Francaisdefrance's Blog

05/01/2011

Algérie: fanatiser dès le plus jeune âge…

Les petits algérois, comme ils disent, ils ne l’ont pas, le choix. Un pas de travers et c’est la punition assurée. Pour l’exemple.

En France, « issus de l’immigration », ils l’ont, le choix. Ce ne sont pas les mêmes écoles. C’est l’école de la rue, de la délinquance, de la violence, du racisme anti-blancs et anti-chrétien, voire du meurtre…

FDF

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Apprentissage du Coran et des matières scientifiques dans les mosquées
L’engouement des petits Algérois

« Beaucoup de citoyens profitent des vacances d’hiver pour envoyer leurs jeunes enfants apprendre le Coran et les préceptes de la religion musulmane dans les écoles coraniques. Celles-ci sont ouvertes dans plusieurs mosquées de la capitale. Gratuites, elles acceptent les enfants à partir de 4 ans.

La mosquée El Ouma, à Bologhine (Alger) fait partie de ces lieux de culte qui ont ouvert des classes pour l’apprentissage du Coran. Son imam, Hamdane Sefadj, nous donne quelques  détails sur le programme suivi durant l’année par les apprenants :

«Il y a trois niveaux : le préscolaire, le moyen et le supérieur. Notre première étape est d’apprendre  aux enfants de 4 à 5 ans des versets coraniques faciles à assimiler, le calcul et l’éducation civique». Le second niveau, explique notre interlocuteur, est consacré à la connaissance de la vie du prophète Mohamed.

«Cet enseignement s’adresse aux élèves âgés entre 8 et 16 ans», ajoute-t-il. Le troisième niveau est réservé aux  gens qui ont appris par cœur les 60 «hizb» du Coran, soit la totalité du contenu du livre sacré, qui sont appelés à leur tour à enseigner avec la conduite et les conseils de leur maître.

Mémed, enseignant à la mosquée, nous a déclaré qu’il a appris le Coran à l’âge de 12 ans, par son maître Cheikh Ben Youcef.

«J’enseigne le saint Coran ainsi que la langue arabe depuis 15 ans».
Mohamed, un autre éducateur de la mosquée El Ouma, nous a confié qu’il utilise une gestuelle amusante pour intéresser les jeunes enfants afin qu’ils assimilent et comprennent les cours qu’il leur dispense.

Aller à la mosquée au lieu d’aller à l’école
Plus de 20 enfants du quartier fréquentent la mosquée du quartier. «Je préfère que mon petit garçon soit à la mosquée, puisque c’est la même méthode utilisée dans les écoles», nous a déclaré une mère de famille. Selon l’imam de la mosquée de Omar Ibn El Khattab, à Alger-Centre, «les jeunes enfants qui fréquentent nos cours sortent avec le niveau des enfants de  troisième et quatrième année scolaire».

D’après quelques parents, la mosquée joue aussi le rôle d’école de soutien, qui aide leurs enfants dans différents domaines et surtout la période des examens. Un personnel bénévole qualifié donne des cours supplémentaires et gratuits dans plusieurs matières telles que les mathématiques, les sciences naturelles, la physique, etc.

La mosquée est ouverte à tous. Malgré le manque de moyens, elle a réussi à attirer beaucoup de jeunes apprenants. Imad, un jeune enseignant bénévole, nous a déclaré être satisfait des résultats obtenus. «Dispenser des cours aux enfants pendant les vacances, c’est aussi leur éviter de rester à la rue et d’apprendre les mauvaises habitudes», nous dit-il. »

Lu sur: http://www.letempsdz.com/

Pour faciliter l’approche des maths dans les banlieues…

Excellent, ce PPS. Aucune raison que vous n’en profitiez pas…

FDF

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Les math modernes peuvent encore évoluer …

… La preuve : (et pas par neuf ! Enfin si: millimètres…)

Lire: Mathsdesbanlieues

L’islam inspire la crainte? Plus pour longtemps…

Bouh !!!

C’est ce qu’ils veulent: que nous ayons peur d’eux. Ce qu’ils devraient savoir: c’est que la tendance va s’inverser… C’est inéluctable. De tous cotés, la résistance s’amplifie. Reste à nos politiques de prendre le train en marche. Mais ça, d’ici à ce qu’ils comprennent…  Tant pis, nous nous passerons d’eux. On réglera nos comptes après… En 2012, pour commencer.

FDF

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L’islam inspire la crainte en France comme en Allemagne…

Quarante pour cent des Français et des Allemands estiment que l’islam représente «plutôt une menace», selon un sondage du Monde. Les sondés dénoncent en priorité l’échec de l’intégration des communautés musulmanes.

Jugement sévère sur l’islam des deux côtés du Rhin. Un sondage de l’Ifop, publié mardi par Le Monde, révèle que la communauté musulmane représente «plutôt une menace sur l’identité de leur pays» pour 40% des Français et 42% des Allemands. Seuls 22% des Français et 24% de leurs voisins voient dans l’islam «un facteur d’enrichissement culturel». Ces réserves sont quasiment homogènes quelques soient les classes d’âge en France. Entre 41% et 44% des sondés de 25 à 65 ans partagent ce constat. Seule exception les jeunes de 18 à 24 ans. Seuls 28% d’entre eux se déclarent inquiets. En Allemagne, la tendance est au contraire inversée. Les plus méfiants sont les jeunes, à 47%. La génération née avant 1945 ne fait part de craintes que dans 36% des cas.

Des deux côtés de la frontière, plus de deux-tiers des sondés dénoncent avant tout le manque d’intégration des communautés musulmanes. Un échec imputable aux principaux intéressés, selon 61% des Français et 67% des Allemands. Viennent ensuite les différences culturelles pour 40% des interrogés hexagonaux et 34% du panel germanique, puis le fait que les personnes d’origine musulmane soient regroupées dans certains quartiers et certaines écoles. Le racisme et le manque d’ouverture de certains Français et Allemands arrivent en quatrième position pour 18% des tricolores et 15% de leurs voisins.

Le poids des débats politiques nationaux

Sans surprise, l’image de l’islam est sombre. Un tiers du panel lui associe en priorité le label «rejet des valeurs occidentales». Ce score a bondi en France. En 2001, ils n’étaient que 17% à le penser. Par le passé, les expressions les plus citées étaient «fanatisme» et «soumission», rappelle Le Monde.

La similarité des résultats interpelle. «Malgré une histoire coloniale, une immigration et des modes d’intégration différents, le constat, dur et massif, est le même dans les deux pays», note Jérôme Fourquet,qui a réalisé l’étude. Il voit dans ce phénomène l’influence des discours politiques. Pour l’anthropologue Dounia Bouzar, interrogée par Le Monde, ce durcissement peut être lié aux responsables politiques. De droite comme de gauche, ils fustigent des aspects de l’islam, qui ne sont véhiculés que par les musulmans radicaux.

Or,en Allemagne, où vivent 4 millions de musulmans dont 2,5 millions d’origine turque, comme en France, le débat sur la place de l’islam dans la société est au centre des préoccupations politiques. Outre-Rhin, la chancelière Angela Merkel a levé un tabou en affirmant que le modèle multiculturel dans lequel cohabiteraient harmonieusement différentes cultures avait «complètement échoué». Sans oublier le pamphlet anti-islam écrit par un ancien dirigeant de la Banque centrale allemande, Thilo Sarrazin, vendu en quatre mois à 1,25 million d’exemplaires. Dans l’Hexagone, l’été a été dominé par les questions d’identité nationale et d’interdiction du voile intégral avant que le Front national ne mette en avant les prières de rue. Le poids des débats nationaux est notamment visible sur le thème du voile dans la rue. 59% des Français y sont opposés désormais. En 2003, ils n’étaient que 32%.

LIRE AUSSI :

» Lire l’intégralité de l’enquête de l’Ifop

Source: http://www.lefigaro.fr/

Conversions à l’islam en Grande Bretagne: ça les fait jouir…

Traduction:  » désolé; nous n’avons plus de vierges… »

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Lu chez Oumma.com. Des chiffres à prendre avec précautions, donc… Comme pour les chiffres de la délinquance en France ou bien le nombre de voitures brûlées au Nouvel An.

Mais pour l’ auto-satisfaction, ils y mettent du coeur. Le poids des mots… Lisez ce qui suit.

FDF

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« Sourds à toutes les controverses passionnelles qui se déclinent aussi bien dans la langue de Skakespeare que de Molière, les élans du cœur n’entendent qu’un seul appel, Celui qui s’élève au-dessus des cris d’orfraie…

Insensible au dénigrement, imperméable à la haine, l’islamic boom de nos voisins anglais c’est ce petit miracle de la foi inébranlable qui fait écho auprès de nombreux citoyens, au nombre de 100 000 aujourd’hui selon l’étude menée par Faith Matters, un think-tank interreligieux, soit un bond prodigieux par rapport aux 25 000 convertis recensés lors d’études antérieures.

De l’autre côte de la Manche, les conversions à l’islam n’attendent pas le printemps pour éclore, elles franchissent le pas, saison après saison, plus de 5.000 Britanniques embrassant l’islam annuellement. Un phénomène qui n’a rien de l’effet de mode qu’on lui oppose pour mieux le minimiser, et qui ne serait pas davantage l’apanage des sujets de Sa Majesté, puisque le journal l’Independent révèle ce que l’on sait moins : près de 4 000 français et allemands adoptent l’islam chaque année.

Au-delà du prodige anglais, le boom des conversions à l’islam serait-il une spécificité européenne entrée en résistance contre les bourrasques idéologiques, en ayant fait le choix des armes : la profondeur de ses convictions ? »

Vol d’auto-radio à Montpellier: un mort, un blessé grave; chez les victimes…

Le meurtier-voleur portait un bas de jogging noir, un sweat et une capuche noire… Il a attaqué avec un couteau. C’est un « jeune »; une « chance pour la France », probablement… Rien que cette tenue vestimentaire ne laisse aucune interrogation quant à l’identité de ce barbare. On n’a même pas besoin de son nom.

FDF

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Montpellier. Le simple vol d’un autoradio tourne au carnage.

Les enquêteurs du SRPJ de Montpellier cherchent des traces scientifiques du passage de l'assassin de Pierre./Photo TopSud

Les enquêteurs du SRPJ de Montpellier cherchent des traces scientifiques du passage de l'assassin de Pierre./Photo TopSud
Les enquêteurs du SRPJ de Montpellier cherchent des traces scientifiques du passage de l’assassin de Pierre./Photo TopSud

« Toute ma vie, je reverrais l’image de la mère agenouillée auprès du corps allongé, tenant la main de son fils qui agonisait » raconte Stéphane qui a porté les premiers secours à Pierre. Le jeune étudiant en Master d’histoire ne survivra pas. Nous sommes en pleine nuit ce lundi matin vers 1 h 15 dans la résidence Chantebrise de Montpellier (Hérault). Quelques minutes plus tôt, son père avait aperçu depuis la fenêtre de leur appartement un homme casser les voitures pour voler. Alors ils étaient descendus pour l’interpeller. Le face-à -face a tourné au bain de sang. Le jeune garçon, de noir vêtu s’est défendu au couteau. Il a porté un premier coup à la gorge du père, un agent commercial de 54 ans, sérieusement touché. Puis poursuivi par Pierre, il va le poignarder deux coups en plein cœur avant de s’échapper abandonnant derrière lui le maigre butin de cette nuit de tragédie. « Leur véhicule avait été fracturé la semaine précédente. Mais cette fois-ci, ils défendaient les voitures des voisins » raconte un des voisins qui parle d’une famille tranquille. « Vingt minutes plus tôt, j’ai vu un jeune traîner tout près de la résidence. Je l’ai bien vu et même dévisagé. Il portait un bas de jogging noir, un sweat et une capuche noire » raconte un des rares témoins. Le signalement correspond à celui du meurtrier qui s’est enfui en direction du quartier du Petit Bard, un ghetto social à la mauvaise réputation qui se trouve de l’autre côté de l’avenue.

« Forcément quelqu’un sait. Quelqu’un a vu » explique le commissaire Soulié qui a lancé un appel à témoin. Hier soir, le père de Pierre était toujours à l’hôpital, dans un état sérieux.

Source: http://www.ladepeche.fr/

Une fatwa à l’origine de l’attaque de l’église copte d’Alexandrie…

La fatwa légitimant l’attaque contre les chrétiens d’Alexandrie postée sur plusieurs sites djihadistes !

La fatwa émise par un imam mauritanien et autorisant  l’attaque dans la nuit du Nouvel An  contre l’église copte d’Alexandrie a été postée  sur plusieurs sites et forums de djihadistes musulmans.  Cette fatwa porte la signature du sheik Abu al-Mandhar al-Shanquiti, un proche du sheik jordanien Abu Muhammad al-Maqdisi, connu pour avoir été  le mentor d’Abu Musab al-Zarqawi, le leader d’al-Qaida en Irak mort en 2006.

Ce décret religieux musulman conforme à la charia,  a été promulgué il y a quelques semaines lorsqu’un militant islamiste qui signait “Abu Isa l’Égyptien” posait la question suivante  : « Quel est le statut face à la charia des prêtres et des chrétiens coptes en Égypte suite au fait qu’ils font du prosélytisme dans les pays musulmans et qu’ils kidnappent nos femmes ? » ( les femmes en question seraient Wafa Constantine et Camelia Shehata, deux chrétiennes supposément converties à l’islam et, selon lui, retenues  dans un couvent par les coptes.)

La réponse de l’imam salafite de Mauritanie, membre du comité de la charia du groupe Al-Tawed, ne s’est pas fait attendre :  « Ces chrétiens, qui ne remettent pas en liberté des musulmans ou  les deux femmes qu’ils ont enlevées, violent l’accord de protection qu’ils avaient avec nous et nous n’avons donc plus aucune obligation envers eux »

fatwa

mufti Et pourtant aujourd’hui même,  Sheikh Abdel Aziz Aziz Bin Abdullah Al-Alsheikh, le Grand Mufti d’Arabie Saoudite a déclaré que l’attentat d’Alexandrie n’a rien à voir avec l’islam et que ce sont les ennemis de l’islam qui tentent de faire croire que des musulmans puissent être derrière ces attaques dans l’intention d’attiser la haine contre l’oumma, la nation musulmane…. «Ces graves incidents font saigner le coeur des musulmans» a-t-il déclaré en recommandant aux musulmans d’être vigilants face aux complots ourdis dans l’ombre contre eux par leurs ennemis.

Néanmoins,  dans cette vidéo,  ce sont bien des  « Allah abkar » que l’on entend très clairement,  criés par des musulmans, tout juste après l’explosion de la voiture devant l’église copte d’Alexandrie…

Source : adnkronos liberonews.it kuna.net

Via: http://www.bivouac-id.com/

Fabrice Robert : « Les Assises contre l’islamisation : acte II de la Résistance »!




Le succès de l’opération « Apéro saucisson Pinard » du 18 juin 2010 avait ouvert de nouvelles perspectives au-delà de toutes nos espérances. Ce rassemblement, qui avait réuni des personnalités de sensibilités différentes – des gens de gauche et des gens de droite, des républicains et des déçus de la république – avait posé les fondations d’une nouvelle Résistance aux contours encore un peu flous. Cette initiative n’aurait sûrement jamais pu voir le jour sans cette rencontre un peu improbable – au mois de mai à Paris – entre Pierre Cassen, Christine Tasin, Bruno Larebière et moi-même. Au-delà de certaines divergences évidentes entre responsables républicains laïcs et responsables identitaires, nous savions que nous partagions les mêmes analyses face au développement de l’Islam en Europe. Nous décidâmes alors d’organiser ensemble un « Apéro-saucisson Pinard » dans le quartier de la Goutte d’Or afin de dénoncer les occupations illégales de rues pour la prière musulmane dans le silence assourdissant des autorités politiques et médiatiques. Premier projet commun, premier succès. La polémique fut telle que cette initiative traversa rapidement les frontières pour se transformer en buzz mondial. Interdit par la préfecture, le rassemblement se déplaça – sous haute tension – vers l’Arc-de-Triomphe. Ce sont alors plus de 800 personnes qui bravèrent les interdits pour dire leur refus de l’offensive de l’Islam en France.

Que retenir de l’événement du 18 juin 2010 ? Cette opération a permis de faire bouger les lignes de manière considérable. Mais, surtout, nous avons contribué à libérer la parole sur la question de l’islamisation de la France. Il suffisait de voir le nombre de réactions des internautes sur les milliers de sites qui évoquaient notre initiative. Au final, près de 80 % de Français s’étaient alors déclarés favorables à notre initiative.

Après ce formidable succès, il convenait de se retrouver pour faire un bilan. C’est ce que nous fîmes courant juillet. Le constat était sans appel. L’alliance Bloc identitaire – Riposte Laïque avait bien fonctionné, une totale confiance régnait entre les principaux protagonistes et nous avions envie de continuer à travailler ensemble. Là était l’essentiel. Chacun allait continuer à agir dans sa sphère d’influence mais il ne fallait pas exclure une prochaine collaboration. Et c’est à ce moment-là que fut évoqué – dans le calme du Périgord – le projet d’organiser une grande journée à Paris en décembre autour de la laïcité et de la défense des valeurs de notre civilisation. Le projet nous séduisait, nous décidâmes de laisser mûrir l’idée et de refaire un point en septembre.
Le mois d’août passé, nous nous retrouvâmes donc, comme convenu, à Paris. Ce projet d’Assises sur l’islamisation restait capital à nos yeux malgré sa complexité de mise en œuvre. Les délais étaient assez courts. Il fallait trouver une salle à Paris et nous devions dresser rapidement une liste d’orateurs potentiels puis les convaincre de venir, sachant que nous avions dès le départ l’ambition de donner une dimension internationale à l’événement.

Nous avons décidé de foncer à un moment où très peu autour de nous croyaient à la faisabilité du projet. La répartition des rôles était claire. Nous avions trois mois devant nous. Le compte à rebours déclenché, nous nous sommes démené chacun de notre côté pour faire de ce rendez-vous une réussite totale.
Très vite, une première liste d’orateurs a vu le jour. Le projet suscitait un réel enthousiasme et l’événement commençait à prendre forme. Les intervenants avaient des profils très variés. Des féministes, des militants laïcs, des syndicalistes, des Identitaires. Du jamais vu en France ! Par ailleurs, nous savions que nous pourrions déjà compter sur des orateurs de plusieurs pays dont le Danemark, les Pays-Bas, la Belgique, l’Angleterre ou encore la Russie. Grande nouvelle : Oskar Freysinger, l’homme de la votation contre les minarets en Suisse, venait de donner son accord pour venir prendre la parole à nos Assises. C’est aussi la première fois qu’il s’exprimerait en France. Quelques semaines après le nouveau succès de la votation sur les délinquants étrangers, lancé par l’UDC en Suisse, l’événement était de taille.
Nous avions décidé d’organiser ces Assises le 18 décembre, soit six mois exactement après le fameux apéro saucisson pinard du 18 juin.

Dans un premier temps, il y eut peu de réactions hostiles à nos Assises, si ce n’est de la part de sites musulmans relativement confidentiels. Comme si des consignes avaient été données pour ne pas faire trop de publicité à cet événement. Et c’est finalement à une semaine des Assises que la machine médiatique s’est emballée. Après quelques obscurs élus du 12e arrondissement de Paris, après le Mrap, la LDH ou encore SOS Racisme, c’est Bertrand Delanoë – le maire de Paris – qui est entré dans la danse en demandant au préfet d’interdire notre rassemblement. Des collectifs anti-Assises ont vu le jour dans lesquels on y retrouvait aussi bien le NPA que SUD-Rail… Des contre-manifestations étaient annoncées et certains islamistes menaçaient les responsables de l’Espace Charenton de mobiliser les frères des quartiers.

A quelques jours des Assises, la pression était à son comble. Et il n’était pas inconcevable de voir le préfet interdire l’événement la veille. Il fallait pourtant gérer toute la partie logistique : les contacts avec la préfecture, le service d’ordre, la sécurité des intervenants, la gestion des journalistes, l’organisation à l’entrée (billetterie, badges nominatifs, etc.), la mise en place du plan B que nous avions prévu (une spécialité identitaire !), la retransmission en direct sur le Net que nous avions souhaitée pour donner le plus de visibilité possible à cette journée, etc.
Pour clore le tout, Météo France annonçait des conditions climatiques très difficiles avec un fort épisode neigeux sur une partie de la France. Le public allait-il pouvoir se déplacer ? Les intervenants – notamment ceux venant de loin – allaient-ils réussir à nous rejoindre ? Autant dire que jusqu’au bout, ces Assises ont été organisées dans des conditions épiques. Peu de sommeil, beaucoup de stress et, au final, un événement que l’on peut qualifier d’historique. Comme pour confirmer que les plus grands succès ne s’obtiennent qu’avec une détermination sans faille.

Le 18 décembre 2010, ce sont plus de mille personnes qui se sont donné rendez-vous dans une salle restée comble toute la journée. Pendant ce temps, quelques dizaines de contre-manifestants tentaient difficilement de faire bonne figure pour masquer l’échec de leur mobilisation. Dans la salle, au chaud, le public a pu tranquillement écouter les discours très variés de personnalités de France et d’Europe venues pour appeler à lutter contre l’islamisation de notre sol. Des orateurs aussi différents que Pascal Hilout, Jacques Philarchein, Halim Akli (lu par Christine Tasin), Carl Pincemin, Marie-José Letailleur, Jean-Paul Gourevitch, Aldo Mungo, Anders Gravers, Timo Vermeulen, Tom Trento, Michèle Vianès, Arezki Bakri, Elena Tchoudinova, René Marchand, Elisabeth Wolff, René Stadtkewitz, Oskar Freysinger, Arnaud Gouillon, Anne-Marie Delcambre (invitée surprise), Anne Zelensky, Renaud Camus, Christine Tasin, Pierre Cassen et moi-même.
Dans le même temps, ce sont plus de 300 000 personnes qui ont pu écouter les discours, dans le monde entier, grâce à la retransmission en direct sur Internet. Dès le lendemain, les discours avaient été visualisés 600 000 fois et quelques jours plus tard, plus d’un million de fois. Une véritable prouesse technique, inédite en France dans le champ politique, et qui démontre une nouvelle fois la maîtrise des Identitaires dans le domaine des Nouvelles technologies. Une performance qui représente un véritable pied de nez aux censeurs qui avaient voulu interdire notre rassemblement. Réduits à quelques dizaines dans la rue, incapables de renouveler leur discours, dépassés par les événements, ils ont dû assister impuissants au succès de nos Assises suivies, sur place ou à distance, par plusieurs centaines de milliers de personnes.

Curieusement, AUCUN média n’a évoqué cette retransmission en direct. Et la presse audiovisuelle a consacré plus de temps d’antenne aux opposants qu’aux organisateurs des Assises sur l’islamisation. Les reportages les plus complets ont été diffusés… sur des chaînes arabes et iraniennes comme Al Jazeera et Al Arabia… Le malaise est donc flagrant, la liberté d’expression inexistante, mais le mur des certitudes et des idéologies se fissure. La votation suisse contre les minarets, la progression de la Ligue du Nord en Italie ou encore le succès du livre de Thilo Sarrazin, en Allemagne, montrent que les Français ne sont pas les seuls à s’inquiéter de la progression d’une idéologie politico-religieuse de plus en plus agressive. Nous sommes en phase avec les attentes de l’opinion et les digues médiatiques ne tarderont pas à sauter.

Les Assises sur l’islamisation de l’Europe ont été un véritable triomphe. Oui, ces Assises répondaient à une attente du peuple français et, au-delà, de tous les peuples européens, tant pour accéder à une description sincère de la réalité de l’islamisation en cours de notre continent que pour entendre le message d’espoir de la résistance européenne.
L’alliance entre organisations laïques et identitaires, de gauche, de droite ou du dehors, doit aller crescendo, car le rassemblement de tous les résistants face aux dangers que l’islam fait peser sur la civilisation européenne, sur notre héritage, notre culture, nos traditions, nos institutions et notre mode d’organisation sociale, est la condition de notre survie.

A Paris, ce 18 décembre 2010, est né un mouvement de résistance européenne à l’islamisation. Le combat pour la défense de nos libertés et de notre identité ne fait que commencer !

Comme à Vienne et à Poitiers, si la détermination est de notre côté, la victoire sera au rendez-vous !

Fabrice Robert
président du Bloc identitaire

Source : http://fr.novopress.info/75725/les-assises-contre-lislamisation-acte-ii-de-la-resistance-par-fabrice-robert/


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Les évangéliques sont surtout présents en Kabylie.

Depuis quelques années, des Algériens, notamment en Kabylie, se convertissent pour devenir chrétiens. Que cache cette reconversion ?

L’article 2 de la Constitution algérienne précise que l’islam est la religion de l’Etat. A ce titre, il interdit aux Algériens d’embrasser une autre religion, sous peine d’être jugés pour apostasie. Mais, malgré cette loi, il y a eu très peu d’affaires portées devant la justice et jamais de condamnation à mort. Pour rappel, dans d’autres pays musulmans, une conversion équivaut à une peine de mort. Il existe en Algérie 50.000 adeptes de l’église évangéliste, dont 10.000 pratiquants regroupés en 33 communautés. Ces chiffres ne sont pas confirmés. Toutefois, les conversions se sont accélérées ces dernières années. Un état de fait qui a poussé le gouvernement algérien a voté en février 2006, une nouvelle loi régissant les cultes non musulmans. La loi prévoit « deux à cinq ans de prison ferme et une amende de 5 000 à 10 000 euros contre toute personne qui incite, contraint ou utilise des moyens de séduction visant à convertir un musulman à une autre religion ».

Le christianisme en Kabylie remonte à 1888, lorsque trois Kabyles furent présentés et baptisés par le pape Léon XIII. Dès lors, la jeune Eglise de Kabylie, intégrée dans les diocèses d’Alger et de Constantine, se développa sans bruit. Il faut signaler que dès 1828, l’Evangile commença à être traduit en kabyle. En fait, la présence des chrétiens, toujours en très petit nombre, n’a jamais réellement cessé en Algérie. Au XIe siècle, l’Emir du fort des Bani Hammad et de Bougie prend même l’initiative d’envoyer à Rome un prêtre pour le faire consacrer évêque par le pape Grégoire VIII pour les chrétiens de Bougie. La présence chrétienne en Kabylie est due en partie aux Pères Blancs et aux Sœurs Blanches qui opérèrent dans les zones de Kabylie éloignées des routes et dépourvues d’écoles primaires. En 1955, un rapport pastoral avance le chiffre de 230 familles kabyles converties à Alger, soit 940 personnes, auxquelles il faut rajouter les 300 personnes des villages voisins.

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Des débuts hésitants pour les évangélistes en Algérie

Mais ces dernières années, l’amalgame entre chrétiens appartenant à une église réformée et les évangélistes est souvent fait. Il faut mentionner que les évangélistes ont commencé leurs propagandes en Algérie dès les années 70. Ils ont commencé à sévir d’une manière marginale, discrète, presque clandestine. Les principaux vecteurs à l’époque étaient des étudiants sub-sahariens appartenant à l’église méthodiste. Ils distribuaient des documents en langue française dans les universités. Les premières conversions furent effectuées dans les Ouadhia, une commune d’Algérie dans la région kabyle. Par ailleurs, l’église des Ouadhia officie en toute légalité. Selon le quotidien algérien « Ennahar » du 16 août passé, six algériens sur 10.000, en majorité des jeunes, se convertissent au christianisme. Selon un rapport des Affaires étrangères américaines, le nombre des non musulmans en Algérie serait d’un demi-million, en majorité dans la région de la Kabylie. Les missionnaires ciblent surtout les universités et les familles pauvres.

Le phénomène est devenu inquiétant à partir des années 2000. Au sortir d’une crise intestine, le terrorisme qui a ravagé les régions, les familles et la société entière a su profiter aux missionnaires. En l’espace de quelques années, la conversion de plusieurs milliers de musulmans interpelle alors par le passé, et sur plusieurs décennies, les évangélistes ne sont jamais arrivés à des résultats encourageants. 35 millions d’Algériens sont restés attachés à l’islam. Le christianisme n’a jamais pu déloger l’Islam de l’Algérie, même après 130 ans de colonisation française, et même au plus fort de la politique d’évangélisation du cardinal de Lavigerie. Ce dernier était le fondateur de la société des missionnaires d’Afrique, soit les Pères blancs en 1868 et a été archevêque d’Alger de 1867 à 1892.

Suite: Les évangélistes en Algérie http://societemonde.suite101.fr/article.cfm/les-evangelistes-en-algerie–pourquoi-les-algeriens-changent-ils#ixzz1A6h5zDI2

Aldo Mungo aux Assises sur l’islamisation : «La tolérance n’est plus de mise».

Il est certain que la fameuse tolérance dont nous abreuve l’islam et que les musulmans n’appliquent pas n’a plus lieu d’être en terres chrétiennes. Il est temps de rendre la monnaie…

FDF

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L’islam est fait pour les « mâles » musulmans; et que pour eux…

On avait déjà eu maintes fois l’occasion de s’en rendre compte. Il serait peut-être temps que les femmes musulmanes en prennent conscience et se révoltent.

FDF

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L’Islam, religion façonnée pour les hommes,

(Par Thérèse Zrihen-Dvir)

Les musulmans, par conviction et pratique, sont les violateurs les plus flagrants des droits fondamentaux de l’homme. Nous n’avons guère besoin de détailler ici le traitement systémique cruel infligé aux non-croyants, aux femmes de tout acabit, et à n’importe et toutes minorités de toutes les catégories par les musulmans.  Pour les musulmans, les droits de l’homme ont un sens différent, et ses dispositions protectrices sont destinées strictement aux Musulmans — principalement aux mâles Musulmans. Deux exemples nous suffiront pour l’instant :

L’oppression des femmes est si systémique dans l’islam qu’à ce jour, les femmes sont, au mieux, citoyennes de deuxième classe sous la loi islamique. L’Arabie Saoudite, la gardienne de la civilisation islamique, refuse aux femmes le droit de conduire, de voter, ou de gérer un office — droits élémentaires des citoyens chez toutes les sociétés démocratiques. Les arabes et musulmans sont maîtres de la dissimulation. Ils font le tout en privé, tout en affichant publiquement la moralité, l’étiquette. Souvent la piété est quelque chose qu’ils arborent comme le port de leur couvre-chef keffiyeh sous le soleil brûlant.

Selon le modèle typique des états Islamiques comme l’Arabie Saoudite et l’Iran, par exemple, les femmes n’osent pas déplorer ouvertement leurs statuts décrétés par Allah. Si elles ont l’audace de protester elles sont battues par leurs époux. Et si par malheur elles réclament publiquement leurs droits d’égalité aux droits des hommes, elles se font tabasser par la police et sont jetées en prison pour des violences et indignités supplémentaires.
Chacun se demande comment et pourquoi des millions de femmes musulmanes se soumettent docilement à leurs positions dégradantes et en sont reconnaissantes à Allah. Ces femmes ont pratiquement subies un lavage de cerveau par leurs parents et les membres du clergé dès leur naissance, forcées d’adopter les inégalités entre les sexes, ainsi que l’ensemble de l’éthos pathologique islamique.

L’Islam peut être une religion « indulgente » spécifiquement pour les hommes. S’ils négligent de faire leurs prières pour une raison ou une autre, ne veulent pas, ils peuvent embaucher quelqu’un, de préférence un imam ou un mullah, pour les faire en leurs noms. Aller à la Mecque est trop pénible et peut les écarter du confort et plaisirs… aucun problème, ils peuvent envoyer quelqu’un à leur place. Ils ont bu quelques verres de boissons interdites et c’est l’heure de faire les prières… Rien de grave, il faut simplement rincer la bouche et les entreprendre. Surtout ne jamais oublier les lois d’Allah et le servir. Remplir les devoirs pour vaincre les infidèles, promouvoir les lois de la Sharia, et faire de la terre entière le domaine d’Allah.
Parmi les sociétés islamiques, la liberté d’expression, de culte, et de réunion est confisquée. Les femmes sont traitées effectivement comme des possessions matérielles. Les jeunes filles sont soumises à la mutilation génitale barbare pour les destiner à l’esclavage sexuel et en faire des pondeuses sans qu’il ne leur soit permis d’éprouver le plaisir des rapports sexuels. Les mineures sont exécutées,  les adultères lapidées à mort, les voleurs ont leurs membres amputés, les menteurs leur langue coupée et tant d’autres supplices indescriptibles. Mais n’est-ce là la vision du paradis de tout le monde?

Les femmes, par la nature même de leur statut de seconde classe expressément stipulé par le Coran, sont parfois permises d’occuper une position élevée dans le gouvernement, tandis que l’accès au cadre administratif est pratiquement prohibé à la minorité non-musulmane.

Les hommes ont toutes les autorités sur les femmes parce qu’Allah a créé les hommes supérieurs et qu’ils dépensent leurs richesses pour les maintenir. Les bonnes femmes sont obéissantes. Elles couvrent jalousement leurs parties génitales parce qu’Allah l’a ordonné. Quand à celles qui se rebellent, il faut les réprimander, les coucher dans des lits séparés et les battre. Mais si elles obéissent,  il faut cesser de les punir. Allah est grand, suprême – Qura, 4.34

Cette religion d’Allah misogyne est faite sur mesure pour le mâle barbare. Un fidèle adepte d’Allah est autorisé à avoir quatre épouses permanentes qu’il peut remplacer à tout moment s’il le souhaite — ainsi qu’un nombre illimité de femmes pour une nuit ou pour une heure aussi longtemps qu’il peut se permettre de payer le loyer. Mais malheur à toute femme si elle trompe son mari ne fusse qu’une fois avec un autre homme. Son juste châtiment n’est rien de moins que la mort par lapidation.
Dans la République islamique de l’Iran et sous le titre de la charia islamique qui est devenue la loi officieuse du pays, une cérémonie sanctionnée par la religion est immédiatement désertée. De nombreuses mosquées fournissent le service de Seeghe — mariages temporaires. Les femmes intéressées ou contraintes par les circonstances indépendantes de leur volonté de demander ce type de « mariage » s’inscrivent chez un mollah. Les hommes en quête d’une épouse temporaire prennent contact avec le mollah et lui spécifient le genre de femme qu’ils désirent et pour combien de temps. Selon la vendabilité de la candidate, une taxe est prélevée et le mollah prononce leur union pour une durée précise. Une fois que l’homme ait satisfait ses besoins, le même mullah annule simplement le mariage. Voilà! Aucun problème. Les deux parties de cette confrérie et le mollah – substitution au proxénète commun ou madame s’empoche ses honoraires.

Grâce à la technologie occidentale, les affaires Seeghe ont également ralliés le 21e siècle. Dans certaines grandes villes et à Téhéran, un homme peut cueillir une femme et demander une autorisation de Seeghe, qui lui est accordée même par téléphone et les honoraires du patron payés à l’aide d’une carte de crédit. L’Islam est une religion façonnée pour les hommes. Et bien entendu, aussi longtemps que les hommes gouvernent et que les lois les servent, l’horrible sort des femmes est complètement abusé. C’est sans doute une bonne affaire pour les hommes.

Ce qui est vraiment incroyable c’est l’audace des musulmans d’exiger que l’Occident et les autres démocraties légalisent la charia dans leurs sociétés. En raison des grandes populations musulmanes, récemment installées dans des pays comme le Canada, l’Angleterre et la Suède, ces pays sont sujets à des demandes pressantes par les musulmans d’instaurer les lois de la Charia dans leurs communautés. Ce n’est évidemment qu’un début qui pourrait paraître relativement bénin pour les simples d’esprit d’entre nous. Mais une fois la Charia reconnue à n’importe quel échelon, elle atteindra non seulement les affaires concernant les musulmans, mais aussi toutes celles impliquant un musulman et un non-musulman. Sous la Charia, un musulman marié à une non musulmane  peut divorcer selon son désir, recevoir automatiquement la tutelle des enfants et jeter littéralement la femme dehors de sa maison sans aucune pension.

«Mort à la République islamique, » « Cesser la lapidation des femmes, » et « mort aux mollahs criminels et à la démocratie de l’Iran » hurlent les bannières brandies par les expatriés iraniens dans la majorité des pays de l’Europe, condamnant la brutalité  contre les femmes dans la République islamique et exigeant des droits et traitements égaux pour la plus grande minorité opprimée dans le monde.

Pendant que le monde tourne, nous devenons de plus en plus certains que le système islamique est cousu main pour les hommes, par des hommes, et pour le plaisir des hommes. Et les hommes au pouvoir, le clergé, les premiers bénéficiaires du système n’ont aucune intention de renoncer volontairement à leur statut privilégié.

Il existe toutefois un brin d’espoir que les Musulmans eux-mêmes abandonnent cette religion de Bédouins. L’islam a la mainmise sur ses esclaves et ne les laissera jamais partir. Les Musulmans ne semblent pas avoir la perspicacité ou la volonté de lui tourner le dos en grand nombre. Mais l’espoir aussi infime qu’il soit, nous tient en alerte avant que les feux de l’islam ne nous emportent tous.

adaptation française du texte d’Amil Imani

Élisabeth Guigou: “Dans le 93, ils sont parfaitement intégrés”

Elle parle bien sûr des musulmans… Je pense qu’ils ne font pas la prière du vendredi en dessous de chez elle et que sa voiture n’a pas encore brûlé…

FDF

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Élisabeth Guigou, Vallier de son nom de jeune fille, est une femme politique française, née le 6 août 1946 à Marrakech (Maroc).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Elisabeth_Guigou


http://www.youtube.com/watch?v=WKrpUeIj6LQ&feature=player_embedded#at=176

L’A.M.E. décortiquée…

Direction: la France et l’AME...

Buvez un bon coup, respirez à fond et lisez le PDF ci dessous…
FDF

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Ici: Figaro_AME

Merci à JJacques…