29/05/2011
Soutien au Père Benoit Julien de Pommerol…
Clandestins Tunisiens: c’est la « crème » de « la crème » qui débarque…
J’en parlais dans un précédent billet: l’Italie nous renvoie ses clandestins Tunisiens les plus dangereux. Merci, Silvio! On en fait quoi, maintenant? Au fait, Sarkö Ier ne t’a pas remercié au G8 ?
FDF
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Clandestins tunisiens : des détenus « très dangereux » en cavale !
Dans la pagaille, le permis de séjour pour raisons humanitaires a été accordé même aux voleurs aux assassins et aux trafiquants.
Milan. Préoccupé par l’évasion de dizaines de prisonniers de Monastir, le ministre de l’Intérieur, Roberto Maroni, avait déjà déclaré en février: « Il y a le risque que les détenus évadés des prisons tunisiennes traversent l’étroit bras de mer qui les sépare d’Italie et se retrouvent devant les portes de nos maisons déguisés en réfugiés politiques ».
On savait que tous ceux qui pouvaient s’enfuiraient et le ministre craignait alors des infiltrations de type terroriste. Mais ce sont plutôt de vrais bandits qui sont arrivés assassins récidivistes, voleurs dont beaucoup avaient été condamnés à perpétuité par le régime de Ben Ali. Ceux là, réussissant à passer le contrôle photo de Lampedusa, entre le 5 et le 18 avril dernier, comme prévu par le décret gouvernemental, ont obtenu le permis de séjour temporaire pour raisons humanitaires et ont rejoint différentes villes de la péninsule. Ne s’agissant pas de crimes commis en Italie, nos bureaux n’en avaient pas connaissance et n’ont donc pas pu les arrêter. Et pire, ils leur ont accordé les permis.
C’est Interpol qui s’est aperçu de l’erreur et qui a diffusé une liste de ces Tunisiens dont le passé criminel est parfois inquiétant, certains étant classés comme « très dangereux »….
vu sur http://www.fdesouche.com/213927-clandestins-tunisiens-des-detenus-tres-dangereux-en-cavale
RSA: j’en connais qui vont raser les murs…
Les spécialistes de la fraude en ce domaine vont devoir se faire petits. Je ne nommerai personne en particulier. Mais on se comprendra à demi-mots…
FDF
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Une brigade contre les fraudeurs du RSA voit le jour dans les Alpes-Maritimes.
Le conseil général des Alpes-Maritimes vient de créer une brigade de 16 personnes spécialement chargée de lutter contre la fraude au RSA (revenu de solidarité active), a indiqué le 26 mai 2011 son président Eric Ciotti (UMP).
« C’est une première en France », au niveau d’un conseil général, a précisé M. Ciotti, qui assure être animé par un souci de justice: « Ce qui m’anime est une démarche de justice. Il faut faire en sorte que le RSA, qui est un bon dispositif, soit affecté à ceux qui y ont droit ».
La Cour des Comptes a évalué à 4% le montant des fraudes au RSA au niveau national.
Dans les Alpes-Maritimes, cette fraude représente environ quatre millions d’euros au détriment du conseil général, qui finance le dispositif d’assistance à hauteur de 100 millions d’euros par an.
Coût de la brigade – A la question de savoir si le coût de la brigade ne serait pas supérieur à celui de la fraude, M. Ciotti a répondu que ces agents étaient affectés à la nouvelle unité non par création de postes mais par « redéploiement interne ».
Les contrôleurs de la brigade anti-fraude auront accès aux facturations d’eau, de téléphone et d’électricité et pourront croiser divers fichiers administratifs pour repérer les fausses déclarations ou « l’oubli » fréquent de changements de leur situation, qui pourraient interrompre le versement de l’allocation.
La brigade travaillera en collaboration avec la CAF, qui dispose également d’agents spécialisés contre la fraude.
Parmi les fraudes relevées par le conseil général figurent la présentation de fausses cartes d’identité, des salaires non déclarés, des pensions de reversion non déclarées et des ressources incompatibles avec une situation de précarité, comme la vente d’une maison ou d’un fonds de commerce.
« Printemps arabe » en Egypte: de nombreuses jeunes chrétiennes converties à l’islam et mariées de force!
Et dire que le G8 vient de leur octroyer des milliards d’euros. C’est pour acheter des préservatifs ou des vaccins contre le sida?
Quelle honte !
FDF
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Printemps arabe : les adolescentes coptes d’Égypte violées et converties de force !
Au milieu des bouleversements en Égypte depuis Janvier, les rapports ont commencé à émerger au sujet d’une poussée des disparitions de jeunes filles coptes. Un prêtre au Caire estime qu’au moins 21 jeunes filles, un grand nombre ayant 14 ans, ont disparu de sa seule paroisse.
Dans la plupart des cas, quand une jeune fille chrétienne qui avait disparu retourne dans sa famille, elle a été convertie à l’islam et mariée. Les autorités coptes ont même mis en place une série de refuges dans les monastères pour gérer le nombre croissant de jeunes filles qui souhaitent retourner dans leurs familles et dont beaucoup ne sont pas acceptés par ces dernières.
Mais un problème plus grave pour ces femmes est que leur conversion à l’Islam est irréversible.
La religion est mentionnée sur les documents d’identité égyptienne et même si la loi laïque prévoit des réversions, en vertu de la croissance et de la puissance de la charia, elles sont très difficiles à obtenir.
Cette situation n’est pas propre à l’Égypte. Il y a eu des rapports cohérents de filles contraintes à la conversion islamique et au mariage en Inde, Pakistan et Sri Lanka.
Que beaucoup de ces filles soient d’abord des fugueuses ne fait aucun doute. Toutefois, il est également prouvé qu’un grand nombre sont converties et mariées contre leur gré. La situation a été documentée dans un rapport controversé publié en 2009 sur la conversion et le mariage forcé des femmes coptes, par le Christian Solidarity International, mouvement basé aux États-Unis. Les auteurs sont l’américaine Michele Clark et la copte égyptienne Nadia Ghaly, basée à Melbourne.
Entre 2005 et 2008 les chercheurs ont interrogé 50 femmes, pour la plupart âgés entre 14 et 25, qui avaient décidé de retourner dans leurs familles. Toutes affirment avoir été trompées, contraintes ou violées, converties à l’islam et mariées. La plupart des personnes interrogées ont essayé de se reconvertir à leur identité chrétienne, avec un succès limité, voire nul. Les conclusions du rapport ont été imprimées dans plusieurs publications importantes, dont le magazine Forbes.
Depuis le printemps que l’on appelle arabe, et les émeutes qui ont suivies dans les églises chrétiennes, les auteurs tentent d’apporter l’objet d’une conversion forcée et le mariage a une plus grande importance.
Les deux groupes vivent en situation très fermée, très traditionnelle, avec des vies séparées et les normes entourant le mariage et le sexe sont presque médiévales, dit Ghaly. Ainsi, par exemple, il n’est pas rare pour une jeune fille chrétienne d’une famille pauvre de fuir un mariage arrangé. Pourtant, une forte proportion de ces femmes accepte la coercition, voire le viol, malgré la honte qu’une telle plainte fera porter sur sa famille.
Beaucoup prétendent qu’elles ont été traitées comme de véritables esclaves. Les personnes qui ont pu s’enfuir ne pouvaient pas amener leurs enfants. Ghaly affirme que cela est plus que manifeste de l’oppression religieuse, et équivaut à « une forme de génocide culturel ».
Elle cite un document publié par Human Rights Watch en Novembre 2007, qui dit que même si les femmes coptes peuvent obtenir le divorce de leur mari musulman, celles qui souhaitent revenir au christianisme « se voient répondre un refus et le harcèlement de l’état civil relevant du ministère de l’Intérieur ».
Selon la charia, la reconversion est considérée comme une apostasie punissable de mort.
Par Angela Shanahan pour The Australian – Adaptation française JSSNews
Source: http://jssnews.com/
Le « troussage de domestique » met fin à la carrière de Jean-François Kahn…
Lu sur http://oumma.com/
FDF
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DSK entraîne JFK dans sa chute…
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« Hara Kiri. Après avoir provoqué un tollé en ayant qualifié la présumée tentative de viol commise par Dominique Strauss-Kahn de « troussage de domestique », Jean-François Kahn arrête le journalisme. Retour en images sur le dérapage d’un féministe à géométrie variable.
Il se voulait le pourfendeur de la « pensée unique » en lutte contre la « bien-pensance » : c’est réussi. A l’âge de 72 ans, Jean-François Kahn termine un demi-siècle de journalisme sur un commentaire d’une rare originalité qui offusqua, comme il se doit, les « bien-pensants ». Lundi 16 mai, au lendemain de l’annonce de l’arrestation de Dominique Strauss-Kahn alors soupçonné d’avoir commis un crime sexuel, l’ancien directeur de Marianne s’était exprimé à ce sujet au micro de France Culture : « Je suis certain, enfin pratiquement certain, qu’il n’y a pas eu une tentative violente de viol, je ne crois pas, ça, je connais le personnage, je ne le pense pas. Qu’il y ait eu une imprudence (…), je sais pas comment dire, un troussage … un troussage de domestique », avait-il déclaré.
Suite à l’émoi suscité par de tels propos, Jean-François Kahn s’en est expliqué dans une tribune publiée trois jours plus tard sur le site de Marianne : « Je tenais à exprimer mon refus, presque viscéral, de croire à la violence absolument insupportable d’un viol et mon espérance qu’il s’agisse – et c’est alors que l’expression condamnable m’échappa – d’une tentative de « détroussage d’une femme de chambre ». D’où le tollé. Normal. Juste. Il ne s’agissait nullement dans mon esprit de minimiser quoique ce soit, et tous les présents le comprirent ainsi, mais d’exorciser l’idée du pire. L’expression n’en était pas moins totalement inacceptable ». Trop tard : le buzz sur Internet de sa déclaration et les condamnations de plus en plus nombreuses –notamment lors d’une manifestation de féministes dimanche 22 mai à Paris- ont amené le journaliste, selon des sources internes à Marianne, à prendre la décision de quitter le métier.
« Chaud lapin »
Dans son blog-notes, Jean-François Kahn rappelle qu’il entretient de « solides relations d’amitié » avec Dominique Strauss-Kahn. Signe de cette proximité : son épouse, la productrice de l’émission Ce soir ou jamais Rachel Kahn, a été le témoin d’Anne Sinclair lors de son mariage en 1991 avec celui qui était encore député socialiste. Sur l’antenne d’Europe 1, au jour de l’annonce du scandale, le journaliste admettait que son ami puisse être qualifié, à la rigueur, de « chaud lapin ». Mais comme tant d’« autres hommes politiques qui sautent sur tout ce qui passe », s’empressa-t-il d’ajouter.
La séduction frénétique : un trait de caractère qu’il ne faut « pas lapider », précise alors Jean-François Kahn. Ce terme connoté est révélateur : inconsciemment, la figure-repoussoir du barbu islamiste lui est précisément associé depuis une trentaine d’années. C’est d’ailleurs à ce type de personnage caricatural que le journaliste s’en était pris durant un débat organisé par le salarié de sa conjointe : en mai 2010, il était invité par Frédéric Taddeï à donner son point de vue, entre autre sujets, sur la burqa. A cette occasion, il fustigea Lies Hebbadj, le sparring partner de Brice Hortefeux dans sa lutte alors médiatisée contre la fraude aux allocations familiales imputée aux intégristes. Véhément, le journaliste était indigné par ce « type qui peut être fièrement polygame ». Moralité : en France, à en croire le prescripteur d’opinion de Marianne, le mode de vie d’un polygame affiché serait donc plus scandaleux que celui d’un libertin tendance « chaud lapin ».
Ni soubrette ni troussée
Ces dernières années, Jean-François Kahn s’était également engagé aux côtés des féministes de Ni Putes Ni Soumises, association en lutte contre le sexisme en banlieue. Les détracteurs du mouvement ont toujours reproché à ses animatrices d’avoir dévoyé un combat légitime en le réduisant à la stigmatisation ad nauseam du jeune-musulman-de-banlieue, devenu l’archétype unique en France du macho violent. En 2004, le directeur de Marianne était au premier rang lors de l’université annuelle du mouvement comme l’illustre cette photo.
Un an plus tard, il signera l’appel -formulé par Ni Putes Ni Soumises et relayé notamment par le Grand Orient de France– à manifester en faveur de la journée internationale des femmes. Intitulé « Pour un nouveau combat féministe », le texte laisse entendre « qu’il n’y a pas de combat plus urgent pour l’émancipation des femmes que celui de la lutte contre toutes les formes d’intégrisme et d’obscurantisme ». Ses rédacteurs précisent également vouloir « réaffirmer la liberté durement acquise des femmes à disposer de leur corps ». Parmi les cosignataires figurent de nombreuses figures de la gauche dont un certain « député PS du Val-d’Oise » : Dominique Strauss-Kahn.
Rétrospectivement, la posture féministe des deux hommes ne manque pas de piquant. Même si la présomption d’innocence pour l’ex-dirigeant du FMI demeure toujours valable dans l’affaire du Sofitel, un constat, d’ores et déjà, s’impose : les premiers éléments divulgués de l’enquête policière ainsi que les éléments relatifs au profil socio-culturel de la victime présumée suggèrent, au minimum et à ce jour, un abus d’autorité. Une attitude aux antipodes du respect de la « liberté des femmes à disposer de leur corps ».
Intégriste à son insu
A quoi pensait alors Jean-François Kahn en évoquant un « troussage de domestique » ? Le double mépris, sexiste et social, que suggère cette formule rappelle une autre forme de condescendance affichée par le journaliste. C’était en 2007. Lors d’un entretien accordé au mensuel Israël Magazine, l’intellectuel a détaillé son rapport personnel à la judéité. Avant d’indiquer curieusement à son interlocuteur que Marianne -l’hebdomadaire qu’il a fondé- était « l’un des journaux de France où il y a le plus de Juifs sionistes », l’homme a révélé sa vision singulière de la religion musulmane : « Je pense qu’il y a des musulmans athées – se définissant comme musulmans modérés – , des musulmans profondément démocrates et républicains. Mais ils sont modérés parce qu’ils ont pris de grandes distances avec la dogmatique islamique. Mais dès lors qu’il s’agit de musulmans qui adhèrent à la doctrine musulmane, je dirais qu’il n’y a pas de musulmans modérés. La majorité des musulmans sont non radicaux et non violents mais dès lors qu’ils adhèrent à la communauté musulmane, ils adhèrent à un dogme intégriste (…). L’islam est intrinsèquement intégriste, il n’a pas fait sa Révolution des Lumières ; cela n’empêche pas que des millions de musulmans peuvent participer de façon active au combat pour l’émancipation et la liberté ».
Nul doute que la « domestique imprudemment troussée », femme de chambre en réalité et pieuse musulmane selon son entourage, devrait méditer le sage conseil de Jean-François Kahn en s’empressant de « prendre de grandes distances avec la dogmatique islamique ». C’est à ce prix, assurément, qu’elle pourra enfin arpenter le sentier lumineux de « l’émancipation et de la liberté ». »
La France « aide » la Tunisie et l’Egypte: 1 milliard d’euros; qu’on ne reverra jamais…
Ou plutôt si: transformé en bombes atomiques qu’ils nous enverront sur la tronche en guise de remerciements
C’est au titre de la « transition démocratique », paraît il. Tout en sachant que les islamistes déjà à l’affut attendaient cette manne depuis longtemps. On tend le bâton pour nous faire battre. En attendant, ce sont nous, les Français, qui allons payer avec nos impôts pour renforcer l’islamisation de ces pays d’abord, du notre ensuite… Et l’on se demande pourquoi Tunisiens et Egyptiens fuient leur pays par bateaux complets et demandent l’asile politique en France et dans le reste de l’Europe. Il est peut-être temps de réfléchir et de se bouger, là; non?
FDF
La France va engager une aide bilatérale d’un milliard d’euros pour contribuer à la transition démocratique en Tunisie et en Egypte, a annoncé aujourd’hui le président français Nicolas Sarkozy, confirmant que le montant de l’aide globale atteindrait 40 milliards de dollars.
Les banques multilatérales de développement -hors FMI- contribueront à hauteur de 20 milliards de dollars, et les pays du Golfe à hauteur de 10 milliards de dollars, a détaillé le chef de l’Etat lors d’une conférence de presse, à l’issue du sommet du G-8 de Deauville. Le reste sera fourni par l’aide bilatérale, dont un milliard d’euros de la France, a-t-il ajouté.
Source: http://www.lefigaro.fr/
Belgique voisine: un prisonnier s’est évadé de la prison de Lantin, aidé par 4 hommes armés de kalachnikovs.
« Chances pour la Belgique »… Y’a pas de raison. Nous avons les nôtres, de Momos. Et même leur pays d’origine n’en veut plus; c’est dire… Au fait: il était en tôle pourquoi, celui-ci?
FDF
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Evasion et course-poursuite spectaculaires à la prison de Lantin
L’évadé s’appelle Mohamed El Jabbari, 28 ans. Considéré comme un détenu calme, il avait droit à certaines activités dans la prison. Ce matin, il procédait à l’entretien d’un atelier et a réussi à fausser compagnie aux gardiens. Il s’est alors empressé de rejoindre l’une des cours de la prison avant de s’évader.
Ses complices : 4 hommes armés
4 hommes armés ont d’abord découpé un grillage pour atteindre le mur de l’enceinte. Ils ont ensuite lancé une échelle de corde dans la cour. Mohamed El Jabbari, de son côté, a couru vers l’échelle pendant que ces complices, positionnés en haut du mur, tiraient à la kalachnikov en direction des gardiens qui tentaient de rattraper le détenu. 4 ou 5 coups auraient été tirés sans faire de victime.
Après l’évasion, la course poursuite… sans succès
L’évadé et ses 4 complices se sont enfuis à bord d’une voiture dont la plaque était volée. Un kilomètre plus loin, à Juprelle, ils font un accident et embarquent dans une autre voiture. S’ensuit alors une course poursuite avec les forces de police. Sans succès. Les individus courent toujours…
L’évasion suscite la polémique
L’endroit de l’enceinte où les complices ont placé l’échelle de corde est un angle mort. Aucune caméra ne permet de visualiser cette partie-là de la prison. Un problème qui a pourtant déjà été signalé auparavant… sans effet.
Source: http://www.rtl.be/info/
Le gogol du jour est…
… jjj !
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Nominé ce dimanche pour ses propos débiles en commentaires. Convertis toi à l’islam, mon pote. On t’apprendra peut-être à écrire correctement et mettre en application tes menaces de mort… Ils sont fort, dans ce domaine… Au fait: t’as le beau temps à Nice? Les dattes sont mûres? Merci pour l’IP; ça va servir… Si tu veux, on peut t’envoyer des fachos, des vrais; ou des skins, si tu veux. Ils sauront t’expliquer ce qu’est un vrai raciste et il est certain que tu vas vite comprendre…
FDF
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Auteur : jjj (IP : 90.52.252.58 , ANice-551-1-252-58.w90-52.abo.wanadoo.fr)
E-mail : jjjjjj@hotmail.com
Adresse :
Whois : http://whois.arin.net/rest/ip/90.52.252.58
Commentaire :
vous etes une belle bande de fashos je suis francais de france et ma femme francaise d’origine marocaine et vos blabla me touchent par leur simplicité de jugement et leur injustice….
si je pouvais je vous pendrais haut et cour sans jugement vous ne valais rien….
a bon entendeur…
un jour les racistes de toutes races seront jugé et abbatus et le monde vivra en paix avec toutes les différences qui font sa valeur
Agir pour promouvoir la charia et l’enseigner est illégal !
Conférence de l’association Vérité, Valeurs et démocratie sur: L’islam, légal ou illégal ?
Intéressante conférence d’un représentant de Vérité, Valeurs et Démocratie autour de la question de savoir si selon les lois françaises, l’islam est légal ou pas. Alors selon vous, amis lecteurs, l’islam est-il légal ou pas ?
Nous sommes dans un état de droit donc seuls les actes commis par des individus et des organisations sont susceptibles de constituer des crimes ou des délits. Seul quelque chose qui est fait par quelqu’un, une personne physique ou morale donc un acte peut être illégal.
Par conséquent penser que le coran est la vérité divine ou que la charia est la norme comportementale la plus achevée d’une société n’est pas illégal. Par contre agir pour promouvoir la charia, l’enseigner est illégal car les règles de la charia sont en opposition frontale les lois d’une démocratie comme le stipule l’arrêt du 13/02/2003 de la Cour Européenne des Droits de l’Homme confirmant une décision de 2001.
La Charia incompatible avec nos Valeurs
Par Enki40
Faut-il le rappeler ? L’islam est incompatible avec nos valeurs et la Charia, qui en est l’émanation directe et logique, doit être interdite de fait en Europe…
Nous l’avons déjà dit et répété à de nombreuses reprises. Mais face au matraquage médiatique de cette classe de munichois complètement coupée de l’opinion publique, il faudra encore le dire et le redire:
« La Charia est contraire aux droits de l’homme »
Qui le dit ? La Cour Européenne des droits de l’homme.
Lisez bien ce qui est écrit, nous voilà en plein coeur du débat sur les propos du Pape.
En août 2001, la Cour européenne des droits de l’homme a estimé que la Charia est incompatible avec la Convention européenne des droits de l’homme de 1950.
Il s’agissait à cette occasion pour la Cour de juger si le gouvernement turc avait le droit de dissoudre un parti islamique turc, le Refah, en raison des valeurs prônées par ce parti (la Charia notamment). La Cour a validé la dissolution du Refah. Du jugement final, on citera essentiellement les extraits suivants :
Extraits de l’arrêt du 31 juillet 2001
• La Cour constitutionnelle a rappelé qu’un tel système (la charia), qui avait ses origines dans l’histoire de l’Islam en tant que régime politique, s’opposait au sentiment d’appartenance à une nation ayant une unité législative et judiciaire.
• Pour la Cour constitutionnelle, la Charia serait l’antithèse de la démocratie, dans la mesure où elle se fonde sur des valeurs dogmatiques et est le contraire de la suprématie de la raison, des conceptions de la liberté, de l’indépendance, ou de l’idéal de l’humanité développé à la lumière de la science.
• La Cour reconnaît que la Charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.
• La Cour relève que (…) les références explicites à l’instauration de la Charia sont difficilement compatibles avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention, comprise comme un tout.
• Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la Charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.
• La Cour constitutionnelle (fait également référence) à la notion de djihad, qui se définit, dans son sens premier, comme la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société.
• La Cour constate également que les propos tenus par Xxxxx, le député d’Ankara, (…) traduisaient une haine profonde envers ceux qu’il considérait comme des opposants au régime islamiste. La Cour estime à cet égard que lorsque le comportement incriminé atteint un niveau élevé d’insulte et se rapproche d’une négation de la liberté de religion d’autrui, il perd pour lui-même le droit d’être toléré par la société.”
Sur le portail de la cour européeenne des droits de l’homme, l’intégrale du jugement :
Extraits de l’arrêt du 13 février 2003
•Selon la Cour, il n’est pas de démocratie sans pluralisme.
• La Cour rappelle que la liberté de pensée, de conscience et de religion représente l’une des assises d’une « société démocratique » au sens de la Convention. Cette liberté figure, dans sa dimension religieuse, parmi les éléments les plus essentiels de l’identité des croyants et de leur conception de la vie, mais elle est aussi un bien précieux pour les athées, les agnostiques, les sceptiques ou les indifférents.
• Il y va du pluralisme – chèrement conquis au cours des siècles – qui ne saurait être dissocié de pareille société. Cette liberté implique, notamment, celle d’adhérer ou non à une religion et celle de la pratiquer ou de ne pas la pratiquer.
• Par ailleurs, dans une société démocratique, où plusieurs religions coexistent au sein d’une même population, il peut se révéler nécessaire d’assortir la liberté en question de limitations propres à concilier les intérêts des divers groupes et à assurer le respect des convictions de chacun
• Selon la Cour, dans une société démocratique, l’Etat peut limiter la liberté de manifester une religion, par exemple le port du foulard islamique, si l’usage de cette liberté nuit à l’objectif visé de protection des droits et libertés d’autrui, de l’ordre et de la sécurité publique
• la Cour estime (…) qu’un parti politique dont les responsables incitent à recourir à la violence ou proposent un projet politique qui ne respecte pas la démocratie ou qui vise la destruction de celle-ci ainsi que la méconnaissance des droits et libertés qu’elle reconnaît, ne peut se prévaloir de la protection de la Convention contre les sanctions infligées pour ces motifs.
• Nul ne doit être autorisé à se prévaloir des dispositions de la Convention pour affaiblir ou détruire les idéaux et valeurs d’une société démocratique.
• Dans ce contexte, la Cour considère qu’il n’est pas du tout improbable que des mouvements totalitaires, organisés sous la forme de partis politiques, mettent fin à la démocratie, après avoir prospéré sous le régime démocratique. L’histoire européenne contemporaine en connaît des exemples.
• la Cour partage l’analyse effectuée par la chambre quant à l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie,
• A l’instar de la Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictés par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.
• La Cour relève que (…) l’instauration de la charia est difficilement compatible avec les principes fondamentaux de la démocratie
• Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.
• La Cour considère que, quelle que soit l’acception que l’on donne à la notion de djihad (dont le premier sens est la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société), invoquée dans la plupart des discours mentionnés ci-dessus, une ambiguïté régnait dans la terminologie utilisée quant à la méthode à employer pour accéder au pouvoir politique.
Source: http://webresistant.over-blog.com/
Bonus: http://youtu.be/9Lw426sUxRY