Francaisdefrance's Blog

19/10/2010

Plaçons les personnes âgées dans les prisons et les racailles dans les foyers pour personnes âgées…

C’est en effet une excellente idée…

FDF

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De cette façon, nos vieillards auraient accès à une douche tous les jours, des loisirs, des marches, leurs médicaments, examens dentaires et médicaux réguliers et gratuits. Ils auront droit à des fauteuils roulants etc…
Ils recevraient de l’argent au lieu de payer pour leur hébergement. Ils auraient droit à une surveillance constante par vidéo donc, auraient de  l’assistance instantanément suite à une chute ou autre urgence. Leurs lits seraient lavés 2 fois semaine; leur linge lavé et repassé régulièrement.
Un gardien viendrait les voir toutes les 20 minutes et leur apporterait leur repas ainsi que leur collation directement à leur cellule. Ils auraient un endroit spécial pour recevoir leur famille. Ils auraient accès à une bibliothèque, salle d’exercice, thérapie physique et spirituelle ainsi que la piscine et même de l’éducation gratuite. Pyjamas, souliers, pantoufles et aide légal seraient gratuits sur demande.  Chambre privée et sécuritaire pour tous avec une aire d’exercice extérieur entouré d’un magnifique jardin.
Chaque vieillard aurait droit à un ordinateur, une télé, un radio ainsi que  des appels illimités. Il aurait un « conseil de directeurs » pour entendre les plaintes et les gardes auraient un code de conduite à respecter!
Les racailles, eux auraient des repas froids, ils seraient laissés seuls et sans surveillance. Les lumières seraient éteintes dès 20h00. Ils auraient droit à UN bain par semaine (et encore!), ils vivraient dans une petite chambre et payeraient au moins 2000€ par mois avec aucun espoir d’en sortir vivant !
Et alors, enfin il y aurait une justice pour tous!

Reçu par mail…

Echec de l’intégration : L’Europe ouvre les yeux; sauf Sarkozy !

Ceci rejoint mon billet précédent sur la montée en puissance soudaine des partis politiques qui ont encore le sens de la Patrie et de sa sauvegarde… Le Front National fait partie de ceux là. La France est représentée.

FDF

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Communiqué de Presse de Marine LE PEN, Vice-présidente exécutive du FN, Député Européen :

Relayant les inquiétudes d’une majorité d’Allemands, la chancelière chrétienne-démocrate, Angela Merkel, a admis l’échec de la politique d’intégration et les difficultés posées par une immigration massive et anarchique.

Au moment où la plupart des pays européens ouvrent les yeux sur les conséquences néfastes d’une submersion migratoire, Nicolas Sarkozy s’enferre dans sa politique immigrationniste, envoyant à Alger, Michèle Alliot-Marie, garde des Sceaux, pour négocier l’élargissement des conditions d’octroi de visas pour les Algériens !

Cette fuite en avant dans le tout immigration est à la fois irresponsable et injustifiable.

Irresponsable, parce qu’elle condamne la France à devenir le réceptacle d’une immigration extra-européenne toujours plus imposante alors que notre pays compte déjà plusieurs millions d’étrangers et demeure la première destination des migrants en Europe.

Injustifiable parce qu’on ne continue pas à accueillir 400 000 étrangers par an quand la France compte 5 millions de chômeurs, 8 millions de Français vivant sous le seuil de pauvreté et des finances publiques dans le rouge.

Marine Le Pen, Vice-Présidente du Front National en appelle à la raison et demande à Nicolas Sarkozy de prononcer un moratoire total et immédiat sur l’immigration.

A l’heure où nos voisins européens prennent conscience de la nécessité de changer de politique, il est plus que temps de dire la vérité aux Français, à savoir que la France n’a plus les moyens d’assumer le poids financier et le traitement social d’une immigration légale ou clandestine.

Source: http://tinyurl.com/2ctfcor

« On ne peut pas plaire à tout le monde »… Preuve que la vérité blesse…

Lu sur un site anti-national… Qui défend l’islam face à cette réaction politique légitime des pays européens qui souhaitent ardemment le rester et ne pas tomber aux mains de la « religion » d’amour, de paix et de tolérance qui ne peut vivre sans violence, extrêmisme et qui est plus raciste qu’on ne pourrait le penser. L’auteur des lignes qui suivent n’a pas du lire le « saint » coran… Ou vient de se convertir. Et si ce n’est pas le cas, je l’invite à le faire. Au moins, ses écrits ne laisseront plus d’équivoque…

FDF

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En Europe, les thèses islamophobes offrent une nouvelle tribune à l’extrême droite.

 

Le politicien flamand d’extrême droite Geert Wilders, leader du parti de la Liberté (Partij voor de Vrijheid), délivre un discours au parlement néerlandais de la Hague le 7 septembre 2010.
Photo : Keystone (EPA/Valérie Kuypers)

Derrière des appellations bienveillantes se cachent des partis aux thèses racistes et xénophobes, qui tiennent un discours identitaire propre à la vieille Europe nationaliste.

En Angleterre, c’est la Ligue de défense anglaise (EDL) ou le Parti national britannique (BPN), en Suède se sont « les Démocrates suédois », en Hollande le Parti pour la Liberté (PVV), imité désormais en Allemagne, tandis qu’en Italie, Mario Borghezio dirige la Ligue du Nord.

Aujourd’hui la fronde est lancée contre l’Islam et elle se radicalise. Ceux qui ont peur que l’Etat de droit cède devant la surpopulation musulmane presse ce dernier de se radicaliser avant qu’il ne soit trop tard. Mais à force de prendre des exemples provenant du Pakistan ou d’Arabie saoudite pour parler de l’Islam, certains ne sont-ils pas en train de crier au loup trop vite?

Et surtout, que devient la majorité de la population, dont les musulmans modérés intégrés et nationalisés? On a beaucoup parlé de moutons noirs, mais on oublie le loup dans la bergerie. Comme le souligne le documentaire « Europe, l’ascenseur pour les fachos », réalisé par Barbara Conforti et Stéphane Lepetit (France / 2008), dont voici un extrait, il y a des raisons de se faire du souci quant à la remontée des extrêmes droites en Europe.

http://www.dailymotion.com/swf/video/x8o8s7_europe-ascenseur-pour-les-fachos-pa_news?additionalInfos=0
Europe : Ascenseur pour les fachos part 1
envoyé par kigzz. – Regardez les dernières vidéos d’actu.

Un mouvement de solidarité entre les extrêmes droite

Quand on évoque ce sujet, il faut savoir raison garder. D’ailleurs, tout le monde vous le dira, on ne fait pas d’affaire avec des gens trop impulsifs. C’est ce qui a poussé de nombreux partis d’extrême droite en Europe à faire peau neuve et à s’acheter une réputation à partir des années 90. Finies la baston et les manifs, place au costard et à la politesse.

Geert Wilders, showman à la chevelure teintée en blond, ce qui lui a valu le surnom de Mozart, tient en ce moment le haut de l’affiche politique en Hollande mais également dans le gotha international de l’extrême droite européenne. Auréolé de son succès, il fait le tour des partis nationalistes européens avec pour credo toujours le même leitmotiv: « Stop à l’immigration! » et en particulier celle des musulmans.

Le premier week-end d’octobre, il était à Berlin pour encourager la fondation du parti « La liberté » sous la houlette de René Stadtkewitz, ancien parlementaire de la CDU proscrit depuis. Dans son discours, Geert Wilders a mis en avant la nécessité pour l’Allemagne de se doter d’un mouvement politique pour défendre l’identité germanique et pour s’opposer à l’islamisation de l’Allemagne: « mes amis, nous ne devons pas accepter l’inacceptable en tant qu’inévitable sans tenter d’inverser la tendance. C’est notre devoir en tant que politiciens de préserver nos nations pour nos enfants. J’espère que le mouvement de René sera un succès autant que le mien le Parti pour la Liberté (PVV), que l’UDC d’Oskar Freysinger en Suisse, que le Parti du peuple danois (Pia Kjaersgaard’s Dansk Folkeparti) au Danemark, et tout mouvement similaire partout ailleurs ».

Wilders s’engouffre ainsi dans l’incertitude des temps modernes et promet de rétablir l’équilibre et le sentiment de sécurité. Mais l’équilibre entre quoi et quoi au juste? Les races?

Geert Wilders est poursuivi par le Tribunal d’Amsterdam pour incitation à la haine raciale et à la discrimination envers les musulmans, à cause de son documentaire Fitna, qui signifie en arabe «révolte, sédition ou émeute». Ce court-métrage datant de 2008 présente une interprétation personnelle de l’Islam basée sur des images de fondamentalistes islamistes et des extraits du Coran que Wilders a sélectionné.

Surtout, le film place les rapports entre occident et Islam sous le signe de la confrontation idéologique. Le populiste néerlandais compare la religion musulmane au nazisme et au communisme, ce faisant, l’image de l’Islam est réduite aux plus extrémistes d’entre eux. Pas besoin de rappeler que la Bible comporte également des passages très durs, si on les interprète stricto sensu. Que des intégristes soient présents dans toutes les religions, c’est une évidence. Mais pour quelles raisons est-il possible d’en faire la nuance dans notre propre religion et d’ignorer ce principe lorsqu’il s’agit de l’Islam?

Source: http://tinyurl.com/34ovvtv

Ces drôles d’élèves qui manifestent à Cannes…

Barrez-vous, cassez-vous !!!

Bon, cette fois, les sous-merdes, vous planquez vos drapeaux, vos tee-shirts et autre signes distinctifs provocateurs pour nous autres, français de souche. Si vous n’êtes pas bien en France, vous dégagez et retournez dans vos bleds respectifs. Il est certain que là-bas, vous n’y pourriez pas faire le dixième de ce que vous faites sur NOTRE territoire de France… Vous y êtes indésirables, c’est certain. Sachez que vous y est aussi chez nous, idésirables.. En France, on n’aime pas les profiteurs et les semeurs de merde. Alors, laissez NOS étudiants manifester en paix et arrêtez votre travail de sape. On ne vous a rien demandé, vous n’êtes pas concernés par ces manifs car vous vivez essentiellement de NOS aides sociales et autres trafics d’armes ou de drogue. Vous voulez profiter de la situation pour « casser du flic », brûler des voitures et autres distractions qui vous font croire que vous êtes des « durs » et en faire subir les conséquences à nos étudiants? Allez-y. Mais sachez, bandes de cons, qu’il existe un raticide qui est de plus en plus puissant, chez nous, en terre de France: il se nomme RESISTANCE. Vous venez en outre d’outrager notre Patrie avec vos étendards de haine accroché à un monument dédié à nos morts tombés pour leur pays à Cannes. Ca, les gars, c’était l’erreur à ne pas faire. Commencez à raser les murs… C’est un conseil. On a les photos; vos tronches et vos allures de chimpanzés sont reconnaissables à des kilomètres; vous n’avez pas peur de la Police, soi-disant? Vous allez avoir peur d’autre chose, croyez moi… Et la peur, elle va changer de camp; soyez-en sûrs…

FDF

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A Cannes, les “élèves” manifestent !

Ce vendredi 15 octobre 2010, les élèves des lycées cannois se sont rassemblés et ont fait le tour des entrées de ces mêmes lycées. Manifestation à la base contre la réforme des retraites, mais à la vue de ceux qui ont défilé l’on peut se demander quel était le but de ce rassemblement. Les drapeaux du Maghreb (Tunisie, Maroc, Algérie) étaient présents, au milieu des bandes ethniques. Les “organisateurs” (pas très organisés soit dit en passant) et vite débordés n’ont pu contrôler ces bandes, venues pour une unique et même raison : afficher leurs couleurs. Aucune banderole, tout comme aucun slogan sur les retraites, seuls des “La jeunesse est dans la rue, Sarko t’es foutu” , “Sarko on t’encule” puis le fameux “One Two Three Viva Algérie”, et les insultes fusaient, “Nique la police”, face à l’important dispositif policier mis en place. A noter : un policier a été blessé par un jet de pierre.

Afin de voir des photos plus éloquentes de la foule entourant le drapeau tunisien, ou encore la première ligne avec le drapeau marocain : vous pouvez vous rendre sur le site de Nice-Matin à cette adresse : http://www.nicematin.com/diaporama/la-manifestation-lyceenne-a-cannes?idx=4#top-diapo

D’après: http://recounquista.com/

Bonus:

Vous êtes toujours là
A rôder comme des rats
Toujours à trafiquer
A rien faire, à traîner
Vous polluez la France
Et c’est qui, qui finance ?
Chômedu et RMI
Ça sort d’la poche à qui ?

De la poche à Ducon
Et Ducon il en a marre
D’entretenir les p’tits cons
De payer leurs pétards

Barrez-vous, cassez-vous
Retournez donc chez vous
Vous foutez la pagaille
Il n’y a plus de travail
Barrez-vous, cassez-vous
On a déjà donné
Du balai, du balai
La France est aux Français
Aux Français !

Où est passé Paris ?
C’est Casa, Djibouti
Y a plus que des métèques
D’la Roquette à Barbès
Maintenant ça suffit
Maintenant y en a marre
Vous engrossez nos filles
Et faites des bâtards

Il n’y a plus de Français
Et on n’est plus chez nous
Ca commence à bien faire
Là vous nous pompez l’air

Barrez-vous, cassez-vous
Retournez donc chez vous
Vous foutez la pagaille
Il n’y a plus de travail
Barrez-vous, cassez-vous
On a déjà donné
Du balai, du balai
La France est aux Français

Barrez-vous, cassez-vous
Retournez donc chez vous
On a déjà donné
Du balai, du balai

Ah ! Si on avait su
On est toujours trop bon
C’est fini moi j’donne plus
Barrez-vous, petits cons !

Chanson de  Claude Barzotti

Manifestations: 4 policiers blessés à Lorient !!!

Décodage: remplacez le mot « jeunes » par « racailles-sous-merdes cagoulées issues de l’immigration »

FDF

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Les incidents se poursuivent à Lyon, à Nanterre, à Paris… 1.158 personnes ont été interpellées en une semaine.

Lundi, de nombreux incidents ont éclaté en marge des mobilisations lycéennes.

Mardi, le nombre d’incidents semble monter d’un cran. Le ministère de l’Intérieur a dénombré près de 163 interpellations à la mi-journée.

Au total, sur une semaine, près de 1.158 personnes ont été interpellées, toujours selon le ministère.

Plusieurs grandes villes de France ont été concernées par les mobilisations lycéennes mardi, notamment Nanterre, Evry, Saint-Denis, Lille, Mulhouse, Clermont-Ferrand…

A Paris, dans le 15 éme arrondissement, une jeune fille a été blessée après l’explosion d’un scooter suite à un feu de poubelle près d’une école élémentaire et d’un lycée technique. La victime a dû être hospitalisée. « C’est un lycéen qui a mis le feu à des poubelles. La police a des indices, il devrait être arrêté dans la journée », rapporte le maire UMP.

Selon 20 Minutes, sont hospitalisation s’est bien passée. La jeune fille va bien.

Les forces de l’ordre ont procédé à 110 interpellations, dont 81 gardes à vue mardi, à Paris et dans la petite couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne).

A Corbeil-Essonnes
en Essonne, des incidents ont eu lieu en marge des manifestations lycéennes. Une soixantaine de jeunes de la cité des Tartêrets ont rejoint 250 lycéens qui manifestaient. La voiture du commissariat a été retrounée et des objets ont été volés.

Un policier aurait été blessé en marge de la mobilisation.

A Évry en Essonne, deux policiers auraient été blessés lors d’affrontements avec des manifestaants.

A Savigny-sur-Orge
toujours en Essonne, des lycéens auraient, eux-mêmes, dégradé du mobilier urbain, provoquant une intervention des forces de l’ordre.


A Nanterre
dans les Hauts-de-Seine, le lycée Joliot-Curie est toujours bloqué par plus de 200 lycéens.

De nouveaux affrontements ont eu lieux entre CRS et des jeunes extérieurs au lycée, indique Le Point.fr.

Regardez ces images de ITélé :

Les policiers ont fait usage de gaz lacrymogènes et de Flash-Ball pour dissiper les jeunes qui leurs lançaient des pierres et autres projectiles, rapporte L’Express.

Les lycéens de Nanterre indique qu’il vont rejoindre le cortège place d’Italie, précise I Télé.

« J’ai pourtant essayé de calmer le jeu lundi, une réunion a été organisée à la mairie avec les élus, des parents d’élèves, des lycéens, des professeurs. J’ai donc décidé de fermer le lycée mardi matin, pour éviter que les actions de provocations policières soient portées », explique le proviseur du lycée Joliot-Curie sur I Télé.

« Ce sont des casseurs, extérieurs au lycée qui viennent semer le trouble. Ils ne sont pas là dans le cadre d’une manifestation lycéenne contre la réforme des retraites », déplore le proviseur du lycée.

Une nouvelle voiture aurait été brûlée, des vitres brisés, précise encore ITélé.

Le tribunal de Nanterre a été endommagé par une quarantaine de jeunes.

Voici une vidéo qui revient sur les affrontements de mardi matin à Nanterre.

(Source : I Télé – Montage Fred-Lille)

A Lyon, dans le Rhône les affrontements entre les forces de l’ordre et les jeunes se poursuivent également. Un policier a été blessé à la jambe. Un photographe a été blessé par un jet de bouteille au visage.

Regardez ces images de TF1 :

Une trentaine de voitures ont été renversées, dont cinq brûlées.

On constate plusieurs pares-brises brisés, des feux de poubelles, des abribus détruits, des vitrines de magasins brisées… Deux magasins – une bijouetrie et une boutique de vêtements – ont été pillés.

Déjà 13 personnes ont été interpellées, mardi matin, suite aux incidents en marge des manifestations.

Sur le réseau de micro-blogging Twitter, un photographe, en direct de Lyon, parle d’un véritable champ de bataille.

Le sénateur-maire de Lyon, Gérard Collob en appelle au calme via son compte Twitter. « La situation se dégrade. Un peu partout des incidents se produisent. Je condamne ces débordements et en appelle au calme », rapporte 20 Minutes.

La ville avait déjà été le théâtre de violences lundi et la semaine dernière.

Au regard de l’ampleur des événements, le maire de Lyon a décidé d’écourter son voyage en Chine pour apaiser les tensions et appeler au calme, indique 20 Minutes.

Débordemant dans les manifestations lycéennes à Lyon, le 18 octobre.

Débordemant dans les manifestations lycéennes à Lyon, le 18 octobre.

Par mesure de sécurité, plusieurs lycées de toutes la France ont préféré fermé leur porte, notamment à Tourcoing dans le Nord.

A Mulhouse, dans le Haut-Rhin, 500 à 600 lycéens et étudiants dégradé des voitures et brisé des vitrines, a constaté un journaliste de Reuters. La police a procédé à plusieurs interpellations, rapporte Le Point.fr.

Lorient dans le Morbihan, quatre policiers ont été blessé et deux personnes ont été interpellées suite à des affrontements entre jeunes et CRS.

 

Sources : Le Point.fr, L’Express, I Télé, 20 Minutes, Le Progrès, Le Figaro.fr, Europe 1, Europe 1

Par La rédaction du Post

voir les vidéos sur http://www.lepost.fr/article/2010/10/19/2272293_incidents-en-marge-des-manifestations-lyceennes-ca-continue-a-nanterre.html

Le commentaire du jour est de…

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…sabrinabooubou

Commentaire que j’ai reçu cet après midi… En voici le contenu entier:

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Un nouveau commentaire sur l’article « Bientôt le halal d’Etat? » attend votre approbation
https://francaisdefrance.wordpress.com/2010/09/17/bientot-le-halal-detat/
Auteur : nini (IP : 82.226.102.138 , pas38-3-82-226-102-138.fbx.proxad.net)
E-mail   : sabrinabooubou@yahoo.fr
Adresse :
Whois    : http://ws.arin.net/cgi-bin/whois.pl?queryinput=82.226.102.138
Commentaire :

chretien de merde boufeur de porc niqueu r par le cul bande de sale chretien de mort

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C’est qui, les racistes???

FDF

Les tribunaux islamiques de Grande-Bretagne légitiment les viols !

J’y crois pas…

Notre devoir est de résister à cet « enrichissement culturel »… Quelle bande de tarés! Ce Cheikh Maulana Abu Sayeed est vraiment un pauvre con lobotomisé…

FDF

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Saviez vous qu’en Angleterre, avec la prolifération des tribunaux islamiques qui sont devenus légaux, l’enrichissement culturel s’accélère.  Comme chacun sait l’islam c’est le progrès, la finesse, …

Un haut dignitaire religieux musulman qui dirige le plus grand réseau des tribunaux britanniques de la charia a déclenché une controverse en déclarant que le viol au sein du mariage n’existait pas.

Cheikh Maulana Abu Sayeed, président du Conseil islamique de la charia en Grande-Bretagne, a déclaré que les maris qui violent leurs femmes ne devraient pas être poursuivis en justice parce que « le sexe fait partie du mariage ». Et il a affirmé que beaucoup de femmes mariées qui portent plainte pour viol mentent.

rapevictim.jpg

Cheikh Sayeed a fait ces commentaires lors d’une interview accordée au blog Le Samosa, avant de les répéter plus tard au journal The Independent.

Il a déclaré au site: « Manifestement, il ne peut y avoir viol au sein du mariage, on peut parler d’agressivité peut-être, ou d’actes indécents… Parce que lorsqu’ils se sont mariés, il était entendu que les rapports sexuels feraient partie du mariage, de sorte que rien ne s’oppose aux relations sexuelles dans le mariage.

La volonté générale de compréhension, d’ouverture, de « politiquement correct » m’amène à rédiger les lignes ci-dessous qui remporteront, j’en suis certain, votre complète adhésion :

Les « apports légaux » du multiculturalisme semblent un bienfait pour l’évolution de nos sociétés occidentales,  de la condition féminine, et le bien être de l’homme en particulier. Ces assertions démontrent que c’est la femme qui crée la violence conjugale en se refusant à l’homme…  La violence conjugale est un mensonge.

Manifestement, tous les hommes actuellement incarcérés pour violences conjugales doivent être relaxés sans délai. J’insiste pour que cette demande soit  immédiatement soumise au Parlement pour modification de notre loi pénale….

Excellente oppotunité pour désengorger la prison de Champ Dollon !


Lien de l’information :

http://www.independent.co.uk/news/uk/home-news/rape-im…

Le Mans: un collège détruit par un incendie criminel !

Quand je vous dis que la guerre civile est déclarée… La racaille « profite » de la situation. Ne les laissons pas faire!!! Sinon, c’est l’apocalypse en France. « ON » a trop attendu… Luc Chatel a beau « condamner »… Tout le monde « condamne » n’importe quoi; c’est à la mode. C’est avant, qu’il fallait prendre des dispositions. On aurait pu le faire. On n’a pas voulu le faire. Résultat: notre République est en grand danger…

FDF

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Un collège du Mans a été « totalement détruit » dans la nuit de lundi à mardi par un incendie d’origine criminelle qui n’a pas fait de victimes. Alertés peu après minuit, les pompiers sont arrivés sur place moins de vingt minutes plus tard, mais n’ont pu empêcher la propagation des flammes à l’ensemble du bâtiment, a précisé le directeur de cabinet du préfet de la Sarthe.

« L’origine criminelle ne fait aucun doute », a déclaré à Reuters Jean-Claude Boulard, maire socialiste du Mans, qui s’est refusé à faire un lien avec les actions de protestation des lycéens contre la réforme des retraites. « Il appartiendra à la police et à la justice d’établir les causes et les motifs. » « On a eu une chance folle qu’il n’y ait pas eu de blessés : les pompiers sont sortis juste avant que ça s’écroule », a-t-il ajouté en confirmant que des poubelles avaient été entassées lundi soir devant l’entrée du collège.

Soixante pompiers mobilisés

Le collège est situé aux Sablons, un quartier sensible de la ville du Mans, où deux feux de poubelles similaires avaient pu être arrêtés à temps ces deux derniers mois. Le ministre de l’Éducation nationale, Luc Chatel, a condamné « avec la plus grande fermeté cet acte inqualifiable ». « Alors que des actes de dégradation à l’encontre des établissements scolaires et des agressions contre leurs personnels se multiplient, Luc Chatel rappelle que lorsque l’École est visée par des attaques de toute forme, ce sont les valeurs même de la République qui sont mises à mal », peut-on lire dans un communiqué.

Les soixante pompiers mobilisés sont parvenus, mardi à l’aube, à maîtriser l’incendie du collège du Val-d’Huisne, qui compte 210 élèves. Des véhicules ont été incendiés et des abribus détruits lundi en marge de manifestations lycéennes à Nanterre, près de Paris, et à Lyon, à la veille d’une nouvelle journée nationale de grèves et de manifestations contre le projet de loi qui reporte de 60 à 62 ans l’âge légal du départ à la retraite.

Source: http://tinyurl.com/25womy3

Les casseurs dans les émeutes: ce sont bien ceux que l’on pensait…

Il est certain que les casseurs qui opèrent en ce moment dans les manifestations d’étudiants ne sont pas ces petits jeunes qui font des sittings sympas simplement par solidarité envers les grévistes touchés de près par les décisions gouvernementales. Ce ne sont pas des écoliers rigolards que les CRS ont en face d’eux… La preuve en vidéo…

FDF

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http://www.youtube.com/watch?v=jTx-Y9Cjmiw

http://www.youtube.com/watch?v=Gwf5yzc_IT8

http://www.youtube.com/watch?v=NPgA4dcxwbU

http://www.youtube.com/watch?v=JJFPTCu_Olk

http://www.youtube.com/watch?v=BpaUTWyMqes

 

 

 

 

« L’Etat se prépare à une guerre dans les cités » Fiction?

Je pense que c’est un livre à garder sous le coude… La guerre civile se prépare tous les jours dans les cités, dans les banlieues. La violence monte, nous en avons la preuve tous les jours. La « peur du gendarme » n’existe plus. J’évoque souvent, dans mes billets, la riposte avec l’aide de l’armée. Cela n’est plus du domaine de la fiction… Je pense que ce sera la solution et le seul moyen de répondre aux ravages du laxisme pratiqué jusqu’alors face à ces exactions essentiellement dues à des « chances pour la France »… Les associations qui les soutiennent sous le couvert du racisme vont devoir réfléchir, pour une fois…

FDF

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Comment l’Etat se prépare à une guerre dans les banlieues..

Par David Servenay
 

Des pompiers éteignent une voiture en flammes, à Clichy-sous-Bois en novembre 2005 (Franck Prével/Reuters)

Dans « Opération banlieues », Hacène Belmessous évoque les risques d’une intervention militaire dans les cités. Entretien.

Depuis les émeutes de novembre 2005, l’Etat réfléchit sérieusement à faire intervenir l’armée dans les banlieues. Nicolas Sarkozy est pour, de nombreux officiers, notamment des gendarmes, sont contre. Ils le disent dans « Opération banlieues », un livre brûlot et très convaincant, signé du chercheur Hacène Belmessous. Un constat inquiétant, mais pas inéluctable. Interview et bonnes feuilles.

Rue89 : Quel est le point de départ de votre enquête ?

Hacène Belmessous : J’ai commencé par la politique de la ville, en me demandant : qu’est-ce qu’on vise à travers ces opérations de rénovation urbaine ? Pourquoi faut-il l’intervention d’un policier qui estime qu’il faut détruire telle barre et pas telle autre ? Pourquoi ces démolitions en masse ?

Avec le plan Borloo et la création de l’ANRU (Agence nationale pour la rénovation urbaine), on dresse le constat de la fin de la politique de la ville initiée en 1975, qui ne marche pas. L’idée, c’était donc de comprendre ce qui se passe à travers la rénovation urbaine.

Avez-vous eu des difficultés à faire parler les acteurs de ces opérations ?

En fait, c’était compliqué de faire parler les « civils », plus que les militaires, les gendarmes ou les policiers. Les gens sentent que ce qui se joue, ce n’est pas une opération de rénovation urbaine, mais une mainmise policière. Je n’imaginais pas que derrière le discours du « renouveau » (cf. la campagne de Sarkozy et le plan « Espoir banlieues »), la police joue un rôle si important dans le conditionnement du territoire.

Pourquoi les militaires expriment-ils aussi ouvertement leur désaccord à l’idée d’intervenir en cas d’émeutes dans les cités ?

Ils sentent que quelque chose est en train de leur échapper. Quelque chose qui va à l’encontre de leur républicanisme. Par exemple, certains médias ont pointé en 2008 le glissement vers le concept de « sécurité nationale » dans le Livre blanc de la Défense. Ce texte marque une rupture par rapport au passé, avec des dispositions inquiétantes :

  • le contrat « 10 000 hommes » qui prévoit la mise à disposition de 10 000 soldats en cas de crise interne : pour faire quoi ?
  • la création du conseil de défense et de sécurité nationale, sous l’autorité du président de la République.

Aujourd’hui, si on envoie la troupe en Afghanistan, il y a un débat parlementaire. Il ne se passe rien si on envoie la troupe dans les banlieues.

Si c’est le cas, que se passera-t-il ?

L’armée se surajoute, en soutien, pour faire non pas du maintien de l’ordre, mais de la pacification.

Vous employez ce terme à dessein…

Lisez ce que dit le commissaire divisionnaire Christian Hirsoil, directeur départemental adjoint de la Sécurité publique de Seine-et-Marne (voir les bonnes feuilles page suivante). Il parle de commandos qui s’engagent « en profondeur » dans le quartier pour faire de l’observation. On peut aussi poser une section d’assaut en haut d’un immeuble pour contrôler l’espace.

Il existe un rapport de la société Eurocrise, réalisé à la demande de la DAS (dDlégation pour les affaires stratégiques), qui passe en revue ces possibilités. Cela montre qu’ils y ont réfléchi. Mon livre dit que l’Etat se prépare à une guerre dans les cités, pas qu’il va la faire.

Dans les années 90, on était dans du maintien de l’ordre, aujourd’hui c’est de la pacification. A Grenoble, l’été dernier, c’est une opération de pacification. Il y a un basculement. Quand l’armée doit-elle intervenir ? Le passage à l’acte a besoin d’un facteur déclenchant. Quel est-il ? La mort de policiers pendant des émeutes.

Comment expliquez-vous que les policiers et gendarmes parlent si librement ?

Le ministère de l’Intérieur m’a donné toutes les autorisations que je demandais. La seule question à laquelle je n’ai pas eu de réponse est : des responsables de Tsahal, spécialisés dans la guérilla urbaine, sont-ils venus à Paris après les émeutes de 2005 pour enrichir la réflexion des Français ?

On dirait qu’il y a un vrai consensus autour de cet enjeu dans la classe politique, à droite comme à gauche ?

Parfaitement. C’est d’ailleurs dramatique. Quel est le faux dilemme ? Ou vous êtes pour cette politique sécuritaire ou vous êtes pour la guerre civile, qui renvoie à l’angélisme sécuritaire de la gauche. Mais en 2002, Valls et Dray abondent dans le sens de Sarkozy.

La vision de Nicolas Sarkozy est une vision néolibérale du territoire : on casse le collectif au profit du projet individuel. Vous prenez le parti du bon camp : c’est diabolique et cynique, car les gens n’ont aucun choix. Enfin, la gauche du gouvernement a décidé de faire l’impasse sur ces quartiers.

Pourquoi ?

Cela tient à l’échec de 2002, à l’échec d’une certaine gestion municipale de la gauche. Ils ont abandonné le combat politique au profit de la logique sécuritaire. Cette gauche a un électorat dont le seuil de tolérance a fortement baissé.

Il y a aussi l’évolution de la guerre des idées. Dans les années 90, on parlait de « lepénisation » des esprits. Aujourd’hui, le dogme du différentialisme l’a emporté. La banlieue est un « brasier qui sert le pouvoir » m’a dit quelqu’un qui travaille dans l’antiterrorisme. Alors que ces territoires ne revendiquent que l’égalité. C’est le symptôme d’une France en guerre contre elle-même.

Vous ne craignez pas de faire de la prophétie autoréalisatrice en disant cela ?

Non, je ne fais que décrire un climat et des dysfonctionnements. On l’oublie, mais là où il y a de la médiation sociale, il y a des résultats : moins de délinquance, etc.

Vous souhaitez ouvrir un débat avec ce livre ?

Mon vœu, c’est que la politique menée dans ces quartiers soit discutée dans son ensemble, sur le plan urbain comme sur le plan de la sécurité. Sarkozy pense que la France crève de ses banlieues, moi je pense qu’elle crève de sa dépolitisation.

Ne craignez-vous pas que vos témoins, notamment les militaires et les gendarmes, risquent un effet boomerang pour les propos qu’ils tiennent ?

Ce qui honorifie une parole publique, c’est une parole qui se découvre. Par principe, je protège ceux qui doivent être protégés. Si on est dans une démocratie de l’autocensure, c’est que mon diagnostic est en-dessous de la réalité.

Photo : des pompiers éteignent une voiture en flammes, à Clichy-sous-Bois en novembre 2005 (Franck Prével/Reuters)

1Le scénario de l’inacceptable

Cette fois-ci, les va-t-en-guerre de la « France d’après », le slogan électoral du candidat Nicolas Sarkozy, ont été entendus. Ce soir, l’Etat va envoyer l’armée au cœur de ce « 9.3 » séditieux. Le décès survenu hier de trois policiers de la BAC de la circonscription, victimes d’un guet-apens dans le quartier des Saussaies, un grand ensemble situé à la jonction du Val-d’Oise et de la Seine-Saint-Denis, est à l’origine de cette décision, solennellement annoncée par le chef de l’Etat.

Deux jours plus tôt, quatre jeunes d’un quartier limitrophe sont morts après un échange de coups de feu avec les forces de l’ordre, provoquant un déchaînement de violences quasi ininterrompu à l’origine de l’agression des policiers.

L’armée dans les banlieues

Le pouvoir n’a pas hésité. Pour lui, l’heure n’est plus à la politique. La mort des trois policiers a été interprétée comme un rejet de l’ordre public et une déclaration de guerre. Nicolas Sarkozy se doute que ses prédécesseurs n’auraient pas adoré, mais il ne porte pas le même projet de civilisation. Cette intervention de l’armée, il l’a décidée tôt ce matin, en comité secret, lors d’une réunion du Conseil de défense et de sécurité nationale qu’il a présidée à l’Élysée. Où tout cela va-t-il aboutir ? […]

Il est 20 heures. Nicolas Sarkozy repasse à la télévision. Aux journalistes de TF1, France 2 et M6, il explique que c’est l’impuissance à résister à la menace du désordre des banlieues qui a failli mener à la dissolution de la société française, puis il critique ceux de ses prédécesseurs, « partisans de la repentance et de la culture de l’excuse », qui ont ouvert la « voie à un abandon en la croyance des valeurs de la communauté nationale ».

« Cette forme de société a vécu », promet-il. Son intervention tout juste terminée, les premières images de ce nouvel ordre moral gagnent les écrans. Nom de l’intervention : « Opération banlieues ».

Fin de la fiction. À l’heure où j’écris ces lignes (l’été 2010), le « scénario de l’inacceptable » que je viens de décrire relève encore de l’imaginaire. Mais pas de l’invraisemblable : il s’appuie en effet sur des entretiens que j’ai conduits dans le cadre de cette enquête, mais aussi sur des documents parfois confidentiels, des articles parus dans des revues spécialisées et des déclarations politiques faites lors des émeutes de l’automne 2005 – simplement « actualisées » pour tenir compte des prémisses dramatiques de ce scénario imaginaire.

2

Le nouvel outil du président

Pour borner sa domination, il a organisé son pouvoir à la faveur d’un nouvel outil : le Conseil de défense et de sécurité nationale, résultat de la fusion de deux instances, le Conseil de défense et le Conseil de sécurité intérieure.

« Avant que le Livre blanc ne soit validé », explique Patricia Adam, « avant même qu’il ne soit discuté à l’Assemblée nationale puisqu’on n’a discuté de ces questions qu’en mai 2009, déjà en janvier 2008 Nicolas Sarkozy avait mis en place cette nouvelle organisation qu’il préside, bien évidemment. »

Ce Pentagone à la française qui fait l’« éloge de la cohérence américaine » a un atout décisif à ses yeux : « Avec cette doctrine et son organisation », dénonce la députée socialiste, « rien n’empêche aujourd’hui le Président, en cas de crise, de faire intervenir l’armée dans les banlieues, ce qui était impossible précédemment. Or, le Parlement n’a aucun moyen de lui demander des comptes, de demander par exemple l’arrêt de l’intervention des forces militaires. »

Dans son article 5, la loi de programmation militaire affirme que « la stratégie de sécurité nationale a pour objet d’identifier l’ensemble des menaces et des risques susceptibles d’affecter la vie de la nation, notamment en ce qui concerne la protection de la population, l’intégrité du territoire et la permanence des institutions de la République, et de déterminer les réponses que les pouvoirs publics doivent y apporter », précisant plus loin que « l’ensemble des politiques publiques concourt à la sécurité nationale ».

Dans cette représentation, la logique de sécurité, notion éminemment subjective puisqu’elle résulte d’une appréciation individuelle, prime sur celle de défense, bien plus objective puisqu’elle concerne un collectif à défendre face à une menace extérieure très clairement identifiée.

Finalement, en interpénétrant deux logiques différentes, c’est-à-dire en englobant les menaces de toute nature sous un intitulé volontairement flou, le « risque terroriste », la feuille de route sécuritaire sarkozyste rompt avec le contrat social qui est au fondement de la Ve République.

« La dualité police/gendarmerie était une garantie pour la République », souligne le député socialiste Jean-Claude Viollet, spécialiste des questions de défense, qui insiste sur l’un des effets de cette évolution.

« C’était une garantie pour les libertés, pour l’indépendance de la justice qui pouvait librement choisir de confier une enquête à l’une ou l’autre. En outre, la gendarmerie a toujours eu des missions différentes de celles de la police. Elle a une mission de sécurité au quotidien, une mission de défense et de renseignement sur l’ensemble du territoire. Aujourd’hui, ces choses sont mélangées. Il y a donc de ce point de vue une difficulté majeure. N’avoir plus qu’une force de sécurité, qui plus est entre les mains du président, c’est une menace pour la République. Je le dis très tranquillement. »

Sans surprise, les effets de cette dérive sécuritaire produisent un écho particulier dans les banlieues populaires. Un extrait déjà cité d’un discours de Nicolas Sarkozy prononcé au Parlement lors des émeutes de l’automne 2005 mérite d’être rappelé :

« Entre le monde de la violence et les valeurs de la République, l’heure de vérité a sonné. L’enjeu est considérable, car si ce n’est pas l’ordre de la République qui règne dans ces quartiers, ce sera celui des bandes ou des extrémistes, et nous n’en voulons pas ! »

Ce réquisitoire n’était pas destiné aux parlementaires. Il avait valeur de profession de foi. Déjà, il annonçait ce que serait la démocratie française cédant à son autorité : un territoire en guerre contre ces banlieues, ce que m’a confirmé le colonel Michel Goya dans un témoignage précieux :

« J’étais un des conseillers du chef d’état-major des armées pour le nouveau Livre blanc. On voyait bien que le pôle d’attraction, le cœur du débat, c’était l’Intérieur. On était dans l’obsession du terrorisme et, du coup, on a concentré tous les moyens de sécurité au sens large sur cette menace. Les banlieues faisaient partie de ces présupposés, ce qui est idiot. »

3

Le spectre de la bataille d’Alger

Ainsi réinterprétée, faut-il en conclure que la bataille d’Alger énoncerait en termes de doctrine une conduite de la guerre urbaine en harmonie avec la perspective d’une intervention dans les banlieues françaises ?

Une nouvelle fois, une observation du colonel Durieux se révèle utile, qui m’a confié en novembre 2009 que des restrictions morales se levaient au sein des armées depuis le milieu des années 2000 :

« Aujourd’hui, le choc post algérois s’est estompé. La plupart des officiers en service n’étaient pas nés au moment du putsch d’Alger. Simultanément, il n’y a plus la pression de la dissuasion nucléaire. Je pense que les officiers ont plus envie d’agir sur la société. Ils sont plus libérés. Il y a un vrai débat pour savoir à quoi sert une armée. »

Le même m’a expliqué sans détour :

« Il y a un débat assez fort sur une intervention dans le cas d’une crise nationale dans les banlieues. J’ai des camarades, des amis qui soutiennent qu’un jour ou l’autre ce sera inéluctable. »

En 2010, ce dernier stade est toujours contesté, voire non admis. Moralement d’une part, car une grande partie de l’armée refuse l’idée même d’intervenir contre des citoyens français ; politiquement d’autre part, car l’utilisation d’une stratégie belliciste pour accomplir une besogne de police déplaît fortement : « Ce n’est pas le rôle des militaires que de régler un problème social ou d’y apporter une solution politique », affirme le colonel Bernard.

« C’est pourquoi le fait d’en être arrivé en 2005 à un couvre-feu est le signe d’un échec. Premièrement, parce que c’est une restriction des libertés ; deuxièmement, parce que vous donnez des pouvoirs exorbitants à la force qui l’impose. J’avais été surpris par ce couvre-feu, comme citoyen et comme militaire. Est-ce que c’était la seule voie possible pour pacifier ? On ne peut pas défendre l’idée que la stabilisation dans tel ou tel pays ne doit pas être uniquement répressive, c’est-à-dire militaire, et faire abstraction en France du volet politique au sens large du terme.

Si la réponse qui a permis de faire baisser le degré d’insécurité, c’est faire de l’urgence… Pour moi, la réponse n’est pas seulement sécuritaire. Il faut s’intéresser aux germes de la violence. »

Ce malaise républicain qui sourd dans l’armée depuis la dérive sécuritaire des « années Sarkozy », s’exprime également, en termes parfois plus vifs, dans les rangs de la gendarmerie nationale.

4

« Est-ce que le métier de l’armée de terre, c’est de faire du contrôle de foule ?

A la remise en question par les gendarmes des fins visées par les responsables politiques en banlieue et du poids relatif de l’autre composante opérationnelle de la sécurité intérieure, s’est ajoutée une autre mise en garde, plus inattendue, exprimée dans les moments informels de mon séjour à Saint-Astier en janvier 2010, ces temps de conversation -pendant les repas, l’apéritif ou le café de 10 heures, les quarts d’heure d’attente entre deux manœuvres, etc- où l’“ enquêté ” s’exprime un peu plus librement.

Comme nous discutions la militarisation de la police, les échanges dérivèrent assez vite sur l’émergence d’un nouveau protagoniste dans la “ gestion ” des banlieues : l’armée de terre. La seule évocation de celle-ci irritait nos interlocuteurs. “ On a mis quasiment un siècle et demi pour en sortir en juillet 1921 [date de création de la gendarmerie mobile]”, a tenu à me rappeler le lieutenant-colonel Mézières.

“Dans une démocratie, ce n’est pas à l’armée d’assurer la fonction de maintien de l’ordre, quels que soient les paramètres spécifiques à notre époque. Rien ne justifie ce retour de l’armée comme acteur sur le territoire national, même si certains brandissent la menace que la France est au bord de l’explosion.”

Un écho direct de ce que m’affirmait à Paris, un mois plus tôt, le colonel Lejeune, à la Direction générale de la gendarmerie nationale :

“ Il n’est pas question d’envoyer la troupe face au peuple de France. Pour faire du maintien de l’ordre, on envoie aujourd’hui des policiers professionnels, qu’ils soient gendarmes ou CRS, et c’est largement suffisant. ”

A leurs yeux, ce qui ne va pas, c’est l’intrusion militaire dans leur champ de compétence, qui rompt avec le partage des légitimités, comme me l’a explicité sur un mode ironique le colonel Quenelle, commandant du centre de Saint-Astier :

“ L’armée de terre dit qu’elle ne peut pas déployer un bataillon supplémentaire en Afghanistan, de quoi vient-elle se mêler en voulant aller dans les banlieues ? Ce n’est pas son métier. Moi, il m’a fallu vingt bonnes années pour commencer à comprendre ce qu’est le maintien de l’ordre.

J’imagine mal un fantassin à qui on va dire : ‘Ben tiens, on va te faire une petite formation avec un bouclier et puis un casque et tu vas descendre dans les banlieues résoudre les problèmes’. ”

Mise au point ou avertissement ? Plutôt l’expression d’une opposition à ce que les gendarmes voient comme un futur où l’armée pourrait se projeter.

5

Tous les moyens sont prêts

La volonté d’en finir avec ces quartiers se traduit sur le terrain par un investissement disproportionné des postures sécuritaires.

Comment ne pas arriver à cette conclusion lorsqu’on écoute le commissaire divisionnaire Christian Hirsoil, directeur départemental adjoint de la Sécurité publique de Seine-et-Marne, décrire l’action policière dans ces cités ? Il explique :

“ Quand on intervient pour maintenir l’ordre public, en cas d’échauffourées ou de guet-apens par exemple, on peut employer un passage hélico qui dispose d’un zoom énorme pour voir ce qui se passe : est-ce qu’ils ont mis des bouteilles sur les toits des immeubles ? Est-ce que les trappes d’accès sont pétées ? Etc.

Au petit matin, vers 8 heures, on va faire un tour dans les étages pour vérifier s’ils ont commencé à rassembler des choses, si des caddies remplis de pierres ont été planqués dans les caves.

Mais d’autres techniques peuvent être utilisées. On pourrait ainsi employer des unités de surveillance très spécialisées de l’armée pour monter pendant plusieurs jours des surveillances physiques enterrées. Ces gens-là sont formés pour pénétrer un dispositif ennemi en profondeur.

On peut aussi s’immerger dans le quartier en se faisant passer pendant un mois ou deux pour un ouvrier spécialisé d’une régie de quartier. ”

« Opération banlieue » de Hcène Belmessous(la découverte).

 

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Pillé chez http://ndpherault.hautetfort.com/

La légende de Mahomet…


Contrairement au judaïsme et au christianisme, l’islam n’a pas encore été soumis à la critique historique et scientifique. Cette approche, récente, se fait dans la douleur.

L’islam n’a pas accompli sa révolution critique et historique, constate froidement Jacqueline Chabbi, professeure à l’université Paris VIII. Auteure d’une biographie décapante de Mahomet  « Le Seigneur des tribus  L’Islam de Mahomet ». Paris, Noesis, 1997, cette spécialiste des origines de l’islam a déclenché l’ire des théologiens musulmans. Son sacrilège ? « J’ai humanisé Mahomet » En effet, le seul moyen de comprendre le personnage, c’est de lui appliquer une grille de lecture anthropologique. De le remettre dans son contexte social réel, et non dans un contexte ou le fait religieux est surestimé. Histoire de démêler ce qui relève de la légende dorée et ce qui paraît vraisemblable.

Vraisemblable seulement…


Car Mahomet (570-632) n’a laissé aucune trace écrite directe, ni archéologique, de son passage sur Terre.

Et si la tradition musulmane postérieure au Coran représente le fondateur de l’islam dictant parfois ses révélations à un scribe sur des morceaux de cuir, des tessons de poterie, des nervures de palmes et des omoplates de chameau, aucun de ses contemporains n’a concrètement transmis son témoignage. Comme le Prophète vivait en outre dans une société de tradition orale, il paraît vain d’espérer exhumer un jour des tablettes comme celles qui florissaient, à l’époque, dans le proche Empire byzantin. Enfin, la première biographie de Mahomet, la Sîra, a vraisemblablement été rédigée plus d’un siècle après sa mort.

Des orientalistes trop naïfs ?

Quel sérieux lui accorder ? Comment aborder le Coran ou la tradition prophétique, les hadiths ?

Jusqu’à présent, les orientalistes s’en sont laissé un peu trop conter par des textes pourtant empreints de merveilleux, critique Jacqueline Chabbi, qui regrette l’amateurisme doublé de fascination qui a longtemps régné dans cette discipline « fourre-tout » ou cohabitaient historiens, philosophes, grammairiens, lettrés … et fonctionnaires coloniaux !

Le livre révélé, le Coran, a longtemps rassuré par sa grande homogénéité, frappante par rapport à la Bible ou aux textes fondateurs du christianisme. On y a vu l’indice d’une véracité historique à la continuité sans faille. Mais aujourd’hui, des spécialistes parmi lesquels François Deroche, de l’École pratique des hautes études, ou Alfred Louis de Prémare, de l’université d’Aix-en-Provence, pensent que sous sa forme actuelle il aurait été mis par écrit bien plus tardivement que ne l’annonce la tradition musulmane. Voire qu’il aurait été « lissé, harmonisé », non lors d’une simple réforme orthographique, mais dans une logique de constitution d’empire, comme le soutient Jacqueline Chabbi : Ce n’est qu’avec l’empire des Omeyyades (661-750) que la religion de Mahomet a basculé dans un autre monde dans lequel l’écriture est devenue prédominante. Le Coran a alors été mis par écrit, certainement à partir de fragments d’oralité conservés dans les mémoires. Dans les siècles suivants, la tradition islamique a couvert d’un luxe de détails les origines de l’islam et reconstitué un passé … fictif !

Pour retrouver le Mahomet réel, celui du monde tribal de l’Arabie intérieure, Jacqueline Chabbi a oeuvré à la manière d’un restaurateur qui gratte peintures et vernis d’une toile pour en retrouver les couleurs d’origines. Une approche novatrice à mille lieues des biographies écrites jusqu’alors par ailleurs tout à fait respectables. André Caquot du Collège de France la juge « saine » :  » ni irrévérencieuse ni dogmatique. L’islam, la plus historique peut-être des grandes religions, ne saurait être une terre interdite à l’histoire des religions. Même si les théologiens musulmans restent majoritairement rétifs à la critique historique, contrairement aux théologiens juifs et chrétiens, soumis depuis des siècles (et bien malgré eux) à la question des rationalistes.

Les preuves archéologiques faisant défaut, Jacqueline Chabbi a tenté une « lecture du paysage ».

Mais à quoi ressemblait en l’an 610, à l’heure de la révélation de Dieu à Mahomet cette Arabie désertique, tribale, païenne, qui deviendra plus tard le centre de l’arc vert (couleur de l’islam) allant du Maghreb à l’Indonésie ? A un monde de Bédouins pragmatiques, juge l’auteur qui s’est intéressée à la vie des derniers grands nomades qui, s’ils se déplacent désormais en 4×4 plutôt qu’à chameau, restent héritiers d’une tradition séculaire.

Elle s’est également penchée sur les institutions, les pratiques religieuses, culturelles, sociales, politiques de la société arabique de l’époque de Mahomet, telles qu’elles se profilent dans les écrits contemporains ou postérieurs. Et non telles qu’elles ont été voilées par la suite. Elle est retournée aux sources, s’appuyant sur une base de textes arabes qu’elle a patiemment décortiqués au niveau de la langue.

Le résultat révèle un chef d’hommes, un prophète inspiré doublé d’un politique qui n’aurait jamais réellement rompu avec ses origines tribales.

Alors, qui était le vrai Mahomet ?

Une figure singulière, qui a essayé de faire bouger les choses, selon la chercheuse. Son nom signifiant « le loué fils de l’esclave d’Allah », semble trop beau à de nombreux historiens.

En revanche son existence est aujourd’hui majoritairement admise. « Il s’est passé quelque chose entre La Mecque et Médine au début du VII° siècle. Lorsque les tribus arabes font irruption hors des limites de leur habitat traditionnel, vers 632, l’islam est né. »

Selon la tradition, Mahomet est déjà mort.

Nulle mention n’en est donc faite dans les chroniques des pays et empires qui passeront peu à peu sous la férule des musulmans. Selon cette même tradition, qui fixe toutes les dates, Mahomet est banni par sa tribu, les Qurachites, qui le pensent possédé par les Djinns. Il est probable que cet homme, qui prêchait pour un dieu unique tel qu’il existait déjà chez les juifs et les chrétiens, souhaitait rétablir des valeurs de solidarité dans sa tribu, dont certains membres s’étaient trop enrichis, analyse Jacqueline Chabbi.

Mahomet trouve refuge à Médine, vraisemblablement chez un clan apparenté.

Là, brûlant d’être reconnu, il entre en politique. Il monte une confédération tribale sur un modèle traditionnel, proposant aux tribus sédentaires et nomades de passer une alliance avec son dieu.

L’islam de Mahomet, ou proto-islam, ne peut être compris en dehors de la croyance au « seigneur des tribus ». Les nomades croient à un Seigneur (rabb), une puissance (masculine ou féminine) de protection et de recours, liée à un territoire tribal et y possédant un lieu de résidence (bayt).

Le plus souvent des pierres sacrées ou bétyles telle la pierre noire scellée à la Mecque, un objet de culte datant sans doute de l’époque de Mahomet. Le prophète multiplie les razzias avec un tel succès que l’alliance fructueuse avec son dieu lui attire bien des « conversions »

C’est vraisemblablement au cours d’un conflit avec les juifs de Médine qu’il s’approprie la figure d’Abraham. Les juifs, vécus comme des rivaux monothéistes, sont alors traités comme des déviants, ayant perdu le sens de la parole originelle de Dieu, et ils seront persécutés. Plus tard, bien plus tard, les musulmans feront même de Mahomet le descendant charnel d’Abraham… ce qui est d’ailleurs toujours enseigné dans certains ouvrages de vulgarisation, comme le Dictionnaire encyclopédique de l’islam Bordas !

Loin d’être le révolutionnaire décrit par la tradition, Mahomet apparaît donc comme un homme très en prise avec son milieu originel.

Pour comprendre la profondeur du décalage et la gravité de la rupture entre l’âge tribal de l’islam de Mahomet et les sociétés islamisées par la suite, rappelons que la notion de musulman n’est parvenue à se séparer de sa composante ethnique arabe qu’à partir du milieu du VIII° siècle, avec l’accession de la famille abbasside au califat. Ces oncles de Mahomet sont les premiers à proposer une société « égalitaire », mettant sur le même pied toutes les populations qui la composent.

Ils effacent les privilèges des tribus et leur code complexe de relations parentales. Auparavant, la conversion était d’abord sociale, pas religieuse. Le converti (persan, Sémite du Nord, chrétien, juif, compte ou berbère) devait solliciter son entrée dans une famille arabe. Encore recevait-il seulement le statut peu glorieux de mawla ou esclave affranchi. Les Arabes respectant les religions locales comme le fonctionnariat et l’économie des pays conquis, ont d’ailleurs longtemps retardé toute conversion.

Ce qui me fait dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de « guerre sainte » menée par Mahomet.

Il est urgent de faire de l’histoire, surtout dans le contexte actuel.

Car la vision de l’islam wahhabite qui tente de s’imposer aujourd’hui n’a rien à voir ni avec l’islam traditionnel tel qu’il s’est construit au cours des siècles ni a fortiori, avec le véritable islam des origines. C’est le manque de recul historique d’une certaine jeunesse musulmane qui a permis l’émergence de cette caricature de Mahomet telle que le dépeignent les islamistes.

Le refus de faire de l’histoire est devenu un problème politique et idéologique. Il y a de la part de certains musulmans, un investissement sur le passé comme compensation aux frustrations du présent. Toutes les civilisations brodent sur leur histoire. Mais dans le monde arabe moderne, cela s’est exacerbé ces dernières années.

C’est ainsi que l’on voit des jeunes qui prêchent un retour à un islam qui n’a jamais existé, ou qui croient vivre comme a vécu le prophète, un homme dont la vie est finalement une succession de légendes ! Sur le plan historique, c’est une absurdité. Sur le plan politique, cela aboutit à un fanatisme dramatique.

L’âge tribal de l’islam

Les rituels parmi les plus symboliques de l’islam conservent les traces de la culture tribale où il a vu le jour. Le pèlerinage à La Mecque réunit ainsi deux rituels appartenant à deux mondes spatialement et socialement différents, celui des semi-citadins de la ville et celui des pasteurs nomades des environs.

Le pèlerinage primitif était vraisemblablement un rituel de demande de pluie pratiqué par les Bédouins après le déclin des grandes chaleurs de l’été dans la haute plaine de l’Arafât, à l’est du territoire mecquois. La visite à la Kaaba, le bâtiment où est scellée la fameuse pierre noire, se déroulait indépendamment, au printemps, et donnait également lieu à des sacrifices aujourd’hui disparus.

C’est peu avant de mourir que Mahomet aurait regroupé les deux comme pour réunir -politiquement- sous une seule bannière les Bédouins, les gens des oasis et les caravaniers, toute catégorie de population qu’il dominait. De même, l’actuel sacrifice du mouton qui clôt le pèlerinage musulman, censé commémorer le sacrifice d’Abraham, correspond en fait à une pratique proche orientale qui ne s’est vraisemblablement imposée qu’après la conversion des populations concernées. Les Arabes d’Arabie sacrifiaient des chameaux ! Quant au lien abrahamique du sacrifice et du pèlerinage, il est ignoré par le Coran. Le fait que la tradition dite prophétique, le hadith, corrobore la croyance postérieure qui « abrahamise » le sacrifice n’a guère de sens pour les historiens. Ce corpus réputé « prophétique » ne peut être mis sur le même plan que le Coran qui présente des indices d’ancienneté bien supérieurs.

Sciences & Avenir

janvier 2003

 


La taquia

PVR-ZONE.CA

Des drapeaux de la Tunisie et du Maroc sur le monument aux morts de Cannes !

Mais c’est bien plus grave que la mosquée de Hageneau (Alsace) http://tinyurl.com/2vfuw47 qui a fait l’objet d’une tentative d’incendie, non? On s’attaque à nos patriotes décédés, cette fois. C’est un affront à notre République et à ses valeurs! En plus des cimetières français sans cesse profanés en Algérie (voir un récent billet à ce sujet) les « jeunes  » issus de l’immigration cherchent vraiment un déclenchement des hostilités avec les français de souche, c’est indéniable… Ce sont les mêmes que l’on nomme « casseurs » lors des manifestations qui secouent notre pays en ce moment… Regardez bien les reportages à la télé. Regardez bien la tête des casseurs. Ceux qui provoquent les forces de l’ordre; ceux qui brûlent les voitures; ceux qui saccagent le matériel urbain. Ils n’ont vraiment pas l’air d’étudiants faisant un sitting… Ce ne sont d’ailleurs pas des étudiants… Ce sont des sous-merdes.

Alors, il nous faut poser la question à la Justice et aux Autorités: on fait quoi avec ces « gens-là »? On s’en occupe nous même ? Si c’est le cas, remontés comme ils le sont en ce moment, si les français prennent les choses en main, ça risque d’assurer grave…

FDF

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« Mais quand donc comprendrons nous que bien plus que  par les nazis en 1940, nous sommes envahis et en voie de disparition? »

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“Qui ne gueule pas la vérité, quand il sait la vérité,

se fait le complice des menteurs et des faussaires “ (Charles PEGUY)

Après Toulouse, Marseille (où la Marseillaise a été sifflée par les Indigènes de la République) Cannes…

Quand les Français ouvriront-ils les yeux ??

Alors là, chapeau! Pardon: cocarde !!!

Par quel miracle une jeune femme de 25 ans peut-elle encore aimer la France ?

Certains trouveront sans doute curieux que nous ne fassions pas notre édito sur la bataille des retraites. C’est que nous avons déjà évoqué ce sujet quelques fois ces dernières semaines, et que nous vous proposons, dans ce texte, une vision patriotique et solidaire de notre société, qui, naturellement, place au centre de son projet, au sein de la Nation, la solidarité due à nos anciens. Nous proposons, d’autre part, dans ce numéro, pour approfondir ce débat, des contributions de courants de pensée fort différents.

http://www.ripostelaique.com/Pour-une-conception-patriotique-et.html

Dans ce contexte, nous avons préféré vous faire partager un coup de coeur. Nous avons reçu ce texte de Myriam Picard qui, personnellement, m’a donné la chair de poule, et fait monter les larmes aux yeux.

Myriam n’est pas une inconnue pour RL. Elle est cette jeune femme qui a failli, en plein centre-ville de Perpignan, se faire lyncher, avec son enfant dans les bras, parce que son compagnon avait eu l’audace de demander à des « djeunes » de faire moins de bruit, pour que leur fille puisse dormir. Elle nous avait accordé cette interview, pour populariser un fait gravissime, passé sous silence par l’ensemble des médias, qui préfèrent lyncher l’ophtalmologiste d’Aix, cela c’est tendance, coco !

http://www.ripostelaique.com/Interview-de-Myriam-Picard.html

A une époque où il est de bon goût de « niquer la France », de siffler son hymne national
, de primer une photo montrant un homme se torchant les fesses avec le drapeau bleu blanc rouge, le chanteur Raphaël a sorti, avec une promotion médiatique énorme, une chanson, « Patriote ». Il a choisi, pour faire sa publicité, de monter sur une échelle, et de vouloir tourner en dérision Jeanne d’Arc, et à travers elle notre pays.

Cela a fait réagir Myriam Picard, jeune femme de 25 ans, qui a tenu à rosser ce « freluquet », avec un style, un panache et une élégance dont nous avons envie de vous faire profiter.

« En vous posant en pseudo résistant, vous vous inscrivez au contraire parfaitement dans l’histoire des collabos et des traîtres qui ont sali notre pays. Vous êtes de ceux qui, depuis plus de trente ans, forcent les Français à se battre la coulpe en permanence, à rougir de leurs valeurs et de leur histoire, à cracher sur tout ce qui est digne et respectable dans un des rares pays où on ne vous colle pas au gnouf pour des propos comme les vôtres.

J’ai 25 ans, Monsieur, je suis française, et fière, quoi qu’il arrive, de mon pays. Aucune nation, jamais, n’est parfaite. Mais j’ai la chance de faire partie d’une grande et belle histoire, j’ai derrière moi des siècles d’héroïsme et de grandeur. J’essaie d’en être digne, tant bien que mal. Alors quand je vois un si petit freluquet s’estampiller bouffon d’une cour et d’un système qui lui rapportent tant d’argent et de médiatisation, je ne peux que me dresser, du haut de ma jeunesse, et vous rappeler à l’ordre »…

Suite et source: Riposte Laique

Hommage au « Guide »…

Allez, il mérite bien un petit hommage, notre « Guide » international un peu dérangé du cervelet… On se demande comment il fait pour avoir plein de potes, même (et surtout) dans le monde Occidental… Rappelez-vous: il avait même planté sa tente et fait paître ses chameaux dans les jardins de l’hôtel de Marigny… (http://tinyurl.com/36clv5b)


FDF

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Toute ma vie, j’ai rêvé
D’être une hôtesse de l’air.
Toute ma vie, j’ai rêvé
De voir le bas d’en haut.
Toute ma vie, j’ai rêvé
D’avoir des talons hauts.
Toute ma vie, j’ai rêvé
D’avoir, d’avoir
Les fesses en l’air…

PVR-ZONE.CA

Hors sujet: Les députés ne veulent pas du régime de retraite qu’ils nous imposent…

Et pour cause… C’est scandaleux!!! Il y a eu des révolutions pour moins que ça, dans notre Histoire de France. Au moins une; et qui a changé beaucoup de choses pour le peuple français; du moins pour quelques décennies…

Et ça recommence…  La « France d’en bas » est comme un citron trop pressé. Mais il lui reste encore un peu de jus pour se rebeller… Vous verrez.

FDF

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Les députés s’opposent à l’alignement de leur régime spécifique de retraite sur celui du régime général.

Alors que les députés étaient en plein débat sur les retraites, ils ont rejeté discrètement un amendement présenté par 4 de leurs collègues demandant un alignement rapide et effectif de la situation de leurs régimes spécifiques sur le régime général. C’est scandaleux !

Regardez l’amendement rejeté par les députés sur le site de l’Assemblée nationale


Signez la pétition pour la suppression des régimes spéciaux des retraites adressée à Nicolas Sarkozy




France: la finance islamique s’intalle, sournoisement…

Ils essayeront TOUS les moyens pour nous islamiser. Le pire est que certains français marchent en toute connaissance de cause dans la combine. Le profit: nouvelle arme des islamistes.

La dhimmitude: certains groupes financiers « français » ont déjà les mains dedans. Résistons! L’identité des collabos sera bientôt connue; a nous d’agir, alors…Il est encore autorisé de faire confiance à la banque de son choix, à ce que je sache…

FDF

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Le groupe bancaire Al Baraka, par la voix de son président – Adnan Ahmed Yousif –  confirme son projet d’implantation en France et annonce qu’il ouvrira jusqu’à cinq agences en métropole, à partir de 2011.

Ce projet d’implantation répond à l’intérêt exprimé sans relâche depuis deux ans par les autorités françaises de voir des institutions bancaires islamiques s’implanter sur le territoire français.

Une étude de faisabilité avait été diligentée l’an dernier par le groupe Al Baraka en vue de créer une banque islamique en France, et dans cette perspective, Al Baraka avait soumis aux autorités françaises ses normes financières et ses standards comptables.

L’extension du réseau international de la banque, notamment en Malaisie et en Indonésie, sera financée par l’émission d’un sukuk de US$ 200 millions qui devrait être émis en décembre 2010. Deutsche Bank et Standard Chartered ont été choisis pour conseiller cette émission, pour laquelle le ou les chefs de file n’ont pas encore été désignés.

Al Baraka Banking Group, dont le siège est situé à Bahrain, possède le plus large réseau mondial de banque islamique, avec des filiales dans de nombreux pays musulmans, notamment en Algérie et en Tunisie.

RIBH

Source: http://ribh.wordpress.com/2010/09/27/al-baraka-france/