Francaisdefrance's Blog

06/10/2010

La taqiyya, vous connaissez? Parce que EUX, ils connaissent et s’en servent à outrance…

EUX? Les islamistes, bien sûr… Lisez cette édifiante explication de Michel Gurnfinikiel à ce sujet. Vous allez apprendre des choses… Et il ne parle que de la Turquie; qui est à nos portes… Mais la Taqiyya est très répandue dans le monde Occidental. Vous en avez des preuves tous les jours…

FDF

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Turquie/ L’Etat-Taqiyya


La taqiyya est une réalité, en Turquie et ailleurs. Savoir la déjouer constitue aujourd’hui une priorité absolue pour les pays fidèles à la tradition démocratique occidentale.

La taqiyya ou « dissimulation » est une pratique couramment admise dans le monde islamique. Elle consiste à tromper l’adversaire non-musulman quand celui-ci est en position de force, soit en lui cachant que l’on est musulman, soit en lui mentant sur les intentions qu’on nourrit à son égard.

Cette pratique se fonde sur un passage du Coran (sourate III, verset 28),  qui enjoint aux musulmans de ne pas cultiver l’amitié des non-musulmans  mais au contraire d’user de « précautions » à leur égard. L’exégète et chroniqueur iranien sunnite At-Tabari, qui vécut au IXe siècle et au début du Xe siècle,  l’interprète de la façon suivante :


« Si vous, musulmans, vivez sous l’autorité des non-musulmans et craignez pour votre vie, protestez en paroles de votre loyauté à leur égard tout en les haïssant en pensée. »

Ibn al-Arabi, un théologien et mystique andalou des XIIe et XIIIe siècles, et Al-Qurtubi, un juriste hispano-égyptien du XIIIe siècle, sunnites tous les deux, autorisent les musulmans « opprimés » à feindre « provisoirement » une conversion à une religion non-musulmane et,  si nécessaire,  à exécuter des rites ou des actes que le Coran tient pour criminels.

La plupart des autorités musulmanes, jusqu’à ce jour, regardent en outre le recours à la ruse et à la trahison en tant de guerre comme une forme légitime de taqiya, à laquelle le Prophète lui-même a recouru : une affirmation qui prend tout son sens quand on sait que, selon l’islam, toutes les relations entre musulmans et non-musulmans relèvent a priori de la guerre, du moins tant que les seconds n’auront pas fait acte de soumission envers les premiers et accepté de payer la jiziya, ou « capitation ».

Mais la taqiyya a été également invoquée dans les conflits entre musulmans :  le camp musulman ennemi étant considéré comme « hérétique » et donc assimilé au monde non-musulman. Partout où ils ont été minoritaires, les chi’ites et les kharéjites ont recouru à la taqiyya pour échapper aux persécutions sunnites. Les sunnites ont fait de même quand ils étaient minoritaires face à une majorité chiite. Au XXe siècle,  enfin,  les sunnites comme les chiites ont pratiqué la taqiyya face à des pouvoirs antireligieux :  les régimes communistes en URSS,  en Chine, en Albanie ou en Afghanistan ; mais aussi des régimes où l’Etat, sans combattre l’islam en tant que tel, a prétendu imposer un mode de vie moderne, donc partiellement ou totalement laïque.

De tous les pays musulmans, c’est la Turquie qui, sous la conduite de Mustafa Kemal, dit encore Atatürk, est allée le plus loin dans le sens de laïcisation. C’est aussi celui où, par réaction, une forme particulièrement élaborée de taqiyyatarîqat) qui assurent véritablement l’encadrement des fidèles. Ces dernières ont ressuscité, à partir des années 1950, en tant qu’associations culturelles ou fondations éducatives faisant allégeance à la République laïque. Par ce biais, elles ont peu à peu reconquis la société civile. Avant de se donner un bras politique, le parti islamiste AKP, qui a pris le pouvoir par la voie électorale en 2002. s’est peu à peu mise en place. Kemal avait respecté les mosquées et maintenu un corps d’imams salariés par l’Etat, mais interdit les confréries (

Le succès de la taqiyya antikémaliste en Turquie a été facilité par divers facteurs.

D’une part, ce pays a derrière lui une longue tradition de taqiyya religieuse ou ethno-religieuse. L’Empire ottoman professait l’islam sunnite, mais nombre de ses sujets se réclamaient en fait du chi-isme, ou appartenaient à des sectes pratiquant secrètement, sous un vernis musulman sunnite, diverses religions non-islamiques ou diverses formes de syncrétisme : notamment les alévis (chi’ites cryptognostiques), les bektachis (chiites cryptognostiques ou cryprochrétiens) et les dönmehs (crypto-juifs). Au sein même de l’islam sunnite, certaines confréries, qui avaient été dissoutes et interdites pour des raisons politiques, s’étaient reconstituées sous d’autres noms.

D’autre part, la République kémaliste a pratiqué elle aussi la dissimulation et le double langage. Atatürk croyait sans doute à l’établissement progressif d’une démocratie de type européen. Mais en pratique, il a gouverné en dictateur, à l’aide d’une armée et d’un parti unique dévoués à sa personne. Sous son successur İsmet İnönü, de 1938 à 1950, le régime a pris un tour ouvertement fascisant, en s’alliant avec une partie des conservateurs sunnites. Après l’introduction du pluripartisme, en 1950, un compromis instable a été mis en place : régime formellement laïque et démocratique, idéologie d’Etat ultra-nationaliste, poids grandissant du « pays réel » musulman, interventions périodiques de l’armée – bastion du kémalisme – dans le processus politique.

Ces évolutions impliquaient des distortions de plus en plus fortes entre le discours public officiel et les réalités sociétales. Mais aussi, la Turquie étant stratégiquement ou économiquement dépendante des Etats-Unis et de l’Europe, une taqiyya permanente tendant à la présenter comme un pays plus « occidental » qu’elle ne l’était vraiment.

En arrivant au pouvoir, l’AKP a en quelque sorte amalgamé à son profit ces formes diverses de taqiyya : le marranisme des nouvelles confréries, le brouillage des valeurs du régime kémaliste, le mensonge patriotique destiné aux Occidentaux. Cela lui a permis de gagner les élections de 2007 avec une marge plus large encore, puis un référendum, le 12 septembre dernier, qui renforce apparemment les institutions démocratiques, notamment en subordonnant l’armée au pouvoir civil, mais supprime en fait tout contre-pouvoir face à l’islamisme.

Il y a quelque chose d’orwellien, sinon même de stalinien, dans la Turquie des années 2000 et 2010. L’article 10 du nouveau texte constitutionnel garantit l’égalité des sexes. Mais la part des femmes dans la population active est tombée à 21,6 % en 2009, contre 34,1 % dans les années 1990.

L’article 20 garantit les libertés individuelles, à commencer par la liberté de penser et d’exprimer ses opinions. Mais en pratique, le régime AKP a entrepris de mettre les médias au pas depuis 2007, soit en engageant des poursuites contre des journalistes sous divers prétextes, soit en frappant les journaux d’opposition d’amendes démesurées. Voici trois ans, l’ONG Reporters Sans Frontières classait la Turquie au 102e rang mondial, sur 175, en matière de liberté de la presse. En 2009, ce pays était tombé au 122e rang.

Selon Iris, une ONG turque spécialisée dans la défense des droits de l’homme, les écoutes téléphoniques, principalement dirigées contre les opposants, ont crû de 50 % par an en trois ans. Quelque 150 000 écoutes auraient été mises en place en 2009. En 2010, le seuil des 200 000 écoutes pourrait être dépassé.

La taqiyya est une réalité, en Turquie et ailleurs. Savoir la déjouer constitue aujourd’hui une priorité absolue pour les pays fidèles à la tradition démocratique occidentale.

Source: www.michelgurfinkiel.com

Ne concevoir l’islam que comme une religion est un piège mortel pour les Européens…

Lire cette excellente analyse… Bon; l’auteur parle de « religion ». J’aurais écrit: idéologie. Mais bon…

C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui. N’hésitez pas à le faire circuler autour de vous.

René Marchand est un islamologue français issu de l’École nationale des langues orientales.Il est licencié de langue et littérature arabe. Essayiste et journaliste, il collabore notamment à la Nouvelle Revue d’Histoire.


FDF

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3_Ne_concevoir_l’islam_que_comme_une_religion_est= un piège mortel pour les Européens René Marchand

Des élèves « cathos » dans un collège musulman ?

Dernière mode… Une façon comme une autre d’islamiser nos têtes blondes?

Mais non. Ca ne verra pas le jour, ça… Le contraire se pratique, en revanche… (Voir un précédent post…).

FDF

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Que les fidèles d’Allah se rassurent, il ne s’agit que de société-fiction, puisqu’en France le culte du vivre-ensemble fonctionne à sens unique : celui qui voit les institutions nationales faire des courbettes aux « minorités », sans jamais espérer d’elles un retour positif.

La preuve par l’exemple, avec l’initiative de l’internat de jeunes filles Sainte-Jeanne-Elisabeth (Paris VIIe) : pétries de bonnes intentions – et sans
doute inspirées par leur hiérarchie –, les responsables de cet établissement sont en effet les premières à accueillir des élèves bénéficiant de la filière « internats d’excellence » mise en place par SarkÖzy 1er (et dernier).

Le principe ? Des élèves issus de quartiers « populaires » – comprenez ethniques – de la région IDF, sont intégrés dans des écoles « prestigieuses »… des établissements normaux, en fait ; ce, sur la seule supposition de leur différence d’aptitudes avec leurs habituels congénères. Au royaume des aveugles…
Tant mieux pour les heureuses élues :
6 jeunes filles jusqu’ici scolarisées en ZEP, dont les parents n’auront pas un centime à verser à l’institution (seule l’option internat est payante pour ces familles, à raison de quelques dizaines d’euros par mois).

Bienvenue donc à Basma, Amla, Anna et leurs consœurs… Issues du sympathique quartier du Franc-Moisin à Saint-Denis, ou d’autres villes « cosmopolites », les demoiselles apprécient de recevoir un enseignement traditionnel, empreint de respect de la hiérarchie et de travail. Même si elles reconnaissent ne pouvoir avouer leur étrange situation à leurs amis de cité ! (*)
En toute humanité et honnêteté intellectuelle, l’on ne peut que se réjouir pour elles de ce coup de pouce… quand bien-même il n’est justifié par rien de précis.
On apprécierait simplement que les portes s’ouvrent aussi facilement pour d’autres « exclus », ceux des zones rurales, ou pour les enfants de travailleurs pauvres non-originaires de contrées lointaines.

Si les enfants de paysans mettaient régulièrement le feu aux tracteurs de leurs voisins, détruisaient les granges de ceux-ci, mettaient à sac les écoles communales, nos élus seraient-ils davantage enclins à leur proposer des places en « internats d’excellence » ?

(*) : bien évidement, les musulmanes étant majoritaires dans le groupe de jeunes filles, un arrangement a été trouvé durant la période de ramadan, afin que ces demoiselles ouvertes au monde puissent manger après le coucher du soleil…

[Texte : François Vial / Photo : Le Parisien, Gaël Cornier]

source : chroniquespatriotes75

Plus de cinq millions d’immigrés clandestins en Europe !!!

Le saviez-vous? Bon, je ne vais pas vous faire encore l’affront de vous indiquer ce que ceux-ci nous coûtent… Et ON nous demande de faire des efforts… « L’année 2011 sera financièrement difficile », pour nous, les sous-chiens…

FDF

Ca, c’est pas pour nous, les sous-chiens…


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A l’heure actuelle l’Europe compte plus de cinq millions d’immigrés clandestins, et leur nombre tend à augmenter, a annoncé mardi à Sotchi (mer Noire) le secrétaire du Conseil de sécurité russe Nikolaï Patrouchev.

« Selon les données fournies par l’UE, quelque 5 millions de sans-papiers séjournent actuellement dans l’espace européen. On s’attend à une augmentation de 350.000-500.000 personnes par an », a-t-il indiqué lors d’une réunion des représentants des Conseils de sécurité de 44 pays.

Le responsable a souligné qu’en évaluant le problème de la criminalité dans la sphère de l’immigration clandestine, il était nécessaire de prendre en considération ses conséquences pénales.

Privés d’emploi et de logement, les sans-papiers sont souvent poussés à aller grossir les rangs de groupes criminels ethniques ou terroristes. Les filières de l’immigration clandestine sont souvent utilisées pour le trafic de drogue, d’armes et de produits prohibés, selon le responsable russe.

Une politique migratoire efficace implique la création d’un mécanisme de contrôle des flux. « Il est nécessaire de mettre en place des accords intergouvernementaux sur l’accueil et le rapatriement des immigrés illégaux et de prendre des mesures de prévention conformes », a conclu M.Patrouchev.

source : fr.rian.ru

Aider les écoles catholiques à intégrer les musulmans…

Autant leur offrir nos écoles catholiques pour les transformer en écoles coraniques et favoriser ainsi l’islamisation de notre France… Nos enseignants sont largement incités à ne pas froisser leurs élèves muzz… Les élèves musulmans et leurs parents vont bientôt INTERDIRE (c’est déjà fait, dans certaines écoles) le crucifix dans les salles de classe. Honteux !!!

FDF

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Le nombre d’élèves de confession musulmane est en hausse dans ces établissements privés, où ils se retrouvent même parfois en majorité. L’enseignement catholique distribue à ses enseignants un manuel de «bonne conduite».

Dans un lycée catholique, un groupe d’élèves de Terminale refuse d’aller à la piscine pendant le Ramadan sous prétexte qu’ils risquent d’avaler de l’eau. Invoquant une raison d’ordre médical, leurs parents réclament une dispense d’activités sportives. Malaise du côté du corps enseignant : ces activités donnent lieu à une évaluation qui compte pour l’obtention du baccalauréat. Autre lieu, autre scène : une école primaire catholique accueille plus de 200 élèves. Parmi eux, environ 70% sont de confession musulmane. Or, le chef d’établissement décide d’installer une crèche dans le hall pendant l’Avent. Un parent musulman exige alors le retrait de celle-ci, «un musulman ne pouvant pas entendre que Jésus est Fils de Dieu.»

Les écoles catholiques ne savent pas toujours quelle attitude adopter face à l’islam. Et ce d’autant qu’elles y sont de plus en plus confrontées avec un nombre d’élèves musulmans en hausse ces dernières années. Ils sont même devenus majoritaires dans certaines écoles, notamment à Villeurbanne (Rhône), Marseille ou Mantes-la-Jolie (Yvelines). Un phénomène récent sur lequel a décidé de se pencher le Secrétariat général de l’enseignement catholique (SGEC) en partenariat avec le Service pour les relations avec l’islam (SRI) de la Conférence des évêques. Pendant deux ans, des chefs d’établissements et des experts ont ainsi planché sur cette question. Résultat : un dossier intitulé «Musulmans en école catholique» et chargé d’apporter des conseils pratiques et des outils théoriques aux enseignants. La direction de l’enseignement catholique le diffuse depuis la rentrée auprès de ses équipes éducatives.

«Rester ouvert sans se renier»

Quelles raisons poussent aujourd’hui certains parents musulmans à se tourner vers les écoles catholiques ? La loi, déjà. Elle les y autorise depuis 1959, au motif qu’aucun établissement catholique sous contrat ne peut refuser un élève à cause de sa religion. «Ils pensent aussi que dans ce type d’établissement, au moins, on parlera de Dieu aux jeunes. D’autres y voit également une formation de bon niveau pour leurs enfants», explique Pierre Robitaille, l’animateur du groupe de travail sur les «Musulmans en école catholique» pour la SGEC. Parmi les cinquante premiers lycées du Palmarès Figaro 2010 figurent en effet 80% d’établissements privés, alors même que ceux-ci ne représentent que 20% de l’effectif général. Sans compter que le privé est un bon moyen de contourner la loi de 2004 sur les signes religieux à l’école puisque celle-ci ne s’applique qu’au public.

Dans le dossier, seize fiches pratiques sont donc mises à disposition des enseignants pour leur permettre de mieux appréhender la religion musulmane et d’en comprendre les mécanismes : «Vocabulaire islamique élémentaire», «Fêtes et évènements en Islam», «Place traditionnelle de la femme en société musulmane» ou encore «Le voile islamique». En plus, le rapport aborde quatorze cas concrets déjà rencontrés dans des écoles et y apporte des «pistes de réflexion et d’action». Car le défi de l’enseignement catholique ici est bien de parvenir à rester ouvert à tous sans pour autant se renier. «La foi doit s’exprimer, mais on ne cherche pas pour autant à faire du prosélytisme, prévient Pierre Robitaille. Attention toutefois, si l’ouverture aux autres compte, les enseignants doivent aussi être prudents afin d’éviter que certaines situations ne deviennent ingérables». En témoigne ce geste d’une directrice qui a proposé à des lycéens musulmans une salle pour prier, afin qu’ils évitent de se faire mouiller par la pluie dans la cour de l’école. Ils l’ont transformée en salle de prière et y invitent parfois des personnes extérieures à l’établissement pour prier avec eux. Depuis, la directrice ne parvient plus à utiliser cette pièce pour d’autres activités.

«L’idée est que les élèves d’autres confessions religieuses pratiquent plutôt leur religion à l’extérieur de l’école, avec des exceptions pour les internats. Dans ces derniers, on peut mettre des salles polyvalentes à la disposition des jeunes, mais elles ne doivent pas se transformer en salle dédiée à la prière, souligne l’animateur du groupe de travail sur «Les Musulmans à l’école». Nous avons une mission d’Eglise. Nous ne sommes pas un self des religions !»

source : lefigaro.fr

Tapie bouffe vraiment à tous les rateliers…

C’est ce qu’affirme le président du Front National est vrai, et il n’y aurait rien d’étonnant sur cette info, Tapie conforte sa réputation  de requin assoiffé de fric et de pouvoir (l’un ne va pas sans l’autre…)… Sans scrupules, Tapie, sans scrupules… Preuve en est encore ces millions d’euros qu’il a réclamé à l’Etat et que l’Etat (nous, en fait) lui a allègrement donné.  Cette période de récession ne l’est pas pour tout le monde… Fric, mensonges et foutages de gueule…

FDF

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Le Pen assure avoir rencontré Tapie en 1993, l’homme d’affaires dément

Le président du Front national, Jean-Marie Le Pen, assure que l’homme d’affaires Bernard Tapie est venu le voir secrètement en 1993 pour tenter d’obtenir une intervention qui favoriserait son élection comme député. Interrogé dans Le Parisien/Aujourd’hui en France de mercredi sur les affirmations du livre Le Testament du diable du journaliste Azzeddine Ahmed-Chaouch, le fondateur du parti d’extrême droite les confirme, tout en en relativisant la portée. « C’est vrai, Bernard Tapie est venu chez moi à Montretout, en mars 1993, pendant les législatives, pour discuter de l’entre-deux-tours qui se tenait dans la circonscription de Gardanne, où il était candidat », explique Jean-Marie Le Pen.Le second tour des élections législatives donnait alors lieu à une triangulaire entre Bernard Tapie, un candidat RPR et un Front national. « Tapie m’a demandé de maintenir mon candidat pour faire barrage au candidat de la droite. Mais je conteste l’expression accord secret employée dans le livre. Il n’y a pas eu d’accord, pour la simple et bonne raison que nous avions décidé de maintenir nos candidats partout », ajoute Jean-Marie Le Pen. Le président du FN dit se souvenir du « culot » de Bernard Tapie et de « beaucoup de décontraction ».

Bernard Tapie, revenu dans l’actualité à la faveur des 220 millions d’euros perçus de l’État, selon la commission des Finances de l’Assemblée, en règlement du litige Adidas, conteste l’existence de cette rencontre. « Moi chez Jean-Marie Le Pen ? Et pourquoi pas prendre l’apéro avec lui pendant qu’on y est ! Jamais je n’ai été à son domicile », a réagi l’homme d’affaires dans les pages du Parisien, ajoutant : « C’est un mensonge total, car j’ai toujours été un adversaire acharné de l’extrême droite. »

Source: http://tinyurl.com/39mtdfm

Avec le Bloc Identitaire, exigez le retour de nos soldats d’Afghanistan !

Je l’ai déjà écrit, sur ce blog. ON envoie nos militaires se faire massacrer en Afghanistan… Pour une cause qui n’est pas la notre… Et pendant ce temps, ON procède à des coupes franches dans le budget de la défense du territoire…Je suis satisfait que les Identitaires pensent la même chose… Et fassent quelque-chose.

FDF

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Parce que nous ne voulons plus voir de jeunes Français mourir pour une guerre américaine…


Parce que c’est au cœur même de nos quartiers qu’il faut combattre l’islamisme…


Parce que ce sont les burqas de Vénissieux ou Roubaix qui nous inquiètent, et pas celles de Kaboul…


Parce que c’est dans nos banlieues que l’on aurait besoin d’eux…

Les identitaires ont décidé de lancer une campagne pour exiger le retour de nos soldats d’Afghanistan.

Vous pouvez d’ores et déjà commander les affiches et autocollants de cette nouvelle campagne militante sur notre site. De nombreuses actions, ayant à la fois pour but de sensibiliser l’opinion et de mettre nos gouvernants devant leurs responsabilités, seront menées dans les semaines à venir.

Pour commander les autocollants
Pour commander les affiches

Source: http://tinyurl.com/2do786l

« L’islam est le communisme contemporain »…

Et le communisme, c’est l’idéologie qui a fait le plus de morts au monde; devant le nazisme, loin devant… L’islam a déjà une bonne avance…

FDF

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Discours engagé, réflexions assurées !

Les analyses du monde politiquement incorrect méritent aussi d’être soumises au plus grand nombre.

Ayons le courage d’affirmer que la dénégation des idées amène la défaite de la pensée car beaucoup savent utiliser notre « angélisme tolérant » à leur grand avantage.

Ci-dessous, le discours que vient de prononcer à Berlin le responsable du parti de la droite néerlandaise venant de former un gouvernement de coalition en Hollande.


« L’islam est le communisme contemporain »

Cher Amis, je suis heureux d’être aujourd’hui à Berlin. Comme vous le savez, cette invitation de mon ami René Stadtkewitz, lui a coûté son statut de membre de la CDU de Berlin. Cependant, René ne s’est pas laissé intimider. Il n’a pas trahi ses convictions. Son éviction fut pour René l’occasion de fonder son propre parti politique. René, je te remercie pour cette invitation et te souhaite le succès que tu mérites avec ton nouveau parti.

Mes amis, comme vous le savez peut-être, ces dernières semaines furent pour moi épuisantes. En début de semaine nous avons pu former avec succès un gouvernement minoritaire avec les libéraux et les chrétiens démocrates, soutenus par mon parti. Cela est un événement historique pour les Pays Bas. Je suis fier d’avoir pu y contribuer. En ce moment même, dans le cadre d’une conférence, les chrétiens démocrates doivent décider leur entrée dans cette coalition.

S’ils le font, nous serons en mesure de reconstruire notre pays, de garder notre identité nationale et d’offrir à nos enfants un futur meilleur. Malgré mon agenda chargé, c’était pour moi une obligation de venir à Berlin, car, l’Allemagne aussi a besoin de défendre son identité allemande et de résister à l’islamisation de l’Allemagne.

La Chancelière Angela Merkel déclare que l’islamisation de l’Allemagne est inévitable. Elle appelle les citoyens à s’adapter aux changements provoqués par l’immigration. Elle souhaite que vous vous adaptiez à cette situation.

Le Président de la CDU déclare – je cite : « Les mosquées deviendront plus qu’avant une partie du paysage de nos villes. » fin de la citation. Mes amis, nous ne devons pas accepter l’inacceptable, sans essayer de tourner cette page. Il est notre devoir de politique, de préserver notre nation pour nos enfants.

J’espère que le mouvement de René sera autant couronné de succès que mon propre parti Partij voor de Vrijheid, comme celui de Oskar Freysinger, la Schweizerische Volkspartei en Suisse, ou celui de Pia Kjaersgaards, le Dansk Folkeparti au Danemark et autres mouvements du genre. Ma très chère amie, Pia, déclarait récemment à l’invitation de la Sverigedemokraterna : « Je ne suis pas venue, afin de me mêler de la politique intérieure suédoise. Cela est l’affaire des Suédois. Non, je suis venue car, malgré des différences certaines, le débat Suédois me fait penser au débat que nous avons déjà mené depuis 15 ans au Danemark. Et, je suis venue en Suède, car cela concerne aussi le Danemark. Nous ne pouvons pas rester assis là, les bras tombants et être des témoins muets du développement politique de la Suède. »

Ceci est valable pour moi en tant que Néerlandais concernant l’Allemagne. Je suis ici, parce que l’Allemagne est pour les Pays Bas et le reste du monde de grande importance parce que, sans un partenaire allemand fort, le « International Freedom Alliance » « Alliance Internationale pour la Liberté » ne pourra jamais être portée sur les fonds baptismaux. Mes chers amis, demain est le jour de l’unification allemande. Demain, depuis exactement vingt ans, votre grande nation se réunifiait, suite à la faillite de l’idéologie communiste. Le jour de la réunification de l’Allemagne est un jour important pour toute l’Europe.

L’Allemagne est la plus grande démocratie d’Europe…

Suite et source: http://tinyurl.com/353a52l

Des écoles islamiques ont adopté des politiques sur l’uniforme scolaire qui obligent les élèves à porter la burqa ou le niqab!

Mais ça se passe en Grande-Bretagne, rassurez vous. En France, c’est pour demain…
FDF

Au nom du multiculturalisme, on bafoue les droits des enfants. Ces jeunes filles sont victimes, dans les faits, d’un traitement cruel, inhumain et dégradant. Je dirais même qu’il s’agit d’une forme de torture.

Burka-free
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Le Sunday Telegraph a déterminé que trois institutions du Royaume-Uni avaient adopté des politiques obligeant les jeunes filles à porter le voile intégral lorsqu’elles se rendent à l’école ou en reviennent. Il s’agit de la Madani Girls’ School  à Londres-Est, de la Jamea Al Kauthar à Lancaster et de la Jameah Girl’s Academy à Leicester. Toutes trois sont des écoles indépendantes, payantes et non mixtes pour des jeunes filles de 11 à 18 ans.

Des critiques ont prévenu que la vue d’élèves vêtues de la burqa entrant et sortant de l’école au début et à la fin de la journée pourrait nuire aux relations entre les communautés musulmanes et non-musulmanes.

Ed Husain, co-directeur de Quilliam, un think tank anti-extrémisme, a déclaré : «Il est absurde que des écoles imposent ce rituel désuet, lequel envoie le message nuisible voulant que les musulmans ne veulent pas participer pleinement à la société britannique. Même s’il n’appartient pas au gouvernement de dicter aux citoyens la manière dont ils doivent s’habiller, il faut s’assurer que ces écoles ne sont pas financées par les contribuables britanniques. L’imposition du niqab aux jeunes filles n’est pas une pratique de l’islam dominant, que ce soit en Grande-Bretagne ou dans les pays à majorité musulmane. Il s’agit d’une coutume du désert qui appartient à un autre siècle et à un autre monde.»

Le Dr Taj Hargey, imam et président du Muslim Educational Trust d’Oxford, a déclaré: «C’est très troublant, et cela crée un précédent dangereux. On fait fait subir un lavage de cerveau à de jeunes musulmanes en leur faisant croire qu’elles doivent vivre séparément du reste de la société. Le financement de telles institutions par l’argent des contribuables devrait être absolument interdit. Le port de la burqa ou du niqab est une coutume tribale et ces vêtements ne sont même pas mentionnés dans le Coran.»

Philip Hollobone, le député conservateur qui a tenté de présenter un projet de loi  visant à interdire la burqa en public, a également condamné la politique sur l’uniforme scolaire de ces institutions. «Quelle tristesse de constater qu’au 21e siècle en Grande-Bretagne, trois écoles obligent des jeunes filles d’à peine 11 ans à se couvrir le visage. Comment ces jeunes filles pourront-elles évoluer comme membres pleinement intégrées de la société si on les traite comme des objets à un âge aussi précoce ?»

Le formulaire de demande d’admission [de l’école Madani] prévient les jeunes filles qu’elles recevront une «punition appropriéee» si elles ne portent pas le bon uniforme,  et son site Internet ajoute : «Si le ministère de l’Éducation entre en communication avec les parents au sujet de leur enfant, ceux-ci ne doivent divulguer aucune information sans en avoir discuté avec le comité. »

L’école Madani explique sa philosophie sur son site Internet: «Comme nous sommes opposés au mode de vie occidental, il ne nous apparaît pas raisonnable que les enseignants et le système qui représentent ce mode de vie éduquent nos enfants.»

Source : British schools where girls must wear the Islamic veil, par David Barrett, Telegraph, 2 octobre 2010. Traduction partielle

Roms, gens du voyage : qui est qui ?

Un petit dessin explicatif; histoire de savoir de quoi (ou plutôt de qui) on parle…

FDF

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Merci à JLB pour l’info…

Instinct de conservation, en avez-vous encore ?

La laïcité part en lambeaux, par Pierre-Louis Hikoum

Paris (France) 2010…

Combien d’articles ai-je déjà écrit, non pour critiquer ou vilipender l’Islam, mais tout simplement pour dénoncer ceux qui veulent faire de la France, un pays à l’histoire Chrétienne et dont la république se veut laïque, un état qui se conformerait à leurs règles.

Il y eu, les piscines dont les horaires furent aménagés, les gymnases municipaux réservés pour les tournois inter-mosquées et dont l’accès était interdit aux hommes ; Il y eu également les cantines où, dans un premier temps on ne servit pas de porc aux Juifs et aux Musulmans, puis plus de porc du tout et, chemin faisant, plus de viande du tout puisqu’elle ne pouvait être hallal. Relisez mon article sur Tremblay-en-France où la communauté musulmane a fait une pétition pour exiger, contre le principe même de laïcité, que des repas hallal soient servis dans les cantines municipales. Mais il y a également l’exigence de certains hommes, conformément à leurs convictions, que leur épouse malade, ne soit examinée que par d’autres femmes, il y a également ces gens qui vont faire soigner leur famille dans des établissements catholiques tenus par des Sœurs et qui exigent que les crucifix soient enlevés des murs dans les chambrées parce que offensant leur croyance. Pourquoi répond-on ce genre d’exigence dans les hôpitaux publics alors que c’est totalement contraire à la règle de laïcité et pourquoi, dans des hôpitaux catholiques ne portent-ils pas plainte contre ce type de comportement totalement inadmissible?


La société permissive et démissionnaire refuse d’affronter, en face, le problème de l’assimilation quitte à se renier elle-même et l’ensemble de ses fondements dont la Sacro Sainte Laïcité. Le but de la laïcité a toujours été d’empêcher l’influence des religions dans l’exercice du pouvoir politique et administratif. Par voie de conséquence les conceptions spirituelles et philosophiques étaient renvoyées au domaine exclusif de la conscience individuelle et à la liberté d’opinion. Personne ne s’attendait à ce que les plus permissifs, les plus collaborationnistes à la destruction de la laïcité soient les représentants de l’Etat eux mêmes.

Monsieur DELANOE, Maire de Paris, a fait de belles fêtes pour la fin du ramadan. En 2006 il a même réquisitionné le Stade Charléty aux frais des contribuables parisiens et pour le bénéfice exclusif des musulmans de Paris. Mieux, ou pire suivant sa propre sensibilité, on se place, un service de la direction des affaires culturelles de la ville a été transformé en une association loi de 1901. Cette association est l’Institut des Cultures de l’Islam, le maire de Paris a nomme Hakim El Karoui à sa tête afin de gérer le futur institut.

Afin de persévérer dans l’illégalité la plus complète, le Conseil de Paris a voté l’adhésion de la Ville à cette même association, et lui a concomitamment attribué une première subvention de 696.000 €. Tout ceci est tiré d’un article« Enfin une vraie mosquée pour la ville de Paris ». La finalité de tout cela est donc en fait la construction d’une Mosquée qui va coûter, rien que pour les contribuables parisiens, 22 millions d’Euros et qui comprendra un « gigantesque pôle culturel et deux salles de prière de 1000m2 chacune, soit au total 4500m2″ du Parisien de mai 2010 et titré d’après l’article.

Mais il n’est pas le seul, sur le site du Dijon Football Côte d’Or, on apprend que « le 9 juillet aura lieu la petite finale, et la finale de ce mondial à 7 de la jeunesse dijonnaise, suivi d’un match de gala des professionnels du DFCO et d’un barbecue géant hallal.

Tous les participants (24 équipes) accompagnés de leurs parents et leurs coaches sont conviés à assister à ces rencontres et à partager ce barbecue géant. » Remercions cet autre collaborationniste qu’est le sénateur-maire de Dijon et président du Grand Dijon, Monsieur François Rebsamen qui non seulement foule du pied la laïcité, mais de surcroit oblige les non mahométans à manger ce repas Hallal qui n’est pas une solution facultative proposée avec un repas non consacré.

Saluons également Monsieur le premier Ministre, François Fillon, qui a inauguré une mosquée à côté d’une petite fille voilée, saluons Monsieur Martin Hirsch qui nous a exposé sa définition toute personnelle de l’intégration en déclarant donc que, pour lui, « l’intégration c’est quand des catholiques appelleront leur enfant Mohamed ». (Émission de Canal + du premier juillet 2010).

Un certain nombre de nos concitoyens ne doivent pas peser à sa juste mesure ce type de propos, un ministre de la République clame non seulement l’assimilation à l’envers, c’est-à-dire que les Français doivent s’assimiler aux nouveaux arrivants, mais de surcroit il prêche pour une conversion des Catholiques à la religion de l’Islam.

Dans un précédent article j’avais écrit que ces mahométans, qui sont les plus exigeants pour que les droits qu’ils s’inventent soient respectés, ne sont souvent pas nés sur notre sol. Remarquez qu’ils ne se privent cependant pas de nous imposer, partout, leurs interdits religieux. Quick a cédé en ne proposant QUE de la viande Hallal dans certains de ses restaurants, certaines piscines et certaines communes ont également cédées devant ces exigences perpétuelles. Le Maire de Paris est devenu ouvertement collaborationniste.

Jugez plutôt, certaines rues de la Capitale sont obstruées tous les vendredis pour la prière, il n’est plus possible d’y circuler librement ce qui est un trouble à l’ordre publique mais la municipalité ne fait rien. Les apéritifs « saucissons et pinards » sont, eux, frappés du sceau de l’interdiction par la Préfecture et la Mairie qui se vendent et vendent notre culture à ceux qui nous imposent leur société.

Sans vouloir stigmatiser qui que ce soit, il ne faut pas perdre de vue que les descendants des émigrés arabo-musulmans sont les seuls français d’origine étrangère à avoir continué à donner à leurs enfants, et ce depuis plusieurs générations, des prénoms arabes alors que les descendants d’italiens, de portugais, de polonais, d’espagnol ont maintenant tous donnés des prénoms français aux leurs. Ce refus d’adopter ce marqueur simple de l’identité nationale qu’est le prénom français ne peut-il pas être considéré comme un refus de s’assimiler de la part de ces populations ? Pour justifier cela, il est souvent avancer qu’ils ne veulent pas renier leur identité et leur culture, mais en arrivant ici de leur plein gré, cette identité et cette culture n’est-elle pas sensée être nouvelle et surtout Française ?

Pour conclure, j’aimerai vous soumettre une définition faite par les intéressés de ce qu’est l’Islam : « L’islam est une « religion » fondée par Mahomet au VIIe siècle. Davantage qu’une croyance, il s’agit d’un système de gouvernement qui régit la vie quotidienne ». Cette définition est tirée, par mes soins, du site musulam.tv. Est-ce ce que les Français, quelque soit leur religion, leur couleur et leur origine souhaitent ? Que cet islam devienne, ici en France notre « système de gouvernement qui régit la vie quotidienne » ?


SOURCE :http://hikoum.wordpress.com/

Affaire du coran brûlé : le délit de blasphème n’existe pas en France, Messieurs Choukri et Ries !

Communiqué de Résistance Républicaine.

Affaire du Coran brûlé : le délit de blasphème n’existe pas en France, Messieurs Choukri et Ries !

Résistance républicaine remarque l’agitation médiatique créée autour d’un fait divers : un homme a incendié le Coran, et a uriné dessus. Ce fait a circulé sur facebook. Le délégué général de la Grande Mosquée de Strasbourg, Abelaziz Choukri, annonce qu’il va déposer plainte pour « racisme ». Le maire de Strasbourg, Roland Ries, considérant que les actes de racisme se multiplient dans la région, lance, de manière médiatique,  un appel à un Front républicain contre le racisme, entouré du professeur Nisand et de Faruk Günaltay.

Résistance Républicaine, bien que perplexe quant aux raisons de l’action de cet homme, ne s’étonne pas de la démarche d’Abelaziz Choukri, qui amalgame à du racisme un acte hostile à une religion. Ce dignitaire religieux ne fait que relayer, sur notre territoire, la démarche de l’Organisation  de la Conférence  Islamiste (OCI) qui, forte de 57 pays, au sein de l’Onu, fait pression sur les Etats pour réintroduire le délit de blasphème. La France, où règne une grande liberté d’expression sur le fait religieux, est particulièrement visée par cette campagne, comme on l’a vu lors de l’affaire des caricatures, où, en 2007, les dessinateurs de Charlie Hebdo avaient été traînés devant les tribunaux, et finalement acquittés.

Il est plus surprenant qu’un élu de la République reprenne cette campagne, et l’instrumentalise. Le maire de Strasbourg devrait savoir que l’islam n’est pas une race, mais une idéologie politico-religieuse. C’est galvauder le nécessaire combat anti-raciste que de l’amalgamer à une critique, certes sous forme provocatrice, d’un livre religieux dont certains passages appellent, par ailleurs, ouvertement à la haine et à la violence contre les athées, les homosexuels, les juifs et les femmes. Résistance Républicaine s’est d’ailleurs étonné que le maire de Strasbourg décore le président du CFCM, Mohammed Moussaoui, de l’ordre du mérite de la Ville, alors que l’action essentielle de cet homme, jusqu’à ce jour, consiste à faire progresser l’islam, et à faire reculer la laïcité et la liberté d’expression dans notre pays, comme l’a montré sa demande d’annulation d’un débat organisé par la Droite Libre, le 30 septembre, au Parlement.

Résistance républicaine s’étonne que l’auteur de la provocation ait été longuement entendu par la police, quand un imam intégriste a pu tenir des propos appelant à la guerre civile à Limoges, sans aucun problème avec les forces de l’ordre. Elle remarque le décalage entre l’absence de réaction des dignitaires religieux musulmans quand des supporters de football algériens brûlent le drapeau français, à Toulouse, et le remplacent par le drapeau algérien, devant des policiers passifs, et ce fait divers.

Résistance Républicaine avait appelé, à Strasbourg, à célébrer, le 4 septembre, le 140e anniversaire de la IIIe République. A cette occasion, nous avons été confrontés à la violence verbale et aux intimidations physiques de nombre de jeunes de culture arabo-musulmane, sans que cela n’émeuve outre-mesure MM. Choukri et Ries.

Résistance Républicaine appelle à lutter contre les racismes et tous les appels à la haine, et fait remarquer, contrairement au discours politiquement correct des organisations dites anti-racistes, que les mots « sales blancs », « sales cefrans »  et « sales juifs » sont de plus en plus souvent entendus, sans oublier les paroles de certaines chansons de rappeurs, et ne suscitent pas l’ampleur de la réaction qu’un simple fait divers mettant en cause le coran provoque d’une manière démesurée.

Résistance Républicaine ne peut donc que s’interroger sur le sens de ce « deux poids deux mesures ».

Source: http://christinetasin.over-blog.fr/article-communique-de-resistance-republicaine-affaire-du-coran-brule-le-delit-de-blaspheme-n-existe-pas-en-france-messieurs-choukri-et-ries-58329231.html

La nouvelle filière d’immigration…

Alors que les hommes et femmes politiques, en Europe, ne cessent d’évoquer le faible taux d’emploi des populations issues de l’immigration extra-européenne et, dans le même temps, la forte baisse d’activité due à une crise économique dont de nombreux spécialistes s’accordent à dire qu’elle sera durable, ces mêmes hommes et femmes politiques n’ont pas trouvé d’idée plus intelligente que de créer une nouvelle filière d’immigration de travail, qui s’accompagnera d’une nouvelle filière d’immigration familiale puisque, d’après les textes, les conjoints et enfants bénéficieront immédiatement d’une carte de séjour.

Le projet de loi Immigration, Intégration, Nationalité actuellement en discussion à l’Assemblée Nationale vise, entre autres, à transposer dans le droit français la directive européenne 2009/50/CE, mieux connue sous le nom de « carte bleue européenne ». Cette transposition s’impose à la France en vertu des traités européens.

Parce qu’elle est devenue quasi-impuissante à se saisir des sujets de fond, notre Assemblée nationale a joué ces derniers jours une pièce de théâtre dont le thème était la déchéance de la nationalité pour les meurtriers de policiers. Comme si cela se produisait chaque jour, et qu’il était donc urgent de légiférer. Je ne sous-estime en aucun cas la gravité d’un tel acte, mais je considère que le problème est posé à l’envers. Il faut en effet s’interroger sur les raisons de l’octroi de l’identité française à des personnes qui ne portent pas cette identité.

Voici un extrait de la Directive 2009/50/CE du Conseil du 25 mai 2009 établissant les conditions d’entrée et de séjour des ressortissants de pays tiers aux fins d’un emploi hautement qualifié :

« La présente directive détermine les conditions et les procédures d’entrée des ressortissants de pays tiers hautement qualifiés. Elle crée une carte bleue européenne et définit les conditions et les droits de séjour dans l’État membre qui a délivré la carte bleue ainsi que dans les autres États membres.

La présente directive a pour but de renforcer les capacités de l’Union européenne à attirer les ressortissants de pays tiers aux fins d’emplois hautement qualifiés. Il s’agit non seulement de renforcer la compétitivité dans le cadre de la stratégie de Lisbonne, mais aussi de limiter la fuite des cerveaux. Elle consiste à :

  • faciliter l’admission de ces ressortissants en harmonisant les conditions d’entrée et de séjour dans l’Union européenne ;
  • simplifier les procédures d’admission ;
  • améliorer le statut juridique de ceux déjà présents sur le territoire des États membres.

La directive s’applique aux ressortissants hautement qualifiés de pays tiers qui souhaitent être admis sur le territoire d’un État membre pour une période de plus de trois mois pour un emploi. Elle s’applique également aux membres de leur famille. »

Selon le Mensuel d’AGEFI Luxembourg : « Pour atteindre ces objectifs, la directive entend faciliter l’admission des travailleurs hautement qualifiés et de leur famille :

  • en instituant une procédure d’admission accélérée, et
  • en leur reconnaissant des droits sociaux et économiques équivalents à ceux des ressortissants de leur État membre d’accueil dans un certain nombre de domaines. »

Savez-vous ce que les « élites » qui dirigent l’Union Européenne appellent « hautement qualifié » ? Être titulaire de « tout diplôme, certificat ou autre titre de formation » bac+3 minimum d’un institut reconnu comme établissement d’enseignement supérieur par le pays d’origine. On croit rêver. Quand 190 000 jeunes quittent chaque année le système éducatif français sans aucune qualification, il ne viendrait à l’idée de personne de se concentrer en priorité sur ce volet ? Dans le même temps, des cerveaux français hautement qualifiés (bac+5 et au-delà, et notamment les doctorants et chercheurs) font le choix de l’Amérique, qui leur offre la possibilité d’exercer leurs talents. Où est la cohérence de la classe politique dans ce dossier ?

Cette directive pénalise non seulement les sociétés d’accueil, mais également les sociétés d’origine puisqu’elle organise, de manière officielle, la fuite des classes moyennes de ces pays, les seules qui auraient été capables, un jour, de participer à leur redressement ; et je pense là tout particulièrement à l’ensemble du continent africain. Cela participera, à terme, à intensifier encore davantage le flux des migrations du Sud vers le Nord. Les peuples européens sont donc perdants sur toute la ligne ! Ils sont victimes, bien malgré eux, de la conjonction de multiples intérêts.

Il y aurait encore beaucoup à dire sur ce projet de loi Immigration, Intégration, Nationalité. Dans son intitulé figure le terme « Intégration ». Or, cette dimension est le parent pauvre du projet de loi. Ni la question de l’école qui souffre, ni même le rôle des parents de l’immigration ne sont abordés.

Dans le Monde daté du 26-27 septembre dernier, Édouard Balladur, ancien Premier ministre, prédit que « l’Europe à 27 est vouée à la confusion et à l’échec » : « les 27 pays ont des régimes sociaux et juridiques très différents ; nous portons le poids d’un élargissement qui a été décidé trop hâtivement ; la liberté de circulation pour des populations relevant de pays qui ne sont pas capables de contrôler efficacement leurs frontières donne lieu à des difficultés insurmontables […] Ce n’est pas mettre la société sous tension que de la placer devant les réalités. La sécurité, la libre circulation en Europe, l’immigration clandestine, sont des problèmes essentiels qu’on ne peut éluder sous prétexte qu’il faudrait laisser l’opinion publique en repos, d’autant qu’elle ne l’est pas, et que les Français sont bien conscients de ce qui est en cause. […] Nos partenaires devraient être appelés à la lucidité. L’Europe à 27 est vouée à la confusion à et l’échec. Elle souffre de défauts que le traité de Lisbonne n’a pas corrigés […] Que faire ? Revenir sur le principe de la libre circulation, ériger de nouvelles barrières ? »

J’entends et lis très souvent que, du fait du vieillissement de l’Europe, l’Union Européenne doit faire appel à l’immigration pour son repeuplement. Cela représente ni plus ni moins qu’une entreprise de substitution de peuples:

« Monsieur le Premier ministre Édouard Balladur, il vous faut convaincre le Président de la République d’avoir le courage de refuser la transcription de directives fruits d’une Europe qui a perdu la raison, d’une Europe qui pense pouvoir se construire sur la dépouille de ses peuples. S’il est un domaine pour lequel le principe de subsidiarité doit être appliqué, c’est bien celui de la sauvegarde de la cohésion sociale et nationale. Il ne faut pas craindre l’épreuve de force, car l’Europe ne pourra se construire sans la France ! »

De nos jours encore, les raisons qui ont poussé Louis XV à céder la Nouvelle-France suscitent l’incompréhension devant si peu de perspicacité géostratégique. Mais depuis quarante ans, que font nos dirigeants ? Non seulement ils cèdent des pans entiers de la Métropole (les territoires perdus de la République), mais de plus ils y déversent chaque année des sommes considérables.

Vous m’écrivez souvent pour me demander ce qu’il conviendrait de faire. En l’état actuel du rapport de forces, voici quelques conseils :

  • vous investir dans le réveil des consciences pour sortir au plus vite les citoyens de l’anesthésie dans laquelle plus de trente années de lavage de cerveau les ont plongés : Internet constitue un formidable outil à la disposition des citoyens ;
  • aider ceux que vous croisez à retrouver confiance en ce qu’ils sont ;
  • écrire aux personnalités politiques pour exprimer ce que vous ressentez, car elles ne fonctionnent qu’à la crainte de ne pas être élues ou réélues (si les Français sont devenus la variable d’ajustement, c’est parce qu’ils n’inspirent guère de crainte à la classe politique) ;
  • apprendre à bien décrypter le positionnement des personnalités politiques afin de ne plus leur donner de chèque en blanc. Ne vous fiez plus aux discours sur les valeurs républicaines, car certains les utilisent pour porter en réalité un projet qui travaille à affaiblir, voire détruire, ces principes et valeurs ;
  • rejeter les discours défaitistes sur le prétendu déclin de l’Ouest. Ils participent à inoculer le virus du découragement et du fatalisme aux peuples européens ;
  • voter, là où vous vous trouvez, pour celui ou celle qui vous semble le moins pire par rapport aux intérêts de la France et du peuple français, même s’il ou elle n’est pas de votre sensibilité politique. Veiller à ne pas contribuer à donner quelque pouvoir d’action ou d’influence à des opposants aux principes fondamentaux de la société française. Même lorsque le choix vous semble impossible, ne vous abstenez pas, car l’abstention peut profiter à un opposant à la France ;
  • ne plus donner un seul de vos sous à la presse qui propage l’idéologie dite de la « bien-pensance ». Lisez-la directement sur la Toile si vous le souhaitez, mais ne participez surtout pas à l’engraisser en la finançant.

Ce n’est qu’au prix d’une mobilisation et d’une vigilance de chaque instant que nous pourrons voir renaître un jour une vraie démocratie. Une démocratie où nous élirons des personnalités qui nous représentent vraiment, où nous aurons le choix parmi de vrais projets au service de la France, et non une démocratie factice où nous sommes astreints, très souvent, à choisir par défaut les moins pires…

Source: http://tinyurl.com/22tl79b

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin »…

Immigrés, descendants d’immigrés, arabes, africains, musulmans.

Nous n’avons aucune haine contre vous. Sauf cas particuliers, nous n’avons rien contre vous individuellement. Nous savons que vous êtes les instruments, les victimes et les alibis de nos propres ennemis. Ce sont eux, vos faux amis, qui, par leurs outrances continues, vous ont transformés en fléaux et ont fait de vous collectivement des ennemis. Sous prétexte de respecter vos identités d’origine, ils ont renoncé à la politique française ancestrale d’assimilation, ils vous ont laissés vous différencier, vous marginaliser, vous communautariser.

Sous prétexte de ne pas vous stigmatiser, ils s’apitoient sur vous, ils vous ménagent, ils vous favorisent, ils vous discriminent positivement, ils vous autorisent à déroger aux lois, ils font pour vous des exceptions scandaleuses qui vous signalent comme des étrangers arrogants, et prétendent que c’est nous — nous qui dénonçons ces procédés et en constatons les résultats — qui vous stigmatisons.

Sous prétexte d’ouverture aux autres cultures, ils veulent mélanger les populations, faisant ainsi d’une chose naturelle dont nul ne nie les bienfaits quelque chose dont eux seuls ne voient pas l’aberration et les dangers.

Sous prétexte de diversité, ils n’acceptent plus que la différence des autres, ils oublient et refusent de préserver leur originalité, ils veulent tout uniformiser, ils font de vous le moyen de détruire notre identité ethnique et culturelle.

Sous prétexte de ne pas être racistes et de ne pas faire d’amalgames, ils vous défendent en bloc, ils ferment les yeux sur les forfaits que commettent vos frères, ils encouragent la délinquance à se développer parmi vous, ils vous obligent à être solidaires des délinquants, à vous enfermer dans la culture couscous tam-tam, ils ont tout fait pour vous discréditer aux yeux des Français.

Sous prétexte de « droits de l’homme » de leur cru, ils nient les droits du Peuple français qu’ils reconnaissent par ailleurs à tous les peuples, ils ne reconnaissent aux étrangers que des droits, et aux Français, aux Blancs, que des devoirs.

Sous prétexte qu’ils aiment l’Humanité en général, ils détestent leur Peuple en particulier et abhorrent le patriotisme. Comment ces traîtres à leur patrie pourraient-ils être de vrais amis pour vous ?

Sous prétexte qu’ils respectent les hommes, ils font comme si les immigrés n’en étaient pas, comme s’ils n’avaient aucune histoire, aucune coutume, aucune sensibilité, aucune patrie, bref comme s’ils étaient des meubles, des objets que l’on peut déplacer à volonté, sans conséquence pour eux ni pour les autochtones, pour nous en l’occurrence qui ne semblons pas davantage être des hommes selon eux, puisque, au nom des immigrés cette fois, ils nient notre identité, font comme si nous étions des « terrains vierges », comme si nous devions et pouvions tout accepter, comme si nous n’étions même pas des légumes.

Sous prétexte qu’ils ne sont pas xénophobes, ils ne refusent rien aux étrangers et vous ont laissés nous envahir comme aucun Peuple ne l’a jamais été ; aujourd’hui, ils appellent ouvertement à la substitution des Peuples français et européens par des immigrés (cf. rapport de l’ONU sur les migrations de remplacement), et la légitime exaspération qu’ils ont suscitée à votre endroit comme à leur égard justifie encore à leurs yeux qu’ils vous idolâtrent autant qu’ils nous haïssent. Ils aiment tellement les étrangers qu’ils semblent vouloir en devenir eux-mêmes dans leur propre pays. Mais pourquoi devrions-nous partager leur délire alors que la meilleure solution pour tout le monde, la solution la plus logique, la plus simple et la plus saine serait qu’ils émigrent ?


Toujours au nom de leur xénophilie, ils ne distinguent pas l’immigration des immigrés, le phénomène de masse des individus, l’immigration massive d’une immigration raisonnable, ils croient qu’être contre l’immigration est être hostile aux immigrés et, partant, ils croient que respecter les immigrés implique de favoriser l’immigration à outrance. Ils ne réalisent pas qu’une immigration soutenue finit par être une nuisance non seulement pour le pays d’accueil et ses autochtones mais aussi et en premier lieu pour les immigrés déjà présents auxquels les nouveaux arrivants font de l’ombre en toute chose.

Sous prétexte qu’ils sont citoyens du monde, qu’ils sont potes avec l’univers, ils détruisent toutes les nations, la nôtre aussi bien que celles de vos ancêtres ; ils font tout contre nous et rien pour vous ; ils se croient chez eux partout mais invitent tout le monde chez nous, sans nous consulter, en nous déniant le droit de protester ; ils crachent sur la France mais accordent à tout le monde la nationalité française qui ne signifie rien pour eux et qui, dans ces conditions, ne signifie effectivement plus rien. Hier, ils fustigeaient sous le nom de souverainistes, de populistes, les défenseurs de la nation, les opposants à l’Europe ; aujourd’hui, ils menacent : « Touche pas à ma nation ». Après le capitalo-socialisme déjà cocasse, ils viennent d’inventer le national-mondialisme à pleurer ! Ils changent le sens des mots à leur convenance pour abuser le gogo. Ils rendent obligatoire l’usage de ceux qu’ils proscrivaient la veille dès lors qu’ils les ont dénaturés (cela s’appelle le novlangue, dans 1984, de George Orwell), afin qu’il n’y ait plus de mots pour penser, pour se rebeller et faire obstacle à leurs projets inavouables.

Sous prétexte qu’ils sont anticolonialistes, ils deviennent des néo-colonialistes soutenant l’idée que les malheureux de la Terre, les ressortissants des pays sous-développés ne peuvent trouver le salut que chez nous. Ils ne conçoivent pas que le bonheur, pour un homme, soit de vivre dans sa patrie, sur sa terre, au milieu des siens, et non de s’expatrier. Ils ne réalisent pas que l’émigration qu’ils encouragent est un double désastre pour ces pays, d’une part parce qu’ils sont vidés de leurs forces vives, d’autre part parce que l’immigration, ne leur en déplaise, crée chez nous une infinité de problèmes qui retiennent toute notre attention et nous ôte les moyens, si ce n’est l’envie, d’aider intelligemment lesdits pays. C’est toujours le même mépris des Peuples, le même orgueil impérialiste mais sous un autre vernis.

Enfin, sous prétexte qu’ils sont antifascistes, qu’ils sont généreux, tolérants, ouverts, pacifistes, ils taxent tous leurs détracteurs de fascistes, ils nazifient tout ce qui les contrarie sans s’apercevoir qu’ils sont, eux, des collabos de la pire espèce, les derniers des crétins ou les plus grands hypocrites, les fléaux de toute civilisation ; ils s’autorisent tous les mensonges, toutes les calomnies, toutes les contradictions, toutes les intrigues, toutes les exactions, toutes les violences ; ils exercent la pire tyrannie sur les consciences.

En somme, nos ennemis, vos faux amis, n’ont d’autres mérites qu’un étalage de bons sentiments. Ils dirigent tout, leurs idées sont au pouvoir à tous les niveaux : politique (français, européen et international), médias (télévision et presse), éducation, syndicats, associations subventionnées. La situation actuelle de la France est sans conteste leur œuvre, et cette situation est catastrophique dans tous les domaines. : politique, démocratique, financier, emploi, éducatif, culturel, social, esprit civique, sécurité, niveau de vie, qualité de vie, santé, natalité, urbanisme. Tout s’est dégradé sous leur empire. Faute de pouvoir rejeter la responsabilité sur d’autres (bien qu’il essayent), ils nient le constat, font semblant d’ignorer les rapports de cause à effet, et n’ont d’issue que dans la fuite en avant, dans la crispation et la surenchère idéologique, dans l’abstraction surréaliste convertie en vérité par le matraquage médiatique.

Or vous êtes au cœur de leur idéologie immigrationniste, antiraciste, multiethnique, multiculturaliste, métissocrate, en un mot anti-française. Ils se servent de vous pour détruire la France par le bas, et de l’Europe pour la détruire par le haut. Car c’est bien se servir de vous que de vous permettre de venir pour ensuite vous abandonner à votre sort ou vous aider de manière à vous aliéner systématiquement les Français. Ils est temps que vous compreniez que ces gens-là sont des individualistes, qu’ils ne vous aiment pas, qu’ils n’ont pas plus de respect pour vous que pour nous, qu’ils vous flattent parce qu’ils vous méprisent, que vous n’êtes pour eux qu’un besoin idéologique, l’occasion d’une B. A..

Tout chez eux n’est que posture. Mais ils n’en imposent qu’aux ignorants et aux esprits faibles. Qui gratte un peu découvre vite la mauvaise foi et les contradictions volontaires des uns, la bêtise et les incohérences inconscientes des autres, et la responsabilité de tous, coupables et complices, dans le marasme actuel. Les résultats de leur politique sont toujours à l’opposé des prétentions philanthropiques qu’ils affichaient. Cela n’a rien d’un accident : c’est le calcul des valets de L’argent qui poursuivent un projet mondialiste au nom de la fraternité (plus de nations, plus de frontières, plus de démocratie, juste un marché planétaire et l’exploitation universelle des individus désormais sans défense), et la conséquence fatale de l’angélisme des bobo-gauchos qui servent ce projet au nom des droits de l’Homme désincarné (quels droits exactement ? et les devoirs ? et les citoyens ? et les Peuples ?). Ils ont si bien travaillé depuis des décennies que Français et immigrés sont aujourd’hui au pied du mur.

Les Français ne peuvent plus se dissimuler que l’immigration dans de telles proportions est une invasion, la plus sournoise, la plus importante, la plus mortelle invasion que la France ait connue, une invasion organisée par leur propre gouvernement, à laquelle vous participez malgré vous et que certains d’entre vous osent même encourager. Expropriés et piétinés un peu plus chaque jour, ils sont en plus sommés de se taire sous peine d’ignominie. Leur Peuple et, partant, leur pays, sont en passe de disparaître sous leurs yeux. Soyez sûrs qu’ils ne l’acceptent pas et qu’ils finiront par réagir violemment. Soyez sûrs qu’un incident mettra tôt au tard le feu aux poudres. Alors ce sera une guerre à mort entre eux et vous, une guerre que les Français qui sont chez eux n’auront d’autre choix que de remporter.

En supposant qu’il soit encore possible de prévenir la tragédie, il n’y a qu’une politique à adopter et à mettre en œuvre d’urgence : sortir de l’Europe ou la laisser brailler, stopper net l’immigration arabo-africaine et réduire par tous les moyens le nombre d’arabo-africains, donc ne plus délivrer aucun visa, permis de séjour ou de travail, être sans pitié envers les immigrés clandestins et sans-papiers (et leurs employeurs), ne plus accorder aucune aide financière si ce n’est une aide au retour, supprimer le droit du sol et assujettir la nationalité à des conditions et des devoirs, interdire la double nationalité et obliger les individus dans ce cas à choisir, expulser tous les délinquants étrangers et leur famille, exiger l’assimilation (langue, prénom, vêtement, discrétion religieuse, respect des lois) de ceux qui prétendent être Français, déchoir de la nationalité et expulser tous les contrevenants, réprimer tous les détracteurs de ces mesures.

Bien sûr, cette politique doit s’accompagner de mesures dites sécuritaires tant dans les rues que dans les écoles, d’un renforcement des effectifs policiers, d’un retour de la discipline, du civisme et du patriotisme, mesures nécessaires pour calmer les choses, apaiser les esprits, rassurer les Français sur leur présent et leur avenir, mettre un terme aux prétentions et aux débordements de certains immigrés et créer des conditions favorables à l’assimilation des autres. Mais ces mesures annexes sans ladite politique seraient inutiles puisque le problème est aujourd’hui le nombre excessif d’immigrés qui fait d’eux une masse indigeste pour la France.

Malheureusement, ce discours dur mais sensé est si « politiquement incorrect » que les gauchistes qui ne savent pas faire la différence entre expulser et déporter, entre réduire et exterminer, ou plutôt qui font la confusion à dessein, se pâmeront d’indignation, crieront au scandale et voueront son auteur aux gémonies, préférant continuer à se bercer d’illusions plutôt que de voir la réalité en face et d’opter pour le moindre mal. Vous-mêmes, feignant de ne pas comprendre, vous vous poserez sans doute une fois de plus en victimes et hurlerez au racisme, insultant ainsi les Français, au lieu de reconnaître l’illégitimité de vos positions, de voir le danger de votre situation, et d’entendre les ultimes exhortations de la raison et de l’humanité. Il n’y a donc aucun espoir d’éviter la confrontation. Il ne vous reste plus qu’à choisir clairement votre camp.

Dans une guerre civile, il n’y a que deux camps. Les subtilités n’ont pas cours. Les difficultés sont tranchées net. Ceux qui, aujourd’hui, arguent de la complexité de certaines situations personnelles pour affirmer l’impossibilité d’un conflit et continuer à narguer les Français à bout de patience sont des imbéciles ou des menteurs, dans tous les cas des criminels. Non seulement ces endormeurs-pyromanes contribuent à ce que la situation nationale se détériore encore davantage, mais ils fournissent des arguments sans valeur à leurs dupes qui tomberont de haut, et laissent les gens candides s’enfoncer dans des situations qui seront dramatiques à l’heure du réveil. Ils croient en imposer aux Français en évoquant les immigrés qui sont nés ici, ceux qui sont installés depuis longtemps, ceux qui travaillent, ceux qui sont mariés à une Française ou un Français, ceux qui ont des enfants, ceux qui sont métissés, et en prétendant que tous sont français ou, du moins, qu’ils ont leur place en France. Ils oublient qu’ils sont les promoteurs de cette immigration incontrôlée que les Français ont tolérée un temps mais n’ont jamais sollicitée. Ils oublient que l’idéologie lénifiante qu’ils ont fabriquée pour favoriser cette immigration désastreuse n’engage qu’eux et ceux qui, pour leur malheur, se sont laissés enfumer.

Les Français, eux, n’ont à tenir compte ni de leurs arguments ni du fait accompli. S’ils hésitent à agir pour ménager des individus égarés ou indécis, comme l’espèrent leurs ennemis, c’est leur Peuple qu’ils condamnent à mort. Ils doivent donc, comme tout le monde, faire en fonction de leurs intérêts. Quand ils se lèveront, toute personne résidant en France, à moins de fuir, devra choisir son camp et y être admise, sous peine d’être prise entre deux feux.

Dans cette guerre-là, le partage des hommes se fera, dans le meilleur des cas, par rapport à leur état d’esprit, au pire, selon leur apparence. Contrairement aux dires des gauchistes, les Français qui aujourd’hui s’insurgent contre l’immigration massive ne sont ni xénophobes ni racistes. Ils conçoivent que des individus puissent être Français sans être Blancs, à condition qu’ils soient parfaitement assimilés, mais ils n’ont pas la naïveté de croire que la France peut rester elle-même, dans l’intérêt de tous, si les Blancs ne demeurent la grande majorité de la population (Cf. De Gaulle) ; ils ne poussent pas la tolérance envers les autres jusqu’à la trahison des leurs.

Ainsi, dans le meilleur des cas, le camp des Français sera constitué des patriotes français et des immigrés assimilés ou désireux d’être Français, auxquels se joindront éventuellement des immigrés ne prétendant pas être Français, reconnaissant néanmoins la légitimité de leur combat et ne se sentant rien de commun avec leurs ennemis ; l’autre camp regroupera donc les immigrés non-assimilés, non-assimilables, la racaille, les islamistes, et les bobo-gauchistes (du moins dans un premier temps). Dans le pire des cas, il y aura le camp des Blancs, français et immigrés européens, avec probablement les Jaunes, et le camp des autres : Arabes et Noirs (Musulmans). Les bobo-gauchistes réaliseront alors que, malgré leurs arguties sur les races, ils sont blancs.


Dans une guerre civile, les lois antérieures sont nulles. Personne ne porte d’uniforme. Il faut cependant identifier en un instant ses ennemis autant que ses amis, quoiqu’il vaille mieux prendre un ami pour un ennemi et le tuer, qu’un ennemi pour un ami et se faire tuer. Les critères pour distinguer les uns des autres doivent être aussi simples et sûrs que possible, donc concrets et probants. Dans le feu de l’action, l’ennemi est celui qui me tire dessus, l’ami est celui qui tire dans la même direction. Le reste du temps, l’ami et l’ennemi se reconnaissent à leur le type ethnique, à leur vêtement, à leur façon de parler, à leurs prénoms, à des coutumes, à des propos. De tous ces critères (on remarque que les papiers d’identité n’en sont pas un), le seul qui ne puisse être falsifié pour tromper l’ennemi est le type ethnique. D’où le risque qu’un conflit provoqué par l’immigration tourne par la force des choses en conflit purement racial, et ce risque est d’autant plus grand que les immigrés intelligents, au lieu de garder raison, tombent eux-mêmes dans le piège de la solidarité ethnique, faisant ainsi le jeu de tous les extrémistes.

Maintenant, en supposant qu’avec ou sans conflit la France tombe en votre pouvoir, que restera-t-il de la France qui vous a attirés, de celle qui a attiré vos pères ? Ce n’est pas la géographie qui fait un pays, mais sa population. La France sans Français, sans Européens, peuplée d’Arabes et d’Africains, ne sera plus qu’un pays arabo-africain. Elle sera déchirée par le tribalisme et étouffée par l’islam, comme le sont tous ces pays, comme le sont déjà certains quartiers. Les sources de la prospérité seront taries. Vous aurez détruit une civilisation sans profit ; vous aurez instauré ici ce qui, là-bas, vous avait fait fuir. Considérez donc ce que vous avez à gagner et ce que vous avez à perdre.

Immigrés, descendants d’immigrés, mettez-vous un instant à la place des Français, des Européens. Examinez de bonne foi leur situation et la vôtre. Que penseriez-vous, que feriez-vous dans une situation inverse ? Qu’ont fait vos pères ? Admettez que vous êtes de plus en plus nombreux et trop nombreux déjà. La France n’aurait jamais du vous ouvrir autant ses portes et ne peut plus accueillir d’autres de vos compatriotes ou de vos congénères. Votre présence massive la déstabilise à tous les niveaux. De nouvelles arrivées ne peuvent que vous nuire.

Votre intérêt est au fond le même que celui des Français : la paix, la liberté, la sécurité, la prospérité, des enfants heureux, éduqués, instruits. Tous ces bienfaits sont aujourd’hui compromis. Les assurer passe par l’arrêt de l’immigration, par la réduction du nombre de ressortissants d’Afrique du Nord et subsaharienne, en France et par l’assimilation des restants. Vous le savez en votre fort intérieur.

Vous savez que ce discours sans complaisance, sans condescendance est celui de la Vérité. Vous savez que ceux qui, depuis des décennies, se disent vos amis et tiennent le discours inverse, aussi séduisant soit-il de prime abord, n’ont fait que se tromper et vous tromper. Regardez autour de vous ! Les laisserez-vous encore longtemps parler à votre place, contre vos intérêts, contre nous ? Nous laisserez-vous seuls défendre en vain vos intérêts contre vos véritables ennemis ?

Vous seuls pouvez parler d’immigration et condamner les excès de vos frères de sang sans être exposés aux insultes et au discrédit. Vous seuls pouvez faire rentrer sous terre les capitalo-gauchistes. Mais le temps presse. Il est urgent que vous vous fassiez entendre et que vous parliez fort et vrai. Il est non moins urgent que vous prêchiez d’exemple, que vous fassiez enfin, massivement, ce que les Français attendent de vous pour vous accepter comme leurs égaux ou vous considérer comme de respectables étrangers. Ne protestez pas : prouvez vos intentions et vos allégeances. Plus de provocations, plus de manœuvres dilatoires, plus d’ambiguïtés : aujourd’hui est à la franchise, demain sera à la poudre. De même que le Peuple français ne peut plus compter que sur lui-même pour se sauver si rien ne change, vous êtes le dernier espoir de sauver la paix et votre place en France.

C’est à vous, Français d’origine étrangère, Arabes ou Noirs parfaitement assimilés, qu’il appartient d’être en première ligne pour livrer cette bataille de la dernière chance. C’est vous qui avez le plus à perdre dans un conflit racial. Vous pouvez espérer que les Français vous considèreront comme des leurs, mais en êtes vous si, sur la question de l’immigration, vous pensez en immigrés, si vous cautionnez l’invasion de la France, si vous laissez les Français se dépêtrer ? Et que ferez-vous si, rejetés par les Blancs parce que pas assez français dans votre tête, vous êtes aussi rejetés par les autres — avec lesquels vous ne vous sentez rien de commun — parce que trop francisés dans vos mœurs ? Envisagez donc le pire conflit pour puiser le courage de le prévenir ou, du moins, pour montrer aux Français que vous aimez la même France qu’eux et que votre place est sans conteste dans leurs rangs.

Et vous, Arabes et Noirs partiellement assimilés mais qui croyez l’être totalement parce que vous vous sentez réellement français, parce que vous aimez réellement la France, parce que la France a baissé pour vous ses exigences sous le nom d’intégration, comprenez où le bât blesse. Nul ne peut être Français à part entière s’il n’est perçu comme tel par les Français, si sa francité soulève des doutes. De ce point de vue, votre apparence physique peut être un handicap à votre intégration. Les Français sont cependant capables d’en faire abstraction à condition que, de votre côté, vous ne l’aggraviez pas. Or vous multipliez les signaux qui interpellent les Français. Certains détails sont peut-être anodins pour vous, mais pas pour eux, car ils sont symboliques et révélateurs d’un état d’esprit. Ainsi ne pas parler français avec des Français supposés, en public comme en privé, porter un prénom étranger, se vêtir selon des modes étrangères, brandir le drapeau d’un autre pays que la France, avoir une double nationalité, penser en immigré ne sont pas exactement des indices de francité, et ce serait demander l’impossible aux Français de voir en vous leurs pareils. Des signaux sont faits pour être perçus, et vous savez par expérience que les Français, même s’ils ne se l’avouent pas, perçoivent ceux-là de manière négative.

A vous, donc, de faire ce qu’il faut pour ne pas les envoyer. Car vous ne convaincrez pas les Français de changer d’avis à votre sujet — ce qui reviendrait à exiger d’eux qu’ils prennent des vessies pour des lanternes — en objectant, en les injuriant, bien au contraire ; ils ne changeront d’avis, vous ne gagnerez leur respect et leur affection qu’en répondant à leurs attentes. Vous obstiner à conserver et à émettre des signaux négatifs (par maladresse ou mauvaise foi ?) vous porte autant préjudice que les corriger volontairement témoignerait en votre faveur. En outre, n’oubliez pas que, si la situation dégénère en guerre civile, c’est à de tels signaux, aux prénoms en particulier, que les Français reconnaîtront leurs ennemis et qu’il sera alors trop tard pour changer d’uniforme et illustrer votre sincérité. Et votre intérêt est encore plus grand à prévenir un conflit ethnique dans lequel votre peau serait votre passeport pour une destination imposée. Alors ne jouez plus les susceptibles, ne faites pas semblant de ne pas comprendre, cessez d’ergoter ; vous jouez vos vies.

Et vous, Arabes et Noirs déracinés, désorientés, nés ici ou ailleurs, naturalisés ou non, qui ne savez plus qui vous êtes, qui n’êtes pas assimilés et plus assimilables après tant d’errance et de confusion mentale, qui demeurez en France sans trouver place au sein de la communauté nationale, qui ne voyez de famille que dans vos congénères ou vos coreligionnaires, qui, pour les uns, cultivez des souvenirs exotiques, pour les autres, nourrissez des rêves de vengeance et de conquête, qui, tous, êtes par le fait des étrangers aux yeux des Français, vous êtes à la fois les victimes de la politique que nous dénonçons et les instruments des maux que nous subissons en silence pour le moment.

Nous compatissons à vos souffrances, mais nous ne pouvons vous laisser faire notre malheur, même malgré vous et par le seul effet de votre nombre. Nos ennemis vous ont placés dans cette situation déchirante. Dénoncez-les ! Clarifiez les choses. Devenez Français, agissez, pensez comme tel, si cela est possible, ou assumez d’être étrangers, renoncez à la nationalité française et rentrez chez vous, retournez auprès des vôtres, cherchez dans votre patrie le bonheur que vous ne pouvez trouver en France. C’est le bon moment pour partir dans les meilleures conditions. Ceux qui resteront ici sans suivre aucun de ces conseils amicaux seront ceux par qui la guerre arrivera. Et vous, Musulmans, vous allez aussi devoir faire un choix. La France ne tourne pas autour de l’islam. Un Français n’est pas un non-musulman.


En revanche, un vrai Musulman, un islamiste, n’est pas Français ; ses valeurs, ses coutumes ne sont pas celles de la France. Vous allez donc devoir choisir entre vous définir comme des Français, c’est-à-dire des Musulmans modérés, discrets, francisés, donc que vous dépouilliez votre religion de ses dehors orientaux et de ses pratiques illégales en France, ou vous définir comme des Musulmans voulant imposer en France la charia et autres joyeusetés, donc comme des non-Français, comme des étrangers et même des ennemis.

Et vous, Arabes et Noirs de passage, travailleurs immigrés, descendants d’immigrés fiers de vos origines, conscients que votre place n’est pas ici et qui ne feignez pas d’être français ; patriotes d’ailleurs, vous qui aimez vos pays d’origine comme nous aimons le nôtre, vous qui n’avez pas l’impudeur d’appeler vos congénères à nous envahir et de nous taxer de racistes et de fascistes parce que nous ne consentons pas à être envahis ; vous qui plus que tout autre pouvez comprendre l’embarras des vrais humanistes que nous sommes face à une immigration démesurée et destructrice ; vous qui savez à quel degré de fureur et d’héroïsme peut porter le patriotisme aux abois parce que vous êtes de cette trempe, comprenez que, malgré tout le respect qu’inspire votre dignité, il est difficile de vous distinguer de la foule de nos ennemis — cela l’est d’autant plus que vous ne vous manifestez pas — et que, par conséquent, votre présence ajoute à nos inquiétudes.

Votre refus de vous assimiler est légitime, la France ne l’exige ni des étrangers ni des touristes, mais ce refus prête à malentendus. N’étant pas des touristes, êtes-vous des étrangers ou des conquérants ? A vous de dissiper les doutes. A vous de démentir les capitalo-gauchistes qui vous décrètent Français sans vous consulter, qui vous prennent, qui nous prennent tous pour des débiles ; à vous d’affirmer que vous vous êtes étrangers et que vous partagez nos sentiments et nos principes. Mais soyez aussi conséquents :

Annoncez que vous comptez retourner dans votre patrie et partez avant d’être entraînés contre nous dans un conflit qui ne vous concerne pas ou, si vous différez votre départ, soutenez-nous ouvertement au lieu d’avoir l’air de nous défier et battez-vous à nos côtés. Vous ne pouvez pas rester sans être avec nous ou contre nous.

Source: http://tinyurl.com/2c3fe3w

l’islam: idéologie totalitaire menant irrémédiablement à la haine, à l’exclusion et au massacre…

islam: religion de paix et d’amour…

La punition à l’acide…

En Italie :

« Un père et son fils, pakistanais, “punissent”à coups de barre d’acier une mère et sa fille qui refusent un mariage arrangé. Puis avec une pierre, utilisé peut être seulement par le père, réduisent au silence la défense désespérée de la mère. La jeune femme est dans un état grave mais ces jours ne seraient plus en danger, la maman est morte. L’histoire rappelle celle de Hina Saleem, la pakistanaise de 21 ans qui voulait vivre “de manière occidentale” et qui fut égorgée pour ce motif le 10 aout 2006 à Brescia dans la maison de ses parents. Cependant à Brescia la jeune Hina mourut et la mère était d’accord avec les choix du père. Là c’est la maman de Nosheen Butt qui paye le prix fort pour s’être rebellé ».

Au Soudan :

« Une institutrice britannique comparaît, ce jeudi, à Khartoum, pour avoir laissé ses élèves [musulmans. NDL] appeler Mahomet l’ours en peluche de la classe. Gillian Gibbons, qui a semble-t-il agi par naïveté, est notamment poursuivie pour insulte au prophète Mahomet des musulmans (…) Reste que Gillian Gibbons risque, en vertu de l’article 125 du code pénal, six mois de prison, 40 coups de fouet ou une amende ».

Source: http://lesalonbeige.blogs.com/

Contre le fondamentalisme de l’offense…


Cinq ans jour pour jour après avoir publié les caricatures du prophète de l’islam, largement instrumentalisées dans le monde musulman, le quotidien danois Jyllands-Posten s’interroge une fois encore sur la liberté d’expression et sur « la tyrannie du silence ».

Manifestation à Nairobi, en février 2006

La publication par Jyllands-Posten des douze caricatures du prophète Mahomet le 30 septembre 2005 et la crise internationale qui s’en est suivie ont permis de clarifier l’organisation du monde dans lequel nous vivons.

La plupart des Danois ont depuis longtemps une opinion bien arrêtée sur ces dessins. Certains pensent que le quotidien a bien fait de les publier. D’autres estiment que ce n’était peut-être pas judicieux, tout en défendant le droit du journal de le faire. D’autres encore condamnent les caricatures et trouvent qu’elles n’auraient jamais dû voir le jour. D’aucuns considèrent que ce genre d’agissement doit être puni comme un crime et une petite minorité est convaincue que les caricatures sont tellement offensantes que ses auteurs méritent la mort.

Certains choisissent donc d’éluder le problème. Un trop grand nombre s’inclinent devant l’argument de la violence en tenant Jyllands-Posten responsable d’un éventuel acte terroriste. Une façon d’effacer les coupables de l’histoire. C’est insensé, mais c’est une réalité. Le débat sur les caricatures est important, mais tous les éléments du dossier sont désormais connus, et chaque fois qu’ils sont ressortis, on entend les mêmes arguments pour et contre. Sur ce front, on n’avancera donc guère pour le moment.

Il faut, en revanche, sortir le débat du contexte politique strictement danois et discuter des principes qui sont en en jeu au niveau international. L’issue de ce débat-là est en effet déterminante pour la manière dont les individus et les sociétés cohabiteront au XXIe siècle. Deux facteurs sont, à cet égard, décisifs. D’une part, les individus franchissent aujourd’hui les frontières avec une facilité et une fréquence sans égales dans l’histoire. Cela signifie que toutes les sociétés deviennent de plus en plus multiculturelles, multiethniques et multiconfessionnelles. Des groupes et des individus obéissant à des règles et des valeurs différentes vivent côte à côte, tout en étant soumis à la même législation. D’autre part, les technologies de l’information permettent à une publication en ligne au Danemark d’être immédiatement lue et interprétée dans le monde entier, le contexte du contenu initial étant perdu au passage. Ces deux facteurs augmentent le risque d’être offensé par les propos d’un voisin ou d’individus à l’autre bout de la terre.

Le grand défi est de savoir comment gérer cette nouvelle situation, qui est en train de faire émerger une opinion publique mondiale. En substance, deux options sont possibles. L’une est de suivre la devise : si tu acceptes mon tabou, j’accepte le tien. Ainsi, s’il est criminel de nier l’Holocauste, il doit l’être aussi de publier des dessins satiriques représentant le prophète des musulmans. Et s’il est interdit d’offenser les sentiments religieux, il doit également être défendu de piétiner les sentiments des non-croyants. Dans un tel monde, il ne tarderait pas à devenir impossible de dire quoi que ce soit sans offenser quelqu’un. Cette option-là mène à la tyrannie du silence. L’autre option est d’insister sur le fait que personne, dans une société civilisée, ne peut se prévaloir d’un droit particulier à ne pas être offensé.

Dans un tel Etat de droit, l’incitation à la violence représente la limite naturelle de la liberté d’expression, si l’on souhaite vivre en paix et garantir la liberté. Malheureusement, nombreux sont ceux qui préfèrent le fondamentalisme de l’offense. Leurs mobiles sont souvent nobles, mais ils ne voient pas ses conséquences désastreuses pour la liberté. Ce débat est d’une actualité plus importante que jamais.

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DANEMARK Combattre la « tyranie de l’offense » avec des mots… et des dessins !

C’est lui qui a pris la décision de publier douze dessins du prophète Mahomet à la Une du supplément culture du quotidien danois Jyllands Posten, le 30 septembre 2005. Et c’est aussi lui qui, avec le dessinateur Kurt Westergaard, souffre régulièrement des menaces d’ extrémistes islamistes.

Cinq ans après, Flemming Rose publie de nouveau ces dessins, dans un livre qui sort ce 30 septembre au Danemark, intitulé « Tavshedens Tyranni » (La tyranie du silence). Jyllands-Posten a demandé au journaliste et écrivain danois Leif Davidsen d’en faire la critique. Selon Davidsen, Flemming Rose a écrit un livre « intellectuellement stimulant, fascinant et parfois émouvant », dont la grande force est d’offrir un point de vue global et pas seulement danois. Il lui accorde cinq étoiles sur six.

« Ce livre contient une analyse fine de ce qu’implique la mondialisation, estime Davidsen. Il observe comment nous vivons ensemble dans un monde où la communication est immédiate ».

Dans cet ouvrage, Flemming Rose défend avec ardeur l’idée qu’il faut se battre avec les mots, ne pas laisser gagner les « fondamentalistes de l’offense », ainsi qu’il nomme ceux qui veulent empiéter sur la liberté d’expression dès lors qu’ils se sentent offensés dans leurs croyances. Leif Davidsen constate lui aussi qu' »à l’ONU, de plus en plus de pays exigent la censure au nom de la défense contre les offenses religieuses ». Et de conclure qu' »en lisant le livre de Rose, qui est également une étude de l’anatomie de la peur, on comprend beaucoup mieux, comment nous en sommes arrivés là et peut être, comment nous pouvons en sortir».

source : courrierinternational.com

René Galinier reste incarcéré pour des raisons ethniques !

Absurde! On pensait que la connerie avait une limite; ben non… Notre Justice affirme que c’est pour sa sécurité que René Galinier reste en prison… Une autre, s’il vous plait! On sait bien que « plus c’est gros, plus ça passe », mais là, franchement…

FDF

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MONTPELLIER

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La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Montpellier a rejeté l’appel déposé par René Galinier, 73 ans, contre le rejet de sa demande de mise en liberté. Le septuagénaire reste en prison. La cour d’appel de la chambre d’instruction a estimé que « le maintien en détention est l’unique moyen de mettre fin au trouble exceptionnel et persistant de l’ordre public, provoqué par la gravité de l’infraction, les circonstances de sa commission et l’importance du préjudice ». Rappelons que l’« infraction » pour laquelle il demeure donc incarcéré est d’avoir tiré le 5 août dernier sur deux cambrioleuses surprises à l’intérieur de son domicile de Nissan-lez-Enserunes (Hérault), lesquelles n’ont pas été tuées.

La cour d’appel a également invoqué cet argument proprement stupéfiant : « Une mise en liberté pourrait aussi susciter l’incompréhension dans l’ethnie d’origine des victimes et faire craindre des représailles à l’égard du mis en examen. » René Galinier reste donc en prison parce que, Français de souche, il a tiré sur des Tsiganes et non sur des Bretonnes ! Et parce que les Gitans ayant le sens de la famille, paraît-il, ils pourraient décider de se faire justice eux-mêmes ! La justice française reconnaît donc qu’elle ne peut pas protéger « Papy Galinier » contre une vengeance ethnique !

Joint par Novopress, Richard Roudier, qui anime le Comité Galinier, créé pour coordonner le soutien national à René Galinier, nous a affirmé être en route pour la maison d’arrêt de Béziers, devant laquelle il va manifester dans les minutes qui viennent son indignation face à cet « acharnement judiciaire » et à cette « inversion des valeurs ». Plus de quarante manifestations ont déjà réuni plusieurs milliers de personnes à travers la France depuis le mois d’août, à l’initiative notamment du Bloc identitaire, et Richard Roudier est fermement décidé à « amplifier le mouvement ». D’autres actions sont déjà prévues pour les prochains jours, en liaison avec le comité de parrainage du soutien à René Galinier présidé par le prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme et en liaison, s’ils le souhaitent, avec tous les parlementaires UMP, comme Lionnel Luca, Christian Vanneste ou Elie Aboud, qui avaient pris position pour la libération de René Galinier.

Source: http://tinyurl.com/36nfkug

Une nouveauté en France: le délit de blasphème…

Et pourtant, notre code pénal n’est pas affilié à une République religieuse, à ce que je sache ? Et pourtant La préférence non-nationale fait encore ses misérables preuves. Un muzz est outré et c’est toute la Nation qui se trouve sous l’épée d’un régime autoritaire. Mais où est la France? Notre France.

Je suis certain que si un muzz avait fait pire (brûler une bible en public, par exemple) « ON » n’aurait pas médiatisé à l’extrême comme dans ce cas et provoqué une mini-révolution. N’ai-je pas raison?

Et puis, le type en question n’a fait qu’uriner sur le coran. Il aurait pu vomir dessus; comme en rêvent beaucoup de « résistants »… A une certaine époque, la résistance était punie sévèrement. C’était à l’époque où l’on redoutait d’entendre des bruits de bottes dans nos rues envahies. Aujourd’hui, on tremble à l’idée d’entendre le bruit des babouches…

FDF

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Strasbourg : va-t-on réintroduire le délit de blasphème parce qu’un homme a uriné sur le Coran ?


Ce week end, un fait divers a eu lieu, comme il s’en déroule tant, sauf que celui-ci est un peu particulier :

http://www.lalsace.fr/fr/permalien/article/3911091/Interpelle-pour-avoir-brule-le-Coran-sur-internet.html

Je résume brièvement : un homme, pour une raison indéterminée, se décide à arracher des pages du coran, le gribouiller, pour finir par le brûler et uriner dessus. Un internaute, outré, connaissant la personne, va le dénoncer et donner son numéro de téléphone. Ce qui va permettre au délégué général de la grande mosquée de Strasbourg de contacter l’homme en question, et, évidemment, de porter plainte.

Analysons ce fait totalement banal. Banal parce que idiot : il existe des centaines de milliers, que dis-je, des millions de vidéos où des personnes effectuent des actes stupides, s’auto-brûler leur arrière train, vouloir casser un cd avec sa tête, frimer avec son vélo avant de tomber face devant, mixer un ipod, etc, etc.

Car, oui, j’estime que cet acte est idiot, je ne vois pas bien l’intérêt de brûler un livre, quel qu’il soit, cela ne fait avancer en rien le débat, autant expliquer pourquoi nous ne sommes pas d’accord avec le livre, en démontant, si il le faut, page après page, ses théories ; mais il est vrai que cela prend du temps et du travail. Ceci dit, au final, nous aurions quelque chose de bien plus constructif.

Mais dans ce cas précis, l’homme a été interpellé, ce qui est très grave, pour plusieurs raisons.

En premier lieu, revenons en arrière. Souvenez vous, en juin 2008. Un tollé médiatique s’était soulevé suite à une dénonciation d’un sans papier (http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/06/27/une-assistante-sociale-denonce-un-senegalais-sans-papiers-a-la-police_1063658_3224.html ), ou des questions de secret professionnels, de citoyennetés, puis, forcément, des « heures sombres de la France », de la gestapo, ont été mis en avant, parce que, pour les bien pensants de la première heure, la personne n’avait aucun devoir de dénoncer cette personne.

Dans le cas précis, nous revoici face à une dénonciation, découlant d’une personne simplement outrée. A cette personne, je lui conseille de fermer à jamais son navigateur internet, parce que des vidéos outrantes, et ce, dans tout les domaines, il en existe des millions.

Sauf que la, personne n’a dit un seul mot sur cette dénonciation grotesque, tout les esprits étant tournés vers l’acte en lui-même, et non son dénonciateur.

En second lieu, l’acte du délégué général de la grande mosquée : comment peut-il se permettre d’appeler cet homme ? Je crains que ce n’est que du vent pour tenter de nous faire croire l’ouverture d’esprit de la personne : s’il l’appelle, c’est qu’il veut régler cette histoire de manière cordiale ? Que nenni, il portera quand même plainte. Alors, quelle était l’utilité de se permettre de l’appeler ? Encore une fois, ils se permettent de prendre la place de la justice et donnent des leçons….

« J’étais surpris par sa réaction. Pour lui, cela semblait tout à fait normal. Il semble être dans la provocation sans se rendre compte de la gravité de ses actes. »

Mais, monsieur, cet acte est en effet tout à fait normal. Stupide, oui, certainement. Mais aucunement condamnable, et je vais vous expliquer pourquoi.

Contrairement à ce que prétend le procureur de la république Gilles Delorme, brûler un coran n’est pas une « incitation ou provocation à la haine raciale ».

En premier lieu, rappelons que l’islam n’est pas une race : il y’a des musulmans en France, en Russie, en Algérie, etc. Comment peut-on encore parler de haine raciale dans ce cas ? Cet argument est quasiment toujours utilisé, nous nous devons de le remettre à sa place : le mensonge.

De plus, comment, en brulant un livre, peut-on parler de haine raciale ? En brûlant un livre, cela démontre notre mépris pour sa thèse, sa prose, ses idées. En aucun cas, on ne brûle les personnes qui y adhèrent. Par contre, brûler le drapeau français ou américain, ou se torcher avec, c’est non seulement brûler toutes les valeurs du pays, mais aussi toutes les personnes qui ont adherés à ce pays. Et pourtant, à ma connaissance, à part l’affaire du concours fnac, jamais personne n’a été condamné pour cela, alors même qu’une loi existe en ce sens.

Seulement, pour les musulmans, le coran a un caractère sacré, et c’est pourquoi, au niveau de l’Onu mais aussi en France, ils tentent de remettre au goût du jour le délit de blasphème. Blasphème, qui, en passant, « comme le rappelle l’Encyclopédie catholique, le blasphème ne concerne que le domaine de la religion » (http://fr.wikipedia.org/wiki/Blasph%C3%A8me ), ce qui signifie, que le terme même de blasphème n’a aucune valeur dans une république laïque, parce que la religion est une affaire privée..

Pour les musulmans, porter atteinte au coran est plus grave qu’attenter à une vie non musulman. Il existe des milliers de preuves qui vont en ce sens : lors de chaque massacre perpétrés par des islamiques le revendiquant, pas une seule structure musulmane n’a jamais condamné quoi que ce soit, pas une seule, jamais..

Par contre, dès qu’on parle en mal du coran, pour quelque raison que ce soit, même si on ne fait que de le menacer sans en faire acte (cf l’histoire du pasteur qui voulait le brûler), là, nous retrouvons des millions de musulmans, de par le monde, qui débarquent dans les rues pour protester, le visage haineux, contre l’Occident en général, menaçant de mort toute entorse à leurs règles.

Cette histoire prouve, une fois de plus, que pour les musulmans, la vie d’un homme ne vaut strictement rien par rapport au coran. La loi des hommes, et ils le disent de plus en plus ouvertement, ne vaut rien face à celle du Dieu. Mais cela signifie, au final, que la vie des hommes ne vaut rien. Et leurs actions, protestations, leurs paroles, tout va en ce sens. Au sens contraire aux droits les plus fondamentaux qui ont été mis en place après des siècles d’Histoire, alors même que la leur s’est arrêté au VIIè siècle…

Le problème, c’est que, petit à petit, le poison de leur pensée s’insère dans notre propre mode de pensée, à force d’en parler partout, et déjà, nous voyons des procureurs de la république avoir des pensées et des paroles allant dans ce sens : « incitation ou provocation à la haine raciale ».

Seulement, ce discours sera rapidement remplacé par le délit de blasphème, alors même que ces notions n’ont rien en commun. C’est le nivellement par le bas de la pensée, le retour de la pensée des mœurs qui fait tant de mal dans les pays musulmans, qui osent porter le nom de « police », alors même que leur but, ce n’est pas le maintien de l’ordre public (la définition du mot), mais bien le maintien de l’ordre religieux…


Source: http://www.ripostelaique.com/Strasbourg-va-t-on-reintroduire-le.html

La France est en état de GUERRE CIVILE !

Bagdad? Non; c’est en France…

Tous les ingrédients sont là pour en apporter le preuve… Et que pouvons nous y faire? Nous sommes dans une issue qui ne pourra être que fatale… Pour qui? A nous d’en faire le choix…

FDF

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Regardez le PPS ci-dessous:

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