Francaisdefrance's Blog

07/05/2011

Marine Le Pen: « La France doit se donner les moyens de stopper en amont la vague migratoire ».

C’est clair, net et sans équivoque. La source de bien de nos nouveaux maux vient de ces « pseudo-expulsions électoralistes ». Ca va ouvrir les yeux de bien des Français…

FDF

Migrants tunisiens : Sarkozy doit cesser la com’ et enfin agir !

Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National :

Après le « plan Roms » de l’été 2010, voici le plan com’ de ce printemps 2011 : les pseudo expulsions de Tunisiens par le pouvoir sarkozyste.

Débordé par l’arrivée massive de migrants tunisiens en Europe via l’île italienne de Lampedusa, le gouvernement orchestre en effet depuis plusieurs semaines des reconduites à la frontière devant les caméras, espérant faire croire aux Français qu’il agit dans leur intérêt.

Mais comme d’habitude avec Nicolas Sarkozy, comme au sujet des Roms déjà oubliés, nous sommes face à un spectacle électoraliste, une pitoyable mascarade qui masque une coupable inaction.

Les pseudo expulsions de Tunisiens n’aboutissent en effet jamais, de la faute exclusive du pouvoir sarkozyste : amateurisme devant les tribunaux, qui relâchent presque systématiquement les migrants (encore 121 sur 143 à Marseille cette semaine, alors que les 22 restants ont été reconduits à une frontière italienne qui n’existe plus : ils s’empresseront de revenir en France), et soumission à l’Union européenne, qui fait appliquer au bénéfice des migrants le funeste Traité de Schengen que le pouvoir continue de soutenir.

Pire, le journal Le Monde a récemment révélé que la France négocie, en toute discrétion, une simplification des procédures pour faciliter la venue de travailleurs tunisiens ! Objectif : 9000 cette année, contre 2700 en 2010. Quelle irresponsabilité et quel écart par rapport aux discours mensongers du gouvernement sur l’immigration !

Marine Le Pen, Présidente du Front National, demande au pouvoir sarkozyste d’arrêter les effets de manche électoralistes et d’agir enfin contre l’immigration massive venue du Maghreb.

Dans ce but, le gouvernement doit cesser d’être le plus immigrationiste de ces dernières décennies : 203 000 titres de séjour distribués en 2010, contre 114 000 en 2000, sous Lionel Jospin et selon les chiffres officiels.

La France doit également se donner les moyens de stopper en amont la vague migratoire, en quittant Schengen, ce qui permettra l’établissement de contrôles aux frontières.

Source: http://www.frontnational.com/

Lettre ouverte d’une lectrice qui explique pourquoi le FN monte dans les sondages!

Ca sort des tripes et c’est la vérité…

FDF

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Extrait du Forum « C dans l’air »

Des invités qui comme à d’habitude, s’ en tiennent à un discours « convenu » et politiquement correct. A croire que tous ces « sondeurs » et « politologues » ne discutent jamais avec les gens de la rue. Ils nous refont le coup suivant : « si le FN monte c’ est la faute au chômage, à la détresse sociale et maintenant à la crise …

« Non Messieurs, si le FN monte c’ est parce que les simples péquins que nous sommes, en ont assez de financer l’ invasion du pays par des peuples qui ne savent et ne veulent pas s’ intégrer, notamment ceux de religion musulmane. s’il est nécessaire de faire débat autour de la laïcité et l’islam c’est bien que l’islam pose un problème!


Ils en ont par-dessus la tête des exigences et du culot de ces populations.

Ils en ont assez de se voir priver du droit de s’exprimer au nom de l’antiracisme, ils en ont assez du dictat de ces associations liberticides que sont les SOS-machin chose, MRAP et autres du même genre. (à quand une émission « C dans l’ air « consacrée à ces associations ? Nb d’adhérents, financement, subventions ?),

Ils en ont assez du dictat des petits juges rouges « CF condamnation d’Eric Zeymour). La France, un pays de liberté d’expression ? Foutaise !

Ils en ont assez de devoir payer de plus en plus pour des prestations sociales pour lesquelles ils ont cotisé toute leur vie, alors que la plupart de ces populations invasives en bénéficient gratuitement. Savez-vous qu’un étranger de 65 ans arrivant et étant autorisé à résider en France, n’ ayant jamais travaillé ni cotisé, peut toucher une retraite annuelle de plus de 8.000 EU et 13.000 EU en couple par an, c’ est dans le guide de l’ accueil aux étrangers que tout le monde peut consulter (Etonnez-vous du succès du regroupement familial).

Tout cela au frais du contribuable.

Ils sont outrés de voir que l’on continue à verser des retraites à des Algériens morts depuis belle lurette. (Voir le rapport de la Cour des comptes).

Ils en ont assez de voir qu’ ils leur faillent payer 45 € ( pour une chambre particulière à l’ hôpital mais qu’il y a gratuité pour les bénéficiaires de la CMU et AMG (soins gratuit pour les étrangers)

Ils en ont assez de voir leurs banlieues, havre de paix il y a seulement 40 ans devenues des zones de non-droit et où il parait normal qu’un CRS risque de perdre la vie parce qu’on lui a balancé un pavé du haut d’un immeuble. Ils en ont assez de s’entendre dire que la faute leur incombe pour avoir regroupé ces populations dans des quartiers. Ne serait-ce pas plutôt ces populations qui ont su faire le vide autour d’elles ?

Ils en ont assez de voir régulièrement brûler des écoles, magasins, voitures etc .

Ils en ont assez d’entendre tous ces élus politiques s’extasier sur la fécondité française alors que tout un chacun sait quelle part de la population y contribue. A quand des statistiques ethniques comme dans d’autres pays démocratiques ?

Ils en ont assez de se voir traiter de racistes, de devoir se flageller au nom de la repentance, pardon, esclavage, colonies, etc.
Ils en ont assez de se voir ponctionner leur épargne pour financer des assistés professionnels. (RMI / RSA).

Ils en ont assez de voir que l’ on peut se torcher avec le drapeau français (de l’ art paraît-il ) sans que les partis politiques ne s’ en émeuvent.

Ils en ont assez de s’ entendre dire qu’ il n’ y a pas plus d’ émigrés aujourd’ hui qu’ en 1930 (selon Mélenchon). Il est vrai que si en 1940 on avait donné une carte d’identité nationale à chaque Allemand entrant sur le territoire français nous n’aurions pas eu besoin des Américains pour nous libérer.

Alors, entre une Droite molle qui blablate et ne fait rien et une Gauche aux allures de « collabo » qui pense y trouver son compte, qui ne fait rien mais qui aboie très fort, quel choix reste-il en dehors de l’abstention?

Que l’ on soit d’ accord ou non avec le FN qui, au delà des mots, ne pourra pas gouverner seul, il reste quand même une question : La France est elle vraiment une démocratie ? »

Et un scandale de plus, un! Les « préfets fantômes »…

Petits arrangements entre amis… On en apprend tous les jours…

FDF

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Des dizaines de hauts fonctionnaires ont le titre de préfets alors qu’ils ne le sont pas. Un copinage politique qui leur permet notamment de toucher une retraite de préfet. Parmi eux, Michel Vauzelle et Michel Delebarre.

Parmi ces préfets fantômes, les députés et anciens ministres de François Mitterrand, Michel Vauzelle (photo), 66 ans, et Michel Delebarre, 65 ans

Parmi ces préfets fantômes, les députés et anciens ministres de François Mitterrand, Michel Vauzelle (photo), 66 ans, et Michel Delebarre, 65 ans SIPA

C’est un scandale français, un de ces abus qui alimentent la rancœur des citoyens contre les politiques. Un de ces arrangements entre amis que l’on cache soigneusement au citoyen, mais qui coûte cher au contribuable. Certains de nos hommes politiques et certains hauts fonctionnaires ont été nommés préfets par nos présidents de la République successifs, ils bénéficient d’avantages liés à cette fonction… mais ils n’en ont jamais exercé la moindre fonction. Parmi ces préfets fantômes, figurent deux stars de la politique, les députés et anciens ministres de François Mitterrand, Michel Vauzelle, 66 ans, et Michel Delebarre, 65 ans.

Tous deux indiquent, sur le site informatique de l’Assemblée nationale, la même profession : préfet. Pourtant, le premier est avocat de profession et le second cadre supérieur de collectivités locales. En fait, ces deux grands notables locaux du Parti socialiste qui n’ont jamais exercé les fonctions de préfet avaient été nommés à ce titre, de manière discrétionnaire, par le président François Mitterrand, en 1985 pour le premier et en 1983 pour le second.

Quel intérêt de nommer un préfet fantôme ? C’est un joli cadeau… financier, facile à comprendre. Le 28 avril 2011, Michel Delebarre a fait valoir ses droits à la retraite de préfet, à l’âge de 65 ans, tout comme l’avait fait le 15 août 2010 Michel Vauzelle. Cela permet à ces deux caciques du PS de toucher aujourd’hui une pension mensuelle de 4.000 € brut, qui vient s’ajouter à leurs indemnités de parlementaires et d’élus locaux : soit 15.124 € brut (Michel Delebarre) et 9.760 € brut (Michel Vauzelle). Sans compter pour chacun une indemnité (forfaitaire) représentative de frais de mandat de député de 6.000 € net. Et cela, en toute discrétion. 

Retraites dorées

D’ici quelques années, lorsqu’ils décideront d’abandonner leurs mandats, ces deux parlementaires pourront cumuler la totalité de leurs retraites de préfet, de parlementaire et d’élu local ! Soit en tout, de l’ordre de 12.000 € mensuels brut pour le premier et 10.000 pour le second. Rappelons que, selon l’Insee, le montant moyen brut des pensions en France s’élevait, en 2009, à 1.196 € par mois… Des montants et des cumuls choquants pour bon nombre des Français.

En juin 2007, à une question de l’hebdomadaire L’Express lui demandant quel était son principal défaut, Michel Delebarre avait répondu : « Je veux tout. » Tout, il l’aura bientôt. En effet, le maire de Dunkerque, président de la communauté urbaine de cette ville et préfet à la retraite abandonnera en septembre prochain son mandat de député pour être tête de liste socialiste aux sénatoriales dans le département du Nord.

Le général de Gaulle, qui ne plaisantait pas avec les finances et la morale publiques, avait mis fin à cette folie des « préfets fantômes », une folie qui perdurait depuis la création de ce corps par Napoléon Ier, en 1800. Autre temps, autres mœurs : avec l’arrivée de François Mitterrand à l’Elysée, en 1981, ce système de copinage, souvent basé sur des relations maçonniques, renaissait de ses cendres. La nomination de préfets « en mission de service public relevant du gouvernement » était alors autorisée par un décret du 23 décembre 1982, à hauteur de 5 % de l’effectif budgétaire du corps des préfets. Aujourd’hui, ce quota de « faux préfets » autorisés représente 7 % des 236 préfets, soit 17 préfets fantômes. Au fil du temps, cela fait des dizaines de faux préfets, nommés de manière totalement discrétionnaire et sans exiger le moindre titre ou diplôme pour exercer ces fonctions. 

6.000 € mensuels sans rien faire

Au bout de quelques mois, ces préfets bidons sont nommés préfets hors cadre. Une voie de garage « royale » (utilisée également pour écarter les préfets qui déplaisent), dont on ne revient jamais, mais qui permet aux intéressés de toucher aujourd’hui 6.000 € brut mensuels en attendant la retraite ou d’être élu sénateur, voire député.

Placé alors en détachement pour exercer son mandat, le préfet parlementaire (deux fonctions officiellement incompatibles selon la loi) ne reçoit plus de l’Etat qu’un tout petit salaire correspondant exactement au paiement de ses cotisations de retraite de préfet. Ce qui a été le cas de Michel Delebarre et de Michel Vauzelle pendant plus de vingt-cinq ans. De plus, en cas d’échec électoral, chacun d’entre eux pouvait coiffer sa casquette de préfet hors cadre et percevoir son salaire plein pot, sans être affecté en poste dans un département.

De 1982 à 1995, François Mitterrand a ainsi nommé près d’une soixantaine de préfets en mission de service public. Parmi eux, dix-sept étaient issus des corps de sous-préfets et administrateurs civils. Agés d’au moins soixante ans, ces vieux serviteurs de l’Etat partaient en retraite quelques mois après leur nomination, qui récompensait leurs loyaux services. Ce qui leur permettait de toucher une pension nettement supérieure à celle à laquelle ils avaient droit pour leur carrière de sous-préfet ou dans l’administration de l’Etat. La deuxième partie de ces préfets en mission de service public (une quarantaine) était en quasi-totalité des membres du PS, des élus de ce parti et des amis ou proches de l’ancien président. Parmi cette quarantaine de privilégiés, les élus ont le droit de cumuler aujourd’hui cette retraite de préfet en mission (4.000 € en moyenne) avec toutes leurs autres pensions liées à leurs mandats électoraux et des emplois privés…

Suite et source: http://www.francesoir.fr/actualite/politique/scandale-ils-n-ont-jamais-ete-prefets-mais-ils-en-touchent-retraite-98391.html

Libye : la guerre de Sarkozy a déjà coûté plus de 50 millions d’euros !

Il est certain qu’à l’heure de la médiatisation de son bilan en quatre ans, ça va peser dans la balance, ce genre d’info… Le pouvoir d’achat de la majorité des Français étant de plus en plus bas… Vous avez tous reçu votre feuille d’impôts? Renvoyez là vite; la France a besoin de vos deniers.
Marine: VITE !!!

FDF
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En plus du coût humain, notamment au sein de la population civile libyenne, l’aventureuse intervention militaire voulue par Nicolas Sarkozy pèse également sur les finances nationales.

Un mois et demi après le début des hostilités, la guerre en Libye a ainsi déjà coûté plus de 50 millions d’euros à la France. C’est Gérard Longuet, ministre de la Défense, qui a évoqué ce chiffre mardi soir devant la commission de la Défense nationale.

La facture des missiles tirés par les avions de combat s’élève à près de 30 millions d’euros, chaque missile de croisière coûtant près d’un million. Il faut ajouter les coûts de fonctionnement des appareils : l’heure de vol d’un Rafale est évaluée à 40.000 euros et l’heure d’intervention du porte-avions Charles de Gaulle à 50.000 euros. Enfin, les primes versées aux militaires pèsent également sur la facture, à hauteur de près de 10 millions.

L’intervention étant loin d’être terminée et la situation s’embourbant chaque joue davantage, la facture devrait encore s’accroître considérablement.

Le financement de l’opération pourrait s’avérer très complexe alors que les restrictions budgétaires concernant la Défense n’ont jamais été aussi drastiques bien que le pouvoir sarkozyste multiplie les interventions militaires extérieures sans que l’on perçoive bien le bénéfice de ses missions au regard des intérêts français.

Par ailleurs les rebelles libyens réclament un « prêt » de 3 milliards de dollars à la France, l’Italie et les Etats-Unis !

Source:  Novopress.info
[http://fr.novopress.info]

L’Union Européenne envisage de pouvoir refermer les frontières… Un peu tard, non?

Enfin; ça bouge… On en revient, de l’ouverture des frontières. Mais en attendant, ceux qui l’on déjà passée auront du mal de le faire en sens inverse…
FDF

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La Commission européenne craint l’arrivée de réfugiés maghrébins…

La frontière du Perthus pourra être refermée face aux migrants

 Les plus fervents partisans de la construction européenne sont déçus à l’idée d’imaginer une fermeture ponctuelle des frontières intérieures de l’Union. Cette solution, qui concerne l’autoroute A9/AP7 au niveau du Perthus-La Jonquera, est motivée par le contexte des crises en cours au Maghreb. Elle a été mise sur les rails, ce mercredi, par la Commission européenne.

L’élimination physique du passage frontalier du Perthus, effective depuis le démontage, en décembre dernier, des anciennes cabines de douane et de police, n’est pas définitive. Car les Accords de Schengen, en vigueur depuis 1995, sont sur le point d’être réformés, selon la volonté de la Commission européenne, exprimée ce mercredi. Interpellée par l’État français, inquiet d’une possible pression migratoire provoquée par les événements en cours dans plusieurs pays du Maghreb, l’Union Européenne envisage ainsi de pouvoir refermer les frontières. La victoire sur les ralentissements routiers et la séparation des territoires, visible au Perthus depuis cet hiver, est ainsi devenue fragile. Le nouveau dispositif, proposé par Nicolas Sarkozy, comportera de simples fermetures provisoires, d’ailleurs prévues dans les faits. En effet, le passage du Perthus-La Jonquera, où la vitesse maximale est désormais plafonnée à 70 km/h, dispose de deux larges barrières métalliques, de récente installation, qui pourront être refermées dans l’éventualité de l’arrivée de migrants tunisiens passés par l’Italie.

La crainte ressentie le mois dernier par le syndicat espagnol CEP au sujet d’un afflux de réfugiés maghrébins au Perthus est ainsi rejointe par Bruxelles, qui propose une révision des règles au sein de l’espace Schengen. Selon une annonce de la commissaire européenne chargée des questions d’immigration, Cecilia Malmström, le rétablissement temporaire des contrôles aux frontières nationales pourra être autorisé en cas de « défaillance » d’un État dont les limites territoriales sont les frontières extérieures de l’Union européenne. Selon elle, les contrôles aux frontières, c’est à dire notamment au Perthus, seront rétablis, comme auparavant, lorsque l’Union européenne est soumise à une « pression migratoire extraordinaire ».

Source: http://www.la-clau.net/

Lyon: des « jeunes », âgés de 14 à 16 ans, sont accusés de viol aggravé. Leurs amis ont filmé la scène, en plein jour…

Quatre mineurs mis en examen après un viol collectif à Lyon

Eh oui. Ca se passe en France. Vous savez, le pays où les chiffres de la délinquance baissent sans arrêt… Suite à ce viol, le maire de Villeurbanne leur trouve presque des excuses, à ces petits cons…

FDF

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Le viol a eu lieu sur un place d’accès à la gare de la Part-Dieu, en plein jour !
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Quatre adolescents de 14 à 16 ans ont été mis en examen vendredi pour « viol aggravé » après s’en être pris mercredi à une jeune fille de 14 ans devant la gare de la Part-Dieu à Lyon, sous les yeux d’une dizaine d’autres mineurs dont certains ont filmé la scène avec leurs portables. Les quatre adolescents, jusqu’alors inconnus des services de police, ont été placés sous contrôle judiciaire et seront suivis par la protection judiciaire de la jeunesse. Tout contact avec leur victime leur est interdit, a-t-on indiqué de source judiciaire. Le parquet avait requis leur « mise en détention ».

Au total, quinze jeunes avaient été interpellés mercredi par la police à la suite de ce viol, auquel a assisté le petit frère de l’un d’entre eux, âgé de six ans. Deux garçons de 13 ans, qui ont filmé la scène avec leurs téléphones portables, ont effectué une garde à vue avant d’être libérés. Les quatre agresseurs présumés, interpellés mercredi « en flagrant délit », ont reconnu les faits lors de leur garde à vue, et d’autres adolescents du groupe feront l’objet de « convocations, voire de mise en examen ».

À quelques pas de la foule

La victime, une « jeune fille fragile » habitant Villeurbanne, en banlieue lyonnaise, a été agressée « en pleine ville, en plein après-midi », dans un lieu de passage, et elle n’a « pas manifesté de façon explicite son refus », a souligné la même source. Alors que les Lyonnais étaient encore cette semaine en vacances scolaires, l’adolescente se rendait mercredi vers 17 heures avec une amie à la gare de la Part-Dieu, où elle devait retrouver son petit ami et quelques copains. En chemin, elle est interpellée par « un ou deux jeunes » d’un autre groupe d’adolescents originaires pour la plupart de Villeurbanne, dont elle connaît certains.

Ces jeunes l’invitent à les suivre et la conduisent, sans son amie qui s’y refuse, jusqu’à un accès de la gare à proximité d’une borne de taxis et d’un parking, où se trouve leur bande de copains. La jeune fille se retrouve alors seule au milieu d’une quinzaine d’adolescents. L’un d’eux la contraint à lui faire une fellation, la menaçant de représailles si elle ne s’exécute pas. Suivi, tour à tour, par trois de ses copains, selon un phénomène d’entraînement. Pendant tout ce temps, aucun passant n’a réagi, les autres jeunes de la bande faisant « écran », a indiqué la police. Isolée, incapable de se défendre ni de « dire non », l’adolescente effrayée ne s’est pas débattue, n’a pas cherché à s’enfuir ni même à appeler à l’aide, a-t-on souligné de source judiciaire. Elle n’a pas subi d’autre violence physique.

« Rien ne permet en l’état de dire que ce viol était prémédité » par les adolescents, qui ont profité de leur situation de force, sans avoir besoin de recourir à la « violence physique » pour arriver à leurs fins, selon la même source. Le maire (PS) de Villeurbanne, Jean-Paul Bret, s’est pour sa part déclaré « choqué » par le fait « qu’un acte aussi grave ait pu se dérouler à quelques pas de la foule de la Part-Dieu ». C’est finalement le salarié d’un bureau donnant sur la place où s’est déroulée la scène qui, apercevant la jeune fille en difficulté, a appelé la police. « Je suis convaincu que le respect du corps de l’autre s’éduque et s’apprend », a ajouté Jean-Paul Bret, estimant : « La circulation d’images agressives sur Internet tend à banaliser des gestes d’une grande violence. »

Source: http://www.lepoint.fr/

Kadhafi conseillé par un colonel Russe…

Un officier supérieur russe donne des conseils à Kadhafi


L’intéressant site de géopolitique Zebra Station Polaire publie la traduction d’une  lettre ouverte adressée, le 21 mars dernier, par le colonel Vladimir Vassilievich Kvachkov ,  un officier parachutiste qui a commandé les forces spéciales russo-soviétiques – les fameux Spetznaz – du célébrissime GRU (renseignement militaire russe) en Afghanistan et en Tchétchènie. Dans celle-ci, l’officier supérieur russe s’adresse au colonel Mouammar Kadhafi en lui conseillant de « porter la guerre sur le territoire de l’ennemi » en menant des actions de guérilla et des sabotages sur le territoire des états membres de l’OTAN et plus particulièrement en France.

Il  propose ainsi de s’attaquer aux aéronefs sur leurs bases de départ en France  – en Corse, mais cela pourrait aussi concerner les bases d’Istres, de Salon de Provence ou la base de Toulon –  et en Italie au moyen de systèmes portatifs de défense anti-aérienne. Il souligne que des armes utilisées dans le domaine sportif peuvent à courte distance infliger des dommages aux aéronefs en stationnement mais aussi lors des phases de décollage et d’atterrissage. La destruction du ravitaillement en carburant de ces bases est proposée comme un moyen de réduire les capacités opérationnelles de l’aviation de l’OTAN.

Concernant la France, il met en avant l’existence de populations d’origine « arabe »- maghrébine – qui pourraient servir de 5e colonne,  apporter un appui logistique aux commandos et servir de vivier de recrutement. Il propose de s’attaquer aux « transports militaires  » sur le territoire des états membres de l’OTAN au moyen de mines en soulignant que le transport de personnel s’effectue dans des zones civiles. Une cible particulièrement vulnérable serait les étudiants des écoles militaires, élèves-officiers,   »tout homme en uniforme de l’ennemi doit être détruit  » .

Ces attaques devraient concerner aussi les infrastructures comme les réseaux de distribution d’eau et de gaz mais aussi les centrales nucléaires afin de faire « sentir la douleur de l’agression » aux populations européennes complices de l’agression contre la Libye.
Le colonel fait enfin le lien entre l’agression contre la Libye et celle contre la Yougoslavie – en 1999 mais estime que le président Slobodan Milosevic manquait de « force spirituelle » pour opérationnaliser sa stratégie*.
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Note NPI : Néanmoins, le KOS ou Kontraobavesajna Sluzba, le renseignement militaire de l’armée serbe (VJ) utilisait des « observateurs » aux abords des bases aériennes de l’OTAN (Aviano notamment) destinés à fournir du renseignement sur les rotations de l’aviation de l’Alliance atlantique durant l’Opération Allied Force.

Les dhimmis du jour sont…. une belle poignée…

La soumission à l’islam bat son plein. Et l’exemple donné vient « d’en haut ». A Limay, on a « mis le paquet ». Désespérant…
FDF
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 L’association Avicenne a reçu du beau monde samedi 30 avril dernier afin d’inaugurer sa Grande mosquée, baptisé « Centre islamique de la Fraternité  » comprenant outre une salle de prière de 198m2, plusieurs salles de classes pour enseigner la charia et l’arabe ainsi qu’une salle de lecture de 100m2. Spirou et Tintin ont moins de chance d’être à la bibliothèque que les livres de jurisprudence islamique, contenant un code pénal pas franchement calqué sur le napoléonien… Parmi les centaines de personnes invitées, certaines personnalités officielles était présentes, le sous-préfet, le président du Conseil général, le Maire de Limay, Pierre Bédier représentant l’UMP et …et le prêtre de Limay.

Le Maire de Limay, s’est adressé aux musulmans :

Je suis très honoré et très heureux d’être ici aujourd’hui parmi vous pour inaugurer le « Centre Islamique de la Fraternité de Limay ». Cette belle Mosquée ! Je suis heureux de partager votre fierté et votre joie d’avoir su mener à bien cette réalisation architecturale et dont je sais et mesure toute l’importance et la symbolique pour l’ensemble des musulmans de Limay et de sa région (…).
Enfin, je suis heureux que des citoyens de confession musulmane puissent avoir leur lieu de culte. Un lieu qui leur permette de vivre leur foi dans la dignité. Je ne crains pas de le dire : cette inauguration est un événement, un jour important pour Limay et les Limayens dans leur diversité. Pour moi et la municipalité, cette inauguration est une belle journée dédiée au respect mutuel, au vivre-ensemble ! À ce vivre-ensemble que nous ne cessons, à Limay, de favoriser, de faire croître et de faire grandir.

Amen.

Source: http://notrejournal.info/

Education: les professionnels du futur…

Je les plains, les enseignants. Franchement, je les plains. Il faut rouvrir les maisons de redressement; ce serait un bon début… Ce qui suit est un témoignage. Mais on pourrait en trouver des centaines, des milliers, du même genre.

FDF

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Insomnies et désespoir… sont mon quotidien, combien d’années vais-je le supporter ?

Sincèrement, le plus difficile à vivre, ce n’est pas le niveau des élèves, leurs difficultés scolaires ou leur situation d’échec, non, le plus difficile, voire l’inacceptable, c’est leur indifférence sur tout, leur manque de motivation, leur mépris vis-à-vis du système éducatif et de nous-mêmes. Ils sont incapables de faire une phrase sans aligner 2 ou 3 grossièretés, incapables d’écrire une phrase sans 10 fautes d’orthographe, incapables de dire merci, bonjour ou bonne journée…

Oui, c’est déprimant car je ne retrouve plus le pourquoi de mon combat, je ne retrouve plus d’énergie pour me battre à leur côté…

Leur centre d’intérêt, leur monde tourne autour de leur portable à 350 euros !! Très utile pour tricher, ils enregistrent directement le contenu de nos cours !!! Je pense que ce qui fait l’effet d’un « acide au quotidien » = leurs paroles acerbes, leurs commentaires gratuits « Bah, Madame, fallait rester chez vous » ou « C’est bon, pfff, je me gratte, putain « . J’ai renvoyé sur le champ cette élèves de CSS, avec en prime 2 heures de retenue et un entretien avec le CPE… Ses camarades n’ont pas compris la sanction, ils ont essayé de négocier pour que je retire la sanction etc.

C’est épuisant et déprimant !!! Et c’est l’avenir de demain, puisque ces jeunes sont les professionnels du futur !!!

vu sur http://souffrancedesprofs.com/?p=762

7 Mai 1954 : La chute de DIEN BIEN PHU.


                                     

 « Le Soldat n’est pas un homme de violence. Il porte les armes et risque sa vie pour des fautes qui ne sont pas les siennes. Son mérite est d’aller sans faillir au bout de sa parole tout en sachant qu’il est voué à l’oubli »  (Antoine de SAINT EXUPERY)         

 

            Diên Biên Phu, le « grand chef lieu d’administration frontalière » est habité par les Meos, rudes montagnards qui cultivent le pavot et font commerce de l’opium et par les Thaïs qui travaillent les rizières de la vallée et font du petit élevage. Cette localité, à la frontière du Laos, est reliée au reste du pays par la route provinciale 41 qui va jusqu’à Hanoï située à 250 kms et vers la Chine. C’est une cuvette de 16kms sur 9 entourée de collines de 400 à 550 mètres de hauteur et traversée par la rivière Nam Youm.

Au début de l’été 1953, l’Indochine entre dans sa 8ème année de guerre. Le Vietminh, très mobile, se meut avec facilité sur un terrain qu’il connaît parfaitement. Son corps de bataille est de surcroît numériquement très supérieur à celui du corps expéditionnaire français et bénéficie, en outre, de l’aide sans réserve de la Chine libérée de son action en Corée depuis la signature de l’armistice, le 27 juillet 1953. C’est dans ce contexte, que le 7 mai 1953, le Général Navarre se voit confier le commandement en chef en Indochine en remplacement du Général Salan. Navarre avait un grand principe : « On ne peut vaincre qu’en attaquant » et il décidera de créer à Diên Biên Phu une base aéroterrestre pour couper au vietminh la route du Laos et protéger ainsi ce pays devenu indépendant.

            Quand les responsables français décident d’investir, la cuvette de Diën Biën Phu, ils savent pourtant que des forces régulières vietminh importantes de la division 316 du régiment 148 et du bataillon 910 occupent solidement la région depuis octobre 1952. Qu’à cela ne tienne ! L’endroit paraît idéal au commandant en chef ! Il est un point de passage obligé pour le vietminh qui ne pourra que très difficilement le contourner… De plus, il bénéficie d’un aérodrome aménagé durant la deuxième guerre mondiale par les Japonais tandis que le fond de la cuvette est une véritable plaine de plus de 100km² qui permettra l’emploi des blindés. Par ailleurs, le commandement français considérait en cet automne 1953 que le vietminh, vu l’éloignement de ses bases, à 500 kms de Diên Biên Phu, ne pourrait entretenir dans le secteur que deux divisions maximum… Il en conclut donc qu’il ne pourrait mener que de brefs combats en ne disposant, en outre, que d’une artillerie limitée qu’il sera aisé de détruire par les canons du colonel Piroth, qui s’était porté garant.

            L’occupation de la cuvette fut fixée le 20 novembre 1953. Elle fut baptisée « opération Castor ». Ce sera le plus important largage de parachutistes de toute l’histoire de la guerre d’Indochine. Vers 11 h du matin, les deux premiers bataillons sont largués : Le 6ème Bataillon de Parachutistes Coloniaux du Commandant Bigeard et le 2ème Bataillon du 1er Régiment de Chasseurs Parachutistes du Commandant Brechignac. Puis arriveront : le 1er Bataillon de Parachutistes Coloniaux, deux batteries de 75 sans recul du 35ème RALP, une compagnie de mortiers de 120 et une antenne chirurgicale. Le lendemain, les légionnaires du 1er Bataillon Etranger de Parachutistes sauteront ainsi que le 8ème Bataillon de Parachutistes Coloniaux, des éléments du génie et le PC de l’opération (général Gilles, lieutenant-colonel Langlais avec 25 hommes). Le 22 novembre, le 5ème Bataillon de Parachutistes Vietnamiens est largué à son tour. Au soir du 22 novembre 1953, il y aura 4195 hommes dans la célèbre cuvette.

            Durant près de quatre mois, les soldats français vont aménager la cuvette en camp retranché. Les petites collines entourant le camp prennent le nom de Gabrielle, Béatrice, Dominique, Eliane, Anne-Marie, Huguette, Claudine, Françoise, Liliane, Junon, Epervier et enfin Isabelle.

            L’offensive vietminh débute dans la soirée du 13 mars 1954 par une intense préparation d’artillerie (près de 9000 coups) visant particulièrement Béatrice et Gabrielle. Le combat du tigre contre l’éléphant commençait : Le tigre tapi dans la jungle allait harceler l’éléphant figé qui, peu à peu, se videra de son sang et mourra d’épuisement.

            Le point d’appui Béatrice est écrasé par les obus de canons et de mortiers lourds. Pendant plusieurs heures il reçoit des milliers d’obus. Les abris, n’étant pas conçus pour résister à des projectiles de gros calibre, furent pulvérisés. La surprise est totale dans le camp français. Malgré un combat acharné et sanglant, au prix de lourdes pertes de part et d’autre, Béatrice, tenu par la 3/13ème Demi-Brigade de la Légion Etrangère, commandée par le Commandant Pégot, fut enlevée par les Viets en quelques heures. Un malheureux concours de circonstance favorisa cette rapide victoire vietminh : les quatre officiers dont le lieutenant-colonel Gaucher, responsables de la défense de Béatrice furent tués dès la première heure par deux obus qui explosèrent dans leur abri. En une nuit, c’est une unité d’élite de la Légion qui est supprimée. Nul n’a imaginé un tel déluge d’artillerie. La contre batterie française se révèle inefficace. Le Viêt-Minh utilisant une énorme capacité en bras, a pu creuser des tunnels en travers des collines, hisser ses obusiers et s’offrir plusieurs emplacements de tir sur la garnison sans être vu. Des terrasses furent aménagées et dès que les canons avaient fini de tirer, ils regagnaient leur abri. De ce fait jamais l’artillerie française ne fut en mesure de faire taire les canons Viêt-Minh, pas plus que les chasseurs-bombardier de l’aéronavale.

            Dans la soirée du 14 mars, Gabrielle, défendue par le 5/7 Régiment de Tirailleurs Algériens, subit un intense et meurtrier pilonnage d’artillerie. A 5h, le 15 mars, le vietminh submerge la position, dont les défenseurs ont été tués ou blessés. L’artillerie ennemie –que l’on disait inefficace- fait des ravages parmi les défenseurs sans que l’on puisse espérer la réduire au silence. Conscient de cet échec et de sa responsabilité, le Colonel Piroth, responsable de l’artillerie française se suicidera dans la nuit du 15 au 16 mars en dégoupillant une grenade.

            Cependant, la piste d’aviation, bien que pilonnée quotidiennement -mais aussitôt remise en état- permettait l’arrivée régulière des renforts. Ce pilonnage s’intensifiant, les atterrissages de jour devinrent impossibles et les appareils durent se poser de nuit dans les pires conditions. Bientôt il fallut renoncer complètement et les assiégés se retrouvèrent, dès lors, isolés du reste du monde. A noter que le 28 mars, l’avion devant évacuer les blessés de la cuvette, endommagé au sol, ne put décoller. L’infirmière convoyeuse de l’équipage, Geneviève de Galard, était à bord. Elle restera jusqu’à la fin parmi les combattants.

            Le général vietminh Giap, afin de s’infiltrer plus facilement dans les défenses françaises, fit alors intervenir des milliers de coolies dans le creusement d’un réseau de tranchées, véritable fromage de gruyère, menant aux divers points d’appui. Le 30 mars, après une préparation d’artillerie très intense et l’infiltration des viets par ces tranchées, Dominique 2 et Eliane1 furent prises. Cependant, les parachutages français continuaient encore dans la plus grande confusion. La superficie de la base aéroterrestre ayant été réduite et les liaisons avec les points d’appui encore tenus par les soldats français devenant impossibles, ces « volontaires du ciel » exposés aux feux directs de l’ennemi, connaissaient des fortunes diverses. Certains atterrissaient directement chez l’ennemi, d’autres étaient morts en touchant le sol, d’autres étaient perdus… tandis que le ravitaillement parachuté faisait la joie du vietminh en améliorant son quotidien.

            Du 9 au 11 avril, une nouvelle unité de légion, le 2ème Bataillon Etranger de Parachutistes, est largué dans des conditions déplorables et engage aussitôt une contre-attaque sur la face est. Il est en partie décimé. Les rescapés fusionnent alors avec les restes du 1er BEP reformant une unité sous les ordres du Commandant Guiraud. Le 4 mai, ont lieu les derniers parachutages d’hommes provenant du 1er Bataillon de Parachutistes Coloniaux tandis que les Viets intensifient encore leurs bombardements faisant intervenir les fameuses orgues de Staline, aux impacts meurtrier en rafales, provoquant d’énormes dégâts dans les abris minés par les pluies quotidiennes d’Avril. La cuvette disparaît dans des nuages de boue soulevée par les obus.

            Dans la soirée du 6 mai, c’est le déchaînement de l’artillerie viet et de toutes les armes dont elle dispose. Dans le camp agonisant, c’est l’apocalypse. Tout ce qui est inflammable prend feu ; les abris s’effondrent, les tranchées s’écroulent, la terre se soulève. La mort frappe sans interruption. A 23h, les taupes vietminh, après avoir creusé un tunnel de 47 mètres de long, déposent sous Eliane2 une charge d’une tonne de TNT puis se ruent à l’assaut. La résistance des défenseurs est héroïque ; ils refusent de se rendre et luttent jusqu’à la mort. Une poignée de survivants arriveront à se replier sur Eliane4 afin de poursuivre le combat. A l’aube du 7 mai, Dominique et Eliane sont tombées. Les tranchées sont jonchées de cadavres et de blessés des deux camps. Alors que le Colonel de Castries vient d’être promu général, à 10h du matin, les viets finissent d’investir les Eliane. Du côté Français, il n’y a plus ni munitions, ni réserve d’hommes mais les sacrifices continuent…

            Le Général Cogny adresse un dernier message au Général De Castries, souhaitant qu’il n’y ait ni drapeau blanc, ni capitulation. « Il faut laisser le feu mourir de lui-même pour ne pas abîmer ce qui a été fait » précise-t-il. L’ordre de cessez-le-feu tombe à 17h. Après destruction de tout le matériel et de tout le ravitaillement, le PC de Diên Biên Phu adresse son ultime message à Hanoi à 17h50 : « On fait tout sauter. Adieu ! » Quelques minutes plus tard, les viets font irruption dans le PC du général De Castries. Un drapeau rouge à étoile d’or est planté sur le PC français. Diên Biên Phu est tombé mais n’a pas capitulé.

            Durant cette bataille, le corps expéditionnaire Français comptera 3000 tués et un nombre très important de blessés. 10300 seront faits prisonniers mais les effroyables conditions de détention des camps Vietminh sont telles que seulement 3300 d’entre eux reviendront de captivité. Le 21 juillet 1954, les accords de Genève mettront fin à cette guerre.

« Le Courage est un embrasement de l’être qui trempe les Armées. Il est la première des vertus, quelle que soit la beauté des noms dont elles se parent.  Un soldat sans Courage est un Chrétien sans foi.  Le Courage est ce qu’il y a de plus sacré dans une Armée.  Nul n’a le droit de troubler ses sources limpides et fécondes. »

                                                                                                          José CASTANO

Faut bien rire un peu…

Une vidéo pas mal… J’en connais qui vont encore être « heurtés »…

FDF

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Ici: http://youtu.be/LMNNK5zfoqw

85 millions d’euros pour les Palestiniens: merci à l’Union Européenne…

C’est au nom du devoir de repentance d’avoir avoir aidé à la traque et à la mort de Ben Laden? Il est vrai qu’en Europe, au niveau financier, tout va bien. On aide les islamistes du Hamas; pas mal, non?

FDF

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UE: 85M€ de plus pour les Palestiniens


La Commission européenne a annoncé avoir débloqué aujourd’hui un paquet de 85 millions d’euros supplémentaires d’aide aux familles palestiniennes en difficulté et à l’autorité palestinienne.

Cette décision s’ajoute aux quelques 100 millions d’euros déjà débloqués en 2011 dans le cadre de la politique européenne d’aide aux pays de son voisinage.

Elle servira notamment à payer les salaires et retraites des fonctionnaires de l’Autorité palestinienne qui travaillent dans le secteur de la santé et de l’éducation, et à verser des aides sociales aux familles palestiniennes les plus vulnérables, a indiqué la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton.

« La Commission témoigne avec cette décision de son soutien infatigable en faveur du peuple palestinien« , a assuré de son côté le commissaire en charge de l’aide aux pays voisins de l’UE, Stefan Füle.

Premier donateur mondial des Palestiniens, l’Union européenne fera transiter ces fonds par le biais du mécanisme Palestino-Européen de gestion de l’aide socio-économique (PEGASE), lancé en février 2008. A ce jour, l’UE a déboursé quelque 762 millions d’aide par ce mécanisme, à quoi s’ajoutent quelque 276 millions venant des Etats européens.
Le communiqué de presse ne fait aucune référence à l’accord de réconciliation entre l’Autorité palestinienne et le mouvement islamiste Hamas, que l’UE continue à étudier.


Source:  http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/05/06/97002-20110506FILWWW00450-ue-85m-de-plus-pour-les-palestiniens.php

Quotas footeux. Il eût fallu dire: « vous avez décidé de limiter le nombre de blancs, mono-nationaux, pour donner plus de chances aux jeunes footballeurs issus de la diversité »

A notre époque précise, ça serait passé comme une lettre à la Poste…
FDF

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Là, franchement, il y en a marre ! Qu’un « journal à sensation » du net déforme des propos tenus lors d’une séance de travail à la Fédération Française de Football pour les transformer en une réunion du Klu Klux Klan, ça ne me choque pas vraiment. Surtout quand on sait ce qu’est Mediapart et qui est son patron Edwy Plenel, bien connu dans la profession pour son trotskysme militant, et pour ne pas hésiter à « tordre » les faits dans le sens qui lui convient chaque fois qu’il y a un « scoop » à la clé et une occasion de cracher sur la France, à l’abri de la liberté de la presse et du droit à l’information, cela va de soit (un des premiers exploits journalistiques de l’irréprochable Plenel a été, en 1987, de dénoncer le financement du PS par Noriega, le président de la Colombie, ce qui s’est révélé faux ; il y a eu aussi l’affaire Dominique Baudis qu’il n’a pas hésité à monter en épingle du temps où il dirigeait le Monde, en sachant parfaitement qu’il n’y avait rien derrière les accusations des deux péripatéticiennes ).

Mais que la plupart des médias, et la ministre des Sports Chantal Jouanno elle-même, qui disposent de tous les éléments du dossier, se soient laissé aller à renchérir sur Mediapart, de peur sans doute de se faire taxer d’arabo-noiro (pardon, beuro-blacko)-phobie, alors là, on est au fond du trou.

Et, pour aller au bout de la dégueulasserie ambiante, que sur RTL, un Lilian Thuram, tout en se défendant la main sur le cœur de vouloir le départ de son « ami » et mentor Laurent Blanc, ait passé le temps de l’émission à lui savonner la planche, avec la complicité d’un autre « ami » de Blanc, Bixente Lizarazu – quand on a des amis comme eux, on n’a pas besoin d’ennemis-, ça donnerait presque envie de le devenir, raciste, et « bascophobe » (je demande pardon de cette boutade approximative aux basques, qui ne m’ont rien fait, du moins jusqu’à aujourd’hui).

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Parce que qu’est-ce qu’il a fait, Blanc, à part de n’être ni noir ni arabe, mais cévenole, et malgré cette tare originelle pour un joueur de foot Français, d’avoir quand même été le meilleur défenseur de sa génération, et par conséquent de faire beaucoup d’envieux, y compris à la FFF et parmi ses « amis ». Il a commis le crime de dire que le fait que des gamins formés dans les écoles de football Françaises, financées par nos impôts, puissent ensuite jouer pour une autre sélection nationale que la France, en se servant de la nationalité de leurs parents ou grands parents (le beurre, l’argent du beurre et la crémière), le dérangeait. Oui, il a osé dire que la binationalité était dérangeante !

Devant de tels propos, ce n’est pas sa démission qu’il faudrait que l’honnête Thuram exige, c’est le rétablissement de la peine de mort. D’autant plus que Blanc a ajouté, dans cette fameuse séance de travail de toutes les hontes, dont le thème était de réfléchir à ce qu’il fallait faire pour que le fiasco de la dernière coupe du monde ne se renouvelle pas, qu’on avait trop compté sur le physique, et pas assez sur la technique, qu’aujourd’hui, les joueurs les plus physiques étaient « blacks », et qu’il fallait peut-être revoir les critères de sélection – faut-il être pervers pour oser insinuer que l’équipe de France de football est composée essentiellement de « blacks », alors qu’en réalité elle est composée de Français, certes noirs pour la plupart, mais reconnaissez qu’il n’y a presque pas d’Arabes !

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Bon, passons, s’énerver, c’est mauvais pour le cœur, et il y aurait trop à dire. Alors je vais me contenter de faire profiter la FFF d’un conseil gratuit qu’habituellement je fais payer très cher : à l’avenir, si vous voulez réserver quelques places à des joueurs blancs et (ou) techniques plutôt que physiques dans les futures équipes Françaises, au lieu de parler de quotas de binationaux (limités à 30% des élèves) dans les centres de formation, ce qui est raciste, honteux, discriminatoire et passible des tribunaux, dites que vous avez décidé de limiter le nombre de blancs, mono-nationaux, pour donner plus de chances aux jeunes footballeurs issus de la diversité. Cette mesure contrarienne devient de l’anti-racisme (anti-racisme = contraire de racisme), si on applique la règle mathématique élémentaire suivante : (- x – = +).

Au lieu de se faire étriller par les médias, la FFF serait encensée, louangée, applaudie. Je vois d’ici le titre de Mediapart : « La lutte courageuse de la FFF contre le racisme et les inégalités : dorénavant le nombre d’enfants blancs et mononationaux sera limité à 70% des effectifs dans les centres de formation »… Quel scoop, Edwy !

Allez, amis bien pensants, encore un petit effort, et Marine Le Pen n’a aucune chance de se qualifier pour le deuxième tour de la PrésidentielleElle va passer dès le premier.

Source: http://notrejournal.info/