Ils ne savent plus quoi faire pour se passer le temps, les cosaques…
FDF
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Ils ne savent plus quoi faire pour se passer le temps, les cosaques…
FDF
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Attention DANGER ! Car des « jeunes désoeuvrés », il y en a plein, en France, aussi… Et beaucoup sont Algériens de coeur, avant tout.
FDF
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A coup de fetwas et de rappels à l’ordre : depuis quelque temps, un peu partout dans les quartiers d’Alger, notamment dans les marchés informels ou à la sortie des mosquées, des pratiquants salafistes s’intronisent animateurs de halaqate au profit des jeunes «désœuvrés». El Watan Week-end a pu se faire inviter dans une de ces rencontres que le pouvoir surveille de près.
«Nous ne faisons rien dans la clandestinité. Il s’agit de la pratique de notre religion et il est de l’obligation de chaque musulman de propager l’Islam et ses préceptes, et de rappeler les musulmans à la foi d’Allah», annonce d’emblée akh (frère) Moussa*, animateur de halaqa dans la banlieue est d’Alger. Si les halaqate, sorte de cours cycliques et thématiques – les théologiens considèrent que c’est un «rappel» – traitant des préceptes de l’Islam sont fortement recommandées par les oulémas, elles inquiètent toutefois plusieurs spécialistes. Car par une pratique biaisée à huis clos, ces rencontres présentent un risque d’endoctrinement et de déviation des lois de la charia qui mènerait à «la radicalisation des idées et au ralliement de certains groupes islamistes extrémistes», selon les termes d’un spécialiste de la lutte antiterroriste. «Sans pour autant stigmatiser ces groupes – car il y en a qui le font de bonne foi –, la surveillance est de rigueur», tranche-t-il.
Selon certains animateurs, la raison du retour des halaqate serait liée à la levée récente de l’état d’urgence. «Aujourd’hui, nous ne craignons plus les interpellations, car avant, nous étions assimilés aux terroristes et on pouvait facilement être interpellés et jugés pour apologie du terrorisme ou de soutien aux terroristes», poursuit notre interlocuteur. Pour d’autres, ce succès correspond à un repositionnement en vue de la réappropriation du champ politique. «Nous avons reçu des garanties du ministère de l’Intérieur quant à l’agrément de notre parti (ex-FIS) mais sous une autre appellation. Ce qui explique ce soutien sans condition des milieux islamistes au président de la République : sur toutes les lèvres, revient ainsi “Rebbi ykhalina Bouteflika“».
Machination ?
Même si la semaine dernière, le ministre de l’Intérieur, Daho Ould Kablia, a exclu cette éventualité. Selon le quotidien Le Soir d’Algérie, le président Bouteflika aurait signifié clairement que le FIS relève de l’histoire ancienne et qu’aucun parti de mouvance islamique ne sera agréé sous aucune forme. Pour d’autres sources, ce retour n’est qu’une machination du pouvoir : une carte que l’on pourrait brandir pour étouffer toute réclamation de changement. Les halaqate que les Algériens avaient connues à la fin des années 1980 étaient l’essence même de l’ex-FIS, le principal pourvoyeur de fidèles et de sympathisants. A l’instauration de l’état d’urgence, les mosquées ont été placées sous haute surveillance, notamment celles dites salafistes. Les portes des mosquées n’étaient ouvertes que pour la prière et tout rassemblement à l’intérieur était formellement prohibé…
…Suite et source: http://www.elwatan.com/weekend/contrechamps/le-grand-retour-des-halaqate-13-05-2011-124223_184.php
Ca vient, ça vient… Déjà que l’on peut dénoncer les conducteurs en infraction… Les nouvelles « mesures » sont de plus en plus répressives.
Bref; en un mot: FRIC
Mais le jour où les automobilistes vont se fâcher…
FDF
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Lu sur le Post:
Les décisions du gouvernement pour réduire le nombre de morts paraissent sévères… | Montage Le Post d’après « Le Gendarme de Saint-Tropez »
Les gens envoient des SMS, lisent leurs mails et mettent à jour leur profil FaceBook tout en roulant, parfois. Et ils continueront, le téléphone étant dans les mains, pour faire ça, pas à l’oreille… Et des fois, les conducteurs prennent même des photos !
Un truc qui craint aussi ? Mettez des enfants qui se chamaillent à l’arrière du véhicule, installez des électrodes sur la tête du conducteur : on verra bien si la concentration reste à son maximum, en particulier lors de la distribution de taloches pour calmer les excités. Idée : baillonner les chiards. Sinon, hop, PV et retrait de points.
On peut aussi interdire de fumer au volant : les Anglais ont des primes d’assurances majorées s’ils se déclarent fumeurs. Fumer tue, et parfois, pas comme on aurait pu penser. Les Gauloises ? Confisquées ! Flag de tabagie en roulant ? Au trou.
A côté de ça, on laisse des papys et mamies conduire jusqu’à plus soif, alors que certains sont de vrais dangers au volant. Enfin, foutre des prunes aux conducteurs de plus de 80 ans, ça pue la discrimination.
D’autres pratiques devraient être VERBOTEN : brancher le GPS pendant qu’on roule parce qu’il menace de tomber en rade de manière imminente, ça déconcentre. Perdez-vous, ce sera mieux. Et puis, ce n’est pas accidentogène du tout, en plus, de rouler au pas, d’hésiter pour tourner à droite, à gauche, sous la huée des klaxons des autres enragés qui vous collent au derche.
Interdisons aussi d’ouvrir les fenêtres. En effet, comme ce fut mon cas ce matin, une attaque d’abeille dans l’habitacle et on frôle la cata. Je me suis arrêtée pour lui rendre sa liberté, mais imaginons que j’aie été allergique et piquée : hop, oedème de Quincke, perte de contrôle de la voiture, encastrage dans la voiture qui arrive en face. Presque du Spielberg, cette histoire. En moins bon, je le concède.
Sortez votre monnaie ou votre CB pour le péage uniquement avant de démarrer. Même si l’autoroute c’est dans 50 bornes. Souvenez-vous, les mains c’est à 10h10 sur le volant !
Le soleil éblouit. Pour ne pas l’avoir dans la figure, si on roulait en marche arrière en fonction de l’heure ?
En fait, les meilleures solutions pour enrayer les accidents, seraient :
– se menotter au volant, comme ça, on n’est pas tenté de se distraire. Pensez à bien valider le choix de votre station de radio avant, rouler deux heures avec Ecclesia en fond sonore, ça peut être lourdingue.
– couper son téléphone portable : d’où l’intérêt.
– acheter une vieille 4L toute pourrie pour être sûr de ne jamais dépasser 80 km/h.
– marcher à côté de sa voiture en la poussant. Sur autoroute, ça peut être folklo.
– ne plus sortir de chez soi, devenir ce fameux cancer de la société assisté. Quand on n’a plus de points sur le permis, on fait quoi ? On risque la prison pour aller bosser ? Non, on fait d’une pierre deux coups. On perd son permis, indispensable dans certains métiers, et donc, son job avec. Finaud.
Bref, les mesures sont déplorables et inadaptées. La France est en train de devenir un pays où la répression est un mode de fonctionnement récurrent, qui affecte l’ensemble de la population alors que les problèmes ne concernent finalement que très peu de concitoyens.
Prendre sa voiture, c’est prendre le risque d’avoir un malaise au volant et de mourir. Une embardée à 40 km/h peut être mortelle. Alors, Messieurs les politiques, par pitié, arrêtez de nous prendre pour des cons finis avec ces mesures qui vont bientôt être assimilables aux diktats du communisme soviétique passé. C’est vrai, finalement, quelles libertés nous reste-t-il vraiment ? A part celle de fermer sa gueule, guère plus.
J’ai l’impression de revenir 30 ans en arrière quand la maîtresse menaçait de punir toute la classe si le fauteur de trouble ne se dénonçait pas. Ben là, c’est pareil, en pire, parce que personne ne fait exprès d’avoir un accident et d’en mourir, si ?
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En France, rien ! Christine Lagarde se contente de demander des rapports administratifs. Et Nicolas Sarkozy continue, comme depuis des années, ses discours électoralistes sans lendemain.
A la machette! Comme dans leur pays d’origine! Vive la diversité! Vive le mélange des ethnies ! Vive le « vivre ensemble »! Vive l’immigration!!! Au fait, peut-être étaient ils envoyés par SOS Racisme pour effectuer un de leur fameux « testing » ? Loupé !
FDF
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Une énorme flaque de sang : les quelques témoins présents dimanche matin, rue Croix-Verte, devant le « Cotton Club » ont encore cette image gravée dans la tête. Celle d’un homme, le bras sérieusement entaillé par une lame de couteau de 30 centimètres et qui saigne abondamment. Épilogue d’une rixe de fin de nuit à la sortie d’une discothèque ? Pas exactement. Car le blessé, qui a passé deux jours à l’hôpital d’Albi, a été interpellé mercredi après-midi et placé en garde à vue au commissariat, avec un comparse que la police recherchait activement depuis dimanche.
Ces deux Guadeloupéens, âgés de 22 et 25 ans, sont accusés d’avoir monté une embuscade à 5 heures du matin, pour se venger d’avoir été éconduits par les portiers de l’établissement. Selon les éléments recueillis par les enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine, les deux jeunes Antillais, arrivés récemment à Albi, étaient ivres samedi soir et faisaient preuve d’agressivité. Des éléments qui ont incité le gérant du « Cotton Club » à leur refuser l’entrée. Les deux copains, ne voulant pas en rester là, auraient fait le siège de la discothèque à plusieurs reprises. Jusqu’à échafauder ce plan de vengeance. En fin de nuit, ils sont revenus à l’appartement loué par l’un d’eux rue Pierre-Esquilat, dans le quartier Rochegude. Là, ils ont récupéré des cagoules mais surtout des machettes et un couteau de 30 centimètres. Ainsi armés, ils sont revenus rue Croix-Verte où le « Cotton Club » venait de fermer. En frappant sur le rideau métallique, ils pensaient attirer les vigiles dehors pour régler les comptes. Dissimulés dans l’encoignure d’un immeuble voisin, ils ont attendu que les membres du personnel de la boîte sortent dans la rue. Mais ils n’avaient sans doute pas prévu qu’ils allaient se retrouver à deux contre cinq. Jouant de la machette à grands coups de moulinet, les assaillants n’ont heureusement pas touché leur cible.
Les vigiles, tous des professionnels, ont réussi à désarmer celui qui tenait la machette et même à lui arracher sa cagoule. Craignant sans doute d’être reconnu, il a pris la fuite. Son comparse a été lui aussi neutralisé. Un portier l’a surpris par-derrière et l’a bloqué en lui enserrant les bras. Le jeune Antillais a chuté, avec le couteau à la main. C’est dans ces circonstances que la lame s’est enfoncée dans son bras, provoquant la blessure que l’on sait. Hier soir, les deux néo-Albigeois étaient toujours en garde à vue au commissariat. Ils doivent être déférés au parquet dans la journée.
Source: http://www.ladepeche.fr/
Il ne faut pas se voiler la face. En 2007, Sarkö Ier a été élu grâce à pas mal d’idées reprises au Front National. Il fallait s’attendre au retour de bâton. C’est fait…
FDF
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« Halte au bla-bla! Des actes ! » Et des paroles… Marine Le Pen veut être la prochaine candidate du pouvoir d’achat. Et celle qui est désormais la favorite des ouvriers – elle recueille 36 % de voix parmi eux, selon un sondage Ifop – n’a pas fini d’en parler. Alors que le Parti socialiste est soupçonné d’abandonner les classes populaires, la patronne du Front national convoque, vendredi après-midi, une conférence sur ce thème, un mois après avoir dévoilé les grandes lignes de son programme économique. Pour détailler ses propositions ? « Non, ce n’est qu’un avant-goût. Il s’agit plutôt de parler de ce qui se passe actuellement, du pouvoir d’achat, de l’état de la France… », avance son service de communication.
Dans une vidéo postée à la mi-avril sur le site internet du Front national, Marine Le Pen livrait déjà, seule face à la caméra, la bande-annonce de son projet en faveur du pouvoir d’achat. Pas moins de sept minutes trente de discours – dont plus de trois consacrées à dénoncer « l’inaction presque criminelle » et les « annonces électoralistes » du gouvernement – pour quatre « mesures concrètes ». « Nous proposons la baisse immédiate de 20 % de la TIPP, la taxe sur l’essence, compensée par une vraie surtaxe des superprofits des grandes entreprises pétrolières et gazières. » Deuxième proposition : « Rétablir l’échelle mobile des salaires », autrement dit, indexer les revenus au cours de l’inflation. Troisième urgence, selon Marine Le Pen : « Revaloriser les petites pensions de retraite. » Dernière mesure applicable immédiatement : mettre fin au gel des revenus de la fonction publique, hormis les plus élevés.
« Elle en fait des tonnes » (Roland Cayrol)
Pour le reste, la présidente du FN renvoie ses spectateurs à la lecture des « grandes orientations du parti », disponibles sur son site. Celles-ci sont déjà connues : sortir de l’euro, « réindustrialiser » la France, « revivifier son génie national », réintroduire des droits de douane, bâtir l’état stratège… Des idées pour la plupart assez floues. Début avril, leur présentation avait d’ailleurs failli virer à la foire d’empoigne, tant les journalistes présents repartaient pour la plupart avec plus de questions que de réponses. Mais peu importe, le message était passé : le FN n’est pas qu’un parti nationaliste et ultrasécuritaire.
Et la présidente du Front national n’en finit plus de vouloir « crédibiliser » son parti sur les questions économiques et sociales. Elle emprunte donc, sans complexe, de nombreuses propositions à la gauche. Cité par Le Parisien, le politologue Roland Cayrol explique : « Elle a compris que le pouvoir d’achat et la justice sociale étaient aussi essentiels que la méfiance à l’égard de la mondialisation. Alors, elle en fait des tonnes. » Nul doute qu’elle s’engouffrera donc, vendredi après-midi, dans la dernière polémique en date, la réforme du RSA, se montrant une fois de plus là où les partis traditionnels ne l’attendent pas. Pour preuve, la réaction d’un futur ex-membre de l’UMP, Yves Jégo, qui a comparé les propositions « anti-assistanat » de Laurent Wauquiez aux idées lepénistes. À tort, puisque si la patronne a déclaré qu’il était nécessaire de « réserver la solidarité nationale aux Français », elle a qualifié les propos du ministre des Affaires européennes de « stupides ». Marine Le Pen n’est pas son père.
Source: http://www.lepoint.fr/
On va à la catastrophe… Il reste une seule solution: fermer nos frontières à ces gens là. J’entends d’ici les associations pro-clandestins brailler si la France devient hermétique aux sans-papiers. Et sans manifester pour le seul plaisir de faire semblant d’humanisme, qu’ils montrent l’exemple en accueillant eux-même les clandestins à leur domicile. Ils vont vite en revenir…
Pas de prison? Ok, les nôtres sont pleines; en majorité de délinquants « issus de l’immigration », comme on dit… Mais les « clandés » lâchés en pleine nature, ça va assurer grave…
Et en ce qui concerne les sans-papiers qui refusent de partir, il faudrait savoir si c’est la loi du pays « d’accueil » qui prime sur celle du droit européen. Apparemment non. Mais force est de constater que nous avons les moyens d’accueillir toute la misère du monde; pendant que les Français de souche font les poubelles pour se nourrir. Lamentable.
FDF
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Le fait pour un étranger de refuser de quitter la France tout en n’ayant pas de papiers en règle ne peut plus être un motif d’emprisonnement. C’est le sens d’une circulaire diffusée jeudi par la Chancellerie et consultée par l’AFP.
La consigne est une application d’un arrêt de la cour de justice de l’Union européenne. Saisie par un tribunal italien, celle-ci a jugé illégale le 28 avril dernier la détention d’un migrant en situation irrégulière s’il refuse de quitter le pays. Cet arrêt découle de la «directive retour» européenne de 2008 sur les modalités de reconduite à la frontière, qui prévoit des mesures coercitives proportionnées et graduées. Selon cette directive, la rétention administrative est l’ultime recours, l’emprisonnement étant considéré comme incompatible avec l’objectif d’éloigner un étranger.
«Afin de se conformer à la décision du 28 avril», la circulaire française demande aux parquets de ne placer en garde à vue et de ne poursuivre un étranger qui refuse de quitter le territoire qu’en cas de «comportements de violence envers les personnes dépositaires de l’autorité publique ou de fraudes avérées (faux documents administratifs), détachables de l’infraction de séjour irrégulier ou de soustraction à une mesure d’éloignement.»
L’arrêt, estime en revanche la Chancellerie, ne fait pas obstacle au placement en garde à vue des étrangers sur la base du code d’entrée et de séjour des étrangers et du droit d’asile, ni aux mesures de rétention qui peuvent en découler. Mais dans ce cas, la circulaire recommande «de s’attacher à caractériser un défaut manifeste de coopération dans la phase d’identification se déroulant pendant la rétention administrative ou de résistance à l’exécution de la procédure forcée d’éloignement».
Pour justifier sa décision, le texte de la Chancellerie explique que l’arrêt européen du 28 avril produisait «des divergences d’interprétation entre diverses cours d’appel» en France, où la loi prévoit que le séjour illégal et la soustraction à la reconduite sont passibles de prison. En application de cet arrêt, des décisions de remise en liberté avaient en effet été rendues à Nîmes, Rennes et Toulouse. D’autres, défavorables aux étrangers, avaient en revanche été prononcées à Paris et Marseille.
Avec AFP
Source: http://www.lefigaro.fr/
Bon. Dommage pour les victimes de ce massacre mais tant tant que des attentats de ce genre n’ont pas lieu chez nous, c’est toujours ça de pris. Car ça m’étonnerait que nous passions entre les gouttes…
FDF
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Il semblerait enfin que la méfiance et le bon sens s’installent…
FDF
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Muhammad Said Ramadan al-Bouti, né en Turquie en 1929, diplômé de l’université islamique de Al-Azhar, fut doyen de la faculté de loi islamique de Damas. A l’heure actuelle, il est le directeur du département des Croyances et Religions (Al-`Aqâ’id wal-Adyân) à l’Université de Damas. Autant dire que ses prises de positions font autorité dans le monde sunnite. Ses avis juridiques (Fatawas), consultables en arabe ou en anglais sur son site Internet, sont lus avec une grande attention chez les musulmans ayant fait souche en Europe.
Suite et source: http://www.islamisation.fr/archive/2011/05/12/le-prefet-carenco-annule-sa-visite-a-la-grande-mosquee-de-ly1.html