Francaisdefrance's Blog

27/05/2011

Marine Le Pen demande que Christine Ockrent rembourse les salaires perçus pendant ces « mois payée à ne rien faire ».

Et encore une affaire » délicate »… Ca va aller jusqu’où? Le peuple en situation précaire en a déjà marre de sa condition; alors quand on lui raconte ce qui se passe dans les hautes sphères et que c’est lui qui en fait encore les frais…

FDF

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Quand émergera publiquement l’incroyable scandale Ockrent que seule Marine Le Pen évoque pour l’instant ?…

Il faut le reconnaître : l’incroyable scandale Ockrent n’est soulevé publiquement que par une seule personnalité politique…Marine Le Pen.
Marine Le Pen demande que Christine Ockrent rembourse les salaires perçus pendant ces « mois payée à ne rien faire » qu’elle évoque dans une récente interview au Figaro, et prône le retour de la moralité publique et de l’égalité républicaine face aux passe-droit et l’esprit de Caste. Des questions, on l’avouera, essentielles…

Quand émergera le scandale Ockrent sur la place publique ? Mystère…

Voir son communiqué du 26 mai 2011 (que l’AFP curieusement n’a pas repris semble-t-il…) :

« Christine Ockrent a enfin quitté l’Audiovisuel Extérieur de la France, six mois après le vote massif de défiance des salariés de France 24 contre elle (à 85%).

Christine Ockrent est le symbole de ce journalisme de caste, qui entretient des relations incestueuses avec le pouvoir politique et les puissants depuis des années.

Lorsque Christine Ockrent a porté plainte pour harcèlement moral il y a près d’un mois, 35 policiers et deux substituts ont été mobilisés pour mener trois perquisitions. Du jamais vu et un déploiement de moyens auquel le justiciable ordinaire n’aurait évidemment pas droit.

Il aura donc fallu de longs mois pour que Christine Ockrent daigne accepter l’idée qu’elle n’est pas indispensable.

Plus grave encore, Christine Ockrent avoue elle-même « être payée à ne rien faire depuis des mois ». Vu le niveau de salaire de Christine Ockrent (315 000 euros par an), c’est tout bonnement scandaleux.

L’argent public a servi à financer l’oisiveté d’une personnalité qui a de surcroît le culot aujourd’hui de se tourner vers le tribunal de commerce pour obtenir une compensation financière !

L’intégralité de l’affaire Ockrent illustre les dérives très graves du système français de caste, qui distingue les puissants et les gens ordinaires, ceux à qui tout est permis et les autres.

Il y a de quoi s’étonner que jamais le ministère de tutelle de Christine Ockrent ne soit intervenu pour mettre fin à ce scandale : un scandale financier pour les contribuables et un scandale pour le fonctionnement d’un service indispensable au rayonnement de la culture française dans le monde.

Marine Le Pen, Présidente du Front National, demande qu’une enquête soit conduite par le ministère de tutelle de l’Audiovisuel Extérieur de la France pour déterminer depuis combien de temps précisément Christine Ockrent « est payée à ne rien faire ».

Elle demande qu’on exige de Christine Ockrent qu’elle rembourse l’argent public qui lui a été indûment versé (chaque mois payée à ne rien faire, Christine Ockrent a coûté au pays l’équivalent de 213 redevances audiovisuelles).

Marine Le Pen dénonce l’affaissement de la moralité publique dans notre pays et l’esprit de caste délétère qui y règne. Seul le changement des hommes et des méthodes permettra à la France de connaître un nécessaire assainissement démocratique. »

Source: http://www.lepost.fr/

Après le « printemps arabe », le « printemps espagnol » qui couve, un « printemps Français » est il possible?

Pourquoi pas? Le G8 vient d’octroyer des milliards d’euros aux « nouvelles démocraties » (supervisées par les islamistes) qui connaissent le « printemps arabe ». Un « printemps Français » nous ferait le plus grand bien, au niveau du pouvoir d’achat. Je rigole, mais la dernière génération de Français commence à bougonner dans son coin. Et la jeunesse qui comment à s’agiter, c’est pas très bon. Et cette jeunesse-là, elle a déjà tout compris. En outre, ses aînés la regardent; avec envie; depuis le temps qu’ils se plaignent tout seuls dans leur coin……

FDF

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« La crise monétaire mondiale n’est pas seule à déplaire aux européens et aux français en particulier.

La dernière et fracassante actualité française (devenue mondiale) réside dans l’inculpation de DSK qui a soulevé depuis deux semaines une protestation sans précédent de la part des Français.

Quoi ? Parce qu’il est « puissant », il devrait être traité d’une manière différente du Français lambda ? Non.

Et la grogne monte, monte, chez les Français de condition modeste qui s’aperçoivent que les politiques les manipulent sans scrupule.

A quelques jours d’une échéance primordiale pour l’avenir de la France, les deux partis politiques reconnus et enracinés dans notre pays, la gauche et la droite au pouvoir, viennent de perdre « le respect dû à  leur rang », que  le peuple croyait devoir leur témoigner.

Leurs mensonges ou leurs silences, dans cette affaire ont été perçus comme une complicité inadmissible et donc impardonnable.

Le Pouvoir protège le Pouvoir ? Ce n’est pas de cette manière qu’ils « entendent » la politique, ces gentils français.

Ils ont toujours cru que l’Egalité était, avant toute autre vertu, le symbole de la France. Mais force est de constater que l’égalité a disparu depuis plusieurs années de notre pays qui pratique, sans limite, « la loi du plus fort ».

Quelle est donc cette République démocratique dans laquelle ils survivent alors qu’ils ont perdu la Liberté et l’Egalité ? Elle ressemble, à s’y méprendre, à celles qui défrayent la chronique, depuis le mois de janvier, dans les pays arabes.

« Un printemps français »pourrait-il se déclencher dans les mois à venir ? C’est plus que  probable. D’autant que les « printemps arabes » ont été salués et soutenus par toute la classe politique française !

Quelle alternative reste-t-il au français, lorsqu’on a ôté du paysage hexagonal, une gauche et une droite corrompues ?

Il leur reste le choix du peuple.

Et le peuple aime bien se répandre dans les rues par les temps qui courent. Il aime à entendre ces jeunes voix qui s’élèvent, étendard élevé, pour condamner les politiques de tous bords qui dévalorisent la France et privent les Français de leur Identité.

Cette nouvelle génération de Français, fidèles et patriotes, qui risque bien de fédérer une grande majorité des déçus de la politique à la française.

L’affaire DSK  n’est pas qu’un fait divers anodin. Elle est un coup de semonce pour la France. Les partis politiques en lice pourront faire et défaire leur programme, leurs premières réactions  à l’annonce de l’inculpation « d’un des leurs » sont celles que retiendront les Français.

Les partis populaires dits nationalistes ou ultra ou extrémistes vont, enfin, pouvoir se faire entendre. Mieux encore, les Français vont leur demander de s’exprimer en leur nom.

L’élection présidentielle de 2012 risque fort de connaître un rebondissement, jusqu’alors, inconnu en France. »

Deux vidéos intéressantes de la génération populaire ET nationaliste à voir ici: http://echodupays.kazeo.com/L-OEIL-DE-CAIN/UN-PRINTEMPS-FRAN-AIS-EST-IL-POSSIBLE,a2233631.html

Un appel au soulèvement pour les musulmans de France…

C’est récent. C’est « passé entre les gouttes » dans les médias. Qu’est-il advenu de ce con qui en appelait au soulèvement des musulmans de France contre le gouvernement? Il n’a pas eu trop d’ennuis avec la Justice, j’espère?

FDF

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Voir: http://www.wat.tv/video/appel-islamistes-aux-musulmans-3lggz_2ibgz_.html

Pas trop tôt: Le Procureur de Limoges a engagé des poursuites contre le forcené de Forsane Alizza !

En réponse à une lettre que je lui avais envoyée au nom de Résistance républicaine en octobre pour protester contre le discours(1) de Mohamed Achamlane, l’homme de Forsane Alizza qui piétine le code pénal parce qu’il ne s’y trouve pas d’article concernant les musulmans, le Procureur m’informe qu’il a engagé des poursuites contre ce dernier du chef de provocation à la discrimination, la haine ou la violence et que l’affaire sera jugée au Tribunal correctionnel de Limoges le 9 juin 2011 à 8h30.
J’ai bien entendu remercié le procureur et lui ai rappelé que, malheureusement nous ne pourrions être présents à l’audience puisque nous n’avons pas les cinq années d’existence qui nous permettraient de nous porter partie civile.

Il était temps que la justice s’intéresse de près aux discours haineux, discriminatoires et anti-Français de certains musulmans. On se rappellera que Forsane Alizza avait carrément menacé l’espace Charenton(2) de dégradations si nos assises sur l’islamisation y avaient lieu, on se rappellera que le même Mohamed Achamlane avait tenu un discours plein de haine et de violence(3) dans le 93 après l’interpellation d’islamistes à la manifestation interdite contre la mise en application de la loi sur le port du niqab…

Il est temps que la justice mette un coup d’arrêt à ces pratiques inacceptables et à cette défense inconditionnelle du communautarisme musulman et de la charia, s’accompagnant de haine de la France. Du moins ose-t-on l’espérer, on en saura un peu plus le 9 juin.

Christine Tasin

Présidente de Résistance républicaine

http://www.resistancerepublicaine.eu/

Souvenez-vous: http://youtu.be/X_hxO7kjF5E

FDF

Ratko Mladić: il n’avait pas que des ennemis…

Malgré le massacre de Srebrenica, où environ 8.000 musulmans périrent, Mladic n’était pas considéré comme la bête à abattre par tout le monde… Allez comprendre.

FDF

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Arrestation de Mladić : à Lazarevo, « personne n’aurait dénoncé Ratko, ce héros »

Traduit par Persa Aligrudić
À Lazarevo, bourgade de 3.000 habitants à 70 km au nord de Belgrade, c’est l’effervescence. C’est là que Ratko Mladić a été arrêté jeudi à l’aube chez un de ses cousins. Dans ce bastion du Parti radical serbe fidèle à l’ancien commandant des Serbes de Bosnie, les habitants sont amers. Personne ne savait qu’il se cachait là et tous assurent que s’ils l’avaient su, personne ne l’aurait dénoncé. Le reportage de Danas.

par D. Petrović – Lj. Bukvić

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« Ratko, Héros » sur le panneau à l’entrée de Lazarevo

Lazarevo, 3.000 habitants, bourgade de Voïvodine située à environ 70 de kilomètres au Nord de Belgrade pourrait bientôt s’appeler Mladićevo, à en croire les habitants. Lors d’une action éclair de la police, jeudi matin à l’aube, le criminel de guerre le plus recherché par le TPI, Ratko Mladić, a été arrêté dans une maison à l’angle de la rue Vuk Karadžić. Hier, on ne pouvait ni la voir ni la photographier à cause de la végétation et de la foule de plusieurs centaines de personnes massée devant.



Les habitants, amers, admirateurs de la personne et de l’action de l’ancien commandant des Serbes de Bosnie pour la plupart, n’autorisent aucun cameraman, journaliste ou autre, à prendre des déclarations. Ils expliquent qu’ils ne veulent pas que les médias rapportent publiquement quelque chose de « déformé », comme c’est habituellement le cas. Les trois entrées de la maison sont gardées par la police, et d’un côté l’accès est fermé par un tracteur.

« Nous allons bientôt lancer une initiative pour que le village prenne le nom de Mladić et sur la maison, nous fixerons une plaque ‘Ici vécut le héros national Ratko Mladić’. Nous changerons le nom du village par honte qu’il ait été arrêté chez nous », tonnent les habitants en colère.

Les cousins de Mladić à Lazarevo

Déjà, le panneau à l’entrée du village confirme qu’il s’est passé quelque chose. Sur le nom de Lazarevo, un papier est accroché avec l’inscription : « Ratko, héros ». Quelques voitures passent dans les rues, principalement celles de la police, et des équipes de journalistes de tout le pays. Autour du village et au centre, tout est calme.

Des rumeurs ont déjà circulé sur le fait qu’il aurait pu se cacher là car il a des cousins à qui il rendait visite au moment de la guerre au début des années 1990, ce que beaucoup d’habitants ont confirmé. Il allait souvent chez son cousin Dragan, mais la police ne l’a pas arrêté là. Mladić a été interpellé un peu plus loin, dans la maison du frère de Dragan, Brano. Selon les voisins, il n’y avait personne. Brano a été ensuite emmené pour interrogatoire ; il vivait seul, ou presque.

« Il était tranquille et réservé et ne sortait pas beaucoup », raconte une voisine. Quand on demande aux voisins qui se sont rassemblés devant la maison s’ils ont remarqué quelque chose ou quelqu’un d’insolite, ils font non de la tête. La plupart ont appris la nouvelle ce matin, par les médias et tous sont persuadés que l’arrestation est un coup monté. « Tout a été orchestré. Comment se fait-il que tant de policiers soient mobilisés pendant plusieurs jours pour arrêter Karadžić, alors qu’ils arrêtent Mladić en un rien de temps avec quelques voitures à peine », s’étonne l’un d’eux.

Milorad Komadić, c’est le nom que Mladić utilisait en public. Un patronyme inconnu des villageois. Il n’y a jamais eu de personnes portant ce nom là à Lazarevo depuis l’arrivée des colons après la Seconde Guerre mondiale. « Il n’y avait rien de suspect, nous l’aurions probablement vu. Je suis le voisin de Brano. Tous les matins à 7h30, nous fumions une cigarette ensemble. J’aurais certainement su s’il cachait quelqu’un », assure un homme.

L’arrestation, « un coup monté »

L’arrestation s’est déroulée simultanément à quatre endroits du village vers 4-5 heures du matin. Outre une perquisition dans les trois maisons des frères Dragan et Brano Mladić, la police a aussi fouillé la maison du fils de Dragan et celle d’un autre cousin, qui est d’ailleurs le chef du Bureau local de Lazarevo.

« Ils l’auraient soi-disant trouvé chez Brano, mais c’est un coup monté car il vivait seul », souffle un voisin assez âgé. Pourtant, au village on disait que Ratko Mladić aurait pu se cacher à Lazarevo. Brano, chez qui Ratko Mladić a été trouvé, est un ancien réparateur de télévision, il était au chômage depuis la faillite de son entreprise, voilà des années. Il s’occupait un peu d’agriculture, tout juste pour survivre. On dit qu’il vivait et dormait dans une pièce d’été et qu’il n’entrait que rarement dans la grande maison qui se trouvait dans la propriété. Ceux qui venaient le voir pour quelque réparation racontaient que le portail était toujours verrouillé.

Lorsque l’équipe de Danas est arrivée devant la maison de Dragan Mladić, qui a été entièrement fouillée, le portail était grand ouvert. « Allez-vous en. Honte à vous ! », criaient Dragan, vieillard anguleux, lunettes sur le nez, et son épouse. Diverses rumeurs circulent dans le village : Mladić aurait été découvert car son logeur achetait depuis quelques temps, deux pains au lieu d’un seul. Certains jurent que la police a pénétré chez Brano Mladić depuis la cour voisine.

« J’ai vu deux voitures de police et l’une civile. Les gens disent qu’ils ont entendu plusieurs cris : ‘Rends-toi’. Moi je n’ai rien entendu. J’étais persuadé qu’ils arrêtaient quelqu’un à cause de la drogue. Mladić ne m’est pas du tout venu à l’esprit. Je vis dans cette rue depuis 60 ans et je n’ai jamais vu un visage suspect. Mais j’affirme qu’on nous a mis cette arrestation sur le dos pour que les gens disent ensuite : « Ah, c’est vous qui avez trahi le général », confie un des villageois de Lazarevo.

D’autres opérations de police, précédemment

D’autres bruits courent dans le village. Ce serait un des habitants qui connaissait le secret de Brano Mladić qu’il l’aurait raconté « là où il faut » et obtenu une récompense en millions de dollars. « Nous saurons de qui il s’agit. Dès que nous verrons que quelqu’un achète une nouvelle voiture ou qu’il rénove sa maison, ce sera celui-là », jurent les anciens de Lazarevo.

Les habitants racontent qu’il y a eu d’autres actions de la police au cours des années précédentes. « Du fait que ses proches cousins vivent ici, nous avons souvent vu la police, ici et dans les villages avoisinants. Des maisons ont été fouillées, mais sans résultat. Voilà pourquoi il nous a semblé douteux qu’il soit justement ici. Même si on avait vu Ratko dans la rue, personne ne l’aurait dénoncé », assurent-ils.

Avant la Seconde Guerre mondiale Lazarevo s’appelait Lazarfeld et était majoritairement habité par des Allemands de Voïvodine. Après la guerre et le départ des Allemands, les colons se sont installés, venant principalement de Višegrad et de Romanija. Par tradition le Parti radical serbe (SRS) remportait les élections, mais après la scission du SRS, les forces sont regroupées autour des progressistes (SPS) de Tomislav Nikolić.

Source: http://balkans.courriers.info/

Affaire DSK : la famille de la « présumée » coupable refuse d’être achetée !

Toujours bon à savoir. DSK se vautre dans les délits. Je relaie…

FDF

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Préambule. Publier des informations sur l’affaire DSK est une entreprise hautement périlleuse. Je ne compte plus les emails outrés, les injures, les demandes de modération et d’auto-censure que je reçois depuis que tous nos auteurs, sans exception, se sont positionnés dans le rejet de la bouillie médiatique, sans se passer le mot.

Et lorsqu’il m’arrive de rester quelques heures sans en parler… je suis accusé par d’autres d’être devenu complice de l’omerta.

Petite mise au point.

1- je n’ai pas la moindre animosité personnelle contre DSK.

2- j’ai une admiration illimitée pour sa femme, Anne Sinclair, qui dans ce moment foudroyant a volé aux cotés de son mari pour le soutenir. Quel que soit la faute de son époux, son choix est d’une moralité irréprochable et d’une élévation d’âme extraordinaire. Un sondage est rapidement passé à la trappe, où l’on demandait aux femmes si elles soutiendraient leurs maris dans pareilles situations, et une majorité a déclaré que non.

3- je n’attaque pas DSK, j’attaque les mensonges, les bassesses, les crapuleries mêmes, de journalistes complices qui ont abandonné toute morale et de personnalités politique, à gauche, qui piétinent des valeurs que je croyais les leurs.

4- NON – je n’ai pas la certitude de la culpabilité de Strauss-Kahn, car je pense que c’est la justice de New York qui nous apportera des certitudes. La possibilité d’un coup monté, non pas d’un complot, ne peut pas, dans l’état actuel des informations qui sont à notre disposition, être totalement rejetée.

Mamoudou, le frère de la femme de ménage de l’hôtel Sofitel qui a déclaré avoir été violée par Strauss-Kahn, habite un village dans la région de Labe, en Guinée. Chez lui, il n’y a ni électricité, ni eau courante, et les villageois labourent une terre ingrate pour se nourrir.

Reuters a publié son témoignage, après que le New York Post a révélé que des collaborateurs de DSK ont approché la famille pour leur proposer une enveloppe à sept chiffres pour acheter le silence de la femme de ménage.

« Dans notre famille, nous sommes au dessus des choses matérielles » a déclaré l’homme d’environ cinquante ans, et qui a refusé la somme offerte. « Même si vous êtes millionnaire, ce n’est pas notre problème. Le plus important pour nous, c’est comment vous suivez le chemin de Dieu ».

Mamoudou explique que lui et sa famille sont des musulmans pieux, et que la religion, et non l’argent, leur apporte le réconfort. Dans leur salle de séjour, il n’y a que quelques photos de famille au mur, et des textes islamiques.

Mamoudou ne dort plus. « J’ai entendu les nouvelles à la radio, et honnêtement, je ne sais pas ce qui s’est passé. Je veux parler à ma soeur ».

Il ajoute qu’il n’a pas parlé à sa soeur depuis plusieurs années, mais qu’il est sûr qu’il s’agit bien d’elle, en montrant du doigt une photo d’elle un peu floue, en habit traditionnel d’Afrique de l’Ouest.

« Après la mort de son mari, elle a quitté le village parce qu’aucun des frères n’était assez âgé pour l’épouser », explique Mamoudou, en référence aux traditions locales.

« Elle n’a jamais causé de problème à sa famille. C’est une fille calme. C’est comme ça qu’elle a été éduquée ».

« Nous avons du mal à comprendre tout ça, parce que nous n’y sommes pas habitué », ajoute Mamoudou.

« Mais si ma soeur dit ce qu’elle dit, et à cause de son éducation, je la crois ».

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Reproduction autorisé avec la mention suivante, et le lien vers cet article :

© Jean-Patrick Grumberg pour Drzz.fr

http://af.reuters.com/article/topNews/idAFJOE74N0FK20110524

Au Hit-Parade d’Al-Quaïda…

J’en connais qui vont encore se sentir « heurtés »…

FDF

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Clip:  http://youtu.be/1hjuxzPtHxo

Montpellier: l’imam de La Paillade agressé par un « fidèle » !

Et encore une belle démonstration de cette « religion » d’amour, de paix et de tolérance…
FDF
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Frappé, l’imam de la Paillade a été hospitalisé mercredi soir

Les fidèles de la mosquée de la Paillade n’en reviennent pas. Leur imam a été violenté mercredi. Hier soir, il était toujours hospitalisé.
A la sortie de la prière, c’est la consternation. « L’imam était à côté de moi, raconte ce témoin de l’altercation. Il était à la porte de son bureau et ne pouvait pas rentrer. Des gens sont arrivés, ils lui ont dit qu’il n’était plus l’imam et l’ont frappé à la poitrine. ». Cardiaque, le prédicateur a aussitôt été transporté à l’hôpital pour des douleurs thoraciques.

Conflit de personnes
L’auteur des faits ne serait en réalité pas un inconnu. Il se trouve que depuis le début du mois, d’anciens membres du bureau de l’association franco-marocaine, ayant la gestion de la mosquée, sont accusés de vouloir reprendre possession des lieux. Avant l’incident de mercredi, l’imam avait confié à 20 Minutes : « l’ancien secrétaire de l’association s’est auto-proclamé président. Il a changé les serrures de mon bureau, je ne peux plus entrer ». « C’est une tentative de putsch », commentait hier un fidèle, mais ça ne marche pas. Depuis ce qu’ils ont fait à l’imam, ils n’ont pas remis les pieds à la mosquée. On est 3 000 à être derrière lui ». Lhoussine Tahri, le président déchu de l’association explique : « Ce sont toujours les mêmes qui créent des conflits depuis 2009. On avait réussi à les radier. » Un « conflit de personnes » que déplore à voix basse un autre fidèle de la Paillade. Une plainte pour violence a été déposée, complétant celle faite auprès du tribunal administratif mi-mai.

Source: http://www.20minutes.fr/

Castagne à Bastogne (Belgique): la mosquée fermée…

On n’a jamais vu quelqu’un brandir un couteau à la sortie d’une église, désolé. Le bourgmestre de cette ville a entièrement raison. Si de furieux adeptes de la « religion » d’amour, de paix et de tolérance ne peuvent réprimer leur soif innée de violence, et bien on ferme le lieu de culte et c’est tout. Et aux musulmans eux-même de régler le problème en interne…

FDF

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Bastogne: privés de leur mosquée, les fidèles prient à l’extérieur

Suite à des incidents, la mosquée de Bastogne est fermée depuis le 9 mai. Le bourgmestre a pris la mesure pour un mois. En attendant, les fidèles prient à l’extérieur, « même si la météo est peu clémente », explique l’un d’eux.

La commune de Bastogne a décidé de fermer la mosquée suite à une altercation survenue après la prière du soir. L’un des participants avait alors brandi un couteau : « On a peur qu’il y ait un meurtre !« , a témoigné Abdelkader Derfoufi, le vice-président de la mosquée, au micro de Christophe Clément pour RTL-TVI. « Ici, nous avons une personne qui a dépassé toutes les limites donc il faut punir la personne, et pas toute la communauté. On dit que (la mosquée) est une maison de Dieu, comme l’église. Dès lors, je n’accepterais pas non plus que l’on ferme les portes d’une église parce que quelqu’un a fait du mal aux autres« , a pour sa part estimé Mustapha Belfakiri, ancien président de la mosquée.

Privés d’endroit, ils prient à l’extérieur

Une pétition rassemblant plus de 200 signatures réclame la réouverture du lieu. En attendant, les fidèles se rassemblent sur une pelouse qui fait office de parking, pour prier : « La prière se passe ici à l’extérieur, explique Rachid Moumen, trésorier de la mosquée. Le vendredi, on a rassemblé 70 personnes qui ont prié à l’extérieur malgré le mauvais temps !« , a-t-il indiqué.

Le bourgmestre semble être embarrassé

« Nous, nous n’avons aucun problème avec eux. On ne peut pas émettre la moindre critique sur eux, ce sont des personnes très calmes. A part cette dispute-là, je n’ai jamais rien vu », a témoigné Mireille Lejeune, une riveraine. Apparemment embarrassé par cette affaire, le bourgmestre n’a pas souhaité réagir, a précisé le journaliste Christophe Clément. Une réunion de concertation est prévue vendredi.

Source: http://www.rtl.be/

Quand la patrie est trahie par la République…

Une petite piqûre de rappel. Ca fait du bien, de temps en temps…

FDF

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/Article de *Jean RASPAIL* – publié le 29 septembre par Jean-Claude 
Thiodet sur « Notre Journal », média libre d’Info sur Internet de la 
Communauté des Pieds Noirs et Harkis/

http://www.birhakeim-association.org/photos/Raspail%20jean.jpg 
<http://www.birhakeim-association.org/Textes/private/Courrierpetitscos.htm>

J’ai tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence 
d’un colis piégé. Difficile de l’aborder de front sans qu’il vous 
explose à la figure. Il y a péril de mort civile. C’est pourtant 
l’interrogation capitale.

J’ai hésité.

D’autant plus qu’en 1973, en publiant / »Le Camp des saints »/, j’ai déjà 
à peu près tout dit là-dessus. Je n’ai pas grand-chose à ajouter, sinon 
que je crois que les carottes sont cuites . Car je suis persuadé que 
notre destin de Français est scellé, parce qu’« /ils sont chez eux chez 
moi/ » (Mitterrand), au sein d’une « /Europe dont les racines sont 
autant musulmanes que chrétiennes/ » (Chirac), parce que la situation 
est irréversible jusqu’au basculement définitif des années 2050 qui 
verra les « /Français de souche/ » se compter seulement la moitié – la 
plus âgée – de la population du pays, le reste étant composé 
d’Africains, Maghrébins ou Noirs et d’Asiatiques de toutes provenances 
issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de 
l’islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne 
faisant que commencer(1).

La France n’est pas seule concernée. Toute l’Europe marche à la mort.

Les avertissements ne manquent pas – rapport de l’ONU (qui s’en 
réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques 
Dupâquier, notamment -, mais ils sont systématiquement occultés et 
l’Ined pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des 
médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le 
krach démographique de l’Europe des Quinze est l’un des phénomènes les 
plus sidérants de notre époque.

Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis 
regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui 
dans l’incurie des « gouvernances » et qu’il lui faudra affronter dans 
son âge d’homme. Sans compter que les « Français de souche », matraqués 
par le tam-tam lancinant des droits de l’homme, de « l’accueil à 
l’autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un 
arsenal répressif de lois dites « antiracistes », conditionnés dès la 
petite enfance au « métissage » culturel et comportemental, aux 
impératifs de la « France plurielle » et à toutes les dérives de 
l’antique charité chrétienne, n’auront plus d’autre ressource que de 
baisser les bras et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule 
« citoyen » du Français de 2050.

Ne désespérons tout de même pas.

Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des isolats, de 
puissantes minorités , peut-être une quinzaine de millions de Français – 
et pas nécessairement tous de race blanche – qui parleront encore notre 
langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester 
imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont 
été transmises de génération en génération.

Cela ne leur sera pas facile.

Face aux différentes « communautés » qu’on voit se former dès 
aujourd’hui sur les ruines de l’intégration (ou plutôt sur son inversion 
progressive : c’est nous qu’on intègre à « l’autre », à présent, et plus 
le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute 
institutionnellement installées, il s’agira en quelque sorte – je 
cherche un terme approprié – d’une communauté de la pérennité française .

Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de 
survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même 
ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, 
voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et 
catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore.

Cela ne plaira pas.

Le clash surviendra un moment ou l’autre. Quelque chose comme 
l’élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés.

Et ensuite ?

Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que 
par des bernard-l’ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par 
les représentants d’une espèce à jamais disparue qui s’appelait l’espèce 
française et n’annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose 
génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera 
affublée de ce nom.

Ce processus est déjà amorcé.

Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement 
qu’en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon 
avocat, c’est que les derniers isolats résistent jusqu’à s’engager dans 
une sorte de « reconquista » sans doute différente de l’espagnole mais 
s’inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire 
là-dessus.

Ce n’est pas moi qui m’en chargerai, j’ai déjà donné.

Son auteur n’est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour 
à point nommé, j’en suis sûr.

Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de 
perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et 
tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, 
je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France (évitons 
le qualificatif d’ éternelle qui révulse les belles consciences) sur 
l’autel de l’humanisme utopique exacerbé.

Je me pose la même question à propos de toutes ces associations 
omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, 
ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de 
manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l’Etat (éducation, 
magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires 
innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces 
« intelligents » qui jour après jour et impunément inoculent leur 
substance anesthésiante dans l’organisme encore sain de la nation française.

Même si je peux, à la limite, les créditer d’une part de sincérité, il 
m’arrive d’avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je 
sens poindre le mot renégat, mais il y a une autre explication :ils 
confondent la France avec la République.

Les « valeurs républicaines » se déclinent à l’infini, on le sait 
jusqu’à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la 
France est d’abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui 
n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d’idéologie, 
idéologie avec un grand « I », l’idéologie majeure. Il me semble, en 
quelque sorte, qu’ils trahissent la première pour la seconde. Parmi le 
flot de références que j’accumule en épais dossiers à l’appui de ce 
bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l 
étendue des dégâts. Elle est extraite d’un discours de Laurent Fabius au 
congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « /Quand la Marianne de 
nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de 
l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre 
pleinement les valeurs de la *République »*/

*/Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure : 
« Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée 
constitué par les millions d’êtres humains qui partiront un jour de la 
partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les 
espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête 
de survie »/*

*/(Président Boumediene, mars 1974.)/*

*/Et celle-là, tirée du XXe chant de l’Apocalypse :  » Le temps des mille 
ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de 
la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en 
expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des 
saints et la ville bien-aimée »./*

Suisse: « les musulmans de Savièse sont des voyous ».

C’est là que Oskar Freysinger devait recevoir Geert Wilders. Pas mal, ça: la commune de Savièse craint des violences musulmanes… Ils ont donc peur de la « religion » d’amour, de paix et de tolérance? Monsieur Dubuis: fallait pas les laisser envahir votre commune…

FDF

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« Je pensais que la Suisse était un pays libre ! », dit Oskar Freysinger

Craignant des violences musulmanes, la commune de Savièse refuse d’accueillir Geert Wilders qui avait été invité par Oskar Freysinger. C’est ce que les experts américains du Premier amendement appellent l’inacceptable «véto des voyous».

La commune confirme la pertinence du message de Geert Wilders. Elle affirme que les musulmans de Savièse sont des voyous incapables de contrôler leurs pulsions violentes et représentent une menace pour la sécurité d’autrui. 

Oskar et dubuis
Oskar Freysinger, apostrophe Michel Dubuis, president de la commune de Saviese alors que celui-ci informe la presse sur le refus de recevoir le Michel Dubuis le politicien Néerlandais Geert Wilders dans son village. (photo: Keystone)

Oskar Freysinger est furieux. La commune de Savièse refuse d’accueillir, samedi 11 juin, sur son territoire, le controversé politicien néerlandais Geert Wilders que l’UDC avait invité.

Les autorités de Savièse ont estimé, après «une évaluation des risques», que la venue de Geert Wilders le 11 juin dans leur commune représentait un trop grand danger. Elles l’ont annoncé, jeudi 26 mai en début d’après-midi, après avoir reçu hier une demande officielle d’une association islamiste à manifester à Savièse le même jour, indique la radio Rhône FM. Le parlementaire néerlandais avait été convié par Oskar Freysinger à venir s’exprimer sur «l’islamisation de l’Europe» lors d’une soirée à la Halle des Fêtes à l’occasion du lancement de la campagne électorale de l’UDC du Valais romand.

Président de l’UDC du Valais romand, Oskar Freysinger a qualifie la décision d’injuste, rapporte Rhône FM. Pour lui, c’est «le début de la fin des démocraties occidentales» qui «piétinent un principe fondamental qui est la liberté d’expression».

Contacté par «20 minutes», le Conseiller national confirme être sidéré par la décision des autorités du village où il réside. «Je ne pensais vraiment pas qu’il allait interdire la venue de Geert Wilders. Le président de la commune, le socialiste Michel Dubuis, connaissait depuis le 19 mars l’identité de la personnalité invitée. Peut-être n’a-t-il pas réalisé qui était Geert Wilders et pas eu le réflexe de se renseigner?», note Oskar Freysinger.

Et de s’offusquer: «Les autorités ont plié après l’annonce d’une manifestation de musulmans du Conseil central islamique suisse (CCIS), un organisme présidé par le Biennnois Nicolas Blanchot. C’est un comble! Quand ce sont des extrémistes musulmans qui se rassemblent en Suisse, comme à Bienne, ils peuvent le faire. Quand c’est Freysinger, un élu fédéral, qui invite quelqu’un au discours certes musclé mais qui est un élu d’un pays démocratique, à venir s’exprimer, on l’interdit! Moi qui pensait que l’on vivait dans un pays libre, je suis effaré!».

La section locale du parti agrarien n’entend toutefois pas renoncer à recevoir Geert Wilders en Valais. Jeudi matin à 10h, elle a trouvé une solution alternative en louant une salle de 220 places au centre de conférences Giroud, à Sion. Le propriétaire de la salle indique espérer que la venue de Geert Wilders «se passe dans le calme».

«La salle de la Cave Giroud est beaucoup plus petite que celle de la Halle des fêtes de Savièse. On va passer d’une capacité de 1000 places à 220! Il faudra réfléchir si cette soirée privée se fera sur invitations. Pour la sécurité en dehors de la salle, ce ne sera pas mon problème», relève encore Oskar Freysinger. […]

Source : 20 Minutes,

Révolté par certaines pratiques sur le terrain en Afghanistan, un jeune aumônier militaire rompt le silence.

Tout ça, on ne le savait pas… Et pour cause.

FDF

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Lettre ouverte au ministre de la Défense


Gérard LonguetLe rapport de mission en Afghanistan du père Benoît Jullien de Pommerol, aumônier du 2e régiment étranger de parachutistes (Calvi), a suscité de vives réactions au sein de l’état-major, dont l’enquête interne est sévère. Elle parle de « témoignages déformés tels que rapportés », de « manque de nuances et de tolérance ». Certains officiers jugent “exagérées”, “approximatives”, voire “indignes” d’un homme d’Église les critiques exprimées par l’abbé de Pommerol. La publication de son document (qui aurait dû rester confidentiel) a conduit des députés de la commission de la défense nationale et des forces armées de l’Assemblée, à commencer par son président, Guy Teissier, à auditionner le “padre”. Nos lecteurs avaient pu lire dans notre édition du 20 janvier de larges extraits de son rapport, reproduit en intégralité sur notre site. Cette publication avait entraîné un abondant courrier, très largement approbateur, notamment dans la communauté militaire. Certains témoignages étaient même venus compléter le catalogue d’“incidents” fourni par le “padre”. Une fois ce débat ouvert, notre rédaction a donné la parole, la semaine dernière, à Mgr Luc Ravel, évêque aux armées, supérieur hiérarchique de l’abbé de Pommerol. Mgr Ravel a pu nous donner son appréciation, souvent critique, sur la forme et le fond de ce rapport.

La publication de l’interview de Mgr Ravel a coïncidé avec la sortie, au Journal officiel le 17 mai, de la réponse de Gérard Longuet, ministre de la Défense, à une question du député UMP Jean-Claude Bouchet. Choqué que le ministre ne l’ait pas entendu avant sa réponse officielle qui le met publiquement en cause, le père de Pommerol a décidé de réagir publiquement, en écrivant directement à Gérard Longuet. Sa “lettre ouverte” porte sur quelques points particuliers de l’opération en Afghanistan (4 000 soldats français engagés) mais elle est une pièce de plus dans le débat sur les raisons de notre présence dans ce pays.

Père Benoît Jullien de Pommerol » Monsieur le Ministre, Après la publication malheureuse, sur Internet et dans la presse, de mon rapport de fin de mission en janvier dernier, j’ai délibérément choisi de garder le silence et de refuser toutes les sollicitations (articles, conférences, etc.), afin de laisser les autorités militaires et vos services travailler et enquêter dans la sérénité, attendant d’être moi-même interrogé.

Cela me semble aujourd’hui vain, puisque vous publiez, au Journal officiel du 17 mai 2011, une réponse à la question écrite de Monsieur le député Bouchet (question n° 100539 au JO du 22/02/2011), dans laquelle vous mettez en cause l’exactitude des faits que je rapporte, sans que jamais je n’aie été entendu par ceux qui ont mené les enquêtes aboutissant à cette conclusion. Ni les autorités militaires, ni la DPSD, ni vos services, personne ! Quelle étrange façon d’enquêter…

J’aurais pourtant pu vous préciser le sens de ma démarche. Je le fais donc ici, et publiquement, puisque mon honnêteté est maintenant mise en cause pu bliquement. Ce que je dénonce dans le rapport n’est en fait que le prolongement de ce qui se passait il y a vingt ans, lors de la guerre du Golfe. Déjà, la soumission à l’islam y est flagrante.

Cela commence à l’arrivée au port de Yanbu (Arabie Saoudite), lorsque les soldats français débarquent des bâtiments de la Marine nationale. La police religieuse saoudienne les attend au bas de la passerelle, vérifiant, en écartant les cols de treillis, que les militaires ne portent pas de croix autour du cou ; et si c’est le cas, la croix est retirée, mise dans une enveloppe et retournée en France.

Avant même d’arriver, des consignes incroyables ont été données : ne pas transporter de porc ou d’alcool dans ses bagages ; ne pas s’en faire envoyer dans des colis (la prévôté a même la mission sur place de le vérifier en ouvrant des colis au hasard, confisquant et détruisant les victuailles interdites par l’islam) ; ne pas arborer de croix rouges sur les véhicules sanitaires… Tout cela en dit long sur l’état d’esprit de la mission et ceci jusqu’au bout…

Au retour, après des morts et tant de blessés, transitant par Yanbu pour partir vers la France, nos convois routiers sont obligés de faire des dizaines de kilomètres supplémentaires pour contourner notamment la ville de Zilfi, interdite aux non-musulmans. Quelle incompréhension chez nos admirables soldats qui l’acceptent, malgré tout, sans que le pouvoir politique ne s’en offusque, trouvant sans doute cela normal.

En fait, il y eut une réaction : celle du ministre de la Défense, Monsieur Jean-Pierre Chevènement. Indigné par l’interdiction des concerts d’Eddy Mitchell prévus à Noël 1990, il annula, en guise de protestation, un entretien avec son homologue saoudien. En exprimant ses regrets, il précisa que « les chansons d’Eddy Mitchell ne menacent pas les valeurs islamiques, pas plus qu’elles ne menacent en France les valeurs chrétiennes ». Que les valeurs chrétiennes soient menacées par les consignes saoudiennes interdisant les croix, les aumôniers militaires ou les objets religieux non musulmans en général ne sembla pas gêner vraiment le ministre.

Doit-on aussi accepter sans s’indigner, Monsieur le Ministre, le fait que les forces françaises offrent aujourd’hui en Afghanistan des tapis de prière à la gloire de l’Arabie Saoudite (avec les cimeterres et le palmier) ? Je tiens un exemplaire à votre disposition, envoyé par des soldats français lassés de tout cela.

Doit-on accepter sans s’indigner que les forces françaises offrent une mosquée au village de Landakhel, bâtiment construit grâce à l’argent du contribuable français ? Qu’il soit imposé à des militaires féminins de se couvrir la tête au nom de l’islam ? Qu’il soit décidé par un général que tous les soldats français de sa zone mangeraient halal, qu’on organise un repas de fin de ramadan au profit des Afghans, etc. ?

Les Saoudiens, en 1991, ne nous avaient pas imposé tout cela. N’est-il pas choquant que nos propres chefs, dans notre armée républicaine et laïque, décident de nous l’imposer en 2010 ?

Je vous l’assure, Monsieur le Ministre : les faits que je rapporte ne sont ni “exagérés” ni “approximatifs”, pour reprendre les termes utilisés à mon égard dans votre réponse à Monsieur le député Bouchet.

Vous affirmez qu’un « militaire féminin a reçu l’ordre de se couvrir les che veux pour se protéger ». La protéger de qui, de quoi ? « Des regards d’un certain nombre d’Afghans ? », fut-il répondu à Mgr Ravel. Puisque cet ordre de se couvrir les cheveux n’est plus donné aujourd’hui, j’en déduis que les Afghans n’ont plus de “regards”. Marchent-ils les yeux fermés ?

Vous écrivez que ce fut « pour remplir une mission particulière ». Tous ceux qui ont assisté à cette scène savent que ce n’est pas la réalité. Mais quelle mission particulière pourrait requérir que les féminines couvrent leur tête avec un chèche ? Et sachez qu’il ne s’agit pas que d’un seul militaire féminin. Il y eut plusieurs cas. Je tiens des photos et des témoignages à votre disposition. Peut-on justifier cela par “un contexte opérationnel spécifique” ? Un contexte qui serait alors propre à la France puisque les autres pays de la coalition ne demandent pas cela.

Le fond du problème, Monsieur le Ministre, est que nous n’avons pas de consignes claires. Mgr Ravel évoque cette lacune dans son interview du 19 mai à Valeurs actuelles, à propos des « lignes directrices sur le juste et le légitime ». Notre évêque aux armées affirmait aussi le 23 février 2011 (dans la Nouvelle République) que « les chefs doivent mener une réflexion pointue afin de définir des consignes claires pour ceux qui sont sur le terrain ». Il serait temps d’avoir ces consignes. Cela fait dix ans cette année que nous sommes engagés en Afghanistan.

Comme “consigne claire”, je reçois de la part d’un général un courrier, approuvé par le chef d’état-major de l’armée de terre, m’expliquant combien j’ai tort, me précisant ceci : « Une fillette au bras d’un adulte ou des femmes voilées ne sont pas en soi choquant ! Et même demander à un sous-officier féminin de se couvrir la tête pour éviter d’éventuelles convoitises ou regards déplacés peut se révéler judicieux. Cela dépend du contexte local. » Je me souviens, Monsieur le Ministre, des larmes des femmes afghanes voyant nos militaires féminins vivre “normalement”, sans le joug du voile. Je ne peux alors m’empêcher de penser que ce général est gravement décalé.

Mon interprétation des faits serait, selon votre réponse, en « total décalage » avec « la finalité de l’engagement opérationnel de la France en Afghanistan ». Mais si je me réfère à ce que disait en 2008 le chef de l’État, chef des armées, le président Nicolas Sarkozy, qui est vraiment en décalage ? N’expliquait-il pas que nous étions aussi en Afghanistan pour, qu’un jour, les femmes afghanes n’aient plus à porter la burqa ? C’est bien l’ordre d’imposer le voile à nos féminines qui me semble « en total décalage avec la finalité de l’engagement opérationnel de la France en Afghanistan ».

Jusqu’à quand, Monsieur le Ministre, resterons-nous dans le flou et laisserons-nous tant d’amertume dans le cœur de nos soldats qui remplissent, malgré tout, si excellemment leur mission sur ce théâtre si difficile ? Me tenant à votre entière disposition si vous souhaitez m’entendre sur ces sujets, je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de ma haute considération.

Père Benoît Jullien de Pommerol, aumônier du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi, actuellement coordinateur JMJ du diocèse aux armées (Journées mondiales de la jeunesse, à Madrid du 16 au 21 août). www.jmj-armees.fr

Vu sur: http://www.valeursactuelles.com/actualités/monde/lettre-ouverte-au-ministre-de-défense20110526.html

Encore une victoire pour Geert Wilders!

Ils auront beau tout essayer; ils ne réussiront jamais à le faire taire. La raison l’emporte sur l’idéologie malsaine de l’islam.

Bravo, Geert: nous sommes tous avec toi !

FDF

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Le parquet requiert à nouveau la relaxe de Geert Wilders !

« Le parquet n’a pas changé d’avis, nous recommandons la relaxe », a déclaré le procureur Paul Velleman lors d’une audience retransmise en direct sur internet par la télévision publique néerlandaise.

Le parquet néerlandais a à nouveau requis mercredi la relaxe du chef de file de l’extrême droite néerlandaise Geert Wilders, jugé à Amsterdam pour incitation à la haine raciale et à la discrimination envers les musulmans. « Le parquet n’a pas changé d’avis, nous recommandons la relaxe », a déclaré le procureur Paul Velleman lors d’une audience retransmise en direct sur internet par la télévision publique néerlandaise.

Geert Wilders, qui encourt jusqu’à un an de prison ou 7.600 euros d’amende, est poursuivi notamment pour avoir comparé le Coran au « Mein Kampf » d’Adolf Hitler, dans des déclarations faites entre 2006 et 2008 dans des journaux néerlandais, sur des forums internet et dans son film de 17 minutes « Fitna » (« Discorde », en arabe).

« Ses commentaires peuvent provoquer de l’anxiété et de l’aversion, mais ils ne sont pas punissables par la loi », a affirmé M. Velleman. « Critiquer une religion n’est pas une offense punissable », a pour sa part affirmé Birgit van Roessem, une autre représentante du parquet, estimant que les critiques de M. Wilders, 47 ans, sont dirigées vers l’Islam et non envers les musulmans.

Le parquet avait déjà requis la relaxe du député d’extrême droite le 15 octobre 2010, mais les premiers juges de M. Wilders ayant été récusés le 22 octobre à la demande du prévenu, qui avait mis en doute leur impartialité, le procès qui s’était ouvert le 4 octobre avait été arrêté. Les nouveaux juges avaient ordonné le 30 mars la reprise du procès.

Le ministère public néerlandais avait décidé en 2008 de ne pas engager de poursuites contre M. Wilders à la suite de plaintes déposées contre lui. Mais il y avait été finalement contraint, le 21 janvier 2009, par la cour d’appel d’Amsterdam.

Le Parti pour la Liberté (PVV) de Geert Wilders, arrivé troisième aux élections législatives du 9 juin 2010, a apporté son soutien au gouvernement du Premier ministre libéral, Mark Rutte.

Source: http://www.lalibre.be/

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« Il est temps que les bons se rassurent et que les méchants tremblent »

Louis-Napoléon Bonaparte