05/12/2010
Sports d’hiver au Pakistan…
France : contrôle des mosquées et «vote musulman»…
A Drancy comme à Epinay-sur-Seine, deux communes de Seine-Saint-Denis, les polémiques et les tensions autour de la mosquée traduisent-elles une volonté de contrôle de la part des maires et de la Grande Mosquée de Paris sur l’électorat musulman de plus en plus nombreux ? Epinay sur Seine compterait ainsi 22 000 musulmans sur un peu plus de 50 000 habitants.
“lorsque les collectivités départementales, régionales voir nationales pour l’éducation sous contrat d’État, financent des projets musulmans (mosquée, écoles…) c’est en même temps pour avoir leur mot à dire”
L’ingérence des mairies dans le contrôle des lieux de cultes et le choix des pseudo-imams à la Hassan Chalghoulmi [imam de Drancy] semblent présager ce que sera le futur de la pratique de l’islam en France, le fameux «islam de France».
La mairie ayant financé le lieu de culte à hauteur de plusieurs millions ne semble pas être très attaché au principe de laïcité. Etant donné qu’elle a investi une certaine somme dans la construction de la mosquée déguisée en centre culturel, cela lui permettrait selon son maire d’intervenir dans les affaires des musulmans. Cette ingérence au passage assumée se traduit comme à Drancy par le choix de l’imam qui accomplit le prêche du vendredi mais aussi par la délégation de la gestion de la mosquée à la Grande Mosquée de Paris et son recteur, Dalil Boubakeur. (…)
Avez-vous noté l’extrême discrétion des médias du système au sujet du dernier referendum suisse?
RIEN notamment sur les principales chaînes TV!
Les criminels étrangers, dans ce pays, seront désormais renvoyés chez eux. Le peuple en a ainsi décidé, à une forte majorité, par referendum populaire.
Pourquoi ce silence chez nous?
Parce que nos dirigeants savent fort bien que le même referendum, s’il était organisé dans n’importe lequel des Etats membres de l’UE et notamment en France, entraînerait la même réponse qu’en Suisse. Donc, la police de la pensée intervient et impose l’omerta.
Bravo la Suisse!
La France, les étrangers l’aiment et l’achètent. Ils ont raison, nos élus la bradent…
C’est les soldes avant l’heure, en France… Personne ne veut acheter nos SDF français de souche qui dorment dehors sous des cartons pendant qu’une foultitude « d »ayant-droits » issus de l’immigration passent leur temps aux Allocs et chez les assistantes sociales afin de pleurer et obtenir de quoi bouffer, se loger à l’oeil et j’en passe?
FDF
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Dette publique, capital des entreprises, immobilier… Les investisseurs étrangers sont très présents dans l’Hexagone.
1.591 milliards d’euros de dette publique en France à la mi-2010, soit 82,9% du produit intérieur brut (PIB). Avec 163 milliards de plus en tout juste un an, cette dette s’est alourdie de plus de 8 points de PIB (à rapprocher de la croissance annuelle qui se situe entre 1,5 et 2,5 points de PIB par an).
Certes, il s’agit de la dette publique brute, comme définie par le traité de Maastricht. Elle totalise l’ensemble de la dette de l’État, des collectivités territoriales et des organismes publics. On distingue aussi la dette publique nette: par rapport à la précédente, on en déduit l’ensemble des actifs (biens et actions) possédés par l’Etat.
Cette dette nette s’établit aux alentours de 1.420 milliards d’euros mi-2010 (1.389 fin mars 2010, selon l’Insee). A de tels niveaux, peu importe que l’on se focalise sur l’une ou l’autre dette: elle est gigantesque et pèse, pour la dette publique,
24.500 euros sur les épaules de chaque Français.
1.223 milliards d’euros de dette publique négociable.
5 décembre 1360: naissance du franc…
Un peu d’Histoire ne nuit pas. Surtout quand elle concerne notre Patrie et ce qu’elle est devenue ces derniers temps…
FDF
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Le 5 décembre 1360, à Compiègne, le roi Jean II crée une nouvelle monnaie, le «franc», de même valeur que la monnaie existante, la livre tournois.
Jean II le Bon (c’est-à-dire le Brave) a été fait prisonnier à la bataille de Poitiers. Il a subi une longue captivité en Angleterre et son geôlier, le roi anglais Édouard III, lui a réclamé une énorme rançon, environ trois millions de livres tournois, soit 12,5 tonnes d’or.
Le royaume est ruiné et pour obtenir une partie de la rançon, Jean accepte une mésalliance avec le riche duc de Milan, Galéas Visconti. À ce marchand de médiocre extraction, il «vend» sa fille Isabelle contre 600.000 livres.
Édouard III accepte de libérer son prisonnier après un premier versement de 400.000 livres. Mais le roi de France doit s’engager à verser le reste et pour cela n’hésite pas à endetter son pays. C’est ainsi que, sur le chemin du retour, à Compiègne, il prend trois ordonnances. Il crée en premier lieu de nouvelles taxes et généralise l’impôt sur le sel, la gabelle. Le sel est un complément alimentaire vital et, qui plus est, en l’absence de réfrigérateur, il est, au Moyen Âge, indispensable à la conservation des viandes (les salaisons). La gabelle va devenir de ce fait incontournable et très impopulaire.
Pour faciliter le règlement de sa rançon, le roi crée en second lieu le «franc». La nouvelle pièce commémore sa libération comme l’indique son appellation (franc et affranchissement sont synonymes de libre et libération). «Nous avons été délivré à plein de prison et sommes franc et délivré à toujours», rappelle le roi dans son ordonnance. «Nous avons ordonné et ordonnons que le Denier d’Or fin que nous faisons faire à présent et entendons à faire continuer sera appelé Franc d’Or».
Le franc de 1360 est en or fin de 3,88 grammes. Il vient en complément de l’écu d’or qu’a introduit Saint Louis au siècle précédent, et de la livre tournois en argent. Il vaut une livre ou vingt sous tournois.
Le premier franc représente le roi à cheval avec la légende «Johannes Dei GratiaFrancorum Rex». Une version ultérieure du franc, en 1365, représentera le roi à pied (le «franc à pied»).
Jean II le Bon et son fils, le futur Charles V suivent en matière monétaire les recommandations de leur conseiller Nicolas Oresme. Dans son Traité des Monnaies (1370), ce clerc, philosophe et traducteur d’Aristote, prône une monnaie stable, garante de la puissance du souverain, capable de rivaliser sur les marchés avec le prestigieux florin de Florence, qui domine l’Europe depuis déjà un siècle.
Rappelons qu’au Moyen Âge, les pièces de monnaie tirent leur valeur de leur poids en métal précieux (or ou argent). Les pièces de différents pays peuvent circuler côte à côte sur les marchés, leur attrait dépendant de la confiance que le public accorde à l’émetteur. Si celui-ci est suspecter de tricher sur la quantité de métal précieux ou de laisser faire les faux-monnayeurs, sa monnaie tendra à être rejetée par le public et dévalorisée à son détriment.
Tandis que les Français s’échinent à payer au roi anglais la rançon pour la libération de son souverain, celui-ci revient en Angleterre comme prisonnier volontaire pour laver l’honneur d’un otage français qui s’était enfui sous prétexte d’un pèlerinage, son propre fils, Louis d’Anjou, pressé de rejoindre sa jeune épouse.
«Vous avez blêmi l’honneur de votre lignage», lance le roi à son trop malin rejeton. C’est en prison que meurt Jean II le Bon, le 8 avril 1364, tandis que son pays continue de payer la rançon liée à sa première libération !
La France, du Moyen Âge à la fin du XIXe siècle, se montre attachée au bimétallisme : pièces principales en or et subdivisions en argent.
Le franc poursuit une carrière à éclipses. La pièce de Jean II le Bon et de Charles V est frappée jusqu’en 1385. Une pièce du même nom mais en argent reparaît brièvement en 1576 sous le règne du roi Henri III. À partir de Louis XIII, le franc n’est plus qu’une unité de compte. Il disparaît au profit de la livre, elle-même divisée en 20 sous ou 240 deniers. Mais dans le langage courant, on continue de parler de franc plutôt que de livre.
Au XVIIIe siècle, on tente à deux reprises d’introduire des billets en sus des pièces, les billets étant gagés sur des richesses réelles ou à venir.
Ce sont les ressources de la colonie de Louisiane dans le premier cas (expérience de John Law, sous la Régence, en 1716-1720) et les biens enlevés au clergé et aux émigrés dans le second cas (création des assignats par l’Assemblée Nationale, au début de la Révolution, en décembre 1789).
Dans l’un et l’autre cas, les pouvoirs publics ne résistent pas à la tentation d’imprimer plus de billets qu’ils n’ont de richesses en gage.
Ces billets sans contrepartie sont très vite rejetés par le public et l’on en revient à chaque fois aux pièces d’or ou d’argent.
Les pièces en franc sont remises à l’honneur par la Convention, sous la Révolution.
Une loi du 7 avril 1795, confirmée le 15 août 1795, fait du franc l’unité monétaire de la France, en remplacement de la livre. La nouvelle unité monétaire, très simple d’emploi avec ses décimes, ses centimes et ses millimes, est immédiatement adoptée.
Le Premier Consul Napoléon Bonaparte lui donne une base stable par la loi du 7 Germinal an XI (27 mars 1803) qui définit la nouvelle pièce de 1 Franc par «5 grammes d’argent au titre de neuf dixièmes de fin». Une pièce en or de 20 francs est également créée sous le nom de Napoléon.
Bonaparte institue une Banque de France pour soutenir la nouvelle monnaie et développer la monnaie scripturale.
Le «franc germinal» va traverser avec succès le XIXe siècle, ses changements de régime et même la défaite de 1870. Respectueux de la monnaie nationale, les insurgés de la Commune épargnent le stock d’or de la Monnaie. Sa stabilité vaut même au franc germinal d’être adopté comme référence commune par de nombreux pays au sein de l’Union latine.
Dévalué après la Grande Guerre de 1914-1918, le franc germinal est remplacé par un franc au rabais, le «franc Poincaré», en 1928.
Le franc a perduré comme monnaie de référence de la France jusqu’au 31 décembre 2001, dernier jour avant l’euro. Il subsiste dans les anciennes colonies françaises d’Afrique et du Pacifique ainsi qu’en Suisse (vestige de l’Union latine).
On peut lire l’excellent ouvrage de vulgarisation, très complet, de Georges Valance : Histoire du franc, 1360-2002(Flammarion, 1996).
Les Etats-Unis, toujours alliés de l’islamisme anti-européen !
L’ambassadeur américain au Royaume-Uni s’est rendu dans une mosquée de Londres particulièrement connue pour être extrémiste…
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12 ans après le soutien militaire aux islamistes bosniaques (lire) et dans le cadre de la stratégie Obamanienne de séduction du monde musulman, les Etats-Unis veulent fuir à tout prix le Choc des civilisations, quitte à pactiser un diable pas forcément pro-américain…
Lu sur Bivouac-ID :
« L’ambassadeur américain au Royaume-Uni s’est rendu dans une mosquée de Londres particulièrement connue pour être extrémiste, pour en faire l’éloge, et il a invité les jeunes à participer à un voyage financé par l’ambassade des États-Unis.
La East London Mosque (ELM) a récemment diffusé des discours prononcés par le chef d’al-Qaida dans la péninsule arabique Anwar al-Awlaki (pourtant anti-américain !), ainsi que les prêches d’un dirigeant du groupe extrémiste Jamaat-e-Islami Bangladesh, et d’une grande variété d’autres leaders radicaux. Tout ceci ajouté aux discours des responsables de la mosquée, prônant régulièrement la haine et le terrorisme, tout comme que ceux du Forum Islamique pour l’Europe (IFE), un groupe dont le siège se trouve dans le complexe de la mosquée.
Durant sa visite à la moquée qui compte environ 5000 fidèles en comptant les membres de l’IFE, L’ambassadeur américain, Louis B. Susman a dit qu’il avait “beaucoup d’admiration” pour la mosquée et qu’il était “impatient” d’entamer un dialogue avec les membres de la communauté. Il a également invité les jeunes de la communauté à s’inscrire au programme culturel et interreligieux de l’ambassade des Etats-Unis, qui organise des voyages aux États-Unis pour les jeunes futurs leaders.
Les relations radicales de l’ELM ont fait l’objet d’un grand documentaire sur Channel 4. »
Source : Big Peace , Wall Street Journal extrait traduit par Bivouac-id.
En France l’ambassade Américaine également drague les « minorités » , comprendre les musulmans, allant jusqu’à vouloir changer nos programmes d’histoire comme le démontre un cable diplomatique révélé salutairement par Wikileaks. Dans ce même cable traduit par Defrancisation.com ( que la presse française se refuse à relayer), on apprend que des contacts réguliers sont pris entre l’ambassade de l’Empire et les sites musulmans Oumma.com et Saphirnews.com , dont nous avions démontrée une orientation qui est loin d’être modérée ( Preuve 1 – Preuve 2).
Cliquez pour la lecture de ce livre: http://tinyurl.com/3xgkgbh
Ne tuons pas la biodiversité humaine par le métissage mondialiste !
Je relaie…
FDF
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12 millions de différences physiques sont possibles, comme expliqué sur la page http://dbloud.free.fr/ADN.htm) . La notion éculée de « race » et de « racisme » date du XIXe siècle et ne veut plus rien dire ! Les biologistes parlent maintenant de « groupes d’ascendance » (correspondant à des séquences génétiques bien précises).
Denis Bloud.
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Lettre d’un Pied Noir…
Lire: Lettred’unpied-noir1
Mosquée d’Epinay sur Seine : écrivez au maire !
Mosquée d’Epinay sur Seine : écrivez au maire comme Pascal Hilout
Monsieur Le Maire,
Je vous écris au sujet des locaux communaux utilisés comme mosquée. Votre mairie en avait confié la gestion à une association musulmane locale. Celle ci ne fonctionnant plus comme il faut, vous avez fait appel à l’association Grande Mosquée de Paris (GMP), pour ne pas en confier la gestion à une autre association locale. La GMP, non plus, n’a pas réussi à ramener l’ordre dans cette mosquée. Le 18 septembre 2010, elle a tout simplement fermé cette mosquée. Et le 26 novembre, Epinay-sur-Seine se retrouve avec des prières dans la rue.
Ce n’était pas à la mairie de financer des locaux et de les mettre à la disposition d’un culte, quel qu’il soit. C’est un flagrant irrespect de la loi. Ne vous étonnez donc pas si vos concitoyens et administrés en viennent à ne plus la respecter. La Mairie est hors la loi lorsqu’elle confie la gestion de biens communaux et des espaces dits culturels à des religieux, peu importe leur obédience, leur formation, leur appartenance, leur trajectoire ou leurs promesses.
Nous vous invitons instamment à utiliser les locaux communaux, fermés et vacants, pour des services ouverts à tous les citoyens et de ne plus en confier la gestion ni à l’ancienne, ni à la nouvelle association musulmane. Vous ne pouviez pas non plus la confier à la mosquée de Paris puisqu’il s’agit toujours de la même infraction.
Les musulmans ont la possibilité de faire comme la majorité des musulmanes : prier chez eux, seuls ou en petits groupes. Nos citoyens contribuables et nos élus ont suffisamment été abusés avec la supercherie nommée ‘islam des caves’. Vous voyez que même sortis des locaux sombres aux frais de Marianne, vous n’arrivez nullement à maîtriser les affaires islamiques, à moins de vous transformer en régime aussi autoritaire que les régimes des pays musulmans. La laïcité voulait votre bien en vous évitant toutes ces embrouilles et il est temps d’en profiter pour rendre à César ce qui est à César et renvoyer la Mosquée chez elle.
Avec tous mes respects
Pascal Hilout, membre de Résistance républicaine
Dalil Boubakeur et la mosquée d’Epinay: « au secours » !!!
A mon avis, il a peur le père Boubakeur… Il ne maîtrise plus la situation de la mosquée d’Epinay, alors il s’en remet aux autorités FRANCAISES… Bel acte de bravoure pour le recteur de la mosquée de Paris…
FDF
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Mosquée d’Epinay-sur-Seine: Dalil Boubakeur s’en remet aux autorités
Le recteur de la Grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, appelé par le maire pour aider à trouver une solution à la mosquée d’Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) en proie à des troubles entre groupes de fidèles, s’est en remis vendredi aux « autorités habilitées ».
« La situation ne peut être réglée que par les autorités dûment habilitées à assurer l’ordre public et la sérénité des lieux de culte », a déclaré dans un communiqué Dalil Boubakeur, la grande mosquée de Paris ayant été sollicitée par le maire d’Epinay-sur-Seine, Hervé Chevreau (divers droite), à aider à trouver une solution.
« Notre bonne volonté s’est heurtée à un groupe de fidèles soutenus par des éléments extérieurs à la mosquée », a déploré Dalil Boubakeur assurant que son institution « n’interviendra de nouveau que lorsque l’ordre public sera rétabli et la sérénité retrouvée ».
Selon lui, la situation de blocage actuelle « n’est nullement bénéfique pour les musulmans » et « ne saurait perdurer car elle ne permet pas le fonctionnement normal d’une mosquée ».
Un imam envoyé à Epinay-sur-Seine pour assurer les cinq prières quotidiennes ainsi que la causerie du vendredi n’a pas réussi à mener sa mission et a dû y renoncer à la suite de « menaces » et de « violences », a précisé à l’AFP le porte-parole de la mosquée de Paris, Slimane Nadour.
La salle de prière a été fermée le 18 novembre « à cause de troubles graves à l’exercice du culte et à l’ordre public », peut-on lire sur une affiche accrochée à l’entrée du lieu de culte.
L’affaire a débuté à la fin de l’été quand le gestionnaire de la mosquée a été contesté par des fidèles. L’Union des associations musulmanes d’Epinay (UAME) lui reproche « une gestion chaotique et opaque » des dons des fidèles.
Source: http://www.20minutes.fr
L’imam de la mosquée de Munich activement recherché pour violences aggravées envers « une » de ses femmes!
Ahhhhhhhhhh, le saint homme. Il prêchait la non-violence… Des malades, je vous dis; des malades…
FDF
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Allemagne : Un imam de Munich frappe une de ses femmes jusqu’à lui rompre les os
Munich- Il y a seulement quinze jours le prédicateur musulman Abu Adam ( sur la photo) donnait une conférence à la communauté des fidèles de l’Université Catholique de Munich sur le thème « Un islam qui prend ses distances de la violence » . Et voilà que cette semaine cet imam, d’origine égyptienne, en charge de la mosquée Darul Quran dans la capitale bavaroise, est arrêté et mis en détention pour coups et blessures corporelles infligées à autrui. Ce prédicateur, aussi connu sous le nom de Hesham S., a tellement frappé avec force une de ses trois épouses que celle-ci s’est retrouvée avec le nez et les os de l’épaule fracturés.
Il y a quelques jours à peine le portrait que l’on aurait pu faire de l’imam aurait au contraire permis de tracer l’image d’un homme doux recherchant le dialogue avec les autres religions, de quelqu’un qui prêchait contre la violence, contre le djihad et contre la terreur. C’est du moins ainsi qu’il était connu dans tout Munich. Le mois dernier le magazine “Spiegel” lui avait même consacré un article et la chaîne de télé ZDF le décrivait comme « converti au rejet du recours à la violence». Et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle le doyen Martin Rötting de l’Université Catholique de Munich l’avait invité comme conférencier : «Il était reconnu pour le rejet de la violence » précise-t-il.
Mais comme l’a fait savoir un porte-parole de la police, l’Office de la Protection Civile avait tout au contraire classé cet imam de 40 ans parmi les extrémistes et il était depuis longtemps tenu sous surveillance. Car malgré tout, Abu Adam était en contact régulier tant avec l’administration municipale qu’avec les forces de sécurité puisqu’il faisait partie de ceux qui participaient régulièrement à ces soi-disant “réunions de contact”, ces groupes censés favoriser cette coopération réputée comme une des plus importantes ressources pour l’intégration. Et c’est justement pour encourager l’intégration que l’année dernière la ville de Munich avait mis sur pied une formation pour les imams à laquelle Abu Adam avait pris part, là où normalement il avait tout appris sur l’administration civile et sur les règles de l’état de droit allemand.
Par contre, le fait qu’il n’ait pas réussi à mettre en pratique dans sa vie privée ce qu’il avait appris en théorie, a semé la consternation chez les autres imams de Munich dès qu’ils apprirent les détails de son arrestation. «Ma femme et moi avons été scandalisés quand nous avons lu ça» affirme Benjamin Idriz, l’imam de Penzberg qui pense ouvrir aussi un centre islamique à Munich, «en tant qu’imam, cela me fait honte, selon ma conception de l’islam, la violence contre les femmes n’est nullement autorisée. Le prophète Mahomet a dit : “Les hommes qui frappent leurs femmes ne doivent pas croire qu’il sont des gens bien ou de bons musulmans”. » D’ailleurs l’imam Idriz en parlera lors de la prière vendredi prochain, le thème de sa prédication sera : « Un homme qui frappe sa femme ne fait pas preuve de force mais d’impuissance.»
Quant à Sidigullah Fadai, imam de la communauté afghane de Obersendling dans la banlieue munichoise, il se montre triste face à cet incident et déclare : « Un imam devrait toujours être un modèle à suivre, à tous les égards. »
L’épouse de 31 ans d’origine syrienne, mère de deux enfants et ne parlant pas allemand, qui malgré ses fractures multiples avait réussi à téléphoner pour demander de l’aide à un avocat, a été libérée par les policiers munichois de l’appartement où elle vivait avec les deux autres femmes et les dix enfants de l’imam. Elle est maintenant placée sous protection policière.
Source : jungefreiheit.de tz-online.de tz-online.de rtl.de
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Source: http://www.lion-ardent.info/
Méridien Zéro reçoit Arnaud Naudin pour traiter du coût de l’immigration.
Meurtre d’un jeune à Belfort: exigeons la vérité!
Pierre N. 16 ans. Un gosse sans histoires sans doute victime d’un crime crapuleux…
Que l’on se rassure: dans ce cas, il n’y aura pas d’émeutes. Ce gosse n’était pas « issu de l’immigration »…
Je ne lâcherai pas cette sinistre affaire que l’on semble vouloir minimiser. Déjà, cet acte de barbarie réunit tous les « ingrédients » nécessaires à une affaire crapuleuse. Malgré les termes employés par les médias, je cite « une plaie à la carotide à l’aide d’un objet contondant » ceux-ci veulent tout simplement dire que ce gosse a été égorgé! Appelons un chat un chat. Egorgé avec les mains liées dans le dos! De la pure barbarie la plus bestiale signée par les auteurs des faits, certainement faisant partie de la faune qui traîne en certains endroits de la ville de Belfort où même d’en citer le nom donne des frissons de peur.
« Des traumatismes faciaux »… Tu parles! Les agresseurs se sont tellement acharnés sur son visage qu’il en était méconnaissable, ce gosse!
« Analyses toxicologiques,… qui peuvent prendre plusieurs semaines ». Ben oui: on va mettre ça sur le dos de la drogue; ça « passe mieux ». Et dans plusieurs semaines, plus personne ne se souviendra; moi si…
Et de focaliser sur le fait que « la mort du jeune homme remonterait à plusieurs jours ».
Il ne faut pas tirer des conclusions trop hâtives, va t’on me dire. Ce ne sont pas des conclusions. C’est un état de fait et une concordance d’éléments qui pointent du doigt les coupables… A Belfort, chaque jour des poubelles brûlent, des voitures flambent très souvent et la presse locale laisse passer ce qu’elle veut à ce sujet. Faut pas stigmatiser; ce n’est pas « citoyen ». Et dire la vérité, ça l’est, « citoyen »?
Demandez aux proches de Pierre et à ses amis. Un gosse sans histoires qui a été la proie de cinglés assoiffés de sang; que l’on croise tous les jours dans les rue de Belfort ou d’ailleurs. Les chiffres de l’insécurité baissent. Les chiffres, seulement…
Lisez les commentaires sur le lien/source. Il y en a qui pensent comme moi…
FDF
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Meurtre d’un lycéen à Belfort : « Son décès remonte à plusieurs jours »

Belfort. | Max PPP
L’autopsie permet également de déterminer que le décès de l’adolescent remonte à plusieurs jours avant la découverte du corps « sans qu’on puisse toutefois affirmer avec précision le jour de la mort » nous précise aussi la procureure.
Enfin, on sait aussi, à présent, que l’adolescent est décédé à l’endroit où son corps a été découvert, soit dans « un local de fortifications en retrait, au-dessous du lion de Belfort ».
Mercredi après-midi, Pierre, 16 ans, a été retrouvé mort, les poings liés, au pied des fortifications du château de Belfort. L’adolescent, élève au lycée Condorcet de Belfort, était porté disparu depuis le samedi précédent.
Jeudi, le corps du jeune homme a été identifié par le parquet de Belfort. Et, vendredi matin, son autopsie a été réalisée à l’institut médico-légal de Besançon.
A l’heure actuelle, malgré les premiers résultats de cette autopsie, « rien ne permet » au parquet de Montbéliard, désormais en charge de l’enquête, « d’affirmer les circonstances du décès ».
« On entend tout et n’importe quoi » poursuit la procureure sur Le Post, faisant allusion à la piste d’un règlement de comptes sur fond de trafic de drogue, où à une rencontre avec des SDF qui aurait mal tourné.
Pour l’instant, le parquet « ne privilégie aucune hypothèse » et annonce la poursuite d’une enquête « qui s’avère difficile », dans la mesure où, contrairement aux indices dont disposent actuellement les enquêteurs, « les pistes sont multiples et aucune piste n’est exclue » nous dit-on aussi.
« On attend à présent les résultats des examens complémentaires : analyses toxicologiques,… qui peuvent prendre plusieurs semaines » nous dit-elle également.
Interrogée sur le lieu où le lycéen a été retrouvé, Thérèse Brunisso nous parle d’un « endroit en retrait, mais relativement fréquenté, où pas mal d’objets sont entreposés. »
Concernant l’analyse du téléphone portable de cet adolescent « absolument sans histoire et inconnu des services », elle nous déclare que « ça n’a rien donné pour l’instant. »
Le parquet de Montbéliard a ouvert jeudi matin une information judiciaire pour « homicide volontaire » : « Il n’y a pas de doute sur le fait qu’il s’agit d’un meurtre » nous confirme la procureure de Montbéliard.
Vendredi après-midi, en hommage au jeune homme, une marche blanche a eu lieu à Belfort.
« Ceux qui se sentent offensés peuvent aller se faire foutre! » Pat Condell
Tiens. Pat Condell pense comme moi et ose le dire… En fait, nous sommes de plus en plus nombreux à penser ainsi. Et nous allons être de plus en plus nombreux à le crier sur les toits. Si par hasard certains se sentaient visés, une petite fatwa serait fort sympathique…
FDF
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Vidéo: http://www.youtube.com/watch?v=0iQHu8UsJDI
Freysinger chez les Belges. Vidéo…
Excellente vidéo qui vous fera passer quelques bons moments d’espoir concernant la « Résistance »… Merci à son auteur.
FDF
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Voir: http://www.dailymotion.com/video/xf50p9_freysinger-chez-les-belges_news#from=embed
Encore des nouvelles du « Guide »… Quel enfoiré, celui-là !
C’est comme le despote fou de l’Iran. Ces mecs là, faut pas les laisser jouer avec n’importe quoi. Fourberies, mensonges, fausses promesses, menaces, « foutages de gueule » et j’en passe sont les principes auxquels ils adhèrent. C’est leur « religion » qui les oblige. Si si… Quand je pense qu ON avait reçu ce con de Kadhafi et ses chameaux en grandes pompes à Paris…
FDF
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WikiLeaks : le « guide » libyen et ses sept fûts d’uranium enrichi…
Portrait de Kadhafi à Benghazi, le 29 août 2008.AFP/MAHMUD TURKIA
« Nous demandons instamment de répondre ‘sans commentaire’ à toute interrogation de la presse à ce sujet« . C’est ainsi que s’achève la note rédigée le 25 novembre 2009 par l’ambassadeur américain à Tripoli, en Libye, Gene A. Cretz, à l’attention du département d’Etat. Un avion-cargo russe venu récupérer le dernier stock d’uranium hautement enrichi encore aux mains des Libyens est reparti à vide, faute d’autorisations, et la diplomatie américaine s’interroge sur les raisons de la volte-face libyenne.
Depuis des mois, Washington incite Mouammar Kadhafi de se défaire de ce vestige d’un programme nucléaire avorté. Les Américains souhaitent que l’engagement pris en 2003 par le « guide » de renoncer aux armes de destruction massives pour le prix de sa réintégration dans le concert des nations trouve enfin sa traduction, six ans plus tard, pour ces 5,2 kilos stratégiques.
Après des mois d’invitations pressantes, les deux parties ont fini par conclure un accord secret, le 28 octobre, comme le précise un « mémo » daté du même jour obtenu par WikiLeaks et examiné par Le Monde. Cet accord doit entrer en application le 21 du mois suivant. Mais tout se grippe.
UN SEUL GARDIEN
L’inquiétude américaine n’est pas seulement alimentée par l’imprévisibilité du régime libyen. Les experts de l’ambassade s’alarment également du sort des sept fûts de cinq tonnes scellés par l’Agence internationale de l’énergie atomique qui moisissent dans le centre nucléaire de Tajoura.
Lors de leur visite du 24 novembre, précise une note datée du lendemain, ces experts n’ont aperçu qu’un seul gardien armé d’un pistolet (« sans qu’ils puissent savoir si l’arme était chargée »). Les fûts sont jugés « facilement transportables », d’autant que la grue prévue pour les charger est restée sur place.
Les Libyens ont un mois pour procéder à l’évacuation, après cette date, il faudra sortir l’uranium hautement enrichi des containers et le réinstaller dans le centre. « Au bout de trois mois, la température du combustible radioactif pourrait atteindre un tel niveau qu’elle menacerait les fûts et provoqueraient des fuites radioactive ».
Le 27 novembre, deux jours après le redécollage du cargo russe, les soutes vides, les diplomates américains s’entretiennent avec l’un des fils du « guide », Seif Al-Islam. C’est un torrent de reproches : « le régime est las » des atermoiements de la relation bilatérale, rapporte une note du 30 novembre, « il n’a pas été compensé », ce qui revient à l’avoir « insulté » après le renoncement à son programme d’armement.
Seif Al-Islam Kadhafi ajoute encore que les autorités américaines ont « humilié » le dirigeant libyen en s’opposant à ce qu’il visite le site de Ground zero lors de sa dernière visite à New York, à l’occasion de l’assemblée générale des Nations unies, deux mois auparavant. « Nous recommandons au département d’Etat de joindre Moussa Koussa, [le ‘ministre’ des affaires étrangères libyen] pour l’assurer de notre détermination à aller de l’avant dans notre relation » tout en insistant sur le fait que le stock d’uranium hautement enrichi « ne doit pas être pris en otage ».
Le département d’Etat semble avoir su trouver les mots. Un message secret du 7 décembre fait part de « l’augmentation visible du nombre de gardes en armes » sur le site. « Personne n’est assez sophistiqué » en Libye pour pouvoir faire quoi que ce soit de ces fûts, assure un responsable du régime. Deux semaines plus tard, un avion russe emporte définitivement cette cargaison problématique hors du pays.