Francaisdefrance's Blog

18/10/2011

Prise d’otage à la prison de Montmédy: le détenu est ENCORE « une chance pour la France »…

Mal « palpé », le mec; mal « palpé »… Il ne faut jamais faire confiance à ces gens-là. Ils sont malins et fourbes.

L’arme blanche, il l’avait bien mise quelque part… Enfin moi, ce que j’en dis…

FDF

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Un détenu de 37 ans armé d’un « couteau de fabrication artisanale » retient depuis 9 h 20 le médecin de la prison.

Les négociations étaient en cours mardi à la mi-journée avec le détenu qui retient en otage un médecin à la prison de Montmédy dans la Meuse, mais celles-ci s’avéraient compliquées, car le forcené n’a formulé aucune revendication, a-t-on appris de source syndicale. Un impressionnant dispositif, avec au moins une vingtaine de véhicules, a été déployé pour tenter de parvenir à une issue favorable. Des équipes régionales d’intervention et de sécurité (Eris), unités chargées de la sécurité dans les établissements pénitentiaires dépendant du ministère de la Justice, venues de Strasbourg, deux équipes du GIGN, des profileurs et des négociateurs étaient sur place.

Pas de revendication

Toutefois, l’absence de revendication a rendu les choses difficiles, les forces de l’ordre n’étant pas en mesure de s’appuyer sur des arguments précis pour négocier. Le détenu, Fadik Djaidia, 37 ans, a été condamné à deux ans de prison dans une affaire d’escroquerie. Il est décrit comme un détenu sans histoire qui ne s’est jamais fait remarquer, selon une source syndicale.

Vers 9 h 20, il s’est rendu pour une consultation à l’infirmerie et a été palpé par les surveillants avant d’entrer dans l’infirmerie. Alors que les surveillants patientaient dans le couloir, le détenu a pris en otage le médecin, âgé d’une soixantaine d’années, avec une arme blanche de sa fabrication.

Poudrière

Selon le bâtonnier des avocats de Verdun, Me Fabrice Hagnier, « c’est une prison dans laquelle le climat s’est durci depuis quelques années pour arriver aujourd’hui à une situation de poudrière ». « On se rend compte que les cas d’agressions et de menaces sur le personnel sont en augmentation, les commissions de discipline sont fréquentes et bien remplies », a-t-il expliqué.

Autrefois réservé aux détenus purgeant de longues peines, le centre de détention accueille désormais une population plus jeune, pour des peines plus courtes, souvent transférée d’autres établissements. « L’état d’esprit a changé : c’était autrefois calme, désormais la confrontation entre ces deux types de population tourne parfois à la violence », a souligné Me Hagnier. Les prises d’otages en prison se terminent généralement sans effusion de sang avec la reddition de l’agresseur. La dernière en date remonte au 8 septembre. Un psychologue de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne) avait été retenu en otage pendant plus de cinq heures par un détenu de 17 ans, déjà auteur d’une prise d’otage en prison quelques mois auparavant.

Source: http://www.lepoint.fr/

Belleville: les islamistes du Parti Ennahda expulsent par la force les partis concurrents, en les traitant de « koufars » (mécréants/infidèles)!

Il est rappelé aux immigrés Tunisiens qu’il serait bon d’aller régler leurs comptes dans leur propre pays. Le notre est suffisamment secoué en ce moment… Vos élections ne nous concernent pas. Et merci de ne pas vous mêler des nôtres!

FDF

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La campagne électorale tunisienne dégénère…à Belleville !!!

Voir: http://youtu.be/p-L6w2msmAM

Rappel : une tunisienne libérale prise à partie dans les rues de Paris par les islamistes (à partir de la min 27:35):

http://latelelibre.fr/index.php/2011/01/le-point-rouge-27-les-libertes-numeriques/

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Source: http://www.islamisation.fr/

Abattoir halal dans la Creuse: vous n’avez pas fini de manger à la mode de Momo sans le savoir…

Et pour éviter cela, il n’y a pas 36 solutions: manifester contre cette ignominie auprès des élus qui se sont agenouillés devant cette soumission à l’islam. Et c’est parti !

FDF

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Un abattoir halal dans la Creuse

Comment ceux qui sont en charge de la Communauté de communes de Guéret-Saint-Vaury et du Conseil Général de Creuse ont-ils pu donner leur feu vert à l’institution, à grande échelle,  d’un abattoir halal ?

Un abattoir halal signe la volonté délibérée de rompre avec les lois qui obligent à étourdir les animaux avant de les tuer pour obéir à des prescriptions religieuses et avec celle de 1905 qui interdit le financement des cultes, puisque l’acheteur de viande halal paye, sans le savoir, le coût de la certification délivrée par une mosquée. 

De plus, au regard des chiffres avancés dans l’article du Populaire, les 5 à 8000 tonnes par an de bovins et ovins vont sans doute peu à peu se transformer en 15 à 18000 tonnes, ce qui signifie qu’une bonne partie du cheptel creusois va se retrouver halaliséet donc, forcément, dans l’assiette du consommateur lambda qui ne veut pas du halal mais va en acheter et en consommer sans le savoir.

On sait que le secrétaire d’Etat au commerce, Frédéric Lefebvre, a refusé tout net la mention du mode d’abattage de la viande au prétexte que cela… stigmatiserait l’islam !!! Il vaut mieux tromper le consommateur…

Abattage-rituel-signal-Niet-de-Fefebvre-JPËG-300x286 Il est absolument inadmissible et scandaleux que les pouvoirs publics prêtent la main  à une telle ignominie. 

Nous vous invitons à signer la pétition, à  écrire aux élus de Creuse (communauté de communes de Guéret-Saint-Vaury et Conseil Général)  :

Communauté de Communes de Guéret Saint-Vaury 9, avenue Charles de Gaulle – BP 302 – 23006 Guéret Cedex
Tél : 05 55 41 04 48 – Fax : 05 55 41 13 01 – accueil@cc-gueret.fr

Conseil général de la Creuse Château des Comtes de la Marche
BP 250, 23011 GUERET Cedex

Source: http://christinetasin.over-blog.fr/

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Et, pour vous motiver, une petite vidéo que les âmes sensibles sont priées d’éviter de visionner: http://tinyurl.com/6ka8bk4

FDF

17 octobre 1961: l’énorme montage de la propagande des criminels du FLN !

Devoir de repentance? Une autre, s’il vous plait… On a célébré le 50 ème anniversaire des « évènements du 17 octobre 1961 ». Le devoir de repentance nous a obligé de le faire… Alors que ce jour là, en 1961, les faits réels se sont passés tout autrement que ce que l’Histoire Officielle nous le décrit. En outre, en 1962, en Algérie, le peuple récemment « libéré » a commémoré à sa façon cet « anniversaire »:

Ceux ci n’ont pas eu le temps de prépare la valise… Pour eux, ce fut directement le cercueil (et encore…).

FDF

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Il y a une différence fondamentale  entre les évènements d’octobre 1961 à Paris,  qui s’expliquent par l’état de guerre qui prévalait à l’époque, et les massacres commis en Algérie en 1962 APRES le cessez-le-feu, qui firent des dizaines de milliers de morts harkis et des milliers de morts et disparus parmi les pieds-noirs et les militaires français, en présence de l’armée française l’arme au pied.

 En cette période anniversaire, aucun de nos médias officiels, qui s’étendent complaisamment sur le « massacre » de Paris, ne fit ce rapprochement.  R.S.

Si ce message n’est pas lisible, ouvrez la version PDF: Octobre 1961

Le prétendu « massacre » des algériens
à Paris, le 17 octobre 1961
Un énorme montage de la propagande du FLN !
Quarante ans plus tard, le 17 octobre 2001, le maire de Paris avait inauguré une plaque en souvenir de ce « massacre », exprimant le repentir de la France et mettant gravement en cause la responsabilité de la police parisienne (gardiens de la paix, gendarmes mobiles, CRS et forces de police auxiliaires composée de Harkis).
C’était le début d’une intense campagne de propagande insufflée d’Alger, qui devait être suivie de beaucoup d’autres épisodes de calomnies ininterrompues, jusqu’à aujourd’hui…
Cette nuit là, donc, l’ensemble des forces de l’ordre aurait massacré près de 300 Algériens et fait plus de 2.000 blessés dans les rangs de ces derniers. Il s’agissait, pourtant, d’une manifestation pacifique, pour appuyer les négociations débutantes que De Gaulle avait entreprises avec le FLN de Tunis.
La vérité fut rétablie par le Colonel Raymond Montaner, commandant de la Force Auxiliaire des Harkis de Paris dont il avait pris le commandement en 1959. Cette unité était destinée à protéger les Algériens de la capitale et des banlieues voisines contre la vaste entreprise de racket du FLN pour lever « l’impôt révolutionnaire ».
Tout récalcitrant s’exposait aux couteaux des égorgeurs dont le grand chef, Salah Louanchi, responsable de la fédération FLN de France, avait longtemps échappé à la police grâce à la complicité d’un réseau de chrétiens progressistes groupés autour d’André Mandouze.
Sa longue expérience à la tête de SAS en milieu rural, mais aussi et surtout, en milieu urbain au Clos Salembier à Alger, avait préparé le lieutenant colonel Montaner à faire face, très efficacement, au terrorisme perpétré par les agents du FLN dans la région parisienne.
Lors de la fameuse nuit du 17 octobre 1961, Montaner se trouvait à pied d’œuvre, avec ses Harkis parisiens et ses deux principaux adjoints, le capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin. Dans la revue « l’Afrique réelle » de l’automne 2001 (N° 33), il expose ainsi les faits :
1.      « Il ne s’agissait pas d’une manifestation pacifique, mais d’une double action minutieusement montée par le FLN. Tandis que des groupes armés devaient saboter et incendier des installations vulnérables dont le port pétrolier de Gennevilliers et le complexe pétrolier de Melun, d’autres manifestants, mobilisés souvent de force, sous la menace, devaient envahir le centre de Paris, principalement vers la place de l’Opéra, de la République, et converger vers les Champs Elysées pour y déployer le drapeau FLN. A cette époque, toute manifestation de ce type était interdite dans la capitale ».
2.      « La police parisienne semble avoir été surprise par ces manifestations. Environ 1.300 hommes répartis en petits groupes de 25 policiers étaient disséminés dans les zones sensibles, sans grande coordination. Un premier affrontement eu lieu, dès 19h30, au pont de Neuilly, une quinzaine de policiers se retrouvèrent opposés à plusieurs centaines de manifestants. Cependant, aucun coup de feu ne fut tiré. Les forces de l’ordre se replièrent vers d’autres points d’appui. Rapidement, la police reprit la situation en main.
3.      « On découvrit alors un fait étonnant : l’extrême rapidité avec laquelle, devant le regroupement des policiers qui avaient reçu des renforts, les manifestants se débandèrent, ou se laissèrent appréhender. Conduits au Palais des Sports et au stade de Coubertin, l’immense majorité des Algériens arrêtés avouèrent qu’ils avaient été mobilisés sous la menace de mort par les agents recruteurs du FLN, ou menacés de représailles sur leurs familles pour ceux qui auraient refusé de se joindre à ce « rassemblement patriotique ». La plupart furent renvoyés chez eux, après vérification d’identité…
4.      « Le vrai bilan, entre le 17 et le 21 octobre 1961, s’établissait à 7 morts, dont 2 seulement attribués directement à la police : Achour Belkacem et Amar Malek, tous deux agents du FLN. 5 autres morts seront décomptés, dont un Français, Guy Chevalier, et 4 Algériens, vraisemblablement victimes de règlement de compte. ».
L’agitation politico-médiatique, à la suite de ces manifestations, fut sans lendemain : il fallut bien reconnaître l’échec total du FLN dans son intention de soulever les Algériens de la région parisienne et de saboter les installations pétrolières visées.
Ce n’est qu’en 1986, 24 ans plus tard, qu’un ancien responsable de la fédération du FLN en métropole, Ali Haroun, publia un livre écrit « à la gloire du FLN en France » : « La Wilaya VII ou la guerre du FLN en France –(1954/1962). Le roman noir débutait, mais c’est seulement en 1991 qu’il acquit sa notoriété avec le livre du marxiste Jean-Luc Einaudi directement inspiré de celui d’Ali Haroun, commenté et amplifié : « La bataille de Paris – Octobre 1961).
L’auteur relaie directement la propagande d’Alger et accuse la police française d’avoir assassiné, en cette nuit du 17 octobre 1961, 300 Algériens, tandis que 2.300 d’entre eux étaient blessés. C’est à partir de ce livre que des sympathisants français, appelés aujourd’hui « Les frères des frères » par le FLN,  organisent, chaque année, une cérémonie à la mémoire des « martyrs algériens du 17 octobre », lesquels n’ont jamais existé que dans l’imagination de leurs créateurs, comme le souligne Bernard Lugan, auteur de la revue « L’Afrique réelle ».
En l’an 2000, année, ou début, de la grande offensive de calomnie contre la France, à la suite du premier voyage retentissant de Bouteflika en France (reçu avec solennité à l’Assemblée Nationale à majorité socialo-communiste) est créée l’association « 17 octobre 1961 contre l’oubli » dont le Président, Olivier Lecour Grandmaison, est bientôt appuyé par Pierre Vidal-Naquet, Maspéro, Marcel Péju, et toute l’équipe marxiste du Paris intellectuel.
Les preuves apportées par le Colonel Montaner pour dissiper cette légende sont nombreuses et accablantes. Tout d’abord, pourquoi le FLN et ses complices parisiens ont-ils attendu près de trente ans avant de lancer leurs accusations ?
Les chiffres extravagants, par ailleurs, ne peuvent nous troubler quand on connaît la fable du « million cinq cents mille morts » dans les rangs du FLN, pendant la guerre d’indépendance, celle des « quarante cinq mille morts » de Sétif le 8 mai 1945, etc, etc…Nous sommes habitués à cette exagération des chiffres qui, d’ailleurs, révèle bien leurs origines.
Ensuite, l’auteur s’est livré à une enquête surplace
1.      Alors que se déroulait, en plein cœur de la capitale, un soi-disant massacre d’Algériens, aucune intervention des pompiers, ni de police secours, ni de la Croix Rouge, ni d’aucun service d’ambulance anormal, lors de cette nuit, ou des jours suivants, n’ont laissé de traces.
2.      Aucun des services hospitaliers d’urgence de Paris, ou de la banlieue parisienne, n’a vu un afflux anormal de blessés : pourtant, 2.300 blessés en une nuit, cela laisse des traces… Où sont passés ces blessés ? Se sont-ils évaporés ?
3.      A l’objection de la propagande FLN selon laquelle tous les corps (morts et blessés) auraient été « jetés dans la Seine », l’auteur répond en signalant que rien n’a été retrouvé de tous ces corps dans les barrages sur la Seine en aval de Paris. Près de 2.500 corps en une seule nuit dans un fleuve et aucune trace les jours suivants ? Où sont-ils passés ? Se sont-ils dissous ?
Toutes ces invraisemblances accumulées ne nous choquent plus depuis longtemps de la part du FLN qui nous a habitués à de telles fabulations. En revanche, ce qui nous afflige, c’est le fait qu’elles aient trouvé des échos dans les milieux d’extrême-gauche qui leur ont redonné vie et risquent de les pérenniser dans cette vaste entreprise de culpabilisation de l’opinion publique française.
Cette propagande a aussi pour but de nous faire oublier une terrible réalité : depuis janvier 1955 jusqu’à juillet 1962, les groupes armés du FLN ont assassiné, en France, plus de 6.000 Algériens, tués par balles, strangulation, égorgement, après tortures. Il faut compter aussi 9.000 cas de mutilations (ablation du nez, des oreilles, des lèvres) soit une moyenne de 5 tués ou blessés par jour, pendant 7 ans !
Ceci prouve aussi combien la masse de ces Algériens en métropole était hostile au FLN, dans la même proportion où elle se situait, en Algérie même. Pendant toute la guerre d’Algérie, il y eu, en outre, en métropole, 120 gardiens de la paix et 150 civils français assassinés.
L’action des Harkis de Paris fut très efficace pour dépister les caches d’armes et démanteler les réseaux de racketteurs du FLN. Ces Algériens là, fidèles à la France, eurent 10% de tués et 20% de blessés graves. Leur nom figura longtemps sur les plaques commémoratives apposées dans la cour de la Préfecture de Police de Paris. De tous ceux-là, aujourd’hui, on ne célèbre plus la mémoire puisqu’il est de bon ton de ne rendre hommage qu’aux criminels du FLN et à leurs porteurs de valises !
                                                                                              Comité VERITAS

Les poètes du jour…

Ca faisait longtemps…

Deux commentaires témoins de l’amour qu’ ILS nous portent quand la vérité LES blesse. Et même sans ça, d’ailleurs…

En fait, il s’agit du même abruti: même IP, même connard…

Voir ci-dessous.

FDF

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Alez vous faire en papa outé
quelediablevousenporte x
alezvousfairefoutre@allezvousfairefoutre.fr
82.243.7.235

Connesez vous la liberté de culte bande de facho

Alez vous faire en papa outé
quelediablevousenporte x
alezvousfairefoutre@allezvousfairefoutre.fr
82.243.7.235

Votre site web est une honte, vous connssez la liberté de culte bande facho

Pour celles et ceux qui connaissent mal Malek Boutih…

Pillé chez:  http://www.sos-francophobie.fr/malek_boutih_lanti_debbouze_.html


FDF

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Lire: Malek Boutih

Le respect ne vaut pas la soumission.
L’homme en s’inventant des dieux, s’est aussi inventé des démons.
La compassion fait agir alors que la faiblesse rend craintif.
L’éducation c’est ce qui reste lorsqu’une personne a oublié tout ce qu’elle a appris à l’école…
Un cœur de père est le chef-d’œuvre de la nature.
Un père a deux vies : la sienne et celle de son fils.
Le rêve du héros, c’est d’être grand partout et petit chez son père.
Va où tu veux, meurs où tu dois.
L’oubli est une grâce…
En écrivant ma pensée, celle-ci m’échappe parfois.
Bonus: http://youtu.be/aBWVWbtoec0

Il ne faut pas confondre agents de sécurité et néo-nazis….

Le journalisme se veut impartial. C’est son code de déontologie. Les journalistes, pour la plus-part, ont oublié ces principes de base. Et j’en connais un paquet, pour avoir « travaillé » avec eux. L’article qui suit va vous éclairer sur le sujet…

Le journalisme est devenu de la propagande politique. Dommage… Le devoir d’informer est passé sous la coupole du devoir de propager des idées…

FDF

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Bal de néonazis en Picardie





Falsification, occultation, diversion, amalgames: tout est bon au Post.f le site islamo marxiste et antisémite pour cacher la réalité du marxisme culturel qui pourrit notre patrie !
Derrière le rideau de propagande mensongère anti patriotique surgit la réalité de l’horreur de la construction du socialisme provoquant misère et terreur pour la très grande majorité du peuple au profit d’une nouvelle bourgeoisie qui, sans états d’âmes, arrête, déporte, affame et fusille !

Laurent Grenoble prétendu « journaliste » du Post.fr est un exemple de cette perpétuelle manipulation marxiste culturelle, copiant collant quasi littéralement des articles de publication d’ultra gauche ; ici le torchon marxiste le « Courrier Picard » dit la Pravda du Nord, focalisés sur le montée inexorable du front National et terrorisés par les sondages qui laissent apparaître des lendemains qui cesseront de chanter pour cette racaille communiste criminelle et antisémite. Nos « journalistes » maxculs  falsifient, occultent, dénoncent des « Nazis » qui n’existent qu’à l’état très insignifiant dans notre pays et dont dans leurs fantasmes délirants de haine de la France, nos abrutiles voudraient faire des généralités! Les fameuses techniques marxistes de l’intox et de la manipulation dispensées dans toutes les bonnes écoles de journalisme de la pensée dominante stalinienne ressortent nettement dans cette affaire.

Le fait qu’il y ait parfois une petite poignée de brebis galeuses au sein de la mouvance nationale ne légitime en rien la démarche du pseudo « journaliste » Laurent Grenoble du Post.fr qui plagie sans vergogne l’article du communiste Georges Charrière, vulgaire porte parole du PCF, d’une subjectivité qui rejoint l’ignorance et la plus pure propagande de désinformation marxiste culturelle. 

D’ailleurs journaliste et communiste, c’est complètement incompatible, la pratique journalistique est un métier et non une activité militante, le communiste est foncièrement incapable de dissocier ses convictions de sa pratique professionnelle.

Décryptage de « l’article » de monsieur Charrière : « SOMME: Bal chez les crânes rasés » 

Dés le départ il ne s’agit pas de « néonazis » comme nous l’affirme le Post.fr, mais de « crânes rasés ».

Monsieur Charrière écrit : « La petite salle des fêtes de Franvillers, dont toutes les vitres ont été occultées, se remplit progressivement. Dans l’entrée, des nervis au crâne rasé, blouson noir sur les épaules et chaussures de sécurité aux pieds »

Chez moi des individus au crane rasé, blouson noir sur les épaules et chaussures de sécurité aux pieds qui garde l’entrée d’une manifestation privée, on n’appelle pas ça des « nervis » mais des agents de sécurité.

On note que monsieur Charrière n’a rien vu de la « soirée » : « Les vitres de la salle des fêtes ont été occultées ».
Mais monsieur Charrières a vu : « Une Clio qui tourne dans la localité, avec à bord, trois jeunes gens tondus ».Bon système de sécurité privée comme il y en a dans toutes les villes de France !

Monsieur Charrière qui n’assistait pas à la soirée nous en fait néanmoins un compte rendu, c’est j’l’ai pas vu, j’l’ai pas lu, mais j’en ai entendu causer ! Mais de qui ce moque môssieur Charrière !
Mais le camarade poursuit son fantasme : « Peu après minuit, une automobile de forte cylindrée (Une Mercedes blindée ?) immatriculée en région parisienne, traverse le village. Serge Ayoub est probablement à son bord. Vers 2 h 30, les participants à la soirée commencent à rentrer chez eux. »

Notons le « probablement » révélateur de son ignorance et de l’amalgame nauséabond pratiqué par ce prétendu « Journaliste ».

Puis le « camarade » Charrières continue dans la désinformation : « Tout commence il y a quelques semaines lorsqu’un discret appel est lancé sur le réseau Facebook par le titulaire d’un profil intitulé «Picard Crew» (équipage picard). Sans plus de précision, il y est annoncé qu’un événement important devrait se dérouler à proximité d’Amiens le 15octobre. » Jusque là on voit que le tovaritch ne sait rien de rien !
Alors il invente et nous affirme sans preuves: « Parmi celles et ceux qui déclarent, sur Internet, être des amis de «Picard crew», nombreux sont ceux qui ne cachent pas leur sympathie pour une idéologie qu’on peut situer à droite du Front national. On y retrouve divers mouvements, tels que les nationalistes autonomes, les identitaires et bien d’autres. »
On peut dire aussi avec ces pseudos raisonnements, que si ma tante en avait, ce serait mon oncle.

Le camarade nous affirme donc qu’il aurait vu plus tard un petit tract tricolore (évidemment si c’est pas un drapeau rouge du sang des 150 millions de victimes du communisme, c’est pas beau !) intitulé «Conférence et concert samedi 15octobre». Le lieu n’y était toujours pas indiqué mais une adresse électronique y figurait. «  C’est à Franvillers que devait se dérouler le rassemblement. Les conférenciers était Thomas Joly, ancien conseiller régional Front national, passé désormais au parti de la France de Carl Lang, lui aussi transfuge du FN qu’il trouvait trop mou ; et Serge Ayoub, également connu sous le nom «Bat Skin», pour les battes de base-ball utilisées comme arme. »
Suivent des délires diffamatoires et des amalgames nauséabonds avec le Ku Kux Klan organisation légale et raciste américaine.

Donnez une note à Georges Charrieres

Monsieur Ayoub est aujourd’hui responsable de  Troisième Voie et du Front populaire solidariste, un syndicat socialiste nationaliste et populaire qui prétendrais  aux dires de môssieur Charrière lutter contre le libéralisme et pour la nation.
Voir ICI : Encore des gros prouts du Pet du Post.fr.
Hors cher « camarade » le Front populaire solidariste déploie dès son origine une forte aspiration régionaliste et européenne, et il critique les nationalismes étroits hérités du XIXème siècle, à l’exact opposé du soit disant « nazisme », qui n’existe que dans votre obsession maladive et celle du Lolo Gros…pet du Post.fr et de L’AFPS communiste de Grenoble. La manipulation mise en place par le Parti Communiste Français est une fois de plus grotesque. Chercher vous par vos nuages de fumée marxistes à faire oublier le futur procès pour incitation à la haine raciale antisémite des 12 de Mulhouse dont je vous parlerez bientôt ?
http://michelalainlabetdebornay.blogspot.com/2010/12/les-12-de-mulhouse-des-scandaleuse.html

http://antisemitenonmerci.blogspot.com/2011/02/normal-0-21-microsoftinternetexplorer4.html

http://antisemitenonmerci.blogspot.com/2011/02/proces-de-lislamo-marxisme-mulhouse-le.html

http://anticommuniste.blogspot.com/2010/11/un-membre-du-conseil-national-du-parti.html

Le procès des douze militant islamo marxistes du collectif communiste et islamiste antisémite Boycott68 a été reporté, au 17 novembre 2011, suite au rejet par la Cour de cassation de la QPC, Question Prioritaire de Constitutionnalité déposée après le procès en Appel de Bordeaux (affaire Sakina Arnaud de la Ligue de Droits de l’Homme l’antisémite définitivement condamnée). La cour de cassation a estimé que la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse est conforme à la constitution et garantit la liberté des citoyens.

Michel Alain Labet de Bornay.
PS: Merci à Laurent Grenoble journaliste du Post.fr pour le bon sujet.

Source de la source du Post.fr un article de GEORGES CHARRIÈRES du Courier Picard un torchon communiste.

Islamisation: ça pénètre en douce…

Et que l’on n’aille pas nous raconter que personne n’y voit rien… Cette info date de mai 2010. Mais des fois que certains auraient tendance à oublier… Piqûre de rappel.

FDF

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Incroyable ! celui qui ferme nos églises en Algérie, vient en France inaugurer une mosquée  ….  en SAONE-ET-LOIRE

Ministre du Culte algérien et député de la communauté algérienne,


Bouabdallah Ghlamallah est venu inaugurer la nouvelle mosquée de Torcy, en Bourgogne. Une présence qui montre l’importance grandissante de la communauté algérienne dans cette commune « de France ».
C’est vendredi en milieu d’après-midi que Bouabdallah Goulamallah a été accueilli par le premier magistrat de Torcy en la personne de Roland Fuchet (PS). Accompagné notamment par le consul général venu de Lyon, Abdelkader Kacimi El Hassani, et le président de la fédération régionale Sud-Ouest de la Grande Mosquée de Paris, Abdallah Zekri, le haut représentant de la communauté algérienne a pu constater d’entrée « l’importance et la considération accordée à celle-ci au niveau local ».
La présence de ce ministre algérien en France, venant prendre acte d’une nouvelle étape de l’islamisation du pays, est particulièrement choquante : c’est ce même Bouabdallah Ghlamallah qui avait, l’année dernière, fait fermer 10 églises, et s’était justifié au journal L’Expression par cette phrase : « J’assimile l’évangélisation au terrorisme. » La « réciprocité » de la « tolérance » ne semble pas encore d’actualité.

Rendormez –vous mes frères…

En Suisse, on ne badine pas avec certaines choses…


 

On l’a vu avec l’affaire des minarets ….

Voilà une affiche électorale …

Est-ce que nos courageux politiciens (de droite ou de gauche) en feront autant en 2012 ??

FDF

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Destruction en direct d’une mosquée irakienne par des militaires américains…

Jouissif, non? Après tout, c’est en ces « lieux de prière » que l’on incite les intégristes à bouziller du yankee « infidèle »… Les dures lois de la guerre.

FDF

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Voir: http://tinyurl.com/65gh2zf

Voir aussi les commentaires…

Là:

« Une vidéo très représentative de la mentalité de cette armée américaine, véritable ramassis de porcs, pris en flagrant délit de torture et d’assassinats à de multiples reprises. Les commentaires des soldats détruisant cette mosquée, proche par leur intelligence et leur sonorité jouissive des grognements débiles que l’on peut entendre dans un film pornographique, illustrent parfaitement l’état d’esprit de ces mercenaires. Lesquels sont les dignes héritiers de leurs ancêtres, dont les crimes, contre les Indiens, les Japonais, les Allemands, les Français, les Serbes, les Irakiens, les Afghans sont la marque de fabrique. »

Suisse: au lieu de chercher l’intégration pacifique, les musulmans cherchent la confrontation…

On n’y peut rien, c’est dans les gènes… Et on peut s’en rendre compte partout et tout le temps… Islam: idéologie de la stigmatisation.

FDF

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Migros taxée d’islamophobie !!!

Un clip du Conseil central islamique met en scène une jeune femme voilée licenciée. Migros contre-attaque.

Le sulfureux Conseil central islamique suisse (CCIS) relance la polémique sur le port du voile au travail. Mais sa méthode fait scandale chez Migros. Dans une vidéo de propagande de 5 minutes, le CCIS met en scène une jeune musulmane désespérée de se retrouver au chômage parce qu’elle veut rester voilée.

Dans le court-métrage, intitulé «La fille voilée», l’actrice lit une lettre qui porte l’en-tête de Migros. On devine qu’il s’agit d’une mauvaise nouvelle. La jeune femme pose la missive et, visiblement découragée, sort de la maison pour errer dans les rues de Berne. Là, un jeune homme l’agresse verbalement: «Ote ce voile, il faut t’intégrer, nous somme en Suisse, pas au Liban», dit-il en suisse allemand.

Contre le racisme
La fille poursuit son chemin et on la voit pleurer en se remémorant la lettre, avec un sous-titre en anglais: rejection. On comprend qu‘elle est licenciée ou que sa candidature à un emploi est rejetée. Le film s’achève enfin sur un appel pour «lutter ensemble contre l’islamophobie et le racisme» et un logo jaune ambigu portant l’inscription «29 octobre musulmans» pour rappeler la manif prévue par le CCIS. Le logo rappelle l’étoile jaune que les Juifs devaient porter sous Hitler.

Le géant de la distribution a exprimé son irritation au journal dominical SonntagsZeitung. Sa porte-parole, Monika Weibel, exige que le CCIS fasse immédiatement supprimer l’en-tête de Migros. Ou le rende illisible. «Si le CCIS, pour son profit médiatique, falsifie, induit en erreur et présente des affirmations déloyales, il devra en répondre», précise-t-elle.

En fait, depuis septembre 2004, le géant orange «autorise ses employées musulmanes à porter le voile». Mais la direction du distributeur n’a pas exclu que, dans certains magasins, le port du foulard ne soit pas permis, notamment en cas de réaction hostile des clients. Mme Weibel précise par téléphone que Migros n’a rencontré «en général» aucun problème avec ses employés musulmans. «Il a pu y avoir quelques cas, notamment à Genève, où il n’était pas souhaitable que des personnes voilées travaillent en contact avec la clientèle», concède-t-elle néanmoins.

Les islamistes n’en démordent pas
Pour Nicolas Blancho, président du Conseil central islamique suisse, ce serait pourtant un fait incontestable: «Des musulmanes voilées ont été licenciées dans plusieurs entreprises en Suisse, notamment chez Coop. Mais c’est Migros qui a renvoyé le plus de personnes pour ce motif», déclare-t-il au «Matin». Le Biennois converti, chantre d’un islam radical, ne voit pas, dans ces conditions, pourquoi son organisation effacerait du clip l’en-tête contesté.

 La vidéo de propagande montre une jeune femme voilée en larmes. Elle a lu une lettre de Migros lui apprenant qu’elle est «rejetée».

Source: http://www.lematin.ch/

Retour sur les manuels d’Histoire qui « oublient » celle de la France…

Ca me fait plaisir. Riposte Laïque reprend cette affaire de désinformation données à nos écoliers et collégiens à qui « on » enseigne l’Histoire de l’islam et de son prophète pédophile au détriment de l’Histoire de notre pays que j’avais récemment dénoncée, preuves à l’appui (voir: https://francaisdefrance.wordpress.com/2011/10/12/on-islamise-nos-enfants-dans-les-colleges/).

Eh, les gens de RL! Pas sympa; vous avez lu mon billet. Vous auriez pu me citer…

FDF

Ecolière Française en 2020…

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Des manuels scolaires d’Histoire qui broient le passé de la France…

Depuis plusieurs semaines, j’entendais critiquer ici et là les nouveaux programmes et manuels d’histoire pour la classe de cinquième. Des profs avaient grogné, des journalistes glosaient, des politiques murmuraient ; Alain Finkelkraut avait consacré au sujet une de ses remarquables émissions sur France-Culture (samedi 24 septembre, 9 heures)… J’ai voulu me faire une opinion sur pièces.

Dans une librairie du Quartier latin, un vendeur m’a donné le choix entre cinq ou six ouvrages, tous semblables en première apparence : grand format (22×29), couverture polychrome cartonnée, papier glacé, 350 à 400 pages (se répartissant pour moitié entre histoire et géographie), des illustrations à foison, une multitude de caractères typographiques… J’en ai pris un au hasard : c’était celui des éditions Magnard.
En l’ouvrant, je m’attendais au pire ? J’ai trouvé pire que le pire que je craignais.
Un fatras

Le livre comprend quatre grandes parties de longueur inégale : « Les débuts de l’islam », « L’Occident féodal (XIe-XVe siècle) », « Regards sur l’Afrique », « Vers la modernité (fin XVe-_XVIIe siècle), articulées en 11 « chapitres » de 10 à 18 pages. Chaque chapitre est formé de modules : deux pages face à face, classées en : « dossier, leçon(s), histoire de l’art , récit d’histoire, plus, à la fin, exercices et, éventuellement, méthode. »

Chacune des doubles pages est constituée d’illustrations, de cartes, d’organigrammes, de textes d’époques, de textes d’historiens ou de romanciers, d’encadrés consacrés au vocabulaire, à des questions…

Première impression, qui sera confirmée au fur et à mesure de ma lecture : Un bric-à-brac confus de mots et d’images hétéroclites. Pour appréhender l’histoire de quatre civilisations – l’Europe, l’Islam, l’Afrique noire, l’Amérique – entre le VIIe siècle et la fin du XVIIe, on doit faire sans cesse, de module en module et à l’intérieur de chaque module, des sauts de cabri pour, quoi qu’on fasse, ne se poser que sur des objets disparates, comme sortis d’une loterie.

Pas de lignes de force, de continuités, de hiérarchies d’importance, d’analyses et de synthèses claires… Rien qui soit signalé avec netteté comme devant être appris, retenu. Des surfaces de lettres ou d’images colorées. La version livre d’une sculpture d’Arman ou d’un patchwork psychédélique.

Quant à la chronologie, dont le grand historien Lucien Jerphanion disait : « L’histoire sans la chronologie n’est que du vent »… elle fait l’objet d’une colonne, à gauche, toutes les dix ou douze pages, et, ailleurs, Il faut en chercher, au pendule et à la loupe, n’importe où. On l’ignore ou on la bouscule. Des allers et retours continuels dans le temps donnent le tournis.

Comment ose-t-on qualifier un tel objet de « manuel d’enseignement » ? C’est un « beau livre », où tout a été voulu pour séduire l’œil – et, à vrai dire, c’est réussi –, mais où rien n’a été conçu avec sérieux dans le but d’apprendre. L’élève peut errer à loisir dans ce bazar. Qu’en retirera-t-il sur le moment ? Une image ? une anecdote ? un mot ? une impression ? quelque chose qui lui paraîtra beau, qui le surprendra ou, au contraire, lui sera familier ? Et de quoi se souviendra-t-il dans un mois ? dans un an ? au cours de sa vie d’homme ?

Je l’affirme : aucun gosse de douze ou treize ans, aussi intelligent et travailleur serait-il, ne peut tirer de ce bouquin quoi que ce soit d’utile à sa formation.

Des visées politiques

Les concepteurs se sont manifestement imposé trois impératifs :
– Rien ne devait être dit qui pût choquer les jeunes issus de la « diversité » ou leurs parents.
– Il convenait, en revanche, de valoriser leur culture d’origine.
– Pour cela, il leur a paru judicieux de rabaisser les autres, à savoir la France et l’Europe (à moins que… cet objectif n’ait été leur priorité).
Des objectifs, nullement pédagogiques, clairement idéologiques, politiques.

Des preuves ? L’analyse quantitative suffirait. A titre indicatif :
Les 17 premières doubles pages sont consacrées à l’islam entre le VIIe et le XIe siècle : de quoi occuper une bonne moitié du premier trimestre. (Ne pas oublier que, dans les nouveaux « publics » de notre Education national, les musulmans sont les plus nombreux et qu’il est bon de montrer le « respect » qu’on leur porte en les servant en premier). En regard, rien ou presque sur ce qui se passait en Occident à la même époque.
– L’importance accordée aux empires du Ghana, du Mali, du Songhaï (tous les trois musulmans), du Monomotapa : quatre doubles pages.

La malhonnêteté se déploie à longueur de pages : des omissions, simplifications, coups de botte en touche… Une panoplie de désinformation digne de feu l’URSS, de l’Arabie saoudite ou du Zimbabwe.
Un échantillon : une carte représente « l’Arabie au VIIe siècle : un carrefour commercial et religieux ». Deux villes, Nadjrân et Khaybar, y sont marquées d’un point rouge indiquant la « présence de communautés chrétiennes ou juives » (ce qui permet de déduire que la carte représente l’Arabie du début du VIIe siècle, les juifs ayant été chassés de Najrân dans les années trente) ; deux autres villes sont signalées comme « lieux de pèlerinage » avec un soleil vert : la Mekke et…Médine ( ?). Le soleil vert, totalement injustifié, anachronique, pour Médine a permis d’éviter le point rouge. Un mensonge a effacé une vérité dont l’évocation pouvait provoquer quelques remous dans les classes : la deuxième ville sainte de l’islam a été créée par des juifs, qui en ont été les seuls occupants pendant des siècles, jusqu’à ce que Mahomet les exile, les vende comme esclaves ou les massacre.

L’islam et l’Afrique noire : désinformation positive et censure

Avec l’islam et l’Afrique noire, on a affaire continument à une « désinformation positive » (on serait tenté d’écrire : … une « discrimination positive ») ou à des « ellipses » qui ressemblent fortement à de la censure.
Sur les premiers temps de l’islam, les sept doubles pages du chapitre 1 demanderaient un livre entier pour être analysées. C’est l’islam pour bizounours en turban.

A titre d’illustration :
– Après l’Hégire, Mahomet « convertit de nombreux Arabes à l’islam. En 630, il s’empare de la Mecque. Il meurt à Médine en 632 ». Un récit un peu court, n’est-ce pas ? Rien sur les hold-up, les assassinats ciblés, les ruses meurtrières, l’expulsion, la mise en esclavage, le massacre des Juifs…, ces faits que les auteurs de la sîra (biographie) du Prophète appellent noblement ses « campagnes » (maghâzî).
– Plusieurs pages plus loin : « Deux regards sur Muhammad et la naissance de l’islam » : un court texte de Tabari (un écrivain stipendié par le califat abbasside, un des auteurs de référence de la sîra du Prophète, autrement dit : de « la légende dorée ») ; un autre de saint Jean Damascène, lequel peste contre la nouvelle hérésie qu’est l’islam. De l’épate ! Des matériaux bruts qui ne pourraient être exploités que dans un cours du niveau de l’enseignement supérieur.
– A propos de la Conquête musulmane, rien sur les fleuves de sang (dont parle Tabari, justement), les motivations des envahisseurs, les résistances et les effondrements subits, les conditions faites aux vaincus…
– Et rien sur l’arrêt de l’expansion : Poitiers, 732, Charles Martel se sont évanouis dans le non-être. (Il y aurait là de quoi satisfaire Hitler qui estimait que Poitiers avait été une catastrophe pour l’Europe.)
– En ce qui concerne la civilisation musulmane « une civilisation brillante » : rien sur le contenu du Coran, ses versions différentes, la multiplication des hadîth-s et leur épuration, la question du Coran créé ou incréé, la « normalisation » dogmatique, la construction et la clôture de la charia, le crime-péché d’innovation, le système juridique et policier, le djihad, la séparation du monde en Maison de l’islam et Maison de la guerre, la motivation par le butin, l’esclavage, le statut des femmes… bref, ce qui distingue radicalement cette civilisation de celle dans laquelle vivent les élèves.
– Une double page sur « Haroun al-Rachid, le calife des Mille et Une Nuits », autour d’un long texte tiré d’un roman ( !) récent : « Amina, esclave au service du calife ». C’est l’occasion de nous rappeler que les musulmans ne font la guerre que pour se défendre et de nous faire entendre la rengaine de la victimisation. « Comment ne pas haïr ces autres peuples aux frontières, traîtres et infidèles, qui ont tué notre chef vénéré ! Les Roumis de Constantinople ont attaqué si souvent notre calife et notre foi que je ne me souviens plus combien notre glorieux calife a dû livrer de batailles pour finalement s’emparer des îles en Méditerranée. »
– Sur le statut des juifs et des chrétiens, qui devrait passionner les enfants d’une société « pluriculturelle », sur ces dhimmi-s, uniquement quelques paroles du calife Omar, (encore un extrait bien sélectionné de Tabari) : ce despote, présenté comme tel dans la tradition musulmane elle-même, promulgateur du statut de la dhimmitude, qui chassa tous les juifs d’Arabie, devient un parangon de tolérance.
– Bien évidemment, il y a une double page sur l’Andalousie, cette imposture, et la mosquée de Cordoue.

Je m’en voudrais de ne pas mentionner une double page qui vaut son pesant de rahat lokoum : « L’art de la calligraphie ». Sont précisées, illustrations à l’appui – à l’intention des élèves des lycées et collèges de France, il ne faut pas l’oublier – les différences entre le style naskhi et le style thuluth (combien de maîtres sauront prononcer correctement ces deux mots ?) et il est posé à nos chères têtes blondes la question : « Qu’est-ce qui différencie le style coufique du style thuluth ? »
Il n’est plus question de l’islam entre la page 25 et la page 100. Après de multiples saute-moutons et va-et-vient, on le retrouve, avec les croisades …. Deux siècles d’affrontements entre l’islam et la chrétienté ont droit à une double page : « L’expansion religieuse et militaire » de la chrétienté. Un encadré est, comme par hasard, consacré au pillage de Constantinople par les croisés, en 1204 : « La soif du butin ». Et cette question est posée aux élèves ; « Quels éléments indiquent que cette expédition |la croisade] est avant tout militaire ? »

L’islam revient dans les pages 108 à 129 consacrées à l’Afrique avec des doubles pages sur les empires nommés plus haut, mais aussi sur des sujets aussi essentiels que « L’art de Djenné » ou « Le pèlerinage à la Mecque du mansa Moussa (1324) ».
Arrêtons l’inventaire des inepties. Elles sont trop patentes et trop nombreuses pour ne pas avoir été décidées.

France : anéantir la fierté d’appartenance

Dans la machine à décerveler, le passé de la France est littéralement broyé, anéanti.
Plus de ces grands personnages, ni de ces grands évènements, qui restaient dans les mémoires, pouvaient servir de repères, permettaient de distinguer des étapes, de comprendre des évolutions… Du survol et des détails. Et pourquoi ces détails plutôt que d’autres ? Mystère.

Et d’étranges évanescences ou de franches disparitions : Saint-Louis, Philippe le Bel, Louis XI… ont droit à une citation, en passant, mais on n’évoque pas la Chanson de Roland (à cause des méchants sarrasins ?), la poésie courtoise, Villon, Ronsard, Rabelais, Montaigne… ; à la trappe, Corneille (à cause du Cid ?) ; du Guesclin, Bayard, Colbert, Louvois, Vauban… n’ont jamais existé ; parmi les gloires du XVIIe siècle, seuls Molière, La Fontaine, la Bruyère sont mentionnés, mais c’est pour avoir fait, « de manière déguisée, une critique sévère du roi absolu et de la société de Cour ».
On veut, à l’évidence – d’autres l’ont dit avant moi – détruire « le roman national », anéantir l’héritage sur lequel s’est bâtie la France, anémier par là le sentiment d’appartenance chez nos enfants. Et dans ce but, on n’hésite pas à en faire des ignorants, des incultes, des sauvageons qu’on pourra, demain, greffer sur d’autres cultures.

A qui le crime profite-t-il ?

Il faut se poser la question. L’histoire, justement, permet peut-être d’apporter une réponse, au moins d’émettre une hypothèse. Au début de la IIIe république, Jules Ferry, grand architecte et de la colonisation et de l’instruction publique, a voulu des jeunes Français instruits et fiers du passé de leur patrie. Derrière le Lorrain, il y avait – ces adversaires ne cessaient de le rappeler – le grand patronat de l’époque, qu’on appelait le Comité des forges. Ce patronat avait besoin d’ouvriers capables de lire un plan, de calculer une surface ou un volume, d’utiliser la règle de trois… dans la compétition industrielle et commerciale qui opposait la France à l’Allemagne et à l’Angleterre. Il lui fallait aussi des soldats suffisamment patriotes pour accepter d’aller se faire tuer ou démembrer dans des pays exotiques.

De nos jours, le grand patronat, devenu majoritairement financier, le « Cac 40 mondialiste », ne réclame plus que des esclaves, à bas coût, incapables de volonté parce que sans culture ni fierté, en même temps, consommateurs dociles. Il en a fait venir en masse du tiers-monde dans nos pays. Ne chercherait-il pas à en fabriquer d’autres avec les enfants des autochtones eux-mêmes ?

Réagir

Et, maintenant, action ! Prenons contact avec les candidats à l’élection présidentielle. Obtenons des plus éveillés d’entre eux l’engagement de revenir à des manuels d’histoire qui soient clairs, qui donnent des repères mémorisables, qui ne détruisent pas la fierté d’appartenance nationale, sentiment dont toute démocratie a besoin, car lui seul peut fonder la paix sociale, assurer le dynamisme, la créativité, le développement des individus et de la nation, inciter à la solidarité.
Et, au plus tôt, dès que nous en avons l’occasion, déculottons et fessons d’abondance les mondialistes et les cuistres qui se sont mis à leur service.

René Marchand

Source: http://ripostelaique.com/