Francaisdefrance's Blog

10/08/2011

Insécurité: Personne n’est à l’abri…

Il est triste et révoltant de constater que maintenant, en France, pour quelques euros, on peut perdre la vie. Le laxisme pratiqué en matière de répression de la délinquance porte ses fruits. On ne va quand-même pas laisser ces rebuts de la société dicter leur loi, non? Mais un grave problème subsiste en France: il est INTERDIT de se défendre soi-même. Lamentable…

A quand le retour des fusils cachés derrière le comptoir?

FDF

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L’agression sauvage du bar-tabac le Select filmée par les caméras de surveillance (Vidéo)

« La Dépêche du Midi » s’est procuré les images de la violente agression à la barre de fer, sur un client et une serveuse dans le bar-tabac Le Select, le 1er août, à Toulouse. La scène peut choquer les esprits sensibles.

Vidéo : Sauvage agression du bar-tabac le Select filmée par les caméras de surveillance

Sauvage agression du bar-tabac le Select filmée par les caméras de surveillance

La scène ne dure qu’une poignée de secondes. Mais les images enregistrées par une caméra vidéo du bar-tabac, Le Select, en plein centre-ville, à Toulouse, sont d’une violence inouïe. Sur cette vidéo que « La Dêpêche du Midi » s’est procurée, on voit un homme armé d’une barre de fer frappant violemment un client qui s’écroule au sol. L’agresseur s’en prend ensuite à une jeune employée du bar qui se trouve derrière le comptoir. Elle est rouée de coups et tente de fuir en rampant en direction de la remise. Cette scène d’une rare violence et peu habituelle dans les cafés de la ville s’est déroulée lundi 1er août, vers 9 h 30, à l’intérieur du bar Le Select, rue Romiguières.

Hier soir, le principal suspect de cette double agression a été mis en examen pour vols avec arme et placé en détention provisoire après une enquête bouclée par les policiers de la sûreté départementale. Sans domicile fixe, ce suspect d’une trentaine d’années, en quête d’argent facile, est aussi soupçonné d’avoir dérobé des cartouches de cigarettes ainsi qu’un fond de caisse. Les policiers ont également interpellé une complice, également écrouée hier soir, qui était accoudée au bar ce jour-là et dont le visage était dissimulé sous une capuche. Le client, victime du premier coup, souffre d’une fracture aux vertèbres cervicales. Il devra porter un corset pendant plusieurs jours. La jeune serveuse de 23 ans, étudiante en droit, s’est fait poser plusieurs points de suture sur le crâne. Elle est traumatisée. « Elle avait l’habitude de travailler l’été dans ce bar pour financer ses études. Aujourd’hui, elle doit tout arrêter », témoigne son avocat, Me Raynaud de Lage. Au Select, l’émotion et l’incompréhension dominent. Les premières pensées vont en direction des victimes. « J’espère qu’ils vont s’en remettre, soupire un employé. Ici, il n’y a jamais eu d’embrouilles. »


Le couple écroué

Le parquet a ouvert une information judiciaire et a confié la suite des investigations au juge Philippe Colson.

Hier soir, le principal suspect, un SDF, a été écroué ainsi que la jeune femme présente dans le bar le matin de l’agression. Tous les deux ont été mis en examen pour vols avec arme, une qualification criminelle.

Source: http://www.ladepeche.fr/

Halal: Boubakeur défend son beefsteack…

Toujours en train de gueuler, les muzz… C’est fatiguant, c’est usant.

FDF

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LA «BOUFFE» HALAL PROVOQUE DES VAGUES EN FRANCE

Les accusations portées par une chaîne de télévision française contre la licéité de sa certification halal, ont fait réagir la Grande Mosquée de Paris qui dénonce ce reportage qu’elle juge calomnieux et partial.

Entre la Grande Mosquée de Paris et la chaîne de télévision française, Canal+, auteur du reportage ayant mis en doute, la veille du mois de Ramadhan, la licéité de sa certification halal, la polémique enfle. Dans une mise au point rendue publique, la Mosquée de Paris dénonce avec véhémence cette campagne calomnieuse et les allégations portées contre la licéité de sa certification halal. Réagissant vivement à une information relative aux traces d’ADN porcines qui auraient été trouvées dans un lot de saucisses, la Mosquée de Paris avait apporté un démenti formel, précisant que la rumeur est infondée et que la contre-expertise rigoureuse qu’elle avait demandée à un laboratoire européen de renom a invalidé cette rumeur.
La Mosquée de Paris ajoute que les lots de produits en question avaient été soumis à une analyse extrêmement poussée et que le reportage avait omis de le signaler. Evoquant cet épisode, elle affirme que le responsable du blog à l’origine de cette polémique a fait l’objet d’une plainte qui a été déposée en février dernier par son organisme partenaire afin qu’il explique quant à la méthode qu’il a utilisée pour analyser le lot de saucisses suspect. «A ce jour, le responsable du blog n’a toujours pas répondu à cette question et son partenaire financier est en dépôt de bilan. L’affaire est toujours pendante devant le tribunal de Nantes», précise le communiqué.
En outre, la Grande Mosquée de Paris ne compte pas s’arrêter là et déclare se réserver tous les droits de demander réparation devant les tribunaux. Il reste que cette affaire qui a déclenché une grande polémique, a suscité la réaction d’une vingtaine d’élus de la diversité qui ont décidé, en ce début de Ramadhan, de faire campagne pour faire cesser le tapage fait autour de la licéité de la certification-halal et ouvrir un vrai débat concernant le marché halal en France. «Il est grand temps que la certification halal soit labellisée au même titre que les produits bio, pour lever la suspicion qui entoure les produits censés être licites destinés à la communauté musulmane», avait déclaré, à l’APS, un élu à la Courneuve suite à ce reportage.
Pour ne pas être en reste, l’Union des associations musulmanes de Seine-Saint-Denis a relevé, quant à elle, que les pouvoirs publics et les tribunaux français invoquent la laïcité et le vide juridique causé par l’absence de précision du halal musulman pour refuser de constater et de condamner les contrevenants.
Prié de s’expliquer sur cette affaire qui tombe comme un cheveu sur la soupe, ainsi que sur la revendication des élus issus de la diversité qui réclament une commission d’enquête parlementaire, le ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, estime que l’Etat français n’a pas à s’immiscer dans les affaires religieuses, considérant que l’Etat français est un Etat laïc et il ne lui appartient pas d’être l’instrument de l’organisation d’une pratique religieuse, dit-il. Non sans préciser que «l’Etat avec ses services de la concurrence et de la consommation a une responsabilité pour qu’il n’y ait pas de tromperie sur la marchandise. Il y a donc possibilité d’introduire des recours et de déposer des plaintes». Selon une enquête publiée par le cabinet de conseil Insights symphonie IRI Group, le chiffre d’affaires des produits halal vendus en magasin s’élève à 140 millions d’ euros, soit une augmentation de 23% pour un marché qui est estimé à 5,5 milliards d’euros.

Source: http://www.lexpressiondz.com/

« Chance pour l’Angleterre »…

Mark Duggan, le malheureux manifestant tombé à Londres lors d’émeutes que l’on a bien plus l’habitude de voir en France, avait tout de la « petite frappe ». Ce type était loin d’être un saint…

Et comme en France, sa mort a servi de déclencheur à toute une série d’autres violences et pillages… Mêmes prétextes, mêmes punitions. Mais il semble que la « perfide Albion » résiste fermement par la force à la violence urbaine. Là, ce n’est pas comme en France…

FDF

Les deux visages de Mark Duggan

Crédits photo:DR.

Le décès de cet homme de 29 ans, tué par la police, est à l’origine des émeutes qui secouent le Royaume-Uni depuis plusieurs jours. Il est à la fois décrit comme un «gangster» et «un bon père de famille».

Cheveux courts, regard de défi, chevalière en diamants, mains croisées et index pointés, comme deux canons de revolver: ainsi apparaît, tel un rappeur, Mark Duggan sur l’une des deux photos publiées sur la page Facebook conçue par ses amis après sa mort. L’autre montre un jeune Noir de 29 ans, accroupi dans un cimetière, les mains sur les épaules de sa compagne, devant la tombe de leur fille, mort-née il y a 2 ans. C’est le paradoxe Mark Duggan, décrit à la fois dans la presse britannique comme un «gangster», un «voyou bien connu des services de police», «un dealer de crack», et par ses proches comme «un bon père de famille».Habitant de la cité ravagée par le chômage et le crime de Broadwater Farm Estate à Tottenham, ce père de quatre enfants, également connu sous le nom de «Starrish Mark» (Mark la Star), avait été placé sous surveillance par la police de peur qu’il ne cherche à venger le meurtre de son cousin rappeur. Selon le Daily Mail, Mark Duggan aurait été membre des Tottenham Man Dem, un gang du nord de Londres lié aux «Yardies», les criminels jamaïquains responsables d’une série de meurtres dans la capitale, avant de créer son propre groupe, les «Star Gang». Les circonstances exactes de son décès jeudi dernier sont encore loin d’être claires…Source: http://www.lefigaro.fr/

Grosse poilade: le ramadan américain.

Pour une fois que l’islam me fait éclater de rire, ce serait un manquement intolérable de ma part de ne pas vous en faire profiter. J’en pleure encore. Lisez ce qui suit…
FDF

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Tartuffe et le ramadan américain

L’islam n’échappe pas à l’esprit pratique des Bondynois. Quelques musulmans du cru, pieux en apparence, ont une façon tout à eux de concevoir leur religion. A les en croire, on peut faire pouce pendant le mois de jeûne, et caché dans les buissons, faire sa fête à un sandwich.


Certains Bondynois pratiquent l’islam comme si l’archange Gabriel avait préféré le sable de Malibu Beach à celui de La Mecque, pour dicter le Coran. Preuve en est cette pratique religieuse que le monde entier nous envie : le ramadan américain. Forme typiquement locale de l’ascèse qui permet de casser le jeûne avec un Bounty, caché dans un buisson à midi, ou de chercher du pétrole dans la bouche de sa petite amie, 5 heures avant le coucher du soleil.

A ce propos jeunes filles, tentées par l’expérience exotique du petit ami maghrébin doublée du syndrome de Stockholm du petit copain bondynois rustre au possible ; ayez une petite pensée pour votre tendre et cher : ne vous brossez pas les dents si vous mangez du jambon Aoste à midi. Le ramadan américain permet cet échange de chocolaterie rose bonbon entre amoureux. C’est même mieux de faire ainsi d’après cheikh Roger, imam de la mosquée Le Tizi Ouzou, salle de prière, bar tabac Pmu.

Le ramadan Los Angeles déborde parfois sur d’autres pratiques de l’islam. Mon ami Driss Ahmoudi sans vouloir le dénoncer – 103 rue des acacias, Cités des fleurs, étage 8, porte à gauche, chambre du fond, lit du haut,  07 33 21 45 78, sexymuslim@gmail.com, mot de passe : fleurymichon44 – fait ses cinq prières par jour en short jaune et en maillot du PSG avec dans les oreilles, la musique de Flash Dance poussée à fond.

Une fois immergés un temps assez long dans l’ambiance déjantée de notre ville, une grosse poignée de musulmans semblent avoir reconsidéré les termes du contrat qui les lient à la Umma (communauté des croyants). Ils pratiquent une nouvelle forme de leur religion : l’islam Adecco.

L’islam Adecco c’est Manpower, la religion par intérim, on coche les pratiques auxquelles on veut se soumettre et on laisse au placard celles qui nous ennuient. Faire ses cinq prières par jour tout en collectionnant les cuites est possible à Bondy, et personne ne s’étonne plus de voir une jeune midinette débouler en mini-jupe dans la mosquée pour chercher son boy-friend après la prière du vendredi.

Ces adeptes du Coran Folio Junior choisissent de pratiquer en intérimaire pendant un moment donné, lors d’un coup de blues ou durant le ramadan, estimant qu’il est plus grave de pécher durant ce moment fort de la spiritualité musulmane. L’impact de cet usage est directement observable : l’explosion des ventes de préservatifs sur notre territoire, une fois le mois sacré achevé. Les bouchons sur la National 3 sont aussi un corolaire de cette pratique : les routes vers Amsterdam sont prises d’assaut dès le jour de l’Aïd.

Le ramadan américain, l’islam Adecco, je sais, vous allez dire : encore une de ces idireries fruit de mon imagination qui a la gastro. Mais pas du tout !  Sur le courant électrique, j’ai vu cette hérésie se répandre dans Bondy comme une goute de diabolo versée dans un demi-verre d’eau. Moustafa Meziani, camarade de seconde, fut le premier à pratiquer le ramadan du buisson au grand jour, il y a un peu plus de dix ans de cela. Faut dire,  je l’ai un peu aidé à faire son coming out.

Nous étions à l’époque tout deux au lycée Jean Renoir. En plein ramadan, cet excellent tribun de la plèbe, passa  la récréation du matin à vanner, avec grand  talent, les Kabyles sur leur supposée mauvaise pratique de la religion ; bien que cette région doit compter, au bas mot, une mosquée pour 15 habitants, bâtie au frais du fidèle, bien sûr. Le public hilare approuvait, car il reconnaissait à Moustafa une certaine autorité sur la question : son père est imam, il prie depuis qu’il a 11 ans, et sa grande sœur a épousé un acteur kabyle, premier rôle dans les pubs pour les saucisses Herta.

Sans rien dire, j’ai laissé ce religieux me tailler, à moi et mes ancêtres, un costume que n’aurait pas renié Papa Wemba, pape congolais de la sapologie. J’avais pourtant à l’époque un excellent verbe, mais à quoi bon rétorquer ? Molière m’avait, en classe de sixième, fait la leçon sur les faux dévots. Car Moustafa est un Tartuffe, ça se voyait gros comme un porte-avion. Il prêchait l’islam comme un commercial de téléphonie. A l’époque, être pratiquant c’était être dans le vent au lycée. Or la religion, c’est comme les frites Mc Cain : c’est ceux qui en parle le moins qui ont font le mieux. Le dalaï-lama, Jean-Paul II et Rabbi Jacob partage cette qualité que possèdent tout bon croyant : l’humilité. Moustafa, qui affirmait descendre du prophète par sa mère, en manquait un poil de barbe.

Pourtant, c’est celle du père Noel adolescent qu’il portait ostensiblement. Autre preuve de sa grande foi, il avait  tuné son tapis de prière fluo avec des diodes rouges sur le côté pour que personne n’ignore sa dévotion. Conclusion : ça sent le souffre. Il y a anguille sous roche, voire cachalot sous rocher. C’est le syndrome Lancelot. Ce modèle de vertus chevaleresques, n’a-t-il pas essayé de serrer la femme de son meilleur ami et roi ?

Toute vérité se sait un jour, des fois dans l’heure. La récréation venait à peine de s’achever que j’ai dû m’absenter du cours de chimie pour déposer des amis à la piscine, si vous voyez ce que je veux dire. Non vous ne voyez pas? Bon… J’étais parti faire caca. Le ramadan agit sur mon transit intestinal comme le chassé croisé juillet/août sur l’A6.

Pendant que je faisais mon affaire, j’entends un petit bruit dans les chiottes d’à côté. Un léger bruissement de feuille, inaudible pour le commun des mortels. Mais un ado en pleine croissance, et surtout en plein ramadan, qui habituellement bouffe en une semaine son poids en kebab, sait reconnaître le son d’un Bounty chocolat blanc qu’on ouvre, à 15 kilomètres à la ronde. Je me serais dis : « Encore un crevard qui bouffe en Chleuh», si je n’avais pas entendu en sus, ce petit bruit de bouche, expression d’une délectation souveraine, le même que je fais chaque soir à la rupture du jeûne. Mais si, c’est bien sûr ! Dans les latrines d’à côté, on casse le ramadan, en furet, à la ragondin, en plein cagnard,  à 14 heures, sans que Dieu et Radio Beur l’aient permis !

De la mécréance dans ce lieu sacré pour tous les hommes de la terre, quel horreur ! Tel un sultan sur son trône, je m’insurgeai dans les cabinets contre toute cette diablerie. C’est vrai quoi, le ramadan vous vous en tapez peut être le cul par terre les infidèles, mais admettez : on ne mange pas ou on chie. De Vishnou au culte d’Apple, ça change pas la règle ça, merde !

Le djihad peut commencer dans les endroits les plus impromptus de ce bas monde. Séance tenante, j’interrompis le coulage de mon bronze, remonta mon pantalon avec la vélocité d’un amant qui entend du bruit dans le couloir, me positionna façon ninja en face de la cabine du crime et lança du fond de la gorge un vigoureux « Allah Wakbal ! » avant de foutre un gros chassé dans la porte des chiottes d’à côté.

Le verrou s’envola dans les airs, un Bounty à moitié commencé aussi, et Moustafa, la bouche couverte de chocolat, péta de terreur. Je n’avais pas encore ma carte de presse, mais déjà, je savais reconnaitre un scoop. Celui-ci était un dossier façon KGB. La bibliothèque François Mitterrand en vannes. Un mec qui gueule sa pratique orthodoxe de l’islam jusqu’à la nausée, surpris en faute tel Gargamel sifflant de la salsepareille et bécotant la Schtroumpfette au lieu de la bouffer… A 17 ans, la vie de Mostafa était finie.

« Je manque de fer, j’ai une ordonnance du médecin ! », supplia presque ce musulman Randstad.  Faisant fi de ce pathétique mensonge, je répondis au taquet : « Arrête Moustafa. Tu sais, ça arrive à tout le monde de craquer. T’inquiète, on est tous les deux Algériens mon frère, ça reste entre nous…».

C’est immensément soulagé qu’il retourna en cours de chimie me laissant avec 4 kilos de louanges sur ma bonté. C’est vrai, j’ai un très bon cœur, mais un cœur de Kabyle. Celui-ci n’a pas super bien goûté les saillies de Moustafa à la récré sur Matoub Lounes, chanteur berbère sacrifié sur l’autel de la liberté et homme sacré pour nous. « Si l’on te fait du tort, souffre et tais toi. Mais si tu es un homme souviens-toi », disait-il dans une chanson.

Je rejoignis plus tard mes camarades en cours de chimie, en sifflotant de la musique kabyle comme si de rien. J’arrivais au moment ou la prof demanda à la classe de réciter la formule du saccharose. Comme pour m’excuser de mon absence, ma main se leva. Moustafa, arrivé un peu avant moi, me souriait. J’étais devenu en l’espace de deux minutes son meilleur ami.

La prof me donna la parole : « Pour la formule du saccharose, demandez à Moustefa, il y en a plein dans le Bounty qu’il vient de manger en cachette dans les toilettes !» dis-je en montrant la preuve du délit, que j’avais pris soin de ramasser, à toute la classe.  Ce magnifique coup d’hallebarde dans le dos de mon camarade fit rire aux éclats cette dernière, prof y compris. Lui je crois qu’il pleurait. Un tombereau de vannes s’abattit immédiatement sur sa tête. Sa couverture de pieu musulman était tombée comme un château de carte bâti sur du verglas.

La prof de chimie qui détestait Moustafa, parce qu’il avait fait tourner dans la classe une pétition pour avoir de la viande halal à la cantine, saisit, telle Jeanne Azuki, la balle au bon. Dès que la classe se calma un peu, elle dit: « Faites voir Idir. Oui tout à fait, d’après l’emballage de ce Bounty que vient de manger Moustafa – en cachette – il y a du saccharose. Une bouchée couvre les besoins en sucre d’un sportif de haut niveau pour la journée. La formule donc est, Moustafa, petit mécréant, comme  vous en avez plein l’estomac, on vous écoute ? Vous ne dites rien ? Vous ne savez pas ? 0/ 20 ! »

De l’eau a coulé sous les ponts depuis cette histoire, Moustafa est devenu quelqu’un de très bien, moins grande gueule et plus logique dans sa pratique religieuse. N’empêche que 13 ans après on continue encore à le vanner à la mosquée pour cette histoire. Les dossiers sont des séquoias à Bondy, ils ont la vie dure.

Ceux qui font l’histoire, ou la raconte, partagent un point commun : il parle toujours aisément de la paille qui se trouve sous les paupières des autres mais jamais de la poutre qu’ils ont dans l’œil. Une fois n’est pas coutume, je me lance ! J’ai dit un jour au petit Bassidji iranien, délateur et gardien des bonnes mœurs, qui sommeillait alors dans le creux de mon estomac vide, d’aller se faire cuire bien fort un œuf d’autruche… En 2008, deux jours avant la fin du mois sacré, j’ai fait le ramadan américain en téléchargeant L’Hôpital sans culotte 3 sur émule. Mais attention ! J’ai attendu l’Aïd pour le regarder…

Source: http://yahoo.bondyblog.fr

Ramadan et sexualité: les délires de l’islam…

Mais qu’est-ce qu’ils se compliquent la vie… Des « oui », des « non », des « peut-être », des « c’est selon »; Tout ce que l’on peut retenir de ces propos c’est que la journée on ne mange pas, on ne boit pas, on ne b…. pas. Mais alors, une fois la rupture du jeûne entamée, c’est la grosse orgie. Mais sous l’oeil bienveillant d’Allah, bien sûr… Ca ne m’étonne pas que les intégristes arrivent, en suivant les préceptes du coran, à se sentir frustrés au plus haut point et de défoulent par le viol…

FDF

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Le quatrième « pilier » de l’islam dès la « rupture du jeûne »…

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Mois de Ramadan : La sexualité pendant le jeûne

« La sexualité, en dehors de la copulation, n’a pas d’interdit pendant la journée du mois de Ramadan et la femme indisposée peut préparer le repas du jeûneur ».

Ces propos de l’Imam Ismaël Tiendrébeogo du Centre d’étude, de recherche et de formation islamique (CERFI) et de l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB), résument la conduite sexuelle que doivent observer les adeptes de Mahomet pendant la durée du quatrième pilier de l’Islam.

Egalement auteur de l’ouvrage ‘’La sexualité du couple : conseils pratiques pour une vie de couple plus épanouie’’ publié en 2008, notre interlocuteur énumère dans l’entretien qui suit des comportements recommandés pour cette période où certaines pratiques de la vie courante requièrent des mesures particulières.

« Beaucoup de gens, y compris des musulmans, se posent souvent la question de savoir si les rapports sexuels sont tolérés ou interdits pendant le mois de Ramadan ?

Pendant le mois de Ramadan, les rapports sexuels sont interdits pendant la durée de jeûne que l’on observe, lequel est fait de trois abstinences principales : l’abstinence de manger, celle de boire et celle de la copulation. Mais la copulation est concernée seulement durant la journée de ce mois. Dès qu’on rompt le jeûne, pour peu qu’on ne soit pas en retraite pieuse pendant les dix derniers jours du mois, il n’y a pas d’interdiction à avoir des relations sexuelles avec son conjoint.

Donc le couple peut continuer à avoir des relations sexuelles ; il doit seulement respecter la tranche consacrée à l’abstinence de manger et de boire ?

Avant la fin du jeûne, la sexualité peut prendre une autre forme. Elle peut être traduite en des embrassades comme le faisait le Prophète, en des propos doux à l’endroit de son conjoint, l’homme peut aussi aider sa femme dans la cuisine et la femme peut s’intéresser à ce que l’homme fait. La sexualité, en dehors de la copulation, n’a pas d’interdit pendant la journée du mois de Ramadan. Il n’est pas non plus interdit d’autres formes de sexualité avec son épouse qui est dans son cycle menstruel à condition bien sûr d’éviter la copulation. On va donc se départir de toute pratique qui va jusqu’à une excitation sexuelle productive, c’est-à-dire qui fasse éjaculer l’homme ou lubrifier la femme ; dans ce cas, il y a rupture du jeûne.

Existe-t-il d’autres types de rapprochements, ou de marques d’affections recommandés aux couples pour le mois de Ramadan ?

En dehors des aspects que nous connaissons comme étant des formes de sexualité, l’islam a voulu que dans la vie de couple, l’homme et la femme vivent une certaine harmonie. Au temps du Prophète, il se lavait avec son épouse Aïcha et il faisait même des courses à cheval avec elle. Une fois, il a pris le pagne taché de menstrues, ce que nous les hommes nous considérons habituellement comme sale, et par amour pour sa femme, il l’a lavé. Le lendemain, Aïcha était étonnée de voir que malgré le statut de son mari devant Allah et devant les hommes, cela ne l’a pas rendu orgueilleux au point de ne pas rendre service. Elle disait que chaque fois que le prophète revenait à la maison, il était disponible pour aider les uns et les autres, il jouait avec tout le monde et c’est lorsqu’on annonçait la prière qu’il s’en allait. Et cela devrait être le comportement de chaque musulman car le Coran nous dit dans la sourate 33 que « vous avez en le Messager un excellent modèle pour quiconque croit en Dieu et espère au jour dernier ».

Mais pour ceux qui ne sont pas mariés, comment doivent-ils vivre leur sexualité pendant cette période ?

Le verset 32 de la Sourate 17 nous dit : « N’approchez pas de la fornication, c’est une voie pernicieuse et un chemin plein d’embûches ». Même en dehors du mois de Ramadan, il est interdit d’avoir des rapports sexuels avec une personne avec laquelle on n’est pas marié. Le Prophète a dit dans un Hadith que « l’homme commet un péché aussi pire que celui de déposer sa semence dans un réceptacle illicite ». Autrement dit, le fait de produire sexuellement dans l’appareil génital d’une personne avec laquelle on n’est pas marié religieusement.

Le cycle hormonal de la femme requiert des dispositions particulières pour certains rites de la religion. Déjà, dans quelles conditions dit-on qu’une femme est indisposée en Islam ?

La femme indisposée est celle-là qui est dans son cycle menstruel ou qui est dans ses lochies, c’est-à-dire le sang que la femme perd après l’accouchement jusqu’au retour des couches. Certains musulmans estiment cela à quarante (40) jours après l’accouchement et d’autres pensent qu’ils sont un phénomène physique, et il faut juste constater son interruption pour commencer son cycle de prière, son jeûne et les autres cultes. Pour la femme qui se trouve dans son cycle menstruel, il suffit d’attendre la fin de l’écoulement du sang, elle se purifie en se lavant et elle recommence ses prières. Mais il arrive des moments où certaines femmes sont perturbées par un type d’écoulement de sang conduisant à une confusion entre le sang menstruel et le saignement d’une hémorragie ordinaire. Là, les savants musulmans disent de vérifier. S’il s’agit d’une femme réglée au préalable, de prendre la moyenne de ses règles car il se pourrait qu’il s’agisse d’un saignement hémorragique. Mais au-delà d’une semaine, il est conseillé d’aller en consultation car cela pourrait cacher des déséquilibres hormonaux ou une hémorragie qu’elle fera mieux d’arrêter avant que ce ne soit plus grave.

Une femme indisposée peut-elle alors observer le jeûne ?

Elle ne peut pas faire le jeûne, ni la prière, ni certains rites du pèlerinage. Elle s’en abstient jusqu’à ce qu’elle se purifie du sang de ses menstrues ou des lochies. Et elle n’a pas à rattraper les prières qu’elle a ratées du fait de ses menstrues. Mais pour ce qui est du jeûne, elle doit rattraper une fois que le Ramadan est passé. Elle doit rattraper les jours qu’elle a ratés, et accessoirement jeûner pendant les six (06) jours subrogatoires suivant immédiatement le mois de Ramadan. Elle doit jeûner les trente jours et les six jours du mois de Chawwal (Ndlr : 10e mois du calendrier musulman) pour faire trente-six jours. Comme le Prophète lui-même nous a dit, chaque œuvre est récompensée au décuple pendant le mois de Ramadan. Pour les trente-six jours de jeûne que nous allons observer, Allah va nous donner la récompense de celui qui aura jeûné pendant une année soit 30 jours + 6 x 10 = 360, à peu près donc l’année entière. Elle ne rattrape pas les prières mais elle doit rattraper le jeûne de préférence avant le prochain Ramadan. L’épouse du Prophète, Aïcha, le faisait juste dans la période précédant le Ramadan, c’est-à-dire Chaabane (Ndlr : 9e mois du calendrier musulman).

Est-ce que dans cet état d’impureté, la femme peut faire la cuisine pour son mari ou pour tout autre jeûneur ?

Quand on parle d’impureté, ce n’est pas la personne elle-même qui est impure, mais l’écoulement sanguin. Comme le sperme, l’urine, les selles, ce sont des éléments qui sortent du corps de l’homme dont le séjour prolongé en lui est source de douleur ; pour l’homme, ce sont ces éléments qu’on appelle souillure en Islam. Ce n’est pas la personne elle-même mais ce qui sort d’elle. Quand on dit qu’elle ne peut pas prier, cela ne veut pas dire qu’elle ne peut pas préparer ou faire autre chose. En dehors de cela, elle peut préparer pour son mari, elle peut traverser la mosquée, elle peut lire le Coran si l’interruption va perturber son processus d’apprentissage, elle peut réciter des versets pour se protéger. Il n’y a pas une interdiction absolue mais des réaménagements particuliers de ses actes d’adoration notamment ses prières et son jeûne.

Toutes ces dispositions ne peuvent-elles pas ébranler la foi des femmes ?

Pour ce qui est des menstrues, souvent les femmes ne sont pas souvent contentes de perdre un peu l’élan, de perdre des jours dans le mois de Ramadan. Mais, il faut rappeler que ce n’est pas un sort qu’Allah leur jette, mais, il a voulu que leur cycle hormonal fonctionne de la sorte. Elles pourront rattraper leur jeûne après le mois de Ramadan et, finalement, elles n’auront rien perdu. Pour celles qui ne voient pas leurs règles, il se peut que cela relève du fait qu’elles soient enceintes ou qu’elles allaitent. Si l’allaitement ou la grossesse peut être perturbé par le jeûne, on va inclure la femme dans la catégorie de personnes exemptées de jeûne. Elle va compléter le nombre de jours qu’elle aura manqués. La pratique en Islam ne nuit pas à la santé ou au bien-être de l’individu ; bien au contraire, on prend cela en compte au préalable avant de proposer quelque chose, comme Allah le dit : « nous n’avons pas mis de gêne dans votre religion » »

Ouf, on arrive au bout. Vous vous souvenez du début?

FDF


Emeutes à Londres: toute la racaille n’est pas en France…

Ca rassure un peu. On a pu constater dans divers reportages, que les émeutes dont souffrent les londoniens se suivent ou s’accompagnent de pillages. Et on voit bien que les auteurs ne viennent pas de Norvège, ni de Suède. Car on en distingue bien, des « capuches ». Les « bienfaits de l’immigration », comme on dit en France…

FDF

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Une des vidéos: http://youtu.be/yguxXVmiS0E

Méli mélo de caricatures…

Force est de constater qu’il y en a des « sévères »…
FDF

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Voir: Les caricatures qui ont marqué l’actualité – christiane

Le site de la CAF…

Bel exemple de discrimination… Merci à Jean-Patrick Grumberg de nous avoir déniché cette preuve flagrante…

FDF

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Site de la CAF: qui est au fond de la photo et qu’on ne voit presque pas ?

Une photo vaut mieux que mille mots. Et celle-ci fait mal. Elle vient du site internet de la Caisse d’Allocations Familiales.

On y voit quatre jolis bambins. Oui quatre et pas trois. Regardez bien, au fond, à droite, celui qu’on ne voit presque pas : c’est une tête blonde. Les autres, au centre, en gros plan et qui regardent droit la caméra, ce sont deux petits maghrébins et un africain.

Trois enfants issus de l’immigration africaine, et un enfant blanc. La démographie en image : les gens de souche française ne font plus assez d’enfants, ils ne prennent pas leur destin en main, leur destin leur a échappé, et ils accusent les autres, sans assumer la moindre responsabilité.

Pire encore. L’enfant blanc est flou, comme s’il allait disparaître. D’ailleurs il est le seul situé sur le bord de la photo : dans un instant, il ne sera plus dans le champ. Il ne sera plus dans la France. Les autres sont immobiles : eux sont là pour rester, et ils nous regardent droit dans les yeux. Ils sont l’avenir de la France. 

On doit, cependant, regarder cette image encore mieux, si l’on veut trouver les mille mots qui s’y cachent. 

Le petit blond est en mouvement. Il sort du champ, il sort de la France, mais il est en mouvement : il avance. Vers d’autres horizons. Il va faire comme les parents des ces enfants immigrés : il se dirige vers un futur meilleur. Ailleurs. Ailleurs qu’en France. C’est triste d’abandonner la France, mais ses parents sont fautifs. Fuite des cerveaux. Les trois petits africains, eux, sont immobiles. Ils attendent. Ils attendent l’aide de la CAF. Ils sont là pour rester…

Suite et source: http://tinyurl.com/3efwdfh
Confirmation: http://tinyurl.com/44xwulz

Ramadan 2011: pour ceux qui trouvent les journées trop longues…

J’ai pensé à nos « frères » musulmans qui, en cette période de sacrifice et de jeûne (le jour) doivent bien s’ennuyer. J’ai trouvé un jeu concours qui devrait les aider à supporter ces pénibles épreuves. Mais les connaissant, j’en connais plein qui vont encore hurler. Jamais contents…

FDF

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Voir ici: http://tinyurl.com/3kucanb

Des musulmans lancent une pétition contre la construction d’une mosquée !

On aura tout vu. Les querelles intestines se précisent au sein des communautés musulmanes. « Diviser pour régner »… Il est temps pour nous, les résistants, de pénétrer la brèche… On n’attendait que ça…

FDF

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Photo d’illustration

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Angers. Une pétition circule contre le projet de mosquée.

Une certaine Union des musulmans d’Angers fait actuellement circuler une pétition contre le projet de mosquée que soutient l’Association des musulmans d’Angers (AMA). Cette pétition circule sur internet et dans les lieux de prières, actuellement très fréquentés du fait du ramadan.

Composée d’associations et de particuliers, cette Union des musulmans d’Angers estime que le projet actuel est « pharaonique » et qu’il néglige la formation religieuse.

En mai dernier lors d’une réunion très houleuse, l’AMA avait présenté son projet de construction d’une nouvelle mosquée sur le site des Capucins à Angers. Le coût présenté avoisinait les 6,4 millions d’euros HT.

Source: http://www.courrierdelouest.fr/

Pendant que certains peuvent encore en rire…

Il faut bien s’en amuser un peu.
Espérons que la titine ne va pas porter plainte. C’est qu’elle en est capable, la bougresse… (Billet dédié à Francis Néri, actuellement dans les griffes de l’inquisition socialiste…).
FDF

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Lire: Il ne faut pas bousculer Martine

Merci à CH.

L’AME: à savoir, à faire circuler et à méditer…

On le savait déjà. Mais une piqûre de rappel m’a semblé nécessaire… Vous saurez au moins pour qui vous payez la CSG, le RDS et la taxe CMU…

FDF

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Projet de loi concernant les conditions des hospitalisations en chambres particulières : Un forfait journalier de 45 euros sera facturé aux patients désirant obtenir une chambre individuelle. Pourquoi pas ? le confort a un prix, décision qui me parait logique.  SAUF QUE : en seront exonérés les bénéficiaire de la CMU et de l’ assistance médicale d’état ( AME ) dont bénéficient tous les étrangers  qui viennent en France se faire soigner !!! Je n’y croyais pas, mais il existe bien une médecine à 2 vitesses… Les Français, laborieux, silencieux, honnêtes, imposables à souhait… devront se contenter de salles communes. Les fainéants,  les chômeurs  volontaires, les étrangers, les immigrés, les menteurs (auteurs de fausses déclarations, et ils sont nombreux) pourront bénéficier de chambre  individuelles, aux frais de ceux qui croulent sous les impôts, dont la CSG  et le RDS.   Et la taxe CMU payée par ceux qui paient une cotisation de mutuelle .

Bonus: http://www.cmu.fr/site/cmu.php4?Id=8

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