Un simple petite image suffira… Remarquez que de l’autre coté, c’est pas mieux…
FDF
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Et encore une avalanche de vérités… Continuez à donner… Continuez à pleurer sur le sort des peuples qui crient famine.
Merci à SD
FDF
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Pour çà:
À l’heure où nous voyons en boucle sur toutes les chaînes de TV l’appel de l’Unicef, je rappelle à tous, que les pays d’Afrique concernés sont majoritairement musulmans, que tous sont en guerre fratricide, chassent leurs frères, et les laisse mourir de faim, sans aucun état d’âme…
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Un article qui va en intéresser beaucoup, je pense… Et on nous assomme en ce moment avec l’utopique liberté d’expression.
FDF
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Coûteuse mais pas une assurance tous risques…
Martine Aubry est « alcoolique et lesbienne », son mari « l’avocat des islamistes », Carla Bruni flirte avec Benjamin Biolay, la banque HSBC impose des taux d’intérêt exorbitants aux étudiants… Calomnieuses ou véridiques, publiques ou privées, sur le Web, les informations qui fâchent collent à la peau. Pour nous en débarrasser, une nouvelle profession est née. On les appelle les « nettoyeurs ». Ils sont tout autant veilleurs, arrangeurs et maquilleurs d’image. Maîtres en art de paraître sur le Net.
Le nettoyeur type est un geek converti au conseil, un jeune communicant rompu aux nouvelles technologies. Il a récemment créé sa société, ou été embauché dans le nouveau département d’une grosse boîte de communication. Enfant du digital, il use d’anglicismes avec naturel, promet de gérer notre page rank, notre community management, notre personal branding (lire encadré) et de dissimuler les casseroles que nous traînons sur la Toile. Objectif : nous aider à maîtriser notre e-réputation.
Ses clients sont des entreprises, désireuses de trouver une boussole sur ces mers imprévisibles. Elles craignent de plus en plus les crises virales : celles-ci naissent et se propagent sur le Net, font tôt ou tard l’objet d’articles dans les médias classiques et restent inscrites dans la mémoire du Web. Les exemples abondent. Début 2010, Greenpeace défie Nestlé sur le thème de la surexploitation de la forêt indonésienne en diffusant un clip parodique. La multinationale suisse attaque immédiatement en justice… et met le feu aux poudres. Des millions d’internautes prennent le parti de l’association écolo et détournent le logo de Nestlé. Les reportages sur CNN, puis dans les médias du monde entier, contribuent à faire chuter son cours en Bourse. « L’une des règles d’or est de ne pas se braquer. Les réseaux sociaux impliquent des réponses précises, empathiques et ouvertes au dialogue, auxquelles les boîtes ne sont pas habituées », explique Edouard Fillias, le directeur associé de l’agence Image & Stratégie, qui compte parmi ses clients TF1, Bouygues immobilier, le Crédit agricole ou le groupe de cliniques Vitalia.
Au grand café du commerce de la Toile, les plus exposés aux affres de l’e-réputation sont les personnalités. Certaines préfèrent ne pas riposter. Bernard-Henri Lévy, pourtant considéré comme soucieux de son reflet numérique, assure ne rien balayer : « Il y a tellement de choses désagréables sur moi que je laisse faire, ça m’est indifférent. » Tapez le nom du philosophe en chemise blanche et vous trouverez en moins de deux clics, parmi des dizaines d’autres attaques peu flatteuses, des références à « l’affaire Jean-Baptiste Botul ». L’année dernière, BHL publie De la guerre en philosophie (éditions Grasset), un plaidoyer pro domo. Il y cite les travaux d’un certain Jean-Baptiste Botul, spécialiste de Kant. Problème : Botul est un écrivain fictif, un canular, inventé par une plume du Canard enchaîné…
Hier encore, l’affaire aurait été rangée dans les archives des journaux ou de l’INA (Institut national de l’audiovisuel) et vite oubliée. Mais Internet a la mémoire longue. Les quarts d’heure warholiens y restent gravés dans le marbre. Alors les célébrités appellent les nettoyeurs à la rescousse. A l’étranger, le top-modèle Kate Moss dispose à elle seule d’un service de gestion de sa réputation en ligne. En France, une présentatrice du petit écran a découvert il y a quelque temps que des dizaines d’internautes s’acharnaient sur elle via Facebook. Ils l’insultaient, demandaient sa démission. « J’avais beau me dire que cela arrive lorsque l’on est sous le feu des projecteurs, c’est très douloureux pour mes proches et moi-même. Les insultes les plus délirantes finissent par faire naître le doute chez les autres et peuvent vous porter préjudice », affirme-t-elle. 12 000 euros de frais de nettoyage plus tard, elle parvient à débusquer l’auteur. Guidée par une agence d’e-réputation, elle a préféré ne pas attaquer en diffamation.
Pour supprimer les traces de ces mauvais buzz, les nettoyeurs du Net commencent par contacter directement les auteurs, sites ou hébergeurs. « Il nous arrive d’écrire à des blogueurs ou à des journaux d’information en ligne. S’ils ont fait une erreur factuelle, c’est dans leur intérêt de la corriger », explique Albéric Guigou, président de Reputation Squad. Facebook, qui a récemment amélioré ses paramètres de confidentialité, efface plus facilement qu’autrefois les commentaires calomnieux et les faux comptes. Et une lettre recommandée peut suffire à convaincre un hébergeur de retirer un contenu violant la vie privée.
« Il ne faut porter plainte, ou même menacer de le faire, qu’en dernier recours », poursuit Albéric Guigou. Le risque majeur, dans ce téléphone arabe géant, est d’amplifier les bruits de fond. Les nettoyeurs parlent dans leur jargon d' »effet Streisand », en référence à la chanteuse Barbra Streisand qui a saisi la justice pour limiter la diffusion d’une photographie aérienne de sa maison. Résultat, des milliers de personnes sont allées sur la Toile regarder ladite photo… Martine Aubry a subi ce genre d’effet boomerang. Excédée de voir son nom et celui de son mari associés à des insultes, la première secrétaire du Parti socialiste est sortie de sa réserve en juillet dernier, et a entamé des poursuites contre les auteurs… Résultat : quatre mois plus tard, l’écho de ces rumeurs apparaît toujours en première page de Google.
La contagion est tellement rapide, spontanée, incontrôlable, que les nettoyeurs arrivent souvent trop tard. Exemple : une star américaine prend un café avec un homme marié dans le cadre de son travail. Les paparazzis sont là, en embuscade. Des photos sont publiées dans des journaux people, avec des légendes pleines de sous-entendus, reprises et déformées dans les heures qui suivent par une vague de sites dans le monde entier. L’avocat Richard Malka et la société Reputation Squad mettront trois ans à effacer les liens pour la modique somme de 15 000 euros. « Les photos ont disparu, mais rien ne dit qu’elles ne réapparaîtront pas un jour. On ne peut pas promettre aux clients de parvenir à tout supprimer. Les informations essaiment partout. Et lorsqu’on écrit à Google, ils renvoient leur mail type. Ils n’enlèvent rien, à l’exception des contenus à caractère pédophile ou nazi. Au nom de la liberté d’expression, Google est en train de créer un Big Brother éternel », s’inquiète Me Malka. Quant à son client, s’il témoigne en anonyme, c’est de peur de relancer la machine à buzz…
Il faut vingt ans pour construire une réputation, et cinq minutes seulement pour la détruire, a dit le milliardaire américain Warren Buffett. Face à ce danger, l’équipe d’Obama a mis en place durant la campagne présidentielle de 2008 le site Fight The Smears (« combattons les salissures »). Son objectif : rétablir la vérité à chaque fois qu’une attaque est identifiée et la neutraliser au plus vite. En Suisse, le site ICorrect, fondé en mars dernier, propose aux célébrités de démentir les fausses rumeurs publiées à leur sujet moyennant 1 000 dollars par an. Nos nettoyeurs français, eux, offrent d’abord à leurs clients un service de veille de leur image, appelé crawling. Pour 10 000 à 50 000 euros par an, ils scannent le Web, traquant la moindre apparition de leur nom, puis analysent les messages, de manière quantitative et sémantique. C’est le meilleur moyen d’anticiper les crises potentielles, assurent-ils. 90 % du travail peuvent être automatisés.
Les veilleurs se font aussi fossoyeurs. A défaut de parvenir à effacer certaines informations, ils proposent de les enfouir dans les sous-sols des moteurs de recherche. Une semaine après l’affaire new-yorkaise, les communicants de Dominique Strauss-Kahn avaient déjà noyé les photographies du suspect à la mine sombre parmi des images du directeur du FMI au sommet de sa gloire en première page de Google images. Un autre spécialiste de l’e-réputation raconte comment il a amélioré la page Wikipédia d’un chef d’Etat africain au parcours pas toujours exemplaire : « On ne peut pas dresser un portrait hagiographique. Si cela est dénoncé auprès de Wikipédia, le profil sera supprimé. Mais on peut noyer les informations négatives au milieu d’autres, plus positives. Il est également possible de créer des liens ou des articles et de les utiliser comme sources pour faire des modifications. »
Gommer une mauvaise image implique de la remplacer par une autre. Pour réussir ce tour de passe-passe, les agences vendent le même remède : l’omniprésence. « Au XXe siècle, avoir du pouvoir, c’était être le seul à détenir certaines informations. Aujourd’hui, celui qui a le plus d’influence est aussi celui qui communique le plus », estime Jérôme Lascombe, président de Hopscotch. Occuper le terrain, donc, être sur tous les fronts. Ouvrir un site, un blog, des comptes Facebook, Twitter, LinkedIn, Viadeo, créer des communautés, réaliser des webdocumentaires, mettre en avant sa vie privée… Autant de contenus qui, selon les façonneurs de réputation, aident à prévenir les usurpations de comptes et autres cyber-attaques. Et renvoient l’image d’une boîte ou d’un individu moderne. Coût de l’opération ? Jusqu’à 100 000 euros pour un forfait incluant veille + nettoyage + création de contenus personnels. Les hommes et les femmes de pouvoir sont sensibles à ces prestations. Le Web 2.0 les fascine autant qu’il les effraie. « Ils ont été habitués à communiquer dans les médias classiques, qu’ils savaient plus ou moins maîtriser. Ils sont aujourd’hui conscients qu’Internet est une caisse de résonance inédite, mais ne savent pas encore comment s’en servir », explique André Dan, fondateur de Challengy.
Lorsqu’une crise survient, les arrangeurs se chargent de faire remonter les données positives à coups de mots-clés. Exemple de maquillage : en pleine affaire Clearstream, Dominique de Villepin et son entourage ont lancé un site et une page Facebook. Ces vitrines de l’homme politique s’affichent aujourd’hui en haut de la première page Google. Là où la majorité des internautes s’arrête. Mais ces ravalements de façade ne marchent pas à tous les coups. En juin 2010, en pleine marée noire dans le Golfe du Mexique, British Petroleum a acheté pour 3,6 millions de dollars de mots-clés sur Google afin de renvoyer les internautes vers son site de communication de crise. Le géant pétrolier s’est également armé de Twitter et Facebook. Las ! Un faux compte Twitter, tournant en dérision cet attirail de communication, a vite eu plus de succès que l’officiel…
En réalité, le 2.0 est un grand village dont personne ne détient la clé. « Les Etats et les grands patrons rêvent de contrôler le Net et rêvent aussi d’y contrôler leur image. C’est un danger mais c’est aussi une illusion. Internet est un espace où différentes identités coexistent, où il faut accepter d’être un salaud et un saint. Celui qui n’est qu’un saint ne sera pas cru : les autres se diront qu’il a payé le prix pour cela », analyse le psychanalyste Serge Tisseron. Et beaucoup sont prêts à payer très cher…
Sur la Toile, les habitants ne sont pas tous égaux. Comme les puissants, les simples citoyens ont une réputation à défendre. Comme les puissants, ils sont devenus des marques, qui choisissent (ou non) de mettre en avant telle ou telle information et sont soumis à des jugements anonymes. Comme eux aussi, ils font des erreurs, telle celle, banale, d’envoyer un courriel privé à son réseau, ou de mettre en ligne une image compromettante. Mais contrairement aux puissants, le simple citoyen n’a pas forcément les moyens de créer des actualités en faisant parler de lui, ni de s’offrir les services d’un nettoyeur.
La Commission nationale de l’informatique et des libertés reçoit des centaines d’appels et de courriers d’internautes démunis. Certains ont été refoulés d’un entretien d’embauche : le recruteur était tombé sur un blog un peu trop décalé, créé des années plus tôt. D’autres sont poursuivis par de vieux fantômes. Cadre supérieur, Pierre (à sa demande, le prénom a été changé) a par exemple été entendu dans le cadre d’une affaire de harcèlement au travail il y a sept ans. Il a finalement été blanchi. Mais le fait divers a fait l’objet d’articles de journaux, toujours bien référencés. Il y a aussi ceux qui, comme la chanteuse Rihanna ou Laure Manaudou, subissent la vengeance d’un proche et s’aperçoivent, souvent à l’occasion d’un divorce, que leur ex a mis en ligne des vidéos coquines. Ces particuliers déboussolés représentent un nouveau marché, sur lequel surfent déjà les nettoyeurs du Net.
Aux Etats-Unis, la quête de la virginité numérique est devenue une industrie, fonctionnant sur le même modèle que les compagnies d’assurances. L’agence Reputation.com, surnommée « l’assurance Google », effectue, pour 15 dollars (10 euros) par mois, une veille permanente de l’image de ses clients. En France, Swisslife et Reputation Squad ont lancé en juin une assurance similaire, facturée 9,90 euros par mois, pour une protection juridique et des prestations de nettoyage. Pour 4,90 euros par mois, zen-reputation envoie des alertes SMS en cas de commentaires négatifs. Faire supprimer une page Web coûte ensuite 39,90 euros hors taxe. Satisfaits ou remboursés. Les mécontents peuvent toujours poster leurs réclamations sur le Facebook des nettoyeurs.
Source: http://www.lemonde.fr/
J’ai retrouvé cette chanson, par hasard… Allez, le CRAN, SOS Racaille et les autres, vous pouvez envoyer vos missiles… Si vous vous sentez aussi « heurtés » que les muzz avec Charia Hebdo… Il n’y a que la vérité qui blesse, en outre. Mais en ces temps où l’on nous annonce de plus en plus de pillages dans nos porte-monnaie, il est bon de savoir où passe en priorité l’argent que l’on nous extorque…
FDF
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Et en particulier à la mosquée de Bel Air, à Sétif. La crise touche aussi l’Algérie. Le prix de la pompe (comme celui à la pompe…) monte en flèche.
J’a la solution: embaucher un gardien de babouches à l’entrée des « lieux de prière ». Ca fera baisser les chiffres du chômage…
FDF
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(Monsieur Lemoine: ne soyez pas autant pessimiste. La « Résistance », vous connaissez ?)
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Excellent courrier de Caroline Almachère au patron des muzz de France…
Il ne devrait pas rire longtemps, le grand muzz en chef…
FDF
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Cher Monsieur Moussaoui,
La publication du dernier numéro de Charlie Hebdo représentant Mahomet et intitulé « Charia Hebdo » en hommage à la victoire des islamistes aux récentes élections tunisiennes vient de donner lieu une fois encore à des représailles lamentables de la part d’individus décidément bien peu éclairés que, au titre de Président du CFCM, vous avez le devoir de canaliser.
Dans le Monde paru ce mercredi vous affirmez ne pas voir de lien entre les élections en Tunisie et en Libye et l’outrage caricatural nous rappelant tant bien que mal ce qu’est la charia, ou tout au moins sa partie la plus spectaculaire pour le citoyen français de base peu au fait de ce qui se passe sur son sol.
Je vous tiens pour quelqu’un d’intelligent et de cultivé, vous devez donc savoir qu’en France la caricature est une tradition très ancienne et un art très prisé, qu’aucun sujet n’y échappe et surtout pas un sujet d’actualité, et l’instauration de la charia sur un sol resté longtemps laïque est un sujet suffisamment grave et inquiétant pour ne pas faillir à la règle. La charia, l’islam, n’ont pas à faire exception à cette règle.
La charia est un système archaïque fondé il y a 14 siècles, profondément odieux, sexiste, rétrograde, discriminant et antidémocratique. Dénoncer ce système par la caricature est un procédé visant à en montrer toute l’abjection. Condamner la charia, Monsieur, est un acte de salubrité publique nécessaire à la démocratie dont vous profitez puisque c’est en France que vous vivez en toute liberté. Jouiriez-vous de la même liberté au Maroc ? J’en doute fort sinon comment expliquer la présence aussi énorme de Marocains abandonnant le Maroc pour la France ? C’est bien que l’air est plus doux et plus libre ici…
Cette charia prônée par le coran et faisant partie intégrante de l’islam (le coran est la base de l’islam, l’islamisme n’en étant que son expression la plus spectaculairement virulente) il est hautement souhaitable de s’en inquiéter, d’autant qu’une bonne partie de ceux qui ont permis ce désastre antidémocratique vivent sur notre sol et que des élus « dhimmis » – comme les appelle votre dogme – appellent de leurs vœux le droit de ces promoteurs charia-mistes de se présenter à des élections avec les conséquences terribles qu’on imagine.
Vous déclarez que « Pour les musulmans, le simple fait de caricaturer le prophète est, en soi, inacceptable et blessant ». Blessant je le conçois mais inacceptable ?!
Ce qui est inacceptable c’est d’interdire le divorce y compris en France, ce qui est inacceptable c’est d’autoriser la polygamie y compris en France, ce qui est inacceptable c’est de considérer que la femme est inférieure à l’homme y compris en France, ce qui est inacceptable c’est d’enfermer les femmes sous des linceuls noirs y compris en France, ce qui est inacceptable c’est de refuser à la femme d’épouser l’homme de son choix pour lui faire épouser celui que sa famille a choisi pour elle y compris en France, ce qui est inacceptable c’est qu’il existe un « Conseil Européen de la Recherche et de la Fatwa décrétant les fatwas ayant pour vocation d’être appliquées en France » (1).
En France aucune loi ne punit le blasphème, comme l’a d’ailleurs démontré la récente affaire du coran brûlé et qui a vu la relaxe de l’incendiaire. En conséquence en France, Monsieur Moussaoui, il est permis de brûler un coran si on le souhaite et de caricaturer et de se moquer d’un prophète, fût-il le vôtre.
Les différentes manifestations hostiles à cette publication de Charlie Hebdo n’ont pas manqué de fleurir sur les forums, certains insultant copieusement les Français, d’autres réclamant à grands cris des caricatures de « juifs de 40 », ce qui semble assez loin de votre souhait d’un « désaccord exprimé dans le respect des lois et de l’intégrité des personnes ». Vous devriez d’ailleurs rappeler à vos coreligionnaires si bienveillants et aimants envers les citoyens qui les accueillent que la fête de l’Aïd el-Adha (2) qu’ils vont fêter dans quelques jours est un vibrant hommage à… Abraham, un juif ! A mon avis certains doivent ignorer ce détail au vu du niveau intellectuel remarquablement bas de leurs commentaires.
Dans votre interview une phrase m’interpelle tout particulièrement « Dans le même temps, ils doivent accepter et comprendre que dans nos sociétés, le rapport au sacré n’est pas le même pour tous ». J’aimerais savoir de quelle société vous parlez, est-ce la société musulmane, la société française, la société marocaine ?
Si c’est la société marocaine c’est que vous ne vous sentez pas français, si c’est la société musulmane c’est que vous ne vous sentez pas démocrate et si c’est la société française je vous rappelle qu’elle n’a aucun rapport au sacré puisque séparée du religieux depuis qu’une célèbre loi de 1905 en a décidé ainsi, ce que manifestement malgré votre récente naturalisation vous ne semblez pas avoir encore bien intégré.
D’ailleurs dans votre document répertoriant les différents abattoirs pour l’Aïd vous illustrez parfaitement la difficulté que vous et vos coreligionnaires avez à vous considérez comme des citoyens français à part entière puisque vous adressez vos vœux aux « musulmans de France » et non aux musulmans français.
Je vous invite donc vous et vos coreligionnaires « de France » à vous interroger sur votre rôle dans notre société française, sur votre capacité à adhérer à nos valeurs laïques et démocratiques et sur votre capacité à pratiquer l’autodérision car décidément, je vous trouve très coincés du turban.
J’attends avec impatience votre rapport sur les actes islamophobes que vous avez recensés et ne manquerai pas de compiler de mon côté les actes francophobes que je me ferai un plaisir de vous transmettre à mon tour.
Par ailleurs, en cherchant (vainement) vos coordonnées je tombe à l’instant sur un article du site cfcm.tv (3) particulièrement insultant pour les citoyens français. Je suis très choquée par les relents de xénophobie de cet article dans lequel il est question de la France qualifiée de « République malade et satanisée », de « protection bienveillante d’un pouvoir occulte qui trouve toute sa jouissance dans le spectacle du malheur d’une frange indésirée de sa population », de « la France victime de son arrogance et de son orgueil ». En tant que représentant des musulmans en France vous seriez bien inspiré de veiller à ce que le pays qui vous accueille et qui vous a accepté comme citoyen ne soit pas insulté et trainé dans la boue par votre communauté car si la loi sur le blasphème n’existe pas, la loi sur la diffamation existe bel et bien. Je vous prierais donc de faire en sorte que cet article injurieux soit rectifié afin de ne pas créer davantage de tensions.
Veuillez agréer, Monsieur Moussaoui, mes salutations définitivement laïques.
Caroline Alamachère
Source: Caroline Alamachère- Riposte Laïque
(1)http://fr.wikipedia.org/wiki/Conseil_fran%C3%A7ais_du_culte_musulman
(3) http://www.cfcm.tv/2011/10/29/hajj-2011-la-presse-francaise-boycotte-le-pelerinage-a-la-mecque/
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Le but était de trouver et de tuer Amanat Masih, un chrétien accusé injustement de blasphème, arrêté puis remis en liberté par un tribunal qui a constaté la fausseté des accusations portées contre lui. C’est pour ce motif qu’un groupe de militants intégristes islamiques conduit par un imam a enlevé Shahzad Masih, 23 ans, fils de Amanat Masih, et son épouse, Rukhsana Bibi, âgée de 20 ans. Le groupe les a enlevés le 26 octobre dernier dans leur village natal, Farooqabad, dans les environs de Sheikhpura dans la province du Punjab. Il les a roués de coup et les a contraint à réciter les prières islamiques sous menace de mort. Il les a ensuite tenus en otage pendant 10 jours de manière à faire en sorte qu’Amanat Masih accepte de servir de monnaie d’échange afin de libérer ses enfants. Amanat Masih en effet – arrêté sur la base de la loi sur le blasphème en 2007 mais acquitté par la Cour d’Appel – vit en clandestinité pour motifs de sécurité.
Le tout, remarque l’ONG « World Vision in Progress » qui a signalé le cas à Fides, est intervenu sous le couvert d’influents hommes politiques musulmans appartenant à la « Pakistan Muslim League – N » parti représenté au Parlement national et qui participe au gouvernement de la populeuse région du Punjab.
Les haut-parleurs de la mosquée de Farooqabad ont été jusqu’à annoncer officiellement que « Shahzad Masih et Rukhsana Bibi ont embrassé l’islam et abandonné la foi chrétienne ». Le piège était prêt pour appâter Amanat et accomplir la énième exécution sommaire d’un chrétien considéré blasphémateur. Seule l’intervention rapide de l’ONG « World Vision in Progress », qui offrait déjà sa protection à Amanat, auprès des autorités de police a évité un autre épanchement de sang et a permis – dans l’une des rares affaires classées avec succès – la libération du jeune couple.
Selon « World Vision in Progress », 24 cas de conversion forcée à l’islam concernant des femmes chrétiennes ont été enregistrés au Punjab au cours des trois derniers mois. Par ailleurs, 96% des cas de blasphème ont lieu au sein de la province du Punjab – ajoute l’ONG – et la majeure partie des cas demeure impunie.
Source: http://www.chretiente.info/
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…Récolte la tempête…
France : Les actes islamophobes augmentent de plus de 20 % selon le Cfcm
Selon l’Observatoire des actes islamophobes du Conseil français du culte musulman (Cfcm), les actes islamophobes ont augmenté de 22 % entre le 1er janvier et le 30 septembre 2011. L’islamophobie progresse en France. L’Observatoire des actes islamophobes du Conseil français du culte musulman a annoncé jeudi 3 novembre 2011 que les actes à caractère islamophobes avaient augmenté ‘de 22 %’ au cours des neuf premiers mois de 2011.Selon ces chiffres, qui émanent du ministère de l’Intérieur, 115 plaintes ont été déposées sur cette période dans les commissariats et les gendarmeries, a indiqué Abdallah Zekri, président de l’Observatoire, lors d’un point presse à la Grande Mosquée de Paris. Abdallah Zekri a précisé que ces chiffres qui concernent ‘l’islam, l’islamophobie, des insultes et des actes racistes’ étaient à prendre en compte ‘tous actes confondus : profanation de cimetières, de mosquées, agressions, insultes, provocations, corans brûlés et jetés dans les poubelles’.‘On peut dire que l’augmentation, d’après les statistiques que nous avons, est d’à peu près 50 % à 55 %’, a estimé le président de l’Observatoire. Abdallah Zekri estime également que ces statistiques ne sont que le sommet de l’iceberg, c’est-à-dire ‘éloigné (es) de la réalité’, car beaucoup de gens ne portent pas plainte. Enfin, Zekri dit craindre que le contexte électoral français ne soit propice à l’augmentation des actes similaires dans les prochains mois. Selon lui, ‘il va y avoir des esprits malsains qui vont désigner les musulmans et l’Islam’.Source: (Jeuneafrique.com) |
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Le sale con du jour est…
Tags: Assassinat, charia, commentaires, coran, délinquance, francaisdefrance, haine, insécurité, islam, islam radical, islam@gmail.com, islamisation, justice, Maroc, meurtre, musulmans, provocation, Rabat, racaille, racisme anti blancs, religion, Soumission, Théo van Gogh
Jalal !
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Qui nous écrit du Maroc; de Rabat, plus exactement… Ca ne vaut pas le coup de faire le voyage pour lui exploser la g……
Mais là, force est de constater qu’il bat des records dans le domaine de la haine anti-blancs, anti-chrétiens et du fanatisme religieux. Cette ordure se réjouit de l’assassinat de Théo Van Gogh et je suis sûr, regrette de ne pas l’avoir tué lui-même.
Elle est belle, la « religion » d’amour, de paix et de tolérance. Et dire que des types dangereux comme celui-ci, on en croise tous les jours.
Vous voyez une fois de plus les dangers de l’islamisme, là?
FDF
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Jalal commented on Il y a 7 ans, Theo Van Gogh était assassiné au nom du coran !
une fin méritée on rigole pas avec notre Religion .
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