Francaisdefrance's Blog

04/02/2012

Ressorti des tiroirs et pour faire plaisir à SOS Racisme…

L’islam des prison (photo L’Express).

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Ca me travaillait ces éternuements de SOS Racisme qui remettaient en cause les dires de Guéant. Et j’aime bien aller au bout des choses. 

Alors, à leur intention, j’ai ressorti ce qui suit… L’islam carcéral et la délinquance sont étroitement liés… On en voit des preuves tous les jours…

On converti, dans les prisons françaises. Où de nombreuses « chances pour la France » y purgent des peines plus ou moins longues. A leur sortie, ils retournent dans leurs cités, dans leurs quartiers, où leur vie continue. Mais là, ils ont un but: tous leurs actes sont « couverts » par l’islam…

FDF

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L’islam première religion dans les prisons françaises

En l’espace d’une quinzaine d’années, l’islam est devenu la première religion revendiquée derrière les barreaux hexagonaux. Miroir grossissant du malaise des banlieues, le phénomène révèle le désarroi d’une jeunesse à la recherche d’un cadre moral, et de plus en plus sourde aux valeurs de la République.

Quatre murs, peints à la hâte, dessinent les traits d’un drapeau tricolore (bleu, rouge et gris). Règne une odeur de moisi. Entre les tables de ping-pong, des paires de baskets jonchent le sol. Là, quatre-vingts détenus, dressés comme un seul homme, les pieds nus sur leur tapis de prière, s’imprègnent du prêche de l’aumônier. Les phrases se succèdent en rafale dans un français approximatif. « Si quelqu’un veut t’entretuer, c’est antimusulman », lâche Missoum Abdelmadjid Chaoui, aumônier régional de l’Ile-de-France/Centre. Jonglant entre l’arabe et le français, l’imam, enveloppé dans sa djellaba d’un blanc immaculé, évoque les « événements qui nous traversent » : l’Irak, la Palestine, l’affaire Ilan Halimi et le « deux poids, deux mesures ». Les caricatures ? « Il n’y a pas de liberté d’expression lorsqu’il y a blasphème », souffle t-il.
Le directeur de l’établissement, indifférent, regarde sa montre. Comme souvent, la prière du vendredi, la seule de la semaine, sera amputée d’un bon quart d’heure pour cause d’activité sportive.
Un homme s’avance. Blond, la barbe naissante, les yeux brillants surmontés d’épais sourcils, David est tout entier absorbé par ce qu’il s’apprête à vivre : sa conversion. L’aumônier descend de son estrade et s’installe dans un face-à-face éclair. « Tu n’agis sous la contrainte de personne ? » « Non », répond le jeune homme, le corps et la tête inclinés. « Tu connais les cinq piliers de islam ? » « Oui. » « Maintenant, répète après moi. » David ne parle pas un mot d’arabe, mais récite docilement la profession de foi. Il s’applique. Deux minutes plus tard, ce « gaulois » de 25 ans, rebaptisé Mohammed, fait ses premiers pas dans la « grande famille des musulmans ». Il jubile. Le résultat, selon lui, de plusieurs de mois de discussions avec son codétenu musulman. L’envie, aussi, de s’armer de certitudes simples, bien tranchées et surtout de s’assagir : « Je veux me tenir bien, garder patience comme Dieu le demande. » Fin de la « récré ». Dans la bousculade, chacun rejoint sa solitude. Les quelques mètres carrés de sa cellule, dans ce bâtiment B où sont entassés les jeunes gars des banlieues, surreprésentés derrière les barreaux de la maison d’arrêt de Nanterre (Hauts-de-Seine). Comme dans nombre de prisons françaises.
« Intégration à l’envers »
En l’espace d’une quinzaine d’années, c’est peu dire que la population carcérale française a connu un bouleversement radical : alors que les musulmans représentent moins de 10 % de la population française, 50 % des détenus, voire 70 % à 80 % dans certaines maisons d’arrêt proches des banlieues sont de cette confession. Loin devant les autres, l’islam est devenu la première religion carcérale de France. Loin devant les autres, même si les statistiques officielles, elles, restent muettes. Dans cet univers qui rappelle étrangement celui des ghettos noirs américains, les « gaulois » convertis, qui s’émancipent, comme David, par l’intégration fusionnelle à l’islam, sont plutôt l’exception. « Ceux qui embrassent l’islam en prison le font en général pour ne pas se sentir exclus ou par mimétisme », note un policier des renseignements généraux, qualifiant ce phénomène d’« intégration à l’envers ».
La règle derrière les barreaux de Fleury-Mérogis, Fresnes, ou Bois-d’Arcy, c’est plutôt celle-là : entassés entre des murs qui se lézardent, les détenus âgés de 18 ans à 29 ans (souvent majoritaires) nés de père maghrébin et issus de culture musulmane, sont dix fois plus nombreux que les autres. Plus que partout ailleurs dans l’Hexagone, le phénomène « black-blanc-beur » reste un fantasme. Une gifle monumentale pour l’intégration à la française. Plus violente encore pour l’administration pénitentiaire et sa mécanique rouillée, qui, plus que toute autre institution de la République, a dû mettre de l’huile dans ses rouages, déchirer le voile opaque de ses habitudes.
Dans la douleur, à en croire le sociologue Farhad Khosrokhavar. Avec son regard tranchant comme une lame de rasoir, ce professeur de l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) décrit les déficiences de prise en charge du rituel musulman : « L’insuffisance de l’armature institutionnelle, voire son insignifiance pour traiter le problème musulman est incontestable », diagnostique t-il. « Je n’ai aucun soutien logistique », témoigne, Abdehlak Eddouck, un des aumôniers musulmans de la centrale de Fleury-Mérogis. En prison, enseigner l’islam semble presque aussi difficile que de le pratiquer : « L’aumônier est un fantôme entre ces murs, pestent, en écho, nombre de détenus de Nanterre, il est toujours trop pressé. »
« Thon, thon et thon »
Farid en sait quelque chose, lui qui n’a jamais rencontré le moindre référent religieux lors de son séjour de neuf mois derrière les barreaux pour un délit qu’il dit n’avoir pas commis. Né à la Martinique dans un milieu de catholiques fervents, ce métis de 29 ans, doux comme un agneau, s’est converti à l’islam à l’adolescence après avoir atterri, avec sa famille, en banlieue parisienne. C’était quatre ans avant de purger sa peine à Bois-d’Arcy. Une blessure qui ne s’est pas refermée : « J’ai beaucoup prié pendant ce temps. Je me disais, Dieu m’éprouve. Le plus dur était de décevoir ma mère et de ne pouvoir pratiquer convenablement ma religion. » Au menu chaque jour de sa détention : « thon, thon et thon », pour éviter d’ingurgiter du porc. « Ma mère apportait des draps pour faire des tapis de prière et il a fallu déchirer la couverture du Coran pour le faire passer en cellule. Auraient-ils fait cela avec la Bible ? »
Pas nécessairement pratiquante, ni assidue dans l’observance des rituels, la population musulmane emprisonnée éprouve néanmoins, de façon unanime, un sentiment d’inégalité, voire d’injustice. L’administration pénitentiaire a dû faire face au problème. A la fin des années 1990, face au vide sidéral qui entoure l’exercice du culte, elle assiste, impuissante et fébrile, à la multiplication des prières collectives sauvages aux fenêtres des cellules, au prosélytisme rampant dans les cellules et dans les cours de promenades. « L’islamisme radical est devenu un phénomène de masse, tranche sans nuance un magistrat de la section antiterroriste du parquet de Paris. Avant, le violeur se faisait casser la gueule. Maintenant, il est récupéré par des individus dotés d’une aura inimaginable. » Du côté des RG, le discours se veut nettement moins alarmiste : « Il faut relativiser ces réseaux islamistes, y déclare-t-on en coulisses. Leurs noyaux actifs recrutent peu en prison. Ces jeunes sont plutôt utilisés pour vol et trafic de faux papiers, mais on ne les retrouve pas au cœur de la machine terroriste. » Selon un récent rapport du même service, véritable radioscopie des fous d’Allah, au sein des 188 établissements pénitentiaires français, moins de 175 individus (sur 64 000) s’adonnent au prosélytisme islamiste, dont une demi-douzaine seulement semblent susceptibles de basculer dans l’action violente. En 2005, les RG n’ont recensé qu’un un peu moins de 200 actes de prosélytisme dans les prisons : appel à la prière collective (30 %), pressions sur les codétenus (20 %), exigences diverses comme l’aménagement de locaux religieux, etc.
Réconcilier la foi et la loi
Un casse-tête tout de même pour l’administration pénitentiaire qui, au-delà de la technique de l’isolement, impossible en termes d’espace, a vite saisi l’intérêt de travailler main dans la main avec les représentants d’un islam considéré comme modéré. L’influent recteur de la mosquée d’Evry (Essonne), proche des autorités marocaines et de l’Arabie Saoudite, Khalil Merroun a, lui, essuyé les plâtres à la centrale de Fleury-Mérogis, un temps gangrenée par l’islamisme radical : « Il y a deux ans, j’y ai trouvé un désert côté religion. Les autres cultes ont peur de partager le gâteau. Seulement, moi, j’ai réussi à créer un vrai dialogue avec les salafistes qui faisaient la prière de façon anarchique. » Ce réconciliateur de la foi et de la loi, comme il se définit lui-même, n’est pas peu fier d’évoquer la guerre des nerfs qu’il aurait remportée contre un système verrouillé à triple tour, pour y introduire de la nourriture hallal, des tapis et des livres de prière. Au compte-gouttes…
Aujourd’hui, seuls trois aumôniers musulmans rémunérés (pour trente catholiques) essaient de répondre aux attentes des milliers de musulmans incarcérés dans les vingt-cinq prisons d’Ile-de-France/Centre. Douze autres le font de façon ponctuelle et bénévole. Mais l’aumônerie musulmane doit aussi, balayer devant sa porte. Ce qui est loin d’être le cas. Minée par des querelles fratricides de plus en plus pathétiques, l’hydre du Conseil français du culte musulman (CFCM) renforce l’image chaotique de l’organisation de ce culte. La priorité : dispenser des formations solides et clarifier le rôle, encore flou, donné aux aumôniers des prisons (au même titre que ceux des hôpitaux, écoles ou casernes). Simples pompiers de l’islamisme radical ? Educateurs ? Prédicateurs ? A la Mosquée de Paris qui dispense, chaque semaine, des cours censés former, en deux ans, des aumôniers, les 20 personnes présentes en ce samedi glacé de février, ont bien du mal à répondre. Quoi de commun entre un imam et un aumônier ? « Leur rôle n’a strictement rien à voir ! », s’emporte un participant. « Il est le même, répond froidement le professeur, apprendre le Coran et le transmettre. » Et surtout refuser de jouer le rôle, taillé sur mesure par les médias, de pompiers de l’islamisme.
Responsable aguerri de l’aumônerie protestante de France, Jean-Marc Dupeux l’explique en une formule : « On n’est pas aumônier antiterroriste comme on pourrait être juge antiterroriste. » Selon l’ancien secrétaire général de la Cimade, cette instrumentalisation reviendrait à trahir cette noble mission qui ne se joue pas sur un terrain politique. « Nous sommes des ni-ni », convient-il. Ni juges, ni surveillants, ni psychiatres. Une oreille pour apaiser la douleur en recueillant la détresse, une parole pour donner un cadre, une respiration.
Fils de leur temps
Une respiration certes vitale pour dénouer l’écheveau des petites rancœurs qui, mises bout à bout, nourrissent les pires frustrations, mais qui n’en demeure pas moins dérisoire. « Un cautère sur une jambe de bois », se désespère un psychiatre de Fleury. « Leur rôle pour apaiser les consciences est quasi nul, mais ne mettez surtout pas cela dans ma bouche ! », entend-on en boucle ici et là, au sein du personnel pénitentiaire. C’est que le nœud du problème se situe ailleurs. A quelques kilomètres des murs de barbelés, dernier maillon d’une chaîne qui a depuis longtemps déraillé : au cœur des banlieues françaises.
« Mauvaises raisons »
Bienvenue à Grigny, dans l’Essonne, un département qui compte de nombreuses conversions à l’islam. Une commune pauvre, peuplée d’immigrés et divisée en deux blocs distincts : Grigny I la Grande-Borne, tristement célèbre depuis une quinzaine d’années, et Grigny II, cité HLM des années 1960 qui va chercher racine dans le Val-de-Seine. « N’oubliez pas Grigny III ! C’est comme ça ici qu’on nomme la prison de Fleury ! », insiste le beau Karim, un des « grands frères » de la cité. Comme lui, de nombreux jeunes ici y ont fait des séjours prolongés ou répétés… De la petite délinquance au crime, la cité est le creuset et le parfait reflet du monde carcéral. Voilà plus de dix ans qu’Amar Henni, ancien éducateur de la ville, arpente cet univers de béton, planté au milieu d’espaces verts trop rares, et dont il connaît chaque recoin. Avec ses embrouilles, ses galères et ses solutions bouts de ficelle. « Ces jeunes, explique-t-il avec tristesse, se sont construits leur propre lecture du monde, ignorant celle de la République. Ils sont les fils de leur temps, plus que de leurs parents, ajoute-t-il, l’œil fermé, pour eux, la religion pose la limite. C’est un échec de nos institutions. » Voilà qui enrage le fougueux Amar, l’inquiète et mobilise en lui la flamme jamais éteinte du militant communiste viscéralement attaché à une certaine idée de la justice et de l’égalité. « Car la politique doit rassembler les gens, or là c’est la religion qui le fait. » La religion encore qui permet de supporter le quotidien, à la Grande-Borne, comme en prison, avec laquelle le cordon ombilical n’est jamais rompu. D’ailleurs, « aujourd’hui, beaucoup de jeunes veulent devenir musulmans pour de mauvaises raisons », confirme Karim. « La foi qui s’empare d’un cœur perdu comme un voleur se barre à corps perdu », écrivait Charles Péguy…
Parangon de justice
Dans les banlieues, comme dans les prisons, leurs miroirs grossissants, l’islam se heurte à un certain nombre de problèmes. A commencer par l’incapacité individuelle et collective de ces jeunes à devenir des citoyens. Moussa, français d’origine camerounaise, en est l’exemple. Ce grand baraqué de 26 ans a déjà passé plus de deux ans et demi derrière les barreaux. En partie pour des délits qu’auraient commis « des frères » qu’il voulait protéger. Mais cela Moussa n’en dira pas un mot, préférant évoquer les raisons profondes de sa conversion à l’islam. « Chez nous, les chrétiens, les parents nous disent “débrouille-toi”. Avec mes sept frères et sœurs, on a manqué de règles. L’islam, que j’ai découvert à 14 ans, m’a apporté cette discipline. » La religion lui enseigne alors « la patience, la solidarité et une certaine éthique ». Plus tard, en prison, des grands frères, « avec qui il n’est pas question de concurrence », lui donnent le sentiment d’appartenir à une communauté effervescente et fraternelle, l’aidant, par le biais de la foi « à croire » en lui. Recroquevillé dans son blouson de cuir, Moussa, toute lueur sarcastique bannie de son visage, évoque les difficultés de la sortie. Son casier, qui lui ferme les portes du monde de l’emploi. « Déjà que c’est dur sans, alors avec », souffle-t-il. Et en revient de façon presque obsessionnelle à l’islam, ce parangon de justice à laquelle il se fie comme pour oublier l’injustice des hommes.
« Pour beaucoup de prisonniers, l’islam correspond à un besoin de se construire un code éthique, avec une insistance sur le respect, le refus de nuire, le refus aussi du mensonge, la quête du droit chemin. Autant de normes que la vie dans les banlieues ne délivre pas » , traduit le sociologue Farhad Khosrokhavar.
Bylal, jeune Laotien élevé dans le chaudron plus tiède du bouddhisme, s’est réveillé, un jour, à l’issue d’une longue phase de coma, hospitalisé derrière les barreaux. Un vol à l’étalage et une course-poursuite avec la police l’avaient catapulté huit mètres en dessous d’un pont. « A cette période, se souvient-il, je faisais des choses malsaines. Je montais sur mes “grandes ailes” pour un rien, j’allumais tout le monde. » Une pratique beaucoup plus assidue de l’islam auquel il s’était converti à l’âge de 12 ans, lui a permis depuis, à l’entendre, de dissiper ce « côté obscur : il m’a donné une personnalité avec des principes. » Et l’a aidé à grandir et à devenir le danseur de hip-hop respecté qu’il est devenu aujourd’hui.
Un état de non-culture quasi absolu
Armés de leur connaissance souvent rudimentaire des textes (« La femme sort de la côte de l’homme, elle n’a pas de cœur », dit Bylal), les jeunes des banlieues (et des prisons) recherchent dans l’islam, ni plus ni moins qu’un code moral, aussi fataliste soit-il, pour briser l’enchaînement de la délinquance. Un moyen, aussi, de dire « merde », par le biais d’une idéologie « simple », aux gens d’en haut, ces « nantis ». De refuser « le culte de l’argent et du profit » qui les a exclus de ses circuits.
C’est tout le problème. « Un amalgame est fait entre banlieue défavorisée et islam, ce qui pousse des “gaulois” à s’en réclamer », regrette le père Thierry David, aumônier à Fleury-Mérogis. En prison, selon lui, le problème serait un soupçon plus poussé : « L’état de non-culture y est quasi absolu. 70 % des détenus sont illettrés et en rupture familiale lourde. Les aumôniers musulmans tentent d’apporter une réponse religieuse à un problème sociologique. Une crise identitaire. Grave erreur ! » C’est en tout cas une question clé : faut-il voir l’islam des banlieues avant tout comme une religion ou une idéologie ?
Un élément paraît déjà certain : sur les cendres du christianisme, la décomposition des mouvements d’extrême-gauche et la dissolution des cultures ouvrières, de nombreux exclus et déshérités de France, y ont trouvé un nouveau cadre moral. « Ma religion, conclut Karim, c’est mon identité. Je suis musulman avant tout. » Faut-il s’en inquiéter ?

Quelques chiffres
Les musulmans qui forment 7 % à 8 % de la population française composent entre 50 % et 80 % des personnes incarcérées. Entre 18 ans et 29 ans, il y a, environ, en prison, neuf fois plus de jeunes issus d’un père maghrébin que de jeunes issus d’un père français. Enfin, les « musulmans » en prison désignent surtout les populations masculines des banlieues (les femmes sont très peu nombreuses), parmi lesquels les jeunes (entre 15 ans et 35 ans) forment la grande majorité.
Source : Farhad Khosrokhavar, l’Islam dans les prisons, Balland, 2004.

Ghaleb Bencheikh dénonce « les imams ignares »
« Des jeunes hommes à l’horizon opaque et qui cherchent leur voie se trouvent entraînés par un phénomène de groupe. La discipline interne à l’islam (interdits alimentaires, prière cinq fois par jour) les séduit. Et certains passages coraniques sont exploités par des prédicateurs et des doctrinaires qui tentent de les instrumentaliser. De nombreux imams ignorants, voire ignares, leur disent en substance qu’ils sont des damnés de la terre, des pauvres dont la rétribution se fera devant Dieu qui les vengera des riches. Malheureusement, l’islam n’a pas encore eu le temps de former des imams gallicans. Dans le même temps, l’œuvre de sécularisation a rendu le vocabulaire de l’Eglise pudique dans sa relation à Dieu. Elle ne parle plus de Dieu mais de transcendance et de spiritualité, tout un vocabulaire un peu incompréhensible pour les jeunes. Les imams eux parlent de Dieu, d’amour, de châtiment, c’est primaire mais plus accessible à leur entendement. Ce qui me paraît plus décisif encore, c’est qu’on leur dit : si tu suis les préceptes coraniques, tu n’auras pas le sida, tu ne te drogueras pas et tu n’iras pas en prison car Dieu est un garde-fou, une balustrade, une balise à nos comportements sur terre, dans un contexte où les aînés juifs et chrétiens vivent dans des sociétés dépravées. De quoi sublimer toutes leurs frustrations par une pratique de la religion ascétique, mécanique, et souvent plus ostentatoire. Un ritualisme desséchant qui n’élève pas nécessairement l’intelligence du cœur et la raison. » Ghaleb Bencheikh est physicien, docteur ès sciences, président de la Conférence mondiale des religions pour la paix, animateur de l’émission Islam sur France 2. Dernier ouvrage paru : la Laïcité au regard du Coran (Presse de la Renaissance, 2005).

Gabriel Mouesca : « La question n’est pas religieuse mais sociale »
– Que vous inspire la surreprésentation des populations de culture musulmane en prison ?
Pour nous, avant d’être des musulmans, ce sont des pauvres. La question n’est donc pas d’abord religieuse mais sociale, car les prisons, depuis une dizaine d’années sont peuplées de jeunes issus de l’immigration et de quartiers eux-mêmes pourvoyeurs de pauvres. Leurs grands-pères furent de la chair à canon, leur père de la chair à patron, les plus jeunes sont devenus de la chair à prison.
– L’institution pénitentiaire s’est-elle bien adaptée à ce phénomène ?
Elle s’y est très mal adaptée. Cela fait à peine deux ans que l’on parle de l’encadrement des musulmans en prison. Qui plus est, la justice n’a réagi que face à la pseudo-radicalisation des détenus. La question de l’islamisme radical est instrumentalisée à des fins politiques. On veut nous faire peur avec le fantasme de « l’islamisation de la société française ». Or, l’activisme des islamistes radicaux en prison est mineur. On n’y fabrique pas les futurs terroristes.

Gabriel Mouesca est président de l’Observatoire international des prisons, ancien détenu libéré après dix-sept ans de détention.

SCHWARZ JENNIFER – Publié le 1 mai 2006 – Le Monde des Religions n°17

Le déni de démocratie de la loi sur les parrainages des maires.

Au tour de Gilbert Collard d’émettre son point de vue.

Il est vrai que cette affaire d’ ultra-transparence des parrainages des maires ressemble autant à un délit de liberté d’expression qu’à des menaces…

Le chantage exercé sur le terrain ne donne pas libre choix aux maires… J’ai moi-même (je l’ai déjà signalé ici) contacté un maire UMP au hasard qui a bien confirmé mes doutes…

http://tinyurl.com/8xhvvf6

Dessin pillé chez DNA…

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Sos Racisme commence par nous « pomper grave..

Que se passe t’il chez SOS Racisme? Ils n’ont plus les subventions habituelles? Ils feraient mieux de s’occuper du récurrent problème du racisme anti-blancs. Ca leur donnerait meilleure presse… Mais ça, ce n’est pas dans leur « programme ».

A signaler que l’on peut se faire une idée sur la délinquance « étrangère » ici: http://tinyurl.com/7gxkzng

Allez visiter les prisons: l’ayant fait moi-même, je peux assurer ici que la population carcérale en France est (je vais être « très gentil) à plus de 60 % constituée de « jeunes issus de l’immigration »… Allez aussi assister aux audiences des tribunaux… Edifiant. Et pour plus d’infos, lisez les « faits divers » dans la presse: les patronymes des délinquants (quand ils sont publiés) ne laissent aucune équivoque.

C’est constatable partout. Alors, les menaces de Sos Racisme…

D’ailleurs, pour ébranler un peu l’arrogance de SOS Racisme: je vous livre un témoignage imparable: http://tinyurl.com/84wq6xw

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Une question suggérant que « le mode de vie des étrangers tournerait autour de la délinquance » aurait été posée sur le site internet de l’UMP.

SOS Racisme a dénoncé, dans un communiqué diffusé samedi matin, « un sondage consternant » diffusé sur le site internet de l’UMP, liant immigration et délinquance. Selon l’association de lutte contre le racisme, une question suggérant que « le mode de vie des étrangers tournerait autour de la délinquance » aurait été posée sur le site internet de l’UMP, « avant d’en disparaître ». Après vérification par l’AFP, cette « question de la semaine » figurait pourtant toujours samedi matin sur le site de l’Union pour un mouvement populaire.

Cette question est ainsi formulée : « Pour lutter plus efficacement contre les actes de délinquance commis par une frange de la population qui a fait de la violation de la loi pénale son mode habituel de vie, doit-on expulser les étrangers auteurs de tels faits ? » « En faisant très clairement le lien entre délinquance et immigration, cette question est de celles qui participent de la stigmatisation des étrangers », déplore SOS Racisme. « En outre, ajoute l’association, à travers cette question, c’est vers une réinstauration pleine et entière de la double peine que l’on oriente les internautes, à l’instar des propos de Claude Guéant au mois de décembre. »

Fin décembre, le ministre de l’Intérieur avait mis la « délinquance étrangère » au menu de la campagne présidentielle. Sur Europe 1, il avait déclaré qu’il entendait faire adopter dans les mois suivants une loi qui permettrait de priver de titre de séjour un étranger qui se rendrait coupable d’un délit grave, dès lors qu’il vit en France « depuis peu de temps » et qu’il n’y a « pas d’attache familiale ». « Nous espérons que l’UMP ne se lance pas, en tant que parti, dans cette course folle vers une démagogie haineuse et que cette question n’est qu’un loupé qui ne se reproduira pas », mettait en garde, samedi, SOS Racisme.

Source: http://www.lepoint.fr/

La grande peur du peuple de France…

Voici une petite vidéo qui va plaire à beaucoup…

FDF

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http://youtu.be/fsfE5HQkhMs

La propagande islamiste… Que de belles choses.

Photo pillée chez Bivouac-ID

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Il est certain que les musulmans qui vont voir cette vidéo vont se sentir encore plus requinqués pour aller casser du juif ou du chrétien. A eux de rester assez intelligents pour ne pas succomber à ce piège tendu par les intégristes…

FDF

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http://www.dailymotion.com/video/xj8yeq_revolte-toi-ou-meurt-nasheed-jihad-soustitre-francais_music

Aide à la Grèce: acharnement thérapeutique ?

Dessin pillé chez Fred

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On se demande, en fait, qui va pouvoir sauver la France. Car ne rêvons pas: nous allons subir le même sort économique… Sortez vos chéquiers, déjà, pour sauver la Grèce.

FDF

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La zone euro pourrait devoir apporter 145 milliards à la Grèce

Ces fonds viendraient en complément à l’effort que s’apprêtent à consentir les créanciers privés d’Athènes. Pour le Premier ministre grec Lucas Papademos, ces accords sont imminents.

Les gouvernements de la zone euro pourraient devoir apporter jusqu’à 145 milliards d’euros de financements publics à la Grèce dans le cadre du second plan d’aide au pays actuellement à l’étude, ont indiqué vendredi 3 février plusieurs sources européennes.

Ces fonds viendraient en complément à l’effort que s’apprêtent à consentir les créanciers privés d’Athènes en acceptant une décote de 50% au moins sur leurs obligations grecques et permettraient au pays de ramener sa dette à environ 120% de son produit intérieur brut d’ici 2020.
« C’est principalement à cause du besoin de recapitalisation des banques grecques après la participation du secteur privé (à la restructuration de la dette) », a dit l’une des sources.
En octobre dernier, les membres de la zone euro s’étaient engagés à contribuer à hauteur de 130 milliards d’euros à ce nouveau plan d’aide, destiné à prendre le relais d’un premier programme de prêts bilatéraux de 110 milliards d’euros décidé en mai 2010.
« La phase finale »
De son côté, le Premier ministre grec Lucas Papademos s’est montré confiant sur la perspective d’un accord dans les jours à venir. « Nous sommes dans la phase finale d’une procédure très cruciale du nouveau programme économique de la Grèce et de la finalisation de l’accord qui va alléger la dette publique et assurera le financement du pays pour les prochaines années », a t-il indiqué dans un communiqué vendredi.
Le Premier ministre grec parie sur un accord simultané, avec d’un côté les créanciers publics (UE, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international), et de l’autre les investisseurs privés

Source: http://www.challenges.fr

Encore des « jeunes en souffrance »…

Photo d’illustration

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Faut confisquer les briquets et les allumettes; si ce n’est pas une punition trop dure pour ces « jeunes en souffrance »… Personnellement, au lieu de s’apitoyer sur leur sort, je leur aurais fait nettoyer les locaux. Mais bon.

Ils n’étaient pas « en souffrance » quand ils ont mis le feu…

FDF

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Montredon-des-Corbières. Des mineurs hospitalisés mettent le feu à leur chambre !

Jeudi soir, six mineurs hospitalisés à la clinique Verdeau-Paillès de Montredon ont mis le feu à une chambre. L’incendie n’a fait aucune victime mais a nécessité l’évacuation de l’établissement.

Vers 21 heures, six des neuf adolescents présents dans l’établissement spécialisé dans le traitement des troubles psychiatriques, ont volontairement mis le feu à un matelas de l’une des chambres. Dès l’apparition des premières fumées, tous les systèmes d’alarme se sont déclenchés dans les locaux. « Nous avons pu réagir très rapidement, explique Patrick Rodriguez, le directeur général de l’ASM (Association audoise sociale et médicale). L’incendie s’est déclaré au moment du changement des services de garde. Les deux équipes, celle de jour et celle de nuit, étaient présentes. Elles ont donc pu procéder très rapidement à l’évacuation des locaux ».

« des jeunes en souffrance »

Quant aux systèmes de sécurité, ils ont parfaitement fonctionné. Lorsque les détecteurs de fumée sont entrés en action, toutes les portes de l’établissement se sont déverrouillées automatiquement permettant au personnel et aux adolescents de quitter les locaux. Mais sur les neuf présents lorsque les flammes ont commencé à dévorer le matelas, six se sont évanouis dans la nature. Deux jeunes filles sont revenues moins d’une demi-heure plus tard, alors même que les pompiers de Carcassonne, épaulés par leurs homologues de Trèbes et de Capendu, venaient de se rendre maîtres du sinistre.

Les quatre derniers adolescents manquant à l’appel ont été retrouvés un petit plus tard dans le quartier par les services de police et remis au personnel soignant de la clinique.

L’enquête de police ne devrait d’ailleurs pas aller plus loin. Hier, Patrick Rodriguez a indiqué que ses services ne comptaient pas déposer plainte à l’encontre des jeunes pensionnaires de la clinique. « Ces jeunes sont déjà suffisamment en souffrance pour ne pas en rajouter » a-t-il précisé.

Hier encore, les services de la clinique ont entamé le nettoyage des chambres touchées par les fumées afin de pouvoir reloger au plus vite les jeunes patients.

Source: http://www.ladepeche.fr/

Grigny: un militant communiste se lache sur les musulmans.

Non mais! C’est de l’incitation à la haine, ça! Ah oui, c’est vrai. Il est communiste; il ne risque rien…

En tout cas, c’est ce qu’on nomme être pris la main dans le sac. Le problème est que la communauté musulmane du coin va tomber de haut; et « mal » voter…

Enfin. « Heureux qui communiste… »

FDF

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DEUX VIDÉOS INTÉRESSANTES   A VOIR   ET ECOUTER ICI :

http://www.al-har.fr/blog/2011/02/24/grigny-essonne-un-militant-de-mr-claude-vazquez-maire-communiste-de-la-ville-se-confit-en-camera-cachee-et-se-lache-sur-les-musulmans/

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Excellent ! Un habitant de la ville de Grigny dans l’Essonne (91) a piégé avec une caméra cachée un militant de Claude Vazquez, le maire communiste de la ville, lors d’une distribution de tracts dans un supermarché.

Alors qu’en façade, la mairie et le PC font toujours de belles promesses aux Grignois (il faut dire qu’a Grigny, lors des dernières élections municipales, une liste citoyenne « surprise », arrivée comme un cheveu sur la soupe dans le processus électoral, et composée de citoyens comme vous et moi, a fait 25 %… ), on constate qu’en « off », les militants de terrain tiennent un tout autre discours, et n’hésitent pas à essayer de chasser sur les terres du FN en jouant sur les inquiétudes potentielles des gens et en se voulant rassurant.

A vous de juger… en espérant que le maire de Grigny Mr Claude Vazquez s’exprimera au sujet de cette vidéo. (Merci de patienter un peu que la vidéo se charge, on est pas sur Youtube, et c’est bien !)

Ajouté à l’article le 3 mars : l’auteur de la vidéo a sorti une nouvelle version dans laquelle on voit la bouche d’un des intervenants, afin de prouver que les voix n’ont pas été ajoutées. Sur BEUR fm, il a également été dit que les personnages étaient des acteurs…
Donc pour que les partisans de Mr Vazquez cessent de creuser le trou dans lequel ils se trouvent, il me parait nécessaire de rappeler que l’auteur de la vidéo « cricridegrigny » a déclaré que la vidéo avait été recadrée afin de préserver l’anonymat des militants du Front National de Gauche de Grigny, mais qu’il pouvait, si cela s’avérait nécessaire, en diffuser la version originale…

Merci à JC JC…

Pour vous faire peur…

On m’a transmis cette coupure de presse. Ca fait peur… Et c’est fait pour.

Une nouvelle forme d’attaque à la liberté d’expression: on fait peur aux gens afin qu’ils la bouclent.

Vous lisez ce qui suit et c’est la panique à bord. On arrête tout et on rentre dans le rang. Et la police de la pensée est contente. Toujours ça de moins à surveiller.

A propos; vous êtes vous demandé le nombre « d’espions » nécessaires pour surveiller tout ce petit grand monde qui nous informe de la vérité ? Le Pôle Emploi peut fermer.

Ahhhhhhhhhhhhhhh, propagande, quand tu nous tient… Il faut arrêter de nous prendre pour des benêts. Tous les régimes totalitaires et despotiques ont employé ce genre de méthode.

FDF

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L’info censée nous faire peur:

Merci à DB…

A Paris, les Congolais appellent à voter Le Pen…

Il est certain que cette vidéo a été « oubliée de publier ». Archivez-là et faites suivre avant que la police de la pensé ne sévisse…

Le FN: parti de racistes? Le FN, victime de diabolisation, comme toujours. Encore une preuve.

Merci, amis Congolais. Vous avez dejà un bon point en ce qui concerne l’acquisition de la nationalité française. Vous avez compris ce que notre France attend de vous.

FDF

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http://youtu.be/6tNunoXXTq0

Merci à Godefroy…

Suisse: la famille touchait l’aide sociale, lui payait avec sa Visa Gold…

Un homme de 48 ans a été condamné à Zurich à 24 mois avec sursis. Sa famille recevait 9131 francs d’aide sociale par mois pendant que lui voyageait et trafiquait avec le Pakistan; son pays d’origine…

On ne va pas se moquer. C’est pratique courante en France aussi… Mais il ne faut pas le dire…

FDF

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UNE DECISION JUDICIAIRE TRES DOUCE POUR UN ESCROC D’UNE TELLE ENVERGURE

FORT HEREUSEMENT LE PARQUET ENTEND FAIRE APPEL DE LA DECISION DE PREMIERE INSTANCE  

ILS NOUS PRENNENT VRAIMENT POUR DES TIROIRS-CAISSES
JC JC…

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Arguant que tous les éléments de l’acte d’accusation ne pouvaient être prouvés, le Tribunal de district de Zurich n’a pas suivi le parquet, qui demandait une peine de quatre ans de prison ferme.

Le tribunal n’a finalement retenu que le détournement de 200’000 francs de l’aide sociale. L’acte d’accusation établit toutefois que l’accusé et sa famille ont touché au total un demi-million de francs d’aides entre 2002 et 2007, à raison de 9131 francs par mois.

Ce montant correspondant aux besoins d’une famille de six personnes, relève la Conférence suisse des institutions d’action sociale (CSIAS). Le problème ne réside pas dans la somme versée, mais dans le fait qu’elle a été perçue indûment.

Trafic et gros montants

Lorsqu’il s’est adressé à l’aide sociale, en 2002, l’accusé a caché qu’il percevait de son entreprise de tapis, à Zurich, un salaire de 7500 francs par mois. Il est apparu en outre qu’il avait 100’000 francs sur un compte non déclaré et qu’il avait détourné, pour ses besoins propres, 620’000 francs de prestations d’assurances versées suite à un dommage subi dans son magasin.

L’homme d’origine pakistanaise a parallèlement voyagé et a vendu, dans son pays d’origine, pour des centaines de milliers de francs de matériel technique à des militaires. L’acte d’accusation parle d’un trafic pour un montant brut de 1,8 million de francs au total. L’accusé aurait même cherché à vendre des blindés suisses au Pakistan.

Bien qu’officiellement sans revenus, l’accusé a opéré aussi d’importantes transactions, selon la procureure qui a instruit le dossier. Avec sa carte Visa Gold, il a réglé pour 70’000 francs de factures, procédé à des transferts au Pakistan pour 40’000 francs et retiré 14’000 francs à l’automate du casino de Baden.

Il est apparu enfin qu’il possède deux immeubles au Pakistan. Le parquet de Zurich dit envisager «sérieusement» de recourir contre le jugement prononcé par le Tribunal de district.

Source: http://www.lematin.ch/suisse/

Oumma.com prêt à déposer le bilan ?

La musulmanerie en perte de vitesse? On pourrait le croire.

Chez Oumma.com; on cherche des adhérents et des « liquidités », par là même…

FDF

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Photo d’illustration

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Merci à Henri qui a envoyé un abonnement de soutien à mon nom… Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr. Je me vengerai…

FDF

Immigration de peuplement…

Photo d’illustration

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Irréfutable. Cette vidéo dure un moment mais vaut le coup d’être vue.

Bonne lecture.

FDF

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http://tinyurl.com/839unw3