abu Darda, proche compagnon de Mahomet, enjoignant d’« arborer un large sourire face à certaines personnes tandi cœur les maudit »s que notre. Un autre compagnon, connu sous le nom d’Al-Hasan, a dit que « la pratique de la taqiyya est acceptable jusqu’au jour du jugement » (c’est-à-dire jusqu’à la fin des temps) (9).
D’autres savants importants, comme Abu ‘Abdullah al-Qurtubi (1214-73) et Muhyi ‘d-Din ibn al-Arabi (1165-1240), ont étendu la taqiyya jusqu’à l’appliquer à de nombreuses actions. En d’autres termes, les musulmans peuvent se conduire comme des infidèles ou même pire, par exemple en se prosternant et en adorant des idoles et des croix, en portant de faux témoignages, ou même en montrant les faiblesses d’autres musulmans à l’ennemi infidèle — tout est permis sauf tuer un autre musulman :

« la taqiyya, même si elle est pratiquée sans contrainte, ne mène pas à un statut d’infidèle, même si elle peut mener à des péchés méritant le feu de l’enfer » (10).

La tromperie dans les exploits guerriers de Mahomet
Mahomet — qui constitue [pour le musulman] l’exemple de l’être humain parfait, dont la conduite doit être imitée dans les moindres détails — avait une conception pragmatique du mensonge. Il est notamment bien connu qu’il permettait de mentir dans trois situations : pour réconcilier entre deux parties, ou plus, qui sont en conflit, pour calmer sa femme, et à la guerre (11). Selon un manuel de droit arabe consacré au djihad tel qu’il est défini par les quatre écoles du droit islamique,

« les ulémas [savants] considèrent que la tromperie en temps de guerre est légitime (…) la tromperie est une forme de l’art de la guerre » (12).

De plus, selon Mukaram, cette tromperie est classée comme taqiyya:

« la taqiyya servant à duper l’ennemi est permise » (13).

Plusieurs ulémas estiment que la tromperie fait partie intégrante de l’art de la guerre. Ibn al-‘Arabi déclare, par exemple :

« dans les hadiths [citations et actions de Mahomet], le mensonge en temps de guerre est bien attesté. En fait, le mensonge est davantage souligné que l’obligation de courage ».

Ibn al-Munir (mort en 1333) écrit :

« La guerre est tromperie, la guerre la plus parfaite qu’un saint guerrier puisse faire est une guerre de tromperie et non de confrontation, car la confrontation comporte des risques, tandis que l’on peut obtenir la victoire par traîtrise et sans risque pour soi ».

Quant à Ibn Hajar (mort en 1448), il conseille aux musulmans d’adopter

« une attitude très prudente dans la guerre, tout en se lamentant [publiquement] et en portant le deuil de manière à tromper les infidèles » (14).

Cette conception musulmane de la guerre comme tromperie renvoie à la bataille du Fossé (627), qui opposa Mahomet et ses disciples à plusieurs tribus non musulmanes, connues sous le nom de Al-Ahzab. Parmi ces derniers, Na’im ibn Mas’ud se rendit dans le camp musulman et se convertit à l’islam. Quand Mahomet s’aperçut que les Ahzab n’étaient pas au courant de la conversion de Mas’ud, il lui conseilla de retourner auprès d’eux et de les décider à lever le siège. C’est à cette occasion que Mahomet est censé avoir émis l’adage célèbre, « car la guerre est tromperie ». Mas’ud retourna auprès des Ahzab sans qu’ils sachent qu’il avait changé de camp et, de son côté, il donna des informations fausses à ses anciens amis et alliés. Il s’efforça également de générer des querelles entre les différentes tribus jusqu’à ce que, pleines de méfiance les unes envers les autres, elles finissent par se séparer et lever le siège, sauvant ainsi les musulmans de la destruction dans cette période encore embryonnaire [de l’islam] (15).
Plus récemment, des complices de l’attentat du 11-Septembre, tel Khalid Sheikh Muhammad, ont invoqué, dans leur défense, comme raison de leur rôle dans la conspiration, l’argument du prophète selon lequel « la guerre est tromperie ».
On trouve une autre expression encore plus puissante de la légitimité qu’il y a à tromper des infidèles, dans l’anecdote suivante. Un poète, Ka’b ibn Ashraf, avait offensé Mahomet, lequel s’était exclamé « Qui tuera cet homme qui a blessé Allah et son prophète ? ». Un jeune musulman nommé Muhammad ibn Maslama s’était porté volontaire, à condition que pour s’approcher de Ka’b afin de l’assassiner, il ait la permission de lui mentir. Mahomet lui donna son accord. Ibn Maslama alla voir Ka’b et commença à dire du mal de l’islam et de Mahomet. Il continua ainsi jusqu’à ce que ses paroles soient assez convaincantes pour que Ka’b se fie à lui. Ibn Maslama ne tarda pas alors à se présenter avec un autre musulman et à tuer Ka’b qui ne se méfiait plus (16).
Mahomet a pris d’autres positions qui font de la tromperie une action positive, comme lorsqu’il dit :

« Allah m’a commandé de parler de façon équivoque parmi les peuples, au même titre qu’il m’a commandé d’édicter des obligations [religieuses] » ;

ou encore :

« J’ai été envoyé dans des conditions impénétrables »,

et

« celui qui vit dans la dissimulation meurt en martyr » (17).

Bref, les premières sources historiques de l’islam attestent clairement de l’importance suprême de la taqiyya comme d’une forme islamique de guerre. De plus, les premiers musulmans sont souvent décrits comme capables de se sortir de situations difficiles grâce au mensonge, notamment en reniant ou en insultant l’islam et Mahomet avec l’approbation de ce dernier – son seul critère étant que leurs intentions (niya) soient pures (18). Au cours des guerres contre les chrétiens, à chaque fois que les chrétiens avaient le pouvoir, la pratique de la taqiyya devint même plus totale. Ainsi que l’affirme Mukaram :

« la taqiyya était utilisée comme un moyen, pour les musulmans, de repousser le danger, en particulier aux moments critiques où leurs frontières étaient l’objet de guerre avec les Byzantins, et, plus tard, l’objet des raids [croisades] des Francs et des autres » (19).

La taqiyya dans la révélation coranique
Le Coran lui-même apporte d’autres témoignages concernant la taqiyya. Puisque Allah est censé être la source de ces versets révélés, il est considéré comme étant Lui-même implicitement le perpétrateur absolu du mensonge, ce qui n’a rien de surprenant puisque il est décrit dans le Coran comme étant le meilleur makar, c’est-à-dire fourbe, trompeur (par exemple : 3:54, 8:30, 10:21).
Alors que les autres Ecritures saintes contiennent des contradictions, le Coran est le seul texte à propos duquel les commentateurs ont développé une doctrine pour rendre compte des changements visibles d’une injonction à une autre. Un lecteur attentif ne peut manquer de remarquer les versets contradictoires du Coran, notamment la façon dont les versets de paix et de tolérance se retrouvent quasiment côte à côte avec des versets de violence et d’intolérance. Les ulémas furent embarrassés, au départ, pour décider à partir de quels versets codifier l’ordre social de la chariah : celui qui affirme que la religion ne peut exercer de coercition (2:256), ou celui qui ordonne aux croyants de combattre tous les non-musulmans jusqu’à leur conversion, ou au moins leur soumission à l’islam (8:39, 9:5, 9:29) ? Pour résoudre ce dilemme, les commentateurs ont développé la doctrine de l’abrogation, qui, en gros, stipule, quand il y a contradiction, que les versets révélés à Mahomet tardivement prennent le pas sur ceux formulés au début de sa vie. C’est ainsi que, pour déterminer quel verset abroge quel autre, une science théologique consacrée à la chronologie des versets du Coran a été créée (on l’appelle an-Nasikh wa’l Mansukh – ce qui abroge et ce qui est abrogé).
Mais pourquoi y aurait-il une contradiction ? La réponse classique est que, dans les premières années de l’islam, Mahomet et sa communauté étant largement inférieurs en nombre aux infidèles avec lesquels ils étaient en concurrence et qui vivaient avec eux à la Mecque, un message de coexistence pacifique était de rigueur. Cependant, après l’exil des musulmans à Médine, en 622, et le développement de leur force guerrière, les versets les incitant à l’offensive leur furent progressivement « révélés », c’est-à-dire en principe envoyés par Allah, à mesure que la puissance des musulmans augmentait. Dans les textes juridiques, ces versets sont classés en différentes catégories : passivité face à l’agression ; permission de répliquer face à des agresseurs ; commandement incitant à combattre les agresseurs ; commandement incitant à combattre tous les non-musulmans qu’ils aient été initialement agresseurs ou pas (20). Le développement de la puissance musulmane est la seule variable fournie pour expliquer ces changements graduels de politique.
D’autres érudits renforcent cette conception en soulignant que sur une période de 22 ans, le Coran a été révélé petit à petit et a d’abord privilégié des versets ne réclamant pas d’action et restant de nature spirituelle avant de passer ensuite à des prescriptions et des injonctions réclamant de diffuser la foi par le djihad et la conquête, et ce de manière à ne pas rebuter les premiers convertis musulmans face aux devoirs qui sont ceux de l’islam, et éviter qu’ils ne soient découragés par les obligations importantes qui n’apparaîtront que dans les versets plus tardifs (21). Ces versets – tel celui qui dit : « Il vous est prescrit de combattre, même si cette prescription, vous l’avez en horreur » (22), auraient été déplacés à un moment où la guerre n’était pas pensable.
Quelles que soient les interprétations de l’abrogation dans le Coran, l’opinion commune sur la question des versets concernant la guerre et la paix est que, quand les musulmans sont en position de faiblesse, ou minoritaires, ils doivent prêcher et être fidèles à l’éthique des versets mecquois (paix et tolérance) ; alors que, lorsqu’ils sont en position de force, ils doivent passer à l’offensive sur la base des commandements figurant dans les versets de Médine (guerre et conquête). Les avatars de l’histoire islamique témoignent de cette dichotomie et se reflètent dans le proverbe communément admis parmi les musulmans et qui se fonde sur un hadith, selon lequel le djihad doit être réalisé par la main (par la force), ou sinon, par la langue (par le prêche), et si cela n’est pas possible, par le cœur ou par les intentions secrètes de chacun (23).

La guerre est éternelle
Que l’islam légitime la tromperie dans le cadre de la guerre n’a, bien sûr, rien d’étonnant. Après tout, comme l’a formulé un auteur élizabéthain, John Lyly, « tout est bon, en amour comme à la guerre » (24). D’autres philosophes ou stratèges non musulmans, comme Sun Tzu, Machiavel et Thomas Hobbes, ont justifié la tromperie dans la guerre. Tromper l’ennemi dans le cadre de la guerre relève du bon sens. La différence cruciale avec l’islam, c’est que la guerre contre l’infidèle est considérée comme permanente, et dure, selon le Coran, jusqu’à ce que « cesse tout chaos et que toutes les religions appartiennent à Allah » (25). Dans son article sur le djihad de l’Encyclopaedia of Islam, Emile Tyan remarque :

« le devoir de jihad existe aussi longtemps que la domination universelle de l’islam n’a pas été atteinte. La paix avec les nations non musulmanes n’est donc que provisoire, et seul le hasard des circonstances peut la justifier de manière provisoire » (26).

De plus, et pour en revenir à la doctrine de l’abrogation, des érudits musulmans comme Ibn Salama (mort en 1020) s’accordent pour dire que le verset 9:5 du Coran, connu sous le nom de ayat as-sayf, ou verset du sabre, abroge environ 124 des versets mecquois plus pacifistes, car cela inclut « tous les versets coraniques qui prêchent autre chose qu’une offensive totale contre les non-croyants » (27). En fait, les quatre écoles de la jurisprudence sunnite sont d’accord pour dire que

« le djihad consiste à faire la guerre aux infidèles qui, après qu’on leur ait enjoint d’embrasser l’islam, ou au moins de payer une [jizya] et de vivre soumis, ont refusé de le faire » (28).

Le caractère obligatoire du djihad est clairement exprimé par la vision du monde dichotomique qui oppose le « royaume de l’islam » au « royaume de la guerre ». Le premier s’appelle, dar al-Islam, ou « règne de la soumission », et représente le monde où domine la chariah. Le second, dar al-Harb, ou règne de la guerre, représente le monde non-islamique. Le combat se perpétue jusqu’à ce que le règne de l’islam engloutisse le monde non-islamique. Cet état de fait est celui qui existe encore aujourd’hui. Le très célèbre historien et philosophe musulman, Ibn Khaldun, (mort en 1406) formule clairement cette opposition :

« Dans la communauté musulmane, le djihad est un devoir religieux en raison de l’universalisme de la mission musulmane et de l’obligation de convertir tout le monde à l’islam par la persuasion ou par la force. Les autres groupes religieux n’avaient pas une mission universelle et le djihad n’était pas un devoir religieux pour eux, excepté pour des raisons défensives. Mais l’islam est obligé de conquérir le pouvoir contre les autres nations » (29).

Enfin, indépendamment de tous les faits avérés, il est bon de noter — à moins qu’on puisse encore trouver déraisonnable qu’une foi ayant un milliard d’adeptes oblige à déclencher en son nom des guerres sans raison — que l’expansionnisme djihadiste est considéré comme un acte altruiste, un peu à la manière de l’idéologie du « fardeau de l’homme blanc » au XIXe siècle. Selon cette logique, que le monde vive en démocratie sous le socialisme, le communisme ou tout autre système de gouvernance, il vit inévitablement enchaîné dans le péché, car le bien suprême de l’humanité réside dans l’accord avec la loi d’Allah. Dans ce contexte, la tromperie musulmane peut être considérée comme un moyen, légèrement inférieur en noblesse, dans un but glorieux : l’hégémonie islamique du règne de la chariah, en tant qu’elle est bonne pour tous, musulmans comme non-musulmans.
Cette conception n’a en fait rien de neuf. Peu après la mort de Mahomet, en 634, avec la déferlante de guerriers du djihad, venue de la péninsule arabique, un commandant perse, qui ne devait pas tarder à succomber à l’invasion, demanda aux musulmans ce qu’ils désiraient. La réponse – mémorable – fut la suivante :

« Allah nous a envoyés ici afin que nous puissions libérer ceux qui le désirent de la servitude de leurs maîtres terrestres et en faire les serviteurs d’Allah, afin de transformer leur misère en richesse et les libérer de la tyrannie et du chaos des [fausses] religions et leur apporter la justice de l’islam. Il nous a envoyés pour apporter sa religion à toutes ses créatures et leur lancer un appel pour qu’ils rejoignent l’islam. Tous ceux qui accepteront cet appel seront saufs et nous les laisserons en paix. Mais quiconque refuse cet appel sera combattu jusqu’à ce que nous accomplissions la promesse d’Allah » (30).

Mille quatre-cent ans plus tard, en mars 2009, le juriste saoudien, Basem Alem, se fit l’écho de cette conception :

« En tant que membre de la vraie religion, j’ai davantage de droit à envahir les autres afin d’imposer un certain mode de vie [la chariah], dont l’histoire a démontré qu’il était le meilleur et le plus juste parmi toutes les civilisations. Tel est le véritable sens du djihad offensif. Quand nous nous engageons dans le djihad, ce n’est pas pour convertir les gens à l’islam, mais pour les libérer du sombre esclavage dans lequel ils vivent » (31).

Et il va sans dire que la taqiyya au service d’un tel altruisme est permise. Par exemple, très récemment, après avoir raconté une histoire où un musulman force un Juif à se convertir à l’islam en lui disant que s’il renonçait à l’islam, les musulmans le tueraient pour apostasie, l’imam Mahmoud al-Masri a parlé d’une « magnifique tromperie » (32). Après tout, d’un point de vue islamique, c’est le Juif qui a été le bénéficiaire de cette tromperie puisqu’elle l’a fait entrer dans l’islam.

Trèves et traités
La nature perpétuelle du djihad est soulignée par le fait, soutenu par les juristes, que 10 ans est la durée maximale de paix pour les musulmans avec les infidèles. Une fois que le traité a expiré, la situation doit être réévaluée. Ils s’appuient sur le traité de paix d’Hudaybiya ratifié en 628 par Mahomet et ses ennemis Quraysh à la Mecque. L’exemple de Mahomet qui brisa ce traité au bout de deux ans (en prétextant une infraction des Quraysh) montre que la seule fonction d’une trève est de permettre aux musulmans s’ils sont affaiblis de gagner du temps et de se regrouper avant une nouvelle offensive (33) :

« Par leur nature même, les traités doivent avoir une durée temporaire, car, dans la théorie juridique musulmane, les relations normales entre territoires musulmans et non-musulmans ne sont pas pacifiques mais guerrières » (34).

En se fondant sur ce point,

« les fuqaha [juristes] sont d’accord pour considérer une trève illimitée comme illégitime, si les musulmans sont en position assez forte pour repartir en guerre contre les non-musulmans » (35).

Bien que la chariah demande aux musulmans d’honorer les traités, il existe donc une sortie possible qui est propice aux abus : si les musulmans pensent, même sans preuves solides, que leurs ennemis vont rompre le traité, ils peuvent le briser les premiers. De plus, certaines écoles de droit islamique, comme celle des Hanafites, affirment que les responsables musulmans peuvent abroger les traités tout simplement si cela semble être à l’avantage de l’islam (36). Cela n’est pas sans rappeler le hadith canonique suivant :

« si tu fais serment de procéder à une action et que tu te rends compte, plus tard, qu’une autre action est meilleure, alors tu devras renier ton serment et faire ce qui est mieux » (37).

Et qu’y a-t-il de mieux et de plus altruiste que de rendre la parole d’Allah dominante en déclenchant à nouveau le djihad dès que possible ? Traditionnellement, les dirigeants musulmans lançaient un djihad au moins une fois par an. Ce rite est particulièrement remarquable chez les sultans ottomans, qui passaient la moitié de leur vie sur le champ de bataille (38). Le devoir de djihad était tellement important, que les sultans n’avaient pas le droit d’effectuer le pèlerinage à la Mecque – qui est pourtant un devoir individuel pour chaque musulman. C’est leur prise en main du djihad qui a permis à ce rite collectif de perdurer, autrement, il serait tombé en désuétude (39).
Pour résumer, le prérequis pour la paix ou la réconciliation est que les musulmans aient l’avantage. C’est ce que démontre un texte sunnite qui fait autorité, Umdat as-Salik, écrit par un érudit égyptien du XIVe siècle, Ahmad Ibn Naqib al-Misri :

« On doit trouver un bénéfice [maslaha] à la trève, autre que le seul status quo, car [il est écrit] :
« Ne soyez pas pusillanimes en offrant la paix à l’ennemi quand vous êtes les plus forts ! » [Coran, 47:35] » (41).

On rappellera un épisode plus récent, et qui est d’une importance majeure pour les dirigeants occidentaux qui recommandent la coopération avec les islamistes. Yasser Arafat venait de négocier un traité de paix qui avait été vivement critiqué comme concédant trop de choses à Israël. Il s’adressa alors à une assemblée musulmane dans une mosquée de Johannesburg, et se justifia en ces termes :

« Je considère cet accord au même titre que l’accord signé par notre prophète Mahomet et les [Banei] Quraysh de la Mecque » (42). En d’autres termes, comme Mahomet, Arafat n’avait donné sa parole que pour la renier une fois que la situation le permettrait, c’est-à-dire quand les Palestiniens seraient à nouveau en position de passer à l’offensive et de reprendre la route de Jérusalem. Dans d’autres contextes, Hudaybiya a fait figure de mot-clé pour les islamistes radicaux. Le Moro Islamic Liberation Front avait trois camps d’entraînement au sein du complexe d’Abu Bakar dans les Philippines et l’un d’eux s’appelait Camp Hudaybiya (43).

L’hostilité sous les traits de la récrimination
Dans les discours à destination des opinions publiques européennes ou américaines, les islamistes soutiennent que le terrorisme qu’ils exercent contre l’Occident n’est que la réciprocité de décennies d’oppression occidentale ou israélienne. Mais dans les écrits qui s’adressent aux autres musulmans, cet esprit vindicatif n’est pas présenté comme la réaction à une provocation militaire ou politique, mais comme le produit d’une obligation religieuse.
Par exemple, quand il s’adresse au public occidental, Ousama ben Laden dresse la liste des récriminations qui justifient sa guerre contre l’Occident, depuis l’oppression des Palestiniens jusqu’à l’exploitation de la femme par l’Occident, ou même le fait que les Etats-Unis n’ont pas signé le protocole de Kyoto, ce qui constitue des arguments audibles pour l’opinion occidentale. Jamais il ne justifie les attaques d’Al-Qaïda contre les cibles occidentales par le simple fait que les nations non musulmanes sont par définition des entités infidèles qui doivent être soumises. En fait, il va jusqu’à faire précéder ses messages à destination de l’Occident de phrases comme « la réciprocité fait partie de la justice », ou « paix à tous ceux qui suivent une voie droite » (43), même si ce que le public occidental comprend par là est sans rapport avec ce qu’il met derrière les mots « paix », « justice » ou « droiture ».
C’est quand Ben Laden s’adresse aux autres musulmans que la vérité ressort. Quand un groupe de musulmans de premier plan avait écrit au peuple américain, peu de temps après les attentats du 11-Septembre, pour affirmer que l’islam cherche à coexister pacifiquement (44), Ben Laden avait pris la plume pour les remettre à leur place :

« En ce qui concerne les relations entre musulmans et infidèles, elles sont résumées par ce mot du Très-Haut : ‘Nous vous renions, et désormais l’inimitié et la haine nous séparent jusqu’à ce que vous croyiez en Allah seul » [Coran 60:4]. Il y a donc une inimitié dont la preuve est l’hostilité farouche ancrée dans nos cœurs. Et cette hostilité farouche, c’est-à-dire cette guerre, ne cessera que si l’infidèle se soumet à l’autorité de l’islam ou qu’il est interdit de faire couler son sang [c’est-à-dire s’il est dhimmi, ou minorité protégée], ou si les musulmans sont, à un moment donné, dans une situation de faiblesse qui les empêche d’agir. Mais si la haine s’éteint de nos cœurs, il s’agit alors d’une très grande apostasie ! (…) Telle est la base et le fondement des relations entre l’infidèle et le musulman. Guerre, animosité, haine, infligées par le musulman à l’infidèle, tel est le fondement de notre religion. Et nous considérons que nous faisons ainsi un acte de justice et de bonté à leur égard » (45).

Les quatre écoles classiques de jurisprudence islamique soutiennent cette conception du monde, faite d’hostilité, en parlant des infidèles en termes similaires. Quand Ben Laden s’adresse à l’Occident en parlant de paix et de justice, ce sont des exemples typiques de taqiyya. Non seulement il s’est engagé dans un djihad physique, mais aussi dans une guerre de propagande, ou, en d’autres termes, une guerre de tromperie. S’il parvient à convaincre l’Occident que le conflit actuel est entièrement dû à l’Occident, il pourra gagner à sa cause une plus grande sympathie. Parallèlement, il sait que si les Américains se rendaient compte que rien hormis leur totale soumission ne peut ramener la paix, sa campagne de propagande serait rapidement compromise. D’où ce besoin constant de masquer ses objectifs et de mettre en avant des récriminations, car, comme le dit le prophète de Ben Laden, « la guerre est tromperie ».

Implications
La taqiyya pose un ensemble de problèmes éthiques. Quiconque croit véritablement que Allah justifie, et même, par l’exemple de son prophète, encourage la tromperie, n’aura aucun scrupule éthique à mentir. Prenons le cas d’Ali Muhammad, le premier « formateur » de Ben Laden et longtemps agent d’Al-Qaïda. Egyptien, il a d’abord fait partie du Jihad Islamique et a servi dans le renseignement militaire de l’armée égyptenne. Après 1984, il a travaillé un temps avec la CIA en Allemagne. Quoique considéré comme peu fiable, il a réussi à aller en Californie, où il s’est enrôlé dans l’armée américaine. Il est vraisemblable qu’il a continué à travailler, à un titre ou un autre, pour la CIA. Il a ensuite entraîné des djihadistes aux Etats-Unis et en Afghanistan et est responsable de plusieurs opérations terroristes en Afrique. Les gens qui le connaissaient avaient pour lui

« de la crainte et du respect pour son incroyable assurance, l’impossibilité qu’il avait d’être intimidé, la détermination absolue qu’il avait de détruire les ennemis de l’islam, et sa foi zélée dans les credos du militantisme islamique fondamentaliste » (46).

De fait, cette phrase résume tout : car une croyance zélée aux fondements de l’islam, qui légitime la tromperie pour faire triompher la parole d’Allah, aura sans nul doute un impact considérable sur la capacité à développer cette « incroyable assurance » pour mentir (47).
Pourtant, la plupart des Occidentaux continuent de croire que les mœurs, les lois et les contraintes éthiques musulmanes sont à peu près identiques à celles de la tradition judéo-chrétienne. Avec naïveté ou arrogance, les grands avocats du multiculturalisme projettent leur propre conception du monde sur les islamistes et pensent qu’une poignée de main et un sourire autour d’une tasse de café, assortis de nombreuses concessions suffiront pour démanteler la puissance de la parole de Dieu et des siècles de tradition immuable. Les faits sont têtus : le bien et le mal dans l’islam ont peu à voir avec les critères universels et restent fonction des enseignements propres à l’islam, dont la majeure partie est en opposition totale avec les normes occidentales.
Il faut donc admettre, en contradiction avec des croyances savantes depuis longtemps établies, que, chez les musulmans, la doctrine de la taqiyya va bien plus loin que la seule dissimulation religieuse afin de préserver son existence et concerne le fait de tromper l’ennemi infidèle de manière plus large. La taqiyya étant une seconde nature du chiisme, ce phénomène devrait apporter un contexte éloquent au zèle chiite iranien pour se procurer la puissance nucléaire, tout en insistant sur ses objectifs pacifistes.
La taqiyya ne concerne pas seulement les affaires internationales. Walid Phares, de la National Defense University, s’est déjà plaint de voir des islamistes américains actifs sur le sol américain, et ce sans la moindre entrave, grâce à leur utilisation de la taqiyya :

« Est-ce que notre gouvernement est au courant de cette doctrine et, ce qui est encore plus important, est-ce que les autorités font quelque chose pour que notre système de défense s’adapte à cette menace dormante et invisible qui se développe en notre propre sein ? » (48).

A la lumière du massacre de Fort Hood, quand Nidal Malik Hasan – musulman américain qui montrait de nombreux signes d’islamisme, qui n’ont pas été pris au sérieux – a tué treize de ses collègues, il faut bien malheureusement répondre par la négative.
Le problème est donc le suivant. La loi islamique divise sans aucune ambiguïté le monde en deux parties perpétuellement en guerre — le monde islamique et le monde non islamique — et il considère que la volonté divine est de voir le premier vaincre le second. Si la guerre contre l’infidèle est un état perpétuel, si la guerre est dissimulation et que la fin justifie les moyens, un certain nombre de musulmans concluront naturellement qu’ils ont le droit — d’origine divine — de mentir, tant que c’est utile, selon eux, pour aider l’islam « jusqu’à ce que le chaos cesse et que toutes les religions appartiennent à Allah » (49).
De plus, une telle dissimulation sera considérée comme le moyen d’une fin altruiste. Les ouvertures au dialogue et à la paix ou même à des trèves temporaires doivent être envisagées en fonction de cette doctrine, ce qui n’est pas sans rappeler les observations pratiques faites par le philosophe James Lorimer, il y a plus d’un siècle :

« Tant que l’islam continue d’exister, la réconciliation de ses partisans, même avec les Juifs et les chrétiens, et plus encore avec le reste de l’humanité, restera un problème insoluble » (50).

On peut conclure que face à l’opposition naturelle entre guerre et paix, qui existe dans le cadre occidental, il est plus approprié de parler d’une opposition entre guerre et dissimulation dans le cadre islamique. Car, selon le point de vue islamique, les périodes de paix, qui n’ont lieu que quand l’islam est plus faible que ses rivaux infidèles, sont des périodes de paix simulée et de dissimulation, bref de taqiyya.

Notes
(1) Coran 40:28.
(2) Fakhr ad-Din ar-Razi, At-Tafsir al-Kabir (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2000), vol. 10, p. 98.
(3) Coran 2:195, 4:29.
(4) Paul E. Walker, The Oxford Encyclopedia of Islam in the Modern World, John Esposito, ed. (New York: Oxford University Press, 2001), vol. 4, s.v. « Taqiyah, » pp. 186-7; Ibn Babuyah, A Shi’ite Creed, A. A. A. Fyzee, trans. (London: n. p., 1942), pp. 110-2; Etan Kohlberg, « Some Imami-Shi’i Views on Taqiyya, » Journal of the American Oriental Society, 95 (1975): 395-402.
(5) Sami Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam (London: Mu’assisat at-Turath ad-Druzi, 2004), p. 7.
(6) Devin Stewart, « Islam in Spain after the Reconquista », Emory University, p. 2, accès au site, le 27 nov. 2009.
(7) Voir aussi Coran 2:173, 2:185, 4:29, 16:106, 22:78, 40:28, versets cités par les juristes musulmans comme légitimant la taqiyya.
(8) Abu Ja’far Muhammad at-Tabari, Jami’ al-Bayan ‘an ta’wil ayi’l-Coran al-Ma’ruf: Tafsir at-Tabari (Beirut: Dar Ihya’ at-Turath al-‘Arabi, 2001), vol. 3, p. 267.
(9) ‘Imad ad-Din Isma’il Ibn Kathir, Tafsir al-Coran al-Karim (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2001), vol. 1, p. 350.
(10) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 30-7.
(11) Imam Muslim, « Kitab al-Birr wa’s-Salat, Bab Tahrim al-Kidhb wa Bayan al-Mubih Minhu, » Sahih Muslim, rev. ed., Abdul Hamid Siddiqi, trad. (New Delhi: Kitab Bhavan, 2000).
(12) Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi’l Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina (Cairo: Al-Azhar, 2003), p. 304.
(13) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, p. 32.
(14) Raymond Ibrahim, The Al Qaeda Reader (New York: Doubleday, 2007), pp. 142-3.
(15) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 32-3.
(16) Ibn Ishaq, The Life of Muhammad (Karachi: Oxford University Press, 1997), pp. 367-8.
(17) Shihab ad-Din Muhammad al-Alusi al-Baghdadi, Ruh al-Ma’ani fi Tafsir al-Coran al-‘Azim wa’ l-Saba’ al-Mithani (Beirut: Dar al-Kutub al-‘Ilmiya, 2001), vol. 2, p. 118.
(18) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, pp. 11-2.
(19) Ibid., pp. 41-2.
(20) Ibn Qayyim, Tafsir, in Abd al-‘Aziz bin Nasir al-Jalil, At-Tarbiya al-Jihadiya fi Daw’ al-Kitab wa ‘s-Sunna (Riyahd: n. p., 2003), pp. 36-43.
(21) Mukaram, At-Taqiyya fi ‘l-Islam, p. 20.
(22) Coran 2: 216.
(23) Yahya bin Sharaf ad-Din an-Nawawi, An-Nawawi’s Forty Hadiths, p. 16, accès au site, le 1er août, 2009.
(24) John Lyly, Euphues: The Anatomy of Wit (London, 1578), p. 236.
(25) Coran 8:39.
(26) Emile Tyan, The Encyclopedia of Islam (Leiden: Brill, 1960), vol. 2, s.v. « Djihad », pp. 538-40.
(27) David Bukay, « Peace or Jihad? Abrogation in Islam », Middle East Quarterly, Fall 2007, pp. 3-11, f.n. 58; David S. Powers, « The Exegetical Genre nasikh al-Coran wa-mansukhuhu », in Approaches to the History of the Interpretation of the Coran, Andrew Rippin, ed. (Oxford: Clarendon Press, 1988), pp. 130-1.
(28) Jalil, At-Tarbiya al-Jihadiya fi Daw’ al-Kitab wa ‘ s-Sunna, p. 7.
(29) Ibn Khaldun, The Muqadimmah. An Introduction to History, Franz Rosenthal, trad. (New York: Pantheon, 1958), vol. 1, p. 473.
(30) Hugh Kennedy, The Great Arab Conquests (Philadelphia: Da Capo, 2007), p. 112.
(31) « Saudi Legal Expert Basem Alem: We Have the Right to Wage Offensive Jihad to Impose Our Way of Life », TV Monitor, clip 2108, Middle East Media Research Institute, trad., mar. 26, 2009.
(32) « Egyptian Cleric Mahmoud Al-Masri Recommends Tricking Jews into Becoming Muslims, » TV Monitor, clip 2268, Middle East Media Research Institute, trans., Aug. 10, 2009.
(33) Denis MacEoin, « Tactical Hudna and Islamist Intolerance », Middle East Quarterly, Summer 2008, pp. 39-48.
(34) Majid Khadduri, War and Peace in the Law of Islam (Baltimore: The Johns Hopkins Press, 1955), p. 220.
(35) Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi’l Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina, p. 461.
(36) Ibid., p. 469.
(37) Muhammad al-Bukhari, « Judgements (Ahkaam) » Sahih al-Bukhari, book 89, M. Muhsin Khan, trad., accès au site, le 22 juillet 2009.
(38) Michael Bonner, Jihad in Islamic History: Doctrines and Practice (Princeton: Woodstock Publishers, 2006), p. 148.
(39) Ahmed Akgündüz, « Why Did the Ottoman Sultans Not Make Hajj (Pilgrimage)? » accès au site, le 9 nov. 2009.
(40) Ahmad Ibn Naqib al-Misri, Reliance of the Traveller: A Classic Manual of Islamic Sacred Law (Beltsville: Amana Publications, 1994), p. 605.
(41) Daniel Pipes, « Lessons from the Prophet Muhammad’s Diplomacy », Middle East Quarterly, Sept. 1999, pp. 65-72.
(42) Arabinda Acharya, « Training in Terror », IDSS Commentaries, Institute of Defence and Strategic Studies, Nanyang Technological University, Singapore, May 2, 2003.
(43) « Does hypocrite have a past tense? », for clip of Osama bin Laden, accès au site, le 1er août, 2009.
(44) Ibrahim b. Muhammad al-Shahwan, et al., « Correspondence with Saudis: How We Can Coexist », AmericanValues.org, connection du 28 juillet 2009.
(45) Ibrahim, The Al Qaeda Reader, p. 43.
(46) Steven Emerson, « Osama bin Laden’s Special Operations Man », Journal of Counterterrorism and Security International, Sept. 1, 1998.
(47) Pour une liste des infiltrés dans les organisations américaines, voir Daniel Pipes, « Islamists Penetrate Western Security », Mar. 9, 2008.
(48) Walid Phares, « North Carolina: Meet Taqiyya Jihad », International Analyst Network, July 30, 2009.
(49) Coran 8:39.
(50) James Lorimer, The Institutes of the Law of Nations: A Treatise of the Jural Relations of Separate Political Communities (Clark, N.J.: The Lawbook Exchange, Ltd., 2005), p. 124.

Source:  http://www.meforum.org/2577/taqiyya-regles-guerre-islamique

Et: How Taqiyya Alters Islam’s Rules of War

Rapt électoral…

Le système a peur de la France. Gilbert Collard nous explique.

FDF

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ILS SONT PRÊTS A TOUT

 

 C’est tout le système qui se sent menacé par l’élection possible de Marine le Pen. Un système dépassé et méprisant pour au moins 20%, et peut-être plus, d’électeurs et d’électrices à qui les grands principes disent d’aller se faire voir.

 Le journal du dimanche s’en est  allé jusqu’à  tester l’hypothèse dans laquelle Marine ne serait pas candidate : deux bénéficiaires, Sarkozy et Bayrou, et surtout Sarkozy ! A qui profite le crime contre la libre expression du suffrage universel ?

 A vouloir jouer avec l’histoire au point de croire qu’on peut la truquer, la violer, le président de la République des manigances risque de jouer avec le feu et de subir un retour de flamme. Il s’imagine que l’on peut impunément prendre les français pour des cons, il se trompe gravement !

  Toute une stratégie, qu’il faut dénoncer, a été vicieusement mise en place, pour assurer, coûte que coûte, la réélection du tricheur, et ses complices croient jouer finement…

D’abord, on diabolise, à l’aide des communicants qui traquent l’événement qui, même faux, peut se prêter à la polémique, à l’association malfaitrice des idées, à la rengaine fascisante, nazifiante, comme ce fut le cas pour le bal de Vienne, interdit par leur maitre en propagande, l’ignoble Adolphe.

 On passera sous silence que deux membres de cette fraternité d’étudiants furent du complot contre le monstre.

 On utilise comme rampe de lancement médiatique Sos racisme, une association aidée financièrement autant par la droite que par la gauche, dont la démarche profite, crois- t-on, autant à l’une qu’à l’autre. On est certain que la presse relayera. On lâche, BHL, à la retraite des idées depuis le siècle des lumières, qui a une main droite qui trifouille chez Sarkozy et  une main gauche qui tripatouille chez Hollande, en toute pureté, bien sûr. On exhume un intellectuel de service qui vient pérorer. On laisse ensuite cracher les humoristes, toujours indépendants, toujours drôles, sur les radios et les télévisions, comme si de rien n’était puisqu’ils sont drôles. Sous une forme ou sous une autre de grimace, ils passent le message, Marine c’est Hitler, ses électeurs des cons, ses soutiens des merdes, ses idées de la vomissure ; ils créent l’ambiance répulsive. Ils se moquent des autres, évidement, mais le langage n’est pas le même, la haine drolatique n’y est pas.

 Le champion, c’est sans aucun doute Ruquier, le chouchou du service public, qui multiplie les émissions, et qui s’en donne à cœur joie de présenter Marine comme une merde et le front comme une officine nazi. Même s’il a un humour souvent anal, sa merde fait mouche à longueur d’émission.

 Tout cela serait innocent, du spectacle, du divertissement. Mais allez demander à des élus qui tremblent qu’on se moque d’eux, qu’on les brocarde,  qu’on les associe, en riant bien sûr toujours, à la croix gammée ou à la merde, d’apposer leur signature ? Allez demander à des élus à qui on fournit le faux prétexte moral de dire non et qui subissent des pressions de toutes sortes, de dire oui !

Un jour, toute cette magouille médiatique et politique sera analysée. On y verra clair, et, alors, rira bien qui rira le dernier. En France, on dit qu’il faut mettre les rieurs de son côté, c’est vrai, mais tant qu’ils ont envie de rire.

Je crois que beaucoup de françaises et de français n’auront plus envie de rire si Marine est empêchée d’être candidate, si on braque leur bulletin !

On est en train, sous nos yeux, de bâillonner le suffrage universel par la caricature et la pression. Si Marine n’avait pas ses signatures, ce que je persiste à ne pas croire, il y aura des lendemains démocratiques, des explications à fournir, des comptes à rendre au peuple volé. Les mêmes qui font pression diront alors aux refusants, d’aller se démerder avec leurs électeurs !  Ils n’auront jamais fait pression sur eux, qu’ils assument !

 Le système a peur. Il a peur de la vérité. Il a peur du changement. Il a peur de la France !

 Encore un exemple : Valérie Pecresse?  interrogée dans le cadre de l’émission C/ politique sur l’anonymat des parrainages demandés par Marine le Pen, répond, après avoir chanté son attachement au Général, qu’elle n’aime pas trop ce qui est anonyme car cela renvoie à une mauvaise époque,  dit-elle en gros, je cite de mémoire. Petit moyen encore subliminal de faire un lien entre Marine et le Maréchal, sauf que c’est le Général qui avait voulu l’anonymat ! On se rend bien compte que nous avons affaire à une ligne de propagande pour empêcher la démocratie de s’exprimer 

 Ils sont prêts à tout. Même au rapt électoral !

Source: http://www.gilbertcollard-leblog.com/

Beau coup de filet à Toulouse. Ceux-ci ne sont pas passés entre les mailles.

Encore des « frères »… Ca change des « cousins ». Et puis encore et toujours: « c’est pas moi, m’sieur »…

FDF

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Près de 1 000 cartouches et des armes saisies à La Reynerie

La police avait interpellé les deux mis en cause la semaine dernière.

Les policiers ont mis la main sur un véritable arsenal lors d’une descente, la semaine dernière à La Reynerie. Deux personnes ont été incarcérées.

La descente réalisée en début de semaine dernière cheminement Auriacombe, dans le quartier de la Reynerie à Toulouse, a permis aux enquêteurs du SRPJ de mettre la main sur des armes mais aussi sur un stock de produits stupéfiants.

Deux frères, âgés de 19 ans et 22 ans, ont été arrêtés. Ils ont été incarcérés après leur garde à vue. Le plus jeune est soupçonné d’avoir participé, en août 2010, à une tentative de meurtre sur les policiers de la BAC Mirail. Il est la quatrième personne mise en cause dans cette affaire. Reste à déterminer qui était le tireur. Cette nuit-là, une patrouille était tombée dans un véritable guet-apens. Les policiers avaient été caillassés et ils avaient essuyé des tirs de fusil de chasse.

11 kg de cannabis

Au cours de la perquisition, les policiers ont mis la main sur un véritable arsenal. Un fusil à pompe et plusieurs armes de poing ont été retrouvés ainsi qu’un gilet pare-balles. Près de mille cartouches ont également été découvertes. Une centaine de cartouches de chasse, des balles de 9 millimètres pour armes de poing et fusil-mitrailleur et des balles du calibre civil de certaines armes de guerre qui peuvent être utilisées, par exemple, pour des répliques de kalachnikov.

Beaucoup s’interrogent sur la provenance des armes dans ces cités. Si certaines viennent des pays de l’Est, la majorité n’a pas autant voyagé. « Il ne faut pas tomber dans le fantasme, glisse un policier. Régulièrement, des armes sont dérobées dans des cambriolages chez les particuliers. Après il suffit de scier le canon et la crosse. »

En plus du trafic d’armes, les policiers sont tombés, à la Reynerie, sur des stupéfiants : 11 kg de résine de cannabis et 8 000€.

Les deux frères nient leur implication dans les faits qui leur sont reprochés. Le plus âgé, mis en examen pour trafic de stupéfiants, « conteste absolument, indique son avocat, Me Parra-Bruguière. Je plaiderai sa remise en liberté ce lundi. »

Soupçonné d’avoir participé à la tentative de meurtre contre les policiers, son frère clame lui aussi son innocence. « Mon client nie farouchement. Il y a très peu d’éléments à sa charge », estime Me Périé. Les trois dossiers, trafic de stups, trafic d’armes et tentative de meurtre ont été disjoints.

En visite la semaine dernière à Toulouse, Frédéric Pechenard, le directeur général de la police nationale, a félicité la PJ. « Vous venez de boucler une belle affaire », a-t-il souligné.

Source: http://www.ladepeche.fr/

Gauche caviar: on entretient le mythe…

Il y a cinq ans, le fun était le Fouquet’s. Pour 2012, année du « changement », sera-ce Chez Laurent ??? Continuez à vous foutre de nous… Les restos du coeur, ça ferme à quelle heure???

FDF

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La France d’en bas…

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FRANCOIS HOLLANDE  QUI AVAIT DIT « NE PAS AIMER LES RICHES »    mais qui lui même possède un patrimoine conséquent, et perçoit plus de 30000€/MOIS   donne l’exemple  ……… et, a t il  rajouté dans « DES PAROLES ET DES ACTES »  « QU’IL SAIT OU IL N’IRA PAS FÊTER SA VICTOIRE S’IL EST ELU »  (allusion au FOUQUET’S)     –
 DIEU NOUS PRESERVE D’UNE TELLE ELECTION !!!!!!!

JC JC…

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François Hollande et Bernard Henri-Lévy se sont retrouvés cette semaine pour un déjeuner en tête à tête au très bling-bling Restaurant Laurent. L’occasion sans doute d’évoquer ce brave « peuple de gauche » autour de l’une des tables les plus chères de Paris, et qui sait peut-être « ré-enchanter le rêve français » autour de la célèbre « salade de mâche » du chef… pour la modique somme de 140 euros.

Car quelle cohérence peut-on trouver à un politicien qui prononce le dimanche un discours enflammé contre « l’empire de la finance » et une société pervertie par l’argent-roi… et qui déjeune le mardi dans un quatre étoiles parisien (aux prix ridiculement élevés) avec l’un des « intellectuels » les plus emblématiques de la pensée unique germanopratine ?

A lire le menu du restaurant Laurent, le peuple de gauche doit quelque peu tirer la langue en voyant les agapes de son représentant. La salade de mâche à 140 euros ne constitue en effet qu’une entrée. François Hollande et BHL ont ensuite pu déguster un petit carré d’agneau pour 92 euros avant de terminer sur une note sucrée avec un ananas rôti pour la bagatelle de 30 euros. Espérons qu’ils n’aient pas pris de vin…

On dira ce qu’on voudra, le diner au Fouquet’s de Nicolas Sarkozy était probablement une erreur.

C’est choquant, en France, lorsqu’on est un élu de la nation, d’aller flamber presque la moitié d’un SMIC au restaurant quand les français ont du mal à boucler leurs fins de mois, n’est-ce pas ? Enfin… si on est à droite.

 Car pour les socialistes détenteurs auto-proclamés de la morale, tous les vices sont permis, y compris celui de demander aux Français de se serrer la ceinture et de payer plus d’impôts, tandis qu’on se tape sur les cuisses entre larrons.

François Hollande ne fait pas exception, et sa grande bouffe dépasse même celle de Sark au Fouquet’s.  

Cette semaine, rapporte le Parisien, il est allé déjeuner au très people et extrêmement coûteux  « Chez Laurent » (comptez environ 400 euros par personne à la carte, vin en sus). C’est sans doute pour entretenir la réputation de la gauche caviar, à qui il ne reste de gauche que le caviar.

Si vous êtes surpris du silence des médias sur ce déjeuner de riches, si vous avez l’impression que les journalistes tolèrent très bien les débauches d’argent quand elles sont à gauche, et si vous êtes offusqué de la façon dont le repas au Fouquet’s de Nicolas Sarkozy a été monté en mayonnaise, et celui de Hollande censuré, vous n’avez encore rien vu. Attendez que François Hollande soit élu.

Il vient de démontrer qu’il peut compter sur la servilité des journalistes pour couvrir ses moindres excès.  

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :

© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

Carte du Laurent : http://www.le-laurent.com/fr/carte-et-menus.php

Source: http://www.leparisien.fr/hollande-a-dejeune-avec-bhl

Islamisation: la meilleure riposte est la diffusion de la vérité…

Un excellent billet. A vous de juger.

FDF

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La Valse à trois temps du djihad, par Olaf de Paris

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Cette chronique d’Olaf de Paris est une adaptation libre d’une vidéo de David Wood du groupe Answering Muslims intitulée : Three Stages of Jihad. La vidéo (en anglais) figure à la fin du billet.

Après avoir lu cette chronique, vous saurez pourquoi les chrétiens et les juifs sont considérés comme des quasi sous-humains dans le monde musulman, pourquoi certains sont prêts à tuer pour des caricatures, pourquoi les musulmans sont si prompts à se prétendre victimes de toutes les discriminations, etc.

Malheureusement, nos dirigeants et les bien-pensants ne veulent pas entendre la vérité sur l’islam. Or il faut la connaître car, comme l’écrit Olaf, «le meilleur allié du djihad, c’est l’ignorance crasse. La meilleure riposte : la vérité ! »  

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L’islam ? On n’y comprend rien !

Pour un même coran, voici un musulman paisible, imaginons le commerçant aimable, bon père de famille, bon mari, et tolérant avec ça, des amis chrétiens et athées, bref un musulman parfaitement soluble dans notre monde moderne, et en voici un autre tout vilain, tout barbu, qui voile ses femmes, lapide à qui mieux mieux, coupe une main par-ci par-là, soutient pourquoi pas le terrorisme et œuvre à établir le califat mondial … Et si différents qu’ils sont, ils seraient tous deux aussi musulmans ? Qui représente l’islam alors, qui a raison, notre musulman paisible ou notre barbu ?

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Ouvrons donc notre coran : « Nulle contrainte en religion » (S2 : 256). Une belle parole d’amour de paix et de tolérance, c’est donc notre musulman paisible qui a raison, voilà le vrai islam. Poursuivons la lecture : « Combattez ceux qui ne croient pas en Allah » (S9 : 29). Où sont passés l’amour, la paix et la tolérance ? C’est notre barbu qui a raison ! Quoi ? Ils ont tous les deux raison ? C’est tout de même embêtant ce paradoxe. Un peu comme celui de voir les adeptes de la religion d’amour, de paix et de tolérance réclamer à grands cris un peu de cette tolérance pour pouvoir construire des mosquées et faire manger halal à la cantine de leurs enfants, alors qu’en terre d’islam les chrétiens sont durement persécutés au nom de cette même religion de tolérance. Insoluble énigme de l’islam …

Insoluble ? Pas tant que cela. Car comme souvent avec les totalitarismes, le mode d’emploi est déjà écrit. Tout est là dans les textes, le coran, les hadiths, la sunna. Et ce mode d’emploi, c’est la vie de Mahomet comme elle y est rapportée, la vie de Mahomet comme elle est enseignée aujourd’hui aux musulmans, Mahomet alias « le Beau Modèle », l’exemple à suivre dans la foi, Mahomet qui a prêché et répandu l’islam tant qu’il a pu, Mahomet dont la vie n’aura donc été au final qu’un long djihad* …

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On ne pourra donc jamais voir clair dans cette religion si, à l’aide de l’exemple de Mahomet, on ne décortique pas le djihad tel qu’il l’a pratiqué, et comme il est enseigné depuis. Et de là, on peut en saisir un de ses caractères essentiels : le djihad procède par étapes. 14 siècles d’islamisation du monde en attestent, un même schéma s’est toujours répété, un même plan a toujours été appliqué, que l’on examine les actes des premières communautés musulmanes, les grandes conquêtes, et jusqu’à l’expansion actuelle de l’islam, politique et démographique. Et ce plan, c’est la vie de Mahomet lui même, étapes après étapes. Elle découpe le djihad en trois grandes phases successives, selon le statut des musulmans dans la société dans laquelle ils vivent.

1ère étape : le djihad secret

Lorsque les musulmans sont très minoritaires, que toute tentative de faire prévaloir l’islam par la force, l’intimidation ou la confrontation physique semble vouée à l’échec, ils se doivent, à l’imitation de Mahomet, de prôner la paix et la tolérance avec les infidèles. C’est ce que faisait Mahomet et ses premiers adeptes, lorsqu’ils vivaient à la Mecque et y formaient un groupe religieux ultra minoritaire au milieu des païens, des Juifs, des judéo-nazaréens et de tous ces Mecquois d’alors. Ils avaient beau critiquer les croyances des infidèles, ils étaient réputés prêcher la tolérance ; ils laissaient à Allah le soin de les punir tous plus tard, un jour, après leur mort, et en attendant, ils vivaient en paix avec eux. Les versets du coran à cette époque le reflètent bien :

« Dis : Ô vous les infidèles !  Je n’adore pas ce que vous adorez ;  pas plus que vous n’adorez ce que j’adore ! Je ne suis pas adorateur de ce que vous adorez et vous n’êtes pas adorateurs de ce que j’adore. À vous votre religion, et à moi la mienne » (S109).

Ne voilà-t-il pas une vraie religion d’amour, de paix et de tolérance, hein ? C’est ce que nous disent les musulmans établis en occident, en citant précisément ce verset. Et pourtant, alors même que Mahomet prêchait ce verset de pur amour, nous savons qu’en secret, il conspirait à conquérir tous les infidèles. Il tentait de se gagner des adeptes en leur promettant la victoire sur les non-arabes. Al Tabari, historien de l’islam du IXème siècle le rapporte dans ses chroniques, à propos d’une rencontre qu’avait organisée l’oncle de Mahomet, Abou Talib, avec quelques membres éminents de la tribu de Mahomet scandalisés par ses prédication très véhémentes contre leurs croyances :

« Abou Talib fit chercher le Messager d’Allah, et lorsqu’il entra, il lui dit : « Mon neveu, voici les cheikhs et les nobles de ta tribu. Ils réclament justice contre toi, que tu cesses d’insulter leurs dieux, et ils te laisseront ainsi à ton dieu ». « Mon oncle », dit-il, « Ne devrais-je pas les exhorter à croire à ce qui est mieux pour eux que leurs dieux ? » « A quoi les exhortes-tu ? » demanda-t-il. Il répondit « Je les exhorte à proférer les paroles grâce auxquelles les Arabes se soumettront à eux et grâce auxquelles ils règneront sur les non-Arabes ». Abou Jahl lui dit alors au cours de cette réunion « De quelles paroles s’agit-il, par le nom de ton père ? Nous les proférerons, et les répèterons dix fois. » Il répondit « Il n’y a de dieu qu’Allah. » (The History of al-Tabari, vol. 6, Muhammad at Mecca, édition en anglais du State University of New York Press**).

Etonnante révélation n’est ce pas ? Voici le prophète de la religion de tolérance qui, alors même qu’il prêche la paix et la tolérance à la Mecque pour lui même, abuse de la tolérance dont ses contemporains faisaient preuve envers l’islam naissant pour non seulement prêcher l’insulte et le sacrilège envers leur religion, mais également la sédition armée. Il s’agissait tout de même de convaincre secrètement les chefs politiques de la Mecque, ses compatriotes, de rejoindre sa religion pour en retirer tous les bénéfices de la conquête armée des infidèles qu’il prévoyait déjà. Infidèles qui au passage ne lui avaient rien demandé.

Et là, bizarrement, que nous évoque cet épisode ? Combien de fois avons-nous pu voir des responsables musulmans soi-disant modérés dans nos pays occidentaux rivaliser de propos mielleux en public, y prôner la paix et la tolérance, pour mieux prêcher la ségrégation religieuse et la sédition en privé, auprès de leurs coreligionnaires ? Cette fameuse pratique du double langage des islamistes, dénoncée par exemple par Caroline Fourest, trouve sa justification dans la conduite même de Mahomet à la Mecque, alors en situation ultraminoritaire. Et un élément clé de cette première étape du djihad, c’est la taqiya, le fait de dissimuler aux infidèles les intentions réelles de conquête poursuivies par l’islam, de feindre la bonne amitié pour protéger la communauté musulmane de la réaction légitime de défense que pourraient avoir ces infidèles. C’est noir sur blanc dans le coran, époque mecquoise :

« Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux. Allah vous met en garde à l’égard de Lui-même » (S3 : 28).

Grosso modo, pas d’amis infidèles, c’est défendu, sauf si vous cherchez à vous en protéger parce que vous êtes en situation de faiblesse au milieu d’eux, par exemple en minorité. Auquel cas vous êtes en droit de les tromper en feignant des rapports d’amitié envers  eux alors même que vous les détestez en votre for intérieur. C’est l’exégèse qu’a faite Ibn Kathir, « savant » de l’islam du 14ème siècle, de cette citation du coran. Il s’est appuyé pour cela sur ce très sérieux hadith attribué à Abou Darda, compagnon du prophète, témoin de première main, « Certes, nous sourions à des gens que nos cœurs maudissaient » (rapporté par Boukhari), hadith concernant l’attitude de la première communauté musulmane envers les infidèles. Ah, cette époque bénie de l’islam de la Mecque, le puits sans fond de douceur et d’amour que c’était…

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Autre élément clé qui caractérise cette première étape du djihad, c’est l’usurpation d’un statut de victime : les musulmans d’aujourd’hui soutiennent que Mahomet et ses premiers adeptes ont été persécutés à la Mecque à cause de leur foi nouvelle. Et ces premiers n’hésitent pas d’ailleurs à faire le parallèle entre leur situation actuelle de musulmans soi-disant persécutés, minoritaires dans un occident hostile, avec celles de la première communauté. Et pourtant, à y regarder de près, les premiers musulmans n’ont pas été persécutés en raison de leur foi, ils ont été laissés totalement libres de la pratiquer dans un premier temps ; ils n’ont été persécutés que pour avoir insulté la foi, les croyances, les dieux, les coutumes, les traditions et in fine les lois des Mecquois d’alors, au point de braquer complètement ces derniers. Al Tabari le rapporte ainsi :

« Alors fut révélé le verset suivant « Vous serez, vous et ce que vous adoriez en dehors d’Allah, le combustible de l’enfer, vous vous y rendrez tous » [S21 : 98]. Le prophète vint à la mosquée et proclama ce verset devant le peuple. Les hommes se tournèrent tous contre lui, l’expulsèrent de la mosquée et se rendirent ensuite auprès d’Abou Talib [cet oncle de Mahomet qui le protégeait]. Ils lui dirent : notre patience est à bout. Ton neveu insulte nos divinités. Il a introduit une religion nouvelle, et nous l’avons supporté. Il nous a insultés en disant que nous et nos pères irons en enfer, et nous l’avons supporté. Maintenant il se met à insulter nos dieux. Dis-lui qu’il fasse ce qu’il voudra, mais qu’il n’attaque pas nos dieux ; qu’il s’occupe de son dieu et de sa religion. S’il ne le fait pas, nous le frapperons et nous le chasserons de la ville. » ***.

Et que croyez-vous qu’il arriva ? Il ne l’a pas fait, il a donc été frappé et chassé de la Mecque. Mais avant de discuter des conséquences importantes de cet événement (l’hégire), notons bien à quel point les Mecquois païens d’alors se sont montrés tolérants si longtemps envers Mahomet, si tolérants envers sa conduite indigne vis-à-vis d’eux et si tolérants envers sa nouvelle religion. Et surtout notons bien que Mahomet n’a pas été persécuté pour sa foi mais pour avoir dépassé dans l’insulte et le sacrilège tout ce que les Mecquois étaient prêts à entendre, s’attaquant à ce qu’ils avaient de plus cher (toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ne saurait être que fortuite, bien entendu ; ce que nous avons de plus cher, n’est absolument pas remis en cause, ni nos morts, nos pays, nos traditions, nos lois, ni non plus notre conception de l’Homme, de l’égalité, de la laïcité, et autres sornettes). Et Mahomet de sauter sur l’occasion pour s’arroger ce statut de victime de persécution religieuse, et d’accuser les Mecquois de toutes les forfanteries, une preuve de plus de l’ancrage profond dans l’islam de ce double langage, ce deux poids deux mesures : insulter les croyances, mœurs et traditions des autres, aussi tolérants soient-ils, c’est l’islam, c’est hallal, c’est normal, c’est juste ; que face à ces attaques incessantes, les autres le fassent à leur tour à propos de l’islam,  c’est de la persécution, c’est de l’islamophobie, et cela l’était déjà en 622 !!! C’est là un des buts recherchés par le djihad secret : par cette fausse victimisation, il s’agit de donner à l’islam un statut de religion privilégiée dans la société, de rendre insupportable l’islamophobie des infidèles tout en escamotant l’infidèlophobie des musulmans … Cela marchait du temps de Mahomet, c’est exactement la même chose aujourd’hui.

Mais la persécution a tout de même fini par s’abattre sur Mahomet et le chasser de la Mecque, à juste titre semble-t-il. Et ce fut une bénédiction pour le développement de l’islam. Sectateurs chrétiens, juifs ou païens d’Abyssinie ou de Yathrib (qui deviendra Médine) ont volé à son secours de pauvre victime, l’accueillant et le protégeant des vilains islamophobes de la Mecque – et tout cela alors même qu’il nourrissait déjà le plan secret de conquérir tous ses bienfaiteurs … Et Mahomet et ses adeptes ont pu alors se renforcer, nouer des alliances guerrières, et d’un seul coup, le message du coran a alors changé de sens …

2ème étape : le djihad défensif

Lorsque les musulmans à Yathrib ont eu disposé de suffisamment de fidèles, de troupes, de forces pour défendre la communauté contre les attaques, les persécutions, ou mêmes les simples critiques, Mahomet s’est vu révéler de nouvelles sourates engageant les musulmans à combattre ceux qui pouvaient poser une menace physique ou intellectuelle à l’islam et à son développement. Et que voilà de la révélation tombe à pic :

« Toute autorisation de se défendre est donnée aux victimes d’une agression, qui ont été injustement opprimées, et Dieu a tout pouvoir pour les secourir. Tel est le cas de ceux qui ont été injustement chassés de leurs foyers uniquement pour avoir dit : Allah est notre Seigneur ! » (S3 : 39-40, datée des premiers temps suivant l’hégire).

Et le coran de réécrire l’histoire, puisqu’il stipule ici que les musulmans auraient été chassés de la Mecque pour leur foi en Allah, alors que nous avons vu clairement qu’ils l’ont été pour leur conduite insultante envers des Mecquois pourtant très tolérants. Et l’on voit avec cet extrait du coran (la parole incréée de Dieu, tout de même, ne l’oublions pas) à quel point le statut de victime revendiqué à tort est capital : il justifie au nom de Dieu « l’autorisation de se défendre », ce qui en langage clair, après étude des actes du prophète, veut tout simplement dire le terrorisme. Effectivement, qu’a alors fait Mahomet ? Il a entraîné ses adeptes et ses alliés dans une guerre de harcèlement contre les caravanes des Mecquois, les attaquant de nombreuses fois sans que les Mecquois ne répliquent. Mais lors de la septième attaque, qui se soldera par force tueries, pillages et rafles de butin et d’esclaves, certains de ses suivants vinrent questionner le Beau Modèle : celui-ci les avait en effet menés au combat en plein mois saint (et non, Mahomet n’a pas inventé le ramadan, il existait avant lui) ce qui pouvait grandement fâcher Dieu (sans parler des conventions de la guerre de cette époque, que respectaient entre autres les Mecquois – puisqu’on vous dit qu’il s’agit de terrorisme !). Et là, comme précédemment, voici qu’arriva une nouvelle révélation fort opportune :

« Ils t’interrogent aussi sur le mois sacré et s’il y est permis de combattre. Réponds-leur : certes, combattre en ce mois est un vrai sacrilège ! Mais éloigner les gens de la Voie de Dieu, renier Dieu, détourner les fidèles de la Mosquée sacrée [de la Mecque] et chasser de son enceinte ceux qui l’habitent est un sacrilège bien plus grave encore auprès de Dieu, car la subversion [des musulmans] est plus grave que la guerre.» (S2 : 217).

C’est-y pas beau ? L’islam s’invente un nouveau référentiel moral. Briser la règle de la trêve sacrée du ramadan ? Tuer au risque de déplaire à Dieu ? Mais c’est vous qui avez commencé en nous persécutant et en œuvrant contre l’islam, chiens d’infidèles, et ça, c’est bien plus grave! Alors ne cherchez surtout à pas nous juger !! Deux poids, deux mesures, encore une fois ! Du coup, les Mecquois ont accompagné la caravane suivante d’une garde armée, attaquée bien entendu par Mahomet et sa troupe, et écrasée dans ce que la tradition appelle la bataille de Badr. Ce fut la première véritable bataille rangée entre musulmans et infidèles, et elle résulte précisément de la volonté des Mecquois de protéger leurs caravanes, c’est-à-dire leur gagne-pain, du harcèlement – du terrorisme – que leur faisaient subir les musulmans …

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Et ce ne fut que le début de la longue campagne sanglante qui allait amener Mahomet à la conquête (« défensive » !!) de la Mecque. L’occasion se présenta donc très rapidement pour les alliés de Mahomet, en particulier les tribus juives de Yathrib (devenue Médine), de se rendre compte que les soi-disant victimes innocentes des islamophobes de la Mecque, victimes qu’ils avaient accueillies et protégées chez eux, se révélaient être bien davantage cupides, agressives et violentes que leurs  ennemis Mecquois, leurs pseudo persécuteurs. Mais on ne renverse pas comme cela une alliance avec le prophète de la religion d’amour, de paix et de tolérance. Mahomet n’a pas toléré les remontrances des juifs, et s’est ensuivi le fameux massacre des trois tribus de Médine – massacre, pillage, prises d’esclaves et autres joyeusetés, le pire élément de cette sombre affaire restant que pour la justifier, Mahomet eut la révélation de versets tous plus antisémites les uns que les autres, justifiant la rupture d’alliance et prônant le meurtre et la persécution de ses anciens alliés, révélation remplaçant les versets plus tolérants qui fondaient l’alliance initiale. Point n’est besoin de les citer une fois de plus, tant ils sont abjects, corroborés par les hadiths, et ils le sont d’autant plus qu’ils s’appliquent toujours pour régler les relations des musulmans et des Juifs, particulièrement aujourd’hui. Cela devrait faire réfléchir à deux fois tous les idiots utiles de l’islamisme dans nos pays, toutes ces associations antiracistes, ces petits marquis du politiquement correct volant au secours d’un islam qui les méprise.

Bref, s’opposer à la religion de tolérance, c’est de la subversion, et la subversion est une attaque contre l’islam, « plus grave que la guerre » comme le coran l’enseigne. Et voilà pour la tolérance. Donc, concomitamment, Mahomet lança une campagne d’assassinats contre tous les critiques de sa religion, justifiés au besoin par la révélation de nouveaux versets de coran, agissant comme une sorte de parrain mafieux envers ses ennemis, et glorifiant ceux qui les exécutaient. Des histoires comme celles-là, il y en a plein les hadiths – cherchez donc comment et pourquoi ont été assassinés les poètes Asma bint Marwan, Abou Afak, ou Kaab Ibn Al Achraf, le riche Kinanah Al Rabi, ou encore Al Huqayq, vous verrez combien il est facile de maquiller de religion des crimes politiques des plus sordides et des plus cruels au motif d’une pseudo attaque de l’islam (je vous épargne les subtils raffinements de cruauté employés, lisez pour cela « l’Islam des Interdits », d’Anne Marie Delcambre, vous aurez tous les détails et les références aux textes …). Voilà tout le djihad défensif : à l’exemple de Mahomet, il autorise « religieusement » les musulmans à répondre à toute attaque de l’islam par le meurtre et le terrorisme. Et on l’a vu, la définition d’une attaque est très très large. Lire cet article, par exemple, peut être interprété comme une attaque en règle, et aurait pu mériter votre assassinat « défensif » à l’époque bénie de Mahomet … mais, mais bon sang, il le mérite aussi aujourd’hui puisque rien n’a changé pour nos chers islamistes ! Pensez également aux exemples récents des assassinats de Théo van Gogh, Pim Fortuyn, Salman Taseer, et Shahbaz Bhatti, ou même un peu plus loin d’Anouar El Sadate ou de Mohamed Boudiaf, et aux menaces qui pèsent sur tant d’autres, Salman Rushdie ou Robert Redeker en particulier. Rien n’a changé depuis Mahomet …

3ème étape : le djihad offensif

Lorsque les musulmans disposent de la majorité, ou tout du moins du pouvoir politique, ils sont appelés au djihad offensif. La guerre totale. Il ne s’agit plus de combattre les persécuteurs, ceux qui critiquent l’islam, ceux qui l’attaquent, mais de combattre TOUS les infidèles, pour leur seul tort de ne pas être musulmans, à l’image de la conduite de Mahomet vers la fin de sa prédication, devenu alors le chef militaire incontesté de l’Arabie. Le coran s’est fait alors particulièrement dur …

« Ô Prophète, lutte contre les mécréants et les hypocrites, et sois rude avec eux ! » (S9 : 73).

Et le paradis étant promis aux combattants, alors allons-y franchement, sans remords :

« En vérité, Dieu a acheté aux croyants leurs personnes et leurs biens en échange du Paradis, en vue de défendre Sa Cause : tuer et se faire tuer. » (S9 : 111).

Et si vous cherchez quels infidèles frapper, commencez donc par vos voisins :

« Ô vous qui croyez ! Combattez ceux des infidèles qui vivent dans votre voisinage ! Qu’ils trouvent en vous de rudes combattants ! » (S9 : 123).

Et toujours dans cette sourate 9 :

« Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au jour dernier, ceux qui ne s’interdisent pas ce qu’Allah et Son Prophète ont déclaré interdit, ceux qui, parmi les gens d’Écriture, ne pratiquent pas la vraie religion. Combattez-les jusqu’à ce qu’ils versent directement la capitation [djizia, impôt de la soumission des dhimmis] en toute humilité ! » (S9 : 29).

La cible est nommément désignée, « ceux qui ne croient pas en Allah ». Non plus ceux qui attaquent l’islam, comme dans le djihad défensif, mais tous les non-musulmans, c’est-à-dire le reste du monde … Et les hadiths en rajoutent une louchée, lorsqu’ils font dire à Mahomet que « J’ai reçu l’ordre de combattre les idolâtres jusqu’à ce qu’ils confessent qu’il n’y a d’autre divinité qu’Allah » (selon Abou Hurayra, Sahi Muslim, 30). Hypocrite Mahomet que voilà, le même qui se plaignait d’être persécuté pour ses croyances, à la Mecque il y a quelques années, le voilà qui proclame qu’il doit combattre le reste du monde à cause de ses croyances ! Vraiment, on n’avait encore jamais mis autant d’amour, de tolérance et de paix dans une seule religion !

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C’est ainsi qu’il est arrivé à conquérir l’Arabie, renouvelant sa doctrine religieuse à mesure que ses forces augmentaient, et justifiant ainsi l’usage d’une violence de plus en plus généralisée. Pardon, mon esprit blasphémateur s’égare, je voulais juste signifier qu’Allah, fort opportunément, dans sa toute puissance, lui révélait de nouveaux versets justifiant sa conduite, quitte à ce que ceux-ci contredisent des versets précédents.

Toutefois, le djihad offensif n’est heureusement pas (pas encore ?) généralisé dans le monde contrôlé par les musulmans (il conviendra de faire le distinguo entre le monde contrôlé par les musulmans et le monde soumis à l’islam dans son acception pure). Certains territoires – péninsule arabique et ses lieux saints – sont les territoires de prédilection du djihad offensif, car ils sont jugés stratégiques. Déjà à l’époque de Mahomet, il s’agissait, et il s’agit toujours, de les purifier de toute présence infidèle :

« J’expulserai d’Arabie les Juifs et les chrétiens, et n’y laisserai que des musulmans » a dit le prophète (selon Al Khattib, Sahi Muslim 4366).

C’est toujours aujourd’hui ce qui justifie la peine de mort applicable à tout Juif ou chrétien mettant le pied à la Mecque. Et cette nécessité d’épuration religieuse, voire ethnique, peut s’étendre au-delà de la péninsule arabique. Il suffit pour cela que les islamistes prennent suffisamment de pouvoir, que les territoires deviennent ainsi « dar-al-islam » comme au Pakistan, en Egypte, en Irak, ou au Londonistan, pour que le djihad offensif devienne la règle, au nom de la religion de tolérance, bien entendu.
 

En conclusion

Et voilà donc le plan de l’islam, le plan auquel obéit le djihad, le plan auquel se doivent d’obéir les bons musulmans, calqué sur la vie même de Mahomet le Beau Modèle, et l’histoire de sa prédication, telle qu’elle est enseignée aujourd’hui par les savants de l’islam, telle qu’on la trouve dans le coran, les hadith, les traditions musulmanes.

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1) Le djihad secret : quand les musulmans sont trop faibles pour combattre, ils prônent la paix et la tolérance, cherchent à s’octroyer le statut de victime et à imposer un deux poids deux mesures favorable à l’islam ; dans le même temps, ils préparent secrètement la conquête à venir dans les étapes suivantes.

2) le djihad défensif : lorsque les musulmans sont assez forts pour combattre mais pas encore assez pour soumettre frontalement les infidèles, ils se cherchent des alibis et des faux prétextes d’attaque envers l’islam (le blasphème d’Asia Bibi par exemple) pour pratiquer le terrorisme, intellectuel et politique, envers les ennemis de la religion de tolérance.

3) le djihad offensif : lorsque les musulmans islamistes ont le pouvoir, ils soumettent violemment les infidèles, essaient de gagner de nouveaux territoires et pratiquent ouvertement l’épuration religieuse.

Et l’on peut donc maintenant s’amuser à voir où en sont les différents pays du monde sur l’échelle du djihad … L’Arabie Saoudite en est sans aucun doute à l’étape 3 – écrasante majorité de musulmans, aucune autre religion que l’islam n’y est tolérée, la parfaite application du manuel du djihad offensif. Le Maghreb, de nombreux pays africains, certaines zones d’Europe (les zones de « non-droit ») en sont à la deuxième étape : les musulmans bénéficient à plein des alliances avec les idiots utiles et combattent selon le djihad défensif – terrorisme, églises brûlées, assassinats, persécution des chrétiens et des infidèles … Pour certains pays – Pakistan, Egypte, Irak – on hésite encore entre l’étape deux et l’étape trois. Faisons confiance aux grands défenseurs des libertés et de la démocratie que sont l’administration américaine et ses alliés pour y donner l’ultime pichenette à la religion de paix, d’amour et de tolérance… L’Europe, l’Amérique du Nord, la Russie, et même tout le reste du monde, et bien vous l’avez deviné : nous en sommes à la première étape. L’islam n’y est bien entendu qu’amour et bienfaisance, les musulmans qui y sont établis ne demandent qu’à y vivre comme tout le monde, mais de grands méchants racistes islamophobes haineux les attaquent à cause de leur foi islamique. Heureusement, l’islam peut compter sur un establishment servile pour voler à son secours, tout comme il a bénéficié du temps de Mahomet de la protection des mêmes puissants alliés.

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Et bien voilà, vous avez compris l’islam ! Etait-ce donc si difficile ? Maintenant vous savez pourquoi les chrétiens et les juifs sont considérés comme des quasi « untermenschen » dans le monde musulman, pourquoi certains sont prêts à tuer pour des caricatures, pourquoi les musulmans sont si prompts à se prétendre victimes de toutes les discriminations. Tout est écrit, le mode d’emploi est très clair, mais ceux de nos dirigeants qui devraient absolument le lire se refusent à le faire … Merci les musulmans, leurs leaders, leurs relais d’opinion et leurs idiots utiles dans nos pays, qui ont si brillamment réussi la première étape du djihad qu’ils en ont convaincu nos dirigeants que les seules informations valables sur l’islam sont celles à prendre chez eux.

Pouvons-nous donc alors, quand nos dirigeants se refusent à le faire, continuer d’être aussi consciemment aveugles à propos de cette religion et ses visées de domination violente ? Le meilleur allié du djihad, c’est l’ignorance crasse. La meilleure riposte : la vérité ! Et comme nous ne pouvons pas compter sur la loi, et que nous pourrons de moins en moins compter sur elle (à 15, 20 voire 40% d’adeptes de l’islam dans la société, n’espérons rien de la loi et de la puissance publique pour défendre la laïcité, les valeurs, les traditions et les non musulmans), il faut donc nous prendre en main et diffuser au maximum l’information sur les trois étapes du djihad.

Un dernier point et non des moindres sur nos amis musulmans occidentalisés, et revenons, souvenez vous, à notre musulman paisible que je présentai en introduction. Le djihad secret commande aux musulmans de dissimuler leurs intentions de domination sous les atours de la paix et de la tolérance. Mais si vous parlez de cela à vos amis « musulmans paisibles », ils vous riront au nez, vous traiteront de fou et de paranoïaque, et vous défendront la version que nous connaissons bien de la religion de paix, d’amour et de tolérance. Et ils le feront certainement avec la plus grande sincérité, tant ils ont certainement été davantage influencés par le mode de vie occidental que par l’islam. Ils ont beau prier cinq fois par jour ou jeûner pendant le ramadan, le problème, c’est que ces « musulmans paisibles » ne connaissent que peu de choses de l’islam. Ont-ils seulement lu le coran et les hadiths, se sont-ils imprégnés des traditions, que connaissent-ils réellement de ce dont nous avons discuté dans cet article ? Nos amis musulmans paisibles ne sont en rien une source valide de doctrine islamique. La doctrine islamique est inscrite dans les textes, ce ne sont pas ces musulmans paisibles qui la décrètent, et cette doctrine est très claire pour ce qui relève du djihad. Il nous manque donc une étape dans notre échelle du djihad, c’est celle du degré zéro du djihad, pour ceux qui n’ont aucune idée à propos du djihad. Et parce que cette étape valide de fait l’islam et sa doctrine même sans les connaître parfaitement, parce qu’elle les transmet de génération en génération, elle conduit directement à l’étape d’après …

* djihad à comprendre au sens des efforts réalisés pour répandre la foi musulmane, le seul sens qui m’intéresse … Je laisserai les grands savants de l’islam ergoter pour désigner lequel des djihad de cœur de langue, de main ou d’épée est le vrai djihad de la vraie foi musulmane, je m’occupe ici de ce que je vois, je m’occupe des faits  … En aparté, je me fonde ici sur la version religieuse de la personne et de la vie de Mahomet, telle que défendue par l’islam. Elles peuvent s’éloigner grandement de la vérité historique, mais ce n’est pas le sujet de cet article – plus d’infos dans ma chronique !

**traduite en français par votre serviteur

***toujours dans cette même chronique citée précédemment, mais cette fois-ci dans son édition française ancienne, traduite par Zotenberg

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Three Stages of Jihad, de David Wood : http://youtu.be/ERou_Q5l9Gw

Source: http://www.postedeveille.ca/