Francaisdefrance's Blog

07/10/2010

Une Gauloise qui fait plaisir à entendre… Vidéo.

A bien regarder et écouter… Là, le Momo, il aurait mieux fait de la boucler…

FDF

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http://www.dailymotion.com/video/xf2zcf_agression-verbale_news?start=3#from=embed

Vous êtes Français, prouvez-le !

Pas de panique chez les personnes concernées! C’est le titre d’un livre… Vous avez eu peur, hein?

Mais les nouvelles dispositions du ministère de l’Intérieur sont réelles, elles… Les « recalés de la nationalité » ne vont pas être à la fête… Ca évitera des attributions de droits injustifiées, entre autres… On va peut-être y trouver un moyen de désendetter un peu la France? J’entends d’ici brailler les assocs bobos-gauchos… Les rouages de la machine à fabriquer des non-français sont grippés.

FDF

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20 % des Français sont susceptibles de devoir justifier  leur nationalité française au moment de renouveler leurs papiers d'identité./ Photo DDM.
20 % des Français sont susceptibles de devoir justifier leur nationalité française au moment de renouveler leurs papiers d’identité./ Photo DDM.
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Depuis janvier 2009 qui n’est pas né sur le sol français doit prouver sa nationalité sur quatre générations. Une machine à fabriquer des non-Français s’est mise en marche et les témoignages des recalés de la nationalité s’accumulent.

Longtemps, l’administration a été bonne fille. Il suffisait de produire ses papiers périmés, carte d’identité ou passeport, pour en obtenir de nouveaux. Malgré une légère et toute récente accalmie depuis janvier 2009 et les nouvelles dispositions du ministère de l’Intérieur, qui n’est pas né sur le sol français doit prouver sa nationalité sur quatre générations. Cette exigence dont les exemples se multiplient est ressentie comme une manifestation de défiance de l’État français envers ces « Français pas comme les autres ». Et ils sont légion: 12 millions de personnes, 20 % de la population. La pédopsychiatre parisienne, Dominique Décant-Paoli, comme beaucoup de descendants d’anciens colonisés, s’est soudain sentie refoulée. « En l’espace d’une matinée, la violence et la souffrance ont resurgi dans ma mémoire et avec elles, le souvenir d’un certain lexique colonial. J’ai revécu la misère ordinaire du sous-homme, de l’opprimé, de toutes celles et ceux qui doivent prouver qu’ils sont dignes d’être Français et se doivent de toujours en faire plus pour le mériter » explique-t-elle, après avoir essuyé un refus de renouvellement de carte d’identité.

Peu avant sa mort, Georges Charpak, notre prix Nobel de physique, né en Pologne et naturalisé Français en 1946 aurait été, dit-on, confronté à ces rigueurs administratives.

Une machine à fabriquer des non-Français s’est mise en marche et les témoignages des « recalés de la nationalité française s’accumulent. La journaliste Catherine Coroller en a même fait un livre , «Vous êtes Français? Prouvez-le.» Elle y écrit: « En 2010, en France, un nom à consonance israélite éveille les soupçons de l’administration, un militaire noir n’est pas un Français comme les autres, un sous-préfet peut enjoindre à un Français de naissance de demander une carte de séjour. En 2010, en France, si les hasards de la vie vous ont fait naître à l’étranger ou si votre histoire familiale trouve ses racines à l’étranger, y compris les anciennes colonies, un acte aussi banal qu’une demande de passeport vire au calvaire et à l’humiliation. Il vous faudra alors prouver que vous êtes français, mais comment prouver une évidence qui vous accompagne depuis la naissance ? »

Pourtant aujourd’hui, devant l’exaspération croissante, le ministère de l’Intérieur affirme, contre toute évidence, que l’administration est moins tatillonne.


Le chiffre : 45

jours > Délai d’obtention. Malgré l’amélioration du traitement des demandes de renouvellement de cartes d’identité, le délai d’obtention des nouveaux papiers peut s’étirer jusqu’à 45 jours.

« Certaines catégories de personnes continuent de rencontrer des problèmes, particulièrement celles originaires d’Algérie. » Isabelle Denise, responsable du service juridique de la Ligue des droits de l’homme.


témoin : Rama Yade, secrétaire d’état à la Jeunesse et aux Sports

« Je me suis sentie fragilisée »

Vous êtes née au Sénégal. Votre arrivée en France en 1987 a été suivie d’une naturalisation. Vous êtes-vous sentie menacée dans votre nationalité ?

Je regardais les informations dans mon canapé, en vacances dans le Vaucluse, quand le président de la République a prononcé le discours de Grenoble qui en parlait. Mon sang n’a fait qu’un tour et je me suis précipitée sur mes papiers. Mon premier réflexe a été de vérifier que j’étais naturalisée depuis plus de dix ans. Douze ans. C’est bien, ai-je pensé, avant de mesurer combien je m’étais sentie fragilisée et qu’il y avait là quelque chose qui n’allait pas. Je me suis soudain demandée qui j’étais, d’où je venais.

Pensez -vous qu’il y a deux catégories de Français ?

La société française a choisi d’être duale, avec d’un côté ceux qui sont protégés des risques, grâce à leurs statuts et les autres sont des challengers. Résultat, il y a de l’amertume et toutes sortes de difficultés. Comment faire aimer la République à ceux que l’on tient à l’écart ? C’est un vrai problème, un problème de fond que je pose dans mon livre.* Les élites dirigeantes actuelles ne sont tout simplement pas en mesure d’inverser la tendance.

Que faire pour sortir de cette dualité ?

Il faut restaurer l’amour de la nation qui n’a jamais cessé de se bâtir, de grandir, de s’assembler, et la fierté d’être Français. Pour cela, c’est en la jeunesse qu’il faut croire. C’est elle qui tient entre ses mains une part du succès de notre pays, qui peut lui rendre son élan vital. Il lui revient d’apporter un nouveau chapitre à notre histoire et à notre mémoire communes. C’est elle qui peut sortir la France du repli national et de sa mélancolie dont les difficultés pour obtenir des papiers ou les conserver sont une expression.

« Lettre à la Jeunesse (Grasset). Essai, 135 pages.


Maria Pilar: « Une situation ubuesque »

Maria Pilar : » Je suis née à une époque où il ne faisait pas bon naître : à la fin de la guerre civile espagnole, en Catalogne espagnole. Mon village qui portait un nom de saint a été débaptisé sous le régime de la Géneralitat comme tous les villages dont le nom faisait référence à la religion. J’ai donc un acte de naissance original dans tous les sens du terme : il est estampillé du sceau de la Généralitat mais le village qu’il mentionne n’existe aujourd’hui sur aucune carte d’état-major puisqu’il a retrouvé son nom d’origine à la reconquête franquiste. Bien sûr les transcriptions du registre en temps de guerre ont été transférées sur le registre général. Mais il est très difficile auprès d’une administration française de faire valoir cet état de fait.

Mon père était de nationalité française, il faisait partie des brigades internationales. Mon grand-père maternel et ma mère m’ont déclarée sous son nom à la mairie du village et au consulat général de Barcelone qui a délivré à ma mère un laissez-passer où j’étais reconnue de nationalité française. Mon père n’était plus là, il avait fui l’avancée des troupes franquistes. Quand il s’est agi de renouveler mes papiers d’identité, à l’âge de vingt ans, j’ai effectué des recherches sur mon père auprès de la mairie de Tunis où il était né d’un père français, et d’une mère immigrée italienne. L’acte de naissance tunisien ne comporte pas les lieux d’origine de mes grands-parents paternels, ni d’ailleurs la mention de la mort de mon père, revenu à Tunis après l’Espagne. à partir de là, j’ai totalement perdu sa trace, ce qui a abouti parfois à des situations ubuesques. Moi demandant à l’administration française de me fournir des précisions sur son parcours et la date de sa mort, et l’administration me demandant de lui fournir la date du décès. Par contre j’ai eu affaire à des fonctionnaires compatissants au ministère des Armées. Ils m’ont aidée à une époque où on pouvait expliquer son cas au téléphone, sans être renvoyée de bureau en bureau. Je ne compte pas le nombre de courriers envoyés. La difficulté demeure de prouver que mon père était Français né à Tunis, alors que je n’ai jamais pu retrouver la trace de ses propres parents nés sur le sol français.

Je vis en France depuis l’âge de trois mois, mais mon seul viatique est un document du consulat général de Barcelone où mon père s’était inscrit lorsqu’il avait émigré de Tunis à Barcelone et qui me reconnaît sujette de la République française. »


Sept ans de prison pour les « mariages gris »

30 000 euros d’amende et sept ans de prison : voilà ce qu’il en coûtera désormais à tous ceux qui se risqueraient au « mariage gris », qualifié par Éric Besson « d’escroquerie sentimentale à but migratoire ». Ainsi l’a voulu le ministre de l’Immigration, ainsi l’Assemblée nationale l’a suivi en adoptant mardi soir dans le cadre du projet sur l’immigration, une mesure prévoyant de punir ces unions. Les députés de gauche comme les députés UMP Étienne Pinte et Françoise Hostalier, ont demandé la suppression de cette disposition. En vain.

Jusque-là, on connaissait le mariage mixte (84 000 en 2008) qui, selon le ministre sont « un enrichissement pour notre société ». On connaissait aussi le mariage blanc, union de complaisance entre une personne de nationalité étrangère et une autre de nationalité française visant pour la première, à obtenir la nationalité française. La pratique est réprimée depuis 2003. Ce sera pire pour les « gris » à savoir quand un étranger convole avec un ou une Française en lui dissimulant qu’il se marie dans le seul but d’acquérir un titre de séjour, puis la nationalité française. Selon le ministre, « le mariage gris » est en effet « une fraude aux règles d’entrée et de séjour sur notre territoire, et d’accès à notre nationalité », mais aussi « une atteinte à l’institution du mariage », et un « abus de faiblesse » qui créé des « situations de souffrances individuelles, de blessures profondes ».

« Comment décidera-t-on qu’un étranger a volontairement trompé son conjoint sur ses sentiments », a interrogé Étienne Pinte en soulignant que « certains couples mixtes sont déjà confrontés à un parcours du combattant ». Toute la question est là, en effet.


témoignages

Tracasseries ordinaires au service de l’état civil

Les frères Guissé : A l’automne 2009, Ounoussou Guissé, brigadier au 1er régiment des hussards parachutistes de Tarbes, ayant servi au Tchad et en Afghanistan, est convoqué devant le tribunal de grande instance pour y répondre de sa nationalité. Né au Sénégal il est Français par filiation. L’administration ne l’a pas contesté jusque-là et lui a délivré comme à son frère Amara, des papiers français. En 2007 , les deux frères reçoivent une lettre recommandée les informant qu’ils n’ont plus la nationalité française. Ounoussou a réussi à rétablir sa situation. Pas Amara. Lui aussi ancien militaire, la nationalité française continue de lui être refusée.

Christian Messina : Ce fonctionnaire de police, métier réservé aux nationaux, ce titulaire d’une carte d’identité sécurisée et d’un passeport est né au Cameroun. Il est noir et tient sa nationalité de son père naturalisé. Lorsqu’il veut faire établir des papiers pour ses enfants de 4 et 6 ans, nés à Fréjus, la mairie de Créteil, lui réclame un certificat de nationalité. Mais lorsqu’il le produit, le fonctionaire exige désormais ceux de ses enfants !

Abdelkrim Fodil : L’administration lui ayant contesté la nationalité de son père, ce quinquagénaire s’est retrouvé sans papiers. Quand il est rentré dans sa cité, les enfants lui ont crié, « Eh ! tonton, t’es pas Français ? Et nous, qu’est-ce qu’on est ? »


À lire

Notre consœur Catherine Coroller, journaliste à Libération chargée de la rubrique immigration/intégration, a publié un livre intitulé « Vous êtes Français ? Prouvez-le ! » aux éditions Denoël. Elle y raconte comment un acte aussi banal qu’une demande de passeport peut virer au calvaire et à l’humiliation. Elle met en lumière que pour beaucoup de Français nés à l’étranger, il faut prouver leur nationalité. La journaliste a accumulé des témoignages pour dénoncer ce que Brice Hortefeux nomme des « tracas administratifs ».

Source: http://tinyurl.com/28d3fgo

France: ça sent la poudre, dans les cités…

Pas très bon, tout ça… Mais ça a le mérite de nous montrer que la défense de notre territoire semble encore possible… On n’y croyait plus… Mais il s’agit (enfin) de défense intérieure. Contre la racaille et les bandes. Ca veut dire aussi que le risque n’est pas anodin. Depuis le temps que délinquance fait sa loi.  Evitera t’on la guerre civile que beaucoup annoncent? Rien n’est moins sûr. En tout cas, il est temps de faire quelque chose, avant que le peuple ne se rebiffe tout seul (Papy Galinier…). Cette dernière affaire fait couler beaucoup trop d’encre, au goût de certains… Aurait on enfin compris, en France, que si la Légion s’en mêle, il n’y aura pas de prisonniers?

FDF

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L’armée peut engager 10.000 soldats sur le sol français en cas de crise majeure

En cas de crise majeure, l’armée peut engager 10.000 hommes sur le territoire national, selon une instruction interministérielle rendue publique au moment où sort un livre dont l’auteur assure que « l’Etat prépare la guerre dans les cités françaises ».

L’existence de ce texte, daté du 3 mai 2010, et dont l’ouvrage ne fait pas spécifiquement mention, est révélée dans le dernier numéro d’Armées d’aujourd’hui, une des publications officielles du ministère de la Défense.

Cette instruction a été rédigée, avec le concours des ministères de l’Intérieur et de la Défense, par le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN). Ce service du Premier ministre a confirmé à l’AFP l’existence de ce texte en précisant qu’il était classifié « confidentiel défense ».

Le SGDSN est notamment chargé de la planification des plans de réponses aux crises : plan Vigipirate et ceux de la famille « Pirate » (Piratair, Pirate-mer, NRBC …).

En cas de crise, cette instruction, qui découle du Livre blanc (2008) énumérant les priorités stratégiques de la France pour les quinze années à venir, fixe ainsi le « contrat opérationnel 10.000 hommes » que les armées doivent pouvoir déployer en quelques jours.

Interrogé par Armées d’aujourd’hui, le préfet François Lucas, alors directeur de la protection et de la sécurité de l’Etat au SGDSN, a défini une crise majeure comme « un évènement – pandémie, attaque terroriste, catastrophe, crise d’ordre public – dont la gravité et la portée conduisent les autorités gouvernementales à activer le dispositif interministériel de crise ».

Les trois armées (terre, air, mer) interviennent déjà lors de catastrophes naturelles (inondations, tempêtes …) pour épauler les services de secours civils, pour assurer en permanence la « police du ciel », les missions de l’Etat en mer ou renforcer, depuis la fin des années 90, les effectifs de police et de gendarmerie dans le cadre de Vigipirate.

Dans « Opérations banlieues, comment l’Etat prépare la guerre urbaine dans les cités françaises » (éditions La Découverte, jeudi dans les librairies), Hacène Belmessous, présenté comme « journaliste et chercheur indépendant », est beaucoup plus direct. L’auteur assure notamment que les opérations de rénovation urbaine visent à faciliter les interventions policières, voire militaires, à venir dans les quartiers difficiles.

Selon lui, le « contrat 10.000 hommes », dont il dit avoir eu connaissance au mois de juin sans pour autant citer le texte du 3 mai, vise « un seul territoire qui absorbe l’entière attention de Nicolas Sarkozy depuis les émeutes de l’automne 2005 : les +quartiers sensibles+ ».

Dans ce livre brûlot, l’auteur va jusqu’à dénoncer une « inquiétante dérive vers la préparation d’une guerre totale contre les +territoires perdus de la République+ ».

A l’appui de ses affirmations, il cite une étude confiée, après les émeutes de 2005, à la société privée Eurocrise par la Délégation aux affaires stratégiques (Das) du ministère de la Défense. Selon lui, cette étude, qui s’appuie sur l’analyse de la crise des banlieues de 2005, souligne que « l’idée du caractère quasi inéluctable d’un engagement des forces terrestres sur le territoire national dans des circonstances exceptionnelles semble gagner du terrain ».

Source: http://tinyurl.com/2c3yz58

Les responsables musulmans fuient les mosquées…

C’est le cas à Strasbourg, où délégué général de la Grande Mosquée vient d’annoncer par le biais d’un forum qu’il quittait ses fonctions pour des raisons « personnelles »… Comme dit le proverbe: « les rats quittent le navire »… Se passerait il quelque chose d’important et de grave parmi la communauté musulmane de France? On se demande bien pourquoi cette démission soudaine… Pourtant, la maire-dhimmi de Strasbourg, Ries, leur passe tout ce qu’ils veulent, aux musulmans… Bizarre, cette affaire.

FDF

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Voir:

Bonjour,
Après plusieurs années passées au service de la communauté musulmane de l’agglomération strasbourgeoise, je vous informe que je quitte mes fonctions de délégué général de la Grande Mosquée de Strasbourg (GMS), pour raisons personnelles. Ce fut pour moi un grand privilège et un réel plaisir de correspondre avec vous et de représenter cette honorable Institution pendant ces quatre dernières années.
Je saisis cette occasion pour vous remercier du fond du coeur de m’avoir témoigné votre confiance et votre soutien.
La communication et les relations publiques seront désormais assurées directement par le président de la GMS, M. Saïd AALLA
Bien à vous,
Abdelaziz CHOUKRI
Lu sur: http://tinyurl.com/38b5sz8

Comme les muzz: Kouchner se dit « humilié » !!!

C’est un des mots à la mode: « humilié« . C’est du moins que braillent les muzz à chaque fois que l’on ose porter atteinte à leur idéologie. Et ça marche! A court d’idées, Kouchner a repris ce terme à son compte. Ben oui, puisque ça marche. Notre porteur de sac de riz national devait bien trouver un échappatoire à sa mise à la porte (pardon: démission) plus que probable par Sarkö Ier. Humilié, qu’il est. Stigmatisé, aussi, non? Ca marche bien, il paraît…

FDF


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Se disant humilié, Kouchner aurait envoyé sa lettre de démission.

Le ministre des Affaires étrangères se plaint de subir des « humiliations » des conseillers du président Nicolas Sarkozy dans une lettre de démission remise le 25 août au chef de l’Etat, affirme « Le Nouvel Observateur ».

Dans cette lettre manuscrite qu’a pu consulter le magazine, Bernard Kouchner parle « d’inflexion sécuritaire », prend acte de « la fin de l’ouverture » à gauche opérée par Nicolas Sarkozy depuis son arrivée au pouvoir en 2007, et dénonce des « humiliations » venues « des conseillers » du président, selon la même source.

Il n’a pas été possible dans l’immédiat d’obtenir un commentaire de l’entourage du ministre. Nicolas Sarkozy prépare un remaniement ministériel pour l’automne et le non-renouvellement de Bernard Kouchner au Quai d’Orsay est jugé vraisemblable dans la classe politique et au sein même du ministère.

Il y a dix jours, Bernard Kouchner avait démenti dans un communiqué des propos rapportés par la radio RTL selon laquelle le ministre était écarté de certains dossiers et avait adressé en août à Nicolas Sarkozy une lettre de démission.

Toujours selon « Le Nouvel Observateur », Bernard Kouchner remercie aussi dans sa missive le chef de l’Etat de lui avoir proposé le 3 août le poste bientôt à pourvoir de « Défenseur des droits », une fonction créée en juin par une loi organique. Il précise dans sa lettre y réfléchir, ajoute l’hebdomadaire.

Ce poste doit remplacer celui de Médiateur de la République. Il surpervisera trois institutions: Défenseur des enfants (créé en 2000), Commission nationale de déontologie de la Sécurité (CNDS, 2000) et la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité).

Le vote du ministre en faveur de l’UMP aux élections européennes de juin 2009 est dû à une injonction de Nicolas Sarkozy, a d’autre part raconté Bernard Kouchner à l’hebdomadaire. « Nicolas Sarkozy m’a téléphoné. Il m’a dit qu’en tant que ministre en charge des Affaires européennes je ne pouvais que soutenir la majorité présidentielle ».

Homme de gauche dans un gouvernement de droite, Bernard Kouchner, 71 ans le 1er novembre, avait déjà reconnu dans le passé avoir des difficultés avec notamment le secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant, et le conseiller diplomatique de Nicolas Sarkozy, Jean-David Levitte. « Je ne vous dis pas que, de temps en temps, je n’enrage pas mais j’ai l’impression de travailler tout à fait correctement », avait-il ainsi dit en mai au quotidien « Le Parisien ».

Source: http://tinyurl.com/39p275u

Xénophobie: multiplication d’actes en Alsace…

Xénophobie, xénophobie; ça ne veut pas dire seulement « actes racistes à l’encontre de l’islam »; au contraire… Je le répète: l’islam n’est pas une race; les musulmans non plus! Comment peut-on taxer de racistes ceux qui ne sont pas d’accord avec cette idéologie? Encore une invention pour soumettre les sous-chiens et leur soutirer du fric par l’intermédiaire des lois que les islamistes ont fait instaurer eux-même… Et dire que des sous-chiens, il y en a qui marchent dans la combine; et pas des moindres… Pas de noms…

FDF

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La recrudescence d’actes racistes et antisémites plonge ses racines dans l’histoire de la région, estiment certains. D’autres y voient plutôt les effets d’un climat plus général

Alors que les enquêtes de police n’ont pas encore apporté de réponses, tous, en Alsace, se demandent pourquoi la région est à nouveau victime d’actes de xénophobie aux accents néonazis visant les communautés juive, musulmane et, dans une moindre mesure, protestante, de l’agglomération strasbourgeoise (1).

Ces actes sont-ils le fait de personnes isolées, de groupuscules d’extrême droite ? Reflètent-ils des conflits intercommunautaires ? « Il y a une tradition d’entente ici et l’effervescence actuelle est artificiellement créée à partir d’un climat politique au niveau français et européen », analyse le maire (PS) de Strasbourg, Roland Ries, qui a lancé lundi un « Appel à tous les Républicains de Strasbourg et de son agglomération » à dire « ça suffit ».

« Une porosité aux idées d’extrême droite »

Saïd Aalla, président de la Grande Mosquée de Strasbourg, attend de la justice qu’elle fasse son travail mais, pour lui, le contexte alsacien « n’est pas intolérant ». Il reconnaît que l’extrême droite est susceptible d’agiter des pensées islamophobes, mais pense qu’elle n’est représentée que par des « groupes minuscules ». Ses scores ont en effet beaucoup chuté aux dernières élections.

Ce qu’il craint surtout, c’est que le dernier épisode – un homme se filmant en train de brûler le Coran – « n’attise le sentiment religieux des musulmans du monde comme ce fut le cas pour les caricatures de Mahomet, alors que c’est certes grave, mais surtout l’acte idiot d’un homme en manque de notoriété ».

D’autres estiment au contraire que le contexte alsacien est propice. « Il y a ici une porosité plus marquée qu’ailleurs aux idées d’extrême droite », héritage de la nazification de la région au temps de l’occupation allemande de 1940 à 1945, note le politologue Richard Kleinschmager.

Une régionet deux partis d’extrême droite

Une thèse est depuis longtemps avancée par les sociologues : voulant réintégrer rapidement l’Alsace, la France n’aurait pas mené ici le travail de dénazification fait en Allemagne et certaines idées seraient restées ancrées dans les esprits. « Sur le ton de la plaisanterie, des choses inadmissibles sont peut-être plus facilement dites ici », ajoute-t-il.

Il rappelle aussi que l’Alsace a l’originalité d’avoir, à côté du Front national, un autre parti d’extrême droite, régionaliste, Alsace d’Abord, aux scores non négligeables. Pour Ali Rastegar, porte-parole du collectif Justice et Libertés, il ne fait aucun doute que « l’Alsace peine à faire face à son passé antisémite » et que les récents actes de xénophobie émanent de « nazillons » qui pourraient se sentir encouragés par certains discours prononcés récemment par le chef de l’État.

De fortes communautés religieuses…

« On développe à l’heure actuelle de façon générale, dans la société et dans la présidence françaises, un tel climat de dénonciation de l’étranger comme responsable de ce qui va mal qu’on libère et qu’on légitime des pulsions de haine qui peuvent venir d’obédiences très diverses, de l’extrême droite ou de groupes d’islamistes, appuie Freddy Raphaël, sociologue et historien de l’Alsace. Pourtant, il serait trop facile de mettre cela sur le compte du passé, c’est dans l’actualité qu’il faut comprendre cette démarche de haine. »

La seule spécificité de l’Alsace, ajoute-t-il, est d’avoir des communautés religieuses beaucoup plus fortes qu’ailleurs, ce qui certes nourrit un dialogue fécond, mais provoque aussi parfois une « exacerbation de la détestation de l’autre ».

Il invite, enfin, à la plus grande prudence dans l’interprétation des derniers événements. « Nous manquons d’éléments. Dans l’affaire des profanations de Carpentras, en 1990, on s’était trompé en fonçant vers le Front national. C’est souvent plus complexe », indique-t-il.


(1) L’Alsace avait connu une série noire de profanations en 2004.

Source: http://tinyurl.com/34xwupj

Mosquée à Boulogne-Billancourt: c’est NON également !!!

Contre l’édification d’une mosquée à Boulogne-Billancourt!

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Contre l’édification d’une mosquée à Boulogne-Billancourt, la campagne de la NDP redémare…

Boulogne.jpg

Depuis la fin du mois de juin (cliquez ici), la Nouvelle Droite Populaire des Hauts-de-Seine mène une campagne militante active contre la construction d’une mosquée à Boulogne-Billancourt. Des milliers de tracts ont été distribués dans toute la ville et de nombreuses signatures nous sont parvenues.

Aujourd’hui, la NDP vient d’éditer un autocollant qui sera prochaînement aposé partout dans la ville afin de sensibiliser les habitants de Boulogne sur ce nouveau symbole de l’occupation de notre pays qui est en train d’être construit dans leur ville. Cette campagne se matérialisera aussi par l’édition d’un nouveau tract.

Source: http://tinyurl.com/2agygr9

Grande mosquée de Metz: c’est NON! Encore une fois!

7 octobre 2010

blason islamique du futur califat de la ville de Metz, MoselleLa ville de Metz veut sa grande mosquée[non!] Difficile à dire aujourd’hui, tant le projet présente des complexités financières et légales. Une chose est certaine : la municipalité socialiste fera tout pour qu’il aboutisse.[avec une musulmane voilée à la table de la conférence de presse, c’est pas gagné !] (…) Il est possible qu’il y ait des réactions négatives [ce n’est pas «possible», c’est CERTAIN. Ce seront même majoritairement des réactions négatives, et argumentées pour que vous ne puissiez pas dire que vous ne saviez pas] (…) mais rien ne nous fera reculer [Hé bien vous serez simplement éjectés de la mairie, et là encore vous ne pourrez pas dire que vous n’aviez pas été prévenus] (…) sur cette démarche d’intégration [ce n’est pas une démarche d’intégration, c’est une démarche de léchage de babouches et une pathétique tentative de négation de la réalité car l’islam est incompatible avec la république, il ne peut donc pas s’y intégrer, il ne peut que la désintégrer] (…)

La municipalité messine a présenté, hier, l’association de préfiguration d’une future grande mosquée à Metz. Elle regroupe les différentes associations cultuelles. Soutenue par la Ville, elle va dessiner les contours de l’édifice.

Y aura-t-il bientôt une grande mosquée à Metz ?

Après avoir ouvert le dossier il y a un an et demi, elle a présenté, hier, l’achèvement d’une étape majeure : la constitution d’une association de préfiguration, l’union des associations cultuelles et culturelles des musulmans de Metz (UACM). Celle-ci regroupe (…) Nous devons sortir du climat de stigmatisation actuel.

La suite sur

http://www.republicain-lorrain.fr/fr/permalien/article/3883199/

La-ville-de-Metz-veut-sa-grande-mosquee.html (archives : pdfcopie d’écran)

Une grande mosquée à Metz

Surtout éviter les sujets qui fâchent. Un minaret ? Les financements étrangers ? L’association, liée à l’Algérie, qui ne participe pas au projet ? À régler plus tard ou ne pas en parler du tout. Sous l’égide de la municipalité, cinq associations – trois turques, une algérienne, une marocaine – ont décidé de (…)

La suite sur

http://www.estrepublicain.fr/fr/lorraine/info/3884774-Une-grande-mosquee-a-Metz

(archives : pdfcopie d’écran)

Un maire démocrate et républicain, soucieux de l’avenir tant pour sa commune que pour la France, ne devrait JAMAIS autoriser la moindre construction de mosquée. Il existe une multitude de raisons parfaitement fondées à cela, multitude de raisons que tant les maires que les élus municipaux ignorent le plus souvent, ou parfois préfèrent sciemment ignorer afin de pouvoir dire plus tard « On ne savait pas… ».

Informons les élus, et la population, afin que tous sachent pourquoi il ne faut pas autoriser la construction d’une mosquée et qu’ensemble ils prennent les bonnes décisions.

C’est très simple avec la méthode Amnesty International SITA : une lettre dans une enveloppe timbrée, envoyée par la poste (voir tinyurl.com/6r4fsu et tinyurl.com/592ezu )

Et c’est très efficace (voir tinyurl.com/c44rvr)

Démocratie Directe

Quoi mettre dans l’enveloppe ?

– Imprimer la première page de l’un des deux articles à propos de la mosquée, cités ci-dessus, directement depuis le navigateur (Fichier [ > Mise en page | Aperçu avant impression ] > Imprimer… > Pages de:1 à:1)

Avec ça le destinataire va comprendre à propos de quoi on lui écrit.

Un timbre tarif « 20 grammes » de base permet d’envoyer au moins deux feuilles, vous pouvez donc rajouter une feuille à votre courrier (recto-verso, soit deux pages). Avec le verso libre de la feuille où vous avez imprimé la première page de l’article, cela fait donc trois pages disponibles sur lesquelles expliquer pourquoi il ne faut pas construire de mosquées.

– Imprimer sur ces trois pages l’argumentaire Construction de mosquées : pourquoi il faut dire NON, http://sitamnesty.files.wordpress.com/2009/03/construction-de-mosquees-pourquoi1.pdf.

Pour imprimer ce document pdf en trois pages seulement, ne pas imprimer la page de garde (qui ne contient guère que le titre)

Si vous le souhaitez, vous pouvez imprimer d’autres argumentaires à la place

– soit en trois pages eux aussi (voir la rubrique Argumentaires sitamnesty.wordpress.com/argumentaires au paragraphe Documents en 3 pages).

– soit vous pouvez bien entendu aussi imprimer un argumentaire en seulement une page, ou seulement deux pages, ou panacher en trois pages = 1 page + 2 pages etc. comme il vous plaira (voir les divers argumentaires proposés).

Qui sont les destinataires ?

En priorité les élus, et ensuite optionnellement les habitants.

Les noms des élus municipaux se trouvent sur la page

http://www.mairie-metz.fr/metz2/municipalite/cyber_mairie/organigramme/elus_photos.php

(ou elections.lefigaro.fr 2008 Metz A, B et C)

L’adresse postale de la mairie se trouve sur la page des mentions légales :

http://www.mairie-metz.fr/metz2/commun/mentions.php

On peut aussi éventuellement rechercher l’adresse publique personnelle des élus sur les pagesblanches.fr de l’annuaire du téléphone tant il est vrai que l’on réfléchit bien mieux seul et chez soi aux conséquences de ses décisions.

Mettre les deux feuilles dans une enveloppe, écrire le nom et l’adresse du destinataire, timbrer et poster.

Voilà, ce n’est pas plus compliqué que ça d’expliquer aux élus pourquoi il ne doivent pas se rendre responsables et coupables de certaines erreurs à ne surtout pas commettre. Ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas…

Vous avez une enveloppe ? Un timbre ?  

Alors vous avez le……… P O U V O I R ……

… de dire son fait à toute personne publique.

Option « Informer la population »

On note une étrange tendance récurrente des élus, toutes villes et toutes tendances confondues, à ne faire que le minimum syndical pour l’information des riverains lors d’un projet de construction de mosquée dans leur quartier alors pourtant que ces riverains sont bien évidemment concernés au premier chef. D’ailleurs il ne vient même jamais à l’idée des élus de consulter les riverains pour savoir s’ils veulent ou non d’une mosquée, à croire qu’ils n’ont pas confiance en la démocratie, hormis pour se faire élire et en faire ensuite à leur guise au mépris des habitants.

Puisqu’on ne peut pas compter sur les élus pour faire le travail d’information et de consultation pour lequel ils sont pourtant payés, on va le faire à leur place, toujours avec la même méthode citoyenne de tractage postal. La lettre destinée à la population sera la même que celle destinée aux élus, ne reste qu’à trouver les noms et adresses postales des riverains du projet.

Une fois informés, on peut compter sur les habitants pour aller demander des comptes à leurs élus.

Là encore c’est très simple.

On trouve dans les articles et sur le site de la mairie de Metz des indications suffisantes pour déterminer les noms des rues à proximité potentielle de ce projet de mosquée :

Mon rêve serait que la mosquée soit proche d’une église et d’une synagogue

Il faut donc qu’elle soit assez proche d’une église ou d’une synagogue

A Villejuif aussi la demande était la même, avec des arguments différents. La proximité c’est plus pratique en babouche pour la baston à l’issue d’un prêche du vendredi, comme en égypte contre les coptes.

Vous trouverez les adresses des églises de Metz sur la page metz.fr/metz2/quotidien/culte/paroisse.php

et les adresses des synagogues sur la page metz.fr/metz2/quotidien/culte/synagogue.php

Pages 59 à 62 (copie d’écran) du compte-rendu du conseil municipal du 29 septembre 2005 [archive pdf 14 Mo]

Le nom de la rue est suffisant pour trouver noms et adresses postales des habitants de la rue, grâce à l’annuaire du téléphone pagesblanches.fr : indiquer le nom de la rue, le nom de la ville, cliquer sur Trouver et l’annuaire vous donne la liste des nom-adresse de tous les habitants de la rue.

Vous pouvez ensuite trouver les noms de rues voisines en cliquant sur le service cartographique de l’annuaire (lien Plan sous les noms)

Si vous préférez, utiliser n’importe quel autre service cartographique indépendant, tel maps.google.fr ou Viamichelin.fr par exemple, en indiquant de même le nom de la rue et la ville.

Le plan permet de voir les rues voisines et donc d’obtenir, de proche en proche via l’annuaire, tous les nom-adresse de tous les habitants de toutes les rues riveraines du projet de mosquée. Cela va permettre d’informer le plus grand nombre possible de riverains.

Les représentants de quartiers sont des habitants particulièrement intéressants à informer puisqu’ils sont un lien supplémentaire entre les élus et les habitants. Vous trouverez leurs noms en tête des différents compte-rendu des comités de quartier disponibles sur le site de la ville de Metz. Vous trouverez leur adresse postale publique personnelle sur les pagesblanches.fr de l’annuaire du téléphone.

Vous pouvez bien évidemment répéter l’opération à volonté :-) tant que vous avez des timbres, des enveloppes, du papier, de l’encre dans votre imprimante et un peu de temps.

Petit à petit, internaute après internaute envoyant lettre(s) après lettre(s), vos missives vont toucher élu après élu, représentant de quartier après représentant de quartier, habitant après habitant, au hasard, telles des gouttes de pluie.

Inexorablement, l’information va inonder le conseil municipal et la ville, jusqu’à la goutte qui fera déborder le vase, et ce sera peut-être celle que vous aurez envoyée.

Pas de timbre, ni d’enveloppe, ni d’imprimante ? Grosse flemme ?

Bien que cela soit éminemment moins efficace que par tractage postal, vous pouvez participer par courriel, voir sitamnesty.wordpress.com/sita-par-courriels

L’URL court tinyurl.com à indiquer dans votre courriel pour le présent article est tinyurl.com/mosquee-de-metz

Éventuellement, vous pouvez recenser vos actions au sitathon.blogspot.com afin d’inciter d’autres internautes à agir de même, et vous inscrire à la lettre d’information alertes-sita.blogspot.com pour être averti des prochaines actions.

Etat des lieux de la démographie occidentale et de l’immigration musulmane…

Pas très rassurant…

FDF

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« Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »


Houari Boumedienne président algérien,  discours à l’ONU en 1974.

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Le monde change : réveillez-vous !


http://www.youtube.com/watch?v=Hzus85ToHLg&feature=player_embedded

Mariage retardé en mairie de Clermont-Ferrand parce que la femme portait le niqab !

La provocation a des limites… Sommes nous en France, oui ou non ? Félicitations à cette élue qui n’a pourtant fait qu’appliquer les lois de NOTRE République. C’est tellement rare, de nos jours…

Respecter la loi française, en France, ce n’est pourtant pas compliqué? Même pour les muzz. Ils la connaissent mieux que nous; surtout dans le domaine des aides sociales… Mais chut; là, on dérive…

FDF

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Une grande discrétion avait entouré l’incident. Le 10 juillet, une mariée s’est présentée revêtue d’un voile islamique à la mairie de Clermont-Ferrand. L’élue de permanence refusant de célébrer l’union, elle a accepté de l’ôter.

L’affaire remonte au 10 juillet. Un homme et une femme se présentent à la mairie de Clermont-Ferrand pour se marier. Selon un témoin qui souhaite rester anonyme, la future épouse porte le niqab, voile qui recouvre le visage à l’exception des yeux.

L’élue de permanence pour les mariages refuse de procéder à l’union et invite la mariée à ôter son voile. L’homme ne veut rien entendre. Un compromis est finalement trouvé. « La dame nous a demandé un lieu pour pouvoir se dévoiler en présence de ses proches et de son futur époux, explique Alain Martinet, premier adjoint. On a mis une salle à disposition. Il y a eu pas mal de palabres. Les mariages suivants du coup ont été retardés et les mariés n’étaient pas contents. »

L’union a tout de même été célébrée. « Ma collègue qui a procédé au mariage, Pascaline Bidoung, a eu la bonne réaction », estime Alain Martinet. Malheureusement, en dépit de nombreuses sollicitations, nous n’avons pas pu joindre cette conseillère municipale déléguée. Son collègue Alain Martinet poursuit : « J’ai demandé que tous les élus soient informés : il faut refuser de procéder au mariage face ce type de demande. »

Pour le maire, Serge Godard, « il s’agit d’un incident mineur. Il a juste fallu convaincre ce monsieur de respecter la loi française. »

Le sujet fait resurgir le débat sur le port du voile islamique et sur la crainte d’une communautarisation de la société française. Selon Alain Martinet, « il fallait que ça arrive et c’est peut-être tant mieux car ça permet de prendre une position. Ils ont voulu nous forcer la main. Ça nous pose question. »

« La religion musulmane
n’est pas rigide »
S’il ne « juge pas » les mariés, Karim Djermani, secrétaire général de la Grande mosquée de Clermont-Ferrand, s’étonne d’une telle requête. « Il y a nécessité de se faire connaître dès qu’on a affaire à l’administration afin de pouvoir vérifier qu’il n’y a pas usurpation d’identité. Le recteur de la mosquée refuse lui-même de marier des gens qu’on ne peut pas voir ». Et de conclure : « La religion musulmane n’est pas aussi obscurantiste qu’on veut le faire croire. Elle n’est pas rigide et a plus d’un avis sur ces questions ».

source : clermont.maville.com

Chances pour la France…

Les bienfaits de la diversité et de l’immigration… Ce type me fait amèrement penser à Fofana et sa « bande de barbares »…

FDF

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Bordeaux: un homme qualifié de dangereux, détenu pour actes de torture et de barbarie sur son ex-compagne, s’est évadé vendredi de l’hôpital de Pessac (Gironde) où il avait subi des examens médicaux, et était toujours activement recherché aujourd’hui, apprend-t-on de source proche de l’enquête.

Cet homme d’origine zaïroise a faussé compagnie aux policiers qui en avaient la garde, après des examens au service de cardiologie, et s’est enfui en courant menotté à travers l’hôpital, selon la même source.

« C’est une évasion malencontreuse, il n’a apparemment pas eu d’aide extérieure et semble avoir saisi l’occasion » de s’évader à la faveur de cette visite à l’hôpital, a ajouté cette même source, selon laquelle « nous n’avons aucune trace de lui ».

Activement recherché par la direction interrégionale de la police judiciaire de Bordeaux, le prévenu était, au moment de son évasion, dans l’attente de sa comparution devant la justice. Une information judiciaire pour « évasion » a été ouverte lundi par le parquet de Bordeaux et un mandat d’arrêt délivré, selon la même source.

Source: http://tinyurl.com/38jl6f9

«Mohamed, ce n’est pas courant. Tu vas t’appeler Alexandre, ça passe mieux»…

C’est vrai que dans ce cas, le responsable y a été un peu fort, même si son raisonnement tient la route… Mais « délit de prénom »? Après le délit de faciès (de sale gueule, quoi), voici un nouveau délit. Si le prénom « Mohamed » est mal perçu par la plupart des gens, il  y a bien une raison, non?… Et puis, Alexandre, c’est sympa, non? Ca fait penser à Alexandre le Grand; plutôt flatteur, n’est-ce pas?

Je vais vous avouer un truc, perso, mais qui vous est forcément arrivé à tous: le démarchage téléphonique. Vous répondez à votre téléphone qui sonne, aux heures des repas, en général, ça met automatiquement de bonne humeur… Au bout du fil, une voix, féminine en général, qui vous déclame des propositions commerciales à n’en plus finir avec un fort accent maghrébin tel que vous n’y comprenez pas grand-chose, en plus. Elle vous pose un tas de questions auxquelles le peu de temps de votre pause-repas ne vous permet pas de répondre de surcroît. Eh bien, réaction logique: vous raccrochez et vite. Ca, c’est du harcèlement, du vrai, et ce n’est pas puni par la loi. Alors, le « délit de prénom », merci bien… Une nouvelle forme de stigmatisation est née.

FDF

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Un lycéen prénommé Mohamed, en stage dans la société de livraison Maximo à Tournes (Ardennes), a porté plainte pour discrimination contre la direction qui lui demandait de changer son prénom en Alexandre auprès des clients.

«Le directeur auprès duquel je me suis plaint m’a remercié comme si j’étais en tort. Ma dignité a été rabaissée», a indiqué le jeune homme de 19 ans, en terminale «comptabilité» au lycée professionnel Etion de Charleville-Mézières.

Il devait effectuer un stage d’un mois en tant que commercial dans la société de livraison d’alimentation à domicile. Son travail consistait à téléphoner à une liste de clients pour leur proposer des promotions.

Délit pénal

«J’avais préparé mon argumentaire ainsi : « Service clientèle, bonjour. Mohamed à l’appareil », quand le directeur adjoint est venu vers moi pour me dire : « Mohamed, ce n’est pas courant. Tu vas t’appeler Alexandre, ça passe mieux »», a expliqué le lycéen.

«Ça m’a choqué de la part d’un cadre, je suis français, né en France et je veux vivre avec mon vrai prénom comme tout le monde», a remarqué le jeune homme. Pour Xavier Médeau, son avocat, «on est en plein préjugé et en plein délire commercial, mais une telle atteinte aux droits fondamentaux ne peut être justifiée par des intérêts économiques».

L’avocat a rappelé que les faits constituent un délit pénal en évoquant un arrêt de la Cour de Cassation du 10 novembre 2009, qui stipule «que le fait de demander à un salarié de changer son prénom d’origine étrangère pour un prénom d’origine française est une atteinte à ses droits et une discrimination», a-t-il précisé. Contacté, le directeur de l’entreprise ardennaise n’a pas souhaité s’exprimer.

(Source AFP) via liberation.fr

Trente ans d’éducation prioritaire: bilan plus que déçevant…

Et que d’argent et d’énergie perdue pour essayer d’inculquer la (vraie) citoyenneté à des « jeunes » qui n’en n’ont strictement rien à battre… Enfin; on a le mérite d’avoir essayé… Mais c’était comme « pisser dans un violon, vous connaissez la suite… C’est comme les « maisons des jeunes et de la culture » sponsorisées par les « bobos-gauchos ». On voit ce que ça a donné. Un beau coup d’épée dans l’eau… Chassez le naturel… Les ZEP (Zone d’Education Prioritaire), c’est où brûlent le plus de nos voitures…

FDF

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Alors que le ministre de l’éducation nationale Luc Chatel se rend mercredi 6 octobre au Havre pour détailler un nouveau dispositif, Collèges et lycées pour l’ambition, l’innovation et la réussite (« Clair »), de nombreuses voix s’élèvent pour demander une refonte de l’éducation prioritaire et l’arrêt de la dilution des moyens


Des élèves du collège Robert-Desnos d’Orly (Val-de-Marne) font leurs devoirs de classe alors qu’ils bénéficient du soutien scolaire mis en place dans le cadre du dispositif ambition réussite (AFP/JOEL SAGET).

Elle est née il y a près de trente ans, lorsque la gauche s’est hissée au pouvoir. L’éducation prioritaire, conçue pour apporter – via un surcroît de moyens – davantage d’équité à un système scolaire s’ouvrant au plus grand nombre, s’est avec le temps déclinée en une dizaine de dispositifs qui se sont parfois superposés sans logique, avec une volonté de plus en plus affichée d’enrayer les violences quotidiennes. Souvent décriée, cette politique affiche aujourd’hui un bilan plus que contrasté.

La création, en 1981, des zones d’éducation prioritaire (ZEP) en fonction de critères comme le retard scolaire, l’orientation en fin de cinquième, le pourcentage d’enfants étrangers ou non francophones et les taux d’encadrement des différentes écoles « a abouti à une stigmatisation », constate Marie Duru-Bellat, professeur de sociologie à Sciences-Po Paris.

« Les familles les moins défavorisées fuient ces zones étiquetées comme étant “à problèmes”, un phénomène facilité par l’assouplissement de la carte scolaire. Or un certain degré d’hétérogénéité est nécessaire pour tirer une classe vers le haut », relève-t-elle.

20% des collèges sont classés en ZEP

Les résultats, selon elle, ne sont « guère mirobolants ». « La progression scolaire est plutôt moins bonne dans l’éducation prioritaire que dans les autres établissements. Même si, tempère-t-elle, on constate souvent un effet positif sur la motivation et le comportement des élèves. »

Bernard Toulemonde, inspecteur général honoraire de l’éducation nationale, se montre lui beaucoup plus sévère. Il n’hésite pas à qualifier le bilan de « catastrophique ». « En 2009, seuls 50,6% des collégiens scolarisés dans un des 254 réseaux ambition réussite maîtrisaient les compétences en français, contre 81,1% dans les autres collèges publics », dit-il.

Selon lui, l’enthousiasme des débuts, ainsi que la mise en place de partenariats locaux avec les collectivités et les ministères de la culture et des sports, ont d’abord permis de faire des ZEP « des laboratoires d’idées ». Puis les choses se sont dégradées, « en raison notamment d’une dilution des moyens ». Ainsi, aujourd’hui, 20% des collèges sont classés en ZEP…

Les établissements souffrent d’un fort absentéisme

Par ailleurs, le surplus de moyens humains (de l’ordre de 8 à 9%) permet d’avoir en moyenne deux élèves de moins par classe. Mais il s’agit là d’une prodigalité en trompe-l’œil.

« En réalité, la masse salariale des collèges de ZEP est généralement inférieure, parfois de 10 à 20 %, à celles des autres collèges, tout simplement parce qu’on y recrute des sans-grade, des contractuels, des intérimaires, des jeunes qui débutent dans le métier, dénonce Bernard Toulemonde. L’an dernier, la moitié des nouveaux certifiés ont ainsi été expédiés dans les académies de Créteil et Versailles, le plus souvent dans les établissements les plus difficiles, désertés par les anciens. »

En conséquence, assure cet ancien directeur général de l’enseignement scolaire, lesdits établissements souffrent d’un fort absentéisme – jusqu’à 20% – de la part des professeurs. « Comme s’ils étaient fermés un jour supplémentaire par semaine ! », compare Bernard Toulemonde.

«Réinvestir dans la vie quotidienne ce qui a été appris en cours»

Ils peinent aussi à faire émerger un projet et à conserver leurs enseignants. « On se contente de leur proposer une prime d’environ 1500€ par an et des points en plus qui – effet pervers – leur permettent d’obtenir plus rapidement une mutation », déplore-t-il.

La relative noirceur de ce tableau ne doit pas inciter les autorités à tirer un trait sur l’éducation prioritaire, plaide pourtant Jean-Jacques Hazan, le président de la FCPE, la principale fédération de parents d’élèves. « Sans les dispositifs actuels, que seraient devenus les établissements concernés, dans un contexte de ségrégation urbaine accrue ? », interroge-t-il. « L’idée de donner plus à ceux qui ont moins est plus pertinente que jamais », plaide-t-il.

À condition toutefois de ne pas se contenter d’accorder des postes supplémentaires sans réflexion. « Si on se contente de cours magistraux, si on continue de donner des devoirs à des élèves qui, à la maison, ne bénéficient d’aucune aide, on ne va pas bien loin. Là où cela marche, on fait participer davantage les élèves en classe, on leur demande de travailler en groupe, souvent dans une logique pluridisciplinaire. On leur organise des sorties et surtout, on les amène à réinvestir dans la vie quotidienne ce qui a été appris en cours », constate Jean-Jacques Hazan.

«Redessiner la carte des ZEP»

« L’institution est oublieuse de ses propres productions », dénonce Marc Douaire, le président de l’Observatoire des zones prioritaires. « Dès 1997, un rapport de l’Inspection générale détaillait les déterminants de la réussite scolaire en zone d’éducation prioritaire : des réseaux de petite taille, des projets centrés sur les apprentissages, une continuité entre l’école et le collège, des moyens supplémentaires mis au service de l’individualisation de l’enseignement, une préscolarisation en maternelle, un pilotage fort de l’inspecteur et du principal, etc. On aurait pu s’en inspirer », soupire cet ancien secrétaire national du Sgen-CFDT.

Il faudrait aussi, insiste-t-il, « redessiner la carte des ZEP en la calant sur celle des zones urbaines sensibles, du moins en s’en approchant ». Cette proposition rejoint les préoccupations de la commission des finances du Sénat, qui en mars dernier, dans

un rapport sur l’éducation en banlieue, réclamait une « meilleure cohérence » entre les politiques de la ville et l’action de l’école.

« Trois élèves sur quatre de l’éducation prioritaire sont en dehors des zones urbaines sensibles », regrettaient les auteurs de ce document, les sénateurs UMP Gérard Longuet (Meuse) et Philippe Dallier (Seine-Saint-Denis).

«Renforcer les incitations, du point de vue financier»

Avant de s’attaquer à une éventuelle refonte de l’éducation prioritaire – « le remède est devenu pire que le mal » n’hésitait pas à déclarer, le 21 septembre dernier, Luc Chatel –, le gouvernement a choisi d’expérimenter dans 105 établissements qui se caractérisent par un climat scolaire très dégradé un nouveau dispositif, Collèges et lycées pour l’ambition, l’innovation et la réussite (Clair).

Le ministre se rendra mercredi 6 octobre au Havre pour détailler ce programme qui a vocation à être étendu dès l’an prochain et « à se substituer aux dispositifs préexistants ».

Un programme qui suscite déjà beaucoup de réserves de la part des syndicats, plus que sceptiques quant à l’intérêt que revêt la création du préfet des études et surtout aux possibilités réelles qu’auront les chefs d’établissement de recruter leurs enseignants.

Directeur général de l’enseignement scolaire, Jean-Michel Blanquer se dit au contraire « convaincu que des professeurs se montreront intéressés pour travailler sur un projet d’équipe attractif et innovant » et annonce qu’une réflexion est engagée pour « renforcer les incitations, du point de vue financier comme de celui de la progression de carrière ».

«Se concentrer sur les aspects pédagogiques»

Autre critique récurrente : Clair se concentre sur l’enseignement secondaire, alors que de nombreux experts insistent sur la nécessité de combattre le plus précocement les inégalités et que le dernier rapport du Haut Conseil de l’éducation préconise une meilleure continuité entre école primaire et collège.

« Une bonne partie des établissements expérimentant ce dispositif sont déjà à la tête d’un réseau ambition réussite, qui regroupe aussi des écoles », rétorque Jean-Michel Blanquer, en précisant que « l’ensemble du programme s’ouvrira sur le primaire ».

Pour ce dernier, l’éducation prioritaire a porté ses fruits, s’agissant de la vie scolaire et de l’ouverture sur le monde. « Il faut à présent se concentrer sur les aspects pédagogiques », reconnaît-il. D’autres prônent un vrai changement de logique : ne plus cibler des territoires mais les élèves en difficulté, où qu’ils soient. « À condition que ce ne soit pas un prétexte pour laisser se dégrader les établissements aujourd’hui classés en ZEP », réagit la sociologue Marie Duru-Bellat.


source : la-croix.com

Affaire Sarrazin: Le passé nazi a-t-il immunisé le pays contre populisme et xénophobie?

Le syndrome Sarrazin plane sur l'Allemagne

Thilo Sarrazin prédit la disparition de la culture allemande.   REUTERS

Un pamphlet jette le doute…

Parmi les pays européens, l’Allemagne est souvent présentée comme un cas particulier: son passé nazi l’aurait durablement vaccinée contre le virus populiste. Est-ce si sûr? Une nouvelle formation politique, die Freiheit (la Liberté), jusque-là obscure, a bénéficié d’un coup de projecteur, le 2 octobre dernier, avec la visite de soutien que lui a rendue à Berlin Geert Wilders, un leader néerlandais hostile à la présence de l’islam dans son pays. Le groupuscule entend livrer un combat semblable et se pose en porte-étendard de la défense de la démocratie.

Or c’est aussi le thème d’un livre paru à la rentrée. Deutschland schafft sich ab (L’Allemagne court à sa perte) est un pamphlet de quelque 400 pages écrit par Thilo Sarrazin, ex-membre du directoire de la banque centrale allemande. Le message de l’ouvrage, écrit dans une langue pseudo-scientifique, reste clair: puisque les immigrés – musulmans, en particulier – ne veulent pas s’intégrer et font plus d’enfants que les Allemands, soutient l’auteur, notre pays et notre culture disparaîtront tôt ou tard. En un mois, le brûlot s’est vendu à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires.

Membre du SPD (Parti social-démocrate d’Allemagne), Sarrazin explique qu’il n’a pas l’intention de créer une nouvelle formation politique. Pourtant, environ 20 % de ses compatriotes seraient prêts à voter pour lui s’il franchissait le pas, selon les sondages, et 60 % lui donnent globalement raison. Le SPD a entamé contre lui une procédure d’exclusion, mais de nombreux militants le soutiennent…

« Prendre au sérieux la menace islamiste »

« Les partis, de gauche surtout, ont laissé s’installer un malaise que l’on a préféré nier en raison de notre passé, décrypte Alice Schwarzer, célèbre féministe, auteure d’un livre sur le sujet et pourfendeuse du foulard dans les écoles. Il faut prendre au sérieux la menace islamiste, à l’origine de ce malaise. Sinon, c’est la droite populiste qui s’en empare, comme en Suède. »

L’establishment politique tente de trouver la parade. Conservateurs, libéraux et sociaux-démocrates rivalisent de propositions visant à faciliter l’intégration des 7 millions d’étrangers résidant en Allemagne (dont environ 4 millions de musulmans). « La crise de la société allemande n’est pas assez profonde pour qu’un parti populiste s’impose dans le paysage, estime Klaus-Peter Sick, historien associé au centre de recherches en sciences sociales Marc-Bloch, à Berlin. La reprise économique qui s’annonce marginalise les idées extrémistes. Et il n’y a pas de leader charismatique en vue. » Le charisme, ici, n’est pas toujours un avantage. Voyez Angela Merkel.

Source: http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/le-syndrome-sarrazin-plane-sur-l-allemagne_925135.html

Fribourg (Suisse): une soupe au cochon met un étudiant en rage.

Eh, « l’anti-porc »: si tu n’es pas content, tu vas bouffer ailleurs!!! Ca aurait été une soupe à la connerie que tu aurais repris du rab! Et si ça se trouve, dans cette dernière soupe citée, tu es tombé dedans quand tu étais petit…

FDF

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Un habitué d’une cafétéria universitaire s’indigne d’un plat jugé «digne d’un local de l’UDC». Le chef réagit.

Djibo* est en pétard. Mardi à midi, cet étudiant de l’université de Fribourg est rentré dans une rage noire en découvrant que la soupe du jour servie à la cafétéria à l’Université Miséricorde comportait de la viande de porc. «On n’a respecté ni les végétariens, ni les étudiants de confession musulmane ou juive», s’indigne Djibo. «J’ai cru rentrer dans un local de l’UDC ou chez Jean Marie Le Pen où on sert souvent ce genre de soupe pendant l’hiver.» Il dit réagir avant tout pour des raisons de sensibilité aux bons produits. «Quand il fait froid, une bonne soupe fait du bien. Vu qu’elle était proposée avec tous les plats, cette soupe au porc n’était pas un bon choix. » Pour lui, un affiche annonçant la présence de cochon dans le produit aurait dû être mise en place.

Sondage
Peut-on encore servir du cochon dans les cafétérias?

Le responsable de la cafétéria de l’Uni saute au plafond: «On est encore en Europe, merde! Quand je vais dans des pays où on ne mange pas de porc, je m’adapte.» Il précise qu’un large choix de plats, végétariens, à base de viande ou de poissons sont disponibles dans sa «mensa». «Les musulmans qui mangent ici me demandent la composition des plats lorsqu’ils ont un doute sur une éventuelle présence de porc. Tout se passe d’habitude très bien. Je ne comprends pas la réaction de ce monsieur.» En charge du service de 2000 repas par jours, il précise que telles colères de clients anti-porcs sont extrêmement rares.

*Prénom fictif

Source: http://www.20min.ch/ro/news/romandie/story/20811183

René Galinier, abattu, craint maintenant de mourir en prison…

Cette situation est tout simplement honteuse! Pourquoi tout cet acharnement sur René Galinier? On le garde en prison pour « sa sécurité », paraît il? Il est malade; gravement. On veut l’y faire mourir, c’est cela?

FDF

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BEZIERS

A l’annonce de son maintien en détention, René Galinier a accusé le coup. Et il craint de ne jamais sortir de prison. Sauf les pieds devant. « Maintenant, ils ne me lâcheront plus », a confié le septuagénaire à l’un de ses codétenus, ajoutant : « J’ai le cœur qui ne tiendra pas. » René Galinier est en effet gravement malade – il souffre d’un cancer de la prostate et a besoin de soins réguliers, ce dont Michèle Alliot-Marie, le ministre de la Justice, et Nicolas Sarkozy, le président de la République, ont été informés dès le mois d’août, quelques jours après son incarcération.

Alors que René Galinier est mis en examen pour « tentative d’homicides volontaires » pour avoir tiré sur les jeunes femmes qui cambriolaient son domicile, celles-ci ne sont, à notre connaissance, toujours pas poursuivies par la justice française. L’une de ces deux Tsiganes, Marina P ., a même quitté la France sans être inquiétée pour repartir dans un pays de l’Est européen, alors que, âgée de 21 ans, elle n’a même pas l’excuse de minorité. Rappelons que la chambre d’instruction de la cour d’appel de Montpellier a rejeté hier la demande de libération de René Galinier au mot qu’« une mise en liberté pourrait aussi susciter l’incompréhension dans l’ethnie d’origine des victimes et faire craindre des représailles à l’égard du mis en examen ».

Marina P. étant partie, la justice doit craindre la vengeance de la famille et des proches de l’autre « victime ». Il s’agit de Sanela M., toujours hospitalisée à Béziers et qui n’est âgée que de 11 ans…

A l’initiative de son comité de soutien local, une marche silencieuse aura lieu samedi prochain 9 octobre à partir de 14 h 30 dans son village de Nissan-lez-Enserune (Hérault), et le Comité Galinier, qui assure la coordination des actions au niveau national sous la direction de Richard Roudier, prépare des actions pour les prochains jours. Richard Roudier, également président de la Ligue du Midi, a pris la parole hier après-midi devant la maison d’arrêt de Béziers où est incarcéré René Galinier (vidéo ci-dessous).

Quant à l’appel lancé hier par neuf députés de la Droite populaire contre cette décision de justice « inique », elle vient d’être signée par deux autres députés de la majorité présidentielle, Lionnel Luca (Alpes-Maritimes) et Philippe Vitel (Var).

Le blog de soutien à René Galinier, c’est ici.

Pour rejoindre le groupe Facebook demandant sa libération, c’est là.

et pour la vidéo de la manif devant la prison c’est par là http://fr.novopress.info/68855/exclusif-%e2%80%93-rene-galinier-abattu-craint-maintenant-de-mourir-en-prison/

Racailles: Menaces de mort à l’encontre des producteurs de « la Cité du mâle » !

Encore une vérité qui blesse… Il fallait s’y attendre. Un rien les « blesse », désormais, ces petits cons. Ils avaient sûrement compris: « la cité du mal« . Car ça, le mal, ils connaissent. Racailles!

FDF

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« La Cité du mâle », un documentaire de 45 minutes qui évoque les rapports entre les filles et les garçons de la cité Balzac de Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, avait été déprogrammée, une première fois, le 31 août, par la chaîne Arte.

Motif de cette déprogrammation, selon Arte: certains protagonistes du documentaire se sentaient en danger et étaient victimes de menaces.

Daniel Leconte, le producteur de Doc en Stock, s’est exprimé mercredi dernier sur Canal+:


http://www.wat.tv/swf2/337898nIc0K115213997



Des faits démentis par la journaliste qui a travaillé pour ce reportage, Nabila Laïb, d’après laquelle « il y a eu zéro menace mais un désaccord éditorial ». Selon elle, le reportage est « bidonné et instrumentalisé ».


Nabila Laïb s’est elle aussi expliquée sur Canal+ mercredi dernier:


http://www.wat.tv/swf2/538793nIc0K115213985


Finalement, le documentaire a été diffusé mercredi 29 septembre. Et, lors de cette diffusion, certains personnages ont été floutés et des commentaires bipés.

C’était sans compter sur un énième rebondissement…Vendredi dernier, deux jours après la diffusion du reportage, vers 18h30, une dizaine de jeunes se sont présentés devant l’entrée de la société de production Doc en Stock, dans le 3ème arrondissement de Paris, qui a produit le documentaire, selon Le Parisien.

Les jeunes gens voulaient rencontrer la réalisatrice et le responsable de la société.

Selon une source proche de l’enquête, et Le Parisien, comme les jeunes gens n’ont pas pu entrer en contact avec ces personnes, plusieurs d’entre eux auraient alors lancé: « On va vous brûler. On reviendra et on vous brûlera tous ! ».

Après ces menaces, quatre jeunes âgés de 15, 16, 17 et 22 ans originaires de la cité Barbusse à Vitry-sur-Seine ont été interpellés, précise encore Le Parisien.

Les jeunes garçons arrêtés auraient revendiqué « leur droit à l’image » avant de réclamer « de l’argent » à la société de production, indique aussi une source proche de l’enquête.

Qui ajoute, au Parisien toujours:

« Il n’y a pas eu de violence physique ni de dégradation. Plusieurs jeunes se sont plaints de l’image donnée d’eux à travers ce documentaire. Ils voulaient obtenir une compensation. Le ton a fini par monter. »

Dimanche, les quatre jeunes ont été mis en examen pour les menaces de morts proférées contre les employés de la société de production.

Ils ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire, avec interdiction de se rendre à Paris et d’entrer en contact avec les victimes.

Trois des quatre jeunes en question apparaissent dans le documentaire.

Note de la rédaction

Contacté par Le Post, le parquet de Paris dit que les quatre personnes -dont deux mineurs- mises en examen dimanche l’ont été pour « menaces de mort et menaces sous condition ».

Il nous précise aussi que « deux d’entre eux, les deux majeurs, ont été placés sous contrôle judiciaire, les deux autres sous liberté surveillée préjudicielle. »

Egalement contacté ce mardi par Le Post, le producteur Daniel Leconte ne souhaite pas s’exprimer sur ce sujet.

Egalement contacté ce mercredi par Le Post, Me Richard Malka, avocat de la maison de production, dit « ne pas avoir de déclaration à faire. »

Mis à jour par la rédaction du Post

Source: http://tinyurl.com/2wqosej

La France est aux Français ! De Claude Barzotti…

Plus que jamais d’actualité, cette chanson de Claude Barzotti… Voici déjà son histoire, vous l’écouterez après…

FDF
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Vous connaissez déjà peut être cette excellente chanson du chanteur Claude Barzotti, intitulée « La France est aux Français »..
Il faut savoir qu’elle résulte en quelque sorte d’une erreur de casting puisque elle devait initialement faire partie d’une comédie musicale dénonçant le « racisme » et dans laquelle Barzotti jouait le rôle du « raciste »..
Mais le chanteur a chanté avec une telle conviction , qu’on s’est empressé de tout annuler et de tenter de faire disparaitre l’enregistrement . Barzotti lui même a cherché par la suite à se dédouaner de cette chanson, c’est pourtant bien lui qui l’a chantée, en 2001..!
Depuis, cet enregistrement circule sur internet
Si vous ne la connaissez pas encore , cliquez sur :
http://www.youtube.com/watch?v=0qMKJXc58LU