Francaisdefrance's Blog

22/03/2011

Cantonales: si l’UMP/S passe, nous continuerons à être les « vaches à lait »…

Continuez à voter à Droite. Continuez à voter à Gauche… Vous votez pour les mêmes. Témoin cette excellente réflexion…

FDF

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Les Socialos et la Droite main dans la main ont les mêmes programmes.

Les Socialos vont augmenter les impôts et les taxes !
Et la droite après avoir instauré la prime à la casse vont pouvoir remettre les vignettes sur les voitures neuves .
Bien entendu tout cela sera annoncé après les élections 2012 !
Nicolas Sarkozy rétablit la vignette automobile !
I1 faut croire que les caisses de l’Etat sont vraiment vides. Christine Lagarde, le ministre de
l’Economie, vient d’obtenir l’aval de Nicolas Sarkozy pour rétablir dès l’an prochain la
vignette automobile ! Un impôt supprimé en 2001 par… Laurent Fabius, ministre de
l’Economie de Lionel Jospin. Comme si les automobilistes n’étaient pas assez ponctionnés !
La décision ne devait être rendue publique qu’après les élections européennes, afin de ne pas
fragiliser les listes de l’UMP, mais c’était compter sans les réseaux dont dispose encore le
Parti socialiste au sein de administration fiscale. D’où cette fuite, qui redistribue les cartes
pour le scrutin et ne va pas aider à la lisibilité de la campagne, puisque c’est le Parti socialiste
qui va dénoncer la pression fiscale, et l’UMP qui va devoir la justifier!
Dès l’été 2007, le premier ministre François Fillon avait mis les Français en garde: « Les
caisses sont vides. » Manière de dire aux salariés de la fonction publique qu’il était vain de
réclamer des augmentations de salaires et à ceux du privé que l’Etat ne pourrait pas voler à
leur secours.
Mais la crise financière mondiale est survenue, et Nicolas Sarkozy a été obligé de lâcher du
lest, au grand dam de Fillon qui, le mois dernier, a lâché : « On est en train de creuser la dette
dans notre pays, il ne faut pas se raconter d’histoires. » Mais pour s’endetter, il faut
emprunter. Or la note de la France sur le marché international est en train de se dégrader, de
sorte que le coût du crédit est de plus en plus élevé. Jusqu’à devenir excessif ou qu’à ce que la
France ne trouve plus les liquidités dont elle a besoin?
Depuis plusieurs mois, Christine Lagarde, mieux placée que quiconque pour connaître, audelà
de ses discours lénifiants, la situation réelle du pays, insistait pour que l’on instaure de
nouvelles recettes. Refus systématique de Sarko, soutenu par Eric Woerth, ministre du Budget
et grand trésorier de l’UMP, le chef de l’Etat ayant même confié, selon des propos rapportés
par le Canard enchaîné : « Cette c…. n’a décidément aucun sens politique! Un nouvel impôt ?
Et pourquoi pas taxer les portes et fenêtres tant qu’elle y est! »
Finalement, c’est lors d’une réunion qui a eu lieu à l’Elysée le lundi 5 mars au soir, en présence
du premier ministre et des ministres concernés, que Nicolas Sarkozy a donné son feu vert à
Christine Lagarde. A deux conditions : qu’il ne s’agisse pas d’un nouvel impôt mais du
rétablissement d’« une taxe supprimée de façon inconsidérée par la gauche » (tel sera l’axe de
communication); et qu’elle ne soit bien sûr rétablie que « pour une durée limitée » (l’air est
connu), le temps que la France absorbe la crise mondiale.
Jean-Louis Borloo, ministre de l’Ecologie, qui était présent, a obtenu que les « véhicules
propres » en soient exemptés, sous réserve, et c’était une demande de Luc Chatel, le secrétaire
d’Etat à l’Industrie, soucieux de ne pas affaiblir un peu plus un secteur automobile déjà très
fragilisé, qu’ils aient été acquis à compter du 1″ juin 2009.
La nouvelle vignette automobile entrera donc en vigueur au 1er janvier prochain, et le texte
devrait être promulgué par décret au cours de la deuxième quinzaine de juin, une fois les
européennes passées et juste avant les départs en vacances, période assez peu propice aux
manifestations.
La seule bonne nouvelle est que la proposition de supprimer les départements a été
définitivement enterrée par l’Elysée: la nouvelle vignette, qui sera disponible chez les
débitants de tabac le 1er septembre, est départementalisée en fonction du lieu de résidence du
propriétaire du véhicule, et chaque conseil général pourra décider du monument qui figurera
sur le pare-brise. Mais c’est tout: les recettes fiscales, elles, iront à l’Etat. Et l’automobiliste
continuera d’être une vache à lait.

Bruno Larebière

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Alors, dimanche 27:


Les « éco-tartuffes »…

Un petit PPS sympa sur les « Verts » …

Et c’est la triste réalité. De beaux écolos-cocos, comme on dit…
FDF

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Lire: http://www.patriotes-francais.fr/content/les-%C3%A9colos

Le Japon fait oublier le spectre de la guerre Africo-orientale..

Et c’est bien fait pour…
FDF

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Alors que le monde a les yeux tournés vers le Japon – suite au tremblement de terre du 11 mars qui a eu les conséquences terrifiantes que l’on sait – environ un millier de militaires saoudiens et cinq cents policiers des Emirats arabes unis sont entrées au Bahreïn, le 13 mars, pour épauler le roi Hamad bin Isa al-Khalifa face à l’insurrection qui prend de plus en plus d’ampleur[1]. Cette intervention entre dans le cadre des accords militaires du Conseil de coopération du Golfe (CCG), qui regroupe le Bahreïn, l’Arabie saoudite, les Emirats arabes Unis, Koweït, le Qatar et Oman, depuis la création de cette organisation le 25 mai 1985. Les Etats-Unis et l’ONU ont fait état de leur préoccupation suite à cette initiative sécuritaire car ils craignent une extension du conflit dans cette région particulièrement sensible sur les plans économique et stratégique. 

Le Bahreïn, lieu d’affrontements entre l’Arabie saoudite et l’Iran

A la différence des insurrections qui se sont déroulées et se déroulent encore sur le continent africain (Tunisie, Egypte, Libye), la situation dans le Golfe persique est bien plus alarmante sur le plan international. En effet, deux grands pays s’y opposent depuis des années pour conserver ou asseoir leur influence.

D’un côté l’Arabie saoudite, où la famille Saoud est mise en difficulté, en particulier par la minorité chiite (10%) qui réclame plus de reconnaissance. Cette population est surtout présente dans la province sud-est d’Ash-Sharqiyah et en particulier dans la ville de Qatif, proches du Bahreïn. Le royaume est déjà menacé à ses frontières avec le Yémen et, dans une bien moindre mesure, avec Oman. Le cas du Bahreïn est crucial car la crédibilité de la famille régnante Al-Khalifa, qui est sunnite, est fortement ébranlée par la majorité de la population qui est chiite (70%).

Alors que le parti d’obédience chiite le plus important, le Al Wefaq, acceptait de négocier avec le pouvoir en place, ne remettant pas en cause la constitution du pays, la « Coalition pour la création d’une république » – qui regroupe depuis le début du mois de mars trois formations chiites plus modestes mais plus extrémistes[2] – se montrait intransigeante. Ses militants occupaient la Place de la perle au centre de Manama et menaçaient directement les quartiers d’affaires. L’intervention du CCG emmené par l’Arabie saoudite démontre d’ailleurs que le régime se sent très vulnérable puisqu’il ne parvient plus à maîtriser la situation avec ses propres forces de sécurité.

De l’autre côté, l’Iran trouve là l’occasion d’étendre son influence en soutenant les rebelles chiites. Cela était une constante depuis des années au nord du Yémen, dans la région de Saada, et jusqu’à maintenant d’une manière plus discrète au Bahreïn.

L’intervention des forces du CCG est le prétexte rêvé pour Téhéran afin de prendre toutes les mesures nécessaires pour « défendre ses frères agressés ».

La problématique se complique lorsque l’on sait que l’état-major de la Ve flotte américaine qui couvre l’océan Indien se trouve au Bahreïn.

Pour l’Occident, la situation dans la région du Golfe persique est encore plus sensible que celle qui prévaut en Afrique du Nord[3]. En effet, la majorité de ses approvisionnements en hydrocarbures provient de cette zone. Une déstabilisation durable de la région aurait des conséquences catastrophiques pour l’économie mondiale.

Si un conflit ouvert semble peu probable tant le rapport des forces est défavorable à l’Iran, il est toutefois prévisible que Téhéran va se lancer dans une surenchère de déclarations enflammées sur la scène internationale et intensifier ses opérations secrètes menées par la force Al-Qods des pasdarans et ses services spéciaux, le Vevak. Des démonstrations de force ne sont pas non plus à exclure, en particulier des manœuvres aéronavales dans le Golfe persique et en mer d’Oman. A cette occasion, des incidents dus à des dérapages plus ou moins voulus sont également à craindre.

Enfin, employant une tactique de « contournement » qui lui est chère, Téhéran peut intensifier ses opérations secrètes en Afghanistan, en Irak, au Liban et à Gaza. Les mouvements rebelles et le Hezbollah libanais pourraient voir leurs approvisionnements en armes[4] et instructeurs considérablement augmenter.

Toutefois, les Iraniens savent pertinemment qu’ils ne doivent pas fournir à leur tour le prétexte à une intervention militaire américaine. En gros, sauf accident, ils savent jusqu’où ils peuvent aller.

Il reste l’inconnue de la politique israélienne dont le gouvernement ne rêve que d’une chose : anéantir l’effort nucléaire militaire iranien qui est considéré comme une menace existentielle pour l’Etat hébreu.


  • [1] Il est possible que la date de cette intervention n’ait pas été tout à fait choisie au hasard. En effet, l’attention du monde est effectivement focalisée sur le Japon. L’opération militaire en question a donc moins de retentissement dans les medias internationaux que cela n’aurait été le cas en période « calme ». A noter que le roi Abdallah, âgé de 86 ans, est rentré fin février d’une longue absence pour des raisons médicales.
  • [2] Le parti islamique Al-Wafa, le mouvement pour la vérité (Haq) et le mouvement du Bahreïn libre.
  • [3] A l’exception de la Libye où la production de 1,6 millions de barils/jour de pétrole est quasi arrêtée
  • [4] Les saisies de chargements d’armes en provenance d’Iran ont considérablement augmenté ces derniers temps. Soit les autorités douanières sont plus vigilantes, soit les expéditions sont plus nombreuses.

Source: http://www.cf2r.org/fr/notes-actualite/bahrein-arabie-iran-risque-un-embrasement.php

Cantonales : Le vrai score du FN !

Et l’on continue de nous enfumer. Le score du  Front National à à l’issue du premier tour des cantonales et annoncé officiellement était bien entendu faux et bien en dessous du score réel. Il n’y a qu’un calcul facile à faire pour s’en apercevoir… Français: vous n’en n’avez pas assez que l’on vous prenne pour des cons? Ben moi si…

FDF

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Compte tenu du fait que le parti de Marine Le Pen n’avait présenté de candidats que dans 1.400 cantons, le cumul de ses voix au plan national ne reflète pas intégralement sa puissance de feu à quatorze mois des élections présidentielles. Les résultats fournis par le ministère de l’Intérieur ont permis à l’institut Viavoice de calculer que le FN a bénéficié, dans l’ensemble des circonscriptions où il disposait d’un candidat, de 19,2% des suffrages soit deux points de plus que l’UMP. […] Et de qui viennent les chiffres dits « officiels », devinez-vous?

A Marseille, le FN retrouve ses scores historiques du milieu des années 1980 en réalisant plus de 30% des voix. Et il sera présent au second tour dans la totalité des 11 cantons. […]

La Tribune

Source: http://www.fdesouche.com/191549-cantonales-le-vrai-score-du-fn

Merci à DG pour l’info…

Jean-Marie Le Pen sur France 2. Vidéo…

Jean-Marie Le Pen était interrogé par Roland Sicard lors de l’émission les 4 Vérités sur France 2. Du « grand Jean-Marie Le Pen »…

FDF

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Lire: http://www.frontnational.com/

Cantonales: Fillon prend ses distances avec la règle fixée par l’UMP pour le second tour du scrutin – ni « front républicain » ni vote PS.

Ils sont « mal »; ils sont « mal »…

FDF

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Élections cantonales 2011 : cacophonie à droite sur l’attitude à adopter face au FN


Quelle attitude adopter face au Front national ? Présent dans 394 cantons au second tour, le parti de Marine Le Pen contraint la majorité présidentielle à se positionner. Et comme attendu, la question d’un front anti-FN divise à droite. Le patron de l’UMP Jean-François Copé a répété, dimanche, la ligne de conduite à suivre : ni alliance avec le FN, ni retrait d’un candidat UMP pouvant se maintenir, ni appel à un « front républicain », c’est-à-dire au vote socialiste en cas de duel FN-PS. « La gauche et la droite, ce n’est pas pareil (…). Je ne vois pas pourquoi on appellerait à voter de façon systématique pour le PS », a-t-il justifié, lundi matin, au micro de RTL. Et de préciser aussitôt : « Je n’ai jamais dit j’interdis de voter pour le PS ; là aussi, j’ai bien expliqué qu’il y avait une liberté de choix, mais pas question de voter pour le FN. » Une stratégie de nouveau confirmée par Nicolas Sarkozy lundi matin lors d’une réunion avec l’état-major de l’UMP.

Mais pour le parti majoritaire, la débâcle est telle que cette ligne de conduite élaborée avant les cantonales semble difficile à tenir. Avec 15,18 % des voix au premier tour du scrutin, le FN talonne l’UMP (17,07 %) et se prépare à affronter en duel le PS dans 204 cantons au second tour, dimanche 27 mars. Tout en laissant les électeurs libres de leur choix, l’UMP joue les équilibristes. « On appelle à faire barrage au Front national », a exhorté le porte-parole du gouvernement François Baroin, tout en refusant la moindre « union » avec le PS. Quant à Henri Guaino, conseiller de Nicolas Sarkozy, il n’y va pas par quatre chemins. « Il y a ce que moi je ferais et il y a ce que j’appellerais à faire. Moi, je voterais pour le candidat qui n’est pas FN (…), mais je suis tout à fait opposé à ce que l’on appelle le front républicain », a-t-il précisé sur RMC. Entre ligne de conduite officielle et posture personnelle, tout est dans la nuance.

Fillon se démarque

Mais dans les rangs du parti majoritaire, certains ne s’embarrassent pas de formules. À commencer par François Fillon. Lors du bureau politique extraordinaire qui s’est tenu lundi après-midi, le Premier ministre a pris ses distances avec la ligne dictée par Nicolas Sarkozy. « Aucune voix de la droite et du centre ne doit se porter sur l’extrême droite. Là où il y a un duel entre le Parti socialiste et le Front national, nous devons d’abord rappeler nos valeurs et nos valeurs ne sont pas celles du Front national », a estimé François Fillon. Et d’enfoncer le clou : « Nous devons appeler nos électeurs à faire le choix de la responsabilité dans la gestion des affaires locales. Tout cela conduit à voter contre le Front national. »

Des arguments développés dès dimanche soir par la ministre de l’Enseignement Valérie Pécresse, qui a clamé haut et fort qu’elle voterait pour la gauche en cas de duel avec le FN. La semaine dernière, le président du Sénat Gérard Larcher et la ministre de l’Écologie Nathalie Kosciusko-Morizet avaient été dans le même sens.

Les centristes, eux aussi, font entendre leur petite musique dans le débat. Jean-Louis Borloo a relayé la consigne approuvée à l’unanimité par le bureau politique du Parti radical. « Il est exclu qu’il y ait une voix de notre famille pour le Front national. Il faut absolument faire barrage au FN et voter pour le PS », a insisté le chef de file des radicaux valoisiens. Même son de cloche du côté du parti d’Hervé Morin. Le président exécutif du Nouveau Centre Jean-Christophe Lagarde a ainsi demandé aux électeurs « attachés aux valeurs de la République » de voter pour « le candidat démocrate restant en lice » dans les duels face au FN.

Sur toutes les lèvres, la question du « front républicain » risque de monopoliser le débat jusqu’à dimanche, à droite comme à gauche. Une querelle qui sera suivie de près au FN. Dans les rangs frontistes, on veut croire que la « vague bleu Marine » peut s’amplifier au second tour. Quoi qu’il en soit, le report des voix de gauche et de droite sur le candidat FN sera examiné à la loupe.

Source: http://www.lepoint.fr/

Marine Le Pen: «Le Front national aura des élus dimanche prochain».

Avec le vent en poupe, le Front National est remonté à bloc. Le second tour des cantonales s’annonce très combatif. Toutes les forces frontistes se tiennent la main. Aux Français de comprendre et de sanctionner dans les urnes le triste bilan de 30 années d’alternance UMP/PS qui ont ruiné notre patrie..

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FDF

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Marine Le Pen met le cap sur le second tour!

Marine Le Pen voit ses ambitions à la présidentielle confortées. La forte poussée du Front national au premier tour des élections cantonales -15,18% des voix- corrobore les sondages qui la créditent de 21% à 23% d’intentions de vote en 2012. «Nous avons réussi une révolution dans la vie politique française, a affirmé ce lundi Marine Le Pen. Nous talonnons l’UMP.» «Le Front national aura des élus dimanche prochain», a-t-elle pronostiqué en privé.

Le FN sera présent au second tour dans 402 cantons. Dans 39 d’entre eux, le parti frontiste est arrivé en tête au premier tour. Il espère ainsi l’emporter dans les cantons de Fréjus (Var), Perpignan-9 (Pyrénées-Orientales), Montigny-en-Gohelle (Pas-de-Calais) et Béziers-4 (Hérault), où il a respectivement atteint 39,37%, 34,61%, 35,88% et 35,17% ce dimanche.

Il y aura cinq triangulaires UMP-PS-FN. Le FN sera seul en lice face à la gauche dans 266 cantons (dans 204 face à un PS, dans 37 face à un communiste, dans 23 face à un divers gauche et dans deux face à un écologiste). Le parti de Marine Le Pen affrontera un UMP ou un divers droite dans les autres cantons. «Offrez-vous des élus qui vont tourner le dos au système UMPS!», a tonné lundi Marine Le Pen dans un appel aux électeurs en vue du second tour. Associant dans un même rejet les deux grands partis de gouvernement, la présidente du FN les a ironiquement qualifiés de «global parti».

Pour la première fois, lundi, la députée européenne a tendu la main aux candidats divers droite. Dans les cantons où le FN se sera pas présent au second tour, «si un divers droite mérite notre soutien par ses déclarations et ses positions envers le Front national, nous envisagerons la situation au cas par cas», a-t-elle déclaré.

Résultats plus homogènes.

Le score obtenu au premier tour est le plus élevé atteint par le FN à des cantonales. Il est d’autant plus notable que ce parti n’avait pu présenter des candidats que dans 75% des cantons. En outre, le mode de scrutin de cette élection, majoritaire à deux tours avec une barre d’accession au second tour relevée à 12,5% des inscrits, conduit d’ordinaire une partie des sympathisants du FN à s’abstenir.

Or, dans ses fiefs traditionnels, le parti frontiste renoue avec les scores les plus élevés de son histoire électorale. Ses bastions sont le Nord (23,09%), le Pas-de-Calais (22,86%), l’Oise (24,84%), la Moselle (24,80%) et l’ensemble du Sud-Est avec les Bouches-du-Rhône (28,20%), le Var (27,60%), les Alpes-Maritimes (27,02%), le Vaucluse (26,13%), le Gard (25,07%), l’Aube (24,88%) et l’Hérault (23,40%). À Marseille, le FN a dépassé les 30% dans tous les cantons.

Dans plus de dix autres départements, le parti de Marine Le Pen a obtenu entre 20% et 23%. Le redressement du FN en Ile-de-France, déjà amorcé lors des régionales de mars 2010, s’amplifie fortement dans les départements de la grande couronne. En Seine-et-Marne, le FN a atteint 21,64% et a dépassé l’UMP, qui a recueilli 21,56%. Dans le Val-d’Oise, il a obtenu 20,18%. Dans l’Essonne, le parti frontiste a recueilli 18,79% et devance l’UMP, qui peine à 15,52%.

Autre fait marquant: le FN uniformise ses résultats dans toutes les régions. Il a progressé dans l’Ouest, qui lui était jusqu’alors hostile. À de solides points d’appuis locaux s’ajoutent donc désormais des résultats plus homogènes qu’auparavant dans l’ensemble de l’Hexagone. Des atouts incontestables pour Marine Le Pen en vue de 2012.


Source: http://www.lefigaro.fr/

Maître Collard et le malaise de la France…

SI CELA VIENT VRAIMENT DE LUI, EN CAS DE PROBLEME, JE LE PRENDS COMME AVOCAT…

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Libres propos de Gilbert Collard (avocat)

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Marine Le Pen donnée par un sondage en tête au premier tour de la présidentielle, je crains le pire pour le révérend père président de la République, Nicolas Sarközy du Chardonnet.


Va-t-on le filmer, errant sur les lieux de mémoire vêtu d’une soutane noire ?
Va-t-il transformer le Fouquet’s en lieu de pèlerinage pour people repentis ?
Va-t-il remplacer le marathon de New York par le marathon de Saint- Jacques de Compostelle ?


Ce petit jeu cache une vraie trouille qui est une peur politique des conséquences de la maltraitance identitaire française depuis des années.
Depuis vingt ans, peut-être plus, une certaine honte de la France a été cultivée, reléguant à une forme de racisme simplificateur toute revendication de dignité nationale, d’expression d’une histoire millénaire, de souhait secret d’’être un peu respecté.

S’il n’’y avait Marine Le Pen qui ose exprimer haut et fort le non-dit d’’une France  exaspérée d’’être ignorée, croyez-vous qu’’on s’’intéresserait tout à coup à un peuple qui cherche à retrouver enfin une adresse à la poste restante de l’histoire, du mondialisme et d’une Europe déracinée ?
Un peuple qui aime son pays, ses paysages, ses traditions, sa Patrie, même s’il n’’ose encore le dire par peur du rire, qui, d’’où qu’’il vienne, s’est fondu par le temps qui passe dans la Nation.

Un peuple qui  cherche à faire respecter son héritage judéo-chrétien.
Oserait-on, aujourd’hui, évoquer « la France des racines », dont jusqu’’alors on se foutait, s’’il n’y avait en sourdine un besoin de ressourcement reconstructeur.

La difficulté pour l’’actuel pontife présidentiel, c’est qu’’il ne suffit pas de visiter une cathédrale médiévale au Puy–en-Velay, de s’’improviser le notaire d’un « magnifique héritage »  chrétien, pour être crédible dans cette posture.
Trop de crachats impunis ont depuis des années souillé d’’humiliations notre histoire ; trop d’’atteintes à notre identité de tous les jours comme de tous les temps historiques nous ont été infligées :l’’hymne hué, sifflé, le drapeau transformé en torche-cul,  notre langue estropiée, abandonnée, notre passé toujours en procès, notre diplomatie démonétisée,   notre culture judéo-chrétienne et notre amour des autres tournés en dérision, transformés en économie frauduleuse. Tout ce mal,  sans qu’on lève le petit doigt politique, associatif, judiciaire pour essuyer l’’affront.
Ce qui est extraordinaire, c’est qu’il faille que le président devienne potentiellement candidat pour découvrir qu’il existe en France des Français qui aiment la France et ses racines sans être racistes, xénophobes, ou même franchoulliardement cons !
Si l’’identité, comme on dit, faute de mieux, avait été honorée comme il se doit, dans le respect réciproque des autres et par les autres,  serait-il nécessaire d’en faire un débat, d’’en parler, d’’en discuter ?
L’’ouverture de cette discussion est révélatrice d’une souffrance française : le mal du pays !

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Mon « petit coup de pouce »:

FDF


Avertissement des Corses aux musulmans…

Et un petit tour chez les nationalistes les plus fervents. Ca montrera l’exemple aux collabos et dhimmis de tout poils qui infectent notre Patrie!

FDF

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Lire: 166494_MESSAGER

 

Les Corses, pour défendre leur identité, la dissocient de l’identité française. Comme on les comprend…
Savez-vous que la tête de Maure qui figure sur le blason de l’île représente une tête COUPEE? Tout un programme!

 

Serge de Beketch: Je suis islamo-négatif.

Ca tombe bien, moi aussi.

Un petit rappel fort bienvenu en ces temps d’islamophilie pratiquée par bon nombre de nos élus…

FDF

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Je ne suis pas islamophobe, je ne suis pas hostile à l’islam, je ne suis pas en guerre contre l’islam.Je n’ai aucun sentiment à l’égard de l’islam.
Je m’en fous radicalement. Tant qu’il reste dans ses terres.
Mais chez moi, dans ma patrie, dans mon pays, je n’en veux pas. Un point c’est tout. Je suis islamo-négatif. Je nie le droit de l’islam à prospérer en France. Je nie que l’islam soit une religion.C’est un totalitarisme comme l’indique son nom qui signifie “soumission” et, comme tel, il est du droit de tout homme libre de s’y opposer de toutes ses forces et par tous les moyens “y compris légaux”.
Je nie que l’islam ait rien de commun avec la civilisation européenne et encore moins avec la civilisation française. Il lui est en tous points étranger. Par son caractère, ses croyances, ses rites, ses observances, ses moeurs.
Je nie que l’islam ait jamais rien apporté à la France. Aucun chef-d’oeuvre littéraire, musical, architectural, pictural ou sculptural. Rien.
Pas un écrivain n’a publié “Le génie de l’islam”. Nulle mosquée ne s’élève comparable à Chartres. On attend encore un Francis Poulenc musulman. On chercherait en vain, et pour cause, un Real del Sarte islamiste.
Je nie que l’islam appartienne au patrimoine de la France. Il n’a rien laissé, rien créé, rien fait pour la France.
Aucune oeuvre d’art, on l’a vu.
Aucune oeuvre de charité non plus.
Pas un hôpital, pas un hospice, pas un orphelinat, pas une association caritative.
Où sont les “petits frères des pauvres” qui appliqueraient en France ce “quatrième piller de l’islam” ( la Zakkat. En français : l’aumône que l’on traduit abusivement par la Charité ) ?
Où est l’imam dont la personnalité et l’oeuvre pourraient se comparer à celles de saint Vincent de Paul ? Quelle fatwa a jamais fait pour les pauvres, les malades, les vieillards ou les enfants de France le millième de ce que font depuis des siècles les religieuses hospitalières, soignantes ou enseignantes ?
Je nie l’influence de l’islam sur notre histoire intime. Pas un dicton, pas une coutume, pas un mot, pas un geste, qui exprime, dans le comportement des Français, dans leurs références, dans leur imaginaire, dans leurs souvenirs, dans les chansons, les comptines, les fables de leur enfance, le moindre lien avec l’islam.
Aucune oeuvre de progrès, enfin.On nous rebat les oreilles avec l’apport de l’islam en matière de mathématiques, de géométrie, d’algèbre, d’astronomie, de médecine, de philosophie.( ils ont été les récepteurs de quelques-uns de ces savoirs et leurs vecteurs: il y a loin de là à l’invention qu’on veut leur imputer !!!! Mais c’est se foutre du monde !
Où sont, dans l’histoire de l’intelligence française les savants, les penseurs, les philosophes musulmans.
Où sont les Pasteur, les Curie, les Pascal islamistes ?
Et que l’on ne prétende pas que cette absence s’expliquerait par le magistère de l’Eglise qui aurait fait obstacle à l’éclosion du génie créateur, scientifique, artistique de l’islam dans les bras de sa Fille aînée. Ou alors que l’on explique comment tant d’écrivains, de penseurs, de philosophes, de musiciens, de peintres, de sculpteurs juifs ont pu prospérer en dépit de cet obscurantisme.
La vérité c’est que l’islam n’a rien à faire chez nous parce qu’il n’a jamais rien fait chez nous.

La déclaration de Chirac selon qui « les racines de l’Europe (donc de la France ) sont aussi musulmane que chrétiennes » n’est donc pas seulement le propos d’un imbécile, c’est aussi celui d’un salaud.
L’islam “à la française” est une double absurdité et un crime de haute trahison.Parce que l’esprit de soumission est à l’opposé même du génie français. Parce que la notion de patrie est contraire à l’Ouma, loi islamique qui nie la nation.
Parce que les politiciens renégats qui oeuvrent à asservir la France au totalitarisme islamique et à l’invasion afro-maghrébine sont plus coupables que les dirigeants français qui, voilà soixante-trois ans, se résignèrent à la Collaboration.
La différence entre les Collabos d’hier et les “Coallahbos” d’aujourd’hui, c’est que Chirac, lui, a ouvert les portes à l’invasion en signant la loi sur le regroupement familial (très grave erreur…)

Chirac ne cesse, après Mitterrand, de le répéter.
Sous la botte allemande, la Police , la Justice et leurs auxiliaires n’ont pas montré autant de zèle à poursuivre les résistants que les flics, les chats fourrés et leurs “milices antiracistes” n’en mettent aujourd’hui à traquer, à provoquer, à punir les patriotes fiers de l’être et qui entendent le rester.
Jamais la France n’a été aussi gravement malade.

Infecté par le sida de la “coallahboration”, cette maladie auto-immune qui détruit toutes les défenses naturelles de la civilisation française, notre pays est devenu islamo-positif.
> Sa survie est désormais entre les seules mains des islamo-résistants. En avant !

Surprise, surprise…

J’ai reçu ce qui suit par mail et franchement, je n’y trouve rien d’étonnant… Ben oui; faut bien financer les mosquées et financer les guerre en cours et celles qui vont inévitablement suivre…

Et ces gens-là nous demandent de voter pour eux dimanche ???

FDF

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« Il parait que la vignette automobile va être rétablie pour l’année prochaine 2012 et les impôts vont augmenter à vitesse grand V: taxe d’habitation  ect…, UMP ET SOCIALISLAMIQUES attendent la fin des élections pour nous l’annoncer ».

Vous voteriez, en France, pour un chef de guerre?

Eh bien, il y en a qui l’ont fait. Dimanche, indirectement, aux cantonales… Au lieu de se préoccuper du peuple de France, Sarkö Ier endosse le costard de chef de la coalition contre Kadhafi. Le plus sûr moyen de prendre une veste… C’est fait… Et il reste un second tour…

FDF

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Nicolas Sarkozy en «chef de guerre» !

Emporté par sa conviction, le président a mené l’offensive diplomatique avant de prendre la tête de la coalition.

«Tu as bien joué», a glissé à Nicolas Sarkozy l’un de ses ministres régaliens au lendemain du vote de la résolution de l’ONU. «Je n’ai pas joué, j’y croyais», lui a répondu le chef de l’État. Il est vrai qu’il y a encore dix jours, personne ne pariait grand-chose sur l’initiative franco-britannique, jugée par beaucoup comme «aventureuse». Nicolas Sarkozy n’a pourtant jamais voulu se lancer dans une opération militaire contre Tripoli sans le sésame de l’ONU.

Samedi, quand il a autorisé les premiers avions français à attaquer les positions de l’armée libyenne, il a agi en chef de file de la coalition et en chef de guerre. «Les Américains n’auraient jamais envoyé leurs avions sans avoir préalablement tapissé de bombes les défenses antiaériennes de l’ennemi», note un proche du président. Du commencement jusqu’à la fin, Sarkozy a donc estimé que le sauvetage des rebelles libyens valait qu’il renoue avec la stratégie du forcing, celle qui lui avait si bien réussi au mois d’août 2008, pendant la crise russo-géorgienne.

Tout commence le 26 février à l’ONU. La France et ses partenaires européens tentent d’obtenir au Conseil de sécurité le vote de la résolution 1970, qui doit proposer des sanctions économiques et des poursuites judiciaires contre Kadhafi et ses proches. Mohammed Shalgham, l’ambassadeur de Libye, prend la parole et stupéfie des homologues du monde arabe en lançant ce jour-là un appel à l’aide pour faire cesser le «bain de sang». C’est du jamais-vu. Ses homologues des pays arabes lui font un triomphe. Son intervention permet de débloquer un vote favorable.

Nicolas Sarkozy suit de près la partie. Il a en tête les tâtonnements de sa diplomatie face au «printemps arabe», causés pour l’essentiel par les maladresses à répétition de son ex-ministre des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie. Il n’a pas digéré que des diplomates dénoncent dans une tribune la disparition de la «voix de la France», lui qui estime ne pas avoir à rougir de son bilan diplomatique. Dans les jours qui vont suivre «s’offre à lui, sur un plateau, la possibilité de démontrer qu’il n’avait pas rompu avec son volontarisme», note un diplomate élyséen…

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Le Front national progresse et s’enracine…

Il était temps; pour la France, pour les Français…

FDF

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Cantonales : le FN progresse même en dehors de ses bastions

Le parti de Marine Le Pen a recueilli dimanche 15,26 % des voix, soit le triple du score qu’il avait atteint aux cantonales de 2008 (4,8 %) à l’époque de sa «traversée du désert», après l’élection de Nicolas Sarkozy à l’Élysée. Le FN améliore aussi de deux points le résultat déjà élevé qu’il avait atteint aux cantonales de 2004 (12,2 %). C’est son meilleur score jamais obtenu à des élections cantonales.

Marine Le Pen s’est réjouie, dimanche, de cette «très forte poussée» et a appelé les électeurs à «renforcer en quelque sorte la vague bleu Marine au second tour». Comme elle l’espérait, des candidats FN devancent leurs concurrents UMP au premier tour dans un nombre significatif de cantons et restent ainsi seuls face au candidat de gauche dimanche prochain. Le Front national sera présent en duel au second tour dans 394 cantons, opposé dans la majorité des cas (204) au Parti socialiste.

Dans le Nord, le FN est notamment en position de se maintenir dans les cantons de Cysoing, Bouchain, Roubaix-Est, Roubaix-Centre, Grande-Synthe, Carnières, Capinghem et Saint-Amand-les-Eaux-Rive droite. Dans le Pas-de-Calais, les candidats de Marine Le Pen restent en particulier en lice au second tour à Boulogne-Nord-Ouest et à Montigny-en-Gohelle, où le secrétaire général du FN, Steeve Briois, est arrivé en tête avec 35,88 %.

Dans l’Oise, le parti de Marine Le Pen a obtenu 36,97 % à Noyon. Le FN arrive en tête dans trois autres cantons du département (Crépy-en-Valois, Mouy et Noailles). Dans l’Aisne, où le FN atteint d’ordinaire ses meilleurs résultats, le parti de Marine Le Pen recueille de 23,77 % à 27,16 % dans cinq des six cantons renouvelables.

Ambitions dans le Sud

Dans les Alpes-Maritimes, le FN espérait renouveler le score très élevé atteint aux régionales. À Saint-Laurent-du-Var-Cagnes-Est, le FN est en tête avec 28,27 %. À Nice-8, le parti de Marine Le Pen a recueilli 25,78 % et accède au second tour. Toutefois, dans le 14e canton de Nice, l’ancien maire, Jacques Peyrat, soutenu par le FN, n’arrive qu’en troisième position avec 21 % et n’est pas qualifié pour le second tour. Il a pâti de la candidature d’un dissident, Max Baeza, qui a recueilli 11,8 %.

Dans le Gard, le FN nourrissait des ambitions dans de nombreux cantons comme Nîmes-5, où un jeune «mariniste», Julien Sanchez, a obtenu 29,01 % et sera présent au second tour. Dans l’Hérault, le parti misait sur ses fiefs traditionnels, comme Lattes, où Alain Jamet s’est qualifié pour dimanche prochain avec 26,87 %.

Le parti frontiste uniformise ses résultats dans toutes les régions du pays. Il a progressé dans l’Ouest, qui lui était jusqu’alors hostile. En Ille-et-Vilaine, le FN a obtenu 14,27 % dans le canton de Cancale. Le candidat de Marine Le Pen restera seul en lice contre la gauche, dimanche prochain, dans le canton urbain de Rennes-le-Blosne et dans le canton rural de Pleine-Fougères. L’Ile-de-France, jusqu’ici terre de mission pour le FN, est, elle aussi, concernée. Il y aura six duels FN-PS en Seine-et-Marne, département dont Jean-François Copé est le député.

Dans les autres départements, le FN s’estimait apte à obtenir des résultats significatifs dans l’Aube (Troyes-2), la Moselle (Saint-Avold), les Vosges (Épinal-Est), le Bas-Rhin (Strasbourg-7) et le Haut-Rhin (Saint-Amarin). Le parti fondait aussi des espoirs dans plusieurs cantons de l’Eure (Ecos), de Seine-Maritime (Grand-Couronne) et du Rhône (à Meyzieu et dans certains des huit cantons de Lyon renouvelables).

Source: http://www.lefigaro.fr/