Ils ont des points faibles (les muzz)… Il suffit de les trouver…
FDF
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L’islam interdit le « prosélytisme » pour empêcher toute évangélisation.
Lors du colloque qui se tenait les 12 et 13 février à l’ICAM de Lille, le Père Samir Khalil Samir raconte qu’au cours d’un voyage à Marrakech, 3 jeunes marocains entrent dans l’église un vendredi saint. Les trois jeunes commencent à interroger, il répond à leur question ; le franciscain en charge de l’église arrive sur ces entrefaits, chasse les trois jeunes et récrimine contre le jésuite copte, l’accusant de prosélytisme. « Mais je répondais juste à leur question« , fait remarquer Père Samir. Voilà ce qui peut être considéré comme prosélytisme en Orient.
Joseph Fadelle en a fait la douloureuse expérience :
« J’ai été repoussé de partout, je ne pouvais pas raconter mon histoire. J’ai fini par nouer des liens avec des chrétiens. Ce n’est qu’après trois ans qu’un ami chrétien a réussi à me présenter à un prêtre ».
Un franciscain de Damas indique :
« quand un musulman veut se convertir, je lui dis d’aller chercher en dehors de la Syrie ».
Quant à convertir les musulmans, Joseph Fadelle indique qu’il faut permettre aux musulmans de voir et de comprendre leur religion.
« Il m’a fallu cinq mois pour comprendre que le Coran n’était pas, ne pouvait pas être parole de Dieu. Quand je demandais des explications à mon ayatollah, c’était encore pire. Par exemple, j’ai voulu comprendre pourquoi l’adoption était interdite dans le Coran. L’ayatollah m’a expliqué comment Mahomet était tombé amoureux de la femme de son fils adoptif. L’adoption est interdite dans l’Islam pour assouvir les désirs sexuels de Mahomet !«
Partir du Coran est une règle fréquemment employée par les syriaques ou les coptes qui s’essaient à l’évangélisation.
Source: http://www.chretiente.info/
Leur point faible est qu’ils ne savent pas réfléchir par eux-mêmes. Le coran et les haddiths leur dictent leur conduite de la naissance à la mort. Ils n’ont pas l’habitude de se poser des questions et leur Q.I. doit être assez bas de ce fait. Je n’en veux pour preuve que leurs réactions, leur niveau scolaire et leurs arguments lorsque tu as l’occasion de leur parler. Je pense que nous n’aurons pas de mal à les vaincre si nous nous en donnons les moyens (Union). Ce sont de bons soldats mais pas des décideurs à de rares exceptions près. De plus, ils tremblent de peur à l’idée de retourner dans leurs bleds respectifs bien que ce soit si bien là-bas à les entendre. Quant à les contrer religieusement parlant, il n’y a pas non plus de difficulté car dès qu’on a des arguments qui se tiennent, ils ne savent plus quoi rétorquer et s’enferment dans un silence buté ou en arrivent à des raisonnements de maternelle.
Commentaire par Marie de France — 15/02/2011 @ 14:50 |