Et que dirons nous à nos enfants, petits-enfants, si par hasard, il y a des survivants à cette troisième guerre mondiale que la France a déclenchée, poussée par les Etats Unis, lesquels en ont déjà assez à leur compte…
FDF
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Et que dirons nous à nos enfants, petits-enfants, si par hasard, il y a des survivants à cette troisième guerre mondiale que la France a déclenchée, poussée par les Etats Unis, lesquels en ont déjà assez à leur compte…
FDF
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Et Marine a raison, et elle donne l’exemple, en outre. Ne nous laissons plus faire. Désormais, pour diaboliser le FN, il faudra être courageux… Surveillons et épluchons les blogs de nos adversaires…
FDF.
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Les musulmans ne vont quand-même pas croire que tout le monde se met à genoux devant eux? « Rachid system », mon frère. Nestlé est une société qui avant tout se doit de faire du profit. Et les coutumes ancestrales des muzz, ils n’en ont rien à battre. Il voudra vous y faire, les potes. Le fric avant tout! Même si ça « insulte le prophète »…
FDF
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Lu sur http://www.al-kanz.org/:
« >Le site Lequotidiendesmarches.com rapportait début mars que lors d’une conférence de presse, la directrice marketing d’Herta, Suzanne Mazet, a tenu les propos suivants : « On se donne quelques mois pour décider de notre avenir dans la charcuterie halal. […] Soit on revient, soit on abandonne. […] La contre-expertise de Genetic ID, avec un seuil de détection plus bas, a montré l’absence d’ADN de porc dans le lot de produits incriminés. Idem pour les analyses libératoires mises en place dans la foulée. »
« Soit on revient, soit on abandonne ». Nous sommes loin de la morgue affichée jusqu’au bout par le groupe Nestlé, propriétaire de la marque Herta. Rappelons les faits : le 17 janvier dernier, le site debat-halal.fr mettait en ligne un rapport du laboratoire Eurofins qui faisait état de présence de porc dans des Knacki prétendument halal. Plutôt que de faire amende honorable et de prendre au sérieux la crise qui allait durer près de trois semaines, le numéro 1 mondial de l’agro-alimentaire a choisi le silence, puis le déni, son partenaire, la SFCVH-mosquée de Paris, le discrédit, les menaces et l’intimidation. Il a fallu toute la mobilisation et la détermination des consommateurs musulmans pour que, non pas Nestlé, mais Casino réagisse et décide de retirer les Knacki prétendument halal de ses rayons. Craignant un audit du groupe Casino sur site, Nestlé ordonna un arrêt de la production, mais ne rappela pas les produits toujours en magasin. Le mépris même en pleine déconfiture.
Pourtant, le service consommateurs d’Herta s’était durement employé à convaincre les clients qui le contactaient que le cochon dans les Knacki était fictif puisqu’un second rapport d’analyses, commandé au laboratoire allemand Genetic ID, indiquait que le produit analysé ne comportait aucune trace de porc. Il fallait alors croire Herta ; ce à quoi nous étions disposés. Mais aux questions soulevées par ce second rapport, Herta apportait des réponses les unes plus alambiquées que les autres. Ce rapport posait problème, comme nous le démontrions dix jours après la publication du rapport d’analyses d’Eurofins (voir Herta « halal » : que vaut la contre-analyse de Nestlé ?) et pose toujours problème comme les plus sceptiques vont en être aujourd’hui convaincus.
Ci-après le rapport de Genetic ID censé démontrer que les Knacki Herta halal ne contiennent aucunement du porc. Il est indéniable que ce rapport est authentique. Malgré tout, il manque une information capitale, en l’occurrence le fameux « 05 M09 11:35 » bien présent sur le rapport d’analyses d’Eurofins. Mais ce n’est pas la seule incohérence…
Rapport d’analyses Genetic ID commandées par Herta
Voici un second rapport, réalisé lui aussi par le laboratoire Genetic-ID, le même que celui choisi par Herta. Les analyses ont été réalisées sur un paquet de Knacki halal, identique au paquet incriminé. Même packaging, même poids, même dénomination.
Rapport d’analyses Genetic ID non commandées par Herta
Pour couper court à toute tentative de noyer le poisson, précisions sur-le-champ que les analyses dont nous produisons le rapport ont été demandées par la voie d’un avocat qui lui-même a mandaté un huissier de justice. Nous avons masqué les coordonnées du commanditaire à sa demande, ainsi que le résultat des analyses, une procédure étant à l’étude. Les esprits chagrins qui ont cherché en janvier à étouffer l’affaire Herta peuvent donc passer leur chemin.
Qu’observons-nous sur ce second rapport que nous nous sommes procuré ? Commençons par ce qui figure dans l’encadré rouge. Contrairement au rapport d’analyses fourni par Herta, il ne manque aucune mention. Il s’agit bien de « 10 Knacki au poulet », de marque « Herta ». Mais surtout, le numéro de lot est bien au complet, ce qui n’était étrangement pas le cas sur le rapport présenté par Herta, comme on le constate ci-dessous.
Numéro de lot analysé par Eurofins
Numéro de lot analysé par Genetic ID – commandé par Herta
Numéro de lot analysé par Genetic ID – non commandé par HertaPoursuivons. Dans l’encadré vert, on lit « Meat product » et non « Chicken sausages », comme dans le rapport Herta. Enfin dans l’encadré bleu, on observe que le poids indiqué, 330 grammes, correspond bien au poids d’un paquet de dix Knacki Herta. A contrario, dans la contre-analyse avancée par Herta, on découvre que le poids est de 390 grammes. Comme nous l’écrivions il y a deux mois, toutes ces indications laissent à penser que le produit envoyé au laboratoire Genetic ID a plutôt les caractéristiques d’un saucisson Herta, à la volaille et pesant 400 grammes. Lorsqu’en janvier dernier nous avions fait part de ces incohérences à un responsable du service consommateurs, nous avons eu en guise de réponse un silence gêné, particulièrement gêné.
Que conclure de tout cela sinon que ce second rapport d’analyses, produit par le même laboratoire, Genetic ID, conforte notre position : sauf à considérer qu’il faille en mettre en cause les procédures en vigueur dans ce laboratoire allemand, on peut croire que Nestlé n’a pas tout dit. Or les consommateurs doivent savoir : est-ce que le produit envoyé à Genetic ID est bien à l’identique du produit incriminé ? Si oui, pourquoi toutes ces incohérences entre deux rapports d’analyses émis, à quelques jours d’intervalle, par le même laboratoire sur le même produit ? Nestlé n’a pas tout dit, mais Nestlé doit tout dire. Sauf à vouloir ruiner totalement son image déjà très abîmée auprès des consommateurs musulmans. »
T’as le droit d’y croire, mon con ! Tu ne penses tout de même pas que nous autres Français, on va encore se plier à de telles exigences. Il faut arrêter de rêver! Nous sommes chez nous, en 2011, et si il faut monter en puissance dans la Résistance, c’est très facile… En attendant, si tu veux continuer à passer pour un clown, continue dans ce domaine. Un clown à babouches; c’est pas courant, ça?
FDF
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Non satisfait de disposer déjà d’une émission religieuse aux frais de la princesse Marianne(1), M. Ghaleb Bencheikh voudrait que le concordat d’Alsace – Moselle soit élargi à l’islam. Il vient de formuler cette demande lors d’une émission de Radio-Orient où il a été confronté à Marine Le Pen(2). Autrement dit, non content d’être un des plus illustres thuriféraires, chronique et anachronique de l’islam, c’est à dire du Coran et de Mahomet, notre vedette voudrait que la France finance plus avant la vénération d’un Livre qui n’a que peu de respect pour la dignité des êtres et d’un Prophète, qui a marqué l’histoire et la géographie grâce à ses conquêtes territoriales et féminines. Il n’échappe plus à personne qu’en la personne de Mahomet nous avons affaire à un meneur de razzias et à un pédophile qui a interdit à ses neuf veuves de se remarier après sa mort. Une immoralité qui n’est surpassée que par celle de Sardanapale.
Comme tous les dignitaires musulmans que la France connaît si bien depuis 1830, Monsieur Ghaleb Bencheikh n’offre aux Français que sa bonne volonté, des promesses et de très bonnes paroles. « Paroles, paroles, paroles… » lui aurait chanté Dalida ! Aux actes citoyen, lui disons-nous. Nous vous mettons au défi de rendre un véritable service aux Français, musulmans et non-musulmans ! Le très spirituel et Pierre Dac aurait opiné : « Il peut le faire ! »
Monsieur Bencheikh croit qu’il lui est encore possible de nous duper et d’obtenir des deniers de Marianne sans qu’il n’ait fait quelques efforts auparavant. A Riposte Laïque, c’est bien connu, nous n’avons rien contre les religions, mais nous ne sommes pas dupes pour laisser enseigner à nos enfants la vénération d’une idéologie totalitaire drapée d’oripeaux religieux. Il nous faut donc revenir aux fondamentaux : les prescriptions coraniques, confirmées par la pratique de Mahomet et de ceux qui restent fidèles à son « beau » modèle, constituent un ensemble d’idées et de pratiques sexistes, séparatistes et ségrégationnistes à souhait.
La France ne peut programmer plus avant son suicide collectif en finançant la vénération du Coran et de Mahomet. Il est grand temps d’exiger des musulmans qu’ils cessent d’inoculer les germes de la haine aux petits êtres qu’ils ont sous leur coupe. Il faut absolument qu’ils dénoncent les préceptes et les versets coraniques, totalement incompatibles avec nos valeurs et avec notre désir de vivre-ensemble et non pas de vivre à part et à l’écart comme la pratique quotidienne et basique de l’islam le prouve chaque jour.
Nous en appelons à tous les Français pour dire non à la perpétuation de cette vénération sur le sol français. Tout ce que le Coran et Mahomet méritent, c’est bien une critique en règle, sans merci, pour que nos concitoyens musulmans puissent, enfin, s’émanciper de l’emprise d’un phallocrate autoritaire, belliqueux, conquérant et d’un livre irrespectueux des êtres à commencer par les musulmans et leurs mères. En voici deux preuves tangibles :
Nous conseillons donc à M. Ghaleb Bencheikh d’user de son autorité et d’avoir le courage de dénoncer Mahomet et les prescriptions coraniques totalement iniques, contraires à nos principes républicains. C’est le meilleur service qu’il pourra rendre aux Français, musulmans et non-musulmans. Il est vrai que cela revient à demander à M. Bencheikh de s’inspirer des très courageux et très valeureux Tunisiens qui ont mis le feu à la maison arabe, dont la façade est pleine de très belles arabesques alors que son intérieur est totalement vermoulu.
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Source: Pascal Hilout
Ce n’est plus de la diversité. C’est un choc des cultures… Reste à savoir laquelle dominera le monde. Soyons islamo-vigilants.
Un PPS bien explicatif…
FDF
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Ici: contrastes
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PORT DE SIGNES RELIGIEUX
La Halde demande une clarification sur le port des signes religieux par les personnels des crèches et des maisons de retraite du secteur privé, selon un communiqué diffusé mardi 29 mars 2011 par la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité.
Le collège des experts de la Halde, réuni lundi, « recommande d’examiner l’opportunité d’étendre les obligations de neutralité qui s’imposent dans les structures publiques aux structures privées des secteurs médico-social, social ou de la petite enfance chargées d’une mission de service public ou d’intérêt général », selon le communiqué.
Organiser un dialogue permanent
« Faut-il étendre aux salariés de ces établissements les obligations de neutralité afférentes aux agents publics ? », s’interroge la Halde qui recommande de confier au Défenseur des droits l’organisation d’un dialogue permanent avec l’ensemble des acteurs de l’emploi public et privé.
Elle recommande aussi de clarifier la portée de la circulaire du 2 février 2005 organisant la laïcité dans les établissements de santé, particulièrement dans les structures privées chargées de missions de service public.
Les principes de laïcité impliquent pour l’hôpital que « tous les patients soient traités de la même façon quelles que puissent être leurs croyances religieuses » et que « les patients ne puissent pas douter de la neutralité des agents hospitaliers », énonce notamment la circulaire.
Soulignant que seulement 2% des réclamations qu’elle reçoit concernent les questions de discriminations religieuses, la Halde observe qu’un « consensus se dégage pour accorder au fait religieux une reconnaissance juridique et sociale dans les limites assignées à l’ordre public et la loi, et dans le cadre d’un vivre-ensemble fondé sur notre pacte républicain ».
« Toutefois, ajoute la Halde, les entreprises soulignent la difficulté de déterminer le champ des restrictions de l’expresssion religieuse sur le lieu de travail ».
La Halde n’a toujours pas rendu sa nouvelle délibération concernant une ex-salariée de la crèche Baby Loup de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), licenciée pour « faute grave » parce qu’elle avait refusé d’enlever son voile.
Cette affaire avait créé des remous jusqu’au sommet de la Halde après qu’un premier avis favorable à la salariée rendu en mars 2010 eut été contesté en octobre par Jeannette Bougrab, alors présidente de l’institution.
Déboutée par les prud’hommes en décembre, l’ex-employée a fait appel.