Francaisdefrance's Blog

14/05/2011

Amnesty International a l’Algérie dans le collimateur…

Arrêtons de faire l’apologie de cet Etat « ami » de la France (exemple: le drapeau algérien à l’aéroport de Lille)… Parce qu’ils font là-bas, ils le font aussi en partie chez nous. Où ils ne risquent pas grand-chose comme sanctions.

FDF

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Liberté religieuse, violence contre les femmes, liberté de la presse et disparitions forcées en Algérie…

Amnesty International a rendu public son rapport 2011 (qui couvre l’année 2010) qui est, encore une fois, sévère à l’endroit de la situation déplorable des droits de l’homme en Algérie.

Des défenseurs des droits humains et d’autres personnes ont été empêchés de tenir certaines réunions et manifestations. Des personnes soupçonnées d’infractions liées à la sécurité ont été arrêtées et incarcérées sans contact avec le monde extérieur. Des femmes victimes de violences liées au genre ont été privées de voies de recours. Des étrangers ont été arrêtés et expulsés sans pouvoir faire appel de cette décision.Des chrétiens ont été persécutés pour avoir pratiqué leur foi sans autorisation ; d’autres personnes ont été jugées pour avoir dénigré les préceptes de l’Islam. Les autorités n’ont pris aucune mesure pour lutter contre l’impunité dont bénéficiaient les responsables de disparitions forcées et d’autres atteintes graves aux droits humains perpétrées par le passé». Voilà, en gros, l’état des droits de l’homme en Algérie, selon un tableau dressé par Amnesty International (AI) dans son rapport 2011. Le contenu du document rendu public avant-hier ne couvre que l’année 2010.

Au début du chapitre consacré à l’Algérie, il est précisé que «l’état d’urgence imposé en 1992 restait en vigueur». L’année dernière, «les autorités ont interdit certains rassemblements et manifestations organisés par des défenseurs des droits humains, des journalistes et des proches de victimes de disparition forcée», rapporte Amnesty International, qui fait également le constat que «des journalistes et des défenseurs des droits humains ont été inculpés de diffamation, entre autres infractions pénales, selon toute apparence parce qu’ils avaient critiqué des agents de l’Etat ou des institutions, ou dénoncé la corruption».
Très léger, le rapport 2011 ne fait cependant en aucun cas mention de la fermeture des médias lourds à l’expression plurielle en général et à l’opposition politique en particulier. Concernant les libertés religieuses, AI fait état d’«attaques contre les temples protestants qui se sont poursuivies».

L’ONG ajoute que «des chrétiens, parmi lesquels des convertis, ont fait l’objet de poursuites pénales pour exercice des cultes sans autorisation, aux termes de l’ordonnance n°06-03 qui règlemente les croyances autres que l’Islam». «La Constitution garantit la liberté de religion, mais fait de l’Islam la religion d’Etat», précise le rapport. Pour ce qui est du chapitre réservé à «la lutte contre le terrorisme et la sécurité», la même source relève «l’impunité toujours bien établie pour les actes de torture et autres sévices infligés à des personnes soupçonnées d’infractions liées à la sécurité».AI donne, entre autres, comme exemple «le procès de Malik Medjnoun et Abdelhakim Chenoui qui n’avait pas repris à la fin de l’année». «Accusés du meurtre du célèbre chanteur kabyle Lounès Matoub et d’infractions liées au terrorisme, ces deux hommes étaient incarcérés sans jugement depuis plus de 10 ans», mentionne le rapport, avant de préciser qu’«ils ont été arrêtés en 1999 et torturés durant la longue période de détention au secret qui a suivi».

Au sujet de la discrimination et la violence contre les femmes, AI rappelle qu’une rapporteuse spéciale des Nations unies sur la violence contre les femmes s’est rendue en Algérie en novembre 2010. «Malgré des efforts visant à mettre en œuvre une stratégie nationale dans ce domaine, les autorités n’avaient toujours pas érigé en infraction les violences au sein de la famille, notamment le viol conjugal, et les auteurs de violences liées au genre n’étaient pas traduits en justice», souligne le rapport. Amnesty International rappelle qu’en mars et en avril 2010, des femmes vivant seules à Hassi Messaoud, dans les quartiers dits des «36 Logements» ou des «40 Logements», ont été la cible d’une série d’attaques : «Des groupes d’hommes sont entrés chez elles par effraction et les ont dépouillées de leurs biens et agressées physiquement. Certaines ont également subi des violences sexuelles.»

Et de conclure que «les plaintes ont entraîné un renforcement de la sécurité autour des zones visées, mais aucune poursuite n’a été engagée contre les responsables présumés de ces agissements».
Concernant les disparitions forcées, AI indique que «les autorités n’ont pris aucune mesure pour enquêter sur les milliers de disparitions forcées et autres violations graves des droits humains qui ont eu lieu au cours du conflit interne des années 1990».
Qu’en est-il de l’application de la peine de mort ? AI fait remarquer que «l’Algérie a coparrainé la résolution de l’Assemblée générale des Nations unies appelant à un moratoire mondial sur les exécutions et elle a maintenu le moratoire de facto en vigueur depuis 1993». Toutefois, souligne l’ONG, «plus de 130 personnes ont été condamnées à mort, dans de nombreux cas par contumace, essentiellement pour des infractions liées au terrorisme». Aucune exécution n’a été signalée, précise le document.

Source:http://www.elwatan.com/

Ben Laden amateur de films X ? Petit cochon, va…

Sacré gaillard, Oussama. En plus de toutes ses mousmés, il fallait encore des « petits plus ». Je parie que ces films étaient américains…

FDF

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Oussama ben Laden était-il un amateur de films pornographiques ? En tout cas, les Américains affirment avoir retrouvé de nombreuses vidéo X dans les dossiers saisis à Abbottabad, dans la planque du leader d’Al-Qaïda.

Les chaînes américaines ont diffusé des images montrant Ben Laden regardant la télé

Les chaînes américaines ont diffusé des images montrant Ben Laden regardant la télé DR

On savait déjà que Ben Laden et ses proches aimaient déguster le mouton avec du soda américain. Selon le New York Times, le charismatique chef d’Al-Qaïda (ou ses hommes) aimaient aussi se faire plaisir devant des films pornographiques. Le quotidien américain affirme en effet, dans son édition de ce samedi, qu’une quantité considérable de films pornographiques ont été retrouvés dans les dossiers informatiques saisis lors de l’opération Geronimo, le 2 mai dernier. Cités sous couvert d’anonymat, les responsables américains qui rapportent cette information ne sont pas en mesure de dire si la vidéothèque X doit être attribuée à Oussama ben Laden lui-même ou à ses hommes.

L’ennemi numéro un des Américains vivait, dans cette villa d’Abbottabad, à 80km de la capitale pakistanaise Islamabad, entouré de trois de ses épouses, de plusieurs enfants et de deux messagers pakistanais.

Comme le fait remarquer le New York Times, cette révélation ne devrait pas faire de bien à la réputation de Ben Laden. Lui qui, en 2002, dans une « lettre au peuple américain », dénonçait la culture US et, notamment, son exploitation du corps de la femme…

Parmi les autres documents retrouvés dans la villa d’Abbottabad, des preuves que Ben Laden était encore actif, au moins jusqu’en février 2010, et que l’organisation terroriste envisageait de « célébrer » le dixième anniversaire du 11-Septembre en frappant sur le sol américain. La saisie d’une dizaine d’ordinateurs et disques de stockage du chef terroriste et de ses proches constitue une mine d’information qui pourrait s’avérer déterminante pour les services de renseignements américains.

Source: http://www.francesoir.fr/

«Fabrique de bombes à la prochaine allée»…

Une forme de résistance comme une autre… Encore un qui est allergique à la construction de nouvelles mosquées. C’est incroyable comme il y a de plus en plus de personnes qui ont le même courant de pensée. Mais tous ne l’expriment pas; dommage…

FDF

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Mosquée comparée à une fabrique de bombeMosquée comparée à une fabrique de bombe

Un privé a planté dans son jardin une pancarte annonçant la mosquée voisine comme lieu de fabrication de bombes, à Amherst, dans l’Etat de New York.

Photo: Keystone/AP/David Duprey

Une dispute de voisinage entre un privé et une mosquée a éclaté dans la ville de Amherst, dans l’Etat de New York, révèle «abc News». Le propriétaire du terrain à proximité de la mosquée a en effet planté un panneau signalant une «fabrique de bombes à la prochaine allée»*. Une insinuation qui n’est pas du goût de certains, pour qui l’accusation de terrorisme est absurde. Le porte-parole de la mosquée, Riyaz Hassanali, a réagi: «le message que nous diffusons porte sur la paix et l’amour. Ce message était le nôtre avant la pancarte, et le restera pour les 200 prochaines années».

Pancarte protégée

La dispute a commencé quand le Jaffarya Islamic Center a commencé la construction d’une nouvelle mosquée, voici deux ans. Le propriétaire de la pancarte s’y était opposé à plusieurs reprises, et la tension est montée entre lui et les chefs de la mosquée.
Après plusieurs enquêtes de la ville et de la police, il apparaît que rien ne peut obliger le propriétaire à ôter la pancarte de la propriété. Celle-ci est protégée par le premier amendement. Le responsable de la ville a tenté de négocier à plusieurs reprises avec l’instigateur du panneau provocateur, en vain. Selon certains habitants, ce dernier serait le seul à avoir un problème quant à la proximité de la mosquée.

«A chaque fois que quelque chose arrive dans le monde, nous sommes examinés à la loupe et nous sommes censés trouver une réponse pour quelque chose qui se passe à des lieues d’ici», a ajouté Riyaz Hassanali. «Je suis autant effrayé que vous par Oussama Ben Laden, par ses fidèles, et par le terrorisme. Je crains également pour mes enfants. Ma loyauté et ma personne, ainsi que celle de chaque membre de cette mosquée appartiennent à ce pays».

*Original: Bomb making next driveway

Source: http://www.20min.ch/

DIEN-BIEN-PHU… 7 mai 1954.

Reçu par mail.

FDF

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DIEN-BIEN-PHU
Lisez le communiqué ci-joint du Général PIQUEMAL, président de l’Union Nationale des Parachutistes. Diffusez-le.
Des  milliers de nos soldats perdirent la vie dans cette bataille et durant la captivité qui suivit (la mortalité dans les camps viets fut en moyenne de 70%, supèrieure à celle des camps nazis). Quelques centaines de rescapés sont encore vivants aujourd’hui; honneur à eux. Citons Antoine de Saint-Exupéry:
« Le soldat n’est pas un homme de violence. Il porte les armes et risque sa vie pour des fautes qui ne sont pas les siennes. Son mérite est d’aller sans faillir au bout de sa parole tout en sachant qu’il est voué à l’oubli. »
 Avez-vous connaissance d’un seul décideur civil ou militaire, parmi ceux qui nous entraînèrent dans cette  catastrophe, qui eût à rendre compte de ses actes et à en subir les conséquences devant la Justice?
Nos « alliès » américains ne bronchèrent pas, trop heureux de nous évincer de cette partie du monde. Il eut pourtant suffi, pour dégager la cuvette, de quelques vagues de leurs bombardiers.  Une telle action leur eût épargné une guerre encore plus sanglante que la nôtre, qui se termina par la plus humiliante défaite de l’histoire des USA, tandis qu’une chape de plomb s’abattait sur les peuples indochinois.  
La décolonisation prit des formes épouvantables, dont sont coutumiers les régimes communistes et leurs allés. Les « boat-people » et autres exilés s’enfuirent par dizaines de milliers, tandis que la répression s’abattait sur le Sud-Vietnam et sur les minorités ethniques ou religieuses, et que les Khmères Rouges procédaient à une extermination massive, dont fut victime un tiers de la population du Cambodge. « L’épuration », à ce jour, n’est pas encore terminée…
R.S
Voir:  Messagenationaldug-n-ralPIQUEMALDBP2011


Les prochaines élections du CFCM boycottées en Rhône-Alpes…

Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh; quand le coeur n’y est plus… C’est la grosse embrouille chez lez muzz. Momo fait de la résistance…


FDF

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Environ 84% des lieux de culte musulmans en Rhône-Alpes, dont la grande mosquée de Lyon, ont décidé de boycotter les prochaines élections du CFCM (Conseil français du culte musulman) prévues en juin, a-t-on appris vendredi auprès du CRCM Rhône-Alpes.
Pour dénoncer les critères de représentativité retenus pour le scrutin, qui doit se tenir les 5 et 19 juin, « seulement 16% des associations de la région se sont inscrites, contre 80% lors des dernières élections de 2008 », a précisé à l’AFP le président du Conseil régional du culte musulman, Azzedine Gaci, confirmant ses propos au quotidien Le Progrès.

Les 225 associations avaient jusqu’à mercredi pour déposer des listes et inscrire des délégués en vue du scrutin.
« Ces élections n’ont plus aucun sens dans notre région, où il y aura probablement une seule liste, celle des Marocains du Rassemblement des musulmans de France (RMF) », a ajouté M. Gaci, proche de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF).
Selon lui, « il est toujours temps de les reporter après les élections présidentielles de 2012 si on veut donner à cette représentation des chances de réussir, en s’accordant sur de nouveaux critères de représentativité ».
Fin avril, la Grande Mosquée de Paris et sa Fédération nationale (FNGMP) avaient déjà proposé un report du scrutin en raison d’un « déséquilibre évident de représentation », le nombre des délégués participant au scrutin étant défini en fonction de la surface des lieux de culte.
« Or leur rayonnement est parfois inversement proportionnel à leur superficie », a estimé M. Gaci.
L’UOIF avait annoncé de son côté qu’elle ne se présenterait pas aux élections de juin, tout en restant intégrée au CFCM.
Le CRCM Rhône-Alpes est « le plus important de France – la région Ile-de-France étant divisée en trois – et l’un des plus actifs », a souligné son président, se disant « convaincu de l’utilité et de l’importance de cette institution au niveau régional ».

Source: http://www.leparisien.fr/

Gilbert Collard : “Je suis mariniste”.

Exclusif. L’avocat se rapproche du FN.

Issu de la gauche, le célèbre ténor du barreau révèle son “rapprochement” avec Marine Le Pen. “Je n’ai pas changé, dit Gilbert Collard, c’est le FN qui a changé.” Entretien.

Vous avez accepté d’être l’avocat de Fabien Engelmann, militant FN exclu de la CGT, et venez d’animer une conférence devant des cadres du Front national. Après avoir soutenu Mitterrand en 1981, puis adhéré un temps au Parti radical, allez-vous rejoindre le FN ? Je n’ai pas pris ma carte au FN, mais je suis très ami, et de longue date, avec Marine Le Pen. Je suis mariniste. Mon lien est avec elle. Nous discutons souvent ensemble et nous ne sommes, d’ailleurs, pas toujours d’accord. Je ne l’ai pas attendue pour combattre l’euro, le traité de Maastricht ou la perméabilité de nos frontières, mais je suis, par exemple, fondamentalement hostile à la peine de mort. Elle s’en remet, du reste, sur cette question, à un référendum.

Êtes-vous favorable à la “préférence nationale” ? Lorsqu’on me pose la question, je réponds : “Et vous, êtes vous favorable à l’infériorité nationale ? ” La préférence nationale, c’est le contraire du racisme puisque c’est la citoyenneté qui prime sur l’origine, notamment ethnique, des individus. La préférence nationale revient à favoriser un Français d’origine tunisienne par rapport à un Tunisien d’origine tunisienne. Je rappelle aussi que la préférence nationale est une idée socialiste mise en place par Roger Salengro sous le Front populaire.

Qu’est-ce qui vous a incité à vous rapprocher du FN ? En France, dès que l’on ne s’éloigne pas du FN, on s’en rapproche… Trois raisons principales m’ont décidé. La première, c’est le déclin de notre pays, menacé de dilution par le mondialisme, et qui réclame de vraies mesures à la fois de bon sens et “révolutionnaires”. La deuxième, c’est la confiscation du pouvoir, l’abandon du peuple et le déni des réalités du PS et de l’UMP. La troisième, c’est que le Front mariniste est 100 % républicain. Le procès en racisme intenté à Marine Le Pen est totalement obsolète. Marine, je la connais : elle n’est ni raciste, ni anti sémite, ni xénophobe ! Moi-même, passionnément attaché aux droits de l’homme, je ne me serais jamais rapproché de Marine Le Pen si elle n’avait pas levé l’hypothèque de l’antisémitisme. Je n’ai pas changé, c’est le FN qui a changé. On peut aimer la France et la défendre sans pour autant être mécaniquement raciste. Je renvoie les sceptiques au formidable livre de Malika Sorel Immigration-Intégration : le Langage de vérité (lire l’entretien de Malika Sorel avec Valeurs actuelles).

Allez-vous appeler à voter pour Marine Le Pen en 2012 ? J’observe l’évolution du Front mariniste et me déciderai avant la présidentielle en fonction de la confirmation, à laquelle je crois, de cette évolution.

Pourriez-vous ensuite être candidat aux élections municipales à Nice ou à Marseille ? Là encore, je me prononcerai le moment venu. Mais je n’ai pas pour habitude, lorsque je m’engage, de faire les choses à moitié. Je ne m’interdis rien.

Qu’est-ce qui vous a décidé, aujourd’hui, à vous exprimer ? La censure, l’intimidation et la menace. J’ajoute que, si je peux aider, à ce moment charnière, à accélérer la légitime “dédiabolisation” du Front mariniste – dont je constate d’ailleurs que personne ne demande l’interdiction ! – , j’aurai le sentiment d’avoir fait oeuvre utile : l’ostracisme dont il est victime attente à la liberté d’expression – qui est notre bien le plus précieux. Je ne supporte pas la “suinte inquisition”. Cet ostracisme me rappelle celui ayant frappé Socrate, condamné à mort car il était l’homme du discernement : celui qui traque les mensonges derrière les mots, ce qui se cache derrière les apparences ; celui qui dénonce le déphasage des élites avec les choses de la vie ; celui qui combat le conformisme logique (tout le monde se répète), le mythe “vertuiste” et l’omphaloscopie – l’amour de son nombril, qui est le contraire de l’amour des autres…

Avez-vous subi des pressions ? Lors que j’ai pris la défense de Fabien Engelmann, j’ai reçu nombre de coups de fil, sur le thème : “Gilbert, tu es fou ! Tu détruis ton image, on ne t’invitera plus nulle part…” Il est vrai qu’il est si confortable de faire partie de la bulle bien-pensante ! Moi aussi j’ai été intoxiqué, mais je n’ai cessé de m’interroger : est-ce vraiment ce que je pense ou est-ce ce que je “dois” penser ? Et j’ai cherché à comprendre… Je suis viscéralement un esprit libre. Je ne supporte pas qu’une société, ou en l’occurrence un système, me dicte mes comportements. Et cela, de même que l’intérêt de mon pays – « La France, d’abord », comme disait Clemenceau, mon exemple – , passe avant mon petit confort personnel… 

Propos recueillis par Arnaud Folch

vu sur http://www.valeursactuelles.com/actualités/politique/gilbert-collard-“je-suis-mariniste”20110512.html

Pourquoi sommes nous si cons, en France ?

Quelques statistiques (vérifiables…).

FDF

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N’oublions pas que Eric  ZEMMOUR va passer le mois prochain devant les  tribunaux pour avoir dit ce que vous allez lire plus  bas.

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    Parlons vrai  !

Comme il vaut mieux parfois une  poignée de chiffres plutôt que de longs discours,

à vous de juger :

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ALLEMAGNE

« Près de la moitié des actes  violents des moins de 21 ans sont commis par des  personnes issues de l’immigration.

Nous ne pouvons  pas nous taire ».

Angela Merkel, chancelière  allemande

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NORVEGE

100% des viols qui ont donné lieu  à une plainte en 2008 à Oslo l’ont été par des  immigrés « non-occidentaux », en majorité kurdes  et africains.

« Ils viennent  de pays qui ont un regard sur la femme  totalement différent de celui qui règne en  Norvège” .

Ces viols s’accompagnent d’une violence  très importante.

(statistiques de  la police.)

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SUISSE

Plus de 60% des détenus sont des  étrangers,

en grande majorité musulmans.

(statistiques fédérales  suisses)

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Espagne

70% des détenus sont musulmans.

(« Département des Affaires islamiques de Dubaï »)

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Italie

« Les faits sont incontestables,  nous avons aujourd’hui en Italie plus de 55 000  détenus parmi lesquels plus de 20 000 étrangers.  65 % d’entre eux sont mis  en examens mais seuls 35 % sont condamnés. Il  faut donc accroitre la mise en œuvre des mesures  d’expulsion pour les étrangers condamnés à des  peines inférieures à deux ans».

(Syndicat autonome de la police  pénitentiaire)

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FRANCE

60 à 70% des détenus sont de  religion musulmane.

(source Washington  Post,

Pas française, bien sur)

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Grenoble

Deux « jeunes »  arrêtés.

Entre «50 et 60 voitures» ont été  brulées et deux « jeunes », dont un mineur, ont été  arrêtés,

selon un bilan définitif de la  police.

Les deux « jeunes » arrêtés sont  âgés de 17 et de 18 ans, a précisé un responsable  de la police.

En outre des «engins de chantier»  ainsi que «deux commerces» ont également été  brulés.

Les incidents se sont déroulés dans la  nuit dans un quartier  populaire

de  Grenoble, la Villeneuve, d’où était originaire  Karim Boudouda, 27 ans, déjà condamné trois fois  aux assises pour vol à main armée, et qui a trouvé  la mort dans la

course-poursuite qui a suivi sa fuite du  Casino d’Uriage-les-Bains, près de  Grenoble.

Avec un complice il s’était fait  remettre le contenu de la caisse sous la menace  d’armes lourdes.

Concrètement le pauvre Karim se  fait tuer par la police pendant son braquage

… et  il faudrait que la France s’excuse  ????

On marche sur la tête dans ce  pays… non ?

Que font la HALDE, Sos Racisme et  la Licra …..

Vite … défendons tous Karim, ce  prix Nobel qui a tant apporté à notre  Pays…….

N B

Déjà on se demande ce que ce  type faisait en liberté,

après trois condamnations  aux Assises. ….

Ensuite, abandonnons

« la pensée  dominante de la culture de  l’excuse » 

et arrêtons de les appeler des « jeunes »,

ce sont des voyous !

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Dans toute l’Europe, soutenons notre

POLICE

Merci à RB pour l’info…

« Les terroristes sont des êtres humains »… Ah bon ?

Première nouvelle.

J’ai déniché l’article qui suit qui m’a fait bondir: il ne fallait pas tuer Ben Laden… Mais combien d’êtres humains (femmes et enfants compris) Ben Laden a t’il fait tuer? Pourquoi laisser en vie un terroriste pour qui tuer est un but? Le « droit pénal », Ben Laden n’en n’avait rien à faire lorsqu’il organisait ses attentats meurtriers.

FDF

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Les terroristes ne sont pas sans droit(s)

Les terroristes sont des êtres humains, Oussama Ben Laden ne fait pas exception ici. En tant que tels, ils sont titulaires des droits de l’homme, y compris le droit à la vie, le droit d’être traité avec humanité et le droit à un procès pénal équitable. Les droits de l’homme fondamentaux restent valables même dans un état d’urgence. En temps de paix, le droit à la vie n’est suspendu que d’une manière exceptionnelle, en particulier dans les cas de légitime défense. S’il s’avère exact que Ben Laden était désarmé et s’il a été tué d’une manière ciblée, alors la légitime défense peut être exclue car elle doit être la réponse nécessaire à une agression immédiate et illégale à l’encontre des soldats des forces spéciales entrés en action. La supposition erronée d’une situation de légitime défense est une autre excuse possible même si l’acte homicide reste alors objectivement illégal. À la différence de ce que le président américain semble estimer, la « liquidation » de  Ben Laden dessert ainsi la justice et non pas le contraire.

Un Etat de droit se doit de traiter même ses ennemis avec humanité. Il arrête les terroristes afin de les déférer à la justice. A l’image de ce que l’Allemagne a fait avec la RAF (Fraction armée rouge) et fait aujourd’hui avec les membres d’Al-Qaïda. Si la culpabilité des personnes en question est constatée par un tribunal impartial, des condamnations à des peines fermes, allant jusqu’à la peine de mort aux États-Unis, peuvent en résulter. Une liquidation sans action en justice s’apparente à une exécution extralégale chose pour laquelle des États de non-droit sont dénoncés régulièrement devant les organismes de droits de l’homme.

Il est vrai qu’en temps de guerre, lors d’un « conflit armé » au sens du droit international humanitaire, la situation juridique se présente quelque peu différemment. Ainsi, des « liquidations » sont admises, pour autant que les cibles participent directement aux hostilités et ce pendant la durée de cette participation. Dans un conflit international l’interdiction de tuer est abrogée par rapport aux combattants et dans un conflit non-international par rapport aux combattants de fait. Ceux-ci peuvent même être tués d’une manière ciblée dans certaines circonstances en particulier en tenant compte de la nécessaire proportionnalité des moyens, c’est-à-dire en donnant la préférence aux mesures moins lourdes (arrestation) et en évitant des victimes civiles superflues. Si ceci devait se produire sur un territoire étranger, l’accord de l’État en question serait nécessaire, sans quoi il s’agirait d’une atteinte à sa souveraineté en violation du droit international. Contrairement à ce qu’on entend parfois actuellement, les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU au sujet de la lutte contre le terrorisme international et contre Al-Qaïda en particulier (résolution 1267 de 1999 ainsi que résolution 1974 de 2011), n’autorisent ni des opérations sur un territoire étranger ni des arrestations, voire des liquidations de terroristes quelconques. Seule l’obligation classique d’extrader ou de juger (aut dedere aut judicare) des suspects terroristes peut être déduite de ces textes.

Dans le cas d’espèce, la licéité d’une liquidation ciblée ne peut d’ores et déjà être admise car les États-Unis – contrairement à la rhétorique trompeuse de la « guerre contre le terrorisme » – ne se trouvent pas dans un conflit armé avec Al-Qaïda. Un réseau terroriste ayant des structures souples et organisé de manière décentralisée ne remplit pas la condition de « partie au conflit » au sens du droit international humanitaire. Il lui manque pour ce faire une structure de commandement militaire centralisée et hiérarchique ainsi que le contrôle d’une certaine partie d’un territoire. Si l’on devait malgré cela proclamer un conflit armé mondial contre Al-Qaida, le monde entier deviendrait alors un champ de bataille ; la conception classique d’un conflit armé limité à un différend militaire sur un territoire national bien déterminé serait étendue à l’infini.

Nul ne doute que des franchissements de frontières lors d’un conflit armé puissent être fréquents, en particulier dans le cadre du repli d’une partie au conflit sur le territoire d’un pays voisin (ainsi les Talibans afghans se replient-ils fréquemment au Pakistan voisin). Mais cette expansion territoriale reste étroitement liée au conflit initial et ne transforme pas le monde entier en champ de bataille, une transformation aux conséquences imprévisibles pour les suspects de terrorisme identifiés comme cibles militaires. Une telle lutte mondiale porterait en outre la guerre dans tous les pays dans lesquels des « terroristes » sont présents, même si l’État belligérant n’est pas en état de guerre avec ces mêmes pays. En fin de compte et même si on devait admettre l’existence d’un conflit armé entre les États-Unis et Al-Qaïda, seuls ceux qui participent directement aux hostilités peuvent être les cibles d’une attaque militaire. Pour cela, il leur faudrait mener ou au moins planifier eux-mêmes d’une manière déterminante des opérations militaires et exercer une fonction continue de combattant ; cette condition ne paraît pas remplie dans le cas de Ben Laden, étant donné que, selon l’opinion majoritaire, il n’était plus que le dirigeant moral d’Al-Qaïda, sans influence aucune sur les opérations militaires concrètes.

Au-delà de ces questions juridiques complexes qui ne font en aucun cas l’unanimité, une autre question bien plus fondamentale se pose : l’Occident veut-il refuser tout droit à la vie et tous les droits de l’homme à ses ennemis terroristes et ainsi les qualifier de cible militaire sans protection aucune ? Poser la question équivaut à répondre par la négative. La supériorité morale et politique d’une société libre et démocratique se traduit tout d’abord par le fait de réserver un traitement juste à ses ennemis, reconnus comme des individus jouissants de droits et non par l’annulation de ceux-ci. On ne mène pas une « guerre » contre des terroristes mais on les combat à l’aide des moyens du droit pénal d’un Etat de droit. C’est l’unique moyen de rendre service à la justice et du seul fondement d’une réelle victoire sur l’injustice terroriste.

Kai Ambos, professeur de droit pénal à la Georg-August-Universität Göttingen

Source: http://www.lemonde.fr/

Lyon. Rassemblement pour la Liberté: le face-à-face de ce samedi…

Le Rassemblement pour la Liberté  est un rassemblement pacifique. L’extrême Gauche compte faire une contre-manifestation. Devinez d’où viendront les heurts, si heurts il y a…

FDF

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2500 personnes sont attendues ce samedi à Lyon. L’extrême droite qui a même mobilisé à l’étranger se retrouvera à St-Jean pour dénoncer l’interdiction par le préfet de la marche des cochons qui visait la filière halal. La gauche et l’extrême gauche organisent une contre-manifestation. La police craint des affrontements et la présence de manifestants encagoulés ou portant des masques porcins, pressés d’en découdre. 

Lyon sera ce samedi le théâtre d’un face-à-face tendu. D’un côté l’extrême droite va stationner à St-Jean « pour la liberté ». Un intitulé changé à la suite de l’interdiction par le préfet de la marche des cochons qui visait à dénoncer « l’islamisation de la France » (lire ici). De l’autre, une contre-manifestation organisée par des formations de gauche (PS, Europe Ecologie, MRAP, Planning familial…) et d’extrême gauche qui refusent que Lyon devienne « un laboratoire de l’extrême droite ». La police s’attend à voir 2500 personnes dans les rues, 600 venant de l’extrême droite, 2000 de la gauche. Et espère que ce face-à-face restera à distance. 

« Montrer les dents plutôt que mordre »

Pour ce faire, 300 agents de la paix seront à pied d’oeuvre dont 200 CRS (trois compagnies). « Il vaut mieux montrer les dents que d’avoir à mordre« , indique Jean-Marc Rebouillat, directeur de la sûreté départementale. Celle-ci a même mis en place une cellule exceptionnelle pour recevoir les « prises » effectuées ce jour-là. Parmi les délits attendus, le port d’armes, l’absence de papiers d’identité et la dissimulation de visage. Les organisateurs des deux manifestations ont été prévenus : la police ne tolèrera pas que des visages soient cachés, conformément à la règlementation en vigueur depuis la fin de l’année dernière. Les arrestations seront alors « systématiques« . C’est ce même message de fermeté qu’a fait passer le préfet qui a reçu les organisateurs du rassemblement pour la liberté mercredi, et ceux de la contre-manifestation le jeudi. Eux-mêmes pourraient être tenus responsables d’éventuels débordements. Les autorités craignent des échauffourées : sur Internet, les deux camps se sont adonnés à une surenchère verbale, poussant à des « opérations commandos« . 

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Masques de cochons et slogans anti-halal ? 

L’extrême droite a donné rendez-vous à ses militants à 14h30 à St-Jean, pour un rassemblement sur la place pendant deux heures. Cachez ce cochon que je ne saurai voir : il n’est plus question de porter des masques porcins pour dénoncer la filière halal et « l’islamisation » de la France. Interdit par le préfet, cet événement est rebaptisé « rassemblement pour la liberté ». Est-ce si sûr qu’aucune bête ne montrera son museau ? Le site identitaire Rebeyne s’attend à ce que certains viennent avec leur masque. De la même façon, des slogans hostiles au halal ne sont pas à exclure. Braveront-ils la consigne préfectorale ? « Tout dépend du nombre que l’on sera« , souffle Damien, le porte-parole de Rebeyne. 

Sur le groupe Facebook, 1100 personnes affirment vouloir rejoindre la manifestation d’extrême droite. « Si on est 600, ce sera réussi« , indique le porte-parole. C’est justement le chiffre estimé par la police. Un car de militants va venir de Nice. Rebeyne table aussi sur une cinquantaine de Parisiens, une vingtaine d’Auvergnats, une vingtaine de Bretons. « C’est quasiment une mobilisation européenne, avec des personnes de pays étrangers« , ajoute une source policière. La médiatisation de l’événement a joué à plein. Le changement d’intitulé pourrait toutefois décourager certains. « C’est moins rigolo que la marche des cochons. Les gens qui viennent de loin peuvent être moins motivés« , estime le porte-parole de Rebeyne. Ce renfort de militants étrangers à Lyon inquiète les organisations de gauche. « Ce ne sont pas des gens qui viennent pour rester gentiment trois heures place St-Jean« , craint Philippe Bouvard, membre de Sud Education. Le syndicaliste relève par exemple que le Front National organise à 11h un rendez-vous en l’honneur de Jeanne d’Arc, place Chavannes (Lyon 6e). 

rebeyne ()

Dans le viseur, deux locaux d’extrême-droite

La contre-manifestation part de 14h place des Terreaux. « Pour que Lyon ne soit pas un laboratoire de l’extrême droite« , peut-on lire en slogan. Les participants regagneront Bellecour où des prises de parole vont se succéder devant le veilleur de pierres. Le cortège va atteindre la place Guichard vers 16h30 avant de se disperser.

Outre l’événement organisé par l’extrême droite, le collectif veut dénoncer les agressions récentes menées par des néo-nazis, comme à Villeurbanne où une femme avait été frappée à coups de batte de base-ball le 15 janvier dernier (lire ici). Ils souhaitent aussi réclamer la fermeture de deux locaux « qui propagent la haine« , à St-Jean et à Gerland. « Nous avons vérifié qu’il n’y aurait pas de velléités d’affrontement« , affirme Jeff Ariagnon, engagé au sein du collectif pour le parti socialiste. La manifestation ne partira pas tant que des gens encagoulés seront à l’intérieur« . Ceux qui enfreignent les règles auront le choix entre quitter leur masque ou le défilé. Le collectif vise les 2000 participants, venus de la région. « Il existe 450 militants anarcho-libertaires à Grenoble, très mobilisés« , précise une source policière.

Source: http://www.lyoncapitale.fr/

Comme chez nous! Une mosquée de Louisiane profanée avec des tranches de porc !

Ils sont comme ça, les américains. Ils mangent n’importe quoi et en laisse traîner partout. Quel gaspillage…
FDF

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Il semblerait que les islamophobes aux Etats-Unis soient aussi ingénieux que ceux de France. Cette semaine une mosquée en Louisiane a fait l’objet d’une profanation. Des tranches de viandes de porc ont été déposées sur les poignées des portes de la mosquée. Vraisemblablement, les auteurs de cette acte espéraient condamner l’entrée avec se subterfuge. La débilité de cet acte n’enlève en rien qu’il peut être considéré comme un crime haineux.

Rappelons que les musulmans ne consomment pas de porc mais ils peuvent enlever les tranches de jambons sur leur chemin.

Le Cair (Conseil pour les Relation Américano-Islamique) condamne fermement cet incident et ajoute que ce type d’incident continuera de se produire tant que les dirigeants de ce pays ne parviendront pas à dénoncer avec forces l’islamophobie dans la société américaine. Le conseil a fait une demande pour que cette enquête soit menée par le FBI.

Source: http://www.trouvetamosquee.fr/

Le vote ouvrier de plus en plus tourné vers le FN: une logique implaquable.


Vote ouvrier et crise criminelle


Dans la culture chinoise, la notion de “bon ami” est cruciale car elle permet la vie sociale : entre “bons amis”, on se dit tout, la franchise est de rigueur. Adoptons donc cette culture millénaire et parlons franc, entre bons amis, aux dirigeants de la droite. Qu’à la future élection présidentielle, 36 % des ouvriers disent vouloir voter pour Marine Le Pen – la presse parle même de “plébiscite ouvrier” – n’est pas étonnant.

Que ces ouvriers voulant voter Le Pen aient plus que doublé depuis la présidentielle de 2007, ne surprend pas davantage.

Le diagnostic est même enfantin à poser : les ouvriers vivent, et sont condamnés à vivre, dans des quartiers toujours plus ravagés par une criminalité sans cesse plus grave – et ils ne le supportent plus. Pour l’essentiel, leur vote est ainsi un pur appel de détresse. Que des socialistes de salon et autres bobos gauche caviar osent ici parler de “repli” est carrément infâme – car il ne s’agit pas d’états d’âme ou de tourments fictifs – mais de peur, pour sa vie et celle des siens.

Que se passe-t-il en effet dans les fameux “quartiers populaires” ? Ceci : début avril, « quatre hommes cagoulés, habillés de noir et portant des gilets pare-balles investissent un pavillon de Villepinte (Seine-Saint-Denis). Ils forcent Bilal, 20 ans, à s’agenouiller dans le salon familial, et – devant ses parents – lui tirent deux balles de 9 mm dans la tête ». Dans le même département, les braquages s’enchaînent au quotidien – trois bijouteries en trois jours à la fin avril.

Le 9-3 n’a pas le monopole des homicides. À la fin avril encore, Nordine (23 ans) est abattu à Chelles (Seine-et-Marne) par un “proche”, pour un motif “toujours inconnu”. Paris n’est pas épargné. Encore à la fin avril, des “gens du voyage”, certes “sédentarisés” mais pas apaisés pour autant, s’entretuent à la Kalachnikov, en plein jour, en pleine rue, dans le populaire XIVe arrondissement : 2 morts, un blessé grave. Dans le même temps, un incendie criminel et prémédité fait 5 morts et 6 blessés graves dans le non moins populaire XIXe arrondissement.

Cela tous les jours, à longueur d’année, et sans répit, dans ces mêmes “quartiers populaires”. Pourquoi ce déchaînement criminel, qui terrorise les populations ouvrières de toutes origines ? Parce que – quelles qu’en soient les causes et les responsabilités réelles – la justice ne fait plus son travail : de l’aveu même du ministère de la Justice, « 100 000 peines de prison ne sont pas exécutées », les peines prononcées étant « en attente d’exécution ». Traduisons : par dizaines de milliers, des bandits sont dans les rues, libres de voler, voire de tuer. Où cette situation est-elle le pire ? Dans les ressorts de justice de Bobigny, Évry, Pontoise, Marseille, Lille, etc.

Parce qu’aussi, une partie de la police peine à s’adapter. D’abord, ces propos médiatiques un peu troublants, car montrant un net déficit d’expertise entre enquêteurs « ne négligeant aucune hypothèse » et porte-parole ne tenant pas pour « spécialement privilégiée » la piste d’un règlement de comptes. Certes, la police réagit du mieux qu’elle peut – mais cela suffit-il ? Elle attrape les malfaiteurs qu’elle voit – , mais alors c’est trop tard, le crime est commis. Pour preuve, observons la Seine-Saint-Denis, l’oeil du cyclone criminel. Le préfet court d’une scène de crime à l’autre – il remporte même “le tableau d’honneur en termes de réactivité”. Réagir – réactivité : c’est bien sûr là où le bât blesse. Qui a jamais gagné une bataille en laissant l’initiative à l’ennemi ? En se bornant à réagir ?

Faute de renseignement criminel pointu et précoce, la situation ne peut qu’empirer. Il faut ici un effort massif – l’État doit en savoir le plus possible et le plus tôt possible sur l’action, les effectifs et les préparatifs des gangs commettant l’essentiel des crimes inquiétant la population. Et ce, pour les surprendre en flagrant délit, les démanteler, les mettre pour de bon hors d’état de nuire. Telle devrait être la mission reine de la Direction centrale du renseignement intérieur. Or on sent cette belle machine policière plutôt absente du combat, pourtant décisif, du renseignement criminel.

Tel est l’engrenage crucial : pas de renseignement intérieur efficace en matière criminelle, pas de progrès possible dans la lutte contre les gangs – donc reflux toujours plus massif des votes populaires vers ce qui est, à l’instant, la seule posture politique anticriminelle déterminée. Ce problème est d’évidence politique. C’est au sommet de l’État que doit se décider et se conduire la grande bataille préventive anticrime, vouée à pacifier les quartiers populaires. Avec des généraux qui veulent se battre. 

Xavier Raufer


Source: http://www.valeursactuelles.com/parlons-vrai/parlons-vrai/vote-ouvrier-et-crise-criminelle20110512.html

« L’islam appartient à l’Histoire de France »

Il n’est pas trop tard pour vous convertir, monsieur Agier…


« Alors que la tenue même du débat sur l’identité nationale est sujet à controverses, l’anthropologue Michel Agier en dénonce la stigmatisation récurrente de l’islam, dont la présence en France est pourtant « ancienne ». Spécialiste des questions relatives aux migrants et aux clandestins, il décrit la participation des immigrés à la culture française.

Copie d’écran de l’émission d’Action discrète : les humoristes avaient investi le débat sur l’identité nationale, organisé à la préfecture de l’Aube.
Tandis que 200 personnalités ont lancé une pétition pour l’arrêt du débat sur l’identité nationale et que 50 % des Français se prononcent contre ce débat et 34 % en sa faveur, il convient de revenir non pas sur les causes de ces controverses, mais plutôt sur ce qu’elles révèlent.Derrière les récents dérapages politiques et émotionnels, il y a bien plus que l’agenda politique. Alors que le poids de l’héritage colonial se fait sentir, une grande partie du passé historique de la France est paradoxalement niée.Michel Agier, anthropologue à l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), vient de publier Gérer les indésirables. Des camps de réfugiés au gouvernement humanitaire (Flammarion). Il répond à nos questions.

Dans votre ouvrage « La Sagesse de l’ethnologue » vous dites : « L’ethnologue est un penseur qui conteste les définitions. » Quelle est donc, pour vous, la définition de l’identité nationale ?

Michel Agier : Eh bien, justement, je crois que c’est ça le point, c’est qu’il n’y en a pas. Et ce n’est surtout pas au chercheur de donner des définitions. Ce que nous faisons, en particulier les anthropologues, c’est comprendre ce que les gens font avec leur préoccupation identitaire. Chose à la fois très individuelle et très collective.

Alors pourquoi, selon vous, a-t-on lancé le débat sur l’identité nationale ? Quel est son but ?

Michel Agier, anthropologue, est directeur d'études à l'EHESS.

Michel Agier, anthropologue, dhimmi de nature, est directeur d’études à l’EHESS.
M. A. :Je pense qu’il y a plusieurs niveaux de compréhension. Je pense qu’il y a ce qu’on dit en général, un but électoraliste et que c’est très risqué. Alors que les politiques suivies depuis deux ans n’ont pas amélioré l’Audimat du gouvernement, on ratisse aujourd’hui vers l’extrême droite et on ramène une partie de son électorat. Mais c’est très dangereux parce que cela veut dire que cette droite là [au pouvoir] nous installe dans un horizon politique extrême. Avec, notamment, tous ces relents de xénophobie, de racisme, etc. Cela est une première explication qui, je pense, est à courte vue.Mais cela ne suffit pas, il y a autre chose. Je pense qu’il y a un effet, on peut dire, de la mondialisation en général, qui produit sur les élites et sur les gouvernements une volonté de résister à la circulation des hommes. Je ne vois pas bien l’intérêt. Là, cette espèce de débat prétendument d’idées ramène sans arrêt à des propos xénophobes, des propos racistes et des stigmatisations religieuses.Dans sa tribune sur l’identité nationalepubliée dans Le Monde, Nicolas Sarkozy dit, après avoir évoqué les musulmans : « Ces peuples d’Europe ne veulent pas que leur cadre de vie, leur mode de pensée et de relations sociales soient dénaturées. » Pensez-vous que l’islam pourrait dénaturer la vie des Français ?Là où je sursaute en tant qu’anthropologue, c’est sur le mot « dénaturé ». On prend un état comme s’il était donné : c’est donc une réflexion binaire qui reproduit le « nous » et les « autres ». C’est la raison pour laquelle on a eu cette réaction très forte avec quelques chercheurs en disant qu’il faut arrêter complètement cette affaire et supprimer ce ministère [ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale]. Depuis quelques mois, la manière dont cette affaire évolue, c’est une manière de plus en plus binaire, entre « nous » et « eux ».On renvoie, par exemple, la religion de l’islam aux migrants. Cela va à l’encontre de l’Histoire de la présence de l’islam, que ce soit dans l’Empire colonial français ou en France, où des migrations existent depuis les années 1960. L’islam est une des religions de France et cela ne date pas d’aujourd’hui. C’est quelque chose d’ancien. Reproduire tout à coup le clivage « eux » et « nous » désigne bien sûr tous ceux qui sont non seulement musulmans mais aussi descendants de migrants venant de pays d’islam. Des étrangers de l’intérieur, si l’on peut dire.Cela introduit une manière de penser dans laquelle je ne me reconnais absolument pas, et je réagis là en tant que citoyen.

Dans quelle mesure les immigrés en général participent-ils à l’identité française, à la culture française ?

M. A. : En tant qu’anthropologue, je suis persuadé qu’on participe tous à la culture d’un Etat-nation à un moment donné ainsi qu’à sa transformation permanente. Donc, oui, toutes les vagues migratoires ont depuis toujours transformé la dynamique culturelle en France. Les manières de croire ainsi que les productions artistiques ont transformé en permanence toute cette culture de notre Etat-nation français.

Les immigrés et leurs descendants font partie du paysage français depuis longtemps. Pourquoi continue-t-on aujourd’hui à les stigmatiser bien qu’ils soient maintenant nés en France et y travaillent ?

M. A. : Il faut replacer cela dans le contexte historique, la France s’est constituée avec des migrants. Mais nous sommes encore dans une situation post-coloniale. La France a eu son Empire : la colonisation politique et économique allait de pair avec une colonisation culturelle. Aujourd’hui, l’on reste avec cet héritage, et en même temps avec cette très belle et forte tradition de la res publica, des droits de l’homme et des citoyens, de l’idée d’égalité en tout cas. Il y a quelque chose de contradictoire à avoir tout cela en France.

Quelles solutions apporter à ce débat sur l’identité nationale ?

M. A. : La première solution serait de supprimer ce ministère. C’est ce ministère-là qui incarne la crispation qui a été introduite par la droite de Sarkozy en France, et pas seulement aux frontières. Cela divise le pays et explique l’état dans lequel il est maintenant.
On voit qu’il y a de nombreuses fractures qui sont en train d’être mises en place par ce ministère et ce qu’il symbolise : les religions, il y en a des bonnes et des pas bonnes… la manière de se vêtir, la manière de vivre, la couleur de peau, la manière de parler…
De façon absolue, il faudrait isoler cette pensée de droite, identitaire. Je pense que cela va bien au-delà d’une affaire électorale. »
Source: saphirnews
Remarquez que ce monsieur ne parle qu’en en qualité d’anthropologue… Encore un dhimmi qui ne sait plus à quoi se vouer afin de BIEN VENDRE son bouquin… Ca change des « politiques…

FDF

Un chrétien jugé pour insulte à l’islam en Algérie !

La christianophobie bat son plein; en Algérie, cette fois. En France, l’islamophobie est un délit… En Algérie, les chrétiens sont pourchassés et on ne leur passe rien. En France, les musulmans sont protégés par des lois françaises.Vous y comprenez quelque-chose, vous? C’est de la provocation, pure et dure. On va même jusqu’à hisser le drapeau algérien à coté du drapeau français à l’aéroport de Lille; mais ça, c’est une autre histoire… 

FDF

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Le 4 mai dernier, Krimo Siaghi, un chrétien algérien est passé devant le tribunal. Accusé d’insulte à l’islam pour avoir parlé de sa foi, il risque jusqu’à 5 ans de prison.

Krimo a été arrêté le 14 avril 2011. « Le jour de son arrestation, j’attendais Krimo à la maison » raconte son épouse. « Quand on a sonné à la porte, j’ai regardé et j’ai vu Krimo, menotté, entouré de 2 policiers en civil et 2 policiers en uniforme. Ils ont fouillé la maison et sont repartis en emportant avec eux une bible, des CD et un ordinateur. Je suis allée récupérer tout ça au poste le lendemain ; Krimo, lui, n’a été libéré que plus tard. »

Krimo est apprécié dans son quartier et il répond volontiers aux questions que ses voisins lui posent sur ses convictions chrétiennes. Il a cependant été accusé après avoir témoigné de sa foi à l’un d’entre eux. Un autre chrétien, Sofiane, arrêté en même temps que lui, a aussi été entendu le 4 mai.

Avec l’augmentation du nombre de chrétiens dans le pays, on a remarqué un durcissement contre les chrétiens. Ces derniers sont de plus en plus discriminés depuis 2008, date à laquelle le gouvernement a commencé à appliquer la loi de 2006 (ordonnance 06-03 sur les cultes autres que musulmans).

Par exemple, en décembre 2010, quatre chrétiens ont été condamnés à la prison avec sursis pour « création de lieu de culte sans autorisation ». Ils s’étaient réunis dans l’appartement de l’un d’entre eux.

Autre exemple, des couples chrétiens se sont vu refuser le droit de donner à leur enfant un prénom biblique, alors que ce droit est reconnu dans le code civil (article 64). On a même demandé à certains parents de choisir dans une liste de prénoms musulmans. Les parents ont tous refusé et leur bébé n’a pas eu d’existence administrative pendant plusieurs mois.

On a constaté également des cas de divorces de plus en plus fréquents suite à la conversion au christianisme de l’un des deux conjoints. A chaque fois, celui qui était chrétien a tout perdu, notamment la garde de ses enfants.

On estime que le nombre de chrétiens algériens s’élève à au moins 20 000 (courageuses) personnes.

Source: http://journalchretien.net/