25 octobre 732 : Charles Martel arrête les bourricots Maures à Poitiers !
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Moins d’un siècle après la mort de Mahomet, ses guerriers avaient atteint l’Espagne et le Languedoc actuel (cette province s’appelle alors Septimanie, d’après ses sept villes principales).
À la tête de ses troupes, composées d’Arabes ainsi que de Berbères fraîchement convertis à l’islam, Abd el-Rahmann pille Bordeaux et projette de remonter jusqu’au riche sanctuaire de Saint-Martin de Tours. Il a l’intention de s’en approprier les richesses avant de s’en retourner au sud des Pyrénées.
Le duc Eudes appelle à son secours les Francs qui vivent au nord de la Loire. Leur chef accourt. Celui-ci, du nom de Charles Martel, est issu d’une puissante famille franque d’Austrasie (l’Est de la France). Il exerce les fonctions de maire du palais (ou «majordome») à la cour du roi mérovingien, un lointain descendant de Clovis. Quelques années plus tôt, il a refait l’unité des Francs en battant ses rivaux de Neustrie à Néry.
Eudes craint avec raison que Charles Martel ne tourne désormais ses ambitions vers le Sud de la Loire. Il accepte malgré tout de rapprocher leurs deux armées pour faire face à la menace musulmane.
Devant l’avancée des armées de Charles Martel et Eudes, Abd el-Rahmann arrête sa progression. C’est à Moussais, sur la commune de Vouneuil-sur-Vienne, entre Poitiers et Tours, que se font face les ennemis. Pendant six jours, les cavaliers musulmans et les fantassins chrétiens s’observent et se livrent à quelques escarmouches.
Le 25 octobre 732, qui est aussi le premier jour du mois de Ramadan, les musulmans se décident à engager la bataille. Mais leur cavalerie légère et désordonnée se heurte au rempart humain que forment les guerriers francs, disciplinés et bardés de fer. Abd el-Rahmann meurt au combat et la nuit suivante, découragés, ses hommes plient bagage et se retirent.
Plus tard, les chroniqueurs français se sont fait un devoir d’exalter le souvenir de la bataille de Poitiers pour mettre en valeur Charles Martel, père de Pépin le Bref et grand-père de Charlemagne.
Un zaniversaire qu’ils préfèrent oublier…
Par ailleurs :shooté des livres d’histoire.
La vie sexuelle à momo avec la petite Aicha est beaucoup plus enrichissante….
Commentaire par lagadafe — 25/10/2011 @ 17:56 |
Pourriez-vous parler Français s’il vous plait au lieu de l’écorcher!
Je repense aux défenseurs de la cause noire,appelée par eux « négritude »,comme Léoplod Sédar SENGHOR et Aimé CESAIRE,qui ont été aussi d’ardents défenseurs de la langue française,la langue de Corneille et de Molière,notre langue
Commentaire par BARIS Dominique — 25/10/2011 @ 19:50 |
Fêtons cet évènement comme il se doit !
Vive la France, au paquet la résistance….
Charles
Commentaire par Charles.M — 25/10/2011 @ 18:00 |
Pour un islamiste (1), se faire déculotter, se voir taillé en pièces, émasculé ou égorgé le premier jour du ramadan par un chrétien. Quelle sublime honneur !
Mais, à la réflexion c’est « honneur » ou « horreur » ou bien un « horrible honneur » d’être passé au fil de l’épée par Charles MARTEL ?
Et après cela, comment peuvent-ils vociférer leur « Allah ouakbar » ?
Merci, Charles MARTEL et GLOIRE A TOI, ainsi qu’à tes VAILLANTS SOLDATS !
(1) un musulman est un adepte de l’islam. C’est donc par définition un ISLAMISTE. A ce titre, musulman ou islamiste, c’est choux vert et vert chou, quoi qu’en disent les « intellectuels » autoproclamés « progressistes » ; ces menteurs, tricheurs, intoxicateurs et démagogues.
Commentaire par Pierre Lesincère — 25/10/2011 @ 19:12 |
Vous oubliez une chose Charles Martel n’a pas arrêté les maures à Poitiers mais seulement à Moitié Au fait vous y croyez vous au chiffre 666 ça vous dit rien ?????
Commentaire par MANDARINECLEMENT — 26/10/2011 @ 14:44 |