Et pan ! Ca fait mal, ça…
FDF
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ALGER REDEVIENT LA CAPITALE DE LA FRANCE OCCUPEE….
PAR LES ALGERIENS !
Après Giscard et Chirac, Sarkozy remet Alger sur la sellette, comme l’interlocuteur incontournable de la politique française.
Une véritable hystérie gagne nos ministres passés, présents… et à venir.
« Se rendre à Alger devient le pèlerinage obligé pour tout ministre ou présidentiable français. » (PB)
Après ALLIOT-MARIE et VILLEPIN, hier, RAFFARIN, aujourd’hui, c’est HORTEFEUX qui décide d’aller brosser le burnous du Bouteflika, demain.
On a le droit de se poser des questions à les voir, tous, se presser auprès de « son éminence » pour faire les salamalek d’usage en pays oriental.
Certains vous diront que négocier avec l’Algérie est indispensable pour « décrocher » des marchés qui redresseraient l’économie française.
Rien n’est plus faux et les français l’ont très bien compris.
D’ailleurs, la très indépendante Algérie s’est déjà rapprochée, de très près, des américains (les nouveaux colons) et ils ont décidé d’un commun accord, qu’il n’y aurait «aucun pays étranger » qui interviendrait ni dans le Sahara ni en Afrique subsaharienne. Exit la France.
Ca veut dire que la France ne pourra plus compter sur l’uranium convoité du Niger. Quant au reste des ressources africaines, appelées « richesses », elle n’avait plus que l’avantage de payer très cher leurs produits. Dans les marchés de demain, l’Amérique, partenaire de l’Algérie, préemptera et la France paiera encore plus cher.
Le nouveau gouvernement (très gaulliste) de Sarkozy met trop d’empressement à se prosterner devant Bouteflika, pour que les seuls intérêts financiers de la France en soient la véritable raison.
Ces gens-là pensent-ils que les français ont perdu leur bon sens légendaire ? Que nenni !
Nous savons à quel point la France est endettée puisque nous supportons les restrictions rigoristes qu’elle nous impose, à nous, pour sortir d’une crise que nous pourrions éviter.
En appliquant des mesures très simples et de bon sens, la France pourrait dès demain, remplir à nouveau, ses caisses vides sans devoir mendier d’hypothétiques marchés à une Algérie exsangue dont le seul but est de coloniser la France.
Pour cela, il faudrait, qu’avec fermeté, la France cesse d’importer une main d’œuvre algérienne dont l’employeur principal est, chez nous, L’ASSEDIC.
Car, si la France veut faire des économies, elle doit impérativement revoir sa politique immigrationniste suicidaire.
Et, comme les français ont oublié d’être idiots, ils ont compris que toutes ces allées et venues en Algérie n’augurent rien de bon pour leur avenir face à ce problème essentiel qu’est devenue l’immigration dans notre pays.
On se demande, donc, avec inquiétude :
– Quelles concessions vont encore faire les gaullistes à l’Algérie après qu’Alliot-Marie ait déjà promis à Bouteflika, plus de visas et une libre circulation, à sens unique, des immigrés algériens ?
– Quel paquet-cadeau, offert par la France, transporte Raffarin dans ses valises ?
– Quelles promesses, au nom de la France, aura faites un Villepin à Bouteflika, pour obtenir les voix des algériens en France ?
– A quel prix Hortefeux rachètera sa repentance pour avoir tenu des propos « racistes » ?
Quand on sait qu’un Azouz Begag ou une Fadela Amara, gens de gauche, introduits dans les gouvernements de droite sous Chirac et Sarkozy, militent pour la république algérienne dans l’espoir de voir – comme Montebourg le fait, aujourd’hui, au Parti socialiste – des algériens de souche à la tête de l’Etat français.
Alger capitale de la France ? Oui, si nous ne nous décidons pas très vite à condamner ces partis en place qui vendent la France à l’Algérie. Et la seule manière de les condamner est de nous investir dès aujourd’hui, dans les élections de demain.
A qui ferez-vous confiance en 2012, alors que vous savez, déjà, que ceux en place, vous trahissent en 2010 ?
On entend dire de ces Résistance Républicaines, Blocs identitaires et autres francaisdefrance, formations nationalistes qui voient, de jour en jour, grossir leurs rangs, que ce sont des partis extrémistes parce qu’ils se révoltent.
Ils ont raison de se révolter. Ils voient clairement notre pays aller à la faillite par la faute des politiques français, toujours prêts à faire les yeux doux à un pays fantôme, l’Algérie, continuant, en cela, la politique menée depuis son indépendance par De Gaulle.
Car ces groupes ou associations ou partis politiques ont compris que notre passé de français en Algérie, ressemble à leur présent et ils appréhendent leur avenir. Et, tout comme nous nous sommes dressés, en Algérie française, contre le pouvoir en place, ils sont bien décidés, aujourd’hui, à faire de même pour conserver à la France, son territoire.
Notre combat d’hier est devenu le leur mais il demeure, toujours, le nôtre. Nous devons leur apporter tout notre appui et notre expérience pour éviter les écueils que nous avons rencontrés et rencontrons encore, dans la politique pro algérienne du pouvoir en place.
Nous savons, d’ores et déjà, que notre vote n’ira jamais à la gauche pro arabe et pro immigrationiste.
Mais nous ne devons pas laisser cette droite asservie recommencer les erreurs du passé.
Regardez donc tous ces ministres RPR-UMP qui se sont bousculés pour décrocher un maroquin (comme ça porte bien son nom !), se précipiter pour ce prosterner aux pieds d’un algérien qui hait la France.
Allons-nous les laisser vendre la France à l’Algérie comme ils l’ont fait par le passé ?
Pourrions-nous faire confiance à un Mariani qui parlait de « reconnaissance de génocide sur les français d’Algérie » il y a quelques jours et qui, pour une place de ministre, vend son honneur à une équipe qui nous raye de la France ?
Car, c’est bien de cela qu’il s’agit. Vous êtes-vous demandé qui a été nommé, dans ce nouveau gouvernement, au « secrétariat aux rapatriés » ?
Personne ! Pourquoi ? Parce qu’il a disparu, purement et simplement, de la liste des ministères constitués.
Comment voulez-vous qu’ils soient en train de lècher la poire au Bouteflika et, en même temps, nous reconnaître en nous faisant exister sous une forme quelconque dans leur politique gouvernementale ?
Non. C’est incompatible. Alors, comme toujours, ils choisissent les algériens d’abord !
Pendant 50 années de notre vie en France métropolitaine, nous nous sommes battus pour que l’Etat reconnaisse son implication dans l’abandon de notre peuple et dans notre exode forcé au profit des algériens.
En réponse à nos revendications, pendant 50 ans, la droite et la gauche ont continué de favoriser les algériens, à notre détriment, faisant tout pour nous désavantager, pour nous faire taire, pour nous refuser toute reconnaissance légitime. H. Falco ayant été le dernier en date à nous avoir trahis dans le texte de loi concernant le mémorial du quai Branly.
Pendant 50 ans, avec un mépris affiché, ils nous ont collé une étiquette d’extrémiste, ne se souciant de notre passé qu’au moment des élections.
Et bien, oui. Nous acceptons d’être des extrémistes. Au même titre que le sont les patriotes de Résistance républicaine, des Ligues du Sud ou du Midi, de l’Alsace d’abord ou du Bloc identitaire et bien d’autres encore.
Comme eux, nous voulons la France aux français. Peut-être, plus qu’eux, parce que nous avons souffert, jusque dans notre chair, de l’abandon par la France des fervents patriotes que nous étions et que nous sommes restés.
Alors, il n’est plus question de nous tromper. Dans 18 mois, nous devrons choisir ceux qui nous rendront notre fierté de rester français. Et, ceux-là, n’appartiennent ni à L’UMP, ni au PS, ni aux Verts.
Trop de noms de traîtres à notre cause résonnent comme un glas dans notre mémoire. De Gaulle, Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy…
Nous avons le devoir de nous unir à tous ceux qui, comme nous, rejettent les partis de la droite UMP/UDF/MoDem et, avec plus de force encore, les partis de la gauche PS/PCF/VERTS.
Avec les partis républicains, nationalistes et patriotes, nous serons plus forts pour ébranler, dès aujourd’hui, l’édifice qu’ils se sont bâti et qui doit impérativement tomber demain, si nous voulons conserver la France aux français.
C’est dans l’union avec toutes ces forces vives profrançaises, qui comptent une jeunesse forte et révoltée contre les apparatchiks au pouvoir, que nous retrouverons notre dignité de français.
Source: http://www.petitsechodoran.com/
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