Un petit gif vaut mieux qu’un long discours… Et avec de l’humour, ça passera mieux.
FDF
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« Suspendu »… Ca ne veut pas dire stoppé. « Suspendu », ça veut dire « en attendant de trouver un autre moyen de mettre la main au portefeuille du peuple » au nom de la sécurité routière. Mais là, Guéant colle un affront à Fillon; c’est à dire à Sarkö Ier… M’étonnerait que ça se passe sans douleurs. D’ici à ce que l’on se voit « doté » d’un nouveau ministre de l’Intérieur (encore ?)… Pas de bisbrouille à l’UMP avant les présidentielles; ça vaut mieux. En attendant, on temporise…
FDF
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Alors que le Premier ministre François Fillon se voulait inflexible sur le retrait des panneaux signalant les radars ce matin, le ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, a annoncé la suspension de leur démontage. Un rétropédalage du gouvernement sûrement dû à la fronde des députés UMP contre ce projet.
Le démontage des panneaux signalant les radars fixe est suspendu jusqu’à « une concertation locale » et un « radar pédagogique » remplacera à terme chaque panneau, a précisé Claude Guéant, lors de la réunion bi-hebdomadaire du groupe UMP à l’Assemblée nationale.
« Il y aura toujours un radar pédagogique avant un radar fixe mais il y aura aussi des radars pédagogiques qui ne seront pas suivis de radars fixes », a lancé le ministre de l’Intérieur, sous les applaudissements des députés UMP réunis salle Colbert.
Ces déclarations vont à l’encontre de celles du Premier ministre qui, un peu plus tôt lors de la réunion, avait déclaré que « tous ceux qui ont des propositions en matière de sécurité routière doivent être entendus. Mais que le gouvernement ne reviendra pas sur la fin de la signalisation systématique des radars ».
« Les annonces de Claude Guéant nous donnent entière satisfaction. Ces mesures de bon sens correspondent tout à fait à ce que nous demandions », s’est félicité M. Meunier, qui faisait partie des députés UMP les plus remontés contre les nouvelles mesures du gouvernement sur la sécurité routière.
Près de 80 députés UMP avaient écrit lundi au Premier ministre François Fillon pour lui faire part de « la profonde exaspération » exprimée par des « milliers » d’électeurs contre ces mesures.
Dans l’entourage du ministre de l’Intérieur, on tente de désamorcer le début de polémique entre Claude Guéant et François Fillon. « Il n’y a aucune divergence entre ce qu’ont dit le Premier ministre et le ministre de l’Intérieur devant le groupe UMP. Ce dernier n’a fait que préciser les choses en accord total avec le Premier ministre », a affirmé une chose proche du ministre de l’Intérieur.
« Ce qu’a dit le ministre, et il l’avait annoncé aux députés la semaine dernière, c’est que des commissions départementales de concertation, réunissant des représentants de l’Etat et des élus, vont se réunir pour discuter de la suppression des panneaux », a-t-on expliqué. « Le retrait des panneaux se fera dans la concertation », mais ils « seront retirés in fine », a-t-on prévenu.
Source: http://www.ladepeche.fr/
Donnée « favorite » pour remplacer DSK à la tête du FMI (probablement « appuyée » par Sarközy…) , Christine Lagarde est déjà dans le collimateur de la justice… Attendons la suite.
FDF
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La contractuelle a engagé une action devant le tribunal administratif de Paris, révélée par le site d’informations Mediapart, pour contester la décision de Bercy qui a refusé de la titulariser après plusieurs contrats à durée déterminée.
Dans un mémoire destiné au tribunal administratif publié par Mediapart, l’avocat assure que le « véritable objet a été, en fait, de sanctionner Mme Asmani d’avoir manifesté, en sa qualité de conseiller UMP de Paris, une indépendance jugée excessive » et d’avoir rejoint « le courant centriste ». Le nom de Christine Lagarde est actuellement évoqué pour succéder à Dominique Strauss-Kahn à la tête du FMI.
L’affaire doit être prochainement examinée
Le secrétaire général des services de Bercy, Dominique Lamiot, a affirmé que Lynda Asmani « ne remplissait pas les critères qui auraient permis la transformation de son contrat à durée déterminée en contrat à durée indéterminée ». « Il ne s’agit pas d’une sanction politique », a-t-il assuré. L’affaire doit être prochainement examinée par le tribunal administratif de Paris.
Dans un second dossier, révélé également par Mediapart, ce même tribunal a ordonné en décembre au ministre de l’Economie de « poursuivre des investigations » concernant d’éventuelles « pratiques concurrentielles » reprochées par un opérateur boursier à Euronext, qui gère notamment la place de Paris. Cette enquête, à laquelle le ministère avait mis fin, portait sur de possibles « pratiques tarifaires discriminatoires » à l’encontre « des négociateurs pour compte propre nouvellement admis sur les marchés financiers ».
Source: http://www.lefigaro.fr/
Franchement, pour des enfants de cet âge, le patrimoine anglais a bien d’autres choses à leur montrer qu’une mosquée… Ils ont « eu chaud », les mômes. A un âge où ils sont malléables à souhait, cette visite aurait pu leur faire plus de mal qu’autre chose. D’où la façon dont trouvetamosquee.fr/ relate les faits. Voyez plus bas…
FDF
« Selon la directrice : « A la lumière des derniers événements politiques (…) j’ai pris la décision d’annuler la visite de la mosquée. »
Un groupe d’élèves âgés de 5 à 6 ans avait prévu le 24 mai prochain de visiter la mosquée Hounslow Jamia. La sortie prévoyait une visite de la mosquée et une observation de culte islamique. La classe devait rencontrer et échanger avec des élèves d’une école musulmane de la ville.
Consternés par cette décision, les parents se sont réunis pour contester le choix de la directrice. Ils ne comprennent pas qu’une directrice d’écoles puisse tenir ce genre de propos. Un parent explique à Dailymail que « cette décision est la plus bizarre et la plus ridicule que j’ai jamais entendu. Ce choix de la directrice traduit son ignorance et son sectarisme. »
« Comment fais-je expliquer cette décision à mes enfants ? » demande un parent. Alors que les enfants devaient découvrir les pratiques de l’islam par eux même, la directrice en a décidé autrement. Avec beaucoup d’ignorance et pour la sécurité des enfants, on peut dire de belles âneries. »
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Sadik, taillé comme un déménageur, ne fait pas dans la dentelle quand il s’énerve. Ce jour du 11 mars dernier, il est sur un parking de Bel-Air, pour bricoler la voiture de son copain Nouredine. Vient à passer un autre copain, Nicolas, qui s’arrête et commence à discuter. Une petite conversation entre potes, pendant que Nouredine continue à bricoler son moteur. Sadik propose à Nicolas de lui vendre une Golf rouge, pour 300 €.
Nouredine s’approche, pour donner son avis : « Une bonne occase… ». Mais il n’aura pas le temps de finir sa phrase : Sadik interprète tout de travers et pense que son copain se mêle de ce qui ne le regarde pas. Ni une ni deux, il fonce vers sa voiture, en sort un marteau de belle taille et commence à taper sur la voiture en rade de Nouredine. Manque de chance pour lui, le marteau se casse. Où sont les outils d’antan, on se demande… Qu’à ce la ne tienne, Sadik a de la ressource : de son coffre, il sort une hache, et tape comme un sourd directement sur le moteur de la voiture. Voyant le carnage, Nouredine se précipite et tente d’arrêter le massacre. Mal lui en prend, Sadik lui assène un violent coup de hache sur le poignet. Alors que le sang gicle partout, Sadik retourne à son entreprise destructrice de moteur.
Après avoir nié toute responsabilité, disant aux policiers que son pote s’était blessé tout seul en laissant retomber le capot sur sa main, il finit par avouer devant le tribunal : « Ouais, mais j’ai pas fait exprès, c’est un accident involontaire, je ne voulais pas lui faire mal ». « On a du mal à vous croire, réplique la présidente. Sa main était très loin du moteur. Et que dire de la suite… » Résultat des courses : tous les tendons extenseurs du poignet tranchés. Un carnage là aussi. D’après les psychiatres, Sadik présente une « personnalité explosive et colérique ». On en voit le résultat. Quant à la suite qu’évoquait la présidente ; il s’agit de menaces : à peine sorti de la clinique, Nouredine est abordé par Sadik : « Si tu leur dis quoi que ce soit, tu sais ce qui t’attend. Je sais où te trouver… T’as intérêt à leur dire que tu t’es fait ça tout seul ».
« Prétendre que les blessures sont involontaires ne tient pas debout, constate le procureur Puyo. L’accident était impossible et son ami était bien sa cible. Pour ce déferlement de violence, je demande la peine plancher, puisqu’il est en récidive légale : 2 ans de prison. »
L’avocate de la défense va s’attacher à démontrer que son client n’était pas responsable de ses actes : très perturbé au plan psychiatrique, il devrait bénéficier d’une expertise. Mais le tribunal va en décider autrement : « 2 ans de prison dont un an avec sursis mise à l’épreuve pendant 18 mois, obligation de soins et interdiction de rencontrer la victime. »
Source: http://www.ladepeche.fr/
La victime: issue de l’immigration. Le tueur: issu de l’immigration… Les deux sont considérés comme « gentils ».
Conflit amoureux sur fond de conditions de vie déplorables. Mouhais; autre chose, svp… Ca se passera de commentaires.
FDF
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Les habitants des 399 logements de cette résidence du Mirail vivent dans la plus grande insalubrité./ Photo DDM XdF.
La résidence des Castalides, là où un jeune homme est mort samedi soir de 13 coups de couteau, est connue pour son insalubrité. Les conditions de vie y sont déplorables.
Moussa Adim, l’homme de 25 ans tué, dans la nuit de samedi à dimanche, résidence les Castalides à Toulouse, a reçu pas moins de 13 coups de couteau. Son agresseur, un voisin de palier âgé de 46 ans, a reconnu les faits lors de sa garde à vue.
Hier, le drame était dans tous les esprits des habitants de cette résidence délabrée de l’avenue Aristide-Maillol dans le quartier du Mirail. Les scellés sur les portes des deux protagonistes et des traces de sang sur le sol témoignaient encore de cette nuit d’horreur. « Je l’ai trouvé là, devant ma porte, il était en sang, témoigne un proche voisin. L’autre était là aussi, il tournait en rond. »
Ce terrible événement ajoute encore au triste tableau que présente cet immeuble de 399 habitations où vivent des personnes âgées, des familles avec enfants et des personnes seules. Lorsqu’on pénètre dans les lieux, la vitre de la porte d’entrée est étoilée et parsemée de trous. Dans le hall, les boites aux lettres bancales sont ouvertes.
Le drame s’est produit au quatrième des sept étages que compte la résidence. L’ascenseur est en panne. « Il n’a marché que deux jours », se désole un habitant. Il faut alors emprunter un couloir sombre jusqu’à l’escalier de secours, à l’extérieur, au pied duquel s’entassent des détritus nauséabonds.
Au terme d’une vertigineuse montée, interminable pour une personne âgée ou une mère de famille de retour des courses, on trouve de nouveau un long couloir sans lumière. Au plafond, des fils pendent. Sur le sol crasseux traînent des mégots de cigarette, des canettes de bière. Beaucoup d’appartements sont squattés. À l’intérieur, les murs suintent. Le confort est rudimentaire. « La télé ne marche pas. Pareil pour le chauffage. »
Le meurtre s’est produit au bout du couloir. Des traces de pas sont encore incrustées dans du sang. « On a dû tout nettoyer tout seuls. Le ménage n’est jamais fait, déplore un voisin. Nous avons fait une pétition. »
Dans le couloir, les habitants se réunissent. Certains se souviennent de cette nuit de samedi à dimanche. « Il était par terre. Il avait mal. On a appelé les secours. Mais on a l’impression d’être moins bien traités que les autres parce qu’on habite ici. »
Même s’ils logent dans ces conditions déplorables, les résidents des Castalides ne vivent pas pour autant renfermés sur eux-mêmes. « On se connaît tous. La victime comme son agresseur sont des garçons gentils. On ne sait pas ce qui s’est passé. » Hier soir, dans le couloir crasseux du 4e étage, un repas a été improvisé à la mémoire de Moussa Adim.
La résidence des Castalides est repérée depuis plusieurs années comme une véritable verrue à Toulouse. Toulouse habitat est propriétaire de 180 des 399 logements. « Nous intervenons à la demande la mairie depuis 2006-2007 en rachetant des logements, explique Bernard Guinio, directeur général adjoint d’Habitat Toulouse. Depuis mi-janvier, nous avons réussi à être nommés syndic. Mais avec le budget que nous avons, nous ne pouvons pas faire grand-chose ». La réhabilitation complète de l’immeuble prendra 10 à 12 ans. « Mais il y a des choses urgentes qui seront faites plus rapidement comme la sécurité incendie et électricité. » Habitat Toulouse affiche une vraie volonté. « Mais il faudra du temps. »
Belkacem Kherif, l’homme de 46 ans soupçonné d’avoir tué à coups de couteau son voisin de palier, Moussa Adim, 25 ans, dans un immeuble situé rue Aristide-Maillol, à Toulouse, dans la nuit de samedi à dimanche, a été déféré au parquet hier soir. Il devait être présenté devant un juge qui devait lui signifier sa mise en examen pour homicide volontaire. Lors de sa garde à vue, le mis en cause aurait reconnu avoir porté des coups de couteau à son voisin, au quatrième étage de l’immeuble des Castalides, pour régler un conflit amoureux. Hier, l’autopsie a révélé la présence de treize coups de couteau sur le corps de la victime. Seul un coup serait à l’origine de la mort. Lorsque les policiers sont arrivés sur la scène de crime, dimanche peu après 1 heure du matin, ils ont retrouvé la victime gisant dans une mare de sang au quatrième étage de l’immeuble, les Castalides. Le suspect se tenait non loin de là et a été aussitôt interpellé. Cet immeuble de 350 logements cristallise depuis longtemps la colère et l’indignation de nombreux riverains et habitants dénonçant l’insalubrité des lieux.
Source: http://www.ladepeche.fr/
Et on se demande pourquoi… Là, ce serait nécessaire. Après les prières de rues, voici les prières de canaux. Tous les vendredis en apnée, les momos.
FDF
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Là, ils vont être « heurtés »… Sûr.
FDF
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Trente mètres pour se mettre en règle avec la loi |
Pas content, le momo…
Tags: étrangers, chances pour la France, commentaires, délinquance, diversité, francaisdefrance, identité nationale, immigration, invasion, islamisation, justice, loi, musulmans, provocation, racisme anti blancs, racistes anti blancs, stigmatisation
Et encore un commentaire qui nous démontre que les « racistes » ne sont pas ceux qu’on veut bien nous faire croire. En outre, celui-ci profère des menaces de mort. On prévient la Halde? SOS Racisme? Pas la peine, du moment que c’est du racisme anti-blancs, ce n’est pas punissable…
FDF
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Auteur : belleville (IP : 82.255.98.90 , lns-bzn-42-82-255-98-90.adsl.proxad.net)
E-mail : taar95@hotmail.fr
Adresse : http://;
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Commentaire :
une suite de document qui falsifie l’histoire de façon xénophobe, et et cherche a donné un sens a une opposition historique imaginaire (mais tan rêvée pars certaine personne)entre les beau blancs francais européeens propres gentils chrétiens, etles moches basané arabes « bougnouls » sales méchants muslmans terroriste voleur violeur égorgeurs. mais bon on a l’habitude mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr A MORT LES PORCS
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