Francaisdefrance's Blog

11/08/2011

Par peur des émeutiers, des groupes d’auto-défense se forment en Grande Bretagne… Et ça inquiète les autorités.

Je ne vois vraiment pas pourquoi les autorités s’inquiètent. En Grande-Bretagne, face à une police impuissante (par faute de moyens), les racailles mettent le pays à feu et à sang. Le peuple en a assez de subir les excès de violence. Le peuple veut une justice, et un sentiment de sécurité; ce qu’il n’a pas. Donc le peuple prend les armes pour se défendre lui-même. Car le peuple, lui, est au coeur du conflit et sa réaction tient de l’instinct de survie. Quoi de plus logique?

Tout faux, Steve Kavanagh; tout faux…

FDF

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Carte des émeutes et pillages à Londres et sa banlieue…

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Les groupes d’auto-défense inquiètent en Angleterre…

Depuis lundi, commerçants et habitants se regroupent pour protéger leurs rues des émeutiers. Ces initiatives ont été condamnées par la police, qui craint des échauffourées supplémentaires et veut éviter de diviser ses forces.

Les milliers de policiers -16.000 à Londres- faisant face aux émeutiers mardi soir n’étaient pas les seuls à faire respecter l’ordre dans les villes britanniques. Des centaines de commerçants et d’habitants ont également patrouillé dans les rues pour protéger leur quartier et leurs magasins. De très nombreux groupes d’auto-défense ont émergé à Londres depuis lundi pour pallier à une police jugée trop timorée à intervenir pour arrêter les pillages. Des initiatives similaires se montent dans les autres localités du pays, touchées par les violences. Le phénomène préoccupe la police, qui a condamné mercredi l’existence de tels groupes.«La dernière chose dont j’ai besoin sont des justiciers autoproclamés qui ont dû boire un coup de trop. Ils accaparent des policiers, qui ne peuvent remplir leur mission première : empêcher les pillages», a mis garde, mercredi, Steve Kavanagh, commissaire adjoint de la police londonienne. «Ce sont des petits groupes de gens frustrés et en colère, ce qui est très compréhensible au vu des événements de ces derniers jours. Mais lorsque la télé montre des endroits où la police est absente, c’est parce que nos hommes doivent désormais aussi s’occuper de ces soi-disant défenseurs», a-t-il souligné. Cette mobilisation citoyenne est également critiquée par les associations de terrain qui redoutent de futures tensions entre communautés…
Suite et source: http://tinyurl.com/3j4au74

Roms: et ça se rebiffe, en plus !

Pour nous autres, Français, une mise en fourrière de notre véhicule est justifiée et on ne la ramène pas… Chez les roms, il en est tout autrement…

FDF

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Lille: la police a mis onze voitures du camp de Roms en fourrière !

 De 8h30 à 11h, la police est intervenue sur le camp pour évacuer des véhicules du parking. La police est intervenue sur le camp pour évacuer des véhicules du parking.

Entre 8 h 30 et 11 heures, hier, la police nationale est intervenue dans le camp aménagé pour les Roms, boulevard Gambetta. Elle a procédé à la mise en fourrière de onze véhicules pour « infraction au code de la route ».

Quelque vingt et un policiers étaient mobilisés. Au départ, le parquet a demandé aux forces de l’ordre de procéder à un contrôle de papiers, comme l’explique le procureur adjoint, Georges Gutierrez : « Les policiers se sont aperçus qu’un véhicule avait une fausse immatriculation, ils ont donc vérifié l’ensemble des voitures et dix autres présentaient des certificats d’assurance suspects. Comme le veut la procédure, ces véhicules ont été mis en fourrière en attendant des vérifications. » Sur le camp qui accueille actuellement 50 familles, la colère était grande. Les uns expliquant n’avoir pas eu le temps de régulariser l’assurance et d’autres se défendant de circuler sur la voie publique : « Ma voiture reste sur ce parking, j’attendais d’avoir de l’argent pour l’assurance pour rouler avec », s’est justifié un homme.

Demain, le collectif Solidarité Roms organise une conférence de presse pour réagir face au traitement des familles Roms dans la métropole lilloise.

Source: http://www.lavoixdunord.fr/

Les blancs victimes d’humiliations en Grande-Bretagne !

C’est tout simplement inadmissible ! Ces sous-merdes issues de la fange du monde et que l’on a accueillies en Occident sont de plus plus écoeurantes. Plus ça va, plus c’est pire. Il va falloir sérieusement s’occuper de remettre ces larves dans les rails; et pas au canon à eau… La répression, c’est maintenant qu’il faut l’utiliser. Demain, il sera trop tard. Monsieur Cameron, tirez le premier !

Mister Cameron, shoot the first !

FDF

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Emeutes ethniques en Grande-Bretagne : les racailles d’importation veulent humilier les blancs!

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Au cours des émeutes ethniques qui ravagent l’Angleterre depuis plusieurs jours, des émeutiers obligent des passants à se mettre nus dans la rue pour voler leurs vêtements ou pour les humilier, ou les deux. La femme nue est à coté d’un policier. Les photos ont été prises à Londres…

Source: NOVOpress

Grande Bretagne: en marge des émeutes…

Saloperie de racailles…

Arme de dissuasion massive anti-racaille…

FDF

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Un groupe « semble aider » un jeune blessé… avant de lui voler le contenu de son sac.

Ici: http://youtu.be/sNpRdOlhSeI

La vidéo a été vue plus d’un million de fois en 2 jours…

La victime s’appelerait Asyraf Haziq, et serait un jeune Malaisien, qui s’était fait voler son vélo précédement, rapporte Metro.co.uk. « Je voulais descendre et l’aider, mais j’étais terrifié, j’ai eu peur que les autres me frappent », a indiqué au journal Abdul Hamid, 23 ans, qui a filmé l’incident.

Source: Le Post

L’évadé-provocateur-chance pour la France de Besançon en garde à vue.

Le délinquant qui narguait la police sur Internet arrêté à Besançon.

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Le « jeune délinquant »… Je t’en foutrais, moi, du « jeune délinquant ». Il nargue la police, en vidéo, lue des milliers de fois, ce qui a bien du faire des émules, ce con! Mais actuellement, il est interrogé sur son évasion. C’est tout. J’attends avec hâte sa condamnation. Affaire à suivre…
FDF
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Le jeune délinquant en fuite qui avait nargué la police en postant un message sur YouTube début août a été arrêté mercredi à Besançon.

Saïd Bahmed, 24 ans, a été arrêté par la gendarmerie peu avant 07H00 dans le local technique d’un immeuble de son quartier d’origine. Une interpellation « sans incident ni difficulté », a précisé le procureur Alain Saffar.

Transféré dans une brigade de gendarmerie de la ville, le jeune homme a été placé en garde à vue pour être interrogé sur son évasion.

La vidéo de Saïd Bahmed narguant la police (au fait, le zoo de Besançon est toujours ouvert?): http://youtu.be/A9M0WjZVKNM

Saïd Bahmed s’était évadé le 27 juin du tribunal de Besançon où il devait être jugé. Le jeune délinquant était alors apparu à visage découvert dans une vidéo postée sur le internet, dans laquelle il narguait les forces de police en exhibant ses menottes.

Depuis sa mise en ligne, la vidéo a été vue plus de 360 000 fois. (et pourquoi elle n’a pas été supprimée? C’est de l’incitation à la haine, non? FDF)

Source: http://www.ladepeche.fr/

Le ramadan est propice à la manipulation des esprits…

Et ça, les islamistes le savent bien. Rien de tel qu’un être affaibli et perturbé dans ses habitudes pour lui faire assimiler la propagande la plus infecte qui soit… 

Se croyant investis d’une mission divine, ils se donnent alors le droit de s’ériger en police religieuse.

FDF

Police religieuse saoudienne. Photo d’illustration.

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Contrairement à la nature, les islamistes aiment le vide. En l’absence de l’Etat, des partis politiques et des associations de la société civile ils occupent le terrain particulièrement durant ce mois sacré. Censé être le mois de la piété et de la solidarité, le Ramadhan est pour certains synonyme d’excès et d’intolérance. Pis encore, ce mois est l’occasion pour les gardiens du temple de s’ériger en moralisateurs de la société. Se croyant investis d’une mission divine, ils se donnent alors le droit de s’ériger en police religieuse. Il ne se passe pas un jour sans qu’une nouvelle fetwa ne voit le jour. «C’est haram (interdit par la religion) de faire ceci, c’est aussi interdit par la religion de faire cela», entend-on chaque matin. «Je suis traumatisé par ces comportements», confie Saliha, une mère de famille, la quarantaine. «On ne vous laisse pas pratiquer votre religion tranquillement», ajoute-t-elle. Le traumatisme de Mme Saliha, est dû selon elle «au comportement inadmissible de certaines personnes qui ne partent pas à la mosquée pour faire leur prière mais pour épier les autres croyants». La mésaventure de la dame a été pour elle la première et la dernière pour la prière du Tarawih à la mosquée.
«Je suis partie comme tout le monde à la mosquée pour me rapprocher du Créateur. Mais malheureusement certaines femmes qui étaient avec moi veulent montrer qu’elles sont les plus religieuses de toutes», rapporte-t-elle d’un air dégoûté.
«Alors que j’étais en train de faire ma prière, l’une de ces «messies» se lève me tire violemment les mains et me les arrange. Elle me dit d’un air méchant Itaki Moulek, arrange tes mains, tu laisses passer le diable comme ça!», poursuit-elle. La mésaventure «religieuse» de Saliha ne s’arrête pas là, puisque d’autres dames sont venues chez elle pour lui faire des remarques désobligeantes. «Sont-elles venues prier ou surveiller les autres?», s’interroge la soeur. Pour elle, ce comportement intolérable est dû à l’apparition de la vague des mourchidate (les conseillères religieuses). Les mourchidate sont censées être des femmes d’une grande connaissance religieuse que les croyantes viennent consulter à chaque fois qu’elles ont besoin de conseils sur le plan religieux.
«Malheureusement, beaucoup de ces femmes n’ont pas la moindre connaissance de la religion et s’autoproclament mourchidates», explique-t-elle. Lassée, Saliha n’a plus remis les pieds à la mosquée. «C’est ce genre de comportements qui amène les gens à s’éloigner de la religion. C’est aussi cela qui donne une mauvaise image de notre religion», s’attriste-t-elle. Ce constat alarmant n’est malheureusement pas un cas isolé et n’est pas spécifique aux femmes. Le comportement de certains hommes est bien pire. «J’ai accompagné ma soeur chez elle, un énergumène me lance de loin: «Itaki Moulek (Craint Dieu), c’est le Ramadhan», raconte Nabil, qui affirme que «cet énergumène me signifiait que je n’avais pas le droit de circuler en couple durant le mois de Ramadhan». «Quand bien même, c’était le cas, a-t-il le droit de me juger, de m’apostropher sur ma vie privée?», s’insurge-t-il. «Ils ont tellement l’esprit malsain qu’ils trouvent anormal qu’un frère et une soeur marchent ensemble dans la rue», dénonce-t-il encore. Cette remarque déplacée faite par un extrémiste, a entraîné une bagarre générale. D’ailleurs en parlant de bagarre, c’est devenu un sport national durant ce Ramadhan. Une scène à laquelle ont assisté au deuxième jour du Ramadhan, Idir et son frère, deux citoyens habitant la capitale. «On a assisté à une rixe qui a opposé deux islamistes. Le spectacle était beau à voir. Avec leur accoutrement fait de djellaba, kamis…pour, tenez vous bien, une petite bousculade pour monter dans le bus», rapportent-ils on se marrant. «Les deux barbus se sont roulés par terre et se sont donné en spectacle, tout en proférant des insultes que même le pire des voyous ne prononcerait pas», plaisantent-ils. Les deux frères qui semblent être portés sur l’humour disent s’être rapprochés des deux pugilistes, et leur on lancé «Itaki Allah, alors votre foi a disparu?» La réponse des deux antagonistes n’a pas tardé puisque de suite, ils ont proféré d’autres insultes plus graves aux deux frères, ce qui les a encore fait plus rire… «Cela prouve l’hypocrisie de certains donneurs de leçons, qui cependant n’appliquent jamais ce qu’ils recommandent», concluent-ils.
Comme l’histoire que nous raconte Bouchera. Cette jeune fille s’est fait insulter par un pseudo-croyant qui sortait des tarawih. «Il a proféré des insultes et m’a dit de rentrer faire le ménage à la maison», raconte-t-elle, encore sous le choc. «Est-ce normal que quelqu’un qui était en train de prier Dieu quelques minutes auparavant se comporte de la sorte?», peste Bouchera. «Mes parents ne m’interdisent pas de sortir et voilà que de pitoyables personnes se permettent de le faire. C’est le monde à l’envers», dit-elle, furieuse. Donc au lieu de s’occuper des fetwas interdisant le parfum, la brosse à dents…pendant le Ramadhan, certains feraient mieux de s’employer à respecter les vraies valeurs de l’Islam. Est-il religieusement recommandé de gaspiller de la nourriture en la jetant, en ayant les yeux plus gros que le ventre? Est-il toléré de manger jusqu’à en être malade? Ou encore bien pire, est-il demandé de voler autrui pendant le Ramadhan? Par vol, il est entendu vol en tous genres et en particulier, celui des commerçants.

Source: http://www.lexpressiondz.com/

Françaises, Français, ici Londres…

Avec les événements récents de Grande Bretagne, nous recevons en France un message. A nous de le décrypter… Nous en avons déjà eu un avant-goût en 2005 et depuis, mais « là-haut », on n’a pas du comprendre. Ci dessous une analyse qui mérite d’être lue.

FDF

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Trois petits singes…

Il ne s’agit pas d’un titre de roman d’Agatha Christie mais d’une réflexion concernant les derniers événements à Londres. Tout le monde connaît cette fameuse image des trois singes dont l’un ne voit rien en se fermant les yeux, le second ne veut  rien entendre en se bouchant les oreilles et le troisième ne veut rien dire en se muselant la bouche. Des devantures éventrées, des magasins pillés, des voitures brûlées et des heurts violents avec les forces de l’ordre britannique. La police anglaise a dû massivement intervenir pour voir le foyer des troubles se répandre dans des quartiers périphériques de la capitale anglaise. Ne rien voir signifie que personne n’a remarqué que ces émeutes ont eu lieu dans des quartiers bien particuliers de Londres; La presse les a qualifiés de « pauvres » car elle n’a visiblement pas vu qu’il s’agit de quartiers musulmans où fleurissent les mosquées et où les diatribes des imams promettent depuis longtemps la victoire du djihad sur les croisés! Mais la presse n’a rien vu surtout pas  les panneaux appelant à l’instauration de la loi musulmane! Elle n’a pas entendu les vociférations et cris habituels des terroristes  appelant à la grandeur d’Allah. Elle n’a pas relaté ni souligné l’origine des émeutiers. Ce ne sont que des « jeunes » dans des « quartiers pauvres ».

Cette explosion de haine musulmane qui secoue les villes anglaises n’empêchera certes pas le gouvernement britannique de continuer à soutenir les émeutiers arabes quand ils agissent contre Israël ni la lamentable Ashton de protester contre les constructions à Har Homa. Cela n’empêchera pas le clergé anglican de vouloir favoriser l’instauration de la Charia ni de continuer béatement à prôner le « multiculturalisme« . La perfide Albion n’a pas cessé de nuire ni maintenant de payer ses nuisances.

La télévision française a d’ailleurs courageusement emboîté le pas lors des informations et  insisté pour utiliser des termes neutres! Peur de dénoncer la réalité et de voir s’enflammer une banlieue parisienne? Peur de devoir affronter le danger et volonté politique de le repousser à plus tard?

Les occidentaux se comportent véritablement comme ces trois petits singes!

Ce qui est en tout cas plus important pour nous (ndmg – Israël) est que ce récent message de Londres soit bien assimilé avant septembre (ndmg – éventuelle création onusienne d’un Etat « palestinien ») et que nos forces de l’ordre (ndmg – israéliennes) sachent voir, entendre avertir et surtout agir. Je cite nos forces de l’ordre car notre presse (ndmg – israélienne) restera ce qu’elle est : une épine douloureuse dans la construction sioniste.

Jacques Kupfer drzz.fr

Source: http://www.drzz.fr/

Qui n’a pas couché avec DSK ???

Moi, déjà…

Une petite coupure de presse. On devine le prochain scoop de cette affaire qui traîne (volontairement) en longueur. Il faut bien tenir le peuple en attendant 2012 et faire oublier la pilule de la crise…

FDF

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Tunisie: de la « révolution du jasmin » au délit d’opinion toujours en vigueur…

Pas encore debouts, les tunisiens…

FDF

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Tunisie : la liberté inch’Allah !

Depuis avril, en Tunisie les incidents se multiplient contre les artistes et intellectuels qui défendent la laïcité. Inquiétant.

Une fois, c’est un hasard, deux fois, un indice, trois fois, une preuve. Voilà qui pourrait résumer un enchaînement d’événements préoccupants pour la liberté d’expression en Tunisie. Le 6 avril, le cinéaste Nouri Bouzid était blessé par un individu hurlant des slogans religieux. La veille, il demandait sur les ondes de la radio Mosaïque FM l’inscription du principe de laïcité dans la Constitution. Son agression a suscité l’émoi et l’indignation du monde associatif et de certains partis politiques. Mais lui a également valu plusieurs mises en garde.

Lors d’un meeting politique du mouvement islamiste Ennahdha (« Renaissance »), dénonçant pêle-mêle un complot international contre l’islam, des clips musicaux montrant des corps dénudés de plus en plus nombreux, et une jeunesse qui préfère les soirées nocturnes aux prières matinales, le rappeur Psycho-M contre-attaque : « Si je pouvais, j’utiliserais une kalachnikov contre celui qui a réalisé Making of. Il dit qu’il cherche la bonne voie. Ça ne peut pas être le Coran. Trop vieux pour vous, Monsieur Bouzid ! » Les militants et les sympathisants d’Ennahdha lui font alors un triomphe. La classe politique et les milieux associatifs réagissent à peine.

Un climat explosif

Fin avril, la tension monte. La réalisatrice de Ni Allah, ni maître !, Nadia el-Fani, déclare sur la chaîne privée Hannibal TV : « Je ne crois pas en Dieu, j’ai le courage de le dire… Je sais que c’est très culotté. Mais j’estime que yezzi [« ça suffit » en arabe, NDLR], y en a marre de se cacher… » Quinze secondes d’interview qui mettent le feu aux poudres. Des commentaires d’une extrême violence apparaissent sur le web, la presse s’empare de l’affaire.

Le 26 juin, une centaine de salafistes du mouvement (non autorisé) Hizb Ettahrir saccagent la salle CinemAfricArt et menacent les spectateurs. Leur but : empêcher la manifestation « Touche pas à nos créateurs », organisée par le collectif associatif Lam Echaml, ainsi que la projection de Ni Allah, ni maître ! et celle d’un documentaire consacré au penseur libéral égyptien Nasr Hamed Abou Zayd.

Plusieurs témoins parlent d’agresseurs empestant l’alcool. Des salafistes à l’eau-de-vie (ou de mort) ? Étrange… Le mouvement Hizb Ettahrir pourrait-il être infiltré par d’anciens membres de la police politique rêvant de semer le chaos en Tunisie ? Est-il un allié de circonstance d’Ennahdha ? Un scénario extrême, mais somme toute plausible : Ettahrir permet à Ennahdha d’apparaître sur l’échiquier politique comme un parti modéré, républicain, « islamo-light » par rapport aux salafistes. De même qu’en ne condamnant jamais publiquement Ettahrir les nahdhaouis soignent l’aile la plus radicale de la sphère islamiste.

Ces événements ont été relayés par l’ensemble des médias tunisiens. Et presque tous les partis politiques ont tenu à rappeler leur attachement à la liberté d’expression. Tout en condamnant cette agression, Ennahdha a pris soin néanmoins de rappeler qu’elle ne cautionnait pas les attaques au « sacré ». La Tunisie se retrouve divisée entre ceux qui n’acceptent pas que la liberté de parole s’en prenne au religieux, ceux qui estiment que rien ne saurait l’entraver, et enfin ceux qui prônent un débat plus serein, respectueux à la fois du religieux et de la liberté d’expression.

Débat de haute volée sur sur Shems FM

Le climat est devenu explosif le 28 juin, quand des salafistes ont violemment réclamé devant le palais de justice de Tunis la libération immédiate des militants arrêtés la veille. Le lendemain, les Tunisiens écoutent médusés sur Shems FM un débat de haute volée entre l’historien Mohamed Talbi (auteur notamment de Plaidoyer pour un islam moderne et de Ma religion, c’est la liberté) et l’avocat Abdelfattah Mourou, sémillant cheikh modéré. Un échange savoureux entre théologiens érudits. Talbi développe son argumentaire : il n’y a de vrai dans l’islam que le Coran (pas la vie du Prophète), lequel ne donne pas de prescription quant au mode de prière et prohibe l’ivresse mais pas l’alcool ; le prophète Mohammed a probablement bu du vin ; et la Sunna est tout à fait contestable d’un point de vue théologique.

Talbi rappelle ensuite que les chiites considèrent qu’Aïcha, la femme du Prophète, est une prostituée. Un tsunami ! L’historien, octogénaire lucide et truculent, est voué aux gémonies. Son procès sur la place publique commence. Le débat fait rage dans les universités, les cafés, les meetings politiques, sur Facebook… Elyes Gharbi, journaliste politique, estime que « les événements récents sont très graves, c’est une sonnette d’alarme. On pourrait toutefois y voir une volonté des uns et des autres de se réapproprier la chose publique. Nous sommes dans un balbutiement démocratique. Je reste optimiste ; développer une culture de l’écoute, de la tolérance, du partage, ça aussi c’est un projet de société ! »

Démocratie naissante

Le 5 juillet à Kairouan, plus d’un millier de personnes manifestent (pacifiquement) contre Talbi, El-Fani et ceux qui « veulent souiller l’islam ». Deux jours plus tard, près de 2 500 personnes défilent pour la liberté d’expression à Tunis à l’appel de plusieurs associations et de quelques partis politiques. L’une des voix les plus écoutées du moment, l’ancien porte-parole de la Haute Instance de réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique, Ghazi Gherairi, estime que « la situation est grave sans être alarmante. Certains mouvements non démocratiques sont en train de jauger les capacités de réaction et les résistances de la société civile.

Ils profitent aussi des grandes difficultés que rencontrent l’État et les forces de l’ordre pour régler les problèmes de sécurité autour des réunions publiques. Je ne crois pas qu’il s’agisse d’un mouvement de fond de la société tunisienne. Il me semble, en revanche, qu’une certaine presse porte une vraie responsabilité. Faire du sensationnalisme avec des appels au meurtre des créateurs ou des penseurs libres ou en ouvrant ses colonnes à des discours obscurantistes est inconscient de la part de ces médias ».

Le fait que Nadia el-Fani ait décidé de rebaptiser son film Laïcité, inch’Allah ne change pas la donne. Et ne calme pas les plus fervents. Le 11 juillet, l’avocat Monem Turki a demandé, sur Hannibal TV, l’arrêt de toute projection du film et a porté plainte contre Nadia el-Fani. Résultat : le procureur de la République auprès du tribunal de première instance de Tunis a ouvert une enquête judiciaire à l’encontre de la réalisatrice. Une première en Tunisie.

De quoi scandaliser le metteur en scène Ezzeddine Gannoun (auteur du remarquable The End et propriétaire de la salle El-Hamra) : « Ce qui se passe est très sérieux. De quel droit certains donnent-ils du kafir (« mécréant », NDLR) à un autre citoyen ? La réaction de la société civile a été positive même si je m’attendais à plus de mobilisation. Je suis surtout inquiet des dérives de certains avocats qui osent dire sur des chaînes de télévision que Nadia el-Fani a commis un crime et que le pardon n’est même pas envisageable la concernant ! Où va-t-on avec de tels raisonnements ? Quelle est la nature du délit ? Avoir exprimé une opinion ? Je dois pouvoir exprimer toutes les opinions que je veux. Y compris sur la religion. Je suis de culture arabo-musulmane. C’est un fait. Le reste ne regarde que moi ! »

À moins de trois mois des premières élections libres de l’histoire de la Tunisie, prévues pour le 23 octobre, le quotidien de la démocratie tunisienne naissante n’est pas un long fleuve tranquille. Et notamment pour celles et ceux qui voudront faire bon usage des biens les plus précieux de tout un chacun : la liberté et la raison !

Source: http://www.jeuneafrique.com/

Emeutes en Grande-Bretagne: Cameron va riposter !!! Mais le peuple l’a devancé…

Eh bien, on saura quoi faire quand l’épidémie de violence va toucher la France; et à mon avis, ça ne saurait tarder. Des « plans » sont probablement en train de réaliser. Il serait souhaitable que notre gouvernement prenne les devants, aussi. Avant qu’il ne soit « débordé » et que, comme en Grande-Bretagne, des groupes d’auto-défense se forment.  Mais je pense que cette dernière initiative a déjà germé dans certains esprits. Et si cela voit le jour, il y aura de la racaille collée partout contre les murs… Ca devrait les calmer.

Mais on va essayer d’éviter ça. Les cartes sont entre les mains de nos dirigeants. A eux de sortir la bonne, et au bon moment. Pas après la bataille, comme d’hab…

FDF

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Le Premier ministre David Cameron s’exprime après une quatrième nuit d’émeutes en Grande-Bretagne.

David Cameron s’exprime ce mercredi à Londres.Il annonce que des canons à eau ont été mis à la disposition des policiers pour la 1ère fois en Angleterre. »Il fallait une riposte et la riposte en cours », déclare le Premier ministre. 

David Cameron avait lancé mardi un message de fermeté depuis le perron de Downing Street. « La population ne doit avoir aucun doute sur le fait que nous ferons tout ce qui est nécessaire pour rétablir l’ordre dans les rues et les rendre sûres pour ceux qui respectent la loi », a assuré le chef du gouvernement, rentré précipitamment de vacances. Le Premier ministre a aussi annoncé la convocation d’une session extraordinaire du Parlement ce jeudi. 

Depuis samedi, 768 personnes ont été arrêtées et 111 policiers blessés à Londres, dans les pires violences depuis plus de 20 ans. Les émeutes, qui ont démarré samedi soir dans la capitale, ont fait leur premier mort mardi. Un homme de 26 ans, blessé par balle au cours de violences dans la capitale lundi, a succombé à ses blessures. Un recours à l’armée est pour l’instant exclu, même si les émeutes s’étendent dans le pays face à des policiers visiblement débordés 

Le bilan s’alourdit

Trois hommes ont été écrasés par une voiture à Birmingham, dans le centre de l’Angleterre, théâtre d’émeutes dans la nuit de mardi à mercredi. La police n’a pas précisé si les décès étaient ou non directement liés aux émeutes qui ont à nouveau secoué la deuxième ville du pays, mais elle a interpellé un homme et saisi une voiture. 

Une enquête a été ouverte. Selon la BBC, qui cite les témoignages de personnes du voisinage, les victimes appartenaient à une groupe d’autodéfense et tentaient de prévenir les pillages dans le quartier.  

Les trois hommes ont été renversés peu après une heure du matin (00H00 GMT). Deux sont morts sur le coup. Le troisième homme, qui a été hospitalisé, a succombé peu après des suites de ses blessures. Ils sortaient d’une mosquée. A Londres, des centaines d’habitants se sont organisés pendant la nuit de mardi à mercredi en groupes d’autodéfense, après plusieurs jours consécutifs d’émeutes, a constaté un photographe de l’AFP. 

Accalmie à Londres

La capitale en revanche est restée globalement calme, après le déploiement de 16 000 policiers contre 6.000 la veille. Mais une forte tension était perceptible: de nombreux magasins avaient fermé plus tôt que prévu et à Canning Town, quartier très défavorisé de l’est de la capitale, la police faisait face à des groupes de jeunes, sans affrontement. Pour décourager les émeutiers, la police a publié les photos de fauteurs de troubles prises par les caméras de surveillance et suit les réseaux sociaux qui servent de relais aux émeutiers. 

Malgré cette accalmie à Londres, les émeutes se sont poursuivies pour la quatrième nuit consécutive en Grande Bretagne. Elles ont éclaté pour la première fois mardi à Manchester et repris à Birmingham. Le Premier ministre David Cameron a annoncé des renforts de police face à ces troubles qui s’étendent et ont fait un mort.  

Troisième ville du pays, Manchester, dans le nord-ouest, semble la plus touchée. Une cinquantaine de personnes ont été interpellées. Le chef adjoint de la police locale Garry Shewan a évoqué une intensité qu’il « n’avait jamais observée auparavant ». Des centaines de jeunes encagoulés ont affronté et lancé des projectiles sur les policiers antiémeutes, brisant des vitrines, pillant, mettant le feu à des magasins et des voitures. 

Diaporama(s)

Quatre jours d’émeute en Grande Bretagne

« Nous avons été attaqués plusieurs fois », selon Glen Barkworth, gérant du principal centre commercial de Manchester. « J’ai vu deux magasins attaqués, pillés, incendiés. 

A Liverpool, 200 jeunes ont bombardé la police de projectiles et causé des dégâts. 35 personnes ont été interpellées. Des incidents mineurs ont encore été signalés à Reading, Oxford et Milton Keynes, à une cinquantaine de kilomètres à l’ouest et au nord-ouest de Londres. 

Message de fermeté de David Cameron

David Cameron a lancé mardi un message de fermeté depuis le perron de Downing Street. « La population ne doit avoir aucun doute sur le fait que nous ferons tout ce qui est nécessaire pour rétablir l’ordre dans les rues et les rendre sûres pour ceux qui respectent la loi« , a assuré le chef du gouvernement, rentré précipitamment de vacances. Le Premier ministre a aussi annoncé la convocation d’une session extraordinaire du Parlement ce jeudi. 

Depuis samedi, 768 personnes ont été arrêtées et 111 policiers blessés à Londres, dans les pires violences depuis plus de 20 ans. Les émeutes, qui ont démarré samedi soir dans la capitale, ont fait leur premier mort mardi. Un homme de 26 ans, blessé par balle au cours de violences dans la capitale lundi, a succombé à ses blessures. Un recours à l’armée est pour l’instant exclu, même si les émeutes s’étendent dans le pays face à des policiers visiblement débordés…

Source: http://www.lexpress.fr/

A méditer… Ces vers furent écrits il y a 450 ans.

Mais se passeront de commentaires. Un visionnaire, Pierre de Ronsard…


FDF


 


« France de ton malheur tu es cause en partie,
Je t’en ai par mes vers mille fois avertie.
Tu es marâtre aux tiens, et mère aux étrangers
Qui se moquent de toi quand tu es au danger,
Car la plus grande part des étrangers obtiennent
Les biens qui à tes fils justement appartiennent. »


Pierre de Ronsard
    

C’est les vacances. Visitez Tarbes: on s’y amuse comme des fous…

Des altercations ont eu lieu entre « gens du voyage » à Tarbes. Ca change des racailles habituelles. Mais c’est très mauvais pour le tourisme… Et pourtant, en ces lieux, reste le 1er Régiment de Hussards Parachutistes. Où étaient ils donc? En Afghanistan?

FDF

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Tarbes: violente bagarre entre deux bandes rivales place de Verdun.

Souvenirs de Tarbes (photo d’illustration).

Une violente bagarre a éclaté dans la nuit de dimanche à lundi, place de Verdun : elle opposait deux bandes rivales. Une personne a été écrouée, deux autres placées sous contrôle judiciaire.

Il était 4 h 50 du matin, dans la nuit de samedi à dimanche, lorsque les policiers du commissariat de Tarbes sont intervenus pour faire cesser une violente bagarre qui avait éclaté un peu plus tôt, sur la place de Verdun. L’altercation, d’une rare violence, a opposé deux bandes rivales de gens du voyage qui en sont venues aux coups pour une raison encore non connue. Mais il ne fait guère de doute que l’alcool ait été l’un des éléments déclencheurs de cette rixe très dure. Trois personnes ont été interpellées sur place par la police : l’un d’eux présentait un taux d’alcoolémie de 2,34 g d’alcool par litre de sang. Ses deux comparses ont refusé de souffler dans l’éthylomètre mais leur état ne laissait pas de place au doute quant à leur alcoolisation massive. Les trois individus ont été tout d’abord placés en cellule de dégrisement et en garde à vue, puis présentés, hier, au parquet. L’un des hommes, celui au taux de 2,34 g, a été écroué, les deux autres placés sous contrôle judiciaire, après décision du JLD (Juge de la liberté et de la détention). L’enquête sur cette affaire n’est cependant pas terminée et la police se livre actuellement à d’autres investigations, sur commission rogatoire.

Un blessé

D’après plusieurs témoignages sur place, cette bagarre a été particulièrement violente : « On a l’habitude de ces bagarres de fin de nuit, les week-ends, raconte un riverain, dont l’appartement donne sur la place de Verdun. Mais cette fois, ce n’était pas comme d’habitude. J’ai entendu des gens hurler, insulter aussi et puis il y a eu un ‘ pet’, comme si on fracassait une vitre de voiture. ça faisait tellement de bruit que je suis allé à la fenêtre. Et là, j’ai vu des gens courir partout : ça allait, ça venait, ça repartait. ça cognait aussi de partout. Un jeune est tombé par terre et il y est resté un bon moment. Au moins cinq minutes. Il y avait du sang par terre autour de lui. Et puis, la BAC (NDLR : Brigade anti-criminalité) est arrivée et les pompiers aussi. Le jeune a été emmené dans l’ambulance des pompiers. Sans doute ils l’ont conduit à l’hôpital. C’était chaud cette fois. Il y avait beaucoup de monde dans cette bagarre, au moins 20 ou 30 personnes. ça tapait dans tous les coins, c’était vraiment violent, beaucoup plus que d’habitude ».

Source: http://www.ladepeche.fr/

Via Henri...

Emeutes: la « leçon » de 2005 oubliée…

Paris 2005 ou Londres 2011 ?

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Ce qui se passe en Grande Bretagne aujourd’hui nous remémore ce qui a embrasé la France en 2005. Mais il n’est pas impossible du tout que les émeutes de Londres traversent le « Channel », puis qu’aucune leçon n’a été retenue de ces actes barbares ayant un relent de guerre civile…

FDF

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Qu’ont retenu les dirigeants français des émeutes de 2005 ? Rien !

On se souvient que du 27 octobre au 17 novembre 2005, durant trois longues semaines, notre pays fut la proie de violentes émeutes qui embrasèrent des dizaines de villes et se soldèrent par la destruction de 10.000 voitures, 300 écoles, nombre de bâtiments administratifs et d’entreprises, essentiellement situées dans les « quartiers sensibles ». Le détonateur sera la mort de deux jeunes garçons, Bouna Traoré et Zyed Benna, âgés de 15 ans, qui, à Clichy-sous-Bois, se réfugièrent dans un local EDF en fuyant devant des policiers qui ne les poursuivaient pas.

Certains avancent la thèse que, en plein ramadan, une grenade lacrymogène lancée par les forces de l’ordre aurait atteint la mosquée de Clichy-sous-Bois, et que cet événement aurait été le déclic supplémentaire qui aurait aggravé les tensions. Le témoignage du maire de Montfermeil, Xavier Lemoine, est intéressant :
« Je descends, j’arrive à la caserne de pompiers et Claude [Dilain] me rejoint quasi instantanément, on prend la voiture. On arrive sur les lieux et tout de suite on voit que l’on est passé à autre chose. Ce qui m’a frappé c’est l’ambiance qui régnait dans la mosquée, j’ai eu le sentiment que l’on était dans une autre dimension. La mosquée était pleine de gaz lacrymogène, on peut contester tout ce qu’on veut sur la façon dont les gaz sont entrés, mais il y en avait plein, tout le monde pleurait. J’ai vu des hommes mûrs, avec chez eux une violence dans les paroles. La colère ne venait plus de la même partie de la population, les jeunes, et j’ai senti que là, il se passait effectivement quelque chose» Selon Claude Dilain, le maire socialiste de Clichy-sous-Bois, « c’est à partir de ce moment-là que les émeutes se sont généralisées à la France entière. ».

Le contexte politique de l’époque aide à mieux comprendre pourquoi, pendant trois semaines, les forces de l’ordre eurent pour consigne de tout faire pour qu’il n’y ait ni blessés, et encore moins des morts, parmi les émeutiers, dont certains leur tiraient dessus à balles réelles. Jacques Chirac était alors président de la République, et Dominique de Villepin son premier ministre. Tous deux n’avaient qu’un objectif : empêcher à tout prix Nicolas Sarkozy, qui était ministre de l’Intérieur, d’arriver à l’Elysée. La stratégie des deux compères fut donc simple : laisser le maire de Neuilly se ramasser sur les émeutes, dont ils le jugeaient responsable pour l’emploi du mot « racailles » quelques mois auparavant. Pas dupe, le ministre de l’Intérieur ne voulait surtout pas d’un nouveau Malek Oussekine, et pensait avant tout à 2007…

Suite et source: http://tinyurl.com/3c43vss

Halalgate. Bienheureux seront les naïfs…

Scandales autour du « halal » de France: les musulmans jettent la faute sur l’Etat… Un peu trop facile, les gars. On ne vous a pas demandé de venir nous casser les pieds avec vos coutumes éculées.

FDF

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Que la Malédiction des consommateurs soit sur les Mosquées de Lyon, d’Evry et de Paris

Les principes républicains ne sont pas utiles pour comprendre que la situation désastreuse du marché halal est la conséquence d’un choix politique. C’est bel et bien l’Etat français qui a favorisé ce système trinitaire du halal DE France, reposant sur les 3 exceptions accordées à trois mosquées du pays. Seules les mosquées de Paris, d’Evry et de Lyon disposent du privilège de délivrer des cartes de sacrificateurs et de former ces derniers. Ainsi on nous assure des productions prétendument « halal » émanant de certains abattoirs de France.

Avant ces privilèges, accordés comme des cadeaux politiques à trois recteurs autoproclamés, c’était les préfets qui étaient en charge de la délivrance de ces autorisations, de ces cartes de sacrificateurs du « halal ». Le préfet laïc et neutre, puisque haut fonctionnaire d’Etat soumis à la réserve, devait puiser dans le corpus juridique musulman pour consacrer les aptitudes du futur sacrificateur musulman. Cela ne faisait pas très laïc et il fallait se débarrasser de cette incohérence notoire. Un préfet ne pouvait que se baser sur les lois de la République et non plus celles du Noble Coran.

C’est Charles Pasqua, l’ancien mentor politique de Nicolas Sarkozy, qui le 24 décembre 1994, par circulaire ministérielle de l’Intérieur,  accordait la première exception, le premier monopole à la Grande Mosquée de Paris concernant la certification halal et la délivrance de cartes de sacrificateurs sur le territoire français.

C’était la naissance d’un monopole, une souche fertile de ce grand mal dans le marché du halal. En effet les exceptions accordées aux trois grandes mosquées ont créé un déséquilibre de la concurrence. Le système est biaisé, faussé dès le départ. Aucun abattoir de France ne peut embaucher de sacrificateurs autres que ceux habilités par les mosquées de la trinité du halal.

Les ministères de l’agriculture et de l’Intérieur sont concernés par ces habilitations délivrées à ces trois mosquées, plutôt à ces trois structures « claniques » ou « privées ». Quand des habilitations halal sont attribuées par des ministères français, c’est que ces derniers ont surement prévu des clauses d’annulation pour fautes graves.

Les grandes mosquées de France ne devraient pas manquer de se mobiliser autour de cette injustice devenue trop gênante et pénalisante pour le consommateur musulman français. Ces trois habilitations à défaut de disparaitre ne doivent plus constituer des exceptions dans le paysage islamique de France.

La défense du droit des consommateurs est plus intéressante au niveau européen. La France pourrait répondre du fait d’avoir favorisé 3 mosquées qui se partagent aujourd’hui le marché du halal français. Il y a certainement matière à démontrer que dans le cadre de la concurrence, il existe une inégalité de traitement favorisée par des autorités étatiques.

Le Conseil Français du Culte Musulman de France est justement fondé sur le même principe, il favorise quelques grandes mosquées, quelques recteurs autoproclamés, sur lesquels l’on projette toutes les lumières médiatiques pour faire oublier le reste du décor.

In fine, nous rejoignons la réflexion générale de Claude Guéant concernant le Faux halal. Que la France fasse appliquer ses lois et cesse de se compromettre dans le business du faux halal en permettant à 3 mosquées de jouir d’une réputation qu’elles ne méritent pas, car participant toutes aux tromperies généralisées du faux halal et touchant des millions de consommateurs musulmans français.

Source: http://www.cfcm.tv/