Francaisdefrance's Blog

19/11/2011

Continuez sur ce bon chemin, monsieur Lemoine.

L’ÉCLATEMENT DE LA RÉPUBLIQUE

« Les préceptes de l’Islam remplacent les valeurs républicaines »


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Savourez cet interview. Voilà un maire qui mérite son poste… Dommage qu’il soit à l’UMP; il aurait sa place au FN…

FDF

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« Monsieur le maire, en 2014, vous serez peut-être encore réélu, mais en 2020, ce sera nous car nous serons majoritaires » (imam de Montfermeil)

« La république court à la catastrophe »

Une interview de Xavier Lemoine, maire UMP de Montfermeil réalisée par France Soir et publiée le 19 octobre 2011.

Une étude menée pendant un an, notamment à Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, révèle que les préceptes de l’islam remplacent de plus en plus les valeurs républicaines dans nos banlieues. Le maire de Montfermeil, Xavier Lemoine (UMP), réagit à ce constat en lançant un cri d’alarme.

FRANCE-SOIR : L’étude de l’Institut Montaigne (lire encadré) affirme que l’islam a pris le pouvoir dans nos banlieues. Partagez-vous cette analyse ?

XAVIER LEMOINE : Oui ! Je le dis depuis des années. L’islam s’est implanté dans nos quartiers. On en prend enfin conscience. Sauf que les remèdes avancés par l’Institut Montaigne – mettre plus d’argent dans les quartiers – ne sont pas les bons. De l’argent, depuis trente ans, on en a mis beaucoup dans les banlieues. Le problème, c’est que la République n’a eu aucune exigence vis-à-vis des populations accueillies. Installées en France, beaucoup d’entre elles continuent à vivre et à se comporter comme dans leurs pays d’origine, avec leurs langues et leurs coutumes, refusant nos valeurs, notre histoire et notre culture.

F.-S. : Avez-vous des exemples ?

X. L. : Dans ma ville, on a dépensé des sommes énormes pour que les populations étrangères s’intègrent. Mais des familles qui vivent en France depuis 10, 20 ou 25 ans ne parlent toujours pas français. Elles ne souhaitent pas s’intégrer et la République laisse faire.

Résultat : une multitude de communautés ethniques vivent chez nous en totale autarcie, entre elles, en dehors de nos règles et de nos valeurs.

F.-S. : Notre pays est pourtant très attaché à ses valeurs républicaines !

X. L. : Oui, mais par angélisme on a laissé ces communautés s’organiser entre elles. Sous prétexte de respecter leurs cultures, on n’a pas exigé le respect de notre culture. On a été pris en otages. Ce que je dis, ce n’est ni du racisme ni de la discrimination. C’est du bon sens. Il faut défendre les valeurs qui ont fait la France.

F.-S. : Refuser de s’intégrer, ça veut dire quoi ?

X. L. : Par exemple, ne pas parler français. La plupart des enfants des quartiers ne parlent pas français à la maison. Ils parlent la langue et ils regardent la télévision du pays d’origine de leurs parents. Dans les cours de récréation de ma ville, il y a 40 à 50 nationalités différentes. Et, là encore, chacun parle la langue d’origine des parents. Les mercredis et les samedis, ces mêmes enfants sont pris en charge par les écoles coraniques ou les associations tenues par leurs ambassades. Les établissements publics sont de moins en moins utilisés.

F.-S. : Quelles conséquences pour ces jeunes ?

X. L. : Elevés dans leurs ghettos communautaires, ils n’adhèrent pas à nos valeurs. Et, quand ils arrivent dans le monde du travail, ils ne sont pas « employables ». Ce n’est pas une question de formation, mais de « savoir être », de comportement, de codes sociaux.

F.-S. : Quelles conséquences pour notre pays ?

X. L. : C’est l’éclatement de la République ! Les politiques, les associations et les médias doivent comprendre que nous ne sommes pas au pays des Bisounours. Récemment, un imam est venu me voir et il m’a dit : « Monsieur le maire, en 2014 vous serez peut-être encore réélu, mais en 2020 ce sera nous. C’est mathématique, car nous serons majoritaires. »

F.-S. : Je ne comprends pas…

X. L. : Cet imam faisait allusion au basculement démographique qui, selon lui, se produira en France. Déjà, en Seine-Saint-Denis, que constatons-nous ? Sur le 1,5 million d’habitants recensés, 500.000 sont titulaires d’une carte de séjour, 500.000 sont français en vertu du droit du sol ou des naturalisations et donc sans aucune ascendance française, les 500.000 autres, Français ayant des ascendances françaises, plutôt vieillissants et « déménageants ». Or le taux de natalité des deux premiers tiers est le double de celui du dernier tiers. C’est inéluctable, la bascule démographique s’accomplit, comme le décrit très bien Christopher Caldwell dans son récent livre, Une révolution sous nos yeux.

F.-S. : On aborde là un sujet tabou. Que proposez-vous ?

X. L. : La France doit exiger trois choses de la part des populations qui s’installent chez nous : la connaissance du français, la connaissance et le respect de nos coutumes, et la connaissance et le respect de notre histoire. Actuellement ce n’est pas le cas, et c’est dangereux. Nous n’enseignons même plus notre histoire à l’école. Il est temps d’être lucide et responsable.

F.-S. : Que faire si certains refusent de se plier à vos trois exigences ?

X. L. : J’ai été récemment au Danemark et en Suède. Là-bas (des pays culturellement plutôt à gauche), les étrangers ont six mois pour apprendre la langue du pays, ses valeurs fondatrices et son histoire. Si vous ne possédez pas ces trois éléments essentiels, vous n’avez pas accès au numéro d’immatriculation qui vous donne droit à la Sécurité sociale, aux aides sociales, au logement, au travail.

F.-S. : En France, imposer ces trois critères aux étrangers, est-ce possible ?

X. L. : Bien sûr que c’est possible ! C’est même indispensable, si nous croyons en nos valeurs. Quand j’en parle en privé avec des élus de gauche, ils sont d’accord avec moi. Sur le terrain, les maires de gauche font le même constat que moi. Ils ont déjà fait évoluer le discours du PS… mais ils n’osent pas encore le dire publiquement. Le plus lucide et courageux d’entre eux, c’est Manuel Valls, bien mal récompensé par les résultats des primaires.

L’Institut Montaigne

Cette étude, intitulée Banlieue de la République, a été publiée par l’Institut Montaigne, un groupe de réflexion sur l’évolution à long terme de notre société. Il regroupe des universitaires, des hauts fonctionnaires, des représentants de la société civile, des syndicalistes, des chercheurs, des chefs d’entreprise. Institut indépendant, il bénéficie d’un budget annuel de 3 millions d’euros, alimenté uniquement par des dons privés.

Propos recueillis par Patrick Meney

Blagounette: le perroquet raciste.

Allez; une petite blague pas méchante… Il y en a encore qui vont se sentir « heurtés », mais je les em…..

FDF

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L’épicière d’un petit village avait un ببغاء, درة, مُسْتَقْبِل بَث مِجْهاري, مُكَبِّر صَوْت, مُكَبِّر للصَّوْت  (perroquet), « Coco », qui parlait.
Tous les matins elle sortait sa cage et la mettait devant son étal de fruits et légumes.
Un jour, Djamel  qui passait par là, s’arrête devant la cage du perroquet.
Coco se met à crier :
« A mort, les Arabes. A mort les Arabes ».

Interloqué, n’en croyant pas ses oreilles Djamel passe son chemin mais le lendemain, pour en avoir le cœur net, il repasse devant l’épicerie, s’arrête de nouveau devant la cage et de nouveau le perroquet : « A mort les Arabes. A mort les Arabes ».
Djamel furieux entre dans le magasin et menace l’épicière :
– Je repasserai demain et si ton perroquet me dit encore « A mort les Arabes » je lui coupe le cou.

La pauvre femme qui tenait beaucoup à son Coco se demande comment faire pour lui éviter de se faire zigouiller.
« Mon Dieu venez-moi en aide ! »
Subitement il lui vient une idée. Mr le Curé a aussi un perroquet ! je vais lui demander de faire l’échange avec le mien pour quelques jours.

Le lendemain, Djamel repasse devant la cage du perroquet…. rien, il ne dit rien ! Étonné, il poursuit son chemin, fait demi tour, repasse devant la cage…toujours rien ! pas un mot ! complètement indifférent.

Alors Djamel se dit, je vais le provoquer pour le faire réagir.
Il se met lui chuchoter :
– « A mort les Arabes ! A mort les Arabes ! A mort les Arabes ! »
Alors le perroquet se tourne vers lui et lui répond :
« Que Dieu vous entende, mon enfant ! »

Merci à JC JC…

Quatre femmes, 17 enfants et 175.000 euros de prestations sociales en trois ans… C’est…

…Le « beau Lies »

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Plus connu sous le nom de l’homme au torchon… Il se fait encore de la publicité, cet abruti: deux de ses « ispice di counasses »  passent au tribunal où elle encourront une amende de 150 euros! C’est honteux, c’est mettre les gens dans la misère!

Un tuyau au « beau » Lies: va voir une assistante sociale, mon frère; elle devrait pouvoir s’arranger pour payer les amendes (si amendes il y a…).

Sinon, fait un appel aux dons.

FDF

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LISEZ L’ARTICLE CI-DESSOUS ET VOUS VERREZ QU’ILS N’ONT PAS VOULU D’UNE PROCÉDURE SIMPLIFIÉE  AU PROFIT D’UN PROCES  EN BONNE ET DÛE FORME. Ainsi leurs frères de FORSANE ALIZZA  peuvent organiser une manif  de victimisation, devant ce qu’ils nomment « le TRIBUNAL DE L’INJUSTICE »

L’épouse de Liès Hebbadj et l’une de ses trois compagnes passeront devant un tribunal le 21 novembre 2011

Elles ont reçu leur convocation ce lundi. L’épouse de Liès Hebbadj et l’une de ses trois compagnes seront jugées le 21 novembre par le tribunal de police de Nantes, a indiqué à 20 Minutes le procureur de la République Xavier Ronsin, pour avoir enfreint la nouvelle loi qui interdit «la dissimulation du visage sur l’espace public».

Les deux femmes, qui encourent une amende de 150 euros, avaient été contrôlées jeudi dernier par des policiers dans la rue alors qu’elles étaient voilées de leur niqab. Le contrôle avait été mené suite à un courrier du maire (PS) de Rezé au préfet : entrées voilées dans l’école de leurs enfants dans le quartier Ragon, elles avaient provoqué «un vif conflit avec des familles appartenant à la communauté des gens du voyage», d’après Gilles Retière.

Contestation «du principe de la contravention»

L’épouse et la compagne de Liès Hebbadj – un temps menacé d’être déchu de sa nationalité française par l’ex-ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux en raison de sa «polygamie» – ont refusé de solder le litige par une simple ordonnance pénale.

Le dispositif, utilisé pour les délits mineurs, permet habituellement de faire l’économie d’un procès. «Elles reconnaissent les faits, mais contestent le principe de la contravention», explique Xavier Ronsin, procureur de la République de Nantes.

Source: http://www.20minutes.fr/

La visite des prisons de Meknès (Maroc)…

La christianophobie a une histoire. Visite des hauts lieux de torture et de mort. Ca se passe au Maroc, cette fois… C’est un genre d’avertissement, je pense…

FDF

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Un professeur d’histoire marocain fait visiter les immenses prisons souterraines de Meknès, où étaient enfermés les marins chrétiens capturés par piraterie, en attendant leur revente (ou leur empalement/écartèlement) :

http://www.youtube.com/watch?v=J6QcH_4dKGw   (copiez-collez sur le bandeau http si le lien n’est pas actif)
On attend la repentance des Marocains !  Les espagnols sont sans illusions:
 

 « Je n’ai jamais entendu un musulman présenter ses excuses pour avoir occupé l’Espagne pendant huit siècles « 

José Maria AZNAR,  chef du gouvernement espagnol, in Jeune Afrique  du 01/10/06.

Hymne de la résistance à l’islam

A diffuser largement à vos connaissances, parents, amis, collègues de travail.  En 1940 les résistants avaient le chant des partisans, en 2011 nous résistants à l’islam et à l’islamisation avons notre hymne:

Peuple de France le temps est venu pour toi

Une rediffusion de temps en temps s’impose!

Cet hymne se trouve à la page dont voici l’URL: http://youtu.be/PQb0s9GMn_c

qu’il vous suffira d’envoyer à vos correspondants.

J’adore cette affiche…

Et j’espère que vous aussi. Ce n’est pas spécialement parce que c’est une affiche du FNJ, mais force est constater qu’elle est pleine de bons sens et de réalité…

A faire circuler.

FDF

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A Dijon, l’hiver sera rude pour les « demandeurs d’asile ». Ils ont choisi la France: « terre d’accueil »…

Normal: leur nombre a été multiplié par deux en deux ans… Et à Lille, chez Aubry, il n’y a plus de places ?

FDF

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Demandeurs d’asile à la rue : « C’est la faute de l’Etat ! »

« Les températures baissent à Dijon. Pas le nombre de demandeurs d’asile à la rue. Si des squats commencent aujourd’hui à essaimer dans l’agglomération, abritant une partie des 600 personnes en l’attente d’un logement d’urgence pendant le traitement de leur demande d’asile, le problème est loin d’être réglé. Entre le « manque de fonctionnaires » pour traiter les dossiers et « l’absence de volonté politique au plus haut niveau », François Rebsamen, sénateur-maire socialiste de Dijon, rejette la faute de cette situation humanitaire inquiétante sur l’Etat. Sa conférence de presse tenue lundi 14 novembre à la mairie de Dijon suffira-t-elle à faire changer le quotidien de ces 600 sans-abris ? Au vu de la teneur de son propos, plus politique que tourné vers l’urgence de la situation : rien n’est moins sûr.

Logement des demandeurs d’asile : la question devient politique…

Certains occupaient les parkings souterrains de la ville jusqu’à ce que la mairie les ferme la nuit, d’autres logent aujourd’hui dans des bâtiments industriels désaffectés (Lire ici notre article sur le sujet) : la situation des 600 demandeurs d’asile pour qui aucune solution d’hébergement d’urgence n’est encore trouvée à l’approche de l’hiver devient très préoccupante à Dijon. Et politique. Lundi 14 novembre 2011, François Rebsamen, sénateur-maire socialiste de Dijon, s’est refusé à dire que des solutions seraient trouvées par la collectivité avant que l’Etat ait reconnu sa responsabilité dans la situation actuelle ; et commence à agir.

Alors que le nombre de demandes d’asile a doublé entre 2010 et 2011 à Dijon (Lire ici notre article sur le sujet), en raison des nombreux conflits internationaux mettant en danger la vie de citoyens dans leur pays d’origine, François Rebsamen voit surtout une origine politique à l’engorgement de dossiers et aux difficultés de logement des demandeurs d’asile. « Nous sommes dans le contexte d’une Révision générale des politiques publiques (RGPP) et il y a de moins en moins de fonctionnaires dans les préfectures et dans les ministères. Certains s’en félicitent mais du coup, on a du mal à tenir deux objectifs : le premier est de fournir à chaque demandeur d’asile une réponse sur son dossier dans un intervalle de six mois – aujourd’hui des dossiers de 2010 n’ont pas encore été traités ; et deuxièmement l’Etat en est à un tel point qu’il n’est pas capable de fournir un système de prise des empreintes biométriques à la préfecture de Saône-et-Loire ! D’ailleurs il n’y a pas de fonctionnaires pour le faire. Donc toutes les démarches concernant l’asile se font à Dijon. Ce qui conduit à une augmentation de 100% des demandeurs d’asile sur la seule Côte-d’Or, de 570 en 2010 à 1.126 en 2011″, note-t-il.

Pas question donc, pour le moment, d’affirmer que des solutions seront trouvées par la ville de Dijon pour l’hiver. « Si je dis que je ferai quelque chose, l’Etat va les laisser dans la rue », commente François Rebsamen. Et d’ajouter : « Ce ne sont pas les collectivités locales qui sont en cause. Il faut donc interpeller la préfète, le ministère de l’Intérieur et le gouvernement pour que tout le monde soit traité dignement et logé. J’ai interpellé la préfète sur le sujet et elle est bien consciente que l’engorgement sur Dijon est dû au fait que l’enregistrement des demandes d’asile ne se fait plus dans les préfectures de département pour des raisons d’économies budgétaires. La préfète a demandé à ce qu’il y ait un Système d’enregistrement des empreintes biométriques (Seeb) à Mâcon, en Saône-et-Loire, et cela lui a été refusé par le ministère. Mais il y a aujourd’hui une pression terrible sur les fonctionnaires de la préfecture car les conditions d’enregistrement des demandes sont difficiles. Ce n’est pas la préfète elle-même qu’on interpelle : c’est l’Etat. Qui doit faire face à la situation et assumer la loi, qui impose d’offrir le droit d’asile. Tant qu’il y a le droit d’asile, on accueille les être humains comme des êtres humains. On ne les laisse pas à la rue, on construit, on fait des efforts financiers. L’effort est insignifiant, d’ailleurs, par rapport aux cadeaux fiscaux. Alors comportons-nous dignement ». 

Et face à ce manque de fonctionnaires, pourquoi ne pas interpeller directement le ministre de la Fonction publique, François Sauvadet (Nouveau centre), président du conseil général de Côte-d’Or ? « Pas bête », répondra François Rebsamen. Avant d’ajouter : « J’aurai pu le faire. Mais je ne suis pas sûr que Sauvadet ait vraiment de poids dans cette affaire ». Ou quand la politique reprend le dessus sur l’impératif d’humanité…

La préfecture « ne commentera pas les propos de François Rebsamen »

« Nous ne réagirons pas aux propos de Monsieur Rebsamen, dont nous ne connaissons pas la teneur », répond la préfecture de Bourgogne. Toutefois, dans la soirée du lundi 14 novembre, l’institution apportera aux journalistes des documents précisant son action dans le domaine de l’accueil et du logement des demandeurs d’asile. « Le regroupement du traitement des demandes au chef-lieu de région vise à garantir une meilleure qualité de l’accueil et de l’accompagnement des demandeurs d’asile. Ce processus, piloté par la préfète, est connu sous le nom de « régionalisation du premier accueil ». Depuis sa généralisation en 2010, une concentration des demandes a été observée en Côte-d’Or, où l’augmentation a été de 165% entre 2009 et 2011 – 100% pour la seule année 2011″.

Une situation que le monde associatif trouvait plus alarmante qu’efficace, dans notre article publié jeudi 03 novembre 2011 (Lire ici) : « Charger une ville comme Dijon de toute la demande d’asile de la région, c’est trop. La Nièvre et l’Yonne, aujourd’hui, sont très peu concernées par la demande d’asile. L’idéal serait de partager l’hébergement d’urgence avec d’autres départements. Un travail de la préfecture est fait dans ce sens-là et on devrait récupérer 60 places dans les autres départements… mais ce ne sera que 60 ! », expliquait alors Claire Ayral, chef des services de mise à l’abri (Mada), des centres d’accueil (Cada) et des plateformes d’accueil des demandeurs d’asile (Pada) à Dijon. Et de préciser : « Dijon a toujours été un flux important mais il y a quelques années, nous avions aussi des demandeurs d’asile en Saône-et-Loire, dans la Nièvre et un petit peu dans l’Yonne. Or, il y a peu, on a régionalisé le premier accueil, c’est-à-dire le Pada, dans les préfectures de région. Car c’est la préfecture de région qui va reconnaître le statut de demandeur d’asile. Du coup, plutôt que les personnes arrivent dans l’Yonne et soient obligées d’aller à la préfecture de Dijon, elles viennent aujourd’hui directement à Dijon. Au final, le nombre d’arrivées a doublé par rapport à 2010 et le nombre de nuitées consommées a triplé ». La situation a vite mené à une saturation des dispositifs de logement à Dijon, qui compte 485 places en hébergement d’urgence, 150 places en pré-Cada et 357 places en Cada.

A la préfecture de Bourgogne, l’heure est à la recherche de solutions d’urgence. « Du fait de l’augmentation importante et récente du nombre de demandeurs d’asile, les capacités d’hébergement se retrouvent de nouveau en tension. La préfète a donc souhaité anticiper le dispositif régional de pilotage de l’hébergement d’urgence des primo-demandeurs, qui permet la mutualisation des places disponibles dans l’ensemble de la région. A la régionalisation de l’accueil correspondra donc la régionalisation de l’hébergement. Ainsi, à la suite d’une décision du Comité de l’administration régionale, qui réunit les quatre préfets, 70 nouvelles places ont été identifiées en un mois », note la préfecture. Et de préciser : « Ce dispositif bénéficiera prioritairement aux profils familiaux prioritaires que sont les couples avec enfant(s), les femmes isolées avec enfant(s), les femmes seules et les couples sans enfant et dont la femme est enceinte de plus de six mois. Le pilotage régional ne peut pas en revanche, dans l’immédiat, bénéficier à l’ensemble des hommes demandeurs d’asile sans enfant, par manque de lieux d’hébergement disponibles. Le nouveau dispositif en serait immédiatement saturé, au détriment des personnes prioritaires ». Les 550 personnes isolées ou en couple, qui ne sont pas considérées comme prioritaires, sont donc toujours à la rue et devront probablement attendre l’activation d’un Plan grand froid pour dormir au chaud cet hiver.

Problème de santé… et de dignité

La situation n’est pas sans poser d’autres problèmes, à commencer par la santé des demandeurs d’asile (Lire ici). « Il y a une dégradation nette de l’état physique des personnes qui dorment dans la rue. Les demandeurs d’asile se présentent souvent à la Permanence d’accès aux soins de l’hôpital (PAS), qui fait état de sa difficulté à soigner les gens puisque donner un médicament à des personnes qui sont dehors, cela ne présume pas de l’efficacité du traitement. Nous avons eu une réunion de coordination la semaine dernière et les personnels de la PAS faisaient état de leur sentiment d’inutilité, puisqu’ils ne peuvent pas soigner correctement. C’est également très difficile, pour les personnels hospitaliers, de laisser sortir les gens pour aller vers la rue. Quand les personnes sont vraiment dans un état grave, les médecins prononcent l’hospitalisation et s’il y a besoin d’une prise en charge particulière, il existe dix lits appelés « halte soins santé », pour un délai de deux ou trois mois », explique Claire Ayral. Le Pada distribue également des chèques-services pour les repas – 46 euros par semaine pour une personne seule, 75 euros pour un couple – et d’autres associations, comme le Comité inter-mouvements auprès des évacués (Cimade), disposent par exemple d’un vestiaire pour fournir des vêtements à ceux qui en ont besoin, au-delà de leurs actions en terme de démarches administratives et d’apprentissage de la langue française. »

 « La France a signé la Convention de Genève en 1951, dans laquelle il est bien spécifié que nous devons donner asile et protection à toute personne qui craint pour sa sécurité, qui a subi des sévices dans son pays. Nous constatons aujourd’hui que l’Etat français faillit à sa mission, que l’hiver arrive et que ces gens vont être à la rue. Nous allons donc mobiliser davantage et alerter la société civile sur la situation de ces demandeurs d’asile », annonçait Françoise Duguet, présidente de la Cimade en Bourgogne et Franche-Comté, jeudi 03 novembre. Mardi 08 novembre, un cercle de silence en signe de soutien aux 600 demandeurs d’asile sans-abri réunissait deux cents personnes, place François Rude à Dijon (Voir ici notre diaporama). Dimanche 13 novembre, les mêmes associations occupaient les locaux de l’ancienne boucherie de la rue Bertillon, où vivent aujourd’hui 43 réfugiés, pour « ne pas que les forces de l’ordre viennent expulser les réfugiés manu militari » (Lire ici notre article sur le sujet). A l’ombre des querelles politiques, l’hiver risque d’être rude pour les demandeurs d’asile… »

Source: http://www.dijonscope.com/

Les musulmans payent moins cher que nous pour leurs défunts à Marseille !

Et il faut s’estimer heureux que ce soit pas totalement pris en charge par la municipalité qui n’est plus à une traîtrise près… Pourquoi ne pas leur donner un terrain spécialement dédié à leurs stèles funéraires ? Ca éviterait des inepties de ce genre.

Qu’est-ce qu’on dit à m’sieur Gaudin ?

FDF

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Cimetières de Marseille : pour une superficie équivalente, les musulmans devront débourser 2 000 euros de moins que les autres.

Tarifs des cimetières marseillais (derniers tarifs en ligne datant de 2007).

Concession perpétuelle dans les rangs

Superficie : 2,8
Total général : 5107,00 Euros

Concession perpétuelle dans les rangs en carré musulman

Superficie : 2,64
Total général : 2884,00 Euros

Source : Association Française d’Information Funéraire

Source:  http://www.defrancisation.com/

Une guerre raciale se prépare au Dannemark… La loi du Talion s’enclenche.

Je n’aurai qu’un mot: ça devait arriver un jour ou l’autre.

Qui sème le vent…

Ces types ont pété les plombs. Mais il faut bien comprendre qu’à force de voir tant l’islamisation rampante mais bien réelle de l’Occident se faire sans qu’aucun gouvernement ne réagissent concrètement et tant la préférence non nationale est appliquée un peu partout, c’était inéluctable que la Résistance se soulève.

Les ethnies immigrées armées jusqu’aux dents et n’hésitant plus à tuer des policiers et commettre toutes les exactions possibles en toute impunité et, si ils passent devant la justice, celle-ci faisant (trop souvent) preuve de clémence excessive, de là, on pouvait s’attendre à ce que la loi du Talion entre en application.

On récolte ce que l’on sème. Reste à souhaiter que l’envahisseur christianophobe et barbare se tienne à carreau, fort de ces informations. Sinon, la pandémie se propagera très rapidement. Et là…

Mais depuis le temps que la Résistance prévient les uns et les autres, et qu’on ne pense qu’à traquer ses membres au lieu de les écouter, il ne faut plus s’étonner de rien.

Il nous reste à prier; et pas le cul en l’air dans les rues…

FDF

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Au Danemark, des extrémistes de droite préparent une « guerre raciale »

Des extrémistes de droite se préparent à une « guerre raciale » au Danemark et s’entraînent au maniement des armes et au combat, révèlent les services de renseignement danois (PET) dans un rapport sur la mouvance extrémiste de droite et de gauche publié jeudi.


Une minorité issue de l’extrême droite « se prépare à une guerre raciale au Danemark et est prête à utiliser la violence« , d’après le PET qui précise que ces gens tiennent « des registres d’ennemis politiques« .

Ces individus, dont le PET ne précise pas le nombre, cherchent « à se former aussi bien à l’usage des armes qu’à la pratique des sports de combat« , d’après le renseignement danois.

Ils ne sont cependant qu’un petit nombre au sein d’une extrême droite fragmentée et cherchant « à recruter des membres et des sympathisants » notamment chez les supporteurs de football violents, tempère le PET.

Les individus décrits agissent souvent seuls et sont pour cela difficiles à détecter, d’après le rapport qui analyse en détail l’affaire Breivik en Norvège.

Le renseignement danois craint en effet que Behring Breivik ne puisse inspirer d’autres extrémistes isolés au Danemark.


Le PET a travaillé en étroite collaboration avec les services de renseignement norvégiens et mené « plusieurs entretiens préventifs » au Danemark depuis le mois de juillet.

Mais, souligne le PET, aucune des personnes convoquées ne doit être reliée aux actions menées par l’extrémiste norvégien qui, selon les enquêteurs norvégiens, est pour l’instant supposé avoir agi seul.

Source: http://www.rtbf.be/


Belgique: l’interdiction de prières muzz dans les couloirs d’une prison tourne en émeute…

Surtout en prison: tu t’adaptes, mon pote !

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Comme quoi la « religion » de paix peut vite devenir une « religion » de violence. De toutes façons, c’est dans les gènes…

En prison, on paye ses fautes. On le les aggrave pas. L’islam carcéral n’est pas à négliger; loin de là. C’est en autres, en ces lieux, que beaucoup de conversions se font.

Après les prières de rues, voici les prières de couloirs de prison. Tout pour emmerder. A quand les prières humbles? Comme le veut le coran. Mais ça, ce n’est pas au programme de l’islamisation de l’Occident.

FDF

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Les faits ont débuté mercredi soir, vers 21h00, lorsque 150 détenus ont refusé de regagner leurs cellules. Les prisonniers ont bouté le feu et ont saccagé les couloirs et les classes. Les dégâts sont importants.

Ce jeudi matin, le calme est revenu. Quant aux raisons qui ont poussé les détenus à se rebeller, la direction avance la piste d’une note interne interdisant la prière dans les couloirs.

Chaises, tables ou encore ordinateurs ont volé en éclat. Ils ont aussi utilisé les lances d’incendie pour noyer les salles.

Les unités spéciales de la police fédérale ont été appelées à la rescousse. Ils ont finalement pu maîtriser la situation.

C’est vers 01h30 que tout est rentré dans l’ordre. Pompiers, ambulanciers et policiers ont pu quitter la prison. Aucun blessé n’est à déplorer.

Quant aux raisons qui ont poussé les détenus à se rebeller, elles ne sont pas encore connues. Il n’y a eu aucune revendication claire. Une hypothèse est pourtant avancée par la direction de la prison: sa note interdisant les prières dans les couloirs.  »Nous pensons qu’il s’agit d’abord et avant tout d’une note que la direction a émise mercredi, déclare Laurent Sempot (porte-parole de la direction-générale de l’administration pénitentiaire), et qui interdit la pratique de la prière musulmane dans les couloirs. » La direction ne l’acceptant que dans les cellules.

Et Laurent Sempot d’ajouter:  »Il y a en effet un noyau dur musulman dont le comportement est tout à fait intolérant par rapport aux autres détenus, se permettant des choses qu’ils ne peuvent pas se permettre, notamment de prier dans les couloirs. Et la direction a décidé de mettre le holà et de remettre les choses en règle. On pense que c’est cela qui peut être l’élément déclencheur des émeutes de mercredi. »

Claude Eerdekens: « Ils devraient se faire oublier »

Le bourgmestre d’Andenne Claude Eerdekens (PS) a qualifié de « scandaleux » le comportement des détenus. Pour lui, le mouvement de grogne des prisonniers, provoqué par une note de service concernant la prière, n’était absolument pas justifié. « Nous sommes dans un État laïc. La religion est une question individuelle (…). Une partie de la population carcérale, radicale et intégriste, ne mérite pas les égards qu’on lui accorde« , a ajouté Claude Eerdekens, qui estime la réaction des détenus disproportionnée.

Il a par ailleurs indiqué qu’aucun arrêté communal ne serait pris pour évacuer une partie des détenus à la suite des nombreux dégâts causés par ceux-ci. « Si vraiment il y a lieu de transférer des détenus ailleurs, ce sera au SPF Justice d’en décider« , a-t-il déclaré.

« Ils sont déjà condamnés à des peines lourdes pour des faits graves. Ils devraient se faire oublier et être aimables et gentils« , a encore commenté Claude Eerdekens.

Rencontre lundi entre direction et syndicats

Un comité de concertation de base (CCB) est prévu entre membres de la direction et représentants syndicaux à la prison d’Andenne, lundi à 13h30, à la suite des émeutes. « Pour l’instant, aucun arrêt de travail n’est prévu« , a rappelé jeudi en fin de journée Michel Jacobs, secrétaire fédéral CGSP-Prisons.

Jeudi matin, il n’y avait plus de chauffage, ni eau, ni électricité à la prison. Toute la journée, le personnel s’est affairé à remettre en état ce qui pouvait l’être, mais cela va prendre plusieurs jours.

Entre-temps, les syndicats ont fait une demande pour rencontrer la direction. Celle-ci leur a proposé une réunion lundi après-midi. Les représentants syndicaux souhaitent aborder divers sujets avec la direction et notamment la sécurité. Le 9 octobre dernier, quatre détenus s’étaient enfuis de la prison, en prenant deux gardiennes en otage.

Jusqu’à nouvel ordre, les prisonniers n’ont plus droit aux visites, aux sorties préau et aux douches. « De toute façon, les douches sont complètement détruites« , selon Michel Jacobs.

Monika Wachter avec Belga

Source: JC JC via: http://www.rtbf.be/

DSK: y’avait longtemps…

Un interlude humoristique qui mérite bien de vous être montré, surtout à l’heure où le couple de l’année veut ester en justice contre tous ceux qui ont dit du mal d’eux…

Ma foi, quand on a des ambitions politiques de haut niveau, mieux vaut qu’elles soient présentées sans taches. Une fois élu, tout peut arriver, ce n’est pas grave. Preuve en est ces nombreux « non-lieu » prononcés en faveur de personnes bien en vue qui ont commis des ………………… incivilités. On va nommer ça comme ça.

Mais quand on est montré du doigt, mieux vaut faire profil bas. Ma foi, ce que j’en dis…

FDF

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Islamisation par l’invasion: les bruits de babouches approchent…

Les bruits de cartouches dans les chargeurs aussi…

T’as le droit d’y croire, frère Mahmoud al-Zahhar. Les lignes qui suivent rejoignent toutes une même source de haine: l’islam. Il n’ y a pas plusieurs islam. Il n’y en n’a qu’un. C’est celui des fous d’Allah.

Nous sommes ainsi prévenus. N’allez pas vous plaindre si la Résistance s’active soudainement, amis musulmans. Ce qui suit venant de votre part n’est que la concrétisation d’une déclaration de guerre…

Nous somme prêts…

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FDF

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Dans un discours diffusé sur les ondes d’Al-Quds TV le 28 octobre 2011, le leader du Hamas Mahmoud al-Zahhar  a rappelé que l’offensive de son organisation au Moyen-Orient n’est qu’une partie du combat des Frères Musulmans et des islamistes en général pour imposer les principes du Coran à la planète entière.

Un des fondateurs du Hamas avertit que la civilisation occidentale « sera incapable de résister au ‘‘grand et glorieux’’ islam »

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Quand des non-musulmans évoquent ce genre de vérités élémentaires, ils sont qualifiés de racistes et d’islamophobes par les alliés du Hamas opérant en Occident.

La vidéo de l’intervention du leader du Hamas a été sous-titrée par MEMRI en anglais et archivée par Jihadwatch :

(Traduction PdeB) « Aujourd’hui, nous tenons à souligner que notre plan ne se limite pas à la libération de la Palestine. (…) Notre plan vise à guérir tous les maux de la civilisation occidentale qui ne sait que repousser ou tuer, contrôler ou détruire, entrer en conflit avec le peuple ou le restreindre. »

« Cette civilisation sera incapable de résister au grand et glorieux islam et à son programme humanitaire. »

(…) « La nation arabe a commencé à récolter les fruits d’un chaud printemps arabe. Hier, les islamistes l’ont emporté en Tunisie. Demain, ils triompheront en Égypte, puis en Libye et ce, jusqu’à ce que l’islam, qui règne en conformité avec les règles du Coran, prévale sur la planète entière. »

Point de Bascule a ajouté cet extrait à une liste de citations publiées récemment et qui attestent d’une volonté de l’islam radical d’imposer son programme à la planète entière : Le projet de conquête islamique.

La charte du Hamas (article 2) présente l’organisation comme « une des ailes des Frères Musulmans en Palestine ». Le mouvement tunisien Ennahda qui a remporté la victoire pour laquelle se félicite le leader du Hamas dans son discours est également affilié aux Frères Musulmans.

Contrairement au Hamas et à la MAC au Canada cependant, Ennahda ne reconnait pas ouvertement son association à l’organisation fondée par Hassan al-Banna. Outre les convergences idéologiques entre Ennahda et les Frères Musulmans, GMBDR explique qu’il est possible de déduire les rapports entre ces entités notamment par la participation du leader d’Ennahda, Rachid Ghannouchi, à des organisations islamistes internationales dirigées par Youssef Qaradawi, le guide spirituel des Frères Musulmans.

Point de Bascule profite de l’occasion pour reproduire une description du Hamas fournie par Fabrice de Pierrebourg dans son ouvrage Montréalistan (Montréal, Stanké, 2007, pp. 345-346) :

« Créé en 1987, Hamas, dont l’acronyme en arabe signifie « zèle », est une organisation terroriste musulmane sunnite radicale issue de la section palestinienne des Frères Musulmans. Il utilise des moyens politiques et violents, y compris le terrorisme, pour atteindre son objectif, soit la création d’un État palestinien islamique en Israël. Le Hamas a déclaré qu’ »il est en guerre avec le peuple juif, ainsi qu’avec l’État d’Israël. Le but de chaque opération est de tuer des juifs ; parce qu’en tuant des juifs, tous les colons sionistes et leurs alliés sortiront de la région ». »

« Hamas est bien financé et organisé et ses fonds proviennent de nombreuses sources. En mars 1996, les services de renseignements israéliens estimaient qu’environs 95% des 70 millions de dollars recueillis chaque année étaient versés à des organismes de bienfaisance, comme des hôpitaux, des dispensaires et des écoles, et qu’une petite partie seulement de ce montant était détournée pour l’acquisition d’armes et des opérations militaires. Bien que des fonds apparemment recueillis pour des organismes de bienfaisance soient versés directement à l’aile militaire, une partie des fonds de bienfaisance destinés aux activistes, à leurs familles et à des établissements est détournée au profit de l’appareil terroriste et est utilisée à des fins terroristes. Les organismes de bienfaisance paient des amendes  et aident les familles des activistes arrêtés ou les activistes eux-mêmes. En d’autres termes, pour servir au terrorisme, il n’est pas nécessaire que les fonds soient utilisés exclusivement pour l’acquisition d’armes, la fabrication d’explosifs ou le soutien logistique. »

« Depuis 1990, Hamas a commis plusieurs centaines d’attentats terroristes contre des cibles aussi bien civiles que militaires. Depuis le début de la deuxième Intifada, en septembre 2000, Hamas est l’un des principaux groupes impliqués dans les attentats suicides contres les Israéliens. »

En 2002 au Canada, le Hamas a été inscrit sur un registre d’organisations terroristes identifiées par le gouvernement. En 2004, la Muslim Association of Canada (MAC) a défendu le Hamas publiquement même après cette inscription par le gouvernement fédéral. De 2001 à 2010, la MAC a versé 296 514$ à IRFAN-Canada, le collecteur de fonds du Hamas au Canada selon les données de l’Agence de revenu du Canada (ARC). En avril 2011, l’ARC a retiré à IRFAN-Canada son statut d’organisme de bienfaisance pour avoir transféré 14,6 millions de dollars à l’organisation terroriste Hamas.

Dans la cause R. v. Ahmad 2009 CanLII 84774 (ON SC) (sections 80-84), le juge Dawson a expliqué qu’un organisme canadien qui fournit des fonds pour la construction d’écoles (et on peut extrapoler pour d’autres activités humanitaires) à Gaza permet au Hamas de transférer les sommes qu’il aurait consacrées à ces fins civiles vers d’autres fins. En pratique, il est donc impossible de dissocier les contributions faites pour les activités humanitaires du Hamas de celles qui sont faites pour appuyer ses activités terroristes et militaires.

D’autres définitions du Hamas et descriptions des faits d’armes de l’organisation sont disponibles en français sur le site de Sécurité publique Canada ainsi que dans un jugement prononcé par la Commission de l’Immigration et du statut de réfugié dans l’affaire X. c. Canada 2001 CanLII 26964 (CISR).

Source: http://pointdebasculecanada.ca/

(Encore une de JC JC…).

Le Parti du progrès norvégien veut restreindre le droit d’asile .

Magnifique initiative. Mais personne ne va le claironner sur tous les toits; des fois que ça donnerait d’intelligentes idées à certains…

Rappel: l’islamisation rampante est partout.

FDF

« ILS » aiment aussi la Norvège, les adeptes de religion d’amour…

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Morten Ørsal Johansen

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Nouveau porte-parole pour la politique d’immigration du Parti du progrès (Fremskrittspartiet, droite, devenu premier parti d’opposition depuis 2005 en Norvège, et disposant de 41 sièges au parlement après les dernières élections législatives en 2009), Morten Ørsal Johansen veut fermer les frontières aux demandeurs d’asile en Norvège, et ce avant “une complète asphyxie du pays”, et le maintien en détention des demandeurs d’asile. Cette mesure devrait s’appliquer aux personnes provenant de pays hors de l’UE et de l’espace Schengen.

Selon Johansen, les municipalités norvégiennes croulent sous un afflux constant de réfugiés, chaque année plus nombreux. Il pointe aussi du doigt la politique d’immigration et d’intégration norvégienne et prône l’instauration d’un tribunal spécial dont la décision ne peut pas être remise en question. Il souhaite à ce que les procédures d’examen des demandes d’asile soient entièrement revues et ne puissent être remises en question.

Respecté sur les questions d’immigration, Johansen, connu pour son franc parler, n’hésite pas à employer le terme “islamisation rampante” pour qualifier la situation que vit la Norvège. Une proposition de loi est en cours.

Source: http://fr.novopress.info/