C’EST CA, LA FRANCE ?
C’est en tout cas ce qu’il en reste, aujourd’hui.
A travers les analyses avisées de Maître Gilbert Collard et Philippe Carrèse, deux personnages publics, l’un avocat réputé au barreau de Marseille, l’autre producteur-réalisateur très connu, notamment à Marseille, la France d’aujourd’hui est décortiquée sans complaisance.
Notre France de tous les jours. Celle qui évolue de façon bizarre : en reculant au lieu d’avancer, comme le voudrait la logique dans toute évolution.
Un constat effrayant, porteur des plus sombres augures pour l’avenir incertain des Français résignés.
Résignés ? Pas tout à fait encore !
Et pourtant.
Devons-nous y voir, à la fois, un avertissement sérieux et l’espoir de réveiller, dans un sursaut d’honneur, cette « classe de français devenue défavorisée » ?
Chacun d’eux expose, à sa manière, le constat alarmant du changement de- et dans- notre société. Un changement pour le pire, incompatible avec les valeurs de notre République. Le danger d’une France en régression.
Si le premier dénonce les dérives du droit à l’expression libre de tout citoyen, comme le stipulent les textes de notre loi, le second déplore les dérives des premiers magistrats, chargés de maintenir l’ordre et la propreté dans leurs cités.
Il ressort, de ces deux analyses, un point commun que nous ne devons pas nier. L’immigration non choisie, dont la France est malade, est responsable de ces dérives.
Que cette immigration envahissante et peu respectueuse de nos us et coutumes soit la cause du changement opéré dans notre société ne fait pas de doute.
La cause résidant dans l’interprétation qu’en font les irresponsablesbienpensants qui, en lieu et place de les accueillir avec l’impératif devoir de s’intégrer à notre société, consentent accuser systématiquement les citoyens Français qui osent élever la voix, les renvoyant à des situations extrêmes, comme l’inapplication de LA loi par la magistrature ou celles, plus graves encore, de l’application de nouvelles jurisprudences qui les privent de cette loi.
Renforçant, ainsi, un sentiment, de plus en plus fort, de frustration des Français, d’une part et, de l’autre, confortant les immigrés dans leur bon droit à vivre comme ils l’entendent et non comme il se doit, forts du soutien que les autorités du pays, à l’échelon national ou local, leur accordent.
Pour lire ces textes, cliquer sur: