Francaisdefrance's Blog

06/11/2011

On y arrive enfin…

A mon avis, ça va se bousculer à l’embauche… Depuis le temps que les citoyens le réclamaient, cet appel. Mais attention! Si on veut du bon boulot, il va falloir laisser carte blanche à ces nouveaux citoyens respectueux de l’ordre et ne pas incorporer « n’importe qui » dans les rangs.

Bon ça risque de friter grave mais les résultats seront là. Et puis, 97 euros non imposables…

Une chose m’inquiète, pourtant: en cas de débordements (car là, il y en aura, depuis le temps que ça les démange, les Français), Guéant va certainement jouer les « c’est pas moi, m’sieur ! »

Petite remarque en passant: il y en a qui n’ont pas attendu cette proposition. Depuis fort longtemps, ils avaient la solution; et depuis un certain temps, elle était en rodage…

Seconde remarque: les forces de police n’ont pas à s’inquiéter. Ce n’est pas une police de substitution; c’est un sérieux coup de main à un corps de métier qui a trop les pieds et poings liés…

On signe où ?

FDF

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Sécurité : Guéant propose aux citoyens de faire la police !

Un récent décret permet à tout un chacun de rejoindre la réserve de la police, jusqu’ici exclusivement constituée de policiers retraités. Pour le moins risqué.

La publication du décret issu de la Loppsi 2, jeudi 27 octobre, était passée presque inaperçue, jusqu’à ce que le ministre de l’Intérieur Claude Guéant propose, lundi 31 octobre à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, l’ouverture de la réserve de la police à tout citoyen souhaitant « servir son pays« . Une mesure parmi d’autres (renfort de CRS, mise en place d’un référent policier, numéro vert pour les habitants) visant, selon le ministre, à renforcer la sécurité et à lutter contre la présence de dealers dans le quartier Zola-Arago. Et qui, aussi surprenante soit-elle, intervient à point nommé, quatre jours seulement après la diffusion, dans le JT de « France 2 », d’un reportage sur le trafic dans le quartier.

Des habitants qui « recevront une formation, un uniforme »

S’ils saluent la présence renforcée de la police depuis vendredi dernier, les habitants du quartier Zola-Arago n’avaient pas attendu le ministre pour se mobiliser. Depuis plusieurs mois, à l’initiative d’une association de locataires, ils redoublent d’énergie (marches, repas de quartiers, rencontres avec le responsable de l’office HLM, le préfet,…) pour faire entendre leur ras-le-bol. Le ministre a saisi la balle au bond, arguant que pour « entretenir (cette) formidable mobilisation citoyenne », la police aura désormais recours à des « habitants volontaires qui recevront une formation, un uniforme et seront indemnisés lors de leurs vacations. » Une proposition qui n’est pas sans rappeler le dispositif voisins vigilants cher au ministre, mais qui suscite indignation, inquiétude, et pose de nombreuses questions : pourquoi, comment, quelle formation, quelles missions, quel encadrement et surtout, quels risques encourus pour les volontaires ?

« Policier n’est pas un métier d’intérimaire »

Si le décret est consultable, l’arrêté précisant ses modalités d’application n’a pas encore été publié. Mais la proposition suscite d’ores et déjà de vives réactions, dont l’incompréhension et l’inquiétude de certains policiers. « Etre policier n’est pas un métier d’intérimaire, ça ne s’improvise pas », tempête le secrétaire général du syndicat SGP Unité police FO Nicolas Comte, qui explique au « Nouvel Observateur » avoir en juin dernier « voté contre » cette proposition qu’il ne voit « pas comme une bonne chose. » Ses craintes sont multiples : « quel sera le profil des volontaires ? Ne seront-ils pas des recalés de la profession d’adjoint de sécurité ou alors essentiellement motivés par l’argent ? » Et le policier d’ajouter « qu’on ne règle pas des problèmes de trafic de drogue avec des réservistes citoyens », avant de rappeler une fois de plus les problèmes d’effectifs rencontrés au quotidien par les policiers.

La différence avec les policiers ? Quelques détails vestimentaires

Le syndicat Alliance police a quant à lui voté en faveur du décret « à trois conditions sinéquanones » qu’explique jeudi 3 novembre au « Nouvel Observateur » son secrétaire général Denis Jacob : « les réservistes qui ne sont pas policiers ne doivent pas être armés, porter un signe distinctif permettant de ne pas les confondre avec les policiers (signe distinctif sur la casquette, chemise de couleur différente, mention ‘réserviste’), et doivent se cantonner aux tâches indues (accueil,…) et aucun cas ne faire du maintien de l’ordre. » Si le syndicat a été entendu sur ces trois points, il est bien difficile d’imaginer que toute confusion sera évitée du fait de ces détails vestimentaires. Comment réagiront ces citoyens volontaires quand ils seront confrontés à une difficulté, quelle qu’elle soit, sur la voie publique ?

Peut prétendre à être « réserviste citoyen » toute personne qui a entre 18 et 65 ans et a la nationalité française. « Un extrait de casier judiciaire, un certificat individuel de participation à la journée d’appel à la défense ou un justificatif du service militaire et un certificat médical » sont également demandés selon Denis Jacob, ajoutant que « tout titre ou diplôme doit être mentionné ». Le préfet examine les dossiers des candidats qui seront ensuite, ou non, convoqués pour un entretien visant « à tester leurs compétences et motivation à exercer leur mission de réserviste ».

La mission de réserviste, rémunérée selon un forfait journalier de 97 euros « non imposable », n’est pas un emploi à plein temps. Si les policiers retraités, qui jusqu’ici composaient exclusivement la réserve de la police, peuvent l’exercer jusqu’à 150 jours par an (210 s’ils partent en mission à l’étranger), les citoyens volontaires ne pourront pas excéder 90 jours de mission chaque année. « Ils ne feront ni police secours ni maintien de l’ordre » répète le secrétaire général d’Alliance police, rappelant leurs missions « d’accueil et de jalonnement » lors « d’événements spéciaux », lors du « Tour de France » par exemple, ou « le 14 juillet, quand les abords des Champs Elysées sont jalonnés d’un policier à chaque mètre ». Interrogé plus précisément sur les missions « d’accueil », Denis Jacob répond que les volontaires pourront, par exemple, « renseigner les gens dans la rue, être en contact avec la population, rassurer… » Autant de missions qui ne s’improvisent pas, loin de là.

Et les 6.000 policiers retraités disponibles ?

La courte formation prévue pour ces citoyens volontaires n’a rien de rassurant non plus. S’ils doivent bénéficier « d’une formation continue » en fonction de « leurs domaines d’intervention », leur formation générale ne durera pas plus de 15 jours, explique aussi le policier. Au programme : « la découverte de l’organisation de la police et son administration, les différentes missions, les règles déontologiques et le savoir-faire professionnel de base. » Suffisant, selon le ministère, pour que le volontaire endosse l’uniforme et exerce la mission. Mais il sera « toujours accompagné d’au moins un policier réserviste », nous dit-on. Cette proposition vient-elle d’un manque de policiers réservistes ? Non, répond le secrétaire général d’Alliance police, qui assure que, sur « les 10.000 policiers volontaires, seuls 4.000, environ, sont actifs ». Pourquoi, dans ce cas, ne pas faire prioritairement appel à ces policiers ? Denis Jacob s’interroge également, avant de suggérer « une volonté d’ouverture de la police. »

« On n’entre pas dans cette combine »

A Saint-Ouen, les membres de l’association de locataires ont été « extrêmement choqués » par le fait que le ministre leur « propose de faire la police », rapporte son président Abdellah Fraygui au « Nouvel Observateur ». Dénonçant des méthodes de « délation et de collaboration rappelant des heures sombres de l’histoire », leur verdict est sans appel : « à chacun ses responsabilités. On n’entre pas dans cette combine. »

Contacté par « Le Nouvel Observateur », le ministère de l’Intérieur n’était pas disponible jeudi soir pour répondre à nos questions.

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Source:  Le Nouvel Observateur

De l’eau au moulin de Charlie Hebdo…

Preuve est que l’attentat chez Charlie Hebdo est bien du fait d’intégristes un peu trop lobotomisés par des « meneurs propagandistes » avide de haine, de sang et avides de conquêtes… Et Dieu sait si ils sont légion parmi nous… Pourtant, il n’y a qu’un islam, qu’un coran…

Interdire de reproduire l’image de Mahomet n’est mentionné nulle part dans le coran. Celui de le tourner en dérision par humour non plus…
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(Au fait, merci à Charlie Hebdo d’avoir imprimé une autre série du numéro « du scandale »; il y a eu autant de demandes…).

FDF

Dessin de Dilem

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Le siège de l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo a été attaqué au cocktail Molotov dans la nuit du mardi au mercredi 2 novembre, à la veille de la publication d’un numéro spécial intitulé «Charia Hebdo», dont la couverture est un dessin représentant Mahomet. Si l’attaque n’a pas été revendiquée, une autre, virtuelle celle-ci, est venue d’un groupe de pirates turcs qui ont affiché sur la page d’accueil du site de l’hebdomadaire un message dénonçant «des dessins dégoûtants». La page Facebook du journal a également été envahie de commentaires s’offusquant de la caricature du prophète.

Au-delà de la question du caractère offensant ou non du dessin, l’incident a remis sur le devant de la scène un sujet qui avait éclaté de manière souvent confuse aux yeux de l’opinion publique mondiale en 2006 avec l’affaire des caricatures de Mahomet parues dans un journal danois, celui de la représentation du prophète musulman. L’islam interdit-il la fabrication d’images de Mahomet?

Les trois grandes religions monothéistes que sont l’islam, le judaïsme et le christianisme ont comme point commun l’acceptation d’un seul Dieu (Allah pour la religion musulmane) et l’interdiction de le représenter. La représentation de Dieu est ainsi restée taboue tout au long de l’histoire de l’islam.

Pas dans le Coran

Si l’interdiction de faire des images de Dieu dans l’islam n’est pas contestée, il n’en va pas de même pour les images de Mahomet, le prophète de la religion musulmane. Aucun passage du Coran n’interdit la représentation des êtres vivants, et donc de Mahomet, qui n’est qu’un homme et non l’incarnation de Dieu comme Jésus. C’est une différence majeure avec la Bible, qui interdit de manière explicite la création d’images dans le second commandement:

«Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.» (Exode XX, 4)

Une interdiction plutôt respectée par les juifs mais vite abandonnée par les chrétiens, qui ont considéré que l’arrivée sur terre de Jésus, la réincarnation de Dieu, permettait de représenter ce dernier de manière figurative et d’en faire un vieux barbu.

Hadiths

C’est dans les hadiths, recueils qui rassemblent l’ensemble des traditions relatives aux actes et aux paroles du prophète et de ses compagnons, que l’on trouve des allusions plus claires à la création d’images. Plusieurs textes y font référence à la fabrication d’images d’Hommes ou d’animaux, et donc de Mahomet lui-même. Le problème théologique ne concerne en effet pas le prophète en particulier mais tous les êtres vivants (les végétaux n’étant pas considérés comme tels).

Dans Al-Bukhârî, LXXVII, 87. Al-Sahîh (L’Authentique), l’un des plus grands et importants recueils de hadiths, compilé au IXe siècle, on peut lire:

«Les anges n’entreront pas dans une maison où il y a un chien, ni dans celle où il y a des images.»

L’image est assimilée à une impureté semblable à celle d’avoir un chien, animal impur par excellence, notamment à cause du risque d’idolâtrie qu’elle entraîne, un des pires pêchés dans l’islam comme dans le christianisme et le judaïsme.

Les images seraient aussi proscrites parce que les Hommes qui créent des représentations d’humains ou d’animaux sont perçus comme voulant imiter Dieu. Plusieurs hadiths affirment que le jour du jugement dernier, ceux qui ont peint des Hommes ou des animaux seront sommés de leur insuffler une âme, de leur donner vie. L’artiste qui dessine les êtres vivants se pose en concurrent du Créateur.

C’est de l’interprétation de ces hadiths que vient le désaccord entre ceux qui estiment que la tradition musulmane interdit et a toujours interdit les représentations de Mahomet et ceux pour qui rien ne permet de l’affirmer. La question n’a pas toujours été aussi taboue qu’aujourd’hui. Tout dépend du climat plus ou moins rigoriste de l’époque à laquelle on se trouve, mais aussi de la région où l’on se trouve.

Images de Mahomet au 13e siècle

L’histoire de l’art apporte des preuves de ce passé où Mahomet pouvait être représenté. A partir du 13e siècle, des représentations du prophète ont circulé dans des miniatures islamiques, turcopersanes d’abord, puis aussi arabes. La Bibliothèque nationale de France a ainsi abrité à l’été 2011 une exposition intitulée «Eluminures en islam» dont une partie était consacrée à l’art figuratif islamique, et qui s’est également intéressée au contexte dans lequel sont apparues les images du prophète.

Aux 14e et 15e siècles, les représentations de Mahomet à visage découvert n’étaient pas problématiques et n’ont pas entraîné de réprobation de la part des autorités religieuses. Si les images figuratives du prophète ont toujours été absentes des lieux de prière et des mosquées, certains ouvrages religieux utilisaient des images de Mahomet comme des illustrations, pour promouvoir la connaissance de l’islam ou même pour transcrire des hadits en image. A partir du 16e siècle apparaissent des images de Mahomet avec le visage vide ou caché par un voile ou des flammes, et les premières fatwas contre les images du prophète ont attendu la fin du 20e siècle.

On retrouve des exemples d’icônes religieuses et de dessins figuratifs de Mahomet jusqu’aux années 2000, comme cette image tirée d’un livre pédagogique iranien:

Aujourd’hui, l’idée selon laquelle le prophète ne devrait pas être représenté est très répandue chez les musulmans, même s’il y a des nuances: les musulmans arabes ont tendance à être plus stricts en matière d’imagerie religieuse, et les chiites sont en général plus flexibles que les sunnites sur la question. Mais on assiste dans l’ensemble depuis quelques décennies à un durcissement et à une simplification sur le sujet, une tendance qui s’est accélérée depuis l’affaire des caricatures de Mahomet en 2006. La carte postale iranienne ci-dessous, qui représente un «jeune Mahomet», a arrêté de circuler en Iran en 2008.

Ce raidissement sur une question qui n’était presque pas débattue avant l’époque coloniale est interprété par certains experts comme une réaction identitaire face à l’acceptation des arts figuratifs dans les sociétés occidentales et chrétiennes.

On observe pourtant la diffusion de toutes sortes d’images figuratives à travers les formes modernes que sont la photographie, la télévision, Internet et les réseaux sociaux dans le monde musulman. Il n’y a qu’à voir le nombre d’images et de portraits géants des chefs d’État dans les rues de tous les pays musulmans, même les plus rigoristes, les cinémas arabes et persan ou encore les images figuratives brandies et dessinées lors des révolutions en Tunisie, en Libye ou encore place Tahrir en Egypte.

Source: http://www.slate.fr/

L’imposteur…

Dans la série « arnaques et Cie ».

Avec ce témoignage irréfutable, les « soc » sauront qui ils ont placé sur les rails du voyage vers l’Elysée; les autres aussi. Enfin, ça aurait pu être pire…

FDF

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François Hollande l’imposteur !


En 1983 sort un livre De la reconquête écrit par un dénommé Caton, homme politique a priori de droite qui, suite à la défaite de 1981, règle ses comptes avec ses petits camarades du RPR… Quelques mois après la sortie du livre, les journalistes découvrent la véritable arnaque et l’identité dudit Caton qui se trouve être André Bercoff, journaliste de gauche à l’époque. Pour ne pas être reconnu par ses amis journalistes, Bercoff avait envoyé un de ses proches faire la promotion de son livre à sa place…

Regardez la vidéo qui suit et vous prendrez la mesure de l’arnaque de ce personnage qui, aujourd’hui, va se présenter à la présidentielle de 2012 ! (avec l’aval des socialistes de France).

C’est en somme une histoire d’imposture !

http://youtu.be/uTHGxIg84k0

Source: http://www.nationspresse.info/

Comment traiter avec les pirates: l’exemple des Russes…

(Fini la sieste; me revoilà…).

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Remettons tout ceci dans le contexte des « actes de délinquance », les plus violents, bien sûr, que connaît la France aujourd’hui… Quelle façon idéale de faire diminuer le taux de criminalité…

FDF

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« Comment traiter les pirates somaliens et sécuriser la navigation… »

Vidéo édifiante de l’intervention courageuse et efficace… Des commandos russes … A visionner jusqu’à la fin !

Un coup de frein aux prises d’otages !

 Je vous recommande fortement de lire cette description avant de regarder la vidéo, de manière à comprendre ce qui se passe .

La vidéo ci-dessous montre des commandos de la Marine russe sur un bateau pirate somalien peu de temps après que les pirates aient capturé un pétrolier russe .

La marine de l’Union Européenne qui patrouille dans ces eaux ne désire pas intervenir, car elle craint les pertes humaines. Ainsi les commandos  de la Marine russe ont libéré leurs compatriotes et le pétrolier…  puis ils ont transféré les pirates sur leur propre bateau pirate.

 Les Russes ont cherché des armes et des explosifs sur le bateau pirate . . . et en ont trouvé beaucoup! Puis ils ont quitté le bateau et l’ont fait exploser avec tous les pirates restants menottés.


Oui, les commandos ont coulé le bateau pirate avec les pirates et sans aucun procès ni état d’âme. Ils ont utilisé les lois anti pirates des 18ème et 19ème siècles où le capitaine du bateau de secours a le droit de décider quoi faire avec les pirates. D’habitude, ils étaient pendus.

Conclusion: Je pense qu’à partir d’aujourd’hui les bateaux russes ne seront plus des cibles pour les pirates somaliens. Ils se rattraperont sur les navires européens!

Vidéo:  http://true-turtle.livejournal.com/85315.html

Merci à AK pour ce reportage…

Petite pause…

Bon allez. Je m’offre une petite pause. J’y ai bien droit, non ? Mais non, mais non. Je ne vais pas fêter l’aïd…

Reprise des activités en fin d’après-midi…

Bon appétit à celles et ceux qui ne sont pas encore passés à table et à tout à l’heure…

FDF

Strasbourg: la collaboration de l’UMP avec l’islamisme radical.

On va tout droit en charia…

FDF

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Un islamiste syrien référence de la Grande mosquée de Strasbourg : l’UMP doit s’expliquer !


                                

                                            

Alors que Fabienne Keller vient de soutenir le bien fondé du financement public de la Grande Mosquée de Strasbourg face à Marine le Pen sur La Chaîne Parlementaire (1.700.000 euros d’argent public dont 610.000 votés par la ville sous le mandat de Fabienne Keller) il est temps de dénoncer la collaboration de l’UMP avec l’islamisme radical :

 L’évènement majeur de l’année 2008 à la mosquée de Strasbourg fut l’accueil de Muhammad Said Ramadan al-Bûti, du 25 au 30 décembre 2008, pour une série de conférences ayant attiré de nombreux fidèles et imams venu boire les paroles de celui qui est considéré comme un grand savant par la direction de la mosquée « alsacienne ». L’objet de sa venue était en particulier de donner ses « recommandations et conseils aux imams et aumôniers«  d’après le programme de ses conférences. Muhammad Said Ramadan al-Bûti, né en Turquie en 1929, diplômé de l’université islamique de Al-Azhar, fut doyen de la faculté de loi islamique de Damas. A l’heure actuelle, il est le directeur du département des Croyances et Religions (Al-`Aqâ’id wal-Adyân) à l’Université de Damas. Autant dire que ses prises de positions font autorité dans le monde sunnite. Ses avis juridiques (Fatawas), consultables en arabe ou en anglais sur son site Internet, sont lus avec une grande attention chez les musulmans ayant fait souche en Europe.

  Dans son livre Islamistes, apologistes et libres penseurs ( Presses universitaire de Bordeaux, 2006) Ghassan Finianos , professeur de pensée arabe à l’université de Bordeaux, présente de manière synthétique les principaux positionnements de Muhammad Said Ramadan al-Bûti à la page 71 :

« Comme chez les islamistes, l’islam, selon al-Bûti, est valable en tout temps et en tout lieu [1] ; il est facteur de force, car il est dogme (‘aqîda), éthique et code ( nizâm)[2] et non un phénomène social. Il est l’avenir de l’humanité[3], ce qui signifie qu’il n’est pas un legs (turât) [4] La sûrâ se substitue, chez lui, à la démocratie. Malgré son importance, il n’est pas, pour le gouvernant, une obligation stricte[5]. De plus, il ne concerne pas les masses populaires qui doivent obéir, sans jouir pourtant d’aucun rôle dans la vie politique[6]. Cela est contradictoire avec le libéralisme et le pluralisme politique[7]. Donc la souveraineté n’appartient qu’à Dieu, ou peut être à son représentant terrestre[8]. Al-Bûti justifie la violence en vue de la conquête du pouvoir et, par conséquent, de la propagation des valeurs de l’islam[9] »

  Le  recours au djihâd afin d’asseoir une théocratie méprisant la démocratie, voilà l’idéologie du savant accueilli en grande pompe à la mosquée de Strasbourg qui fait d’ailleurs figurer dans la sélection d’ouvrages de son site Internet son livre Djihad en islam, comment le comprendre et le pratiquer.

  Dans son site Internet[10], al-Bûti répond aux questions des visiteurs voulant le consulter sur toutes sortes de sujets. A l’un d’entre eux il répond :

   « Si vous voulez dire que les masses doivent se gouverner par elles-mêmes, cela rentre en contradiction avec les règles de l’islam, car celui qui fixe les règles est seulement Allah et les lois islamiques[11] »

  A un autre, se présentant comme un étudiant étranger en France ne sachant si la charia l’autorise à pratiquer du sport avec des filles en short, al-Bûti répond :

  « Le consensus de la majorité des juristes sur la question est que la partie située entre les anches et les genoux est privée. Ainsi, si le pantalon recouvrant le genoux est permis, il n’est pas permis qu’un pantalon s’arrête au dessus [12]»

  Révélateur de l’abysse culturel séparant culture occidentale et islamique, le juriste interdit à toute personne non mariée d’écrire… des lettres d’amour.

Question d’un internaute : « Si vous essayez de vous marier avec quelqu’un, est-il permis de lui écrire des lettres d’amour ou des poèmes d’amour (exprimant vos sentiments ?) :

Muhammad Said Ramadan al-Bûti : «Ecrire des lettres d’amour avant le contrat de mariage n’est pas permis »

   A un autre, ne sachant quoi dire à sa sœur ne voulant pas porter le voile au prétexte que, selon elle, cela serait facultatif en islam, al-Bûti répond :

« Le chemin de la persuasion est de lui réciter les commandements d’Allah sur le voile pour les femmes dans les sourates (coraniques) Al-Nour et Al-Ahzab » 

   C’est ainsi que les contribuables d’Alsace-Lorraine ont été ponctionnés pour financer une mosquée acquise à l’islam le plus orthodoxe, ce qui n’a pas (encore) offusqué grand monde.

  On mesure aujourd’hui toute la naïveté d’un communiqué de presse de la mairie du 5 septembre 2002 où Fabienne Keller assurait : « Notre position de fond est claire et peut s’énoncer en quelques principes. Nous voulons, à Strasbourg un islam républicain et français. […] »

  Nous disposons d’autres preuves accablantes confirmant que la Grande Mosquée est acquise à l’islam le plus radical. Nous attendons les explications de l’UMP qui, via le Conseil régional, le Conseil général, et la mairie à l’époque, a financé sur fonds public 10% de cette verrue architecturale et idéologique.


[1] Muhammad Said Ramadan al-Bûti, Min al-fikr wa al-qalb, Maktabat al-Fârâbi, Damas, 1988, p.69

[2] Muhammad Said Ramadan al-Bûti, Tagribat al-tarbiya al-islâmiyya fi-mizân al baht, Maktabat al-Fârâbi, Damas, 1990, p.16

[3] En réponse à un article paru dans la revue libanaise al-Mustaqbal al-arabi (juin 1985), rédigé par un chef de département de philosophie d’une université arabe Muhammad Said Ramadan al-Bûti s’efforce de démontrer, dans son fascicule al-Dîn wa al-falsafa (Maktabat al-Fârâbi, Damas, 1994), l’antériorité ontologique de la vérité religieuse par rapport à la vérité philosophique.

[4] Muhammad Said Ramadan al-Bûti, Hiwâr hawl muskilât hadariyya, al-Sarika al muttahida li-al-tibâ’â wa al nasr, Damas, 1990, p.67-69. 

[5] M-S-R al-Bûti, Fiqh al-sîra al-nabawiyya, Dâr al-fikr, Damas, 1980, p.219

[6] M-S-R al-Bûti, ‘Äla tariq al- ‘awda ilâ al-islâm, Mu’assasat al-risâlâ, Bayrouth, 1992.p.57.

[7] M-S-R al-Bûti, al-Islâm al muskilat al-sâhâb, Maktabat al-Fârâbi, Damas, 1973. p.73.

[8] M-S-R al-Bûti, Kubrâ al-yaqiniyyât al-kawniyya, Dâr al-fikr, Damas, 1395 h, p.389.

[9] M-S-R al-Bûti, al-Gihâd fi al-islâm, Dâr al-fikr, Damas, 1997

Bonne fête, amis musulmans ! Bonne fête à vous aussi, les moutons !

(Dessin emprunté ici: http://philippeldl.wordpress.com/)

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Vos « pontes » ont bien observé la lune, et dans une décision louable, ont déclaré ce dimanche 6 novembre 2011 jour de la fête du sacrifice !!! Rien qu’en observant la lune…  Chapeau chéchia, les gars !

L’ Aïd El-Adha (les musulmans immolent un mouton, un bovin, un caprin ou un camélidé. Cet exemple de soumission demeure aux yeux de la communauté musulmane un modèle pour toute l’humanité croyante), c’est pour aujourd’hui, donc ! Affutez vos couteaux, vos lames, et que le sang coule à flots !!!

La fête de la barbarie mondiale, c’est ce dimanche. Bonne boucherie !

PS: ça m’étonnerait que vous nous imposiez ces horreurs encore longtemps…

FDF

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Bientôt l’Aïd…

Il est est qui se frottent déjà les couteaux mains…

Un petit PPS à voir ou à revoir…

FDF

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Bon appétit RW

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Un hommage à Michel Germaneau qui devrait faire réfléchir tous ces malades de la distribution halal:


On s’attend à un nouveau plan de rigueur jamais vécu, a dit Fillon…

Et c’est pour pallier ce qui suit ou pour les dépenses somptueuses de l’Etat pour son « fonctionnement interne »? Pour les deux, je pense; et le reste…

Bizarre que l’on n’aborde pas les fraudes commises par les immigrés en situation irrégulière ou pas. Car en matière de fraudes aux allocations, ils connaissent bien mieux que nous les « astuces »… Preuve en est qu’à l’entrée de la Caisse d’allocations de chez moi, il y a un interprète habillé en imam qui accueille et conseille les futurs allocataires fraîchement débarqués… Véridique.

J’en ai marre de payer pour les fraudeurs…

FDF

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L’aspirateur à fraudeurs… (photo d’illustration).

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Région parisienne : 4,7 millions d’euros de fraudes aux prestations sociales en 2011

La police judiciaire a constaté plus de 4,7 millions d’euros de fraudes aux prestations sociales sur l’ensemble de l’agglomération parisienne (Paris et petite couronne) depuis début 2011, selon la préfecture de police de Paris.

Sur ces 4,7 millions d’euros enregistrés par la brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA) entre le 1er janvier et le 18 octobre 2011, un peu plus de 3,5 millions d’euros concernent les prestations « maladies », a précisé la PP. En 2010, la BRDA avait enregistré, sur cette même période, plus de 5,4 millions d’euros de ces fraudes qui concernent 4 types d’escroqueries : les prestations maladies, les allocations familiales, Pôle emploi et la caisse nationale d’allocation vieillesse (Cnav).

Les escroqueries à l’assurance maladie peuvent être tout aussi bien le fait des professionnels de santé ou de faux « malades », explique la PP. Certains professionnels peuvent facturer fictivement des « actes ou des médicaments coûteux » sur des patients couverts à 100%, en utilisant leur carte vitale à leur « insu », détaille la PP.

Les « faux malades », le plus souvent, se font délivrer plusieurs fois la même prescription, utilisant leur propre carte vitale ou bien une carte perdue ou volée, selon la PP. Les médicaments ainsi retirés sont « ensuite revendus, donnant lieu à un trafic alimenté également « à partir d’ordonnances médicales volées ou falsifiées », précise la PP.

Source: http://www.lagazettedescommunes.com/