Francaisdefrance's Blog

09/11/2011

Enseignement de langue arabe et culture d’origine pendant les heures de cours !!!

Dans un sens, c’est normal. « ILS » n’arrivent pas à s’intégrer (ils ne veulent pas s’intégrer…). « ILS » ne savent pas parler et encore moins écrire le français, donc… En outre notre système éducatif en souffre. Nos propres enfants en souffrent. Les enseignants en souffrent.

Mais ce qui l’est moins, c’est que nos hautes instances veulent que l’on s’adapte à eux; et non le contraire, comme le veut la logique et une certaine notoriété de NOTRE République. On passe encore pour de beaux benêts…

FDF

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Que veulent-ils, tous ces gens-là ? Que la France disparaisse, langue et biens. Et elle disparaîtra sous les coups des nouveaux arrivants qu’on aura encouragés à la mépriser et à la détester.

Nos élites sont peut-être cyniquement masochistes, pas les Français…

Source: http://christinetasin.over-blog.fr/

Et si on en reparlait, du plan d’austérité ?

Je pense qu’un simple reportage suffira. Ne vous demandez plus pourquoi les places sont tant convoitées. Et puis, tout cela ne nous regarde pas. Ces gens travaillent pour notre bien-être, non ?

Voir (ou revoir) ci dessous.

FDF

« Serrons nous serrez vous la ceinture, merci »

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http://tinyurl.com/69ltwwq

L’ application d’un plan d’austérité drastique demandé auprès des pays membres de l’union pour résoudre la crise financière, devrait en premier lieu,  ( pour respecter un minimum de justice et  d’exemplarité ), être appliqué  par les dirigeants européens eux-même!!!… Nous pourrons constater,  en visionnant cette vidéo, que nous pouvons  et pour longtemps, nous gratter encore, Sauf si nous mettons tout ce joli monde de morpions dehors !!!…

Profession: demandeur d’asile…

Les fameuses associations qui pleurent au sujet des conditions des demandeurs d’asile pourraient ranger leurs mouchoirs et faire dans le concret: accueillir au moins un migrant chez chaque membre. Ca résoudrait provisoirement le problème, non?

Ce sera bientôt nous, les demandeurs d’asile… Le problème est: quel pays sera aussi con pour nous accepter ? Allez; on fait un échange: tous au Maghreb! On n’y sera pas dépaysés; mis à part le climat…

FDF

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La mairie de Beauvais demande l’expulsion de demandeurs d’asile vivant sous un pont

La mairie de Beauvais (Oise) demande en justice l’expulsion d’une vingtaine de demandeurs d’asile ayant élu domicile depuis six mois sous un pont de la ville, au grand dam de l’association qui leur vient en aide, a-t-on appris vendredi 4 novembre 2011 de sources concordantes.

Les demandeurs d’asile, qui sont une trentaine à vivre sous le pont de Paris selon l’association Solidarité Migrants, devront comparaître devant un juge des référés du tribunal de grande instance (TGI) de Beauvais le 10 novembre.

« La situation devient de plus en plus risquée, il y a eu quelques agressions, des conflits entre des demandeurs d’asile et des SDF », a dit à l’AFP Tidiane Koïta, directeur adjoint des services chargé des politiques de solidarité de la mairie.
« Ils ont des bouteilles de gaz sous les tentes, il y a des risques d’incendie et même d’accidents mortels. Nous ne pouvons laisser faire », a-t-il affirmé. « La ville doit préserver l’intégrité de ces personnes ».

Solidarité Migrants s’est indignée de la demande de la mairie. « Où pourraient donc aller ces pauvres bougres, si ce n’est s’installer quelques mètres plus loin et au bout de quelques jours récupérer à nouveau quelques cartons pour se protéger des intempéries ? », s’est-elle interrogée dans un communiqué.

Alors que la mairie demande au juge d’imposer une astreinte de 50 euros par jour à tout demandeur d’asile qui n’obéirait pas à l’ordre d’expulsion, l’association rappelle qu’ils vivent avec 10,83 euros par jour seulement, grâce à une allocation versée par l’Etat pendant l’instruction de leur dossier.

Depuis que la borne d’enregistrement régionale des demandes d’asile (Eurodac) a été installée à Beauvais pour la Picardie, la ville connaît un fort afflux de réfugiés, selon M. Koïta.
« Il faut que chacun assume ses responsabilités », a-t-il dit, en rappelant que leur prise en charge incombe à l’Etat. Il a par ailleurs plaidé pour une « meilleure répartition de la population (de demandeurs d’asile, NDLR) sous la conduite du préfet de région » dans les trois départements picards, « en coordination avec les associations ».

Source: http://www.lagazettedescommunes.com/

La « dette publique »…

On en entend tous parler mais combien d’entre nous savent ce que c’est exactement? Tout ce qu’on en retient pour l’instant est ce fameux plan d’austérité qui va conduire certains d’entre nous directement à la précarité. C’est comme l’article 123 du Traité de Lisbonne…


Au fait, on nous avait consultés par référendum (pour une fois) sur l’approbation de la création d’une constitution européenne en 2005? Et nous avions répondu ainsi:

Mais nos « hautes instances » n’avaient pas tenu compte de l’avis du peuple en ratifiant deux ans après le Traité de Lisbonne… Voir: http://tinyurl.com/38v4hc

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Explication en vidéo…

FDF

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http://youtu.be/P8fDLyXXUxM

Nos députés ont décidé de verser 887 millions d’euros pour la Turquie !!!

On a consulté démocratiquement le peuple, là? Je ne crois pas. Car il faut savoir car ce sera dans les « mesures de restrictions budgétaires » annoncées par Fillon, que cet argent sera pompé. En clair, notre « effort de guerre » va servir à la Turquie qui va pouvoir, les poches remplies d’euros français, nous apporter les bienfaits de l’islamisation avec son entrée dans l’Union Européenne. Appelons un chat un chat.

Au fait, ça avait été murmuré dans les discours officiels (noyé dans la masse): NOS impôts vont augmenter !!! Je me demande bien à quoi ils vont servir. A relever la dette de la France? Pas officieusement. Devinez…

FDF

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Rejet de l’amendement contre les crédits alloués à la Turquie !

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L’amendement proposé par Richard Mallié (voir la liste des signataires) a été rejeté ce matin par l’Assemblée.

La France versera donc à la Turquie 887 millions d’euros sur sept ans (2007-2013) et près de 150 millions d’euros en 2012.

Source: http://lesalonbeige.blogs.com/

Merci à DG …

L’Aïd, c’est peut-être sacré. Mais le dimanche, c’est férié… Et chez nous, c’est le « jour du Seigneur ». Pas du saigneur…

Et pan! Depuis le temps que ça me démangeait… Je suis content du jeu de mots.

On ne vas pas faire ouvrir des établissements fermés un jour férié chez les chrétiens pour satisfaire le besoin sanguinaire des musulmans?

Et puis l’aïd, franchement:

FDF

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Toute l’année, grâce à la présence d’un sacrificateur, l’abattoir de Quintin travaille avec la population musulmane. Durant la fête traditionnelle de l’Aïd, cette collaboration s’intensifie. Sauf que cette année, les uns et les autres ont dû faire face à un véritable casse-tête…

Première solution: rester dans la légalité et débuter la fête une journée plus tard que prévu. Deuxième solution: s’exposer à des poursuites en sacrifiant un mouton hors des abattoirs agréés. Voilà le dilemme auquel ont été confrontés les musulmans costarmoricains cette année. La faute, essentiellement, à la lune et aux dates du calendrier musulman. Car en 2011, l’Aïd el Kébir (fête du sacrifice) est célébrée du dimanche 6 au mardi 8 novembre. Et le dimanche, les abattoirs du département, équipés pour recevoir des ovins, sont fermés.

«Besoin de repos le dimanche»

Malgré plusieurs réunions en préfecture, il n’y a pas eu d’exception à cette règle ce week-end. «Travailler dans un abattoir, c’est un métier pénible. Le dimanche, les gens ont besoin de repos», justifie Pascale Poiron, de l’entreprise Quintin Viande, la seule habilitée par la préfecture à abattre des animaux pour l’Aïd. «Nous n’avons pas souhaité non plus faire appel à des gens extérieurs comme nous le suggérait la préfecture», poursuit la salariée. Avec Lannion, son abattoir est le seul du département à travailler toute l’année avec la population musulmane, grâce à la présence, une journée par semaine, d’un sacrificateur. Comme en 2010, au moment de l’Aïd, c’est donc vers Quintin Viande que les croyants et les services de l’État («soucieux de respecter les dispositions législatives») se sont tournés.

Double problème de calendrier

«Seulement, en plus de la fermeture du dimanche, nous avions un deuxième gros problème lié au calendrier cette année. Car le lundi et le mardi sont nos deux plus grosses journéeset nous n’avons qu’une ligne d’abattage», indique Henri Thébault, le gérant de Quintin Viande. «Je ne pouvais pas dire à mes clients traditionnels que je ne pourrais pas tuer leur bête durant ces deux jours à cause de l’Aïd. Il a donc fallu trouver une autre solution». Conséquence, hier, à 5h, Henri Thébault était à Vitré, chez SVA. Objectif, faire abattre, en respectant les rites religieux, les 71moutons des musulmans costarmoricains. De retour à midi, il a pu fournir les familles. Au deuxième jour de l’Aïd. «Je suis heureux d’avoir trouvé cette solution pour faire plaisir à des gens qui nous font confiance toute l’année», se félicite le gérant de Quintin Viande. Venu de Saint-Julien, Imad, 32ans, a bien été obligé d’accepter cette journée de décalage. Sans amertume. «La fête doit durer trois jours, mais en cas d’empêchement, notre religion nous autorise à débuter la deuxième journée. L’essentiel, c’est de faire le sacrifice. Ce qui se passe est indépendant de notre volonté. Et puis, le sens de cette fête, c’est le partage. Avec la famille, les copains, les voisins et les pauvres.»

«On ne peut pas obliger»

Reste que pour une partie des musulmans, la fête est «un peu gâchée» cette année, comme le souligne Taïcha Ben Taleb, l’imam de Saint-Brieuc, bien conscient que tous ses fidèles n’ont pas respecté à la lettre la loi. «L’Aïd, c’est la grande fête des musulmans. À notre niveau, nous avons fait passer le message qu’il ne fallait pas procéder à des sacrifices à droite et à gauche. Mais on ne peut pas obliger les gens.» Pour l’imam, une chose est sûre: semblable situation ne doit pas se reproduire l’an prochain. «Nous devons travailler dès maintenant pour organiser ça.»

Source: http://saint-brieuc.letelegramme.com/

Prières de rues: on n’est pas au bout…

Montage d’illustration; Les « heurtés », comptez vous…

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Maintenant que l’excuse de l’islamophobie, de la liberté de culte, de la stigmatisation et du racisme est épuisée, les muzz trouvent d’autres raisons d’encombrer les rues pour « prier »…L’entente entre musulmans de diverses confessions et origines n’existe pas. Rien d’étonnant à ce que partout où ils passent, ce soit un foutu bordel…

« Religion » d’amour, de paix et de tolérance…

FDF

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LA MOSQUEE DE PARIS AU COEUR D’UNE VERITABLE BATAILLE RANGEE

En fait, les musulmans sont toujours très unis lorsqu’il faut taper sur la France, les Français, les religions non mahométanes et les juifs.

Mais, pour ce qui est de leur entente, à eux, entre musulmans, elle est inexistante.

La preuve : La future Mosquée de Paris.

La Préfecture de Paris attend toujours les « statuts de l’association » devant gérer le nouveau lieu de culte qui aurait dû, selon leurs dires, résoudre  le problème néfaste des prières à ciel ouvert.

Mais cette fois, les patriotes Français n’y sont pour rien. Pas de saucisson-pinard, pas de soupe au cochon, rien.

Le conflit réside dans la bataille que se livrent  les deux « clans » musulmans, les subsahariens et les maghrébins, qui veulent  tous deux, en assurer le «contrôle».

Après les différends entre ceux du Maroc et ceux d’Algérie qui se disputaient  la présidence du culte musulman de France, l’Islam, religion de paix et d’amour de tous ces fidèles, n’a pas su apaiser la discorde qui règne entre ces deux autres ethnies : les africains d’en bas et les africains d’en haut.

La cohabitation est difficile ? Mais, intégrez-les, s’il vous plait !

S’ils ne s’intègrent pas entre eux, comment  pourrions-nous les intégrer à notre culture ? Quand les bienpensants le comprendront, alors peut-être, verrons-nous enfin, revenir la paix des braves, dans notre pays.

En attendant, les Français bon teint, continuent de voir leurs rues envahies et, de fait, interdites à toute circulation, les jours de prière, pendant que les autres continuent de s’étriper pour savoir qui sera le « chef » de la prochaine mosquée de Paris.

Source: http://www.petitsechodoran.com/

Le Premier ministre danois appelle (aussi) les islamistes à quitter le pays.

J’ai écrit « aussi » car cela vient s’ajouter aux récents propos du premier ministre d’Australie qui abondait en ce sens. Le monde moderne entrerait-il en résistance ? Il est bientôt temps.

A plusieurs pays, on va peut-être arriver à repousser cette islamisation fanatique nauséabonde… Et Fillon; il dit quoi sur le sujet?

FDF

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Dessin: Bergolix

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Dans un discours tenu lors d’un congrès du parti, le nouveau Premier ministre social-démocrate danois Madame Thorning-Schmid a appelé tous les fondamentalistes musulmans à quitter le pays.

Bravo à Mme la ministre !

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Elle a critiqué âprement dans son discours les salafistes et autres groupes extrémistes : « Quand on veut introduire des zones de sharia au Danemark, ce serait peut-être plus simple er meilleur pour tous que les intéressés aillent dans un seul pays où il y a déjà une grande zone unique de charia. Pour les salafistes et autres groupes présentant un caractère dangereux pour la communauté, le message du nouveau gouvernement est clair : « vous détruisez beaucoup de jeunes gens qui veulent faire partie de la communauté danoise.»»

Le Premier ministre souligne ainsi les critiques d’hier du Ministre des affaires étrangères Villy Sövndal et du Ministre de l’intégration et des affaires sociales Karen Haekkerup envers ces groupes religieux, qui, selon un rapport du ministère de l’intégration, sont appelés à devenir un problème croissant au Danemark.

En même temps, Madame Thorning-Schmid annonce une politique de l’immigration de loin plus détendue que celle qui a eu lieu sous le gouvernement de centre-droit, qui était imprégnée par le Parti du Peuple danois.

« La grande majorité des immigrants au Danemark veulent que leurs enfants deviennent une part de leur nouvelle patrie, sans pour autant oublier leurs racines. La grande majorité des immigrés au Danemark veulent trouver un travail et cherche à s’occuper de leur propre famille. Le nouveau gouvernement est aussi un gouvernement pour eux. »

Source: http://lionelbaland.hautetfort.com/

Merci à JC JC…

Ouf! Il y a encore 40% de Français « récupérables »…

Je crois qu’avec les Français, pardon, les Franchouillards, nous n’arriverons jamais à rien. Si: à perdre notre identité nationale acquise avec le sang versé par nos aïeuls… Mais ça, 60% ont déjà oublié… Mais êtes vous assez courageux pour donner votre nom? J’en doute. Remarquez, je vous comprend: vous êtes Français, certes, mais à ce jour, tout le monde peut être Français…


Dessin de KONK…

Laissez vous donc sodomislamiser à souhait! Mais que personne ne vienne pleurer après!

A ces 60% concernés je dis: ne venez plus jamais sur ce blog. Vous y êtes indésirables…

FDF

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Elections locales : 6 Français sur 10 pour le droit de vote des étrangers hors UE !

Près de six Français sur dix se déclarent favorables à l’extension du droit de vote aux élections municipales et européennes aux étrangers non-européens vivant en France, selon un sondage de Harris Interactive pour La lettre de la citoyenneté publié vendredi 4 novembre 2011.

Interrogés à ce sujet, après s’être vu rappeler que les étrangers des pays de l’Union européenne résidant en France ont le droit de vote pour ces élections, 59 % se disent favorables à ce que cette mesure concerne les résidents hors UE.

37 % se déclarent « tout à fait favorables » à cette évolution, et 22 % « très favorables ». 39 % y sont opposés (23 % « assez opposés », 16 % « très opposés »). 2 % ne se prononcent pas.

+ 9 points par rapport à  2009 – Le total des personnes favorables « correspond à une hausse de neuf points par rapport à la dernière mesure réalisée en 2009 et constitue la proportion la plus élevée recueillie depuis le début de ce baromètre en 1994 », précise BVA.

Interrogés sur l’extension de ce droit de vote, d’une part « à toutes les élections locales, c’est-à-dire aux élections municipales, cantonales et régionales », et d’autre part à « tous les étrangers vivant en France », les Français répondent aussi favorablement, à 56 % (40 % « d’assez favorables », 16 % de « très favorables »).

41 % sont par contre hostiles à cette solution (23 % « assez opposés », 18 % « très opposés »). 3 % sont sans avis.

Selon BVA, « seules les personnes âgées de 50 ans et plus s’opposent aujourd’hui » à l’extension du droit de vote aux résidents non communautaires pour les élections municipales et européennes.

Cette idée, ajoute l’institut, « fait son chemin » parmi les sympathisants de droite et d’extrême droite, même si elle y demeure minoritaire : 42 % des sympathisants de droite y seraient favorables (+ 15 points par rapport à la dernière enquête), et 36 % de ceux de l’extrême droite (+ 14 points).

Sondage réalisé par téléphone les 28 et 29 octobre auprès de 976 personnes représentatives de la population française âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas.

Source: http://www.lagazettedescommunes.com/

Mal barrés pour intégrer l’Europe, les Turcs…

 En effet, ils les accumulent.

FDF

L’entrée de la Turquie dans l’UE, c’est 70 millions de musulmans qui débarquent en une seule fois! On ne pourra plus lutter…

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La Turquie refuse de rendre les biens spoliés à l’Eglise catholique !


Sainte-Sophie, la première des spoliations

Nos confrères de l’agence catholique traditionaliste Dici nous signalent:

L´Eglise catholique en Turquie ne semble pas bénéficier de la loi sur la restitution des biens confisqués aux Fondations religieuses non musulmanes. Publiée le 27 août 2011, cette loi s´applique uniquement aux Arméniens, aux Grecs orthodoxes et aux Juifs, a précisé Rinaldo Marmara, attaché culturel et porte-parole de la Conférence épiscopale catholique turque, au Service d´Information Religieuse italien (SIR), le 6 septembre.

L´Eglise catholique n´a pas la capacité juridique pour récupérer ses biens. « Cette loi concerne les communautés minoritaires (grecque, arménienne, juive) qui ont leurs biens immobiliers enregistrés au nom de Fondations. Ces communautés, de nationalité turque, ont un statut légal à travers leurs Fondations. Ce qui n´est pas le cas de l’Eglise catholique latine, considérée comme une personnalité étrangère », a expliqué Rinaldo Marmara.

Le coup de l’Eglise comme « personne morale étrangère » est bien connu. C’est au nom de ce motif absurde que l’on persécuta (ou que l’on persécute encore) les catholiques sous la IIIe République, sous le IIIe Reich, sous les dictatures communistes, et, de façon générale, sous tous les régimes anti-chrétiens. La Turquie contemporaine manifeste simplement son effrayant manque d’imagination… et son asservissement à l’idéologie coranique de la dhimmitude (alors qu’elle a le culot de se prétendre « laïque » pour mieux se faire admettre dans l’Union européenne). Quand on pense que les contribuables européens ont déjà versé des milliards d’euros pour faciliter cette entrée, et que la Turquie n’est pas capable de trouver un kopeck pour réparer ses spoliations à l’égard des catholiques…

Source: http://www.chretiente.info/

Afrique – Une jeune fille convertie évite la lapidation.

Elle a choisi la vie… En fait, on ne lui a pas donné le choix. Bande de malades mentaux !!!

FDF

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Photo d’illustration

Un récit poignant publié par Portes Ouvertes

Quand la famille de Shadiya a appris sa conversion, elle l’a mise devant un choix radical : renier sa foi ou être lapidée.

Shadiya est une chrétienne de l’ombre de 18 ans qui vit en Afrique du Nord. Elle s’est convertie en 2011. Ce choix lui a très vite causé des problèmes. Un jour, la jeune fille a oublié de cacher sa bible et son père l’a trouvée. Shadiya a refusé de mentir et a confessé courageusement qu’elle était devenue chrétienne. Pour sa famille, cette conversion signifie qu’elle a renié son identité, trahi sa famille ainsi que toute la communauté musulmane ! Shadiya a été battue, et considérée comme impure.

Mais malgré tout, elle est restée fidèle à Jésus. Devant son refus de revenir à l’islam, son père est allé demander l’aide d’un imam local. Ensemble, ils ont placé la jeune fille face à un choix radical : renier publiquement sa foi ou être lapidée par la communauté.

La pression était trop forte pour Shadiya. Elle a accepté de renier publiquement sa foi chrétienne. Elle continue à croire en secret, mais est malheureuse de ne pas avoir eu le courage de tenir ferme face à l’oppression. L’histoire de Shadiya montre à quel point les chrétiens de l’ombre ont besoin de nos prières pour tenir bon.

Merci à Vendger…

Roms: la solution viendrait elle de Hongrie ?

Sujet délicat s’il en est… Ca rappelle de sombres histoires qui se sont passées le siècle dernier.

Mais, sur le principe de forcer à travailler ceux à qui ça fait peur, et qui sont (trop) habitués à profiter des largesses du système qui leur est exclusivement réservé, et ce, sans avoir à mettre leur réveil le matin, ça donne à réfléchir; mais sérieusement. Sans en venir à ces principes à la hongroise un peu trop stigmatisants, on pourrait faire l’effort de s’atteler au problème.

FDF

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A Gyöngyöspata, fief des milices d’extrême droite hongroises, les Roms ont été mis au travail forcé depuis septembre. 150 euros par mois pour débroussailler, planter des arbres ou rénover le poste de police locale. La blogueuse et romancière Djemâa Chraïti s’est rendu sur place. Elle raconte les humiliations permanentes, la pauvreté et la ségrégation. Reportage.

Jeudi 27 octobre, 13h. Tout est calme dans le village de Gyöngyöspata, 2 800 habitants, rarement mentionné sur les cartes routières et pourtant devenu le centre de tous les regards depuis que les milices Véderö y ont installé au printemps dernier leur camp d’entraînement avec lasers, bergers allemands, matraques et surtout toute leur haine.

Par la suite Jobbik, le mouvement d’extrême-droite néo-fascisant s’est imposé à la tête de la mairie et a décidé de lancer son programme en transformant le ghetto – un parmi les 1 100 répertoriés en Hongrie – où habitent 450 Roms en laboratoire-test et en forçant les Roms aux travaux obligatoires*.

Les rues sont désertes, même chats et chiens semblent faire profil bas. Une voiture de police ralentit, il paraît que nous venons de croiser de peu Gábor Vona, le chef du parti Jobbik, présent 5 minutes plus tôt et qui a fait un passage-éclair – certainement pour apprécier l’avancée de son programme-pilote.

Le ghetto se situe en bas du village, il faut emprunter une pente raide et méchante de terre battue pour parvenir au milieu des quelques maisons délabrées. Ce sont 126 familles vivant sur trois générations qui se répartissent dans une vingtaine d’habitations. Les routes, de simples chemins de terre, sont à peine dessinées. Les maisons du ghetto se situent à proximité d’une rivière dont chaque crue fait des ravages. Des milices néo-fascistes défilent dans le village

Janush, nous attend. Dès notre arrivée, il surgit précipitamment de chez lui et nous montre la caméra de surveillance installée sur le poteau électrique, droit sous ses fenêtres. Les policiers tournent autour de notre voiture. Notre hôte nous happe littéralement à l’intérieur de la maison. Les deux uniformes s’éloignent un peu, hésitants sur la conduite à tenir, mais ne peuvent guère intervenir : nous sommes en visite privée chez un particulier.

Janush Farkas senior est vice-président du Mouvement national Rom des droits civils.

Comme il se plaît à le souligner, il est un paysan investi depuis 21 ans dans la vie politique pour sa communauté et personne ne pourra lui enlever cette expérience. Le « Martin Luther King » de Gyöngyöspata crie à la révolte depuis que les milices ont débarqué dans son village devenu le fief de l’extrême-droite.

La vie déjà si précaire des Roms ne ressemble dorénavant à plus rien – si on peut encore appeler cela une vie. La femme et les enfants de Janush, tout comme le reste du village restent traumatisés par le défilé de ce terrible mois d’avril, où une nuit, 7 500 hooligans hongrois supporters du Újpest [un club de football de Budapest] scandaient d’une voie sombre et caverneuse, à faire trembler les murs, « Ria- Ria-Hungaria ! » (« Aller, aller la Hongrie »), en tenant des torches et en marchant au pas militaire, le bras tendu à la façon des nazis. Ils venaient provoquer ce ghetto de pauvres et le commissaire affolé a du donner ordre aux Roms de tous rester cachés chez eux et surtout de ne pas sortir sous peine d’être battus, voire tués.

Janush montre son cœur qui, depuis cette nuit, va mal, s’emballe pour un rien. Sa femme Clara doit prendre des anti-dépresseurs. Des dizaines d’autres familles se sont enfuies pour le Canada.

Mais lui, Janush ne partira jamais :

la Hongrie, c’est mon pays, je suis Hongrois, cela fait 600 ans que nous sommes là. Ni les crues de la rivière, premier fléau, ni Jobbik, le second, ne nous feront quitter ce pays et ce village. Malgré la terreur physique, psychique, spirituelle, nous ne renoncerons pas à la Hongrie.

Ils utilisent une méthode de harcèlement constant auprès des Roms du ghetto. Quatre policiers sont engagés à plein temps pour nous contrôler et nous amender de façon arbitraire. Par exemple, une femme pousse la poussette de son enfant au bord de la route parce que les trottoirs sont quasi inexistants ou troués de nids-de poule et inaccessibles pour un véhicule à roulettes. Les policiers lui infligent une amende pour n’avoir pas utilisé le trottoir. Un enfant de 5 ans fait pipi au bord du chemin de terre, et encore une autre amende. Elles pleuvent comme la septième plaie d’Égypte. On nous reprend d’un côté, ce que l’on vous donne de l’autre : des amendes de 10 000 (environ 33 euros), 35 000 forint Hongrois à donner, alors qu’on n’a même plus de quoi manger.

Tout est bon pour dénigrer et marginaliser les Roms, eplique Janush :

Concernant les enfants, on nous envoie des psychologues qui, après des test,s concluent qu’ils sont sont arriérés mentaux et qu’ils doivent aller dans les classes spéciales, tout ceci parce que dans les classes hongroises normales, ils ne veulent pas de nos enfants. D’autres psychologues de Budapest, totalement neutres, viennent et disent tout le contraire, que nos enfants sont vifs et intelligents.

Il y a un racisme, une ségrégation insidieuse qui empoisonne la vie des gens. Et ce sont toujours, quoiqu’il arrive, les Roms qui ont tort, il n’y a pas de justice. Depuis la chute du régime communiste, nous sommes plus seuls que jamais, discriminés et abandonnés à notre sort. Au moins avant nous pouvions tous travailler, emprunter de l’argent à la banque, nous avions des petits salaires, mais des emplois fixes, c’était un vrai système plus démocratique que celui actuellement mis en place.

Janush poursuit la liste des humiliations et des accusations dont sa communauté est victime :

Après les dernières crues, trois familles ont du être relogées. La Croix-Rouge avait réuni de l’argent pour la construction de maisons dans un autre quartier, avec des Hongrois. Ceux-ci se sont farouchement opposés à leur arrivée. Et la campagne de haine de racisme via la chaîne TV Barikad (Barricade) n’a rien arrangé. Les partisans de Jobbik ont profité de la mort de Josef Toth, un vieux retraité du village, qu’on a retrouvé pendu chez lui, pour nous faire porter le chapeau. Mais Josef, s’entendait bien avec nous, il nous rendait même des services en nous véhiculant sur ses machines agricoles contre quelques pièces, et n’a jamais eu le moindre problème. Jobbik a déclaré qu’il s’est pendu parce qu’on l’avait torturé. Heureusement, l’enquête de police a conclu aux vraie raisons de son suicide : en réalité, Josef était malade d’un cancer déjà très avancé qu’il supportait plus. Et c’est ainsi que nous tous, à notre étonnement, avons appris qu’il était très malade, qui l’aurait soupçonné, cet homme, cet ami qui n’a pas pu partir avec son secret ?

Nous quittons Janush pour nous rendre auprès des travailleurs Roms recrutés pour le nouveau programme de travaux forcés. Débrousailler à la main

A grandes enjambées, on parcourt les 5 kilomètres qui nous mènent au sommet de la colline, là ou travaillent une quarantaine des Roms. Cette colline si riante aux dégradés chauds et chatoyants d’un automne encore joyeux, si généreux en lumière et en éclat doré. Le carillon léger des cloches de l’église du petit village fend l’air et parvient jusqu’à nous comme un triste glas. Lugubre tocsin annonciateur des libertés bientôt enterrées.

On arrive essoufflé, les travailleurs prennent leur pause, ils sont assis entrain de discuter et de fumer. Lorsqu’on leur demande ce qu’ils en pensent de ce travail forcé, les Roms haussent les épaules. De toutes les façons, ils n’ont pas le choix.

Pour 8-10 heures par jour, ils gagnent environ 150 euros par mois, loin du salaire minimum hongrois établi à environ 350 euros. Ils sont répartis en deux groupes, un premier qui défriche le chemin de terre avec de vieux outils et avec les mains. Des rumeurs circulent : des milices installeraint au sommet de la colline une base militaire pour surveiller le ghetto confiné. Ces travailleurs roms ont aussi travaillé à débroussailler les chemins pour le compte de propriétaires privés.

Un second groupe est chargé de participer à la rénovation du poste de police de Gyöngyöspata.

« Creuser sa propre tombe »

Une dame âgée de 57 ans est assise et discute de ses conditions de travail. grand-mère de six petits-enfants qu’il faut bien nourrir, elle n’a guère le choix. Mais, elle espère vraiment tenir et continuer à travailler dans ces conditions difficiles jusqu’à la retraite.

Un peu plus tôt, une Hongroise du village nous faisait remarquer que ce programme établit par le Jobbik n’a aucun sens. « On occupe bêtement les Roms avec l’argent du contribuable pour leur faire faire des travaux dont on verra les résultats que dans dix ans [il est aussi prévu de leur faire planter des arbres] », explique-t-elle en substance.

« Alors que Jobbik prétend trouver des solutions, et bien qu’il relance un vrai programme économique comme rouvrir les usines de la région, la raffinerie de sucre et de proposer du travail á tout le monde, pas seulement aux Roms mais aussi aux Hongrois. Aujourd’hui, nous avons tous besoin de travailler, au lieu de cela, avec leur idée bête, ils arrivent encore á jeter l’argent de nos taxes par la fenêtre ». Elle soupire un peu lasse : « Ce travail qu’on leur fait faire est un non-sens ».

Un Rom de Budapest est encore plus critique envers ce programme de travail forcé qui concerne officielement tous les allocataires de minimas sociaux mais touche, de fait, les Roms. « C’est comme obliger un condamné à creuser sa propre tombe pour ensuite le flinguer et le pousser dans la fosse ». Rien qu’un morceau de pain

Il est l’heure de repartir, nous redescendons quasiment en courant parmi les hautes herbes pour nous diriger droit sur le ghetto. Un fait troublant me dérange, sans que j’arrive à mettre le doigt dessus. Je tâtonne, repasse tout en revue ; l’horloge, les photos de mariage, le vieux frigo qui hoquette à force d’être vide, le formica grenat de la table, les peintures jaunes du mur, la lampe suspendue, les expressions sur les visages tantôt souriants tantôt tristes. De mémoire je revois tous les détails, les après les autres.

Et ça y est, enfin, ça remonte à la surface ! Lorsque Janush, lui aussi grand-père, est allé chercher ses petits-enfants à la sortie de l’école et qu’il les a ramenés à la cuisine, il n’y a rien qui cuisait, ni réchauffait, ni grillait, ni mijotait, ni bouillait sur le gaz. Ces enfants de retour de l’école allaient juste devoir se contenter d’un morceau de pain. Il faut bien se serrer encore davantage la ceinture pour payer les amendes arbitraires.

*Ce programme a en fait été décidé par le gouvernement nationaliste de Viktor Orbán, mais Gyöngyöspata a été l’une des toutes premières villes à le mettre en oeuvre, à partir du 1er septembre 2011.

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Tous crédits photos : Djemâa Chraïti.

Une première version de ce reportage a été publié sous le titre « Les larmes du ghetto de Gyöngyöspata » sur le blog BIENVENUE CHEZ LES ROMS, hébergé par la Tribune de Genève.

http://fr.myeurop.info/2011/11/04/l…

En Europe, les groupes « populistes » ont de plus en plus la cote…

Le tsunami populiste approche…

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Et il est inutile de se poser la question afin de savoir pourquoi cet élan de résistance. Les peuples de souche en ont marre de voir partout la priorité non-nationale sur le podium des projets politiques des gouvernants. Ils en ont marre de subir économiquement et psychologiquement les bienméfaits de l’immigration. On ne s’occupe plus des pays Européens, on se concentre sur le Maghreb. On leur prépare le terrain, aux envahisseurs? Et bien pratiquons dès à présent la politique de la terre brûlée… Il existe un tas de façons de le faire…
FDF

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L’extrême droite a le vent en poupe dans l’Union européenne et ses thèses rencontrent un écho grandissant chez les jeunes hommes de moins de 30 ans, selon une étude publiée lundi à Bruxelles par le centre de réflexion britannique Demos. « Alors que de nombreux pays européens ont les yeux fixés sur l’état de leur économie, une autre crise de confiance se prépare. Dans toute l’Europe, des jeunes gens se sentent abandonnés par les partis traditionnels et leurs représentants et affichent de la sympathie pour les groupes populistes », met en garde Jamie Bartlett, auteur du rapport publié en anglais sur le site de Demos.

L’étude qui s’appuie sur les réponses fournies sur le site de socialisation Facebook par près de 11.000 sympathisants de 14 groupes d’extrême droite dans onze pays européens, montre que la montée de l’islamisme, perçue comme une menace, fédère de plus en plus de personnes en Europe. Ces Européens dénoncent également les effets de la mondialisation qui détruit « les droits des travailleurs ». Ils ont « perdu la foi » dans leur gouvernement, les institutions européennes et le système judiciaire, selon Demos.

« A leurs yeux, les principaux partis politiques ont perdu le contact avec la réalité, sont insipides et lointains, incapables de répondre aux difficultés qu’ils rencontrent quotidiennement dans la vie de tous les jours« , résume Jamie Bartlett. Il faut « prendre au sérieux » leurs inquiétudes, préconise l’étude. Les responsables politiques européens doivent « se secouer, écouter et répondre », selon M. Bartlett.

Source: http://www.lefigaro.fr/

Merci à JC JC…