Je viens de recevoir ce témoignage. C’est du « vécu », ça se sent. Mais c’est aussi INADMISSIBLE !
L’auteur de ces lignes est écoeuré. Moi aussi. Et pas mal d’entre vous, après avoir lu, le seront…
FDF
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Je viens de recevoir ce témoignage. C’est du « vécu », ça se sent. Mais c’est aussi INADMISSIBLE !
L’auteur de ces lignes est écoeuré. Moi aussi. Et pas mal d’entre vous, après avoir lu, le seront…
FDF
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Le projet de Marseille: pourquoi tant de faste !!!
Amis musulmans: vous devriez entretenir votre culte avec plus de discrétion. Pourquoi ces mosquées-cathédrales? Qui (nous/vous) coûtent des sommes pharamineuses et défigurent notre paysage. Soyez plus humbles. Vous verrez: des lieux de culte moins « tape à l’oeil », ça passera beaucoup mieux auprès des chrétiens que nous sommes. Chez nous, la tolérance, on l’a déjà prouvée. Chez vous, nettement moins. Fondez-vous dans la masse et faites vous oublier; ça évitera l’islamophobie dont vous plaignez sans cesse. On tolère vos mosquées en terres chrétiennes; vous brûlez nos églises en terres musulmanes. Si on ne veut pas en arriver à la loi du Talion, vous savez ce qui vous reste à faire. Vous avez les cartes en main…
FDF
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Le quotidien régional La Marseillaise a publié hier, des extraits d’un rapport confidentiel sur l’islam à Marseille. Le document, qui préconise une compression des espaces de culte, suscite l’indignation chez les responsables d’associations musulmanes.
Le document, qui est en fait un rapport confidentiel de 8 pages des services de renseignement français, porte un regard pessimiste sur la communauté musulmane de Marseille. Selon ses termes, « si rares sont les individus radicalisés au point de soutenir les jihadistes, le fondamentalisme aurait progressé au point de gagner la majorité de la population musulmane ». Certaines communautés de musulmans sont ainsi accusées d’enfermer leurs membres « dans une boucle culturelle », accentuant ainsi le « repli communautaire », rapporte le quotidien La Marseillaise.
Selon le rapport, les musulmans de Marseille sont une « population fragilisée, peu informée et peu cultivée y compris sur les préceptes de sa propre religion, se retrouvant entre les mains d’imams auto-proclamés, guère plus compétents que leurs ouailles mais suffisamment charismatiques pour obtenir leur suivisme ».
« Pas plus de mosquées mais mieux de mosquées. »
Le document se penche particulièrement sur la question des prières de rue et du nombre de mosquées. Les auteurs du rapport sous-entendent que les lieux de cultes musulmans sont trop nombreux à cause des divisions intestines dont souffre l’islam marseillais. Ces divisions pousseraient de nombreux musulmans à faire leurs prières dans les rues. La solution préconisée : « reconcentrer (réduire, ndlr) les lieux de culte ».
Ceci aurait pour effet « une professionnalisation des imams, des économies d’échelles, forcerait les fédérations et les obédiences au consensus et éloignerait les intérêts extra-nationaux, facilitant en outre les rapports et l’observation par les partenaires institutionnels. Non pas plus de mosquées mais mieux de mosquées », indique le rapport. En d’autres termes, pour éviter aux fidèles de prier dans les rues, il faudrait réduire le nombre de mosquées. Sur ce point, le rapport est jugé « contradictoire » par Nassera Bernmarnia, directrice de l’Union des familles musulmanes à Marseille.
Moins de mosquées, mais pas de grande mosquée
Alors que le « moins de mosquées » sous-entend naturellement la construction d’édifices capables de fédérer les communautés musulmanes de Marseille, il semble que les auteurs du rapport excluent la construction d’une grande mosquée à Marseille. Pour eux, l’idéal serait un édifice discret, avec un impact sur le paysage urbain. En d’autres termes, une grande mosquée de Marseille ferait tache sur le décor marseillais.
Pour Nassera Bernmarnia indignée, « encore une fois, on enferme le musulman dans le cliché du terroriste, de celui qui ne respecte rien ». De son côté, Benoit Gilles, journaliste à La Marseillaise, estime pour sa part, que « les rédacteurs mêlent sans peine les généralités et l’anecdote, les stéréotypes grossiers et les observations renseignées ». Un tissu de contradiction en somme, censé défendre la « laïcité à la française ».
Source: http://www.yabiladi.com/
Et merci à DG pour l’info…
Ce fichier n’est peut-être pas à jour mais il est accessible sur le site du Ministère de l’Intérieur. En tant que bons citoyens, faisons notre devoir…
FDF
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Copains, hein, les Marocains ?
Les « nouvelles démocraties » se dévoilent, tant en Tunisie, qu’en Libye, qu’en Egypte; les autres pays de la zone « Union Méditerranéenne » si chère à Sarkö Ier ne vont pas tarder à suivre. Elle ont un dénominateur commun: l’islamisme intégriste… Le même qui pointe le bout de son nez en Europe. Méfiance, prévoyance et résistance.
FDF
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Plus que probable; mais pas tout de suite. Laissons le temps à l’islam « modéré » de Moustapha Abdeljalil de montrer son vrai visage…
FDF
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VOILA à QUOI VOUS RESSEMBLEREZ MESDAMES SI LA CHARIA NOUS EST IMPOSÉE UN JOUR DANS NOTRE PAYS COMME CELA FIGURE DANS LES ORDRES DIVINS QU’ONT RECU LES ISLAMO / MUSULMANS QUI DOIVENT NOUS ENVAHIR.
A TITRE D’EXEMPLE SOUS LA SHARIA LA FEMME EST UNE CITOYENNE DE 2EME CATÉGORIE QUI DOIT ACCEPTER LA ¨POLYGAMIE ET QUI HÉRITE DE LA MOITIé DE CE QU’HÉRITE UN HOMME.
JE VOUS LAISSE DÉCOUVRIR CI-DESSOUS LES AUTRES RÉJOUISSANCES QUE NOUS IMPOSERA L’ISLAM SI NOUS LE LAISSONS S’IMPLANTER DANS NOS PAYS…
Au nom de la loi islamique on peut régir les transactions financières, le code de la famille, l’héritage, et un certain nombre d’interdits concernant la tenue vestimentaire, les règles alimentaires, mais aussi les infractions pénales et les affaires judiciaires.
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Les déclarations de Moustapha Abdeljalil, chef du Conseil national de transition (CNT) libyen, sur l’adoption de la charia comme base de la législation en Libye, dimanche, ont suscité des inquiétudes de l’autre côté de la Méditerranée. Il est toutefois revenu en arrière, en assurant « qu’en tant que Libyens nous sommes musulmans, mais musulmans modérés ». Que représente exactement ce concept?
Qu’est-ce que la charia?
Littéralement, c’est la « voie d’accès à la loi divine ». « C’est à l’origine une notion plus religieuse que juridique », souligne le juriste Baudouin Dupret, directeur du centre de recherches Jacques Berque, à Rabat, au Maroc, interrogé par LEXPRESS.fr.
« Ce n’est que progressivement que l’on a eu tendance à vouloir incorporer des préceptes moraux dans la loi moderne ». « La charia c’est à la fois des principes très généraux comme la justice, la tolérance, et des notions plus précises comme le droit de la famille où le droit pénal », explique Saïd Haddad, chercheur à l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman.
La charia codifie tant les aspects publics que privés de la vie d’un musulman. Au nom de la loi islamique, on peut régir les transactions financières, le code de la famille -qui par exemple autorise la polygamie-, l’héritage -les hommes héritent du double de leurs soeurs-, et un certain nombre d’interdits concernant la tenue vestimentaire, les règles alimentaires, mais aussi les infractions pénales et les affaires judiciaires.
A quoi s’applique-t-elle?
« La charia n’est pas un corpus de règles détaillées », explique Baudouin Dupret. Dans les pays où la Constitution fait référence à la charia, « rien n’établit concrètement ce qu’il faut entendre par ce mot. Tout est affaire d’interprétation », précise le chercheur. En Egypte, par exemple, il existe l’équivalent d’une Cour constitutionnelle chargée d’interpréter les applications de cette loi. « Le droit des pays musulmans a été influencé par des règles d’inspiration coraniques, mais il est chapeauté par une législation bâtie sur le modèle juridique européen », souligne Baudouin Dupret.
« Affichage symbolique »
« Il s’agit la plupart du temps d’un affichage symbolique destiné à marquer l’ancrage dans le monde musulman » analyse Beaudoin Dupret. « C’est parfois aussi un slogan, utilisé par exemple par les Frères musulmans, pour contester la légitimité des régimes en place », ajoute-t’il.
Les applications de la charia dans le droit pénal sont celles qui sont les plus controversées: flagellation, lapidation, amputation. Mais elles sont assez rarement appliquées: « La grande majorité des 50 pays membres de la Conférence islamique ont des systèmes de loi civile très éloignés des châtiments traditionnels », explique Ali Mazrui de l’Institute of Global Cultural Studies.
« L’image caricaturale des peines corporelles pratiquées au nom de la charia n’est que rarement mise en application », confirme Baudouin Dupret. Contrairement aux idées reçues, « dans la plupart des pays musulmans, l’héritage islamique est peu appliqué au droit pénal. La consommation d’alcool par exemple, n’est pas punie par des peines corporelles;
Et toute une batterie de mesures permet de réduire les peines qui pourraient être prononcées au nom de la charia.
Où est-elle en vigueur?
On l’oublie souvent, mais la plupart des pays musulmans font déjà référence à l’islam dans leurs institutions. L’islam est religion d’Etat en Algérie, en Arabie saoudite -et tous les pays du Golfe-, en Libye, en Egypte, au Maroc et même en Tunisie (voir le tableau publié dans L’Histoire), ainsi qu’en Iran, au Pakistan, en Afghanistan, au Soudan, en Somalie et dans quelques États du nord du Nigeria.
En outre, la signification de la notion de charia varie d’un pays à l’autre. Dans la plupart des pays musulmans, l’influence de la charia concerne surtout le droit de la famille ou la finance islamique. « Il y a tant d’interprétations possibles de ce que signifie la charia qu’elle peut être incorporée assez facilement dans les systèmes politiques », juge Steven A. Cook, spécialiste du Proche-Orient au Council on Foreign Relations.
Depuis quand la charia inspire-t-elle les législations?
Les régimes autoritaires, qui ont usé et abusé de leur rôle de rempart contre l’islamisme dans les années passées, « n’ont pas sécularisé les sociétés », rappelait Olivier Roy dans un chronique du Monde en février dernier, « au contraire, sauf en Tunisie, ils se sont accommodés d’une réislamisation de type néofondamentaliste« . C’est parfois au moment même ou les régimes s’alignaient sur l’Occident que ces régimes ont renforcé la référence faite à l’islam et à la charia dans leur législation, comme Zia ul-Haq au Pakistan en 1978 ou Sadate en Egypte, en 1971 puis en 1980.
Le cas de la Libye
On l’ignore peut-être, mais Mouammar Kadhafi qui a « dissous tour à tour l’Etat, le gouvernement et l’armée » a en revanche instauré la charia en 1994. Le « Livre vert » de l’ancien despote qui lui tenait lieu de bréviaire, affichait pourtant « une volonté d’égalité entre les hommes et les femmes », indique Saïd Haddad, chercheur à l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman. Et leur place dans la société libyenne y est plus affirmée qu’en Egypte par exemple. « On compte 2 femmes pour un homme inscrit à l’université », indique le chercheur.
Mais la société libyenne est fortement conservatrice et patriarcale, explique-t-il. « Le modernisme affiché par Kadhafi n’était que du vent », estime quant à lui Baudouin Dupret qui rappelle que « le régime de Kadhafi a empêché tout débat d’idée depuis 40 ans ». Pour lui le droit familial et pénal va faire l’objet de négociations musclées entre les différentes composantes du nouveau pouvoir, dans un pays structuré par le tribalisme et le conservatisme religieux.
Source: http://www.lexpress.fr/
Écoutons le chœur de la bien-pensance :
– L’islam est une religion parmi d’autres, en tous points comparable à notre christianisme, au bouddhisme, au taoïsme… ; les mosquées ne sont que des lieux de prière et de culte, comme nos églises ; l’identité musulmane et la Loi musulmane sont tout à fait compatibles avec nos principes démocratiques ; les rites et traditions des musulmans ne peuvent qu’enrichir notre culture. Ceux qui prétendent que l’islam est un totalitarisme expansionniste et guerrier, au demeurant incapable de se réformer, et que ce totalitarisme est reparti depuis quelques années à la conquête de l’Europe par l’argent, la démographie et la taqiyya, ceux-là sont des racistes, à exclure de la vie politique et des médias, à traîner dare-dare devant les tribunaux. »
Il existe un moyen simple de mieux connaître la réalité de cette religion : considérons le tel qu’il s’affiche aux yeux du peuple de France et de ses fidèles dans les noms de ses « lieux de prière », qui, désormais, prolifèrent sur notre sol.
La Conquête…
Le mot le plus fréquemment exposé au fronton des mosquées construites dans nos villes est, de loin, al-fath, le terme arabe pour « conquête ».
Des mosquées al-Fath existent à Besançon-Planoise (25), Bordeaux (33), Bourges (18), Saint-Dizier (52), Évreux (27), Paris (10e et 18e arrondissement), Noisy-le-Sec (93), Cachan (94), Louvroil et Hem (59) Grenoble (58), Amiens (80), Tours (37) , Vandoeuvre-lès-Nancy (54), Fréjus (83)…
Dans la tête et le cœur d’un Musulman, le vocable suscite immédiatement deux références :
– la Grande Conquête du premier siècle de l’Hégire, qui permit aux guerriers d’Allah de détruire l’Empire perse et de s’emparer d’une grande partie des terres chrétienne du Proche-Orient, de l’Afrique du Nord et de la péninsule ibérique,
– des organisations politiques contemporaines violentes, en guerre.
Fath est le nom, nul ne l’ignore, du parti créé en1959 par Yasser Arafat en vue de détruire Israël et qui assura rapidement sa notoriété par les attentats qu’il multipliait.
Moins connu en Europe, Fath al-islam est un mouvement proche d’al-Qâ‘ida. Fondé en 2006, il est classé, à peine un an plus tard, et pour de bonnes raisons, comme terroriste par les Etats-Unis ; en 2008, l’armée libanaise doit lui livrer, pendant plusieurs jours, une bataille qui se soldera par des dizaines de morts de part et d’autre.
Fath appartient au vocabulaire de la guerre, du jihâd.
… et les conquérants
Dès lors que la conquête était mise en exergue, il était normal que des conquérants fussent honorés.
A Cherbourg (50), Lunéville (54), Wattrelos (59), Antony (92), dans le 11e arrondissement de Paris, des mosquées portent le nom de ‘Umar ibn al-Khattâb.
Deuxième successeur de Mahomet à la tête de la Communauté, il fut, pendant son califat, de 634 à 644, le grand organisateur de la Conquête. Il promulgua le statut des non-Musulmans – les dhimmi-s –, inauguré par le Prophète, mais plus strictement défini par lui. Il est connu des Croyants pour avoir chassé tous les juifs qui restaient en Arabie après la saignée exercée par le fondateur.
Des chefs qui se sont illustrés sur le terrain, dans les batailles, ont aussi droit à leur inscription au fronton d’un édifice « religieux ».
C’est ainsi que la mosquée de Nanterre (92) porte le nom de ‘Uqba ibn Nâfi‘ (622-689). Ce général doit parler au cœur de la plupart de nos Musulmans, puisque c’est lui qui soumit les indigènes berbères et juifs d’Afrique du Nord par le sabre et le feu.
Mais, à tout seigneur tout honneur : citoyens de la république laïque, apprenez à connaître le plus remarquable des saints hommes signalés par les cadres de l’islam de France à l’attention de leurs ouailles.
Sayf al-Islam
Tous les petits enfants musulmans connaissent ce héros. Dans les mosquées et madrasas, aussi bien dans les pays de la Maison de l’islam que chez nous, en France, en Europe, ils doivent apprendre l’histoire de sa vie pour y puiser des exemples de comportement afin de devenir de parfaits disciples de Mahomet. Parents, enseignants, prédicateurs serinent qu’il fut homme distingué par l’Envoyé d’Allah pour ses œuvres inégalées. Il est aussi célèbre que les membres de la famille du « beau modèle », ses épouses et concubines, son muezzin, sa chamelle, les premiers califes.
Khâlid, fils de Walîd, appartenait, comme Mahomet, à la tribu de Quraysh, qui dirigeait La Mekke, et s’était assuré le monopole du commerce entre la Méditerranée et l’Asie sur la seule voie utilisable à l’époque, à travers le Hedjaz. La plupart des auteurs situent sa naissance en 584. Très tôt, il se révèle cavalier exceptionnel et il manifeste une vocation de guerrier, servie par une audace et un courage exceptionnels. Il est remarqué par les chefs mekkois qui « lui donnent du galon ». A Uhud, le 23 mars 625, dans une bataille jusque là indécise entre Mekkois et Musulmans, il prend le risque de s’engager dans un défilé dangereux avec deux cents cavaliers et tombe à revers sur les troupes ennemies, qui vont bientôt fuir en déroute.
Comme la plupart des Mekkois, il est longtemps réfractaire à l’islam. Il ne se « convertira » qu’en 627, quand Mahomet est devenu l’homme le plus puissant d’Arabie, désormais en mesure de couper la route du transit international qui fait la richesse des Quraysh. Il participe à un premier accrochage avec ses compatriotes demeurés polythéistes près d’al-Hudaybiyya, au début de 628, mettant en fuite deux cents cavaliers. Il est récompensé : le 11 janvier 630, il est à la tête d’une des deux colonnes qui font leur entrée dans la Mekke, livrée par des « collaborateurs » à l’enfant du pays devenu « incontournable ».
Il commande en troisième l’armée lors de la première expédition contre les Rûm (les Romains, les Byzantins) en septembre 629. Il se bat comme un lion, pendant trois jours, « brisant plusieurs lances », et il organise la retraite. C’est à son retour à Médine – à moins que ce ne soit après l’affaire d’al-Hudaybiyya – que Mahomet lui donne le surnom Sayf al-islam ou Sayf Allâh : « l’Epée (le Sabre, le Glaive) de l’Islam » ou « … d’Allah ». (Parenthèse : C’est en son hommage que furent prénommés un des fils de Kadhafi et le rejeton… du fouteux Franck Bilal Yusuf Mohammed – sic – Ribéry).
Il risque la disgrâce peu après avoir reçu cette distinction. Le Prophète l’envoie en ambassadeur auprès d’une tribu de la côte, les Banû Jahîma. A peine arrivé sur place, il menace de couper la tête à tous ceux qui ne se rallieraient pas. Après qu’ils se sont « convertis », il leur demande de déposer les armes, disant qu’ils ne risquent plus rien puisqu’ils sont musulmans. Alors, dit le chroniqueur Tabari, « il les fit lier et les fit mettre à mort les uns après les autres ». Une « bavure », pour le moins aux yeux de l’habile Mahomet, qui cherchait un compromis. L’Envoyé d’Allah demanda pardon à Allah, publiquement, le visage tourné vers la Kaaba et il envoya Ali, avec une forte somme d’argent, pour payer le prix du sang et, ainsi, réparer les dégâts diplomatiques. Le bouillant disciple se fit pardonner à la bataille de Hunayn, un an plus tard.
Mais c’est après la mort de Mahomet, en 632, que le guerrier va donner toute sa mesure. Il est à la tête des troupes musulmanes qui répriment dans le sang la révolte contre l’islam qui s’est étendue dans toute l’Arabie. Parmi ses hauts faits, la défaite d’une troupe commandée par une femme, Salma. Son chameau étant mort sous elle, elle tombe à terre ; Khâlid la tue de sa main.
Lors de la Conquête, il fut sans doute le plus grand massacreur de chrétiens. Il dirigeait l’armée des envahisseurs lors de la bataille du Yarmouk, en août 636 ; d’après l’historien reconnu de tous les Musulmans, Tabari, 120 000 chrétiens périrent pendant les trois jours que dura le combat et, dans les semaines qui suivirent, « la région fut horriblement ravagée, quelque 40 000 chrétiens, juifs, samaritains et autres furent massacrés » (Louis Chagnon : Les débuts des conquêtes arabo-musulmanes). Peu après, il fut révoqué de son commandement et chassé de l’armée pour « détournement de butin » par le calife ‘Umar. Il meurt en 642.
Des mosquées, à Marseille et dans le 18e arrondissement de Paris, rendent justement hommage au Sabre de l’islam –, à qui Mahomet lui-même dit un jour (mais n’était-ce pas un compliment ?) « qu’il ne pensait qu’à tuer ».
Les théoriciens aussi
C’est à un théologien-juriste (droit et religion sont indissociables en islâm) qu’est dédiée une mosquée à Tourcoing (59).
Ibn Taimiyya (1263-1328) est le plus rigide des fondamentalistes. Ses textes vouent à l’Enfer – et, en attendant, à un trépas rapide – les mystiques, les philosophes, les « novateurs » en général. Pour lui, rien ne peut être plus peccamineux et criminel, en même temps dangereux pour l’islam, que la pensée personnelle ; la liberté de conscience lui est inconcevable… Les Musulmans doivent s’en tenir à la tradition, rien qu’à la tradition. Il est l’inspirateur du wahhabisme de l’Arabie saoudite et du Golfe, qui via l’argent, les télévisions satellitaires, la contrainte sociale, la terreur et la taqiyya, est en train de submerger les autres variétés d’islam ; il est le maître à penser des promoteurs et acteurs de la guerre perpétuelle des Musulmans contre tous les autres, le père spirituel d’al-Qâ‘ida, des islamistes, taliban, salafistes…
Ce frénétique méritait bien une mosquée dans notre doulce France.
La preuve est faite. Agissons !
Par le choix de ses grands hommes, l’islam en France montre son visage et ses intentions, jusqu’à nous narguer, assuré de notre passivité, de notre lâcheté. Ses cadres, français de papier ou venus de l’étranger, imams, aumôniers, propagandistes et militants participent à une action de conquête, comme devoir leur en est fait par leurs textes les plus sacrés. Ils n’offrent pas une religion de plus aux libre choix des citoyens : ils veulent imposer leur totalitarisme, par essence guerrier et hégémonique.
Les mosquées ne sont pas des « lieux de prière » : centres de la vie de la Umma, à la fois mairies, bureaux d’état-civil, tribunaux, commissariats, écoles, organes de propagande, de formation, de mobilisation et de répression, éventuellement casernes, les mosquées sont les bastions avancées d’une armée d’invasion.
Nous ne devons pas accepter qu’on se moque à ce point de nous.
Que faire ? Écrivons (des lettres, pas des courriels, qui ne seront lus que par des seconds couteaux) au Ministre de l’Intérieur, chargé des cultes, aux élus locaux, aux maires et conseillers municipaux, aux candidats aux diverses élection, aux associatifs, aux patrons et journalistes de la presse et des radios locales… N’oubliez pas nos béni oui-oui : curés, rabbins, francs-maçons, associatifs…
Ne restons pas passifs. Démontrons que nous ne sommes pas, comme le pensent beaucoup de nos ennemis, « vaincus d’avance ».
Agissons en attendant les mesures qui, un jour, s’imposeront si nous ne voulons pas que notre pays soit libanisé, qu’il soit condamné à la guerre civile permanente : l’arrêt de la construction des mosquées, y compris sous le faux-nez « d’institut », et la réduction de celles qui existent en simples… « lieux de prière ».
Une guerre est faite à la France. Il se peut qu’elle y risque, demain, sa survie. Dès aujourd’hui, elle y joue sa dignité et, plus, son honneur.
René Marchand
Source: http://ripostelaique.com/
Nous sommes en pleine crise économique; vous aviez remarqué? On nous demande de plus en plus de restrictions. Et on nous en annonce encore d’autres qui vont nous faire toucher le fond.
Alors, visionnez cette vidéo: http://youtu.be/DsDd-uP7yl0
FDF