Francaisdefrance's Blog

21/05/2011

Quand deux pointures du patriotisme se rencontrent…

Faites attention quand-même, les gars; ce sont des malades, les fous d’Allah…

Je devrais pouvoir être là, le 11 juin.

FDF

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Oskar Freysinger invite Geert Wilders en Valais

Le 11 juin prochain, le député néerlandais donnera à Savièse une conférence sur l’islam. Polémique assurée

Oskar Freysinger ne boude pas son plaisir. Gourmand. Au goût de la provocation s’ajoute un sens certain de la mise en scène et la joie évidente de faire un coup qui devrait marquer la campagne politique de ce début d’été. Le 11 juin prochain, l’UDC valaisan recevra dans son village de Savièse le très controversé député néerlandais Geert Wilders, fondateur du Parti pour la liberté. Une formation d’extrême droite qui se distingue par un discours particulièrement musclé à l’encontre de l’islam, et qui est depuis juin 2010 la troisième force politique du pays.

«Ce n’est pas évident d’avoir en Valais des gens aussi prestigieux», fanfaronne le conseiller national en racontant comment s’est organisée cette visite, la première du député néerlandais dans notre pays. «Je connaissais son attaché de presse, qui avait une fois mangé la raclette chez moi. C’est lui qui m’a contacté, en me disant que Geert Wilders aimerait bien venir en Suisse.» Oskar Freysinger n’hésite pas une seule seconde et opte pour un scénario «à la valaisanne», dit-il, «directement dans le fief»! Plutôt qu’une conférence à Genève, Berne ou Zurich, en présence des élites UDC, le Valaisan réserve la salle de gymnastique de Savièse. L’incontournable conférence de presse se tiendra à la cantine du terrain de football, qui jouxte le bâtiment. Le choix est totalement assumé.

«Imaginez: l’homme du Plat Pays dans les reliefs encore libres des Alpes! Ce sera pour lui une expérience enrichissante, dans un milieu préservé, qui est totalement différent de ce qu’il connaît à Amsterdam. Nous partageons les mêmes préoccupations par rapport à l’islamisation de la société et ce sera intéressant qu’il nous explique le quotidien d’une grande ville aux prises avec ce problème», explique le Valaisan. Geert Wilders s’exprimera en allemand, Oskar Freysinger assurant personnellement la traduction. «Avec mon avocat, on vérifiera qu’il n’y a pas de problème dans son discours, mais je n’ai pas l’intention de censurer ses propos.»

Il y a quelques mois, la Grande-Bretagne avait interdit l’entrée sur son sol de Geert Wilders. Rien de tel en Suisse, assure Oskar Freysinger. Mais un solide service d’ordre sera mis sur pied, en collaboration avec la police valaisanne pour éviter les débordements. Sous le coup d’une fatwa, Geert Wilders est constamment accompagné de six policiers.

Il y a une trentaine d’années, la venue du leader du Front national Jean-Marie Le Pen à Sion avait
indigné une partie du Valais. Qu’en sera-t-il cette fois? Adversaire politique de Freysinger, le rédacteur en chef du journal radical
Le Confédéré, Adolphe Ribordy, trouve l’invitation de très mauvais goût. «Je ne crois pas que cela va intéresser beaucoup de monde en Valais. Mais ce n’est pas bon pour l’image du canton, cela nous fait passer pour des gens d’extrême droite. On sent une réprobation croissante en Valais à l’égard des provocations de l’UDC», affirme le journaliste.

Le conseiller national Paul- André Roux, lui, se refuse à condamner la venue de Geert Wilders. «J’ai beaucoup trop de respect pour la liberté d’expression. Même si certains trouveront cette visite choquante, c’est une des forces de notre démocratie. Je n’irai pas écouter Geert Wilders, car c’est un personnage détestable. Mais tant qu’il n’y a pas de débordements, cela ne me dérange pas», explique le démocrate- chrétien, qui ne croit pas que la visite provoquera de grosses polémiques en Valais. Le reste de la Suisse s’en chargera sans doute.

Source: http://www.tdg.ch/

Italie – Des islamistes ont tenté de détruire une fresque du 14e siècle dans une église. Elle dépeint Mahomet en enfer !

Et pourtant, sa place est bien là… « Heurtés », les momos…
FDF

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Une fresque du 14e siècle dépeint Mahomet en enfer

Les visiteurs de la magnifique église de St. Petronio à Bologne sont maintenant fouillés par la police italienne avant d’entrer. En effet, outre des protestations de musulmans qui sont offensés par une représentation de Mahomet dans une fresque du 14ème siècle, il y a eu des tentatives infructueuses de la faire sauter.

Le Jugement dernier, par le peintre de la Renaissance Giovanni di Modena, montre un diable tirant le corps nu de Mahomet en enfer en tant qu’hérétique. Dans un contexte d’échec des croisades en Terre Sainte, l’Église catholique au 14e siècle n’avait pas envie de coexistence religieuse.

Maintenant, c’est l’Islam militant qui est sur l’offensive. Des sources à Bologne disent que les forces de sécurité ont empêché au moins deux tentatives de sabotage de la peinture par des extrémistes islamiques.

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http://www.pointdebasculecanada.ca/brev … -enfer.php

Mort de Ben Laden: la stigmatisation encore et toujours…

Tiens: ça vous changera de DSK…

FDF

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La fille de 12 ans d’Oussama Ben Laden: «On a tué mon papa après l’avoir capturé»

La plus jeune fille de Ben Laden aurait vu son père se faire capturer vivant, puis être abattu par les membres du commando d’élite américain, selon des officiels pakistanais anonymes. Elle n’a que 12 ans.

Oussama Ben Laden était entouré d’au moins 16 membres de sa famille, lorsque les Américains se sont brusquement invités chez lui dans la nuit de dimanche à lundi, dans sa cache spacieuse d’Abbottabad, à une soixantaine de kilomètres au nord d’Islamabad. 16 membres dont une de ses filles âgée de douze ans, qui se serait confiée aux officiels pakistanais avant que ceux-ci ne relaient son témoignage à la chaîne d’information continue Al-Arabiya basée à Dubaï.

Selon la fillette, son père a été capturé vivant, traîné sur le sol, et seules quelques minutes se sont écoulées avant que le commando américain ne lui loge une balle dans la tête. Selon un officiel pakistanais dont l’identitié n’est pas dévoilée, Ben Laden aurait d’abord été touché « à la jambe ou à l’épaule ».

La même source affirme par ailleurs avoir récupéré 4 corps criblés de balles, et avoir arrêté huit autres personnes présentes, dont 2 femmes et six enfants âgés de 2 à 12 ans qui seraient « désormais soignés à l’hôpital militaire de Rawalpindi, à côté d’Islamabad, où ils ont été emmenés par hélicoptère ».

Oussama aurait eu son médecin personnel auprès de lui

Parmi ces personnes interpellées, figurerait une des épouses d’Oussama ben Laden ainsi qu’une autre femme, yéménite, qui pourrait être le médecin personnel de la famille, dont Ben Laden aurait eu besoin en permanence pour souffrir d’insuffisance rénale chronique. Selon une des femmes arrêtées, tout ce beau monde aurait emménagé dans ce lieu « seulement 5 à 6 mois » plus tôt.

Un des 4 cadavres gisant sur le sol après l’opération militaire américaine, serait une femme, peut-être une des nombreuses femmes de l’ennemi public numéro un polygame, qui aurait tenté de s’interposer, au prix de sa propre vie, toujours selon cette même source pakistanaise anonyme.

Mais seuls deux des quatre corps auraient pu être emmenés, Oussama Ben Laden lui-même et l’un de ses fils, faute de place dans les hélicoptères, la carcasse de l’un d’entre eux étant restée sur place dans un premier temps, « en raison d’un problème technique », selon les autorités américaines. Le temps que les forces de sécurité pakistanaises arrivent sur place, les Américains volaient déjà au-dessus des hauts sommets pakistanais, direction l’Afghanistan.

« Pas une seule balle n’a été tirée depuis la résidence de Ben Laden », affirme un officiel sous couvert d’anonyme. Depuis, un périmètre de sécurité a été mis en place autour de la luxueuse cache. Les médias peuvent s’en approcher sans toutefois y entrer. Difficile donc de recouper les informations.

Aucune arme sur place

Aucune arme n’aurait été découverte sur place. Deux buffles, une vache et près de 150 poules auraient été extraits de la cour de la maison qui compte treize chambres sur deux étages.

L’ensemble est propriété de deux frères dont les autorités pakistanaises ne savent apparemment rien et que les voisins décrivent comme extrêmement discrets, ne partageant aucun moment de convivialité qu’aurait pu induire la proximité. « Ils ne venaient à aucun mariage ni à aucun enterrement », a témoigné un voisin.

Aucune des femmes de la maison n’aurait jamais été autorisée à sortir et les rares fois où les enfants étaient aperçus dans le quartier, c’était pour récupérer un ballon involontairement passé par dessus les hauts murs de sécurité de la demeure. Ainsi, un ancien du quartier, Mohammad Fayaz, affirme même: « Ils préféraient racheter un ballon que laisser les enfants sortir devant la maison pour aller le récupérer ».

Source: http://www.tdg.ch/

Agressions au couteau: les armes blanches sont toujours en vente libre…

Les « lames » s’agitent du coté de Toulouse… Couteaux, drogue, je ne vous fait pas un dessin…

FDF

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De Moissac à Toulouse : la cavale sanglante…

Recherché pour la mort d’un maçon samedi dernier à Moissac, en Tarn-et-Garonne, l’agresseur a sans doute également frappé à Toulouse. La victime, blessée par dix coups de couteau, est indemne « par miracle ». Où va s’arrêter cette cavale sanglante ?

Un mort et un blessé grave. Et après ? Cette question obsède les enquêteurs de la section recherches de Toulouse depuis qu’ils pistent un homme de 27 ans, soupçonné d’avoir frappé à mort Mohamed Belhachemi samedi dernier à Moissac. Ce maçon de 23 ans voulait simplement calmer une altercation. Il l’a payé de sa vie. Les gendarmes enquêtaient sur cette affaire quand un deuxième dossier est venu s’ajouter à leurs investigations.

Un Toulousain, lui aussi âgé de 23 ans a été agressé dans son appartement du quartier Rangueil dans la nuit de samedi à dimanche, 4 heures après l’altercation mortelle de Moissac. La victime ne se souvient plus de grand-chose en raison d’une sérieuse consommation de vodka qui a effacé une partie de sa mémoire. Entendu le dimanche, ce garçon sans passé particulier a évoqué deux copains avec qui il avait bu de l’alcool… Réentendu mercredi soir par les services de la sûreté départementale, il a évoqué les suspects de Moissac. Et les policiers, même prudents, ont pris l’hypothèse très au sérieux. En revanche, le blessé a été incapable d’indiquer l’origine de l’altercation particulièrement violente.

Blessé de dix coups de couteau dont l’un a touché le muscle cardiaque et provoqué un hématome, l’homme a été sauvé par les médecins.

Son ou ses agresseurs sont-ils ceux qui ont également « frappé » à Moissac ? Pas de commentaire côté police sauf que le dossier… a été repris jeudi par le groupe homicide de la SR de Toulouse, les gendarmes déjà en charge de l’enquête tarn-et-garonnaise.

À Toulouse, rien n’a été volé chez la victime. Alors pourquoi ce déchaînement de violence ? C’est ce qui inquiète gendarmes et policiers. En fuite vers l’Espagne et peut-être le Maroc, le suspect numéro 1 a-t-il agressé d’autres personnes. Que cherchaient-ils ? À Moissac, la rixe qui a entraîné la mort de Mohamed Belhachemi, qui n’y était pour rien ni de près ni de loin, serait liée à une dette sur fond de trafic de drogue. À Toulouse, rien ne permet d’avancer le trafic de stupéfiants comme moteur de l’agression. « Cela ressemble à une fuite en avant sur fond d’alcool et de drogue », glisse un proche du dossier. Pas du trafic mais de la consommation. Une fuite en avant forcément inquiétante. Surtout chez un suspect qui a déjà eu de nombreux soucis avec la justice, qui a déjà été emprisonné et qui n’est pas du genre à se rendre aux enquêteurs…


Le chiffre : 10

coups > Couteau. Après avoir frappé à mort un maçon de 23 ans à Moissac, les suspects auraient agressé un Toulousain. Il a reçu dix coups de couteau, chez lui, dans la nuit de samedi à dimanche. Le motif de l’agression reste inconnu.

« Les armes blanches sont toujours en vente libre, y compris dans les galeries marchandes».

Sabine Vigne, mère d’un garçon tué pour un simple regard


«Les lames sortent de plus en plus vite»

Dans la nuit de fête votive du 16 au 17 août 2010 à Montarnaud (Hérault), Fabien Vigne a été poignardé à mort. Pour rien. Pour un regard. Depuis, sa, mère, Sabine, mène sans relâche le combat pour que les armes blanches soient bannies des fêtes de village et des soirées de jeunes.

Au sein de votre association, Vies sacrées, sauvons nos enfants, vous menez un combat sans relâche. Avez-vous le sentiment d’avancer ?

Oui surtout auprès des jeunes. Ce sont les premiers à venir vers nous, à réclamer des bracelets « Je fais la fête sans arme », à afficher le slogan dans les fêtes. Auprès d’eux, oui, j’ai le sentiment d’avancer même si c’est juste une goutte d’eau. Nous avons placé plus de 30 000 bracelets. Nous essayons aussi de faire passer un message de non-violence. En cas d’agression, il vaut mieux donner son portable plutôt que de perdre la vie, car les lames sortent de plus en plus vite.

Et au plan judiciaire ?

Le problème c’est que les condamnations prononcées ne sont pas suffisamment dissuasives. Les remises de peine par exemple sont jugés inacceptables par les familles des victimes qui vivent dans un grand désarroi. L’assassin lui-même est nourri, logé. Il dispose d’un psychologue alors que les familles des victimes éprouvent les plus grandes difficultés à surmonter la situation. Comment les frères, les sœurs peuvent-ils s’insérer dans la société après un tel drame ?

Vous réclamez toujours l’interdiction des couteaux ?

Oui. Mais nous buttons sur les textes communautaires. Les députés ont voté à l’unanimité un durcissement des mesures de sécurité, mais cela ne sert à rien de voter des lois si on n’exerce des contrôles. Pour l’insécurité routière, il a fallu des drames pour que soient mises en place des mesures et surtout des contrôles. Et les armes blanches sont toujours en vente libre, y compris dans les galeries marchandes.


Soirée de terreur à Montpellier

Jeudi dernier, Jimmy R. un grand balèze avec des dreadlocks de 25 ans, a transformé la fin de nuit estudiantine de Montpellier en un moment de terreur. Dans la Grand Rue piétonne Jean Jaurès, le couteau sous la gorge, une jeune fille a préféré lâcher son sac à main plutôt que mourir. En état d’ivresse, ce Haïtien de naissance, à l’état civil incertain, a ensuite agressé deux groupes de personnes, plongeant son couteau dans le thorax d’un jeune étudiant de vingt ans qui tentait de s’interposer place de la Canourgue. Ce jeune homme se trouve toujours dans le coma, dans un état critique, au CHRU de Montpellier. L’auteur a été interpellé une heure plus tard. Il était en état d’ivresse. Pendant sa garde à vue, il a nié les faits mais il a été formellement identifié par l’une de ses victimes. Hier soir, ce récidiviste a été mis en examen pour trois tentatives d’homicide volontaire et deux vols à main armée. Il a été écroué. Jimmy, comme il dit se prénommer, est un jeune homme bien connu de la justice. Il a essuyé quatre condamnations devant les tribunaux correctionnels de Bobigny et de Créteil en région parisienne pour trafic de stupéfiant et violences. Cet itinérant se trouvait à Montpellier depuis trois mois environ. Les enquêteurs cherchent à faire des rapprochements avec d’autres faits de même nature.

Hérault : doublement des saisies d’armes en 2010.

Le nombre d’armes et notamment des armes blanches saisies par les gendarmes a bondi de 96 % pendant l’été 2010. « Les jeunes passent de plus en plus facilement à l’acte. Et dans la grande majorité des cas, on relève une suralcoolisation. C’est particulièrement vrai dans l’ambiance des fêtes votives » explique le colonel Hubert Mériaux. Dans ce département, l’été avait été dramatique avec Gaëtan, 18 ans, poignardé à Beaulieu le 14 juillet et Thomas, lui aussi tué au couteau à Sérignan quelques jours plus tard. À Montpellier, jeudi en fin de nuit, l’alcool était aussi présent dans la violence au couteau.


D’autres agressions au couteau

Comme à Moissac, ces derniers temps, plusieurs agressions au couteau se sont soldées par des drames. Ainsi le meurtre, à Toulouse, de Jérémy Roze, 27 ans, un étudiant Béarnais, avait suscité une vive émotion dans toute la France. Fin février, aux alentours de 2 h 30 du matin, alors qu’il rentrait chez lui après une soirée passée avec ses amis, le jeune homme avait croisé la route de ses agresseurs. À un carrefour, pour une raison encore obscure, il avait reçu un coup de couteau mortel dans la région du cœur. Les deux auteurs présumés de l’agression ont été arrêtés à Toulouse après s’être réfugiés à Limoges.

Cette semaine, dans l’Oise, un professeur de 35 ans a été mortellement poignardé dans l’enceinte de son lycée par un homme âgé de 31 ans. Il a reçu plusieurs coups de couteau de pêche.

Au mois de janvier, à Montpellier, un étudiant de 25 ans avait été tué d’un coup de couteau en pleine nuit. Victime d’un vol la semaine précédente, il avait repéré, avec son père, un homme en train d’essayer de voler une voiture. Père et fils avaient tenté d’intervenir. Surpris, l’agresseur avait frappé d’un coup de couteau le père. Le fils avait lui aussi reçu un coup de couteau, mais en plein cœur.

De plus en plus, les agressions au couteau sont sévèrement réprimées. Fin avril, à Toulouse, trois hommes, jusqu’ici inconnus de la justice, ont été condamnés à des peines de 2 ans et 3 ans de prison ferme pour avoir agressé un homme au couteau pour lui voler son portable.


l’expert

« Cinq meurtres ou tentatives par jour »

Comment expliquez l’agressivité des «jeunes» délinquants qui va parfois jusqu’à la mort ?

Les coups mortels ne sont pas réservés aux jeunes. Les bagarres de jeunes coqs sont une chose. Mais les homicides en sont une autre. Les auteurs d’homicides sont principalement des adultes, entre 20 et 40 ans. Et ils sont plus nombreux entre 40 et 60 ans qu’avant 18 ans. Quand aux mobiles, ils sont très divers, du dépit amoureux au règlement de comptes entre malfaiteurs, en passant par la querelle alcoolisée de sortie de bar, le braquage qui tourne mal, etc. La grande majorité des homicides surviennent toutefois entre personnes qui se connaissent. Le premier cercle où surgit la grande violence est la famille, le couple, les amants et maîtresses…

Moissac, Toulouse, Montpellier, existe-il une explication à ces agressions au couteau successives ?

Il faut se méfier des illusions d’optique provoquées par la mise en série de faits divers. Ces dernières années, la gendarmerie et la police constatent entre 1 800 et 2 000 homicides et tentatives d’homicide chaque année. Rien de surprenant pour une population de 66 millions d’habitants. Cela place la France dans la moyenne européenne. Mais cela en fait en moyenne cinq par jour. Selon les périodes, ces faits restent cantonnés aux pages locales des journaux. Et puis par moments, on les rapproche et cela provoque cette illusion trompeuse. Contrairement à ce que l’on croit, les homicides n’augmentent pas dans la société française. Ils baissent depuis le milieu des années 1980.

Les statistiques montrent-elles une progression des agressions au couteau ?

Pas plus que les agressions avec armes à feu d’ailleurs. Les agressions mortelles sont une réalité sociale et humaine évidente. Il faut les étudier sérieusement et tenter de les prévenir autant que possible. Mais trop souvent, nous jouons à nous faire peur avec ces faits divers. Cela ne fait pas progresser le débat public, bien au contraire.

Source: http://www.ladepeche.fr/

Affaire DSK: les immigrés guinéens sont heureux que la justice américaine ait fait son boulot.

Mal barré aussi de ce coté là, DSK… La femme de chambre, musulmane, a toute la communauté guinéenne avec elle…

FDF

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Les Guinéens du Bronx réclament justice

Les responsables de la communauté immigrée de Guinée, essentiellement composée de Peuls, connaissent bien la femme de chambre du Sofitel. Et ils sont particulièrement touchés par les accusations de viol.

Pas de minaret ni de coupole. Le Fouta Islamic Center n’est qu’un petit immeuble de brique rouge dont le rez-de-chaussée est défendu par deux rideaux de fer. Une petite porte vitrée ouvre sur un escalier qui conduit à l’étage. Ce n’est qu’à la vue du mur recouvert de casiers à chaussures que l’on comprend qu’il s’agit d’une mosquée. Le vendredi, 500 à 600 Guinéens se pressent dans la vaste salle de prière. Installé dans un bureau contigu, l’imam Abdourahmane Bah tient conseil avec d’autres membres de l’Union pour le développement du Fouta-Djalon, l’association qui a fondé la mosquée. Un seul sujet à l’ordre du jour: l’affaire du Sofitel.

«Bien sûr que nous connaissons Nafissatou Diallo, dit le religieux. Elle fréquente cette mosquée.» La femme de chambre, victime présumée de Dominique Strauss-Kahn, n’habite qu’à un quart d’heure de marche. Le cœur de la communauté guinéenne du Bronx bat ici, au coin de la 3e Avenue et de la 166e Rue. A côté de la mosquée se trouve un centre d’assistance pour les démarches administratives et les transferts d’argent vers le pays natal, puis un restaurant où l’on sert les plats traditionnels et, enfin, une épicerie où, en plus des aliments de base, on peut acheter des baguettes dorées et des croissants bien ventrus.

Le viol, un sujet particulièrement douloureux

Au Fouta Islamic Center, c’est la colère qui domine. «Un viol, chez nous, c’est le déshonneur, dit Souleyman Diallo, président de l’association. Nafissatou a été souillée. C’est pour cela qu’elle se cache et qu’on ne voit aucune photo d’elle. Qu’on ait dévoilé son nom est déjà très grave.» Dans la communauté guinéenne de New York -qui compte plus de 3000 personnes, dont 80% de Peuls qui jouissent de l’asile politique-, le viol est un sujet particulièrement douloureux. Car le régime de Conakry, quand il a envoyé ses milices contre les populations peules, a incité ses soudards à violer systématiquement les femmes. Qu’une des leurs ait subi le même sort dans un palace de Manhattan plonge les Guinéens dans leurs souvenirs les plus sombres.

«M.» Diallo (il a demandé qu’on ne dévoile pas son prénom) connaît Nafissatou depuis son enfance. Elle a 32 ans, trois ans de plus que lui et ils ont grandi dans le même village, Sagalé, dans le Fouta-Djalon. «En Guinée, dit-il, les gens de Sagalé ont la réputation d’être très pieux, le village est cité en exemple.» «M.» raconte que Nafissatou, fille d’agriculteurs, est arrivée aux Etats-Unis il y a sept ans à l’instigation de sa sœur aînée, qui vit à New York depuis quatorze ans, avant d’obtenir un statut de réfugiée politique. Elle s’est installée chez elle avec sa fille âgée de 15 ans aujourd’hui, qu’elle élève seule depuis la mort de son mari en Guinée. Grande, discrète, portant toujours un foulard pour couvrir ses cheveux, le visage un peu grêlé par des cicatrices d’acné, la jeune femme a d’abord travaillé dans un restaurant du Bronx, tenu par des Gambiens. Il y a trois ans, grâce à un contact dans la communauté guinéenne, elle a décroché une place de femme de chambre au Sofitel de Manhattan.«C’est un job enviable, souligne «M.». Ici, tout le monde aimerait travailler dans un grand hôtel comme celui-là. Elle sait à peine lire et écrire!» Tous la décrivent comme une jeune femme sérieuse, assidue au travail et préoccupée par l’éducation de sa fille, scolarisée dans un lycée du Bronx. Les habitués des clubs de musique africaine du Bronx ne l’ont jamais aperçue dans ces lieux de nuit. «Elle vient régulièrement prier au rez-de-chaussée de la mosquée, dans la salle réservée aux femmes», confie Souleyman Diallo.

Jeffrey Shapiro, son avocat, a expliqué à la chaîne de télévision NBC que Nafissatou Diallo était encore sous le coup de ce qui lui était arrivé. Il a indiqué qu’elle était forcée d’aller de chambre d’hôtel en chambre d’hôtel avec sa fille pour échapper aux médias qui font le siège de son appartement du Bronx. «Elle est perdue, a-t-il déclaré, ne sait pas de quoi son avenir sera fait. Elle a peur pour son job.» Il a également répété qu’elle ne savait pas qui était celui qui l’a, selon sa version, agressée. «C’est un ami qui le lui a appris au téléphone quand l’information de son arrestation a été diffusée à la télévision», a raconté Jeffrey Shapiro, quelques heures avant qu’elle dépose devant le grand jury de la cour criminelle de Manhattan.

«Aux Etats-Unis, j’ai autant de droits qu’Obama!»

Au Fouta Islamic Center, on suit la procédure heure par heure. Bien sûr, ces immigrés guinéens sont heureux que la justice américaine poursuive un homme aussi puissant que DSK, suspecté d’avoir violé une petite employée d’hôtel. «Aux Etats-Unis, j’ai autant de droits qu’Obama!» lance Abdoulaye, enthousiaste, sur le trottoir de la mosquée. Tous redoutent néanmoins que l’avocat de DSK parvienne à contrer les accusations du procureur et que, selon eux, justice ne soit pas rendue. Ils ont peur pour Nafissatou Diallo et sa famille que la défense du directeur général du FMI tente de les présenter sous un jour négatif et les diffame afin de «sauver» ce prestigieux client.

Souleyman Diallo veille tout particulièrement sur la procédure. «Si des poursuites n’avaient pas été lancées immédiatement, confie-t-il, j’étais prêt à organiser des manifestations de Guinéens devant le tribunal de Manhattan.» Cette communauté peule qui a connu les meurtres, les viols, les destructions et l’arbitraire du pouvoir en Guinée sait apprécier l’Etat de droit. Et elle usera de tous les moyens qu’il lui offre pour voir DSK condamné.

Source: http://www.lefigaro.fr/

Roubaix: peu à peu, l’islam a pignon sur rue. Merci, Martine !

Et un grand merci à Martine Aubry. DSK vient de faire ses preuves; Martine Aubry nous laisse présager ce que sera la France si elle est élue président(e) en 2012… Il est temps de réagir et de songer quoi mettre dans l’urne au printemps 2012… Rappel: Sarkö Ier a aussi fait ses preuves et continue à nous presser comme des citrons. Il ne restera qu’une alternative: Marine.

FDF

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Le printemps roubaisien des mosquées…

Alors que la future mosquée de l’Épeulese coiffe d’une coupole, le chantier du complexe islamique Abou Bakr Essedikau Pile s’apprête à démarrer.


Voilà un homme assuré de son salut éternel ! Selon Othman Ibn’ Affân, « celui qui construit une mosquée pour Allah, alors Allah lui construira une maison au paradis ». Oussama Bezzazi concepteur de la mosquée de Villeneuve d’Ascq est l’architecte retenu pour trois des quatre projets de complexes islamiques de Roubaix, des projets à divers degrés d’avancement qui témoignent de la volonté de la communauté musulmane de répondre à la fois aux besoins religieux de ses fidèles et de participer de façon cohérente au renouvellement urbain.
Une mosquée en effet ce n’est pas un immeuble ordinaire. « Quand il s’agit d’en concevoir une, on a tout intérêt à travailler en amont de la demande de permis de construire en partenariat étroit avec les services municipaux. Il faut à la fois l’accord de la mairie, un accord de type politique et celui de l’architecte des bâtiments de France de type technique. »

Les cinq piliers de l’Islam
À Roubaix, le jeune architecte a plusieurs fers au feu. Alors que les travaux de la mosquée Bilal à l’Épeule donnent déjà une idée de ce que sera cet ensemble, samedi dernier, à l’école Ernest-Renan, l’association Abou Bakr se réjouissait de l’obtention d’un permis de construire pour un vaste complexe à la fois religieux, culturel et commercial occupant 5 500 m² et dégageant 3 000 m² de surface utile. Ce complexe sera construit en trois phases. La première pierre de la phase 1 (la partie cultuelle pour un montant évalué à 2,5 millions d’euros) sera scellée le 18 juin. « Mais le chantier d’une durée escomptée de 24 mois ne devrait démarrer qu’après le mois de ramadan (août, ndlr) » , indique Laoudedj Meziane, secrétaire de l’association Abou Bakr.
Place Faidherbe, le futur complexe a su se montrer discret à côté de la robuste façade emblématique de la Condition publique. Rue Franklin, l’association réhabilite une friche industrielle à côté de l’Hôtel de la musique. C’est en coeur d’îlot où l’on accèdera par une nouvelle voirie que la mosquée sertie de plantations affichera son cachet arabo-musulman avec un bâtiment coiffé de quatre colonnes s’élevant à 12 m et d’une coupole de 10 m de diamètre symbolisant les cinq piliers de la sagesse musulmane.
Dans la communauté turque dont les 650 familles pratiquantes se sentent de plus en plus à l’étroit dans un ancien garage rue Daubenton, on attend également avec impatience l’obtention du permis de construire d’un complexe qui s’installera rue du Caire sur un terrain de 6 000 m² appartenant à LMCU.
L’association turque envisageait dans un premier temps de s’installer rue des Récollets. « Mais on ne construit pas une mosquée pour les cinq ou dix ans à venir. C’est un projet qui concerne les générations à venir », soulignent MM. Alci et Kacmaz responsables de la communauté. L’association, en assemblée générale, a repoussé l’option Récollets et a recherché une localisation plus judicieuse. Elle a même constitué un comité de pilotage qui en toute transparence a organisé un concours de concepteurs. C’est le projet de M. Bezzazi qui a été retenu en septembre parmi trois autres. Mi-janvier, il était présenté en mairie. Fin juin, LMCU se prononcera sur l’emprise concédée à l’association. Restera à obtenir l’avis favorable de l’architecte des bâtiments de France et sans doute à revoir quelques détails techniques. Après il faudra compter six à huit mois pour le permis de construire. « Des mois que nous mettrons à profit pour la consultation des entreprises et les appels d’offres », indique l’architecte.

Pierre Dubois : « Nous avons de bons interlocuteurs… » En charge du schéma directeur des lieux de culte, le premier adjoint se réjouit du dialogue noué avec les associations religieuses de Roubaix. Selon lui, la constitution du collectif des institutions islamiques de Roubaix a constitué un déclic.Le texte de référence de Pierre Dubois ce n’est ni la Torah, ni la Bible, ni le Coran, c’est le schéma directeur des lieux de culte adopté par le conseil municipal lors du précédent mandat. Un texte qui avait pu donner l’impression durant plusieurs années de rester lettre morte mais qui, peu à peu, au fil de l’élaboration de projets précis a pris de la consistance.Le premier adjoint estime que la constitution du collectif des associations islamiques et l’esprit d’ouverture et de dialogue qui existe au sein de l’association Roubaix Espérance ont très certainement permis de faire avancer des dossiers qui marquaient le pas depuis plusieurs années.Le schéma directeur, tout le schéma directeur mais rien que le schéma directeur, insiste Pierre Dubois. Pas de financement des associations mais un travail d’accompagnement des projets, un dialogue permanent. « C’est au cours de ces rencontres que l’on se rend compte de l’importance de la parole publique. La parole vaut engagement. À ce niveau avec le collectif, on a vécu une année intense, témoigne l’élu. Présents pour la plupart à Roubaix depuis plusieurs générations, ces musulmans sont en phase avec les objectifs de la citoyenneté. » Une association ne participe pas aux activités et à la réflexion du collectif, celle de la rue Archimède. Pierre Dubois tient néanmoins à garder le contact avec ses responsables. « Dernièrement, ils m’ont fait part de leur intention de racheter la maison mitoyenne afin d’agrandir des locaux où ils se sentent vraiment à l’étroit. » Pierre Dubois souhaite pourtant ne pas apparaître comme l’adjoint à l’Islam : « C’est tout aussi intéressant de travailler sur un projet de pagode. Je suis heureux que l’association laotienne soit parvenue à dépasser ses difficultés internes et que son projet du boulevard de Metz commence à se concrétiser.

Source: http://www.nordeclair.fr/

Spot électoral…

Espagne. Municipales 2011. Eux, au moins, ils osent… Et personne ne « moufte »…

On fait ça en France, et tout de suite les hyènes de La Halde, de SOS Racisme et autres associations d’inutiles de la République portent plainte et font cracher les auteurs d’une telle propagande au bassinet.Et pourtant, ce spot n’a rien de discriminatoire. Il informe simplement d’un futur proche si on ne se bouge pas le c..

FDF

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Voir (si ce n’est pas déjà censuré…):

Ou le lien: http://www.youtube.com/watch?v=wNFA0EgaH0I

Merci à DG pour le tuyau…

Affaire DSK. Coup de pied magistral dans la fourmilière des pleureurs de la Gauche caviar…

DSK : le journaliste Eric Brunet s’indigne du mépris de la gauche caviar

Lu sur Oumma.com. Plein la tronche, le PS et sa Gauche caviar…
FDF
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Sur I-télé, « L’œil d’Eric Brunet » le vaut le détour ! L’essayiste et journaliste, qui n’y va pas par quatre chemins, donne un coup de pied magistral dans la fourmilière des pleureurs grandiloquents, des courroucés triviaux, des conspirationnistes de salons, issus de la gauche caviar et ligués pour faire passer leur très cher ami et « homme providentiel » du socialisme français, DSK, pour un saint…

Passant en revue toutes les postures et remarques sidérantes, dédaigneuses et carrément abjectes, qui tournent à l’empoignade tellement gauloise – de BHL éructant « les journalistes français sont dégueulasses« , à Jack Lang qui a lancé « Il n’y a pas mort d’homme« , sans oublier la phrase de Jean-François Kahn «  une domestique a été troussée » – Eric Brunet s’en prend également à l’étonnant mutisme des féministes.

Se seraient-elles auto-bâillonnées, les Elisabeth Badinter, Elisabeth Lévy, Caroline Fourest, les NPNS, et toute la clique, si empressées d’ordinaire de défendre la dignité des femmes, surtout quand l’islam est en ligne de mire ?

L’affaire DSK, glauque et sordide, nous fait mesurer le gouffre culturel abyssal qui sépare la France des Etats-Unis, les uns parlant de gaudriole quand la justice américaine y voit un crime sexuel majeur, passible de 74 années de prison…

Vidéo: : http://www.dailymotion.com/video/xisqk3_le-mepris-des-medias-francais-pour-la-victime-de-dsk_news#from=embediframe


Qui est Nafissatou Diallo, la jeune femme que Dominique Strauss-Kahn est accusé d’avoir agressé sexuellement?

Quelques renseignements sur la proie de DSK qui a causé sa perte…
FDF

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Qui est vraiment Nafissatou Diallo?

La famille de celle qui accuse Dominique Strauss-Khan de tentative de viol s’est confiée à SlateAfrique. Elle décrit une jolie jeune femme de nationalité guinéenne sans histoire, sérieuse et qui n’a pu être manipulée.

Nafissatou Diallo n’est pas la jeune fille dont la photo Facebook a été diffusée par la presse [NDLE: les contenus ont depuis été supprimés]. Celle qui a d’abord été connue sur le prénom d’Ophelia n’est ni sénégalaise, ni ghanéenne, ni portoricaine, comme l’ont rapporté différents organes de presse, mais de nationalité guinéenne.

» Pourquoi nous avons décidé de publier le nom de la jeune femme qui accuse DSK? Notre réponse, ici

Selon un membre de sa famille, qui préfère rester anonyme et qui a contacté SlateAfrique, Nafissatou Diallo, 32 ans, est installée depuis treize ans aux États-Unis, où elle menait jusqu’à samedi 14 mai une vie sans histoire.

Voici ce qu’il nous a confié.

Fille d’un commerçant appartenant à l’ethnie peule (40% de la population dans un pays qui compte 10,3 millions d’habitants), originaire de la région de Labé, en Guinée, Nafissatou Diallo a suivi son mari, un commerçant guinéen, aux États-Unis en 1998. Elle a ensuite divorcé et élève seule sa fille de 15 ans dans le Bronx. Elle a par ailleurs de la famille à Harlem, notamment sa sœur, mariée à un homme d’affaires guinéen opérant dans l’import-export.

Détentrice d’une carte verte, employée comme femme de chambre par la chaîne hôtelière Sofitel depuis trois ans, Nafissatou Diallo a la réputation d’être une fille sérieuse.

«Une grande bosseuse comme sa sœur», selon un autre cousin, que nous avons également eu au téléphone. Ses proches, issus d’une grande famille de commerçants guinéens n’ont pas encore eu directement accès à elle. Comme tout le monde, ils ont lu la presse, mais ils espèrent que l’agression a eu des proportions «moins importantes» que ce qui est rapporté.

Mamadou Chérif Diallo, parent de la victime, un Guinéen de 35 ans qui travaille pour une agence de la ville de New York, et chargé de représenter la famille déclare:

«C’est une bonne musulmane. Elle est vraiment très jolie, comme beaucoup de femmes peules, mais dans notre culture, on n’accepte pas ce type d’agressivité. Franchement, Dominique Strauss-Kahn est tombé sur la mauvaise personne! C’est un scandale et c’est vraiment triste, cet accident!»

Sous protection policière

La famille explique que Nafissatou Diallo a été emmenée par la police de New York dans un endroit tenu secret, pour la protéger des médias. Elle est assistée par un avocat. Le bureau de l’attorney general de Manhattan, contacté par SlateAfrique, a refusé de confirmer l’identité de Nafissatou Diallo, une mesure qui relève de la protection des victimes aux États-Unis.

La famille paraît dépassée par les événements, et insiste sur le fait que Nafissatou Diallo n’a pas encore formellement porté plainte [NDLE: formellement, c’est le procureur qui porte plainte au pénal, la victime peut en revanche choisir ultérieurement de porter plainte au civil, pour un procès en dommages et intérêts]. Son statut d’immigré, certes légal, est précaire et en tant que résidente étrangère aux États-Unis, sa famille sait qu’elle n’a pas le droit à l’erreur.

A-t-elle été manipulée? Son cousin, Mamadou Chérif Diallo proteste: 

«Non, non, non! Les gens doivent comprendre qu’ici, on vit dans le communautarisme et que Nafissatou vit dans sa communauté, les Peuls de Guinée, et qu’elle ne s’intéresse pas à la politique. Elle n’a pas le droit de vote aux États-Unis et ne participe même pas à nos associations politiques guinéennes.»

Alors que le monde entier s’interroge sur la possible corruption de cette jeune femme à des fins hautement politiques, il paraît quelque peu ironique que ce soit une femme de chambre guinéenne qui puisse être à l’origine d’un scandale mettant en cause le patron du Fonds monétaire international (FMI). Une institution avec laquelle son pays, dirigé depuis décembre par un nouveau président, Alpha Condé, cherche à renouer pour sortir de l’ornière.

Le pays qui a dit «non» à De Gaulle

La Guinée, située au sud du Sénégal et de la Guinée-Bissau, fut la seule colonie française à dire «non» à De Gaulle en 1958, accédant avant toutes les autres à une indépendance cher payée. La France est en effet partie en claquant la porte, avec équipements et fonctionnaires.

Sous Sékou Touré, son premier Président et dictateur, la Guinée a longtemps vécu dans le giron du bloc soviétique, se faisant notamment livrer de très inutiles chasse-neige, dans les années 1960, au titre de la coopération entre pays frères.

Le pays est sorti du bloc de l’Est avant la fin de la Guerre froide, à la faveur de l’accession du général Lansana Conté à la présidence, par voie de putsch, en 1984, après la mort de Sékou Touré.

Cette nation a traversé une profonde crise politique après la mort de Lansana Conté, fin 2008. Livré à une jeune junte d’officiers menée par le capitaine Moussa Dadis Camara, les militaires ont été contraints de passer la main et d’organiser des élections après le massacre de 156 manifestants et le viol d’une centaine de femmes par des militaires, le 28 septembre 2009 à Conakry.

Souvent décrit comme un scandale géologique, en raison de son potentiel hydraulique et minéral, la Guinée souffre d’un énorme retard dans son développement, à l’échelle de la sous-région. A Conakry, la capitale, les habitants n’ont toujours pas l’eau courante ni l’électricité. Les jeunes, eux, manquent cruellement de perspectives. Du coup, l’émigration vers le Sénégal, la Côte d’Ivoire, mais aussi la France, l’Allemagne et les États-Unis représente la seule planche de salut, depuis plusieurs décennies.

Sabine Cessou


Actualisation le 17/05 pour préciser que l’avocat n’a pas été commis d’office.

» Tous nos articles sur l’affaire DSK



Pourquoi avons-nous décidé de publier le nom de l’accusatrice de Dominique Strauss-Kahn?

Certains lecteurs nous ont posé la question, au nom de la protection de la victime.

En racontant son histoire grâce aux récits de sa famille, ce qui est le but de l’article (et non pas de dévoiler son nom qui était déjà cité dans plusieurs sites d’informations en français, bien avant que nous décidions de sa publication), nous avons estimé que cela servait à protéger sa personne des rumeurs, des accusations portées contre elle et autres théories du complot qui se multipliaient à son sujet. Selon sa famille, elle n’est pas l’instrument machiavélique d’un sombre complot.

Par ailleurs, si ce nom semble, à beaucoup de nos lecteurs, rare, ce n’est pas le cas parmi les habitants de Guinée. Le patronyme de cette jeune femme y est aussi commun, comme dans certaines parties d’Afrique de l’Ouest, que Françoise Martin en France ou Jane Smith aux Etats-Unis. Un petit tour sur Facebook est assez explicite. Nous n’aurions probablement pas fait la même chose si son nom avait été moins commun.

JH

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Source: http://www.slate.fr/

Bouteflika va libérer 7000 islamistes sur pression des salafistes !

Je n’ai jamais fait confiance à ce mec. J’ai eu raison… Encore un pote à Sarkö Ier. L’invasion va s’amplifier. La Résistance aussi…

FDF

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Deux dirigeants islamistes, cheikh Abdelfateh Zeraoui, important prédicateur salafiste , et cheikh Hachemi Sahnouni, l’un des fondateurs du Front islamique du salut (Fis) ont adressé une lettre au président Bouteflika, dont Reuters s’est procuré un exemplaire, le félicitant d’avoir pris la «bonne et courageuse décision» d’accorder une amnistie générale à environ 7000 islamistes emprisonnés lors des années de guerre civiles, essentiellement issus des troupes de l’Armée Islamique du Salut. En échange de ces libérations, Zeraoui et Sahnouni se sont engagé à se détourner de l’activisme violent.

« Bouteflika, qui s’efforce de soustraire l’Algérie au vent de révolte qui souffle dans d’autres pays arabes, doit s’assurer des soutiens parmi les islamistes, qui représentent un courant social influent. » rapporte quant à elle l’AFP le 15.05.2011

Rappel :

Fillon promet 170 000 visas/an à l’Algérie…

Source: http://prophetie-biblique.com/

Similitudes entre Nazisme et Islamisme…

On retrouve, dans cette vidéo (en anglais, mais nul besoin de traduire, je pense…) une étude des similitudes entre l’idéologie du Nazisme et et celle de l’Islamisme. Pour le moins étonnant.

FDF

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Ici: http://youtu.be/7Gzyeo1Z1I4

Langues régionales. On préfère enseigner l’arabe…

Et voici la dernière qui vient de tomber: l’enseignement des langues régionales n’est pas un droit fondamental !!!

Il est certain que l’enseignement de l’arabe déjà approuvé par l’Education Nationale profitera plus aux écoliers Français… Relançons le patois local dans chaque région de France!  Les « indésirables » vont s’y perdre. Et finiront par retourner au bled.

Mais dans quel pays vit on?

FDF

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C’est l’apport juridique de la décision du Conseil constitutionnel rendue le 20 mai 2011 via le mécanisme de la question prioritaire de constitutionnalité (QPC).

Saisi par plusieurs associations alsaciennes, le Conseil constitutionnel s’est prononcé sur l’enseignement des langues régionales au sein des écoles.
Les associations demandaient au juge de déclarer l’article L. 312-10 du code de l’éducation contraire à la Constitution. Selon cet article, l’enseignement des langues et cultures régionales peut être dispensé tout au long de la scolarité selon des modalités définies par voie de convention entre l’Etat et les collectivités territoriales où ces langues sont parlées.
Or, les associations soutenaient que l’article 75-4 de la Constitution, parce qu’il reconnait l’appartenance des langues régionales au patrimoine de la France, impliquait un droit fondamental à l’enseignement des langues régionales.

Pas de droit fondamental reconnu – La solution du juge constitutionnel est tout autre. Il considère que l’article 75-4 de la Constitution « n’institue pas un droit ou une liberté que la Constitution garantit ». Ainsi, l’enseignement des langues régionales n’est pas un droit fondamental mais demeure une faculté que l’Etat et les collectivités territoriales peuvent mettre en place par voie conventionnelle.

Cette solution jurisprudentielle confirme la position du Conseil constitutionnel qui avait déjà, en 1999, lors de la signature française de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires, émis un avis contraire à sa ratification.
Pour le Conseil constitutionnel, le préambule de la charte comporte des dispositions visant à reconnaître à chaque personne « un droit imprescriptible » à « pratiquer une langue régionale ou minoritaire dans la vie privée et publique », qui plus est sur des territoires déterminés, ce qui, pour le juge constitutionnel, porte atteinte aux principes fondamentaux d’indivisibilité de la République, d’égalité devant la loi et d’unicité du peuple français.

La Charte des langues régionales n’est toujours pas ratifiée par la France et la décision prise aujourd’hui laisse présager son absence au calendrier des priorités nationales.

Source: http://www.lagazettedescommunes.com/