Francaisdefrance's Blog

10/10/2010

Nous avons affaire à une campagne d’islamisation de notre continent.

 

En être conscients, c’est déjà bien; résister et se battre contre, c’est la seule alternative qu’il nous reste…

FDF

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Comment évaluer la portée des nombreux signes qui témoignent de la montée de l’islam dans les pays européens, du plus anodin en apparence : comme le choix des prénoms des enfants d’immigrés venus du Maghreb, jusqu’aux plus spectaculaires, tels que la multiplication des mosquées ou des voiles pour les femmes ?

Comment les Musulmans interprètent-ils chacun de ces signes ?

Avons nous affaire à une campagne d’islamisation de notre continent ?

Dans cette hypothèse, qui conduit l’offensive ?

Qui y participe aujourd’hui ?

Qui est susceptible de s’y rallier, à court et moyen terme ?

La cohésion de nos peuples est-elle menacée ?

Y a-t-il un risque de fracture à l’intérieur de nos nations ? de guerre civile ?

L’avenir de notre civilisation est-il en cause ?

Voilà des questions que dirigeants, chefs de partis, autorités spirituelles, intellectuels… devraient se poser quand l’Europe compte sur son sol une communauté musulmane de plus de vingt millions de personnes, en accroissement numérique constant, tant par voie interne que par apport.

Des « immigrés », installés à demeure, qui refusent l’assimilation pure et simple aux peuples qui les ont accueillis et revendiquent toujours davantage de droits particuliers. La France, où les Musulmans représentent dix pour cent de la population, s’honorerait en prenant l’initiative de réfléchir – simplement réfléchir, avant toute chose – sur cette mutation lourde au sein de nos sociétés.

Disons le tout net : il est indispensable que nous commencions par nous débarrasser de beaucoup de nos idées reçues sur l’islam et les Musulmans. Sommaires, souvent fausses, parfois véritables tares héritées d’un lointain passé, certaines de nos conceptions sont extrêmement nocives dès que nous abordons le champ de l’action. Un grand ménage s’impose dans ce bric-à-brac. Place aux réalités, aussi dérangeantes soient-elles pour notre confort intellectuel ! L’exercice sera difficile. Il exigera de nous de la recherche, de la réflexion, de l’honnêteté, de la persévérance. Il conviendra aussi que nous évitions, au moins dans un premier temps, les jugements de valeur sur nous-mêmes ou les autres, qui brouillent la vue et empêchent de poser les problèmes en termes adéquats.

L’islam, défini seulement comme une « religion » : un piège mortel :

L’ignorance pousse toujours les peuples à plaquer sur des phénomènes qui leur sont étrangers leurs propres concepts, leur propre grille d’analyse : c’est l’erreur d’ethnocentrisme. C’est ce que nous, Européens, avons fait et continuons à faire avec l’islam, et avec d’autant plus d’aveuglement que nous sommes « ignorants de notre ignorance » : nous croyons bien connaître cette civilisation qui nous est contiguë depuis toujours, que nous avons vaincue au cours des derniers siècles, qui est présente maintenant sur notre sol…

Ainsi, nous définissons l’islam comme une « religion » sans plus de précision. En notre siècle, en Europe, le mot « religion », recouvre un culte, des rites, une tradition…, mais, d’abord et avant tout, une foi, c’est-à-dire quelque chose qui relève de la sphère privée, du droit qu’a chacun chez nous de penser ce qu’il veut et de croire à ce qu’il veut. Et nous tombons dans un piège.

En proférant : « l’islam est une religion » comme une vérité connue de tous et qui ne mérite pas de commentaires, nous nous interdisons, en conséquence, au nom de nos valeurs démocratiques et laïques, d’examiner de près sa nature, son idéologie, ses modes d’expression, ses moyens et ses fins, et, nous nous gardons d’intervenir dans les pratiques de ses fidèles.

Des Musulmans, qui, eux, nous connaissent parfaitement, jouent à fond de notre ignorance satisfaite, mais aussi de notre respect du droit de l’individu, pour réclamer la libre expansion de leur « religion » dans nos nations. L’islam « religion » est l’arme principale des promoteurs de l’islamisation de l’Europe. C’est le cheval de Troie d’un totalitarisme dans une guerre de conquête.

Les mots soulignés appellent une explication.

Un totalitarisme, à fondement religieux, à l’opposé de la laïcité :

L’islam est bien différent de ce que nous nommons « religion ». En première analyse, disons que c’est un ensemble insécable, à la fois identité (une identité qui a prévalence sur toute autre, à laquelle il est interdit de renoncer sous peine de mort), religion, droit, morale, civilisation, culture – selon les mots de nos langues indo-européennes qui recouvrent très imparfaitement ses composantes.

Dans l’islam, tout a un contenu religieux, tout – absolument tout – est placé sous le signe d’Allâh, en référence à son Livre (le Coran, incréé et éternel comme Allâh), à son Prophète, « le beau modèle », et aux premiers Compagnons de celui-ci…

L’islam ignore nos distinctions entre le politique et le religieux, le sacré et le profane, le droit public et le droit privé, entre le droit, la morale, les moeurs… C’est un totalitarisme, à fondement religieux, sans doute, mais certainement pas simplement une religion au sens que nous donnons, aujourd’hui, à ce mot dans nos pays. (Gardons-nous de l’ethnocentrisme à tous égards : Le mot « totalitarisme », pour les démocrates occidentaux que nous sommes, est chargé négativement. Mais pour un homme de foi, soucieux de placer sa vie sous tous ses aspects dans la complaisance à son Dieu, il ne peut être que valorisant.)

Concernant les droits et devoirs des individus, le totalitarisme islamique est d’un extrémisme et d’une rigueur sans équivalent dans l’histoire. L’individu est pris dans un lacis d’interdictions et de devoirs pour toutes les occurrences de sa vie. D’autre part, à tout instant, il se trouve placé dans un système croisé de surveillance et de sanction confié à la fois, verticalement, à des cadres : imams, uléma, qadis… et, horizontalement, aux parents, voisins, Musulmans ordinaires.

Seule la prise en compte de ces réalités permet de poser avec pertinence la question de la compatibilité de l’islam avec les principes constitutifs de nos sociétés, en particulier, en France, au regard d’un des piliers de notre république : la laïcité.

– Au plan des concepts, un islam laïc est impensable parce que contraire aux dogmes les plus sacrés. Strictement inimaginable. Comme un cercle carré ou un triangle à quatre pointes.

– Un Musulman peut se dire laïc ; il ne l’est pas, il ne peut pas l’être. Un Musulman qui se prétend laïc est un ignorant, un naïf, un cynique ou une taupe.

– Une variété d’islam acceptant les lois et coutumes d’un pays non musulman, « rendant à César ce qui revient à César », bref, un islam respectant la laïcité dans une nation laïque est tout aussi impossible.

Sur des points aussi essentiels que la place du politique et du religieux ou la liberté de conscience, le choix est binaire : ou la laïcité ou l’islam.

– L’histoire et l’actualité nous fournissent la réponse musulmane à cette question de la compatibilité : dès qu’elle en a le pouvoir, une autorité fondée sur l’islam a toujours réduit à l’état de sujets subordonnés les non-Musulmans et leur a interdit toute propagande pour leur idéologie. D’où l’importance du combat pour le respect de la laïcité face aux débordements de l’islam dans notre espace civilisationnel. Au demeurant, la laïcité, c’est une pierre de touche irremplaçable pour juger de la menace islamique sur nos valeurs et nos modes de vie.

Résumons : En laissant l’islam prendre ses aises sur notre territoire – avec l’espoir, vain, de le contrôler –, nos gouvernants ne font pas place à une religion de la sphère privée parmi d’autres, mais à un totalitarisme incompatible avec tout ce qui fonde notre civilisation. Et ce totalitarisme est mobilisé en permanence pour la conquête.

L’islam est né et ne peut être qu’expansionniste et guerrier :

– L’islam, de naissance, génétiquement, en fonction de ces dogmes les plus sacrés, impossibles à réformer, indiscutables et jamais discutés, fait à ses adeptes un devoir d’expansion.

– Parmi les moyens légitimes de cette expansion figure la guerre (dans le Coran, deux synonymes : jihâd, qitâl).

+ sous la forme violente, sanglante, de l’affrontement armé,

+ mais aussi sous la forme subversive : l’islam admet, et même recommande, toutes les variétés de la ruse, de la dissimulation, du mensonge… (taqiyya, kitmân, makr…). Allah garantit à qui remplit ce devoir, cette obligation, les plus grandes récompenses : de son vivant, le butin, et, s’il meurt en « martyr » « dans le chemin d’Allâh », le Paradis (Coran).

Dès sa naissance, au VIIe siècle de notre ère, l’islam a déclaré au reste de l’humanité « une guerre universelle et perpétuelle », divisant le monde en Maison de l’islam (dâr al-islâm) et Maison de la guerre (dâr al-harb). Il n’a cessé ses agressions que lorsqu’il était dominé ou contenu. (En position de force ou d’égalité, un Musulman ne peut signer avec un pouvoir infidèle qu’une « trêve », d’une durée maximum de dix ans, cela en référence à une action de Mahomet face aux Mekkois, en 628.). Sur le rôle joué par la guerre dans l’histoire de l’islam, les spécialistes sont unanimes : de tout temps, elle fut le moyen privilégié de son expansion.

La réforme impossible ; la dynamique involutive :

Autre réalité dont il faut nous pénétrer : L’islam n’a jamais connu de réforme et il ne peut être réformé. Sa dynamique est « involutive », fondamentaliste, réactionnaire. Cela se démontre par sa génétique même (ce qui excèderait le cadre de cet article) et cela se prouve par l’histoire :

Jusqu’au choc avec l’Occident il y a deux siècles, tous les grands mouvements intellectuels, toutes les révoltes, tous les changements de dynastie se sont fixé pour objectif, non de « faire table rase du passé », mais de revenir à l’islam, plus ou moins mythifié, des fondations. Il s’agissait, non pas seulement de s’inspirer de cet islam plus « pur », plus rigoureux, mais bien de l’imiter. Le pire crime-péché était l’innovation (bid‘a).

Actuellement, les seuls partis (au sens large : politiques, religieux, intellectuels, selon nos mots) qui recrutent dans les pays musulmans et en Occident sont les partis prônant le retour aux origines. Ce « reflux continu », inhérent à l’islam dès sa naissance, répétons-le, se trouve activé présentement par plusieurs facteurs : la volonté de récupérer une identité malmenée pendant longtemps par les Occidentaux ; un désir, bien compréhensible, de revanche ; la faillite des modèles de gouvernement et de développement importés en terre d’islam. Les nationalistes, modernistes… sont sur la défensive ; ils ne s’expriment guère que dans les démocraties de l’Ouest et la sincérité de beaucoup est sujette à caution. Et il faut savoir qu’ils ne disposent d’aucune doctrine à opposer au courant majoritaire.

Ces faits, constatables, indéniables, signifient notamment que l’espoir de voir naître un « islam des Lumières », en Europe par exemple, est une utopie… ou un outil de propagande. A supposer que, dans un de nos pays, une branche de l’islam développe des rameaux plutôt laïcs ou tolérants à l’égard des autres, ces étrangetés seraient, tôt ou tard, réduites à rien par l’orthodoxie à laquelle obéissent un milliard quatre cent millions d’hommes qui, de nos jours, communiquent d’un bout de la Terre à l’autre, notamment par les télévisions satellitaires.

La « divine surprise » de l’Europe, terre d’immigration de l’islam :

Pendant des siècles, il était interdit par la Loi à un Musulman de s’établir durablement dans un pays non musulman, parce qu’il lui serait impossible d’accomplir ses devoirs et que ses moeurs risquaient de se corrompre. Au siècle dernier, l’Algérien Ben Badis ou le Frère Musulman égyptien, Sayyid Qutb, n’avaient pas de mots assez durs pour condamner ceux qui émigraient chez les Infidèles.

Soudain, au tournant des années soixante-dix quatre-vingt, le discours des maîtres à penser a changé. Que s’était-il passé ? Des Européens de l’Ouest, par avidité financière (plutôt à droite) et/ou par calcul politicien (à gauche), faisaient venir des Musulmans en nombre sur leur territoire, puis, par stupidité et veulerie, ils laissaient s’en installer d’autres par millions.

La constitution d’une diaspora musulmane en Europe occidentale – une nouveauté dans l’histoire – a été analysée par les Musulmans les plus attentifs à leurs devoirs saints comme une aubaine pour reprendre la guerre d’expansion. Le continent ennemi héréditaire était de nouveau à la portée des Croyants. Mais, cette fois, la guerre serait subversive. La taqiyya remplacerait le cimeterre. (L’énoncé même de ce fait : « l’islam conduit une guerre subversive de conquête en Europe » choque certains de nos esprits patentés « antiracistes ». Ethnocentrisme encore, et, en l’occurrence, « racisme » inconscient, mais bien réel ! Au nom de quoi, sinon à partir d’une supériorité présupposée de leur vision du monde, des Occidentaux non musulmans peuvent-ils reprocher à des Musulmans de se conformer à leurs valeurs les plus sacrées et d’aligner leurs actes sur leurs dogmes fondamentaux ?)

Une stratégie « peau de panthère », en vue, pour commencer, de la libanisation :

Une stratégie précise a été élaborée et elle est mise en oeuvre avec systématisme. Les rôles y sont bien distribués : des généraux d’état-major (comme, entre autres, l’Egypto-qatari Qaradawi, président du Conseil européen pour la recherche et la fatwa – sic –), des combattants (les cadres et militants d’organisations comme l’UOIF), des sympathisants, de la piétaille, des taupes (beaucoup de Musulmans « modérés »), et, bien sûr, des idiots utiles (tant d’Européens de souche !), des alliés à courte vue… Cette stratégie ne cesse de remporter victoire sur victoire, démontrant par là même et sa réalité et son efficacité.

Dans une première phase, les opérations s’articulent sur trois axes :

– D’abord, faire venir en Europe le maximum de Musulmans (ou de migrants susceptibles d’être islamisés, comme les Noirs d’Afrique).

– Les réislamiser, ce qui ne veut pas tant dire leur apprendre ou réapprendre les dogmes et lois de l’islam, les inciter à fréquenter la mosquée… Non, les réislamiser, c’est d’abord les doter de signes et de comportements marquant leur qualité de membres de la umma et, donc, rendant impossible leur intégration dans le pays d’accueil. Comment ?

+ les prénoms des enfants. Donner à un enfant un prénom musulman, c’est le tatouer à jamais comme musulman, ainsi que toute sa descendance, car un Musulman ou un enfant de Musulman ne peut quitter l’islam : c’est le crime d’apostasie, punissable de mort. Aujourd’hui, dans toute l’Europe, la pression sur les immigrés est telle qu’aucun d’eux ne peut appeler son rejeton Marcel, Alain ou Isabelle.

+ le voile des femmes, qui signifie non seulement un statut diminué, mais aussi l’interdiction du mariage avec un non-Musulman ; le voile, c’est le fanion d’une armée.

+ le ramadan : le mois lunaire de jeûne a une fonction policière de premier plan : il permet de détecter les « mauvais Musulmans », qui seront châtiés en conséquence et ramenés par la pression de la communauté dans le droit chemin.

+ les mosquées, évidemment, qui sont bien autre chose que des « lieux de prière », à la fois mairies, lieux de réunions pour la politique et la propagande (c’est dans les mosquées que sont nés tous les mouvements d’opposition au « modernisme »), écoles, centres de formation continue, éventuellement casernes…

+ les moeurs, les habitudes alimentaires (la viande halâl, licite…), qui, comme les prénoms et les vêtements, sont des marqueurs au quotidien, permanents, de l’identité et des rappels à ne pas se laisser entraîner vers l’assimilation à la société d’accueil.

+ etc.

– Habituer les Européens au « fait musulman », les amener à considérer la présence de l’islam comme « normale », non dérangeante et définitive, ce qui conduit à laisser aux envahisseurs toute latitude pour mener à son terme leur projet de conquête. Les prénoms, les voiles, les mosquées, le ramadan, la viande halâl… doivent être banalisés peu à peu sur notre territoire. La revendication pour des « arrangements raisonnables », au nom de notre tolérance, des droits de l’homme, du respect dû aux religions…sera méthodique, incessante, portant ici sur la séparation des hommes et des femmes dans les piscines, là sur tel ou tel chapitre de l’enseignement non conforme à la doctrine islamique.

Il s’agit, on le voit, d’une conquête par petits bouts, portant à la fois sur les lois, les moeurs, les paysages…, « en peau de panthère », pour arriver à la reconnaissance par la loi d’une communauté identitaire – qu’on pourra qualifier de « religieuse » par ethnocentrisme – à l’intérieur de chaque pays, autrement dit : la libanisation.

L’étape suivante – tout aussi programmée – est la conquête du territoire lui-même. N’ayant plus à ménager les autochtones, les guerriers d’Allâh utiliseront désormais la violence armée. La méthode est annoncée :

– obtenir du pouvoir central des « places de sûreté islamique » (sur le modèle des villes de sûreté des protestants au XVIe siècle) là où la population est majoritairement musulmane ; dans ces zones, la Loi musulmane sera appliquée dans on intégralité ;

– à partir de ces points d’appui, grignoter continûment (encore « la peau de panthère ») des espaces.

Les chefs de la guerre font miroiter à leur troupe l’islamisation complète, avant la fin de ce siècle ou au cours du siècle suivant, d’un ensemble comprenant

– la France, qui compte le plus grand nombre de Musulmans et le plus fort pourcentage de Musulmans dans sa population, coupable de colonisation et de guerre contre l’indépendance, terre des « Francs », à l’origine des croisades…,

– la Belgique, déjà affaiblie par ses deux communautarismes de fondation et dont la capitale, Bruxelles, par ailleurs « capitale de l’Europe », est presque conquise démographiquement : dans dix ou quinze ans, un habitant sur deux y sera musulman,

– l’Italie, cible « spirituelle », à cause du Vatican,

– l’Espagne : al-Andalus, de Gibraltar à… Narbonne, exclue injustement de la Maison de l’islam.


Les Européens appliquent la stratégie de leur ennemi. Pourquoi ?

Les Européens ont laissé les Musulmans qui leur font la guerre développer leur stratégie sans même avoir conscience qu’ils étaient attaqués. Il y a là un mystère qui n’est pas sans précédent dans le temps (cf. l’attitude des démocraties face au nazisme et au communisme dans les années trente). Ce qui est nouveau, c’est que les pays agressés ont apporté leur concours activement à leur ennemi, non seulement en cédant à ses demandes, mais en allant au devant de ses revendications, en appliquant sa stratégie, en « en faisant toujours plus » : par exemple, créer des postes d’« aumôniers » dans l’armée ou les prisons (ni la fonction ni le terme n’existent en islam), former des « imams » (un mot valise qui permet les ruses les plus variées)…

Il faut faire la part belle à la mauvaise conscience coloniale, à la dilution des valeurs de civilisation en Occident, à la haine de soi, à la torpeur avachie de générations de repus voulant croire toute guerre désormais impossible… Ces causes-là sont certaines, mais elles sont insuffisantes pour expliquer une attitude littéralement suicidaire. L’étude ne peut qu’être esquissée ici. Retenons quelques points essentiels :

+ les intérêts à court terme de lobbies et de partis : le « patronat » faisant venir des immigrés pour faire pression sur les salaires ouvriers et disposer d’une manoeuvre bon marché et mal protégé, les socialistes espérant créer entre droite et gauche un parti charnière qui leur serait acquis ;

+ la sous-estimation de l’adversaire, le mépris des anciens colonisateurs qui ne pensent pas que des hommes (des « bougnoules ») qu’ils ont dominés puissent sérieusement les menacer, encore moins les vaincre ;

+ l’aïkido à partir de nos conceptions et de nos valeurs : une technique qui fonctionne à la perfection. Les appels à la tolérance, au respect des religions, des minorités, à la liberté de conscience servent à justifier notre complaisance à l’égard d’un totalitarisme à qui ces notions sont inconnues et qui les refuse frénétiquement là où il a le pouvoir.

+ notre besoin de nous rassurer. Pour ne pas avoir à envisager toute l’horreur d’une guerre avec l’islam tout entier, nous nous accrochons à trois contre-vérités :

  • « l’islam n’est qu’une religion parmi d’autres, d’ailleurs une religion de tolérance et de paix. » Passons !
  • « il est absurde de parler de l’islam comme d’une entité géopolitique. Il existe tant de variétés d’islam ! » Certes, mais tous les Musulmans, dans les cinquante-sept pays membres de l’Organisation de la Conférence Islamique et dans les communautés de la diaspora, tous adhérent aux mêmes « fondamentaux », tous lisent le même Coran… Le sentiment d’appartenance des Musulmans à une umma radicalement, ontologiquement, différente du reste de l’humanité est constant depuis le VIIe siècle. (C’est dire, notons-le au passage, les possibilités de soutien et de mobilisation au nom de l’islam en cas de choc aggravé des civilisations.)
  • « les menées agressives de Musulmans, tant dans nos banlieues qu’à l’échelle planétaire, s’expliquent facilement par la pauvreté, le sous-développement… ». Nous nous réfugions dans une explication simpliste par l’économie alors que les pires terroristes viennent des pétrodictatures richissimes et refusons de voir que le problème est identitaire – sans doute parce que nous ne savons plus guère ce qu’est une identité, à commencer par la nôtre.

Surtout, dans ce besoin maladif de refuse de voir l’islam tel qu’il est, nous avons inventé « les islamistes ». Ecoutons nos définitions de ces « fous d’Allâh » : « des marginaux », « qui défigurent l’islam en le mettant au service d’une ambition politique », « quelques individus » « que leur passéisme même condamne à disparaître. » Et nous faisons d’Al-Qaïda notre seul adversaire musulman et de ses attentats sanglants, le seul danger venu de l’islam.

+ Dès lors – et c’est un fait auquel nous ne prenons pas garde – la guerre des « islamistes » fait écran à la guerre subversive contre l’Europe, autrement active et autrement dangereuse. Elle seule occupe les écrans, la presse ; des centaines de livres lui sont consacrés et sont largement diffusés alors qu’il est impossible de trouver en librairie les rares ouvrages qui évoquent l’invasion de notre continent. Pourtant, qu’on réfléchisse un peu : les attentats des « islamistes » ne peuvent provoquer que des sursauts d’autodéfense, de survie, quand la subversion qui grandit dans notre corps social même est un cancer létal.

Nous ne remporterons pas la guerre sans une stratégie

Comment sortir d’un mécanisme de destruction de l’Europe ? Quelques indications :

+ une stratégie globale est indispensable. Ce n’est pas en multipliant les coups qu’on fera pièce à la stratégie globale d’en face. Définissons des objectifs clairs, susceptibles de mobiliser les masses ; élaborons des méthodes et des moyens, évaluables et révisables… Ne recommençons les erreurs des croisés et des colonisateurs qui agirent toujours sans vision d’ensemble, en suivant l’occasion, jusqu’à la déconfiture.

+ prendre conscience de l’importance de l’enjeu. Nous vivons actuellement un « processus continu de libanisation » (Ivan Rioufol). La libanisation, c’est la guerre civile à l’état endémique entre l’islam, expansionniste et guerrier, et les autres composantes de la nation.

Voulons-nous laisser cet héritage à nos enfants ? Après la libanisation, le terrorisme islamique pouvant se déployer pleinement, la fin de notre civilisation ne demandera pas longtemps. Nous connaîtrons le sort des Juifs de Médine, des Chrétiens sujets de Byzance, des Persans… Là où l’islam passe, les civilisations trépassent. L’Europe a commencé à jouer sa survie même.

Au plus tôt

+ inverser les courants migratoires avec les pays musulmans ou connaissant une propension à l’islamisation (le sujet est trop vaste pour être traité ici).

+ apprendre l’islam et le dévoiler. Dire que c’est un totalitarisme, qui ne se réformera jamais.

Avant tout, sortir du piège de l’islam religion. Cette religion-là dissimule un système politique, militaire, juridique, policier… impitoyable qui ignore la liberté de l’individu, qui refuse l’autre, qui recommande la guerre pour son expansion. Peut-on accorder à un tel système, sans aucun contrôle, des moyens de propagande, des écoles, des émissions sur le service public, des aumôniers dans nos armées, des prêcheurs dans nos prisons… ?

+ ne rien céder sur nos valeurs, nos lois, notre morale, nos modes de vie, puisque, en islam, tout ce qui constitue une civilisation relève d’une même Loi et que tout recul de notre part est une victoire pour l’ennemi.

+ fonder notre action avec les Musulmans sur deux notions qui nous sont communes, qui seront donc facilement admises :

  • à l’intérieur, la justice : une justice ferme, aux règles connues et appliquées sans faiblesse. Exemple :« cramer » une voiture = incendie volontaire ; selon le Code pénal français, art. 322 : 10 ans d’emprisonnement, 150 000 euros d’amende.
  • vis-à-vis des pays étrangers, la réciprocité : pas de champ libre à l’islam tant que les pays musulmans ignoreront la liberté de conscience ; pas de prêcheurs musulmans tant que les prêcheurs chrétiens seront interdits en terre d’islam… Ainsi, nous mettrons un terme à l’ingérence de régimes et de personnages médiévaux et hostiles dans nos affaires intérieures.

+ affirmer hautement et fortement nos valeurs chez nous ; les enseigner à nos enfants. La fierté d’appartenance est la première condition pour qu’un homme se construise et pour qu’une nation tienne debout.

+ définir dans nos pays, par la voie démocratique – et le référendum sera indispensable –, un statut de l’islam qui tienne compte de ses spécificités multiples, et notamment de celles qui sont radicalement incompatibles avec nos valeurs et nos modes de fonctionnement démocratique. Il faut arriver au plus vite au containment de l’islam en Europe.

+ dans le débat, ne pas s’interdire d’examiner la possibilité d’une interdiction pure et simple de la propagande et de l’exercice de l’islam en Europe.

Immédiatement

OEuvrer à l’unité des résistants : les clivages internes à notre civilisation, comme la distinction droite-gauche ou catho-franc-mac doivent s’effacer devant l’objectif commun. Un objectif semblable à celui des résistants de 1940 : vaincre un totalitarisme pour sauver nos démocraties et survivre dans notre personnalité. Une question de vie ou de mort. Une question d’honneur aussi.

Un paradoxe ? Seule la lutte contre l’islamisation de l’Europe nous acquerra le respect des Musulmans.

Le programme ébauché ci-dessus ne peut que provoquer la frénésie d’un certain nombre d’Occidentaux qui crieront : « Racisme ! Xénophobie ! Islamophobie ! ». Mais comment sera-t-il jugé par les Musulmans ?

Notons que la certitude de la victoire des Musulmans sur nous est basée principalement sur notre incapacité actuelle à défendre notre civilisation face aux empiétements de la leur. Nos faiblesses, nos démissions devant l’islam sont pour eux des preuves de notre décadence, de notre faiblesse, et même de… notre impiété. Nous sommes des « vaincus d’avance », qui, par leur comportement, ne font que démontrer qu’ils méritent leur sort à venir, le sort que leur réservent des hommes pieux, moraux, courageux, oeuvrant « dans le chemin d’Allâh ».

Reprenons en mains notre destin et le jugement des Musulmans – de tous les Musulmans – sur nous changera aussitôt. Nous respectant nous-même, nous acquerrons le respect de l’autre. Du même coup, en mettant un coup d’arrêt à l’entreprise de destruction de notre civilisation, nous diminuerons l’agressivité des enragés et libérerons les plus modérés de l’emprise des agents du totalitarisme. Avec les pays musulmans, nous pourrons entretenir des échanges plus apaisés. Nous pourrons parler avec chaque Musulman d’égal à égal, dans un langage clair, dénué d’arrière-pensée.

Faute de quoi, à moins d’une implosion de l’islam que rien ne permet de présager, nous nous condamnons soit à nous engager dans une Reconquista longue et meurtrière, soit à accepter notre disparition dans la oumma totalitaire.


René Marchand

Auteur de « La France en danger d’islam

Lu sur: http://tinyurl.com/2fz556m

« L’Iran voudrait se doter de l’arme nucléaire. Et nous devons tout faire pour l’en empêcher. »!

Effectivement, la majorité des médias et gouvernements occidentaux nous pousse à craindre cette menace qui ne ferait aucun doute. Ils sont très sûrs d’eux, péremptoires, catégoriques.


Pourtant, ces médias et gouvernements, toujours les mêmes, au Royaume Uni, et aux Etats-Unis en tête, nous ont déjà menti, de façon flagrante, ou ont substitué la propagande à l’information [1-2].

Par rapport au passé, la France a rejoint le groupe des gouvernements soumis au complexe militaro-industriel et au système financier anglo-saxons [3].

Ce complexe militaro-industriel et ce système financier veulent conquérir des marchés, détourner pour eux-mêmes des ressources énergétiques, dominer des populations, y compris les leurs, et surtout, justifier leur existence et préserver leur place, tout en haut de la chaîne alimentaire mondiale.

Dans la version psychologique de cette guerre contre la vérité, composante très importante de la guerre mondiale lancée par le tandem Bush-Cheney en septembre 2001, l’Iran est devenu une cible de choix, et subit des attaques de tous côtés.

Pour envahir la Yougoslavie, la faire éclater, et la soumettre au diktat occidental : diabolisation de la Serbie et de Slobodan Milosevic. Pour envahir l’Afghanistan, en faire une colonie anglo-saxonne et pouvoir voler ses précieuses ressources : diabolisation des Talibans, pourtant récemment connus comme très bons amis de l’administration US, jusqu’en août 2001.

Pour envahir l’Irak : diabolisation de Saddam Hussein, lui aussi un très bon ami des néoconservateurs US.

Pour ces deux derniers exemples, la créature mythique Ben Laden, sorte de Kraken moderne, et son club, Al-Qaida, sortis opportunément de leur boîte par l’Empire anglo-saxon, ont servi de mèche d’allumage… Maintenant, l’Iran.

Le gouvernement iranien aurait truqué le résultat des élections de juin 2009 [4].

Le président sortant, Mahmoud Ahmadinejad, aurait volé la victoire à son opposant, le favori des Occidentaux, Hossein Mousavi. Pour l’électeur occidental, tellement mieux loti, lui qui a la chance d’avoir des présidents comme Barack Obama, Nicolas Sarkozy ou des Premiers Ministres sincères, dévoués, et désintéressés, il est tout bonnement impensable de choisir le « terrible dictateur religieux antisémite » Mahmoud Ahmadinejad ! Comment est-ce possible ? Seul un bidouillage de l’élection peut l’expliquer.

Pourtant, de ce que nous savons grâce au travail de véritables journalistes et auteurs non inféodés aux puissances occidentales dominantes, il semble bien que la majorité du peuple iranien, 24,5 millions de voix (63,3% des suffrages), ait effectivement choisi de reconduire Ahmadinejad à leur tête [5].

Bien sûr, si cela est incompréhensible pour les Occidentaux, c’est tout à fait logique pour un grand nombre d’Iraniens…

Suite et source: http://tinyurl.com/27hncdv

Affaire Galinier : La Nouvelle Droite Populaire saisit la HALDE !

« Ils » vont finir par le relâcher, ce pauvre homme, enfin !!!

FDF

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Affaire Galinier : La Nouvelle Droite Populaire saisit la HALDE et exige qu’elle poursuive les « juges » de la Cour d’Appel de Montpellier pour incitation à la haine raciale

Un communiqué de la Nouvelle Droite Populaire :

Pour la troisième fois, les juges de la Cour d’Appel de Montpellier ont refusé la mise en liberté de René Galinier, incarcéré depuis le 5 août, qui avait eu l’outrecuidance de défendre son domicile face à deux cambrioleuses Roms qui furent légèrement blessées.

Depuis, René Galinier, 73 ans, croupit en prison. Même le Parquet, c’est-à-dire le ministère de la Justice, a requis sa libération qui vient d’être refusée par les « juges » de la Cour d’Appel de Montpellier au motif que « une mise en liberté pourrait susciter l’incompréhension dans l’ethnie d’origine des victimes et faire craindre des représailles à l’égard du mis en examen ». Le motif de ce refus de libérer Galinier tombe sous le coup de la loi. Il s’agit, d’évidence, d’une stigmatisation (ils adorent ce terme, alors allons-y…) d’une ethnie supposée potentiellement violente par les juges eux-mêmes.

En conséquence, Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, a décidé de saisir la Halde en lui demandant de poursuivre les juges de la Cour d’Appel de Montpellier pour « incitation à la haine raciale ». Nous attendons avec impatience la réaction et l’émotion de la Halde et des lobbys.

source ndp herault

Polygamie: un juge écossais cède aux islamistes !

Vous n’allez pas y croire! Eh bien si, cette histoire s’est déroulée en Ecosse…Le code de la route, là-bas, s’adapte selon si on polygame-musulman ou pas… Honte au juge qui a fermé les yeux sur un excès de vitesse qui aurait pu coûter la vie à n’importe qui…

FDF

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France: un régime d’apartheid ?

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Où l’on reparle de ce con de Cortex…

FDF

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Un homme à été arrêté sur ordre des puants du CFCM pour avoir cramé un coran et posté la vidéo sur youtube, hors quiconque est déjà allé sur youtube n’a pas pu rater des vidéos dont on a fait la compilation ici :

(lire la vidéo)http://www.youtube.com/watch?v=wSFnJLqn3tM&feature=player_embedded#!

Ou encore cette vidéo là

(lire la vidéo)http://www.youtube.com/watch?v=OJviivbNJTw&feature=player_embedded

 

Et il y en a pleins d’autres.

Hors, il n’y a qu’un seul type de gens qui ont des problèmes suite à des vidéos postés sur youtube, c’est ceux dont on ne ressent pas le besoin de préciser  « comme les autres » après avoir dit qu’ils étaient « français ».

Bref il y a donc deux sortes de français, les « blancs » voués à l’excuse et à la repentance éternelle et donc condamné à vivre complexés et dans le doute perpétuels, puis les autres « comme les autres », français simplement « parce qu’ils ont des papiers » jouissants de tous les droits sans aucune contrainte et sans aucun complexes ni aucun compte à rendre à personne, pouvant jouir comme bon leur semble de la vie de leur serf « souchiens ».

Merci à JLB pour l’info…

 

La gastro remplace la grippe A. Roselyne a été prévoyante…

Lu sur: http://www.observatoiredessubventions.com/

Encore un soutien à René Galinier !

On voit bien que la version officielle des autorités de Justice comme quoi René Galinier reste en prison pour sa sécurité personnelle ne tient pas la route. De plus en plus de gens le comprrennent. Les français ne sont pas tous des cons…

FDF

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Nissan-lez-Ensérune se mobilise pour René Galinier.

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Silencieux, calmes mais déterminés : près de sept cents partisans de René Galinier ont défilé, hier samedi, dans les rues de Nissan-lez-Ensérune (Hérault) pour réclamer sa libération. Ils ont marché lentement depuis la cave coopérative de ce village de 3 500 habitants jusqu’au pavillon du retraité, là précisément où le retraité avait ouvert le feu et blessé, le 5 août dernier, deux jeunes Roms en train de le cambrioler. Le septuagénaire est incarcéré depuis soixante-six jours à la maison d’arrêt de Béziers, après avoir essuyé deux refus de remise en liberté de la part de la cour d’appel de Montpellier, malgré la position favorable du parquet de Béziers et du procureur général. « L’ordre public n’est pas menacé et nous sommes aujourd’hui à mille lieuincarcération

x des mouvements extrêmes qui se sont manifestés. Il s’agit de mettre un terme à cette période de tension et d’épargner à René Galinier des souffrances physiques et morales inutiles », explique Pierre Cros, le maire de Nissan, signataire d’une lettre adressée au président de la République, Nicolas Sarkozy. Dans le cortège, les sympathisants de René Galinier racontent tous un fort sentiment d’injustice devant le maintien en prison du retraité. « On encourage plutôt les voyous que les honnêtes gens », regrette Jean Oliver, 76 ans, ancien collègue de travail de Galinier. « C’est franchement anormal ce qui arrive à René Galinier », estime cette habitante de Nissan. « La justice doit se remettre en question, sans tomber dans les extrêmes. Il faut qu’il y ait répression et punition. Les honnêtes gens sont désemparés, surtout dans les villages du Midi », explique Robert Raluy, le maire de Bessan (Hérault), dont l’un des habitants, Gaston Malafosse s’était pendu en prison en 2005 après avoir blessé des jeunes qui le harcelaient. « Aujourd’hui, nous défilons dans le calme et la dignité. Nous espérons que la prochaine demande de mise en liberté sera prise en compte. Sinon, les manifestations seront beaucoup plus agitées », menace Jean Pons, président du comité de soutien local. « Mon père en a marre. Au parloir, je l’ai trouvé fatigué, usé. Il est malade. Il souffre d’un cancer. Il a pris un grand coup au moral avec cette non-libération. Il répète qu’il n’est ni raciste, qu’il n’a pas d’étiquette politique et qu’il refuse toute récupération partisane, » ajoute Fabrice son fils. Me Josy Jean Bousquet, l’avocat du retraité s’apprête à déposer une nouvelle demande de mise en liberté.

Source: http://tinyurl.com/2ud2mko

Petit rappel dominical… La « novlangue »…

Attention! Certaines sources ne sont plus valables car obsolètes dans les dates de publication. Mais c’est dimanche, vous avez un peu de temps pour faire les recherches nécessaires. Pas vrai?

FDF

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Apprenez bien ces nouvelles définitions…

Quelques exemples de la novlangue (nouvelle langue) : les mots façonnent les esprits, puis modifient la manière de penser :

 

 

  • Ne dites plus clandestin mais candidat à l’immigration (Figaro)

  • Ne dites plus clandestin, immigré illégal, ni même sans-papiers, mais privés de papiers(source)

  • Ne dites plus discrimination positive mais encadrement différencié (Belgique) (voir)

  • Ne dites plus quartier à majorité immigrée mais quartier populaire (tous les médias)

  • Ne dites plus ni crimes, agressions, violences, mais plutôt actes de délinquance ou incivilités. Et encore mieux bêtises (source) ou faux-pas (France 2). Récent : les inconduites (CNRS)

  • Ne dites plus émeutes ou guerre des gangs mais incidents (partout)

  • Ne dites plus immigration mais mobilité européenne (Frattini, commissaire européen) (voir)

  • Ne dites plus immigré mais client (bureaucratie finlandaise) (voir)

  • Ne dites plus bandes mais identités de quartier.  (LCI.fr)

  • Ne dites plus des bandes de noirs et d’Arabes mais des jeunes qui se regroupent souvent sur des considérations ethniques » (Belgique) (voir)

  • Ne dites plus  enfants d’immigrés mais enfants issus de familles d’éducations éloignées (source)

  • Ne dites plus attraper les voleurs mais lutter contre les délits d’appropriation (France)(voir)

  • Ne dites plus des vauriens font des graffitis mais des graffeurs habillent la ville de couleurs ». (source

  • Ne dites plus un voyou notoire mais un individu défavorablement connu de la justice(tous les médias)

  • Ne dites plus mosquée mais centre culturel et religieux. (partout)

  • Ne dites plus fusillade mais bagarre par balles (source)

  • Ne dites plus Français  attaché à son pays, à sa culture et fier de son drapeau mais raciste

Selon le (saint) coran, les femmes doivent être frappées, battues ou corrigées, c’est au choix…

« Religion » d’amour, de paix et de tolérance…

YouTube – islam battre sa femme est autorisé par le coran

 

Comment battre votre femme avec circonspection

 

 

1 min – 12 mai 2009 – Importé par canalhaine
Un religieux palestinien, le Dr Ismaïl Nawada : comment corriger les femmes rebelles Télévision palestinienne 14 mars 2007
www.youtube.com/watch?v=70s5LlPUYqgmore videos »

S’il est un verset du Coran qui mérite d’être connu, c’est celui de la sourate des femmes où le divin texte exhorte le mari à frapper sa femme. Frapper sa femme, à moins qu’il ne s’agisse de la battre ou, dans la traduction plus pudique de Jacques Berque, de la corriger. Quant à celle de Si Hamza Boubakeur, sévir contre elles suffit, sans en préciser le moyen. Les nuances entre les traductions sont minimes et s’accordent toutes dans la légitimation du châtiment corporel de l’épouse. Texte barbare écrit à une époque où les musulmans se signalaient essentiellement par leur habileté à porter les armes, le Coran sert la domination masculine en alimentant la fable d’une infériorité féminine décidée définitivement lors du péché originel, une tare communément admise, et requise, par les trois monothéismes pour leur propre survie.

Quand leur sont présentés les versets les plus haineux du « saint livre », les croyants rétorquent systématiquement et avec suffisance, fort de s’imaginer les seuls instruits en pseudo-sciences islamiques, que la traduction est mauvaise, que l’infidèle n’a pas compris, que le propos coranique est déformé et autres fariboles qui ne font que refuser, et la précipitent par la même occasion, l’évolution lente, mais inéluctable, de la société vers moins d’emprise du religieux, de son autoritarisme et de ses superstitions.

Afin de couper court à cette argumentation simpliste (« le texte n’est pas mauvais, c’est ta lecture infidèle qui l’est »), neuf traductions de ce verset de la sourate 4 ont été examinées. Comme la numérotation peut varier, le verset apparaît au numéro 34 dans la plupart des éditions alors qu’il est noté au numéro 38 dans celle de Kasimirski et que Blachère indique les deux correspondances 38/34.

Et le résultat est à couper le souffle : selon la traduction, le sort réservé aux femmes par la grandeur spirituelle de l’islam est d’être battues, frappées ou corrigées. Sachant que, d’après les légendes musulmanes, le Coran est incréé (pas d’auteur humain ni de date ou de lieu de confection ce qui résout astucieusement les nombreux écueils propres à l’élaboration de tout texte historique) et qu’il constitue la copie parfaite du « Livre conservé au ciel », la simple existence de ce verset brutal et misogyne suffit à rejeter l’ensemble du livre. Et l’islamophobie devient alors une attitude saine et naturelle.

Les traductions du verset 34/38 de la sourate 4 :

Mouhammad Hamidullah

« 34. Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leurs époux, avec la protection d’Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand ! »

Jacques Berque, Albin Michel, 1995

« 34. Les hommes assument les femmes à raison de ce dont Dieu les avantage sur elles et de ce dont ils font dépense sur leurs propres biens. Réciproquement, les bonnes épouses sont dévotieuses et gardent dans l’absence ce que Dieu sauvegarde. Celles de qui vous craignez l’insoumission, faites-leur la morale, désertez leur couche, corrigez-les. Mais une fois ramenées à l’obéissance, ne leur cherchez pas prétexte. Dieu est Auguste et Grand. »

Kasimirski, GF-Flammarion, 1970

« 38. Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises ; elles conservent soigneusement pendant l’absence de leurs maris ce que Dieu a ordonné de conserver intact. Vous réprimanderez celles dont vous avez à craindre l’inobéissance; vous les relèguerez dans des lits à part, vous les battrez ; mais aussitôt qu’elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand. »

André Chouraqui

« 34. Les hommes ont autorité sur les femmes, du fait qu’Allah fait grâce à certains plus qu’à d’autres, et du fait qu’ils dépensent leurs biens. Les vertueuses adorent, et gardent le mystère de ce qu’Allah garde. Admonestez celles dont vous craignez la rébellion, reléguez-les dans des dortoirs, battez-les. Si elles vous obéissent, ne cherchez pas contre elles de querelle. Voici, Allah, le Sublime, le Grand. »

Si Hamza Boubakeur, ancien recteur de l’Institut musulman de la mosquée de Paris, Maisonneuve et Larose, 1995

« 34. Les hommes ont autorité sur les femmes en raison [des qualités] par lesquelles Dieu vous a élevés les uns au-dessus des autres et en raison des dépenses qu’ils prélèvent sur leurs biens [au profit de leurs femmes]. Les [femmes] vertueuses sont sobres et maintiennent intact en l’absence de leur mari ce que Dieu a prescrit de conserver [ainsi]. Exhortez celles dont vous redoutez l’insubordination. Reléguez-les dans des lits à part et sévissez contre elles. Si elles vous obéissent, ne leur cherchez plus querelle. En vérité Dieu est très haut et très grand. »

C’est fort judicieusement, mais aussi plus sûrement pour mieux convaincre de sa candeur, que Si Hamza Boubakeur note dans son commentaire du verset 34 que le judaïsme et le christianisme enseignent eux aussi la supériorité de l’homme sur la femme, sans toutefois aller jusqu’aux coups. Mais on ne pourra qu’esquisser un sourire de compassion envers le père de Dalil Boubakeur lorsqu’il en appelle à la Tradition pour expliquer que l’islam, contrairement à ce que professe le Coran, déconseillerait en fait de battre les femmes…

Régis Blachère, Maisonneuve et Larose, 1999

« 38/34. Les hommes ont autorité sur les femmes du fait qu’Allah a préféré certains d’entre vous à certains autres, et du fait que [les hommes] font dépense, sur leurs biens [, en faveur de leurs femmes]. Les [femmes] vertueuses font oraison (qânit) et protègent ce qui doit l’être (?), du fait de ce qu’Allah consigne (?). Celles dont vous craignez l’indocilité, admonestez-les ! reléguez-les dans les lieux où elles couchent ! frappez-les ! Si elles vous obéissent, ne cherchez plus contre elles de voie [de contrainte] ! Allah est auguste et grand. »

Jean Grosjean, Éditions Philippe Lebeau, 1988

« 34. Les hommes ont autorité sur les femmes à cause des préférences de Dieu et à cause des dépenses des hommes. Les vertueuses sont dociles, elles protègent ce qui doit l’être selon la consigne de Dieu. Celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, reléguez-les dans leur chambre, frappez-les, mais si elles vous écoutent ne les querellez plus, car Dieu est sublime et grand. »

René R. Khawam, Maisonneuve et Larose, 1990

« 34. Les hommes ont le pas sur leurs femmes, à cause de la préférence que Dieu a manifestée pour les uns sur les autres, à cause de ce que dépensent les hommes pour la subsistance des femmes. Les femmes Justes sont assidues aux offices de prières, gardant au sujet de l’Invisible le secret que Dieu a gardé. Celles dont vous craignez la rébellion, exhortez-les, reléguez-les dans les chambres où elles couchent, frappez-les. Si elles vous obéissent, ne cherchez contre elles aucune voie de coercition. Dieu s’est montré Elevé et Grand. »

D. Masson, Gallimard, 1967 :

« 34. Les hommes ont autorité sur les femmes, en vertu de la préférence que Dieu leur a accordé sur elles, et à cause des dépenses qu’il font pour assurer leur entretien. Les femmes vertueuses sont pieuses : elles préservent dans le secret ce que Dieu préserve. Admonestez celles dont vous craignez l’infidélité ; reléguez-les dans des chambres à part et frappez-les. Mais ne leur cherchez plus querelle, si elles vous obéissent. Dieu est élevé et grand. »

D. Masson est en fait Denise Masson mais, pudeur émouvante de l’islam, nulle part le prénom, et donc le sexe, de la traductrice n’est mentionné dans la traduction éditée chez Gallimard en 1967 dans la collection La Pléiade. Ni la préface de Jean Grosjean, dont le prénom n’est pas occulté, ni l’introduction, les notes et la bibliographie de « D. » Masson ne comportent le prénom de la traductrice. Ce travail ayant reçu l’imprimatur de l’Université d’Al Azhar au Caire, avouer qu’une femme ait pu exceller dans l’art de la traduction du Coran était insupportable aux fanatiques.

Bonus: http://www.tagtele.com/videos/voir/7339


Islam: « annexer l’Etat » !!!

Venez, les p’tits muzz. On vous attend…

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Ca au moins, ça a le « mérite » d’être clair… Manquent pas d’air, les mecs !!! Provocation, encore et encore. Et après, on s’étonne que des gens « pètent les plombs »… Non à la capitulation ! Réveillons-nous !

FDF

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La mosquée d’Evry-Courcouronnes annonce le programme de l’islam :

Annexer l’Etat !

la grande mosquee evry 002.jpg

Lu sur Le Post :

« La mosquée d’Evry-Courcouronnes (photo) ouverte en 1994, est la plus grande Mosquée de France, et peut accueillir jusqu’à 5000 fidèles. Elle dispose également d’un minaret de 25 mètres et d’un centre d’enseignement de l’Islam, 9 salles de cours d’une capacité de 25 élèves chacune.
Pour tous ceux qui ne connaissent pas l’Islam, le site en ligne de la Mosquée d’Evry-Courcouronnes propose aux non-initiés une découverte de la Parole de Dieu (Allah). Voici quelques extraits commentés : 

« Pour un musulman, tous les aspects de la vie, le matériel et le spirituel, la religion et l’état, sont liés, car tout appartient à Dieu, et à Lui Seul. L’Islam donne des directives précises à suivre dans chaque domaine de la vie : au niveau individuel, moral, social, politique, économique »

« Le Saint Coran est la source principale des enseignements de l’Islam et de la législation » (…)Une des caractéristiques essentielles de l’Islam est qu’il n’existe pas de conflit entre le spirituel et le temporel. Les deux sont intimement liés » Lire la suite.

Source: http://tinyurl.com/388ok3f

Mosquée de Metz: attention à la loi de 1905 !

D’après cet article, du moins son contenu, les musulmans de Metz comptent sur la municipalité pour assouvir leur désir d’implanter une « grande » mosquée; au niveau financier, du moins. Rappelons à la mairie de Metz que la loi de 1905 est valable pour toutes les religions... Et là, il est bien question de mosquée; pas de « centre cultuel et culturel », comme d’habitude, quand on est obligé de nommer ce genre d’édifice afin d’obtenir les subventions municipales…

FDF

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Bien que l’affaire dure depuis longtemps, on ne peut pas dire que le politique local fasse preuve d’une grande fermeté :  « Question pratique, tout reste encore assez évasif. Aucun planning n’a encore été fixé. «Il faut laisser les choses se mettre en place»,» tient à préciser Antoine Fonté, adjoint à la Culture et aux Cultes. «On prendra le temps qu’il faudra. La mairie de Metz ne s’inscrit pas dans une démarche d’urgence. Nous voulons que les liens entre les communautés soient les plus serrés possible. Ce projet a besoin de sérénité.» Les rôles sont toutefois répartis. «C’est l’association qui va mener sa réflexion et imaginer ses échéances, sa gouvernance. Tout cela sera exprimé dans un cahier des charges.

La Ville de Metz accompagnera cette grande mosquée selon des modalités qui restent encore à fixer et qui respecteront le cadre législatif. Cela pourra être aussi bien une aide logistique qu’un financement du bâtiment.» Pour l’implantation, rien n’est encore décidé. Officiellement, personne n’y a encore pensé. «Le rêve, ce serait qu’elle soit visible, à côté d’une église et d’une synagogue. Mais il faut aussi répondre au besoin de proximité pour les pratiquants.» On pense, logiquement, à Borny. Rien n’est confirmé. Même un éventuel minaret. «Beaucoup de choses se décideront aussi en fonction de l’argent dont nous disposerons. Nous comptons sur la générosité de la communauté et sur la mairie» confie Djamila El Brahmi« . Bon, finalement : on aura une grande mosquée avec minaret dans un quartier communautaire – et reconnu et accepté comme tel – financée en partie par la Mairie. Pour remplacer celle-ci ou celle-là?

Source: http://tinyurl.com/2a88966

Ground Zero: Un club de striptease ou une mosquée ?

Ah ben là, y’a pas photo, comme on dit. Et les américains « républicains » sondés à ce sujet ont été clairs et nets… En revanche, on hésite un peu chez les « démocrates »… Les indépendants me déçoivent…

Ahhhhh, le puritanisme légendaire de nos cousins d’Amérique…

FDF

Strip Club

Si on vous disait qu’un ou l’autre de ces établissements était construit à deux blocs de Ground Zero, lequel préféreriez-vous? La question a été posée à des électeurs républicains, démocrates et indépendants dans le cadre d’un sondage PPP (Public Policy Polling).

Seulement 4% des républicains préféreraient une mosquée, alors que 21% opteraient pour un club de danseuses nues.

La mosquée l’emporterait auprès de 49% des démocrates et le club de danseuses nues auprès de 33%.

Parmi les indépendants, c’est 34% pour la mosquée et 28% pour le club de danseuses nues.

Au fait, on n’a pas demandé leur avis aux musulmans ?

 

Source: http://tinyurl.com/2b5kfsx

HADOPI: on veut pister, traquer, éliminer: ça se monnaie… Bravo à Free !

Ils sont moins cons, chez Free: ils dealent les transactions. Normal, la délation, ça se rémunère…

FDF

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Free et Hadopi, une épreuve de force.

À la fin de la semaine dernière, la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) a envoyé ses premiers e-mails d’avertissement aux « pirates » qui téléchargent illégalement. Numéricable et Bouygues Télécom ont été les premiers fournisseurs d’accès à Internet à les adresser à leurs clients. SFR et Orange ont suivi. Mais Free, l’opérateur fondé par Xavier Niel (l’un des trois repreneurs du Monde), hostile à la loi Hadopi, s’est refusé à les imiter

Que préconise la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet ?

Pour lutter contre le téléchargement illégal et conformément à la loi Hadopi, il est demandé à tous les fournisseurs d’accès à Internet (Numéricable, Bouygues Télécom, SFR, Orange et Free) d’envoyer un mail d’avertissement aux internautes pris en flagrant délit de « piratage », pour le compte de la Haute Autorité.

Ce mail est ainsi rédigé : « Votre accès Internet a été utilisé pour commettre des faits qui peuvent constituer une infraction pénale. » En cas de récidive, le « pirate » recevra une lettre recommandée avant d’être sanctionné. La Hadopi attend aussi des fournisseurs d’accès qu’ils lui transmettent les adresses de leurs clients suspectés de piratage.

Quelle est l’attitude de Free ?

Contrairement à tous les autres fournisseurs d’accès à Internet, Free refuse de diffuser auprès de ses abonnés le courriel d’avertissement pour le compte de la Hadopi. « Les autres ont décidé de collaborer, nous nous contenterons juste de respecter la loi », a expliqué une porte-parole de Free, mardi 5 octobre.

Elle invoque le respect de la confidentialité des « données personnelles ». Free dit avoir proposé « le principe d’un conventionnement, dans le courant de l’été, au ministère de la culture et à la Hadopi », dans le but « d’encadrer les échanges portant sur des données personnelles au sujet desquelles la Commission nationale de l’informatique et des libertés porte une attention particulière ».

Mais, poursuit l’opérateur, il n’a eu, à ce jour, aucun retour. Or, constate la directrice de la communication de Free, la « loi est très claire, une convention doit être signée avec l’État pour sécuriser les données personnelles de nos clients ». Convention qui à ce jour, effectivement, n’a pas été signée.

Par ailleurs, Free renâcle pour transmettre à la Hadopi les adresses de ses clients suspectés de piratage. Au lieu les envoyer par voie électronique (comme ses concurrents), il a choisi de les imprimer pour les envoyer par la poste. Une procédure qui ralentit et complique le travail de la Haute Autorité.

Quelle est la réponse d’Hadopi ?

Mardi 5 octobre, au cours d’une conférence de presse, la présidente de la Hadopi, Marie-Françoise Marais, n’a pas exactement répondu aux objections de Free.

Elle a souligné que la position actuelle du fournisseur « va porter atteinte aux droits de ses abonnés. En ne recevant pas le premier mail d’avertissement, ils n’auront pas l’information à laquelle ils pourraient prétendre, ce qui pourrait être fort désagréable pour eux ».

Quelles sont les motivations de Free ?

Free est connu pour son non-conformisme dans le monde des télécoms. C’est lui qui en 2002 avait cassé les prix du secteur, en lançant le premier une offre tri-play à travers sa Freebox : Web, téléphone, télévision sur ADSL pour 29,90 € pas mois.

En refusant pour l’heure de se plier aux demandes de la Hadopi, il s’offre une formidable publicité et apparaît auprès des « pirates » comme le plus indépendant des fournisseurs d’accès à Internet.

Source: http://tinyurl.com/2w9bbtj

Lire aussi: http://pro.clubic.com/legislation-loi-internet/hadopi/actualite-371500-hadopi-free-65-centimes-abonne.html

Sentiment d’impunité: L’attaquant de Sochaux Charlie Davies flasché à 201 km/h !

« M’en fout! Je suis une star du foot, je suis issu de l’immigration, je nage dans le fric, je fais ce que je veux et je vous emm…. ».

Il doit penser ça, Charlie… Il me fait penser à Ribéry, ce mec, en moins laid… Mais bon; ce n’est pas une raison pour braver impunément les lois du code de la route français. En outre, il n’a pas à ce sujet un passé très… reluisant.

Ah ? Dernière minute! C’était son coéquipier, Jacques Faty qui conduisait! Si si! Ca alors! Lisez ce qui suit, questions explications foireuses, y’a pas mieux: http://tinyurl.com/386umybCa conforte mes opinions.  » C’est pas moi, m’sieur !« . Non mais, ho! Un sportif de haut niveau, on n’y touche pas… N’empêche que le fameux Charlie, il lui a fallu quand-même 24 heures pour qu’il s’apperçoive que ce n’était pas lui qui conduisait… Bon! Vous la prenez ou non, cette carte de supporter du FC Sochaux?

FDF

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L'attaquant de Sochaux, Charlie Davies, le 15 août 2009 

L’attaquant de Sochaux, Charlie Davies, le 15 août 2009 V.KESSLER/REUTERS

 

L’attaquant de Sochaux avait échappé de peu à la mort lors d’un accident de voiture l’an dernier…

Charlie Davies a été flashé à 201Km/h sur l’autoroute sur l’A36 à proximité de Dole (Jura), selon le Progrès. L’attaquant de Sochaux, qui n’a toujours pas rejoué au football, suit une lente rémission depuis plus d’un an. Hématome cérébral, multiples fractures du fémur, fracture du tibia, éclatement de la vessie, lésions au visage et luxation du coude… Le joueur avait eu un accident de voiture l’an dernier à Washington (Virgnie), qui avait aussi coûté la vie à une passagère.

Source: http://tinyurl.com/386umyb

Chez « eux », ils nomment ce genre de type un apostat, je crois…

Ce n’est pas que je crois; j’en suis certain. Et pour un apostat chez les musulmans, mieux vaut prendre une assurance-vie… le « père » Chalghoumi est sous protection policière; c’est dire ce que la « religion » d’amour, de paix et de tolérance lui réserve… Les muzz ne sont plus ses potes. Et les chrétiens ne l’ont jamais été. Alors, il roule dans le sens du vent; et rase les murs tout en invoquant Allah (ou Dieu) qu’il ne tombe pas sur Tariq Ramadan.

Quand l’imam de Drancy Hassen Chalghoumi se convertira t’il au christianisme? Rien que se sentir plus protégé. Rien que pour ça. On a déjà vu des retournements de veste mais celui-ci est à notrer dans les annales… Encore un champion de la stigmatisation, dans son genre… Ils sont forts, ces arabes…

FDF

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«La burqa, un bout de tissu indigne de l’islam»

VIDÉOS

Burqa, polygamie, islamisme radical… Invité de «Parlons Net» sur France Info, dont Le Figaro.fr est partenaire, l’imam de Drancy Hassen Chalghoumi livre sans langue de bois sa vision, celle d’un homme menacé et sous protection policière depuis des mois.

http://www.dailymotion.com/swf/video/xf4a3a?additionalInfos=0

Il dit tout haut ce qu’aucun imam modéré n’ose évoquer en public. Le voile intégral ? Pour lui, ce n’est pas une prescription religieuse mais «une prison pour les femmes, un outil de domination sexiste et d’embrigadement islamiste. Cette tradition très minoritaire renvoie à une idéologie qui saborde la religion musulmane». Les frères muslmans ? «C’est une plaie» pour l’islam. Sa liberté de parole comme son soutien dès janvier dernier à la loi interdisant la burqa valent aujourd’hui à Hassen Chalghoumi de vivre 24 heures/24 sous protection policière.

La mosquée de Drancy, gérée par l’association al-Nour que dirige Chalghoumi, avait été le théâtre entre janvier et mars de vives tensions entre ses fidèles et ceux du collectif pro-palestinien Cheikh Yacine. Des images de haine très loin du message qu’il veut faire passer dans son livre «L’islam de France» (Edition Le Cherche Midi). Un plaidoyer pour «un islam animé par le mieux-vivre en France», où il regrette que l’islam de France soit «sous-traité aux gouvernements étrangers et aux sectes intégristes». Proche de la communauté juive, il se veut la figure d’un islam modéré et respectueux des valeurs de la République.

» Extrait vidéo 1. Hassen Chalghoumi se dit «triste» quand il aperçoit une femme portant le voile intégral. «Je respecte leur pratique, mais je suis contre cette pratique. Ils (les extrémistes, ndlr) ont résumé l’islam, soit quinze siècles de savoir et de lumières, en un bout de tissu sur le visage, c’est indigne !» «Le rôle d’un homme de foi, c’est de respecter les lois. On a besoin de dialogue, d’aller vers l’autre» :

http://www.dailymotion.com/swf/video/xf4a1i?additionalInfos=0

» Extrait vidéo 2. Face à la «montée» d’un islam radical et de certaines «influences étrangères», il plaide pour formation d’imams «républicains». «Un imam de l’Islam de France, ça ne veut pas dire qu’il va légaliser le porc ou changer le Coran… Il va fortifier des valeurs», comme celle de la place à part entière des femmes :

http://www.dailymotion.com/swf/video/xf4a7l?additionalInfos=0

» L’intégralité de l’émission en vidéo

source

Une humanitaire « tuée » durant une opération commando pour son sauvetage…

Eh ben, c’est la valse des humanitaires tués!!! Après Michel Germaneau assassiné au cours d’une « opération de sauvetage » (toujours pas éclaircie, d’ailleurs…), également, c’est au tour d’une britannique de faire les frais de l’inefficacité des « sauveurs du monde »… Lamentable…

FDF

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Dernière info: La force de l’Otan et l’armée afghane ont fait «tout leur possible» pour sauver l’humanitaire britannique tuée par ses ravisseurs, a affirmé ce samedi le commandant des troupes américaines et internationales en Afghanistan, le général David Petraeus.

Une Britannique enlevée fin septembre en Afghanistan a été tuée au cours d’une opération de sauvetage vendredi soir, a annoncé ce samedi le ministère britannique des Affaires étrangères.

«C’est avec profond regret que je me trouve dans l’obligation de confirmer que Linda Norgrove, la travailleuse humanitaire enlevée dans l’est de l’Afghanistan le 26 septembre, a été tuée par ses ravisseurs au cours d’une opération de sauvetage la nuit dernière» (vendredi soir), a indiqué William Hague, cité dans un communiqué de ses services…

Suite et source: http://tinyurl.com/26u3vfq

Webmasters, blogueurs, c’est pour vous…

A méditer…

FDF

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Bit.ly menacé par le respect de la Charia imposé aux noms de domaine libyens

La pérennité des services utilisant une extension de nom de domaine en .ly pourrait être remise en cause. En effet, l’extension .ly est le domaine de premier niveau de la Libye. Or, le bureau d’enregistrement conditionne l’attribution de cette extension au respect de la loi libyenne et de la doctrine islamique. Or, Bit.ly, un service spécialisé dans les URL raccourcies, a forcément réduit un jour une URL allant à l’encontre de cette doctrine.

L’émergence des services de micro-blogging, dont Twitter est sans aucun doute le représentant le plus connu, a donné naissance à une pléthore de services permettant d’échapper à la limite imposée de 140 caractères par message. Ainsi, un site comme TwitLonger permet aux internautes d’écrire des messages beaucoup plus longs. Les services d’URL raccourcies quant à eux sont très appréciés pour réduire la longueur de certaines adresses Internet.

Évidemment, ces nouveaux outils ont engendré de nouvelles problématiques et de nouveaux défis. Par exemple, la fermeture d’un site spécialisé dans les URL raccourcies pose la question de la pérennité des liens générés par ce service. L’accès aux « vrais liens » est alors compromis, ce qui peut avoir diverses conséquences plus ou moins lourdes. Une URL peut également favoriser la propagation de menaces informatique, dans la mesure où l’identité réelle du lien n’est pas connue immédiatement.

Mais ces deux cas de figure sont loin d’être les seules menaces planant au-dessus des services d’URL raccourcies. D’autres considérations, beaucoup plus inattendues, peuvent entrer en ligne de compte. Et avoir un impact terrible sur l’avenir d’un site web. C’est ce qu’a pointé du doigt Mike Masnick, dans un billet consacré au site Bit.ly et – plus généralement – à tous les sites utilisant une extension de nom de domaine en .ly.

En effet, l’extension de nom de domaine .ly est le domaine national de premier niveau réservé à la Libye. Dans son règlement, le bureau d’enregistrement en charge de l’attribution des noms de domaine du territoire libyen interdit aux sites utilisant une extension en .ly d’aller à l’encontre des préceptes de la Charia, la doctrine islamique. C’est la disposition 4.2 du règlement.

« Les noms de domaine ne doivent pas contenir des mots, phrases ou abréviations obscènes, scandaleux, indécents ou contraires à la loi libyenne ou à la morale islamique« . Cela pose évidemment un problème pour un service comme Bit.ly. Très populaire chez les utilisateurs de Twitter, il est très vraisemblable qu’un internaute a déjà utilisé ce service pour réduire une URL qui va à l’encontre de la doctrine islamique. Cela peut être un lien menant vers du contenu pornographique ou vers des jeux d’argent.

Toujours selon Techdirt, il semble que les autorités libyennes ont commencé à réagir face à l’utilisation de plus en plus fréquente de leur extension de nom de domaine. Et manifestement, il n’y a pas de coup de semonce, puisque certains sites web utilisant l’extension .ly ont été désinscrits sans avertissement. C’est ce qu’a expliqué le co-fondateur du site vb.ly à la BBC.

À l’heure actuelle, Bit.ly dispose d’une autre version de son service : j.mp. Cette extension de nom de domaine, .mp, est le domaine national de premier niveau appartenant aux Îles Mariannes du Nord, un archipel situé dans l’océan Pacifique. Le service possède aussi un nom de domaine en .tv, qui appartient aux Tuvalu, un archipel également localisé dans l’océan Pacifique.

À ce sujet, il faut rappeler la mésaventure de TF1 avec son site Wat.tv. L’an dernier, au printemps, le site fut indisponible pendant quelques jours, suite à un souci avec le renouvellement de son nom de domaine. À l’époque, TF1 avait qualifié l’incident de grave, « totalement indépendant de Wat et de TF1« .

Nous avions alors pointé du doigt le risque choisi par TF1 de confier l’avenir de sa marque (Wat.tv), et donc son avenir commercial, au bon vouloir d’un petite île dont l’existence est aujourd’hui menacée par le réchauffement climatique. Une disparition qui poserait la question de la pérennité des noms de domaine créés en son nom. Une stratégie d’autant plus risquée que TF1 cherche à faire converger ses activités audiovisuels avec sa présence sur Internet.

Enfin, l’affaire donne une résonance particulière à la décision du Conseil constitutionnel qui a décidé mercredi d’annuler la loi sur l’octroi des noms de domaine français. Le Conseil a en effet reproché au législateur de ne pas avoir garanti le respect de la liberté d’expression dans les conditions imposées à l’octroi des noms en .FR. Le Parlement croyait sans doute que ça allait de soi, mais les sages ont rappelé qu’il ne fallait jamais l’oublier.

Source: http://tinyurl.com/37mvjuy