Francaisdefrance's Blog

22/10/2010

Réseau de call-girls maghrébines démantelé à Paris…

Et bien voilà un « tuyau » qui devait être connu par Bilal et ses potes…
FDF
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La « maquerelle » présumée recrutait des femmes principalement originaires du Maghreb.

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Une femme de 37 ans, soupçonnée d’être à la tête d’un réseau d’une dizaine de call-girls travaillant à Paris destiné à une « riche clientèle » du Proche-Orient, a été interpellée le 20 octobre, a annoncé la préfecture de police de Paris vendredi 22 octobre. Déjà connue des services de police pour les mêmes faits, cette femme « sévissait » depuis plusieurs mois « dans les beaux quartiers de la capitale« , a expliqué la préfecture de police.

Cette « maquerelle » présumée recrutait des femmes principalement originaires du Maghreb. Elle prélevait la moitié des sommes versées aux filles, dont la prestation s’élevait entre 800 et 1 500 euros, avec un « forfait week-end » entre 10 000 et 15 000 euros. Elle a été interpellée par la brigade de répression du proxénétisme.

Source: http://tinyurl.com/22rgm5f

Les cosmétiques, premières cibles du vol à l’étalage…

Surprenant, non?

FDF

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La France, ce pays marqué par la misère sociale où les soins de beauté, l’alcool et le tabac sont volés avant l’alimentation…

Source: http://tinyurl.com/39n2ywj

Ahmed B. à son ex-concubine:  » « Je vais me baigner dans ton sang » !

Il prend UN an, ce con! Menaces de mort, agressions, violences, récidive; et il ne prend qu’ UN an! Non, faut arrêter la connerie, là! J’ose espérer que l’ex-concubine choisira mieux son copain, cette fois…

FDF

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Ahmed Bouchiba, 26 ans, a comparu devant le tribunal correctionnel de Toulouse pour violences et menaces de mort sur son ex-concubine. Interpellé mi-septembre, le prévenu avait demandé un report pour préparer sa défense.

Ahmed n’acceptait pas la rupture. Récidiviste, il avait déjà été condamné par les tribunaux pour violences sur cette même concubine. Cette dernière avait fui la capitale pour s’installer à Toulouse. « Ahmed m’a poursuivi jusqu’ici. Il n’arrête pas de roder à côté de chez moi. Il épie chacun de mes gestes. Je n’arrête pas de le croiser ».

Violent, menaçant, il explose de rage à chaque rencontre. « Je vais me baigner dans ton sang. Je prie tous les jours pour qu’il ne t’arrive rien et pour que ce soit moi qui m’occupe de ton cas. Je vais te faire souffrir », lui a-t-il notamment promis. Les gestes étaient joints aux paroles.

« À plusieurs reprises, Ahmed m’a pris le bras et me l’a tordu. Excédé, il mettait des coups de pied dans la poussette de notre enfant ». La jeune femme se dit victime d’un véritable harcèlement « J’ai constamment peur de lui, qu’il débarque chez moi à tout moment. Encore une fois, je vais devoir déménager ».

Du côté des réquisitions, le procureur de la République qualifiait les faits de violences psychologiques au sein du couple, délit reconnu par la loi en juillet dernier. Le mécanisme des peines plancher s’appliquant, 3 ans étaient requis.

Le tribunal a condamné Ahmed Bouchiba à 2 ans de prison dont 1 avec sursis. Il est tenu de garder ses distances avec la victime.

Source: http://tinyurl.com/2ahpa2n

MAM ouvre les vannes de l’immigration algéro-musulmane !

Vous les reconnaissez ?

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La guerre d’Algérie n’est pas terminée, en fait. Nous avons encore en France des prisonniers. Et plein d’autres arrivent.

FDF

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Vous rentrez dans votre appartement et ô surprise, vous constatez une énorme inondation. Quel est votre premier réflexe ? Appeler les pompiers ? Non. Vous précipiter sur le seau et les serpillières pour éponger le sol ? Non. La première chose à faire, c’est évidemment de voir d’où vient la fuite et d’y mettre fin le plus tôt possible. Car il ne sert à rien à d’écoper l’eau si on ne coupe pas la source de l’inondation dont le débit est supérieur à celui de votre assèchement. Vous allez donc tout simplement, selon le cas, fermer le robinet de la salle de bain que quelqu’un a laissé ouvert, ou couper l’arrivée d’eau de l’appartement, ou rendre visite au voisin du dessus si la fuite provient du plafond, ou fermer la fenêtre par laquelle la pluie est entrée, etc. Et ensuite seulement, vous allez éponger vos sols et vos tapis. Puis vous préviendrez votre assurance et vous réparerez ou ferez réparer les dégâts des eaux.

Tout cela est évidemment très logique, et pourtant cette raison élémentaire échappe totalement à Michèle Alliot-Marie. A moins que notre actuel ministre de la Justice ne joue un double jeu au profit d’intérêts qui ne sont pas les nôtres ?

En effet, elle revient d’un voyage en Algérie, où elle a – entre autres – promis au président Abdelaziz Bouteflika de donner aux Algériens encore plus de privilèges – par rapport aux autres étrangers extra-européens – quant à leur immigration et leur séjour en France. Dans une interview au journal El-Watan, elle déclare : « L’accord conclu en 1968 entre la France et l’Algérie a déjà été amendé à trois reprises. Il prévoit pour les Algériens des avantages par rapport au droit commun. Or, le droit commun a tellement progressé que, sur certains points, le droit applicable aux Algériens, qui devait être plus avantageux, est en réalité moins favorable. Nous souhaitons que l’Algérie continue à bénéficier d’un régime spécial, plus favorable. La France est prête à ces avancées. »

Il est étrange qu’aucune association « antiraciste » ou que la Halde ne dénoncent pas cette « discrimination positive » en faveur des Algériens. Mais il y a bien plus grave : Michèle Alliot-Marie réouvre tout simplement les vannes de l’immigration algérienne et donc musulmane. Et en avant pour les visas !

Suite et source: http://tinyurl.com/2wcul2m

Actes « racistes » et « néo-nazis » en Alsace : Rappel d’une étonnante manipulation…


 

Octobre 2010 :

Plusieurs actes ciblant des cimetières et des biens de personnalités publiques juives et musulmanes ont été relevés récemment en Alsace, et tout particulièrement à Strasbourg, suscitant le cirque que l’on imagine du côté des élus, des « autorités morales », et bien entendu des medias qui s’en donnent à cœur joie. Pensez donc : deux cimetières juifs et deux carrés musulmans profanés, des tags de symboles nazis qui visent un camion de distribution de viande halal, la maison du maire socialiste de Strasbourg  Roland Ries, celle du maire de Schiltigheim Raphaël Nisand, président de la Licra et à ce titre, grand persécuteur de militants identitaires, celle de son frère Israël Nisand, gynécologue très médiatisé partisan de la gratuité de la pilule contraceptive pour les adolescentes, celle de Faruk Günaltay, activiste de la multiculturalité, etc… C’est, comme le relève la presse, « la mobilisation générale. Tout le monde est sur le pont ». Pendant que les pétitionnaires pétitionnent en désignant l’extrême-droite, les analystes tel le géographe Richard Kleinschmager analysent le sombre terreau alsacien, rappelant le « poids de l’histoire » en n’oubliant pas de relever « la douloureuse question des malgré-nous, ces 130.000 Alsaciens et Lorrains enrôlés de force dans l’armée allemande avec, parmi eux, quelques volontaires acquis aux idées du 3ème Reich ». Cette dernière précision est bien entendu vitale pour la compréhension des évènements contemporains, dont l’importance du vote d’extrême-droite en Alsace. Kleinschmagger va jusqu’à formuler cette forte pensée : « du fait de son histoire particulière, la région pourrait être une sorte de laboratoire obscur, le terrain d’exercice de fractions extrémistes ».

Mais les autorités ont décidé de réagir en prenant des mesures dignes de l’importance de l’enjeu : création d’une cellule spéciale de six enquêteurs, secondée par des patrouilles renforcées et des techniciens de la police scientifique et surtout « l’éducation des nouvelles générations (entendez le bourrage de crânes) » et, bien entendu « l’organisation de visites de collégiens au Struthof, camp de concentration nazi en Alsace » (qui fut utilisé à la fin de la guerre pour emprisonner les collaborateurs).

Retour sur mai 1957 en Alsace :

Que se passe-t-il en Alsace en ce début d’année 1957 ? Des croix gammées et des slogans à la gloire du Reich, revendiqués par une mystérieuse organisation « Union de combat pour une Allemagne indépendante », fleurissent partout. On imagine l’émotion et le chahut médiatique sur le thème : les nazis sont toujours menaçants. En mai 1957, l’épouse du Préfet Trémaud ouvre une boîte à cigares qui lui a été envoyée par la poste. La boîte explose, tuant celle-ci. L’attentat est revendiqué par cette pseudo organisation néo-nazie, suscitant de très vives réactions.

Il a fallu attendre la chute du mur de Berlin et l’ouverture des archives des services secrets tchécoslovaques, pour apprendre que toute l’opération avait été montée par les services tchèques qui agissaient pour le compte du KGB. Le but ? Envenimer les rapports franco-allemands en plein renouveau et empêcher le développement de l’intégration européenne naissante.

Depuis, nous avons connu Copernic et Carpentras, entre autres. Mais aujourd’hui, ce n’est plus le KGB qui se révèle responsable de ces mises en scène. Ce sont les dirigeants de l’Etat, avec la complicité de leurs services, relayés par tous les lobbys et leurs médias, qui portent la responsabilité de ces manipulations. Ces accusations frénétiques visant à culpabiliser les électeurs et sympathisants du camp national et identitaire doivent être dénoncées sans relâche.

A qui profite le crime, si ce n’est au Système et à ses spadassins qui ne reculent devant aucune forgerie, aucun mensonge pour imposer leur loi et  formater les esprits les plus jeunes et les plus faibles ?

Si l’Etat mettait le dixième de son énergie à rétablir l’ordre dans les banlieues et à combattre sans relâche les bandes ethniques qui y sèment la terreur, plutôt que de poursuivre des chimères grimées en nazis, les Français pourraient se sentir davantage en sécurité.

Robert Spieler
Ancien Député
Délégué général de la
Nouvelle Droite Populaire

Blog de Robert Spieler : http://robert-spieler.hautetfort.com/

Site de la NDP : www.nouvelledroitepopulaire.info

Synthèse nationale, l’information au quotidien : www.synthesenationale.com


Tombes profanées en Algérie. La honte…

En France, on n’a pas de rancune…

En France, un coup de pinceau sur une mosquée et c’est une catastrophe terroriste nationale… En Algérie, on profane des tombes de marins français et personne n’ose l’ouvrir… Surtout pas du coté français… Tout simplement ignoble. Et en outre, on nous provoque:

FDF

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Trois photos qui devraient nous permettre de réaliser que les morts restent toujours des victimes même aprés avoir été tués des dizaines d’années auparavant. Les marins de Mers el-Kébir qui furent victimes de l’intransigeance d’une autorité maritime fidèle à Pétain qui refusa de se rendre aux Antilles françaises ou dans les ports anglais. Winston Churchil refusait que cette flotte importante, fortement armée et réputée ne tombe entres les mains de l’Allemagne nazi. L’Angletterre subisait seule l’assaut allemand par les airs et refusait donc l’éventualité d’une invasion par les mers.

En conséquence, c’est 1297 marins français qui périrent dans le bombardement anglais contre la flotte française. Une catastrophe.


La catastrophe suivante c’est la façon dont l’Algérie traite les tombes des marins:



La troisième photo après des frais de réparations à la charge de la France et le retrait des croix qui gènaient sans doute les riverains du cimetière.


Alors qu’en France, une profanation d’une tombe musulmane provoque un tollé nationale et des regrets gouvernementaux, les tombes de nos marins sont profanés sans que personne ne réagisse! Ni les journalistes français, ni le gouvernement de Chirac à l’époque, ni la bien pensance et autres affidés de la gauche bobo.

Gérard Brazon

Source: http://tinyurl.com/2w8pd63

Humour à la Reiser…

J’ai pillé ce dessin. Horrible, non?

FDF

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C’est des marrants, ces muzz. Chez eux, le sexe est tabou, non?

Mais là, avec leur burqa, leur voile, leurs déguisements pour cacher leurs femmes afin qu’elles ne puissent pas provoquer le désir auprès d’autres hommes, ils ne se foutraient pas de nous, par hasard? Vive le sexe halal !!! Mais avec des préservatifs surtout pas haram… Au fait, le kamasutra coranifié, ça existe, ça? Oh, ça doit. Ah les cons! Enfin; du moment que c’est Allah qui le dit… Bientôt des « mosquées closes »… Vous verrez. Et si ça se trouve, ça existe déjà…

FDF

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Le sexe, best-seller insoupçonné des librairies musulmanes

El Diablo.

« Comment acquérir les faveurs de ton mari ? », « 57 procédés pour raffermir l’amour de ton mari », « Comment faire face au désir », « Recommandations d’une mère à sa fille à la veille de ses noces »… Non, ce ne sont pas les titres de la section « sexologie » de la Fnac, mais des ouvrages proposés par les libraires musulmanes de France.

La première chose qui frappe lorsqu’on pénètre dans une librairie islamique, c’est la place exorbitante prise par ces petits opuscules, au prix relativement modeste (entre 5 et 10 euros) qui traitent tous de la même chose : le sexe.

« Ce sont les ouvrages qui se vendent le mieux, confie cet imam marseillais qui tient l’une des plus grandes librairies musulmanes de la ville. Ils partent comme des petits pains. »

Muhamad al-Duwaysh, "Jeune frère, jeune sœur ! Comment faire face au désir", Al-ur Hadith éditions, 2006.En deux mots : dans l’univers musulman français, le sexe peut rapporter gros. Généralement édités en Belgique, ces livres sont des traductions d’ouvrages arabophones rédigés par des théologiens ou des juristes d’obédience salafiste, ce courant littéraliste né en Arabie Saoudite.

Mais, contrairement à une idée reçue, ces opuscules ne sont pas achetés exclusivement par des adeptes de cette mouvance, très minoritaire en France.

D’autres jeunes musulmans croient y trouver l’orthodoxie religieuse en matière de sexualité, de rapports hommes/femmes et de relations matrimoniales.

« Où est la fierté arabe et où l’esprit viril de l’Islam ? »

La lecture de cette littérature religieuse a de quoi effrayer, légitimant une interprétation machiste, homophobe et culpabilisante de la vie en société. Avec dénonciation radicale de la mixité, présentée comme le « mal suprême » des sociétés occidentales.

« La mixité entre femmes et hommes qui se divertissent est une erreur, ceci n’est pas permis. Comment la femme peut se mêler aux hommes et jouer avec eux et eux avec elle ? Où est la fierté arabe et où l’esprit viril de l’Islam ? […]

Ceci par Allah, n’est pas permis, ni du point de vue de la Loi islamique ni du point de vue de la virilité arabe », peut-on lire dans un recueil de Fatwas saoudiennes diffusé en français à plusieurs milliers d’exemplaires dans nos librairies islamiques.

Mahmûd Ibn Al-Jâmil, "L’Amour conjugal et le foyer bienheureux", éd. Almadina, 2006.Ces ouvrages consacrent la domination masculine sur le mode le plus trivial. Leur majorité prône l’équité de l’homme envers la femme, mais toujours pour célébrer la supériorité du sexe fort sur le « sexe doux » comme disent les savants.

L’homosexualité est unanimement dénoncée comme un signe majeur de la décadence occidentale. Et le sida en serait le châtiment divin :

« Dernièrement Allah éprouva ceux qui Lui ont désobéi par l’épidémie du sida qui s’est propagée et se propage encore à un rythme exponentiel.

Ainsi, ceux auxquels la maladie se transmet quotidiennement au niveau mondial atteignent le nombre de 10 000 personnes. […]

Il reste à savoir que 73 % des personnes atteintes de cette maladie sont homosexuelles. »

Le missionnaire, « la meilleure position »

Couverture du dernier numéro de Respect Mag

Au-delà du statut de « gardiens de la morale », les théologiens s’improvisent volontiers sexologues. Avec foule de détails sur les « bonnes » pratiques sexuelles au sein du couple musulman : préliminaires, position idéale (missionnaire), fellation, prohibition de la sodomie…

« La meilleure position que l’homme doit adopter pour aborder son épouse est de se mettre sur elle après l’avoir allongée sur le dos, après les préliminaires et les baisers. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle fut appelée “lit”, comme a dit le Prophète.

[A l’inverse], la plus mauvaise position est que la femme se met sur l’homme, c’est l’inverse de la position naturelle à laquelle Allah a prédisposé l’homme et la femme. »

S’il est très difficile de mesurer l’influence réelle de ce type de littérature, une chose est sûre : à trop la consulter, on risque de devenir schizophrènes. Ou, pire, obsédés sexuels !

Illustration : El Diablo.

Source: http://tinyurl.com/38vz9wk

Subventions : un habitant de cité sensible=12450 euros, un habitant classique=11,80 euros…

Le genre d’info qui me met hors de moi, et je ne suis pas le seul… Avouez qu’il y a de quoi. On achète la « paix sociale »… Mais uniquement vis à vis des cités et banlieues peuplées par qui vous savez. Vous défilez dans les rues car vous êtes mécontents de la nouvelle loi sur les retraites? On ne vous achète pas; au contraire, on vous « calme »; et d’une façon fort peu cordiale Surtout si vous n’êtes pas un « casseur ». Parce que un « casseur », ça vient des cités, pour casser…

FDF

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Nous nous souvenons tous du discours pseudo sécuritaire  de Sarkozy à Grenoble où celui-ci avait remis 75 millions d’euros pour calmer les jeunes musulmans. ET cela dans un quartier percevant 5,5 millions d’euros/an pour entretenir la casse, les associations multi ethniques et des infrastructures que nombre de villes gauloises de taille équivalente ne connaitront jamais.

Marianne2 nous explique que les émeutes sont liées à des problèmes sociaux et de ghettos

Il est bien évident que piller les magasins de sport, d’électronique ou de jeux démontrent que nous avons à faire à des affamés.

Voici un extrait assez révélateur de l’artcile de Marianne2

Enfin, et pour faire litière de l’idée d’un abandon des quartiers sensibles, le chercheur calcule le total des investissements publics par habitant. Le programme de réhabilitation dont bénéficie le quartier des Hautes-Noues prévoit une dotation de 12 450 euros par habitant tandis que le contrat de ville mis en place dans les quartiers de Verdun n’alloue que 11,80 euros par habitant. Les investissements publics étaient donc mille fois plus élevés dans le quartier sensible que dans les quartiers de Verdun pourtant socialement défavorisés

L’IMMIGRATION EST UNE CHANCE POUR NOTRE PAYS

Source:  http://patriotes-francais.fr/content/subventions-un-habitant-de-cit%C3%A9-sensible12450-euros-un-habitant-classique1180-euros

 

« Les intifadas à la française »… Ils aiment la France et les français, chez Oumma…

Relevé chez Oumma.com, site anti-français et anti-blancs de la plus belle eau… Vous remarquerez que sur la photo ci-dessus, on voit bien que ce ne sont pas des « jeunes issus de l’immigration » qui font preuve de violence. Ils vont dire, chez Oumma, que c’est un montage, non?
L’auteur des lignes qui suivent n’a même pas le courage de signer son texte. Ca vous étonne? Il peut me contacter via ce blog. Je suis prêt à en discuter, de la « stigmatisation » de ces pauvres « jeunes »…
FDF
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« Il est étonnant d’observer à quel point l’allégorie dominante, quasi obsessionnelle, qui imprègne l’inconscient collectif de nos faiseurs d’opinion, dépeint chaque soubresaut de la société française à travers des clefs d’interprétation aux influences venues d’ailleurs…

Qu’elle emprunte son symbolisme à la mafia ou au Proche-Orient, l’imagination n’est pas au pouvoir dès lors qu’il s’agit de décrypter la déconfiture des Tricolores au Mondial, ou de disserter sur le climat insurrectionnel qui règne en France suite au passage en force de la réforme des retraites, à moins que son indigence suspecte ne serve avec diligence les intérêts d’un pouvoir Sarkozyste en pleine dérive droitière.

La plume de l’éditorialiste Ivan Rioufol a couru sur la feuille blanche pour la noircir d’une encre intransigeante de procureur général, qui a puisé dans l’analogie incendiaire de « l’Intifada des jeunes palestiniens face aux forces israéliennes », la matière de son réquisitoire contre le coupable idéal, responsable des heurts de Lyon : la jeunesse de confession musulmane des banlieues, entre redoutables caïds « encapuchonnés » et rebelles indomptables de la République. Un sombre portrait qui ne laisse guère de place à la représentation plus radieuse d’une autre réalité…

« Ce qui s’observe chez ces voyous, c’est un refus de s’intégrer dans une société qu’ils rejettent culturellement” assène celui qui a perçu dans les récentes scènes de révolte, certes alarmantes et répréhensibles, un mimétisme calqué sur le conflit israélo-palestinien.

« Intifada, échec de l’intégration, fractures identitaires, guerillas urbaines« , l’impact des mots sont autant de violents jets de pierre qui meurtrissent et creusent des abîmes d’incompréhension et de haine entre les français. Mais cette offensive rhétorique là, qui joue insidieusement sur la métaphore palestinienne pour faire triompher une vision partiale du conflit dans notre pays, n’est-elle pas la plus pernicieuse des frondes ?

Si la République doit être garante de la paix sociale, elle doit aussi plus que jamais rassembler tous les français autour de valeurs humanistes bien mises à mal aujourd’hui, et inviter urgemment chacun, notamment ses intellectuels tentés par « l’Intifada » sémantique, à savoir raison garder. »

Source: http://tinyurl.com/37ce4yg

Rosny: la municipalité réagit à l’installation de Roms.

Il est certain que les Roms laissent souvent des traces de leur séjour…

Sans entrer à nouveau dans une polémique, force est de constater que où passent les Roms, les gens du coin s’en souviennent… A Rosny, la municipalité montre les dents. Qui l’en blâmera?

FDF

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Au printemps dernier, plus d’une centaine de Roms se sont installés sur le terrain de l’ancienne gare de marchandises pour le plus grand désagrément des riverains.

En effet, les nuisances de cette présence sauvage se sont immédiatement manifestées : intrusion dans les jardins, fouille et renversement des poubelles, problèmes d’hygiène, etc. Face à cette situation, la Ville a alerté les services de la Préfecture ainsi que le propriétaire de ce terrain.

Quelques semaines plus tard, après quelques rebondissements judiciaires, l’expulsion a été ordonnée par le juge des référés et effectuée par les forces de l’ordre, malgré le soutien aux Roms de quelques bobo-écolos-gauchos locaux (un chauve bien pensant avec des lunettes qui roule à bicyclette ça vous dit quelque chose peut être ?).

Cela montre la volonté de la Municipalité de ne pas céder au laxisme de certaines communes, qui, à cause d’une vision partisane de la question des Roms, laissent leurs administrés face à une dégradation objectivement insupportable de leurs conditions de vie.

Source: http://tinyurl.com/2vbn9dx

Associations de défense des Africains : 41 000 euros pour des emplois fictifs à Amiens !

Là, je dis BRAVO !!! C’est pas possible… Ben si. La préférence non-nationale bat son plein! De plus en plus pourries, ces associations à préférence non-nationale. Et l’on nous demande, à nous les souschiens, de nous serrer la ceinture?

FDF

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Une enveloppe de 41 000 euros d’argent public a été versée à la la Ligue des droits de l’Homme des Africains de France, une association d’Amiens suspectée d’emplois fictifs.

emplois fictifs subventionsUne enveloppe de fonds publics d’au moins 41 000 euros, correspondant à neuf contrats aidés a été versée à ce qui ressemble à un panier de crabes.

Voici le compte rendu de l’audition du président de la Ligue des droits de l’Homme des Africains de France devant le tribunal correctionnel:

« Vous vous nommez Vincent Dieudonné Gabriel K. et vous présidiez la Ligue des droits de l’Homme des Africains de France », énonce la présidente du tribunal. « Non, objecte le prévenu. Moi, c’est l’Association des droits de l’Homme des Africains de France. La Ligue, c’est mon cousin. »

« Et comment s’appelle ce cousin ? » Pas de chance, il se prénomme… Vincent Dieudonné. Au cas où ça ne serait pas assez embrouillé, le premier Vincent Dieudonné reconnaît qu’il a enregistré à son domicile l’association du second et lui a même ouvert un compte postal.

africains

Quand on commence à faire le tri, on découvre qu’il existait, de 2005 à 2007, à la même adresse, une nébuleuse d’associations loi 1901 se mêlant de protection des enfants africains, d’animation d’un club de foot, d’organisation de concerts ou de distribution d’aide alimentaire.

Et même une improbable « Association la ligue des droits de l’Homme des Africains de France et les femmes d’Afrique et de réfugiés politiques résident en France et les enfants victimes de la pauvreté et de la guerre », présidée par le second Vincent Dieudonné (le cousin) mais sise à l’adresse du premier Vincent Dieudonné (le prévenu).

Enveloppe de 41 000 euros d’argent public

Qu’a fait pendant deux ans l’Association des droits de l’Homme des Africains de France ? On ne voit jamais que la tenue d’un stand à Mégacité – le palais des congrès d’Amiens -, animé par un lecteur CD diffusant des airs africains, sauf à considérer comme partie intégrante de la défense des droits de l’Homme la pose de carrelage au domicile du président, comme le dénonce Me Bignan, avocate de la partie civile.

Plus embêtant pour ce père de quinze enfants, déjà condamné huit fois, notamment pour des escroqueries et abus de confiance : les neuf titulaires des contrats affirment n’avoir pas, ou peu, vu la couleur de l’argent. Plusieurs d’entre eux ont déjà gagné un procès aux prud’hommes.

Erreur judiciaire, évidemment, pour M. K., 64 ans, né au Congo. « Ils étaient payés tous les mois même s’ils ne faisaient rien », jure-t-il. Il concède manquer cruellement de preuves, puisqu’il les payait en liquide sans demander de reçus.

Les « salariés » disent au contraire qu’ils réclamaient leurs émoluments avant de s’entendre répondre que l’agence de service de paiement (l’organisme chargé de verser les fonds sur instruction de Pôle Emploi) était négligente.

Le CNASEA a eu la puce à l’oreille et a alerté l’inspection du travail. L’agent de cette dernière s’est frotté les yeux en découvrant les locaux de l’employeur des neuf salariés : la modeste habitation du couple Kazango (Madame est poursuivie pour recel). « J’avais quand même mis tout le salon à disposition de l’association », précise Vincent Dieudonné Gabriel.

L’inspection du travail a aussitôt demandé que plus un centime ne soit versé. Mais rien n’y a changé, pas même le faux grossier à en-tête de la direction du travail, que le prévenu nie avoir fabriqué puis envoyé. Les juges se donnent jusqu’au 23 novembre, soit cinq semaines pour y voir clair.

source:  www.courrier-picard.fr

Source: http://tinyurl.com/2wt48qk

Et si l’Europe venait à vivre ce qu’a connu le Kosovo?

Il est certain qu’au train où vont les choses, ça sort du domaine de la science-fiction…

Pillé à Pierre-Louis Hikoum

FDF

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Le Kosovo, analyse historique et sociologique.

Quantcast

Au hasard des réunions et colloques politiques où j’ai l’honneur d’être invité, j’ai rencontré un très jeune, mais déjà extrêmement brillant orateur, en la personne de Monsieur Arnaud Borella-Gouillon. Il est le Président de l’association Solidarité Kosovo qui vient en aide aux Serbes qui ont décidés de rester, envers et contre tout, sur ce sol qui les a vus naître et qui, à présent, ne leur appartient plus. Il a eu la gentillesse de m’expliquer l’histoire de cette terre et le processus qui a conduit un peuple à en être chassé alors qu’elle lui appartenait depuis des siècles.

Il a accepté que nous fassions une interview en deux parties, la première reprenant l’histoire du Kosovo, sur l’Islamisation de cette terre et, peu à peu de l’Europe, la seconde partie abordant plus spécifiquement l’Association Solidarité Kosovo, sa mission, ses objectifs, l’aide qu’elle apporte et l’aide que nous pouvons lui apporter.

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PLH – Arnaud, merci d’accepter de répondre à quelques questions.

Dans un premier temps, rappelez nous l’histoire qu’est celle du Kosovo, devenu un Etat contre l’avis de sa population historique.

ABG – Ce pays qui fut un empire sous le règne de Stefan Dušan au XIVème siècle était autant peuplé que l’Angleterre d’alors. Les édifices religieux florissaient sur tout le territoire et particulièrement au Kosovo-Métochie. Cette région du sud de la Serbie était le cœur de l’empire serbe, avec des résidences royales dans les villes de Novo Brdo ou de Prizren (qui était l’une des plus importantes zones d’échange des Balkans). Les Serbes, peuple de laboureurs, habitaient les plaines où ils cultivaient la terre, tandis que les Albanais, peuple d’éleveurs, habitaient les hauteurs et se livraient à l’art pastoral. Chacun à sa place, chacun à son rôle. L’interdépendance économique et le respect de l’espace de vie faisaient que ces deux populations avaient de bons rapports, sans qu’aucune guerre ou bataille ne les opposa.

Le Kosovo-Métochie était une terre de paix, de culture et d’art. Nul n’aurait pu penser alors que, dans un avenir pas si éloigné, leur descendance vivrait l’horreur des massacres et de l’exil. Le supplice de vivre prisonnier sur sa propre terre et de voir les édifices religieux, construits avec tant de peine et dans le souci du détail, dynamiter sans que personne ne s’en émeuve, représente à présent le quotidien de cette population…

… Suite et source: http://hikoum.wordpress.com/2010/10/21/le-kosovo-analyse-historique-et-sociologique-2/

«Nous vivons dans un océan musulman »…

Les Chrétiens du Moyen Orient ont intérêt à savoir nager… Et vite.

FDF

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Les chrétiens du Moyen-Orient en « océan musulman »

La coexistence des communautés chrétiennes et musulmanes, dans un climat marqué par la montée du fondamentalisme islamiste, a été au centre des échanges du Synode sur le Moyen-Orient

Vue d’Alep (Photo : Raymond DELDIQUE/CIRIC).

«Nous vivons dans un océan musulman » : ces jours-ci, dans les couloirs du Synode des évêques pour le Moyen-Orient, la métaphore géographique et maritime est de mise lorsque les évêques évoquent leurs relations avec l’islam. Océan plus ou moins tourmenté par les tensions politiques, voire les conflits armés, comme en Irak depuis 2003, où la cohésion est gravement mise à mal par les attentats dont sont victimes les chrétiens, entre autres.

Archevêque latin de Bagdad, Mgr Jean Benjamin Sleiman prolonge la métaphore. En Irak, la présence chrétienne forme des « îlots », dit-il avec le double souci d’éviter la dramatisation autant que l’angélisme. « Oui, il existe de nobles expériences de fraternité avec les musulmans, car beaucoup d’entre eux sont habités par un esprit de paix. Mais le problème, c’est que l’islam est la culture dominante. »

Voilà qui définit les contours – et les limites – du dialogue islamo-chrétien, lequel est souvent strictement inscrit dans le cadre des statuts réservés aux minorités.

«L’islam ne veut rien dire : il n’y a que des musulmans»

Mais de quel dialogue parle-t-on en réalité ? Mgr Sleiman se réfère à l’encyclique Ecclesiam suam de Paul VI, soulignant que « dialoguer, c’est aimer ». Il invite les uns et les autres « à ne pas pratiquer le double langage qui consiste à proclamer que nous sommes tous frères alors que nous considérons les musulmans comme des ennemis ». Et réciproquement, sans doute.

Dans cet esprit, bien des évêques en terre musulmane tiennent à rappeler que le dialogue théologique est impossible. Ils soulignent que la véritable rencontre entre les deux religions ne peut se faire qu’à hauteur d’hommes, en dépit des tensions dues au climat politique local. La distinction entre l’islam politique et l’islam « de la vie » est capitale à leurs yeux.

« L’islam, pour moi, cela ne veut rien dire…

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Les mensonges de Sétif…



 

Pourquoi falsifier l’histoire ? Elle fut suffisamment dramatique. Mais il fallait la rendre épouvantable pour pouvoir justifier ensuite la terreur du FLN.

 

 

Rachid Bouchareb, le réalisateur du film Hors-la- loi (qui a fait un flop sur les écrans français), a vu des centaines de tués allongés et alignés sur les trottoirs de Sétif ; il a vu des hommes tirer des balcons, des soldats français procéder à des exécutions sommaires ; il a même vu des miliciens faire feu avec des fusils de chasse sur des manifestants musulmans pacifistes et désarmés.

Cette vision “cinématographique” de la tragédie de Sétif, le 8 mai 1945, a déclenché des passions justifiées contre son film. Est-il excusable ? Né à Paris de parents algériens, et non en Algérie, huit ans après les faits, Rachid Bouchareb ne fait qu’épouser la version algérienne de l’histoire. Celle qui a été forgée pour que la France plie le genou de la repentance et du remords. Ici, la vérité historique importe peu : c’est d’une “reconstruction” qu’il s’agit.

Roger Vétillard n’est pas algérien, mais il est né à Sétif et  en 1945.

Il n’est ni journaliste ni historien mais médecin, un professionnel méticuleux et persévérant qui a voulu rassembler tout ce qui existait sur cette tragédie, laquelle l’a d’autant plus marqué qu’il devait y perdre deux cousins, avant que la guerre d’Algérie ne vienne bouleverser sa famille. Il a publié deux gros ouvrages sur le sujet et affirme, pièces à l’appui, que le « nombre de fausses informations qui circulent à propos des événements de mai 1945 est à peine imaginable». Il s’agit bien des « événements de mai 1945 » et non pas de la seule émeute de Sétif. Or on a lu tantôt que, “selon les autorités françaises”, ces événements auraient provoqué la mort de 15 000 Algériens, et tantôt de 45 000, selon les autorités algériennes… Les émeutes et la répression se sont déroulées du 8 au 22 mai 1945, soit durant quinze jours : l’armée, la police, la gendarmerie françaises, les milices armées ont-elles pu faire entre 1000 et 3000 tués par jour – c’est-à-dire dix ou vingt fois plus par jour que durant la guerre d’Algérie elle-même ?

Les archives existent, rapports de police, témoignages, comptes-rendus militaires, ordres échangés ; il y a même eu une thèse sur le sujet. Le service historique des armées a publié l’essentiel des pièces il y a déjà vingt ans. Roger Vétillard a repris dans son étude (parue en 2008) toute la matière disponible. L’historien Jean-Louis Planche a lui aussi cherché à reconstituer scrupuleusement la vérité.

Les drapeaux doivent être retirés, un policier tire…

Sétif est à l’époque une ville de 40 000 habitants située à 300 kilomètres à l’est d’Alger, dans le Constantinois. Le matin du 8 mai 1945, un cortège que l’on évaluera entre 4 000 et 8 000 manifestants, conduits par 200 scouts musulmans, se dirige vers le monument aux morts pour célébrer la victoire. C’est la raison pour laquelle, dans un pays qui est encore en état de siège, ce défilé est autorisé. Mais surgissent alors dans la foule des drapeaux algériens interdits, des banderoles nationalistes pour célébrer l’“Algérie indépendante”. Tout cela a été préparé. Le sous-préfet appelle la troupe pour dresser un barrage, mais ses hommes sont en petit nombre : les drapeaux doivent être retirés. Un policier tente de s’en emparer. « C’est le signal de la bagarre, écrit alors le général Henry Martin, qui commande le 19e corps d’armée à Alger. Des coups de feu éclatent ; les manifestants se répandent dans la ville, assaillant à coups de feu, de couteau ou de bâton, les Européens rencontrés. On entend : “Tuons les Européens”… »

Qui a tiré le premier ? Il semble bien que ce soit le policier, pour se dégager. En l’air ou à bout portant ? Un jeune manifestant tombe. Affolement. Des jeunes gens se mettent à attaquer le commissariat central. Puis c’est le déchaînement : jardiniers, commerçants, employés, colons, un directeur d’école, sont sauvagement agressés, atrocement mutilés. Le maire de la ville, socialiste nommé par les autorités de Vichy, est tué ; le chef de la section locale du parti communiste a les deux poignets tranchés. Le soir, on relève quatre morts parmi les émeutiers, mais vingt-huit parmi les Européens et quarante-sept blessés graves. À partir de ce moment, l’émeute s’étend dans tout le Constantinois.

Pour comprendre le déchaînement, ces événements doivent être situés dans le contexte du moment. L’Algérie compte alors trois départements français, soit six à sept millions d’“indigènes” musulmans et huit cent mille Européens. Alger a abrité le gouvernement provisoire du général de Gaulle, le pays a été bouleversé par les convulsions politiques qui ont déchiré les Français. Le 10 février 1943, influencé par le kémalisme, le panarabisme et la propagande allemande qui cherche à soulever les populations locales contre la tutelle française, Messali Hadj, créateur du Parti populaire algérien, lance un manifeste réclamant le pouvoir et l’indépendance. Un pharmacien de Sétif, précisément, Ferhat Abbas, se joint à lui. Pour calmer ces revendications, le général de Gaulle publie le 7 mars 1944 une ordonnance reconnaissant à tous les habitants d’Algérie l’égalité des droits, mais sans leur accorder la citoyenneté française et le droit de vote. « Trop tard », commente Ferhat Abbas.

L’agitation antifrançaise, alimentée par différentes sources, se développe. Quelques-uns des trente mille prisonniers allemands, internés – et oubliés – dans leurs prisons du Constantinois, parviennent à s’évader ; certains rejoignent les rangs des insurgés. Au moment où il le nomme en Algérie, au mois d’août 1944, le général de Gaulle donne au général Martin une consigne stricte : « Empêcher l’Afrique du Nord de glisser entre nos doigts pendant que nous libérons la France. »

Les événements étrangers précipitent les choses : le Japon humilie la France à Hanoi, le 9 mars 1945. La conférence des Nations unies qui s’ouvre le 25 avril à San Francisco fait miroiter leur indépendance aux peuples encore sous tutelle impériale. Une rébellion surgit en Syrie et au Liban, le Général doit y envoyer des renforts et bombarder Damas, avant de céder sous la pression britannique. « En Algérie, écrit-il dans ses Mémoires de guerre, un commencement d’insurrection, survenu dans le Constantinois et synchronisé avec les émeutes syriennes, a été étouffé par le gouverneur général Chataigneau. » Dès le 1er mai, des incidents ont en effet éclaté à Alger (la police a tiré), à Oran, à Mostaganem et ailleurs. On crie “À bas la France” et “À bas les juifs”. Les autorités redoutent la répétition de ces incidents au moment où l’Allemagne capitule ; la troupe est consignée.

Au lendemain de la terrible journée de Sétif, l’insurrection se répand. Elle éclate à Guelma, sous préfecture de 16 000 habitants dont 4 000 Européens. L’émeute dure cinq jours de suite. Au début, la police et la troupe ont tiré en l’air. Mais cela dégénère. “À bas de Gaulle ! À bas Churchill et les juifs !” Le jeune sous-préfet de Guelma, gaulliste musclé, héros de la Résistance, André Achiary, ne dispose pour maintenir l’ordre que d’un faible dispositif. Il décide de former des milices d’Européens armés. Et là se produisent des représailles et des exécutions sommaires.

Le 11 mai, les autorités d’Alger ont reçu un télégramme du général de Gaulle : « Veuillez affirmer publiquement la volonté de la France victorieuse de ne laisser porter aucune atteinte à la souveraineté française sur l’Algérie. Veuillez prendre toutes mesures nécessaires pour réprimer tous agissements antifrançais d’une minorité d’agitateurs. » Le commandement militaire estimera le nombre des insurgés à 40 000. « Dès l’annonce des premières révoltes, observe Roger Vétillard, les chars, l’aviation, dans une moindre mesure l’artillerie et, plus tard, la marine, participent à la remise en ordre du territoire. »

Conformément aux consignes reçues de Paris, la répression est sans pitié. Des villages situés autour de Sétif, Guelma et Kherrata, sont rasés. L’historien Jean Lacouture a également retenu que « des unités de troupes noires tuèrent et pillèrent pendant quarante-huit heures ». Ces différents faits nourrissent l’accusation des massacres. Ce qui ressort des archives militaires et des travaux de Vétillard en tempère non la réalité mais la dimension. Ainsi, de combien d’avions l’état-major dispose-t-il pour ses opérations ? De douze chasseurs et douze bombardiers légers. Combien effectuent-ils de missions d’assaut ? Vingt en quinze jours. La marine ? Un croiseur, le Duguay-Trouin, au large de Bougie. Le 10 mai, au plus fort de l’insurrection, il tire vingt-trois coups de 155 pour disperser des rassemblements des tribus insurgées.

Relevées en 1945, les pertes côté européen sont, selon les sources, de 102 à 113 victimes ; il y a deux fois plus de blessés. À cela s’ajoutent quelque 800 musulmans assassinés par les émeutiers pour leur francophilie. Côté musulman, le commandement militaire dénombre alors 2 628 tués ; le quotidien l’Humanité cite à l’époque le chiffre de 6 000. C’est la radio du Caire qui, la première, parlera de 45 000 victimes, bilan qui sera par la suite officialisé par le régime algérien. Plus on s’éloigne des événements, plus le chiffre gonfle : le 8 mai 2003, le quotidien officiel du parti gouvernemental, El Moudjahid, cite le chiffre de 100 000 ! Les corps ont-ils tous disparu dans la chaux vive ? Qui furent donc les responsables de cette répression ? Le gouverneur général de l’Algérie, Yves Chataigneau, était un gaulliste que les pieds-noirs avaient baptisé Mohammed en raison de ses sympathies musulmanes ; il agissait sous les ordres du ministre de l’Intérieur, le socialiste Adrien Tixier ; le ministre de l’Air, responsable des ordres donnés à l’armée de l’air, était le communiste Charles Tillon. « Le mouvement insurrectionnel, écrivit le gé néral Martin, n’a pas été l’oeuvre de fa méliques mais de fanatiques et de racistes. Le mouvement n’avait pas pour but initial la guerre sainte, mais cet argument fut employé par les meneurs pour décider la masse et la fanatiser…»

Était-il nécessaire de faire passer cette terrible répression pour de la barbarie, d’en gonfler jusqu’à l’absurde le nombre des victimes ? Sans doute le fallait-il pour excuser et justifier les massacres du FLN qui allaient commencer neuf années plus tard.

À lire
Sétif, mai 1945, massacres en Algérie, de Roger Vétillard, Éditions de Paris, 588 pages, 39 €.
Sétif 1945, histoire d’un massacre annoncé, de Jean-Louis Planche, Perrin, 422 pages, 22,90 €.
La Guerre d’Algérie par les documents, tome 1, collectif. Service historique de l’armée de terre, 550 pages, 49 €.

Article de François d’Orcival publié le 14 octobre 2010 Valeurs Actuelles

source : voxfnredekker

M.I.A. en burqa aux Scream Awards 2010 !

La chanteuse British d’origine tamoule M.I.A. s’attaque cette fois-ci au sujet sensible de la burqa en se pointant à la cérémonie des Scream Awards 2010 à Londres en burqa ne laissant apercevoir que ses yeux. Le morceau de tissu d’ordinaire noir et sinistre avait été pimpé par la chanteuse avec des imprimés furieusement années 80 ainsi que des paroles de sa dernière chanson XXXO dont le clip merveilleux est une ode aux captchas et à tout ce qu’il y a de plus kitsch sur internet en matière de GIF. 

M.I.A en burqa aux Scream Awards 2010 MIA burqa scream awards

On s’interroge encore sur les motivations de la chanteuse vis-à-vis de ce port de burqa. Moi même vivant maintenant dans le quartier indien de Londres, ultra musulman, je croise constamment des femmes en burqas intégrales, celles qui ne laissent apercevoir que les yeux. Je peux vous dire que ça fait drôle au début mais ici tout le monde à l’air de trouver ça normal. Les femmes sont d’ailleurs autorisées à travailler en burqa. Reste donc à savoir si le propos de M.I.A était de critiquer ce port systématique de la burqa au sein de la communauté indou britannique ou bien de le dédramatiser à grand coups de motifs funky ?

M.I.A en burqa aux Scream Awards 2010 MIA burqa scream awards 2Reste à demander la réponse à l’intéressée.

 

 

Source: http://www.madmoizelle.com/mia-burka-scream-awards-24333

Tiens??? Un prince saoudien condamné pour le meurtre de son amant !

Mais, les saoudiens sont musulmans, non?

FDF

Voir:

« Quand à la pratique de l’homosexualité, l’interdiction coranique est formelle. A travers le récit du peuple de Loth (5), maudit pour ses pratiques sexuelles immorales et décadentes.

74. Et Lot ! Nous lui avons apporté la capacité de juger et le savoir, et Nous l’avons sauvé de la cité où se commettaient les vices; ces gens étaient vraiment des gens du mal, des pervers.
Sourate 21 : AL-ANBIYA (LES PROPHÈTES) 

165. Accomplissez-vous l’acte charnel avec les mâles de ce monde ?
166. Et délaissez-vous les épouses que votre Seigneur a créées pour vous ? Mais vous n’êtes que des gens transgresseurs”.
167. Ils dirent : “Si tu ne cesses pas, Lot, tu seras certainement du nombre des expulsés”.

Sourate 26 : As-SHUARAA (LES POETES) »

Des images du prince saoudien en train de frapper sa victime trois semaines avant le meurtre dans un hôtel londonien.
Des images du prince saoudien en train de frapper sa victime trois semaines avant le meurtre dans un hôtel londonien. Crédits photo : HO/REUTERS

Saud Bin Abdulaziz Bin Nasir al Saud a été reconnu coupable du meurtre du serviteur qui partageait sa chambre, et son lit, dans un luxueux hôtel londonien.

Le prince saoudien Saud Bin Abdulaziz Bin Nasir al Saud.
Le prince saoudien Saud Bin Abdulaziz Bin Nasir al Saud. Crédits photo : HANDOUT/AFP

La sentence est tombée mercredi : perpétuité. Reconnu coupable, mardi, du meurtre de son serviteur le 15 février, le prince saoudien sera donc emprisonné à vie en Grande-Bretagne. Saud Bin Abdulaziz Bin Nasir al Saud, petit-fils par sa mère du roi Abdallah, âgé de 34 ans, était suspecté d’avoir tué à Londres Bandar Abdullah Abdulaziz, son domestique saoudien de 32 ans. Ce dernier avait été retrouvé dans sa chambre d’hôtel, étranglé, le corps couvert de bleus et de morsures au visage.

Après avoir tenté de faire jouer son immunité diplomatique, le prince n’a pas réussi à convaincre les enquêteurs de son innocence. Il expliquait que Bandar avait été agressé dans la rue trois semaines auparavant et qu’il était probablement mort de ces blessures. Un argumentaire fragile qui avait été balayé par l’autopsie. Les médecins légistes ont conclu à un décès causé conjointement par un étranglement et des coups violents portés à l’abdomen juste avant la mort. De plus, une caméra de vidéosurveillance avait filmé le riche Saoudien dans l’ascenseur de l’hôtel en train d’asséner lui-même ces coups à son domestique. Orphelin, adopté par une famille de serviteurs, Bandar était traité «comme un esclave» par son employeur, ont rapporté différents témoins au cours du procès. Une domination qui expliquerait pourquoi Bandar a été tué sans avoir opposé la moindre résistance.

Bandar Abdullah Abdulaziz a été roué de coup et étranglé par son employeur.
Bandar Abdullah Abdulaziz a été roué de coup et étranglé par son employeur. Crédits photo : HANDOUT/AFP

Devant les preuves accablantes, le prince a alors changé de tactique. Il a reconnu son implication dans la mort de son domestique et plaidé l’homicide involontaire. Toute son énergie a dès lors été consacrée à nier le caractère sexuel de ce crime afin d’éviter l’opprobre en Arabie Saoudite où l’homosexualité, considérée comme un péché mortel, est encore passible de la peine de mort. Un expert de la région chez Human Rights Watch explique d’ailleurs à la BBC qu’en marge du procès en Grande-Bretagne, un «conseil de famille sera tenu et que ses revenus (au moins 200.000 dollars annuels) seront probablement coupés» suite à cette affaire…

… Suite et source: http://tinyurl.com/2eyzk4u