Francaisdefrance's Blog

26/10/2010

Daisy Kahn: « le 11-Septembre a fait de moi une femme musulmane ».

Daisy Kahn
Directrice de la Société américaine pour la promotion des musulmans.

Et elle explique pourquoi. Elle trouve le projet de Ground Zero « très exitant »… Ca arrive à tout le monde de péter les plombs; mais là… Et elle veut nous faire croire que cette soudaine conversion à l’islam est due à un acte (ou plutôt tous les actes…) de l’islam radical… Mais, Mme Kahn, il n’y a qu’UN islam. Le saviez-vous? Et il est intégriste, radical, meurtier, sanguinaire.

FDF

Daisy Kahn est à l’origine, avec son mari, l’imam Rauf, du projet de centre culturel musulman Cordoba House, près de Ground Zero, à New York



 

Daisy Kahn eu un parcours identitaire agité. « Jusqu’à l’âge de 15 ans, j’étais une fillette du Cachemire. Arrivée alors aux États-Unis, je suis devenue “Indienne”, car personne ne connaissait le Cachemire. Puis, lors des opérations de recensement, j’ai été cataloguée comme “Asiatique du Sud-Est”, parce qu’il n’y avait pas de case “Inde” à cocher. J’ai ensuite obtenu la citoyenneté américaine et je suis rapidement devenue “New-Yorkaise”, tant il est vrai que New York est un monde à lui tout seul. »

Tout cela n’était qu’anecdote. Le 11 septembre 2001, lorsque les tours jumelles se sont effondrées à New York, la vie de Daisy Kahn a basculé. Celle qui avait épousé le rêve américain, réussi de belles études et s’était établie comme architecte, est devenue soudainement à 43 ans une « femme musulmane ».

« Bien sûr, j’étais musulmane, mais je ne m’étais jusqu’alors pas vraiment pensée moi-même comme telle. Devenus curieux au sujet de l’islam, les Américains se sont mis sans cesse à m’interroger sur le statut des femmes dans le monde islamique, raconte-t-elle. J’avais beau leur répondre qu’elles avaient les mêmes droits que les autres, mes propos tombaient dans l’oreille de sourds. On me sommait d’expliquer pourquoi elles étaient maltraitées et ce que je faisais pour changer le cours des choses. Il fallait que je m’exprime au nom des 750 millions de femmes musulmanes du monde. J’ai commencé alors à sentir le fardeau que signifiait d’être étiquetée “femme musulmane”. »

La New-yorkaise a découvert le poids du patriarcat dans nombre de pays musulmans.

En bonne Américaine entreprenante et plutôt que de subir cette nouvelle et pesante identité, Daisy Kahn prend le sujet à bras-le-corps. « Il fallait que les femmes musulmanes soient visibles, qu’elles puissent s’exprimer pour que leur voix soit dominante et ne plus laisser le champ libre aux extrémistes », explique-t-elle. En 2006, elle renonce à la carrière à laquelle elle s’était d’autant plus librement consacrée qu’elle n’a pas d’enfants (son mari, l’imam Rauf, en a deux).

Elle crée alors la Société américaine pour la promotion des musulmans et lance le réseau Wise (Women’s Islamic Initiative in Spirituality and Equality, « Initiative des femmes islamiques pour la spiritualité et l’égalité »). « Les femmes musulmanes veulent se définir au travers de leur religion et non pas en dépit de leur religion », explique-t-elle.

Elle qui vivait dans son cocon new-yorkais a découvert le poids du patriarcat dans nombre de pays musulmans et décidé de concentrer sa lutte sur « la manipulation de la croyance pour justifier en son nom les horreurs faites aux femmes : mutilations sexuelles, crimes d’honneur, violence domestique et même terrorisme ».

Avec son mari, elle est à l’origine de l’initiative Cordoba House (« Maison de Cordoue »), le projet de construction du centre culturel et religieux musulman non loin de Ground Zero à New York (l’ancien emplacement des tours jumelles). Ce centre, qui se veut un haut lieu de l’islam modéré et vise à promouvoir le multiculturalisme, sera aussi un lieu d’expression des femmes musulmanes. « La communauté musulmane de New York est la plus diverse du monde », fait valoir Daisy Kahn, qui, à 52 ans, trouve ce projet « socialement très excitant ».

Source: http://tinyurl.com/255m7df

Halal : le groupe Al Islami va lancer sa chaîne de fast food en France !

Et ça continue! C’est vrai qu’il commence à en y avoir des bouches muzz à nourrir, en Francarabia… Nouvelle étape invasive sur fond de profits.

FDF

A l’occasion de la 23ème édition du salon international de l’agroalimentaire (SIAL) qui a eu lieu la semaine dernière au parc des expositions à Paris, le groupe émirati Al Islami Foods spécialisé dans l’agroalimentaire Halal à annoncer le développement d’une chaîne de restauration rapide Halal à base de poulet – Al Farooj Fresh– via un réseau de franchise sur la toute la France dès 2011.
Le marché de la restauration rapide Halal à le vent en poupe avec le succès du groupe Quick, n°2 en France, qui a décidé d ’étendre son offre 100 % Halal à 22 restaurants en France(14 en région Ile de France et en province) sur les 350 établissements franchisés que compte le groupe restauration rapide Halal sur le territoire français. Le taux de fréquentation de ces établissements et la progression ont été multipliés par deux et ont permis la création de 25 emplois en moyenne par restaurant.  

Face aux géants Quick, Mac Donald et son concurrent directe l’américain KFC spécialisé dans la restauration rapide à base de poulet, le groupe Al Islami Foods à une carte à jouer notamment celle de la fibre Arabe et musulmane.

Le groupe veut s’implanter en France et en Grande-Bretagne pour capter une partie du juteux marché de la restauration rapide Halal. Selon le directeur général Saleh Lootah, le groupe possède plus de 40 chaines de restauration Al Farooj au Moyen-Orient (Liban, Oman, Koweit, Arabie Saoudite dont 14 Emirats Arabes Unis) et les ventes du groupe Al Islami Foods ont augmenté de 40 % dans le Golfe en 2009.

D’après Euromonitor International, les ventes en Grande-Bretagne ont atteint 2,48 milliards d’euros sur le secteur de la restauration rapide à base de poulet. En France, le marché Halal tous secteurs confondus est estimé entre 5 et 7 milliards d’euros.

Source: http://tinyurl.com/29oobuy

Racaille contre policiers à Clichy: la lutte judiciaire continue…

Les sous-merdes ne croient quand-même pas qu’ils vont gagner aussi facilement le procès qui serait celui de l’autorité républicaine et de la lutte contre la délinquance, non?
FDF
.

Cinq ans après le drame qui avait déclenché trois semaines d’émeutes, le parquet de Bobigny a fait appel de la décision des juges de renvoyer devant le tribunal deux policiers, mis en cause dans la mort par électrocution de deux adolescents, en 2005.

Seront-ils jugés ? Près de cinq ans après les faits, le sort de deux policiers mis en cause dans la mort par électrocution de deux adolescents à Clichy-sous-Bois vient de connaître un nouveau revirement. Alors que les juges ont demandé vendredi le renvoi des fonctionnaires devant le tribunal correctionnel pour «non-assistance à personne en danger», le parquet de Bobigny a fait appel lundi de cette décision.

La décision des juges d’instruction sera donc revue par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris. La procédure pourrait prendre plusieurs mois.

Ce qu’en pense l’avocat des familles des victimes:

Plus d’infos en vidéo sur itélé.fr

Bouna Traoré et Zyed Benna avaient été électrocutés en octobre 2005 après être entrés dans un transformateur EDF pour échapper à la police. Un troisième jeune, Muhittin Altun, 22 ans aujourd’hui, les accompagnait. Grièvement blessé, il a survécu. L’affaire avait déclenché trois semaines d’émeutes dans les banlieues françaises.

Les juges ont retenu «des charges sérieuses et concordantes»

Les policiers mis en cause sont une policière stagiaire qui était ce soir-là au poste de commandement, et un policier qui était sur place. Le 8 septembre, le parquet avait requis un non-lieu en leur faveur, considérant qu’il n’existait pas de « charges suffisantes » pour les renvoyer devant un tribunal.

Pourtant, dans son rapport remis en 2009, l’Inspection générale des services (IGS, la police des polices), a établi que le policier lancé à la poursuite des deux adolescents les a vus franchir un grillage en direction du site EDF situé non loin. Peu après, le policier a déclaré sur sa radio : «Deux individus sont localisés, ils sont en train d’enjamber pour aller sur le site EDF.» Puis : «S’ils rentrent sur le site EDF, je ne donne pas cher de leur peau.» Or, les recherches ont cessé peu après.

Postée au standard de Livry-Gargan, l’autre policière est pour sa part soupçonnée de n’avoir pas réagi aux messages d’alerte transmis par son collègue. Devant les enquêteurs, elle a simplement ex¬pliqué : «Le site EDF n’est pas dans ma circonscription. Je n’ai pas eu le sentiment qu’il y avait du danger.»

Dans une longue ordonnance motivée rendue vendredi, les juges avaient estimé qu’il y avait «des charges sérieuses et concordantes nécessitant leur examen par le tribunal correctionnel». Ils ont estimé que les policiers n’avaient pris aucune disposition pour mettre les adolescents à l’abri du danger alors qu’ils se trouvaient dans le transformateur. La nouvelle avait été accueillie avec satisfaction par les familles des victimes.

Source: http://tinyurl.com/28ybbf9

Hyperviolence: une jeune fille de 15 ans tabassée pour rien…

Quelle bande de saloperies, ces sous-merdes! Et puis, les journaleux, arrêtez de les nommer des jeunes. Tout le monde sait d’où ils sortent; ou plutôt d’où ils sont issus… Un jeune, c’est pas ça… Vous en avez la trouille? Vous craignez des représailles? Vous tenez à votre emploi, ce qui est normal? Mais bon; votre boulot est d’être objectifs. Et d’appeler un chat, un chat. Ou alors ne publiez pas les photos. Sur celles-ci, on voit bien que les jeunes en question ne sont pas suédois ou auvergnats, comme dirait Hortefeux. Ce sont des sous-merdes issus de l’immigration; point barre!

FDF

.


Samedi après-midi, parce qu’elle a répondu à l’une de leurs réflexions désobligeantes, deux jeunes ont agressé une jeune fille. L’hyperviolence gratuite se banalise dangereusement.

Profiter de son samedi après-midi pour faire du shopping avec son chéri et un ami… et terminer à l’hôpital. Cela n’a désormais plus rien de bien étonnant. L’hyperviolence gratuite s’est banalisée. Et elle est proprement insupportable.


Reconnu par des témoins, un jeune est interpellé.

Vers 16h15, alors que la jeune Marine, 15 ans, souffrait le martyr, à moitié consciente, et qu’elle était embarquée par les pompiers direction l’hôpital d’Avignon, un groupe de jeunes garçons peinait à ne pas sourire devant la situation et des jeunes filles passaient même des coups de fil pour s’exclamer, hilares, qu’une « gonzesse s’est faite éclatée, rue de la Ré ». Le seul « tort », pour ainsi dire, de Marine est d’avoir enfilé une jupe pour aller se promener en ville et de ne pas avoir attendu d’être revenue chez elle pour étancher sa soif. Parce que c’est à la fontaine, située à la moitié de l’artère principale de la ville, que deux jeunes hommes – »âgés de 18 ou 20 ans maximum »- l’ont apostrophée. « Quand elle s’est penchée pour boire à la fontaine, sa jupe s’est un peu relevée. Et ils lui ont dit qu’ils avaient vu sa culotte. Mais c’était dit de façon très provocante », nous expliquait Daniel, son ami, encore choqué quelques secondes à peine après l’agression. « Elle l’a très mal pris et leur a craché dessus l’eau qu’elle avait dans la bouche » continuait Théo, le petit ami de la victime qui gisait au sol. « Et là, l’un d’eux a commencé à la frapper. Je lui ai mis un coup de poing puis le second m’a bloqué et l’autre s’est remis à la taper », se rappelait Théo. « Après un coup de poing au visage, elle est tombée inconsciente au sol ».


Marine, inconsciente, gît au sol.

Là, les deux agresseurs se sont enfuis en remontant la rue de la République. Quelques instants plus tard, un jeune homme de 16 ans a été interpellé dans un bus de la TCRA. Si l’un des deux proches de la victime pense le reconnaître comme le second larron (pas l’auteur des coups, Ndlr), les amis de l’interpellé assurent eux qu’il n’y est pour rien. Il a en tout cas été placé en garde à vue pour « outrage et rébellion à agent de la police municipale ».

Hier soir, l’agresseur principal était toujours en fuite. La terrible scène -qui s’est déroulée sous l’œil d’une caméra de vidéosurveillance – pourrait bien avoir été enregistrée.

Source : laprovence.com

Benoît XVI: les immigrés doivent «respecter les lois et l’identité nationale du pays d’accueil»…

Ce qui est évidemment toujours le cas…

FDF

.

Le pape Benoît XVI a souligné mardi en présentant son message pour la Journée mondiale du migrant et du réfugié que ces derniers «ont le devoir de respecter les lois et l’identité nationale du pays d’accueil» même si la communauté internationale doit les protéger. La prochaine Journée mondiale du migrant et du réfugié sera célébrée le 16 janvier.

«Beaucoup de personnes doivent affronter l’expérience difficile de la migration, dans ses différentes expressions: intérieures ou internationales, permanentes ou saisonnières, économiques ou politiques, volontaires ou forcées. Dans divers cas, le départ de son propre pays est provoqué par différentes formes de persécutions, de sorte que la fuite devient nécessaire», a déclaré le pape.

«De plus, le phénomène même de la mondialisation, caractéristique de notre époque (…) comporte également « une humanité qui devient de plus en plus interconnectée », dépassant les frontières géographiques et culturelles», a poursuivi Benoît XVI.

«Tous, appartiennent donc à une unique famille, migrants et populations locales qui les accueillent, et tous ont le même droit de bénéficier des biens de la terre, dont la destination est universelle», a-t-il estimé.

15 millions de réfugiés dans le monde

Cependant, «dans le même temps, les Etats ont le droit de réglementer les flux migratoires et de défendre leurs frontières, en garantissant toujours le respect dû à la dignité de chaque personne humaine. En outre, les immigrés ont le devoir de s’intégrer dans le pays d’accueil, en respectant ses lois et l’identité nationale», a souligné le pape.

Il y a dans le monde plus de 15 millions de réfugiés, dont 10,4 millions sous la responsabilité du Haut commissariat de l’ONU (HCR), et environ 27 millions de personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays, a rappelé au cours de la conférence de presse de présentation du message le père Gabriele Bentoglio, membre du Conseil pontifical pour les migrants.

«Il faut considérer de façon spécifique la situation des réfugiés et des autres migrants forcés, qui représentent une part importante du phénomène migratoire. A l’égard de ces personnes, qui fuient les violences et les persécutions, la communauté internationale a pris des engagements précis», a rappelé Benoît XVI.

«Je voudrais adresser enfin une pensée particulière (…) aux étudiants étrangers et internationaux. Il s’agit d’une catégorie qui revêt elle aussi une importance sociale, dans la perspective de leur retour, en tant que futurs dirigeants, dans leurs pays d’origine», a-t-il dit.

«Ils constituent des « ponts culturels » et économiques entre ces pays et ceux d’accueil, et tout cela va précisément dans la direction de former « une seule famille humaine »», a estimé le pape. Il a rappelé que «le monde des migrants est vaste et diversifié, constitué d’expériences merveilleuses et prometteuses, ainsi que, malheureusement, de nombreuses autres, dramatiques et indignes de l’homme et de sociétés qui se qualifient de civiles».

(Source AFP) (article lu sur liberation.fr)

Voilà les Cohn-Bendit et les Julien Dray de demain!

Elle n’est pas belle, la France dirigeante de demain? Alors? On fait quoi? On se soumet, on se barre en leur laissant notre Patrie en pâture ou bien on résiste? Personnellement, ma décision est prise…

FDF

.

Les plus à plaindre, ce sont les veaux qui suivent, c’est à dire nos enfants, que nous laissons manipuler.

 

 

Lycéens et étudiants français… Bientôt ils seront maires, ministres, premier ministre, président !

On nous abreuve du mécontentement et de la « colère » des « jeunes » qui, soi-disant par contrecoup manifestent dans la rue. Mais qui sont ces jeunes ??? Je me suis posé la question, et je vous livre les réponses :

A la tête de la FIDL (Fédération indépendante et démocratique lycéenne), les « Lycéens » :
Liste du Bureau National :

Massira Baradji [75] Président massira@fidl.org

Massira Bradji (Oh, la gueule, c’est vrai qu’il fait peur ! Pas tibulaire mais presque, comme dirait Coluche), à remplacé Toufike Mohamed à la tête de la FIDL. Il a 19 ans passés (né le 28/9/1991) et toujours lycéen ! Une vraie chance pour la France !

Leila Boubekeur [91]
> Secrétaire générale                leila@fidl.org

.

Djamila Amzil [59]
Secrétaire générale adjointe     djamila@fidl.org

.
Et, pour ce qui concerne l’UNEF (« Etudiants »), voici le Vice-Président en charge du développement et des partenariats :


Azwaw DJEBARA — adjebara@unef.fr

.


Le « développement » consiste, en fait, à foutre la merde !

Finalement, ceux qui mettent la France, notre France, à feu et à sang, ne sont rien d’autre que de « bons Français », un peu comme vous et moi !

Merci à JL. L pour l’info…

Quatrième congrès du féminisme islamique à Madrid…

Tiens? Les barbus les ont laissé sortir???

FDF

.

Le féminisme islamique affûte ses arguments.

Cinq cent cinquante participants venus d’une vingtaine de pays, essentiellement des femmes, étaient réunis à Madrid pour le quatrième congrès du féminisme islamique. Leur principal défi : réinterpréter le Coran et la charia dans une vision égalitaire

Des femmes musulmanes lors de la fête de la Mosquée de Drancy, le 10 juin 2010 (Photo : William ALIX/CIRIC).

Le « féminisme islamique » : l’expression fait l’effet d’une bombe, tant les deux termes semblent incompatibles dans l’imaginaire occidental. « Je ne réponds plus à cette question de la compatibilité entre féminisme et islam », s’exaspère Houria Bouteldja à la tribune du 4e congrès du féminisme islamique, qui se tenait du 21 au 24 octobre à Madrid, à l’initiative des associations musulmanes espagnoles (1).

Cette « fille d’immigrés algériens », comme elle se définit elle-même, y représentait les musulmanes de France. Et, visiblement, son dépit est partagé par l’assistance, 550 participants, essentiellement des femmes, venus d’une vingtaine de pays, qui entendent bien désamorcer cette « bombe ».

« Aux yeux des féministes européennes très eurocentrées et qui se sentent porteuses de valeurs universelles, le féminisme est par essence laïque et donc fondamentalement incompatible avec l’islam », argumente Laure Rodriguez Quiroga, présidente de l’Union des femmes musulmanes d’Espagne qui co-organisait le congrès.

«Féminisme islamique» : difficile à porter

Et cet islam a, faut-il le préciser, fort mauvaise réputation. Laure Rodriguez Quiroga a dépouillé pendant un an deux quotidiens espagnols, El País et ABC, l’un progressiste, l’autre conservateur. « Ils se rejoignent par leur vision 100% négative de l’islam, par leur capacité à véhiculer des stéréotypes et par leur obsession de l’allure vestimentaire. Sur 88 articles, 83 parlaient du voile et du niqab », détaille-t-elle.

« Il n’y a pourtant qu’une trentaine de femmes qui portent le niqab en Espagne (???) , parmi une communauté de 1,5 million de musulmans », poursuit-elle. « Nous avons toujours besoin de montrer que nous sommes une partie acceptable de la société, mais nous sommes des personnes normales », s’émeut Arzu Merali, écrivain féministe anglaise qui coordonne la Commission islamique des droits de l’homme.

Pour autant, le terme de « féminisme islamique » est « difficile à porter », comme le reconnaît Ziba Mir Hosseini, anthropologue iranienne, l’une des féministes intellectuelles et engagées, auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet, qui vit aujourd’hui en Grande-Bretagne. Certaines préfèrent le terme jugé plus neutre de « féminisme musulman ».

Le féminisme est associé à l’Occident

« Car il y a une confusion permanente entre “islamique” et “islamisme”, qui réduit l’islam à son interprétation politique. Et en prônant un retour à la charia, les islamistes imposent en fait des interprétations anciennes et patriarcales de la jurisprudence musulmane (fiqh, en arabe) pour justifier des mesures discriminatoires à l’encontre des femmes », explique l’universitaire.

Cette confusion vire à l’incompréhension mutuelle entre Occident et monde musulman : « La charia, synonyme de “patriarcat” en Occident, est considérée par les musulmans comme l’essence de la justice. Le voile, perçu par les Occidentaux comme un instrument de soumission et d’oppression, est en fait vécu par les femmes musulmanes comme un signe de libération, une façon de défendre leur rôle de femme dans la religion, de participer à la société et aussi de refuser la domination de l’Ouest. »

Car, pour la grande majorité des femmes musulmanes, il est inconcevable de se penser hors de la religion, sauf à se renier. De son côté, le terme de « féminisme », associé à une occidentalisation, voire une seconde colonisation, a fort mauvaise presse parmi les musulmans.

Des intellectuelles se sont saisies des textes

Bref, le féminisme islamique a tous les défauts de la terre, sauf la nécessité d’exister. « C’est en quelque sorte l’enfant non désiré de l’islamisme : la question de la différence des sexes et du droit des femmes a été tellement politisée que cela a provoqué une réaction », ajoute Ziba Mir Hosseini.

Le féminisme islamique est né au cours des années 1990 dans l’Iran qui vivait sa révolution. Mais aussi en Malaisie, où apparut en 1991 le mouvement Sisters in Islam qui, l’an dernier, a donné naissance au réseau international Musawah (« égalité », en arabe) impliquant des ONG féminines de près d’une cinquantaine de pays.

Partout la question a été la même : est-il possible que les écrits, à commencer par le Coran, soient la source de tant de maux pour les femmes ? Partout la réponse a été la même : des intellectuelles se sont saisies des textes pour en faire une lecture critique, une nouvelle interprétation et en découvrir le caractère intrinsèquement ambivalent.

L’interprétation patriarcale des textes est le principal frein à l’émancipation

« Par définition, tout texte est interprétable. Dans la charia l’on trouve aussi bien matière à défendre l’égalité que la discrimination », reconnaît le sociologue marocain Abdessamad Dialmy, professeur à l’université marocaine de Rabat et l’un des rares hommes de l’assistance présent en qualité de spécialiste du féminisme marocain.

Cette appropriation du savoir vise non seulement à pouvoir donner le change dans des joutes oratoires, mais aussi et surtout à faire évoluer les mœurs et les lois. C’est parce que son mari lui refusait le divorce dans les difficiles années 1980 que vivait l’Iran que Ziba Mir Hosseini, fort démunie, se mit à étudier ardemment la loi islamique, au point d’en devenir une des meilleures spécialistes. Ce qui lui permit de trouver les arguments juridiques pour sortir de l’impasse dans laquelle elle se trouvait, puis de refaire sa vie en Angleterre, où elle poursuit aujourd’hui, à 58 ans, son combat pour la cause des femmes musulmanes.

Dans tous les pays, la réinterprétation des textes religieux est l’arme clé des féministes. Les femmes qui participent au réseau musulman Wise lancé par l’Américaine Daisy Kahn (lire ci-contre) considèrent ainsi, pour 74% d’entre elles, que l’interprétation patriarcale des textes religieux est le principal frein à l’émancipation des femmes. Et elles jugent, à 93%, qu’il revient aux femmes de jouer un rôle de leadership pour une nouvelle interprétation.

Le féminisme n’est pas une création hors sol

« Le féminisme islamique, c’est une réforme faite de l’intérieur, au nom de l’islam et de la modernité, analyse Abdessamad Dialmy. C’est une étape nécessaire et incontournable, la forme la plus acceptable politiquement de s’approprier le féminisme, même s’il s’agit dans un premier temps de conquêtes pour l’équité plus que pour une véritable égalité des sexes. » Et d’ajouter : « Même si individuellement certaines femmes sont laïques, il ne viendrait à l’idée d’aucune association au Maroc de revendiquer la laïcité, au risque de perdre toute légitimité. » 

Le féminisme n’est en effet pas une création hors sol. « Le féminisme islamique, c’est comme l’art islamique ; l’art est art, mais il est aussi le produit de son milieu », justifie Ziba Mir Hosseini. « Il y a un besoin de s’engager en religion dans les pays musulmans, poursuit-elle. Nous réagissons à nos propres contextes ».

Et ces contextes sont très différents selon les pays et les continents, ce qui explique la grande diversité des mouvements de femmes. D’où l’idée de réunir les activistes de tous les pays lors de ce congrès. « Nous voulons valider le “féminisme islamique” comme un discours émergent et le renforcer dans les pays musulmans et dans les minorités musulmanes des pays occidentaux, ajoute Abdelnour Prado, président du Conseil islamique catalan. C’est important pour notre intégration. »

Marie VERDIER , à Madrid (Espagne)

(1) Avec le patronage et le soutien financier du ministère espagnol des affaires étrangères et de la coopération, de ses instituts culturels Casa Asia et Casa Arabe, et du ministère de l’égalité avant sa suppression lors du remaniement du gouvernement espagnol la semaine dernière.

Source: http://tinyurl.com/2e5rl4s

Quand l’extreme droite demande un référendum sur l’adhésion de la Turquie…




Réunis samedi à Vienne, à l’invitation de Heinz-Christian Strache (Parti de la liberté -FPÖ-, Autriche) les leaders d’extrême droite d’Italie, Slovaquie, Belgique, Danemark et Suède, jugeant que la Turquie n’avait pas sa place dans l’Union européenne, ont préconisé qu’un référendum soit organisé à l’échelle européenne comme le permet le Traité de Lisbonne.

Il faudrait 1 million de signatures, dit-il, pour valider cette consultation exceptionnelle des pays membres. Mais les termes assez flous du Traité indique un « nombre substantiel »…

« Ce serait le début d’une Union euro-asiatico-africaine, qui irait totalement à l’encontre du projet de paix en Europe. En conséquence il ne faut pas le permettre » a déclaré Heinz-Christian Strache.

Manquaient à l’appel, le Front national (France), la Hongrie, la Grèce et la Bulgarie…

Source: http://www.armenews.com/article.php3?id_article=64893


Conférence d’Oskar Freysinger(UDC) : «L’islam est-il une menace ?» 


Freysinger chez les Belges

Frais de mandat de nos élus; ça scandalise les Suèdois !

Et il y a de quoi… Mais pourquoi sont-ce des étrangers qui s’en offusquent. Les français n’en sont pas capables? Si, mais on les occupe autrement… On leur colle des grèves, des lois sur les retraites, sur les Roms, sur l’immigration; on leur augmente les carburants, les énergies, les impôts, etc… Et croyez-moi, ça fait penser à autre chose…

FDF

.

Les frais de mandat des élus français font scandale en Suède !


Un lecteur franco-scandinave  nous a transmis une vidéo tirée d’ une émission TV suédoise.

Cet extrait nous montre des politologues suédois scandalisés par les indemnités représentatives de frais de mandat (IRFM) que touchent, en plus de leur rémunération, députés et sénateurs français (5 884,91 euros par mois pour un député et 6 209,13 euros pour un sénateur).

Les Suédois s’ étonnent qu’ aucun contrôle ne soit opéré sur l’ utilisation de ces fonds.

http://www.youtube.com/v/JjCjZezJd6s?fs=1&hl=fr_FR&rel=0

Merci à François Grøssbåff pour la traduction ;-)

Chaque député et sénateur dépense comme bon lui semble l’indemnité représentative de frais de mandat, sans justificatif à fournir ni contrôle. Depuis avril 2010, aucun député n’ a eu le courage de déposer le projet de proposition de loi pour un contrôle des IRFM. Dans ce contexte, Bernard Accoyer, le président de l’ Assemblée nationale, a refusé de rencontrer les contribuables.

Sans le savoir, un analyste danois fait la même proposition que Contribuables Associés : remplacer le système actuel des IRFM, pervers et obscur, par celui des notes de frais, comme cela se fait aussi bien dans les entreprises privées qu’au Parlement britannique.

À la fin de chaque mois, le parlementaire transmettrait aux services financiers une note de frais accompagnée de tous les justificatifs des dépenses. Une dépense non justifiée au regard de l’exercice du mandat parlementaire serait rejetée par les services en question. Et les crédits non consommés par rapport au plafond seraient reversés à la trésorerie de chaque assemblée.

Source: http://tinyurl.com/2fn4g72

Trente ans d’émeutes urbaines…

Et l’on retrouve toujours les mêmes… Du moins, la relève. Dément. Si on avait attaqué le problème au départ, nous n’en serions pas là… Autre fait marquant: à l’apparition de ces émeutes, les forces de l’ordre faisaient leur boulot. Puis, petit à petit, ils on reçu des ordres… Dépassés par les évènements, nos autorités? Pas du tout. Faut pas provoquer les sous-merdes. Ils pourraient se fâcher; encore plus. La Légion, elle est où, au fait? Car la guerre civile ne fait que commencer…

FDF

Cette liste n’est pas exhaustive. C’est ce que nos gouvernants ont bien voulu laisser divulguer… Demandez aux vrais français durements touchés pas cette délinquance; ils en ont beaucoup plus à raconter…

************************************************************************* 

1981 : En juillet, le département du Rhône est le théâtre d’émeutes à Vénissieux, Villeurbanne et Vaulx-en-Velin.

1990 : Premiers affrontements violents à Vaulx-en-Velin, (Rhône), à la suite de la mort de Thomas Claudio, 21 ans, percuté par une voiture de police.

1994 : Le 27 juillet, affrontements dans le quartier des Sapins à Rouen, après le décès d’Ibrahim Sy, tué par un gendarme.

1997 : Le 17 décembre, Abdelkader Bouziane, 16 ans, est tué par des policiers à Fontainebleau. Des incidents éclatent entre jeunes et CRS à Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne), dans la cité de la plaine du Lys, d’où l’adolescent était originaire.

2001 : En octobre, deux jours de violences à Thonon-les-Bains (Haute-Savoie) après la mort accidentelle de quatre hommes voulant éviter un contrôle policier. En décembre, cinq nuits d’échauffourées à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), après le décès d’un jeune de Vitry tué dans le braquage d’une banque à Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis).

2005 : A partir du 27 octobre, des émeutes éclatent à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) puis dans le reste du pays, après la mort de deux adolescents qui s’étaient réfugiés dans un transformateur pour échapper à un contrôle policier.

2007 : Le 25 octobre, de violents incidents se produisent à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise) après la mort de deux jeunes de 15 et 16 ans renversés par une voiture de police. Ils s’étendent à cinq autres villes du département : Sarcelles, Cergy, Garges-lès-Gonesse, Ermont et Goussainville.

2008 : En juin, le meurtre d’un jeune de 20 ans tué par balles lors d’une rixe déclenche des affrontements à Vitry-le-François (Marne).

2010 : En juillet, vague de violences dans le quartier de la Villeneuve (Grenoble) après la mort de Karim Boudouba, 27 ans, lors d’échange de tirs avec la police à la suite d’un braquage de casino auquel il participait.

Etc…, etc…

Source: http://tinyurl.com/32qdutu

De Villiers: la délinquance, l’immigration: un goût de déjà vu…

En 2012: ne vous trompez pas de bulletin, cette fois…

 

.

Interview de Philippe de Villiers (2007) qui reflète bien que nos politiques sont conscients des problèmes de l’immigration et suivent les mêmes courants directeurs. Le problème est que rien de concret n’en ressort. Ahhhhhhhhh, les promesses… Il faudrait peut-être penser à appliquer toutes ces solutions. Mais une fois assis dans le fauteuil du pouvoir, plus rien, nada; les banlieues s’enflamment, la violence monte de façon très inquiètante, on construit des mosquées à tout va, on montre au grand jour la préférence non-nationale, etc… Vivement 2012, si on ne se trompe pas de bulletin de vote…

FDF

.

Lire: http://www.youtube.com/watch?v=hMPGUeUvh18

Les musulmans inquièts de la montée de la Droite populiste en Europe…

Il est bien évident que ça va freiner leurs ardeurs de conquête. La résistance voit le jour. Et ça, ils ne s’y attendaient pas… Mais je ne les pensais pas assez idiots pour croire qu’ils allaient pouvoir nous islamiser sans rencontrer un os quelque-part. Chez Oumma.com, encore eux, décidément très prolixes ces temps ci, on se pose bien des questions; qui dérapent bien évidemment sur l’idéologie nazie subie au siècle dernier… Les musulmans ont la mémoire courte, aussi. Hitler n’avait il pas copiné avec le Grand Mufti dans son projet d’éradiquer le peuple juif? A idéologie égale… Lisez leur billet qui suit.

FDF

.

La poussée d’une droite dite populiste à diverses élections, des Pays-Bas à la Suède, en Europe a ravivé le spectre du fascisme et de la seconde guerre mondiale. Ces parallèles sont toujours problématiques, notamment parce que la perspective de l’installation d’un pouvoir « de type nazi » dans un pays important d’Europe est largement fantasmatique.

Néanmoins, des parallèles peuvent être dressés avec la situation en Europe des années 1930 :

• crise économique et sociale profonde qui ébranle les fondements du système ;

• peur croissante à l’égard de l’immigration, qui mettrait en danger l’identité européenne.

• une différence notable : désormais, les immigrés menaçants ne sont plus juifs mais musulmans.

On peut, bien évidemment, minimiser le danger, affirmer que ces tendances restent très minoritaires. Ce serait oublier à quel point leurs thèses pénètrent la pensée dominante, sont reprises par les partis de droite comme de gauche. Le succès du livre écrit par Thilo Sarazin de la Banque centrale allemande et membre du Parti social-démocrate, (L’Allemagne s’autodétruit), (dont les critiques de l’islam et des musulmans sont approuvées par 60 % des Allemands), n’est qu’un témoignage parmi d’autres.

Sur ce thème, et les rapports qu’il entretient avec la perception du conflit israélo-palestinien, voici un extrait de mon ouvrage, De quoi la Palestine est-elle le nom ? (Les Liens qui libèrent, septembre 2010).

Alors qu’au début du XXe siècle les juifs étaient perçus comme une menace pour la civilisation européenne, à l’aube du XXIe siècle ce sont les musulmans qui les ont remplacés à cette place peu enviable de « boucs émissaires ». Et, depuis le 11 septembre 2001, la Palestine est souvent perçue comme étant l’un des champs de bataille du choc des civilisations qui opposerait le monde occidental à l’islamisme, au terrorisme islamique, voire à l’islam. Dans cette configuration, Israël retrouve la place, dont avait rêvé le fondateur du sionisme Theodor Herzl, celui de poste avancé de l’Occident contre les « barbares ».

La nouvelle droite radicale européenne, de Gert Wilders aux Pays-Bas à Oscar Freysinge r en Suisse, ne s’y trompe pas, elle qui a relégué l’antisémitisme au magasin des accessoires désuets. Freysinger, l’homme à l’origine de la « votation » sur l’interdiction de la construction de minarets en novembre 2009, s’explique : « Notre parti a toujours défendu Israël parce que nous sommes bien conscients que, si Israël disparaissait, nous perdrions notre avant-garde. (…) Aussi longtemps que les musulmans sont concentrés sur Israël, le combat n’est pas dur pour nous. Mais aussitôt qu’Israël aura disparu, ils viendront s’emparer de l’Occident. [1] »

Le philosémitisme déborde le cadre étroit de la droite radicale pour devenir l’opinion la plus répandue parmi les intellectuels européens, y compris de gauche. Ce phénomène a été analysé de manière roborative par deux Israéliens, l’un laïque, Yitzhak Laor, l’autre religieux, Ivan Segré [2]. Le philosémitisme, remarque Segré, est la pièce maîtresse d’« une opération idéologique d’envergure visant à imposer le mot d’ordre d’une “défense de l’Occident” », un terme qui, pourtant, avait été disqualifié à la suite de son usage par Hitler, puis par les militants de quelques groupes musclés en Europe, qui écumaient fièrement le Quartier latin dans les années 1960 et dont l’un s’intitulait précisément « Occident ». A l’heure même où la condamnation du nazisme semble unanime, le concept de « défense de l’Occident » retrouve une virginité inattendue.

Cette « opération idéologique » suppose d’abord d’identifier les juifs à l’Europe et de proclamer, comme une évidence, l’existence immémoriale d’une « civilisation judéo-chrétienne ». L’entreprise ne manque pas de piquant si l’on se rappelle que cette expression est née dans les années 1930, précisément pour contrer le discours hitlérien de défense de l’Occident et de la civilisation chrétienne contre les juifs. Le philosophe français catholique Jacques Maritain écrivit ainsi en 1942 que la tradition « judéo-chrétienne » était la source des valeurs occidentales.

Cette idée fondée sur de louables intentions continua à être utilisée, notamment aux Etats-Unis, pour affirmer les valeurs du « monde libre » contre l’Union soviétique athée. Pourtant, dès les années 1960, elle tomba en désuétude, les guerres de libération anticoloniales mettant à bas l’idée d’une lutte de civilisation dans laquelle le Nord représenterait le Bien [3]. Paradoxalement, c’est avec la chute du mur de Berlin que la notion de « civilisation judéo-chrétienne » a connu une nouvelle jeunesse avec une acception inédite : l’inclusion des juifs dans un Occident ressuscité au détriment des nouveaux parias, les musulmans.

Nul mieux que l’écrivain israélien Amos Oz n’a exprimé, à son corps défendant, cette posture a-historique d’identification du judaïsme à l’Europe. Dans un discours sur les années 1930 prononcé à Francfort en 2005, il expliquait :

« A l’époque, les trois quarts de l’Europe n’aspiraient qu’à se débarrasser définitivement de tous ces paneuropéens fervents, polyglottes, férus de poésie, convaincus de la supériorité morale de l’Europe, amateurs de danse et d’opéra, amoureux du patrimoine paneuropéen, rêvant d’une unité européenne post-nationale, prisant la courtoisie, les toilettes et les modes européennes, admirateurs inconditionnels d’une Europe que depuis des années (…) ils s’étaient évertués à amadouer, à enrichir dans tous les domaines et par tous les moyens, s’efforçant de s’intégrer, de l’attendrir en lui faisant une cour effrénée, de se faire aimer, accepter, de la satisfaire, d’en faire partie, d’être aimé. »

A cette invraisemblable distorsion des faits, Yitzhak Laor rétorque :

« Les Juifs assassinés en Europe n’étaient pas une nation d’“europhiles”. (…) Ils n’étaient pas “polyglottes, férus de poésie, convaincus de la supériorité morale de l’Europe, amateurs de danse et d’opéra”, etc. Un tel propos est une offense aux victimes du génocide, dont la majorité n’allait jamais à l’opéra ni ne lisait de poésie européenne. »

Amos Oz nie tout simplement l’altérité des victimes juives, qui ressemblaient bien plus aux travailleurs immigrés d’aujourd’hui qu’à des Européens « bien élevés », comme le révèlent les photos des ghettos est-européens, mais aussi les mesures de restrictions à l’immigration juive imposées par les gouvernements européens et celui des Etats-Unis dans le premier tiers du XXe siècle.

Ce rejet de l’idée d’une « civilisation judéo-chrétienne » remontant à des millénaires n’émane pas exclusivement de milieux laïques, mais aussi d’intellectuels religieux, et ce dès les années 1930. Plus tard, le grand philosophe Yeshayahou Leibowitz les rejoignit dans un texte célèbre publié en 1968 par le quotidien Haaretz, « Sur le prétendu “héritage judéo-chrétien commun” ». Plus récemment, analysant le discours de nombre d’intellectuels médiatiques français, de Bernard-Henri Lévy à Alexandre Adler, de Pierre-André Taguieff à Alain Finkielkraut, Ivan Segré dénonce la dissolution du judaïsme et de sa singularité dans le christianisme et l’Occident.

Car pour Segré, cette dissolution constitue le deuxième acte de l’« opération idéologique d’envergure » visant à imposer le mot d’ordre de « défense de l’Occident ». Alain Finkielkraut y apporte sa contribution : le philosophe prétend ainsi que l’Amérique représente « l’image inversée d’Auschwitz » et que « le souvenir d’Auschwitz » est devenu la loi morale de la conscience démocratique. S’opposer à la politique des Etats-Unis revient ainsi à faire preuve d’un antisémitisme plus ou moins honteux.

Parallèlement, on assiste à une relégation du génocide « loin de l’Europe ». Shlomo Sand, un historien israélien rendu célèbre par son essai Comment le peuple juif fut inventé (Fayard, 2008), avait publié auparavant un intéressant ouvrage, Le XXe siècle à l’écran [4] (Seuil, 2004), dans lequel il revenait sur Shoah (1985), le film de Claude Lanzmann. Outre que ce documentaire fut financé par le gouvernement israélien à travers une société écran, Sand note :

« Il posait une coupure totale entre le monde de la haute culture et la “solution finale”. Shoah repousse, en effet, le meurtre de masse dans les franges incultes de l’Europe. Tous les lieux physiques en relation avec l’Holocauste sont des bourgades polonaises, et les ruines des camps se situent également en Pologne », le film escamotant ainsi totalement le fait que « les décisions, l’organisation et la logistique de cette entreprise de mort émanèrent bien des centres de la haute culture allemande […] »

Une partie de la généalogie occidentale du génocide est ainsi délibérément occultée. Ni les massacres coloniaux, ni l’eugénisme, ni la brutalisation de la vie européenne avec la Première Guerre mondiale ne sont rappelés, car ils obligeraient à essayer de comprendre pourquoi la civilisation occidentale et sa « haute culture » ont engendré le nazisme – même s’il n’y avait aucune prédestination faisant du génocide des juifs « la vérité » de l’Occident.

Notes

[1] Cité par Olivier Moss in Patrick Haenni et Stéphane Lathion (dir.), Les Minarets de la discorde, Infolio, coll. « Religioscope », Paris 2009.

[2] Yitzhak Laor, Le Nouveau Philosémitisme européen, La Fabrique, 2007, et Ivan Segré, La Réaction philosémite, Lignes, 2009.

[3] Pour tout ce paragraphe, on lira la passionnante analyse de Mark Silk, « Notes on the Judeo-Christian Tradition in America », American Quarterly, Vol. 36, n° 1, printemps 1984.

[4] Shlomo Sand, Comment le peuple juif fut inventé, Fayard, Paris 2008, et Le XXe siècle à l’écran, Seuil, Paris, 2004.

Source: http://tinyurl.com/2wr4lmp

La formation d’un imam nous coûte entre 7 000 et 8 000 euros !

La dernière: l’Etat Français forme des imams; des prêcheurs de haine envers l’Occident, en fait. Ils sont destinés à être les « futurs cadres de l’islam de France ». L’invasion est bien réelle… Ce qui me met hors de moi, c’est que c’est nous, les souschiens, qui les payons. Faut déjà être maso, non? Mais comme ils ont la bénédiction de nos « Hautes Autorités » et que l’on nous demande jamais notre avis… Ils doivent bien se marrer, les muzz: être payés par ceux là même qu’ils ont ordre de faire disparaître… On ne va quand-même pas laisser passer ça, non?

FDF

.

A l’école des imams « à la Francaise »…

La Grande Mosquée et l’Institut catholique de Paris forment peu à peu les futurs cadres de l’islam de France voulu par les pouvoirs publics.

Le geste est ample, la voix est forte. Ils sont une quarantaine, hommes et femmes, à prendre des notes et à l’écouter. Camper à l’extrémité d’une immense table installée au centre de la bibliothèque de la Grande Mosquée, Djelloul Seddiki donne un cours sur l’histoire de l’islam. Il s’adresse à ses élèves, tantôt en arabe, tantôt en français. Sa mission : former les futurs cadres musulmans de l’Hexagone.

« Ici, on est sûr de produire un bon imam francophone ! Avant, nous n’avions pas cette certitude. La personne qui suit notre programme est imprégnée du Coran, mais aussi de la pensée française et occidentale que maîtrisent rarement les prêcheurs qui viennent de l’étranger », assure celui qui dirige l’institut de théologie al-Ghazâli, installé dans les murs de la Grande Mosquée de Paris. Il se dit convaincu que pour guider au mieux ses fidèles, « un imam en France doit aussi connaître Jean-Paul Sartre et Voltaire ».

« La laïcité, c’est une chance pour les musulmans »

En 2005, Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur, pose dans un livre qui fait grand bruit (*) la question de la formation des imams, invitant ses « compatriotes musulmans » à s’organiser dans le cadre de la laïcité et « à se montrer capables d’inventer un islam de France, un islam intégré à la culture européenne », en mesure de faire front aux courants les plus extrémistes de cette religion. Un an plus tard, répondant aux vœux du futur président de la République, la Grande Mosquée de Paris met en place un cursus universitaire unique en son genre : 800 heures de cours, réparties sur quatre ans, dédiés à la formation des aumôniers (devant travailler dans les prisons, les hôpitaux et les écoles) et à celle des ministres du culte musulman. Jusqu’alors, les imams qui officient sur le territoire français sont, pour la plupart d’entre eux, des étrangers, méconnaissants, dans des bien des cas, la société française, sa culture, ses principes juridiques, ses mœurs, voire sa langue. « La laïcité, c’est une chance pour les musulmans, c’est un espace où l’on peut respirer », estime le Dr Seddiki, ardent défenseur d’un islam à la française. Selon lui, « il faudrait former 200 imams par an », pour répondre aux besoins des 2.200 lieux de culte et de prières musulmans que compte la France.

Pour inculquer les fondements du droit français à ses élèves et perfectionner leur compréhension de notre culture, la Grande Mosquée travaille avec l’Institut catholique de Paris (surnommé, la «  Catho ») qui, lui aussi, participe à cette formation de cadres musulmans souhaitée par les pouvoirs publics. Un clergé « à la catholique » s’indigne encore aujourd’hui certaines organisations et associations musulmanes hostiles à ce projet sacrilège où, selon elles, « les curés enseignent aux imams ». « Nous ne demandons pas à l’Institut catholique de dispenser des cours de religion, mais de donner des cours de philosophie, d’histoire et de sociologie », se défend Djelloul Seddiki. En clair : la « Catho » s’occupe de la formation culturelle, La Mosquée de Paris, quant à elle, de l’enseignement théologique.

« Au départ, je suis venue pour apprendre le Coran et le droit musulman », explique Sonia, 37 ans, étudiante de 2e année à l’institut al-Ghazâli. Française, née en Algérie, mère d’un enfant, elle travaille dans une société qui s’occupe de l’organisation de salons professionnels et souhaite à présent devenir aumônier pénitentiaire. « Je suis sensible au problème des prisons où près de 65 % des détenus sont d’origine musulmane. Je veux aider cette jeunesse égarée, lui transmettre la sagesse de la loi coranique », confie la jeune femme, par ailleurs licenciée en psychologie.

Comment concilie-t-elle le Coran, qui, notamment, autorise la polygamie et le droit français qui, lui, l’interdit ? « Sur le plan légal, nous devons respecter les règles du pays dans lequel nous vivons. Par contre, sur le plan humain, j’observe que dans la société française beaucoup d’hommes ont des maîtresses et font quelquefois des enfants avec elles. Le président Mitterrand lui-même agissait de la sorte. Cela ne l’a pas empêché de devenir chef de l’Etat », relève Sonia, la tête recouverte d’une étoffe de couleur rose. A l’entendre : « Au lieu que les choses se passent dans l’hypocrisie, le Coran légalise, dans des conditions rigoureuses, ce qui en France reste dans l’ombre. La règle dans le droit musulman, c’est que l’on ne doit pas enlever à l’une ce que l’on donne à l’autre. »

Envisage-t-elle de suivre ensuite les cours des professeurs de l’Institut catholique ? « Oui, c’est très intéressant. Je suis musulmane mais je possède aussi l’héritage de Voltaire, de Rousseau, de la Révolution. Je suis française ! », répond, amusée, l’étudiante.

S’intégrer à la société française pour mieux guider les fidèles

« Mon boulot est de former des gens qui puissent être légitimes aux yeux des pouvoirs publics et donc à ceux de l’opinion publique », considère Olivier Bobineau, responsables de l’enseignement à l’Institut catholique de Paris. Il explique que, « beaucoup d’imams ne parlaient pas le français et se retrouvaient en décalage par rapport au pays et, surtout, par rapport aux croyants à qui ils avaient affaire au sein de la communauté musulmane. Le décalage existait aussi par rapport aux autres religions. Un prêtre, un pope, un pasteur, un rabbin, c’est en moyenne six à huit ans de formation universitaire sur le sol français ».

Bref, les ministres du culte musulmans n’étaient pas toujours au niveau de leurs « confrères » chrétiens et juifs. « Notre enseignement est centré sur les valeurs et l’histoire de la République, précise le sociologue. Je donne aussi un cours de rhétorique où je leur apprends à s’exprimer devant un auditoire, un maire, un préfet ou les médias. Je leur apprends aussi à serrer des mains, à s’asseoir, à regarder… »

Mais pourquoi des imams arrivant de l’étranger, échappant à toute forme d’autorité, et qui, le plus souvent, se sont autoproclamés, feraient-ils aujourd’hui le choix d’une formation mise en place par la Grande Mosquée et la « Catho » en concertation avec l’Etat français ? « Parce qu’avoir une légitimité légale est un plus pour ceux qui veulent prêcher, affirme Olivier Bobineau. La légitimité des imams étrangers qui fascinent les jeunes des banlieues par leurs prêches ne dure que quelques mois. Après, quand il s’agit de construire une mosquée, d’organiser un pèlerinage, de gérer les problèmes que posent l’abattage et la distribution de la viande halal, il est nécessaire de fréquenter les institutions françaises et les pouvoirs publics. Si on ne connaît rien aux codes juridiques français, on ne peut rien faire, on repart à l’étranger », conclut le sociologue.

La raison d’être de la formation est donc de permettre aux candidats à « l’imamat » de s’intégrer à la société française pour être en mesure, par la suite, de mieux guider leurs fidèles, de les aider à s’intégrer eux aussi. Qui la finance ? Du côté de la Grande Mosquée, les frais d’inscription sont modiques, 120 € par an. « C’est la Mosquée (financée elle-même à 60 % par l’Etat Algérien, NDLR) qui paie les professeurs », assure Djelloul Seddiki. « En ce qui concerne l’Institut catholique, les cours sont financés par l’Etat (4.500 € par étudiant) », indique pour sa part, Olivier Bobineau.

« D’autres organisations, comme l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), forment des cadres avec leurs fonds propres. Elles ne sont pas estampillées « ministère de l’Intérieur » et attirent de nombreux candidats », reconnaît un étudiant rencontré à la sortie des cours. « C’est vrai que quand on écoute les derniers discours ou les déclarations de Besson et d’Hortefeux sur l’immigration, on peut se poser des questions avant de se décider à franchir la porte de la Grande Mosquée ou celle de l’Institut catholique qui ont passé un accord avec ce gouvernement », juge t-il.

« L’important, c’est de jeter des ponts entre des milieux qui se défient ou se méprisent, tout simplement par ignorance, estime Olivier Bobineau. Aucun théologien n’intervient dans nos cours. Je m’y suis engagé auprès de l’Etat et des représentants musulmans. Tous nos professeurs viennent de l’enseignement public ou du CNRS », précise-t-il, pour bien souligner la différence qui existe entre « sa » formation, « proposée » et financée par les pouvoirs publics, et celles des organisations religieuses comme l’UOIF. « Mon souci, ajoute l’universitaire, c’est qu’au bout de quatre ans nous avons seulement 70 personnes qui ont obtenu notre diplôme universitaire. Il m’en reste encore 3.000 à former. »

(*) La République, les religions, l’espérance, de Nicolas Sarkozy, éd. du Cerf 2005.

En Chiffres

5 à 6 millions de musulmans vivent en France, on estime que 70 % sont nés dans le pays.
Le Conseil du culte musulman français (CFCM) a été créé en 2003.
La France compte près de 2.200 lieux de culte et de prières musulmans.
1.500 imams travailleraient en France, seulement 200 d’entre eux ont été formés « à la française », 700 seraient « autoproclamés ».
On compte seulement 120 aumôniers musulmans pénitentiaires pour une population carcérale de 64.000 personnes où 60 à 65 % des détenus sont d’origine musulmane.

La formation d’un imam coûte de 7.000 à 8.000 € à l’Etat!!!

Source: http://tinyurl.com/2b858k3

Résistance…

Il y a soixante dix ans, on résistait contre l »invasion nazie. En 2010, la résistance est toujours là. L’envahisseur n’est plus le même, quoique animé par la même fibre idéologique et violente. On nomme cette entité le nazislamisme. En 2010, nous avons aussi des collabos… On sait ce qu’il leur est arrivé en 1945 et après la reconquête… L’Histoire se répète souvent. Ils sont plus connus sous le nom de dhimmis, aujourd’hui; et Dieu sait si ils foisonnent…

Ci-dessous une affiche à remettre au goût du jour.

FDF

Tiens, c’est nouveau: l’école peine à intégrer les enfants d’immigrés…

  • Intégration; intégration. Encore faudrait il qu’ils aient envie de s’intégrer…
  • Je dirais régression, plutôt. Ce n’est pas nouveau: l’immigration n’a jamais contribué à revaloriser une nation. C’est tout le contraire qui se passe en France; comme dans tous les pays civilisés… On se demande pourquoi notre patrie dégringole... La volonté d’intégration voulue par certains de nos politiques s’est soldée par un échec retentissant. Nous sommes en train de le payer aujourd’hui. Et on ne peut plus faire marche arrière; quoi que…

  • FDF
    Les élèves issus de l'immigration représentent 57% des mineurs en Seine-Saint-Denis, 41% à Paris, ou encore 40% dans le Val-de-Marne et le Val d'Oise.
    Les élèves issus de l’immigration représentent 57% des mineurs en Seine-Saint-Denis, 41% à Paris, ou encore 40% dans le Val-de-Marne et le Val d’Oise. Crédits photo : STEPHANE DE SAKUTIN/AFP
  • Le Haut conseil à l’intégration estime, dans un rapport qu’il va remettre au premier ministre, que l’école peine à intégrer les enfants d’immigrés.

     

    L’école peine désormais à intégrer les enfants d’immigrés, affirme le Haut Conseil à l’intégration (HCI) dans un document de travail que Le Figaro présente ici et qui sera remis au gouvernement en novembre. Durant plusieurs mois, le HCI a rencontré des professionnels de l’Education nationale et s’inquiète de voir l’«espace scolaire fortement exposé aux tensions ethno-culturelles. (…) Elle est aujourd’hui le lieu de revendications nouvelles qui ressortent de l’expression du communautarisme, d’une identité religieuse, voire, au rejet de la culture et des valeurs de la République française».

    L’intégration par l’école «ne va plus de soi». Car les élèves d’origine étrangère se trouvent concentrés. Alors qu’ils représentent 20% de la jeunesse française, ils constituent 57% des mineurs en Seine-Saint-Denis, 41 % à Paris, 40% dans le Val-de-Marne et le Val d’Oise.

    «Cette surreprésentation dépasse les 60% dans vingt communes, pour l’essentiel en Ile-de-France. En 2005, en Seine-Saint-Denis, un jeune sur cinq est d’origine maghrébine et plus d’ un sur six est originaire d’Afrique subsaharienne. Cette concentration de jeunes issus de l’immigration est encore plus forte à l’échelon communal, et dans certaines villes comme Clichy-sous-Bois, Aubervilliers ou La Courneuve, les trois quart de la jeunesse est d’origine étrangère».

    Les cours d’histoire chahutés

    Les effets démographiques de l’immigration ne se font pas sentir qu’en région parisienne. C’est aussi le cas de l’ouest de la France dans des villes comme Angers ou Blois. Dans cette dernière, un tiers des jeunes est aujourd’hui d’origine immigrée, contre un sur vingt en 1968. Plus de 80% d’entre eux sont d’origine maghrébine, subsaharienne et turque. «Aussi, certains établissements scolaires accueillent une majorité d’élèves d’origine immigrée».

    Dans ces classes, les revendications identitaires sont fortes. Certains se disent «100% musulmans». Les cours d’histoire sont parfois chahutés lorsque l’on parle du Moyen Orient, de la Shoah ou de religion. Les sciences naturelles sont également contestées au profit d’une vision religieuse de la création. Cet «effet ghetto» nuit clairement à l’apprentissage. Les élèves d’origine étrangère pâtissent également de la précarité économique qui touche souvent leurs familles et du manque de diplômes de leurs parents, note le rapport. Les aides à la scolarité se sont multipliées : elles sont souvent utiles, mais mal coordonnées, selon le HCI, qui préconise l’entrée en maternelle obligatoire, afin d’équilibrer les chances scolaires. Aujourd’hui, certains enfants arrivent en primaire avec seulement 400 mots de vocabulaire, contre 1500 pour les enfants de cadres…

Source: http://tinyurl.com/29pmr4x

Avec la Gauche…

.

…vous aurez: A_gauche_toutes jacq

Et avec la Droite, on constate  ce que l’on a…

FDF

Non respect du ramadan. L’Algérie réprime violemment !

Tolérance…

Le premier qui ne respectera pas le Carême l’an prochain sera dénoncé au curé de la paroisse et sera entendu durant des heures en confession avant de subir les ultimes supplices… Pire encore: il devra se convertir à l’islam !!!

FDF

.

Lu sur: http://tinyurl.com/34gc2gg

Multiplication des procès pour non-respect du ramadan : l’inquiétude d’un collectif algérien

Dans un communiqué publié le 21 octobre, le collectif algérien SOS Libertés réagit à la condamnation à deux ans de prison d’un jeune algérien prévenu « d’atteinte aux préceptes de l’islam », pour n’avoir pas respecté le jeûne du ramadan. Le collectif se dit « vivement inquiet des dérives « talibanesques » récurrentes de la police ». Début octobre, un procès similaire avait débouché sur un non-lieu en Kabylie.

 

Le collectif algérien SOS Libertés réagit à la condamnation, lundi 18 octobre, d’un jeune algérien à deux ans de prison ferme et de 100 000 dinars (1 000 euros environ) d’amende pour n’avoir pas jeûné fin août durant le ramadan. Selon l’AFP, le groupe composé d’intellectuels s’insurge contre la multiplication de ce type de procès et presse le gouvernement algérien d’y mettre un terme. Le collectif se dit « vivement inquiet des dérives « talibanesques récurrentes » de la police transformée en police religieuse et de l’instrumentalisation de la Justice par l’idéologie de l’intolérance et de la régression ».

Fares Bouchouata, 27 ans, a été déféré devant la justice d’Oum El Bouaghi, à quelque 500 km au sud-est d’Alger, et a été condamné pour « atteinte à un précepte de l’islam », peut-on lire sur le site internet du quotidien algérien indépendant El-Watan, qui n’a pas précisé la religion du prévenu. Ce dernier a été surpris, fin août 2010, durant le ramadan, par une descente de police alors qu’il déjeunait avec des amis dans un lieu isolé du centre-ville de Aïn Beïda.
Il y a deux semaines, deux « déjeuneurs » étaitent relaxés

Pour le même cas, relève le quotidien algérien, le jugement diffère d’un tribunal à l’autre. Deux chrétiens non jeûneurs avaient été relaxés le 5 octobre, à Ain el Hammam dans l’est algérien, alors que le procureur avait requis trois ans de prison ferme. Un juge de ce tribunal kabyle avait prononcé un non-lieu car « aucun article de loi ne prévoit de poursuite » dans le cas de non-respect du jeûne durant le ramadan. Un autre procès est prévu le 8 novembre dans la région d’Akbou, en petite Kabylie, contre neuf musulmans non-jeûneurs.

« Sans base légale, ces poursuites pour délit de culte sont dictées par des motivations extrajudiciaires qui évoquent la pratique médiévale des procès de sorcellerie », peut-on lire dans le communiqué publié par SOS Libertés et repris par le quotidien El-Watan. « La liberté de conscience et de culte est garantie par la Constitution algérienne et par les pactes internationaux ratifiés par l’Algérie. Elle est synonyme du droit de chaque citoyen de pratiquer le culte de son choix, ou de ne pas pratiquer, qu’aucune autorité ne saurait remettre en cause sans se mettre hors la loi », souligne SOS Liberté, qui appelle à « une large mobilisation des partisans des libertés pour soutenir les victimes de l’arbitraire et résister aux assauts de l’inquisition ». Toujours selon l’AFP, le Premier ministre Ahmed Ouyahia a réagi, jeudi 21 octobre devant le Parlement, en réaffirmant que la liberté de culte sera « toujours garantie dans le respect de la loi » dans son pays où l’islam est religion d’État.

Appel à la tolérance au début du ramadan

À la veille du ramadan, mardi 10 août, SOS Libertés avait appelé, dans un communiqué et sur un blog, au respect des libertés de conscience. « Si, comme chaque année, l’État a pris des mesures pour faciliter l’observance de ce rite par les pratiquants, les non pratiquants risquent, une nouvelle fois, d’être la cible des forces de sécurité, transformées pour la circonstance en bras armé de l’inquisition », redoutait le collectif qui avait rappelé que, « ces dernières années, des « non-jeûneurs » pourtant discrets, ont été arrêtés et condamnés à de lourdes peines de prison ». SOS Libertés avait encore demandé aux autorités algériennes de « respecter les lois de la République, en mettant un terme au détournement des institutions au service d’une idéologie intolérante et liberticide ». Les signataires du communiqué avaient exigé que des lieux de consommation (cafés et restaurants) soient autorisés à ouvrir pour « répondre aux besoins de ceux qui, pratiquant une religion autre que l’islam ou n’en pratiquant aucune, ont choisi de ne pas jeûner ».