Francaisdefrance's Blog

17/08/2010

Le coran est un livre de guerre !

17.08.2010

Titre provocateur,  diront certains, basé sur  : »L’amalgame », « La stigmatisation », « La discrimination ».

Et pourtant, c’est le titre d’une interview, pas récente d’où son intérêt, d’Alain Finkielkraut donnée sur BFM, le 27 novembre 2006,  au sujet des polémiques engagées à l’époque contre le Pape Benoît XVI suite à son discours de Ratisbonne. (C’est pendant son séjour en Bavière, le 12 septembre 2006, que le pape prononça le discours de Ratisbonne à l’université de la ville où il a été professeur. Le discours parle des rapports entre la religion et la violence pour dénoncer cette dernière exercée au nom de la religion. Néanmoins, une citation du discours déclenche de vives réactions politiques et religieuses dans le monde, notamment dans les pays musulmans.)

Alain Finkielkraut déclarait aussi :

« Les islamologues, les sociologues, sont autant de baratinologues qui veulent nous faire vivre dans la méconnaissance de ce qui est. Le lien de l’islam et de la violence, il est visible. »

Ecoutez le  en cliquant sur le lien ci-dessous.

http://www.youtube.com/watch?v=BIPa32WAgjQ&feature=pl…

Il est lâche, sous raison du politiquement correct, d’occulter les aspects violents et sanguinaires émanant de pays où les dirigeants disent s’identifier « à la vraie foi : L’Islam ».

L’histoire de Sakineh Mohammadi Ashtiani, les tortures qu’elle a déjà subies, le calvaire de la lapidation qui lui est promis nous obligent à nous indigner au delà des quelques secondes accordées à ce drame lors du journal télévisé de 20h00, hier soir sur TF1, et à l’article de ce jour dans notre Tribune de Genève. Sans oublier ce jeune couple, lapidé dimanche en Afghanistan, http://www.tdg.ch/actu/monde/afghanistan-jeune-couple-lap…

En ces jours où le monde médiatique et même politique vous donne une image très partielle voire tronquée d’une religion engageant un jeûne (heureusement pour eux que diurne), il est nécessaire de bien saisir la finalité des courants de pensée actuels, de les discuter et de définir de nouveaux principes de réflexion, de réactions et actions politiques pour dessiner cette « société idéale » dans laquelle il ferait si bon vivre.

Alain Finkielkraut définit ainsi ses travaux : « Je cherche d’abord à tirer au clair la métaphysique, c’est-à-dire le rapport fondamental à l’être qui se manifeste dans la sensibilité, les façons d’agir, de faire, les mœurs, les habitudes caractéristiques de notre temps. » (Pour ceux qui l’on oubliée la définition : La métaphysique est une branche de la philosophie qui porte sur la recherche des causes, des premiers principes. Elle a aussi pour objet d’expliquer la nature ultime de l’être, du monde, de l’univers et de notre interaction avec cet univers.)

Le fil qui parcourt toute l’œuvre de Finkielkraut est la critique de la modernité. Finkielkraut qualifie sa position et ses thèses d’« anti-modernes », à cause de sa critique du progressisme, du « droit-de-l’hommisme » et de ce qu’il appelle, à la suite d’Émile Durkheim, la « religion de l’humanité », selon laquelle il estime que la compassion immodérée de l’autre altère la réflexion politique.

La publication de La Défaite de la pensée en 1987 marque un tournant dans son œuvre et le début d’une critique de la « barbarie du monde moderne ».

Pour ceux qui le connaisse peu, voici sa biographie :

Alain Finkielkraut est le fils unique d’un maroquinier juif polonais déporté en 1941 à Auschwitz. Après ses études secondaires, il prépare, au lycée Henri-IV, le concours d’entrée à l’Ecole normale supérieure, et il est reçu à l’École normale supérieure de Saint-Cloud en 1969, puis à l’agrégation de Lettres modernes (1e) en 1972.

En 1974, il est professeur au lycée technique de Beauvais. De 1976 à 1978, il enseigne à Berkeley au French Literature Department. Depuis novembre 1989, il est professeur de philosophie et d’ « histoire des idées » au département Humanités et sciences sociales de l’École polytechnique.

Il est membre fondateur, avec Benny Lévy et Bernard-Henri Lévy, de l’Institut d’études lévinassiennes, à Jérusalem.

En 1984, il reçoit le Prix européen de l’essai Charles Veillon.

Il anime une émission radiophonique hebdomadaire d’entretiens, Répliques, sur France Culture, depuis 1987. Il a aussi animé, un temps, une émission d’opinion, Qui Vive, sur la Radio de la communauté juive (RCJ), jusqu’en juin 2006.

En 1994, il est fait chevalier de la Légion d’honneur. Il a été promu Officier de la Légion d’honneur le 1er janvier 2009.

Source: http://tinyurl.com/2b6vver

Les Danois voient l’islam comme un obstacle à la cohésion sociale…

Ouf! On se sent moins seuls…

FDF

17/08/2010

COPENHAGUE (AFP)

Une majorité de Danois estime que l’islam constitue « un problème pour la force de cohésion de la société danoise », même si près d’un sur deux pense que l’immigration depuis les années 1960 a eu un impact généralement positif dans le pays, selon un sondage publié mardi.

Parmi les sondés, 54,9% pensent que la religion musulmane représente, à un degré plus ou moins élevé, un problème de cohésion au Danemark contre 39,9% qui ne partageant pas cet avis et 5,2% qui sont sans opinion.

En même temps, près d’un Danois sur deux (49,7%) estime que l’immigration depuis les années 1960 et donc la présence d’immigrés, de réfugiés et de leurs descendants sont généralement positives pour la société, alors que 42,4% jugent qu’elles sont négatives et 5,9% ne se prononcent pas.

Ce sondage de l’institut Ramboell, publié par le quotidien conservateur Jyllands-Posten, a été réalisé du 9 au 12 août auprès de 970 personnes.

Il montre que les tranches d’âge au-delà de 25 ans sont sceptiques envers l’islam contrairement aux 18-25 ans.

« Les gens ont des difficultés à discerner la culture d’avec la religion et voient les crimes d’honneur, les mariages forcés comme une partie de l’islam » et donc comme un problème pour la société libérale danoise, constate dans le journal le porte-parole de la communauté islamique (Islamisk Trossamfund), Imran Shah.

En septembre 2005, Jyllands-Posten a publié douze caricatures de Mahomet provoquant une tempête de protestations contre le Danemark dans le monde musulman, ce qui a renforcé les sentiments d’appréhension des Danois vis-à-vis de l’islam.

Le gouvernement libéral-conservateur, arrivé au pouvoir en 2001 grâce au Parti du peuple danois (extrême droite), a instauré une politique d’immigration restrictive pour contenir l’afflux de réfugiés et d’immigrés.

Environ 42% des Danois estiment, toujours selon ce sondage, que cette politique est convenable, 29,9% la jugent trop rigide et 21,4% trop souple.

Au 1er juillet 2010, le Danemark comptait 333.977 habitants d’origine étrangère (6,0% de la population), dont 180.706 issus de pays non occidentaux, selon l’Institut national de la statistique.

Avec environ 200.000 fidèles, l’islam est la deuxième religion du pays après l’Eglise évangélique-luthérienne.

René Galinier, 73 ans, est en prison. Ses deux cambrioleuses sont dehors…

17 août 2010

Et bien, je le soutiens aussi, ce pauvre homme, dont la SEULE FAUTE a été de pas se laisser faire et riposter face à une délinquance dont nous avons TOUS marre…

FDF

Affaire Galinier : la responsabilité de la justice

Lu dans Minute de demain :

« René Galinier, 73 ans, est en prison. Mis en examen pour tentatives d’homicides volontaires. A son domicile de Nissan-lez- Ensérune, dans l’Hérault, il a tiré à la carabine sur ses cambrioleurs. Deux jeunes filles, deux jeunes Roms. Le procureur n’a pas retenu la légitime défense : il avait « mille autres solutions que de tirer »… La population, quasi unanime, soutient le retraité. »

A titre de comparaison, on peut penser à tous les voyous mis en examen pour émeute et remis en liberté aussitôt. Mais surtout, la justice est gravement en cause, comme l’indique la suite de l’article :

« Selon « Le Midi libre », les deux cambrioleuses étaient déjà défavorablement connues des services de police et avaient été relâchées la semaine précédente. »

Si la justice les avaient gardées sous les verrous, un honnête citoyen n’aurait pas eu besoin de faire justice chez lui.

Source: Michel Janva

vu sur http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2010/08/affaire-galinier-la-responsabilit%C3%A9-de-la-justice.html

Un bâton et un… drapeau tricolore !

Je vous laisse seuls juges du contenu de ce billet. Mais il reflète bien ce que nous vivons tous les jours sur les terres de NOTRE NATION. Et ce ne sont que des exemples parmi une foultitude d’autres… La France se fait ronger, doucement mais sûrement…

FDF

Mardi 17 août 2010

Fouquier-Tinville a une descendance. La preuve !

« Ces derniers jours voici ce que j’ai pu lire dans la presse française :

– A Strasbourg le tribunal correctionnel a condamné le 11 août 2010 deux individus à deux ans d’emprisonnement dont 18 mois avec sursis. Leur crime ? Le 1er juillet dernier ils ont mis le feu à l’école Sainte-Marie Anne. Les dégâts, considérables, se montent à 450.000 euros. Ils ont également volé dans l’école trois ordinateurs portables, un i-phone, un appareil photo, de l’argent et des pièces de monnaie de collection. Notons que trois soeurs, c’est une école privée, qui dormaient dans l’établissement ont pu sortir indemnes de l’école en feu. Je vous laisse juge d’apprécier la « sévérité » du jugement.

– Le 12 août 2010 la justice de Perpignan a condamné deux adultes de 21 et 25 ans à six et cinq mois de prison, dont un mois ferme chacun, pour leur implication dans des violences contre des policiers, roués de coups après avoir été pris à partie par des dizaines d’habitants d’une ZIP (Zone d’Islamisation Prioritaire) de Perpignan. Les deux individus sont repartis libres du tribunal, aucun mandat de dépôt n’ayant été délivrés contre eux. Je vous laisse libre d’apprécier la « moralité » du jugement.

– Le 11 août 2010 un homme de 32 ans a été mis en examen pour des faits de viols, qu’il a reconnus, sur une fillette de 10 ans placée dans un lieu de vie dirigée par sa compagne. Le violeur a été…remis en liberté sous contrôle judiciaire. Le procureur de Nîmes a fait appel de ce jugement. No comment.

– Le 10 août 2010 le tribunal correctionnel de Villefranche dans le Rhône a condamné deux colleurs d’affiche du Front National qui avaient brisé la mâchoire d’une jeune homme d’origine maghrébine alors qu’ils faisaient campagne dans le beaujolais en avril 2007. Le premier a été condamné à douze mois de prison dont six ferme. Le second à huit mois de prison dont quatre ferme. Ils ont été condamnés pour violences volontaires en réunion avec armes. Un bâton et un… drapeau tricolore ! Les deux militants FN devront verser en outre 20.000 euros de dommages et intérêts aux deux victimes et à la Caisse d’assurance maladie. Les deux militants ont décidé de faire appel.

MORALITE :

Dans la « justice » française de 2010 il est moins grave de violer une fillette de 10 ans, de brûler une école dans laquelle dorment des personnes, au risque de les tuer, ou de rouer de coups des policiers que de casser la figure d’une personne suite à une altercation. Il faut dire que dans la France de 2010 les enfants de Fouquier-Tinville continuent de rendre ce qu’ils nomment la justice. Non pas une justice de classe mais une justice politique. Ne nous y trompons pas. Ce jugement est très révélateur de la mainmise des idéologues rouges sur la justice française. Ce jugement est un message adressé aux patriotes. L’extrême rigueur qui a frappé ces deux militants est un moyen de défense sociale et politique de la caste au pouvoir mais encore et surtout une recommandation sévère à tous les patriotes de se tenir à leur place, de se résigner à se soumettre ou à crever.

A l’avenir, si vous êtes victimes d’une agression glissez une carte du Front National dans la poche de votre agresseur. C’est uniquement dans ce cas, et dans ce cas seulement, que votre agresseur écopera d’une peine exemplaire. »

Source: http://tinyurl.com/259724t

Les musulmans abandonneraient le projet de la Mosquée de Ground Zero !

Bon. On va attendre un peu pour la confirmation de cette info trop belle pour être vraie…

FDF

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16 août 2010

Le journal de gauche israélien Haaretz révèle ce soir que, dans un apparent souci d’apaisement, les leaders spirituels musulmans vont annoncer dans les tout prochains jours qu’ils renoncent au projet de la mosquée de Cordoue, ou Ground Zero, ou encore mosquée pour célébrer l’attentat du 11 septembre, et vont la construire ailleurs.


Photo (ajoutée par France-Israël) illustrant l’article de J. Greenfield « Le détournement musulman de Ground Zero« 

Selon Haaretz, la décision est principalement motivée par le combat très vigoureux mené par les opposants à la construction, dont la campagne d’affichage sur les flancs de bus de New York montrant les Twin Towers en feu, a retenti dans toute l’Amérique. Le parti républicain s’apprêtait également à produire une campagne télé très hostile. Une des autres raisons invoquées par les milieux musulmans religieux est qu’ils ne veulent pas que le projet éveille des sentiments négatifs envers les musulmans (à mon sens, c’est un peu tard, mais ils l’ont bien mérité), et ils espèrent, au contraire, que ce geste sera regardé par les familles des victimes du Onze-Septembre comme une marque de respect (là encore, je serais étonné que les opposants voient ce geste comme un signe positif, puisque sans cette brave résistance, les musulmans n’auraient pas renoncé à leur projet).

Mais les deux raisons qui paraissent les plus intéressantes, et que nous tenterons de ne pas oublier, sont le fait que les financements nécessaires auraient manqué, et que l’apparent recul du président Obama, aurait jeté un froid (Obama, lors du discours de célébration du Ramadan, a affirmé que toutes les religions sans exception ont le droit de construire un lieu de culte ; par la suite, face au scandale que ses propos ont suscité parmi les victimes de l’attentat, il ajoutera : « Je me suis prononcé sur la conformité du projet vis-à-vis des règles de notre constitution, je ne me suis pas prononcé sur le choix de construire cette mosquée à cet endroit, et je ne le ferai pas ».

Mon sentiment profond : il ne faut pas humilier nos ennemis lorsqu’ils sont perdants. Même si les raisons de leur abandon du projet sont tout ce qu’il y a de plus hypocrites, ils l’ont abandonné et c’est ce qui compte. Crier victoire ne ferait qu’attiser une haine dont nous nous passons bien. Au lieu de cela, tirons-en, si possible, la bonne leçon : la force parle et l’emporte, c’est dans la nature de l’homme.

Jean-Patrick Grumberg


Source : Haaretz




La France a délivré 99.238 titres de séjour à des étrangers au premier semestre 2010, soit une hausse de 8,3%…

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Lisez bien la suite, c’est impressionnant de propagande… Tout y passe, comme « excuse », à ces chiffres probablement faussés, et loin de la réalité… Nous sommes en train de nous faire envahir par wagons entier (pas mal, celle-là, je viens de la trouver…) avec la bénédiction de nos ministères concernées.

FDF

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« C’est ce qu’a annoncé mardi le ministère de l’Immigration dans un communiqué.

Selon le texte, il y a eu 31.744 titres de séjour étudiants contre 24.679 au premier semestre 2009 (+28,6%). Hors cette catégorie, le nombre de titres de long séjour délivrés est quasiment stable. 91.671 titres de séjour avaient été délivrés au total au premier semestre 2009.

Au titre de l’immigration professionnelle, 13.077 titres de séjours ont été délivrés contre 13.439 au premier semestre 2009, soit une baisse de 2,7%.

En revanche, l’immigration familiale a progressé de 3,1% avec 41.238 titres de séjours délivrés contre 39.994 au premier semestre 2009 (+3,1%).

Par ailleurs, le nombre d’étrangers naturalisés par mariage est passé de 56.251 au premier semestre 2009 à 62.824 au premier semestre 2010 (+11,7%), une hausse « principalement due à la mise en place de la réforme de la procédure de naturalisation, qui a conduit à diviser par deux le stock des demandes en instance dans les 21 préfectures expérimentatrices et dans l’administration centrale ». La réforme est généralisée depuis le 1er juillet… »

Suite et source: http://tinyurl.com/2bz75fw

Bordeaux: toujours l’impasse pour les gens du voyage…

…Parceque ce sont des « gens du voyage ».

Un « truc » m’interpelle… Ce n’est pas que j’approuve à 100% ce que font les gens du voyage, mais cette histoire se passe à Bordeaux, dont le maire n’est autre que le dhimmi Juppé…

On connait depuis longtemps la préférence non-nationale de ce monsieur surtout en faveur des musulmans (voir: http://tinyurl.com/23zxry7)

Si la communauté en question eût été fan de Mahomet, il est fort à parier que cette histoire ait pris une autre tournure… Très favorable pour les derniers nommés, bien entendu…

FDF

La mairie de Bordeaux recherche toujours une solution pour lever le blocus des gens du voyage./Photo AFP

La mairie de Bordeaux recherche toujours une solution pour lever le blocus des gens du voyage./Photo AFP

Vingt-quatre heures après le blocage du Pont d’Aquitaine par des gens du voyage les discussions entamées hier avec la mairie de Bordeaux n’avaient pas avancé en fin d’après-midi. Les 250 caravanes et leurs occupants stationnaient toujours aux alentours du Parc des Expositions à Bordeaux Lac, les mouvements étant filtrés par des CRS. Maître Pierre Blazy avocat des familles envisageait de « déposer un référé d’heure en heure pour faire respecter la liberté de circuler ». En début de matinée l’avocat avait saisi le tribunal administratif pour « faire constater la situation et obtenir de la mairie la mise à disposition d’une aire de stationnement conforme à la loi ». L’examen par la justice est prévu mercredi matin.

« c’est insalubre »

Hier en fin de matinée, Alain Juppé a reçu une délégation de gens du voyage. Au terme de l’entrevue, la municipalité précisait que deux solutions avaient été à nouveau présentées par le maire « l’une sur le parking goudronné du Parc des Expositions avec un branchement d’eau et d’électricité (déjà rejeté dimanche par les intéressés), l’autre sur l’aire dite du «Grand passage» aménagée en début d’été par la Communauté Urbaine avec un point d’eau (l’électricité pouvant être installée mardi matin) et pouvant accueillir 200 caravanes ». Sur ce dernier terrain, une visite était organisée l’après-midi : « Ce terrain soit disant aménagé que l’on nous propose est insalubre car situé à côté d’une déchetterie et n’a de toute façon pas la capacité d’accueillir l’ensemble de nos familles » déclarait en début de soirée James Dubois président de l’association La Vie du Voyage qui insistait sur le fait que « la totalité des personnes concernées sont des commerçants de nationalité française et payent leurs impôts normalement ». Dans le même temps Jean-Marc Falcone, préfet délégué à la sécurité déclarait que « les propositions sont faites par le maire de Bordeaux mais que le respect de l’ordre public sera garanti par les services de l’Etat. C’est un message d’ouverture mais aussi de fermeté… ».

Source: http://tinyurl.com/246jvaz

Une nouvelle mosquée à Drancy !

Comme quoi, la stigmatisation bien médiatisée de l’affaire de la mosquée de Drancy et ses pour le moins flous tenants et aboutissants n’aura servi qu’à faire prospérer l’invasion programmée de la France…Au fait: elle a poussé toute seule, cette mosquée? N’y a t’il pas eu un « petit coup de main » de la municipalité ?

FDF

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« Qui l’aurait cru ?

Sans trop s’attarder sur les récents évènements qui ont eu lieu dans la commune de Drancy nous souhaitions vous faire part de l’ouverture d’une nouvelle mosquée.

Ce nouveau projet, qui date de la semaine dernière ( début du ramadan ) à une particularité : Ses principaux responsables ne sont autre que les » anciens partenaires » de Hassen Chalghoumi. En effet, après avoir quitté l’ancien conseil d’administration de l’association culturelle des musulmans de Drancy, ces derniers ne voulaient pas culpabiliser suite aux différents dérapages du président Hassan Chalghoumi.

Cette fois-ci aucune ingérence politique, ni religieuse ou d’une quelconque influence des pays d’origine.

C’est le troisième lieu de culte qui voit le jour en à peine quelques mois dans la zone avoisinante de l’ ancienne mosquée de Drancy :

– Une mosquée à Pantin ( 300m de la mosquée de Drancy )

– Une mosquée au Bourget

– Une seconde mosquée à Drancy

Sans oublier la proximité de la mosquée de l’ UOIF à la Courneuve et celle de Bobigny.

L’année dernière, lors du ramadan, les fidèles venaient de différentés villes pour assister aux prières de Tarawihe et aux différentes conférences religieuses qui se tenaient dans la mosquée de Drancy, aujourd ‘hui la situation est toute autre … Très peu de fidèles s ‘ y rendent !

Étant donné que nous sommes en pleine période de ramadan, évitons de créer toute formes de polémiques ou de désagréments envers qui que ce soit !
Il y a tellement de choses à en redire …

A suivre … »

Lu sur: http://tinyurl.com/2ebogj4

Mosquée de New-York : Obama se prend les pieds dans le tapis (de prière)…

Le projet de construction d’une mosquée non loin de Ground Zero suscite une vive polémique.

lundi 16 août 2010

Le président Barack Obama se serait bien passé de cette nouvelle polémique. Son discours donné vendredi en faveur de la construction d’une mosquée aux abords de Ground Zero, théâtre des attentats terroristes du 11 septembre, ne fait pas l’unanimité. Malgré une déclaration samedi nuançant ses propos, ses adversaires politiques n’ont pas hésité à s’engouffrer dans la brèche.

« En tant que citoyen, en tant que président, je pense que les musulmans ont autant le droit de pratiquer leur religion dans ce pays que n’importe qui d’autre. Et cela inclut le droit de construire un lieu de culte et un centre communautaire sur une propriété privée dans le sud de Manhattan, en accord avec les lois en vigueur. C’est cela l’Amérique. » Une déclaration faite vendredi soir lors d’un diner de rupture de jeun donné à la Maison Blanche en l’honneur de la communauté musulmane qui a déclenché un véritable tollé. En se montrant favorable au projet d’édification d’une mosquée de 15 étages non loin de Ground Zero, théâtre des attaques terroristes qui se sont abattues sur le World Trade Center le 11 septembre 2001, le président Barack Obama s’est pris les pieds dans le tapis. En déplacement en Floride samedi, il a précisé que ce discours n’avait pas pour objectif de déterminer s’il était sage ou non de construire une mosquée près de Ground Zero mais de souligner que c’était un droit. « Je n’évoquais pas et je n’évoquerai pas le bien-fondé du fait de construire une mosquée à cet endroit. » a déclaré le chef d’Etat américain. Prise de position saluée par Michael Bloomberg, maire de New York.

Le porte-parole de la présidence américaine, Robert Gibbs avait pourtant précisé le 3 août dernier, alors que le projet de construction du centre culturel faisait débat, que c’était « un problème que la ville et la communauté de New York doivent gérer seules. La Maison-Blanche n’a pas à s’immiscer dans cette prise de décision locale. » Le Président Obama aurait pu se contenter de garder le silence mais selon son conseiller David Axelrod se confiant au New York Times, il aurait « senti qu’il était de sa responsabilité de parler. » Le traditionnel repas du ramadan était une occasion toute trouvée.

Obama accusé de « flatter l’islam »

Le soutien apporté au Cordoba House, nom du projet du centre culturel musulman, a été largement critiqué par le parti républicain. Newt Gingrich, ancien président de la Chambre des représentants considère que le président « flatte l’islam. » Selon lui, l’édification d’une mosquée sur ce site frappé par les attentats du 11 septembre serait pour les musulmans un symbole de victoire. « Ce serait comme mettre un signe nazi à côté du Musée de l’Holocauste » a-t-il ajouté. D’autres membres du parti républicain ont fustigé les déclarations du locataire de la Maison Blanche relançant ainsi les rumeurs sur son éventuelle confession musulmane. Malgré le rappel du président Obama selon lequel « La cause d’al-Qaïda n’est pas l’islam. C’est une répugnante déformation de l’islam », Peter King, élu new-yorkais et membre républicain de la Chambre des Représentants considère que « c’est un manque de sensibilité de la part de la communauté musulmane de construire une mosquée à l’ombre de Ground Zero. » Et John Boehner, chef de la minorité de la Chambre de s’engouffrer également dans la brèche, annonçant que les Américains ne suivront pas le président dans cette direction. John Cornyn ne manque pas quant à lui de souligner que « c’est le peuple américain qui rendra son verdict » à l’occasion des élections du Sénat le 2 novembre prochain. A un mois du neuvième anniversaire des attentats du 11 septembre, un sondage CNN Opinion Research révèle que 68% des Américains sont opposés au projet de centre culturel musulman.

Lieu hautement symbolique, Ground Zero est pour les Américains un véritable sanctuaire qui a vu la vie de 3000 de leurs compatriotes s’éteindre brutalement sous les attaques terroristes revendiquées par al-Qaïda.

Source: http://tinyurl.com/2blfo5c

Barbès au rythme du ramadan…

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C’est quand-même bien, la France, terre d’accueil… Même que l’on peut y faire brûler les voitures des sous-chiens sans vergogne, en plus… Alors, en ce qui concerne la pratique du ramadan, y’a pas plus cool. Mieux que là-bas, dis!

FDF

« Jeûner en pays laïque, le lot commun des musulmans de France. Dans le quartier de Barbès, à Paris, la foule abonde devant les boucheries et les boulangeries pendant le ramadan. Si certains pratiquants regrettent de ne pouvoir célébrer le mois sacré dans leurs pays d’origine, d’autres préfèrent le passer à Paris, où ils le vivent comme ils l’entendent.

« Même mon chien fait carême ! », s’exclame tout sourire Rachida, une femme d’origine marocaine. « Il n’a pas mangé ce matin, mais lui il boit », ajoute-elle. Pour cette gérante de hammam à Paris, le mois va être calme. « Les femmes ne boivent pas, elles évitent de venir ici, il fait trop chaud. On fonctionne au ralenti mais les femmes qui ne font pas ramadan viennent toujours, notamment quand elles ont leurs règles : impures, elles ne peuvent pas jeûner. » Devant les bouchers et boulangers par contre, la foule s’amoncelle jusque sur les trottoirs du quartier de Barbès à Paris. Les clients sont impatients, les vendeurs refusent de s’exprimer sur ce mois qui s’annonce fatiguant, d’autant plus qu’eux aussi font ramadan. « Je n’ai pas même un café dans le ventre », rappelle ce boulanger de la Goutte d’or, « et encore plein de gâteaux à faire » souffle-t-il devant la chaleur de l’huile bouillante où il va tremper ses pâtisseries orientales. La pile de sablés, de makrouds et autres zlabias est impressionnante mais « il n’y en a pas assez ».

Dans le quartier, aucun commerçant ne pourrait oublier que le ramadan vient de commencer. Il y a les magasins qui vont connaître la plus forte affluence de l’année, et les autres, à la clientèle clairsemée. Pour Djemila, vendeuse de cosmétiques d’origine algérienne, le mois va être on ne peut plus calme. « Maquillage et parfum sont indésirables, ce n’est pas ce mois-ci qu’elles vont en acheter… » De plus, fatiguées et attentives à leur porte-monnaie, les musulmanes pratiquantes « réduisent leurs courses à l’essentiel, la nourriture ».


Faire le ramadan en France

S’abstenir de boire et de manger du « lever du soleil » à son « coucher » au cœur du mois d’août, représente 16 heures de privation. Et pourtant les trois quarts des 5 à 6 millions de musulmans de France jeûnent durant le mois sacré. Pour le mauritanien Amadou, en France depuis ses 15 ans, « il est important de se rappeler ses coutumes, le ramadan en fait partie ». Il aurait aimé rentrer au pays pour l’occasion, parce que « là-bas ce n’est pas pareil, tout le monde le fait » mais il n’a pas pu.

La marocaine Samira rappelle quant à elle que la foi est « individuelle. On peut faire ramadan où que l’on soit ». Et pour cette femme qui a adopté « le rythme occidental », la perspective de rentrer au pays « pour manger et dormir » l’ennuie d’avance. Aujourd’hui, elle s’est rendue à la Grande Mosquée de Paris, ce qui n’est pas dans ses habitudes un mercredi. « C’est un jour spécial », glisse cette jeune femme. Djamel va dans son sens « en France, chacun fait le ramadan comme il l’entend. En Algérie, tout le monde te regarde bizarrement si tu fais le moindre truc de travers ». C’est précisément cette attitude que dénonce le malien Mohamed « pendant le ramadan les gens vont à la mosquée, ils sont gentils, ils partagent, ils sont de bons musulmans ». La faim au ventre, il estime que « ça devrait toujours être ainsi. Il faudrait que ce soit toujours ramadan, en France et ailleurs ! » »

Source: http://tinyurl.com/2adgvoq

Sport: un peu d’air pur…

Bravo et merci !

FDF




Après les pitoyables prestations de notre si « politiquement correcte » équipe de foot en Afrique du Sud, la belle moisson de médailles des athlètes et nageurs français fait souffler de l’air pur sur l’Hexagone.

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Ils s’appellent Yannick, Romain, Sébastien, Christophe ou Myriam. Non seulement ils nous ont rapporté une moisson miraculeuse de médailles d’or, d’argent et de bronze des championnats d’Europe d’athlétisme et de natation, mais ils chantent La Marseillaise, embrassent le drapeau tricolore, aiment leur famille et ne sont pas obsédés par l’argent (ils en gagnent mille fois moins que les stars du foot). Ils cultivent leur esprit – parfois en poursuivant des études supérieures – et s’expriment, à la radio et à la télévision, dans un français châtié . Enfin, un sujet de fierté ! Enfin, d’autres raisons d’espérer qu’un petit 0,6 % de croissance !

Source: nationspresse.info

68% des Américains sont opposés à la mosquée de Ground Zero !

17 août 2010

Mosquée de Ground Zéro, Barack Hussein Obama et taqiya
« La mosquée de New York et le « double langage » de Barack Obama
En tempérant son soutien à la construction d’une mosquée à deux blocs de Ground Zero, le président américain brouille les pistes. Et prête le flanc aux critiques.

« C’est un problème que la ville et la communauté de New York doivent gérer seules. La Maison-Blanche n’a pas à s’immiscer dans cette prise de décision locale. » Ainsi parlait Robert Gibbs, porte-parole de la présidence américaine, rapporte le blog The Caucus. Le « problème » qu’il évoquait, le 3 août dernier? La construction d’un centre culturel musulman à deux blocs de Ground Zero, site du sud de Manhattan à jamais associé aux attentats du 11-Septembre 2001. »  Lire la suite sur : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique/la-mosquee-de-new-york-et-le-double-langage-de-barack-obama_912777.html

Sondage :
68% des Américains sont opposés au projet de mosquée près de Ground Zero
As you may know, a group of Muslims in the U.S. plan to build a mosque two blocks from the site in New York City where the World Trade Center used to stand. Do you favor or oppose this plan?
Source : CNN Opinion Research  / http://i2.cdn.turner.com/cnn/2010/images/08/11/rel11a1a.pdf page 3 .
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Le bahaïsme, seule religion officiellement persécutée en Iran.

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Impressionnant de vérité, impressionnant de ce que peut faire l’intégrisme… L’Iran est à rayer de la carte du monde…

FDF

En République islamique d’Iran, il n’y a pas que les opposants politiques qui sont condamnés à passer de longues années derrière les barreaux. Il y a aussi les minorités religieuses.

Sept adeptes de la foi bahaï viennent d’être condamnés à 20 ans de prison, a-t-on appris hier de source proche de cette religion fondée au XIXe siècle en Iran et que Téhéran tient pour hérétique.

Mais les charges restent les mêmes. Jamaluddin Khanjani, Afif Naeemi, Saeed Rezai, Behrouz Tavakoli, Vahid Tizfahm, mais aussi deux femmes, Fariba Kamalabadi et Mahvash Sabet, ont été condamnés hier à vingt ans de prison pour “espionnage,” “acte contre la sécurité nationale”, et “inimitié envers Dieu”. Ces sept personnes avaient été arrêtés en mai 2008 pour cause d’espionnage pour l’étranger, de propagation de la corruption sur terre, de minage de l’Islam et de coopération avec l’État d’Israël.

“Leur procès, qui a débuté le 12 janvier de cette année, a consisté en six brefs passages au tribunal, après qu’ils eurent été incarcérés sans charge pendant vingt mois”, explique dans un communiqué Bani Dugal, qui représente la foi bahaï auprès des Nations Unies. “Une période au cours de laquelle ils n’ont eu accès à leur avocat que pendant à peine une heure. Le procès s’est achevé le 14 juin”.

Les sept condamnés ont nié les charges retenues contre eux et envisagent de faire appel.

Alors que les minorités juives, chrétiennes, et zoroastrienne, sont officiellement respectées et bénéficient chacune d’un député au Parlement iranien, le bahaïsme est considéré comme une hérésie. Fondé en Perse en 1863 par Mirza Husayn Ali, alias Baha’u’llah, un noble persan considéré comme le dernier prophète en date de toutes les religions envoyé par Dieu sur terre, son but est d’unir tous les peuples du monde dans une cause universelle et une foi commune. Il s’attache à la promotion de la condition féminine, l’abolition des discriminations, et le dialogue entre les religions. Il compte plus de 7 millions d’adeptes dans le monde à travers plus de 200 pays. Son centre mondial est basé à Haïfa, en Israël. Plus grande minorité religieuse en Iran, avec 350 000 membres mais seule confession du pays postérieure à l’Islam, ses adeptes sont accusés d’apostasie et traités comme des «infidèles non protégés ». En Islam, le dernier prophète n’est autre que Mahomet.

Selon la législation iranienne, tuer un Bahaï n’est pas considéré comme un crime. 200 d’entre eux ont ainsi été exécutés depuis 1979, des centaines emprisonnés. Et c’est toujours le cas aujourd’hui. Selon les leaders bahaï, 47 de leurs membres seraient toujours actuellement emprisonnés en Iran, uniquement en raison de leurs croyances. Depuis l’arrivée à la présidence de Mahmoud Ahmadinejad en 2005, les membres de la communauté bahaï ont tous été identifiés et demeurent étroitement surveillés. Pourtant, ces persécutions n’ont pas uniquement eu lieu sous la République islamique. Ce fut également le cas sous le Shah et sous son père Reza Shah.

Les Bahaïs se démarquent du reste de la population musulmane par une remarquable vie intellectuelle. Parmi eux, beaucoup de médecins, cadres, ou artistes. Pourtant, en République islamique, ils ne sont ni autorisés à se rendre à l’université, ni même à travailler. « On ne me considère pas comme un être humain. Je suis forcée d’étudier clandestinement », m’avait affirmé en 2005 Samaneh, brillante Bahaï de 21 ans, qui connaissait sur le bout des doigts l’ensemble des “ghazals” du poète perse Hafez, avant d’être forcée de quitter pays et parents. Et la jeune Iranienne n’exagérait pas. Les Bahaïs sont interdits de retraite, et leurs enfants d’héritage. Pire, ils ne sont pas autorisés à inscrire un nom sur la tombe de leurs défunts. Quant à leur temples et cimetières, ils sont régulièrement détruits et profanés.

Dans une interview exclusive à “Dentelles et tchador”, le Docteur Foad Saberan, psychiatre bahaï français né à Téhéran, nous éclaire sans concession et sans langue de bois sur la seule religion officiellement persécutée en Iran…

Foad Saberan, pourquoi l’Iran a-t-il lourdement condamné ces sept Bahaïs?

On l’ignore pour l’instant. Cette condamnation pourrait illustrer les combats actuels entre les différentes factions (conservatrices) du Régime. Dans mon esprit, ils ont décidé d’impressionner la communauté bahaï. Ce que je peux dire, c’est que condamner à 20 ans de prison des Bahaïs, dont le plus vieux est âgé de 77 ans, équivaut pratiquement à une peine de mort.

Pouquoi la République islamique d’Iran s’attaque-t-elle aux Bahaïs?

Le projet de la persécution des Bahaïs existe depuis trente ans en Iran. Car cette religion représente pour la République islamique un risque idéologique. Pourquoi? Parce que cette foi, ayant été bâtie après l’Islam, remet selon eux en cause tout le système des prêtres musulmans chiites. Ce même raisonnement a déjà été pratiqué par les mollahs pour leur propre Islam qui, ayant été créé après le Christianisme, a d’après eux tout simplement annihilé celui-ci. Aujourd’hui, avec l’existence du Bahaïsme, ils n’ont plus qu’à fermer boutique. Et ils vivent ceci comme une injure. Or ce qui est intéressant, c’est que les mollahs iraniens ne se sont même pas donnés la peine de lire un seul Écrit bahaï. Ils se rendraient compte que cette religion n’a rien à voir avec l’Islam.

Pourquoi le centre mondial bahaï est-il situé à Haïfa en Israël?

C’est simple. Car c’est là, à Akka (Saint Jean d’Acre), près de la ville de Haïfa, située à l’époque en Palestine ottomane, que Bahaullah et ses fidèles ont été déportés, en 1868, de la ville de Constantinople. Et ils ont été interdits d’en sortir pendant plus de 40 ans. Bahaullah avait déjà été expulsé d’Iran vers Bagdad en 1853. De 1853 à 1868, lui-même et ses adeptes (qui deviendront en 1863 les “Bahaïs”) ont multiplié les allers-retours entre Bagdad et Constantinople, avant d’être à nouveau expulsés, cette fois en Palestine. Or les Mollahs affirment que les Bahaïs sont arrivés en 1868 à Haïfa pour y créer le Sionisme! Ce qui n’a aucun sens, l’État d’Israël ayant été créé…80 ans plus tard, en 1947 !

Où vivent actuellement les Bahaïs?

400 Bahaïs vivent actuellement en paix en Israël, en tant que servants des sanctuaires bahaïs, mais ils n’ont pas la nationalité israélienne. Il existe sept millions de Bahaïs à travers le monde: des Américains, des Congolais, des Français, des Brésiliens, des Indiens…qui élisent leurs dirigeants mondiaux siégeant à Haïfa. Les Bahaïs d’Iran, au nombre de 300 000, représentent donc à peine 5% de la communauté bahaï mondiale qui est gouvernée par des non-Iraniens. Voilà pourquoi, contrairement à ce que souhaitent faire croire les mollahs, cette religion n’a rien d’une affaire iranienne.

Comment sont actuellement traités les Bahaïs en République islamique?

Il est très difficile par exemple pour un Bahaï d’enregistrer son enfant à sa naissance, beaucoup de Mairies n’en voulant pas. Les enfants bahaïs sont considérés comme de réels “bâtards”. Selon les directives de l’éducation nationale, ils sont soumis à l’école primaire à d’intenses pressions pour les amener à renoncer à la foi de leur père. Jusqu’en 2000, ils n’avaient pas le droit de passer le bac. Depuis, ils ont l’autorisation de passer le concours d’entrée à l’université, et même de s’inscrire à la fac.

On assiste donc une réelle amélioration de leur situation…

Pas du tout, deux-trois mois après leur inscription, tous sont peu à peu expulsés de l’université pour mille et un prétextes. Défauts dans leur dossier d’inscription, manquement à un cours… Il y a un mois, un décret dans un journal officiel iranien a annoncé que “les adeptes des religions non reconnues”, c’est à dire les Bahaïs, n’avaient pas leur place à l’université.

Comment expliquer alors que les membres de la communauté bahaï sont relativement cultivés?

Les bahaïs ont toujours des universités à eux, créés par leurs membres. Il est fondamental dans l’idéologie bahaï de prier et d’acquérir du savoir. Mais ils ne peuvent malheureusement étudier que des disciplines ne réclamant aucun travail en laboratoire. Par conséquent, il est actuellement impossible aux Bahaïs en Iran de devenir médecin ou dentiste.

Qu’en est-il de l’accès au marché du travail pour les Bahaïs en République islamique?

Les jeunes Bahaïs deviennent donc ultrasavants mais ultraprécaires, le Régime interdisant à tout employeur d’engager des Bahaïs. Mais il existe heureusement une solidarité de plus en plus active dans la société iranienne entre Musulmans et Bahaïs, qui leur permet tout de même de s’en sortir. Par exemple, alors qu’il est interdit à un épicier ou à un boulanger de vendre ses produits à un Bahaï, ils réussissent tant bien que mal à les fournir en les livrant dans la soirée.

Et Quid des droits de l’homme?

Théoriquement, le meurtre d’un Bahaï est considéré comme “halal” (licite) en Iran. Or loin d’assister à des assassinats permanents de la part du peuple iranien, on constate que depuis trente ans, seul le Régime islamique tourmente les membres de la communauté bahaï. En les expulsant de leurs maisons, en brûlant leurs moissons et en détruisant leurs cimetières.

Pouvez-vous nous en dire plus?

Les Bahaïs n’ont plus de tombeau. Le cimetière bahaï de Téhéran a été rasé, hormis le marbre des tombes parce qu’il était récupérable. Ils ont construit au-dessus un Centre d’Études islamiques, autour duquel ils ont planté des arbres. Et il n’est pas étonnant qu’ils poussent très bien…

Mais que deviennent les corps?

Parfois, certaines tombes son vidées. Mais la plupart des corps restent sous terre, sans véritable sépulture.

Cela veut dire qu’un Bahaï qui meurt aujourd’hui en Iran, n’a aucun endroit pour être enterré?

Enterrer un Bahaï aujourd’hui en Iran demeure extrêmement difficile. La seule solution reste de les inhumer loin de la ville, dans le désert, dans des cimetières clandestins. Mais même dans ce cas, les familles sont parfois suivies par les services secrets iraniens pour déterrer les corps. Pourtant depuis l’avènement de la République islamique, seuls une vingtaine de Bahaïs iraniens ont renoncé à leur foi. Ils ont obtenu en échange de nombreux cadeaux de la part du Régime. Mais nous gardons de très bonnes relations avec eux. Un Bahaï peut renoncer du jour au lendemain à sa religion (ce qui n’est pas le cas d’un musulman iranien).

Les Bahaïs ont également été persécutés sous le Shah n’est-ce pas?

Le Shah était une personnalité compliquée. Il lui arrivait de s’appuyer sur le travail des Bahaïs, relativement bien éduqués, comme les ingénieurs. Or il les maltraitait aussi pour apaiser ses relations avec le Clergé. En 1955, une quinzaine de Bahaïs sont morts sous le Shah. Des crimes qui n’ont pas été organisés par le gouvernement, mais celui-ci n’a pas pour autant poursuivi les assassins. Autre discrimination, en 1965, le Shah a réclamé aux Institutions bahaïs d’énormes taxes sur leurs propriétés avec effet rétroactif.

Que pense la population iranienne, en majorité musulmane chiite, des Bahaïs?

Les milieux éduqués protègent les Bahaïs en Iran. Les membres de la communauté étant de facto des convertis depuis au maximum trois générations, beaucoup de leurs familles, qui sont elles restées musulmanes, aident leurs proches bahaïs. Quant au petit peuple, il croit de moins en moins l’intense propagande gouvernementale anti-bahaï. Il faut dire que les reportages fabriqués de toute pièce par la télévision d’État iranienne ne font pas preuve de beaucoup d’imagination. Il y en a notamment un qui a récemment expliqué que la télévision britannique BBC (British Broadcasting Corporation) signifiait en réalité “Bahaï Broadcasting Corporation” et qu’elle était inféodée à la BBC, et donc à Israël.

La situation des Bahaïs en Iran s’est-elle aggravée sous Ahmadinejad?

Mahmoud Ahmadinejad ayant été un membre actif de la secte messianique des “Hojatieh”, il n’a en tête qu’une seule idée: juguler le Bahaïsme, ce qui constitue un des fondements de cette secte. D’ailleurs, l’organisation des Hojatieh a été créée en 1952 sous le nom “d’organisation contre le Bahaïsme”. Mais ils n’ont cependant jamais prêché le meurtre contre les Bahaïs. Ils préfèrent s’infiltrer dans la communauté pour mieux la combattre idéologiquement. Lors de la prise d’otage de l’ambassade américaine à Téhéran en 1979, les organisations étudiantes islamiques (dont a fait partie Ahmadinejad) avaient annoncé vouloir mettre la main sur des documents prouvant à 100% la collusion entre Bahaïsme et États-Unis. Or ils n’avaient rien trouvé…

“La Terre n’est qu’un seul pays et tous les hommes en sont les citoyens” (extrait des Écrits bahaïs)

source : drzz.info

Halal made in France: maintenant on exporte !

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On pensait avoir atteint des sommets dans ce domaine peu reluisant de la dhimmitude, ben non…

FDF

17 août 2010

MINISTERE DE L’ALIMENTATION, DE L’AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE
NOTE DE SERVICE sévices

DGAL/SDSSA/SDASEI/N2010-8130

La procédure de reconnaissance d’un organisme en qualité de certificateur halal pour l’Indonésie comprend deux étapes : – transmission d’un dossier reprenant les aspects techniques et religieux de leur méthode d’audit des établissements agroalimentaires producteurs ; – audit par le MUI de l’organisme candidat à la certification. Un organisme ne peut certifier halal que : – dans le(s) domaine(s) pour lequel (lesquels) il est autorisé : abattoirs, établissements de transformation ou arômes ; – des produits issus d’établissements présents sur le territoire du pays dans lequel il est implanté ; l’Europe bénéficie cependant d’un traitement de faveur puisque les organismes européens reconnus par le MUI peuvent certifier des produits issus de l’ensemble des pays européens. Les producteurs français doivent recourir à un des organismes reconnus par les autorités indonésiennes dont la liste figure sur EXP@DON, pour faire certifier leurs produits. Source: http://agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/DGALN20108130Z.pdf
EXP@DON est un service en ligne, partagé entre la direction générale de l’alimentation (DGAL) du ministère de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche et l’établissement public FranceAgriMer, qui permet aux administrations et aux 2 500 professionnels inscrits de consulter les conditions sanitaires d’exportation vers les pays tiers des animaux et produits d’origine animale. Source: http://agriculture.gouv.fr/exp-don-fait-peau-neuve-et
Pour en savoir plus:

Ramadan : des églises du Canada s’ouvrent aux musulmans pour la prière quotidienne !

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Les muzz du Canada n’ont pas assez de mosquées, dirait-on. Non; elles sont trop petites…

En tout cas, ça dépasse les principes de tolérance de la chrétienté. On frise là une dhimmitude exacerbée… Est-ce sans le vouloir? Pas impossible…

Je vais aller mettre un cierge en l’église du coin… Si ça pouvait les remettre dans le « droit chemin »…

FDF

L’église de la ville de Calgary a ouvert son enceinte pour les musulmans du Canada afin de permettre aux musulmans de différentes origines d’accomplir la prière de tarawih pendant tout le mois sacré du Ramadhan.

C’est ce qu’a révélé l’imam du centre islamique de la ville de Calgary dans une déclaration au journal Calgary Herald ajoutant que deux églises ont déjà donné leur accord pour l’ouverture de ces lieux de culte, en soirée, afin de permettre à un grand nombre de fidèles d’accomplir la prière des tarawih à cause de l’exiguïté du centre culturel islamique.
L’imam du centre culturel islamique de Calgary a indiqué dans une déclaration au journal Calgary Herald que la communauté musulmane est estimée à 85 000 musulmans.

[plus de détails dans l’article en anglais]

Source : Calgary Herald via Defrancisation.com via Liberté Algérie

Rappel Québec : «On a le droit de dire non»

1)http://www.youtube.com/watch?v=35p1mrf2gRE&feature=player_embedded

2)http://www.youtube.com/watch?v=Tj1390TREyU&feature=player_embedded#!

Obésité, banalisation du goût et hallalisation…


Conférence donnée par un haut cadre de l’agroalimentaire.

L’industrie alimentaire française se distingue de celle du reste du monde. En effet, nées pour la plupart dans les années 60, les entreprises de ce secteur appartiennent à des chefs d’entreprises familiales qui ont réussi à force de travail et d’acharnement à bâtir des groupes à dimension internationale (Bigard, Madrange, Bongrain, Danone). Il existe également des coopératives agricoles qui ont développé des filières d’écoulement des produits de leurs coopérateurs. Précisons toutefois que de plus en plus de groupes internationaux prennent pied en France à l’occasion de rachats d’entreprises (Campo Frio-Smithfield, Nestlé, etc)

Si plus de 10 000 entreprises artisanales et industrielles se partagent le marché, il faut savoir que 70 % d’entre elles ont moins de 20 salariés et que seules 3000 entreprises emploient de 20 à 300 salariés. Une centaine d’entreprises emploient plus de 500 salariés et réalisent plus de 50 % du chiffre d’affaires global du secteur. Il est symptomatique de noter l’existence d’une centaine de groupes étrangers forts de plus de 500 salariés chacun.

Avec 150 milliards d’Euro de chiffre d’affaire, notre pays occupe la deuxième place derrière les Etats-Unis. L’agro-alimentaire est le premier secteur de l’économie hexagonale et européenne. Il concerne 400 000 emplois. Mais les résultats de ces entreprises sont faibles, leurs marges sont basses et ils subissent la domination forcée des 5 grands de la distribution. Seule consolation, la crise a le mérite de ramener l’attention des investisseurs sur ces entreprises qui continuent de progresser doucement sans baisse d’activité.

Les nouvelles habitudes alimentaires

Notre pays est attaché aux traditions culinaires en dépit des changements d’habitudes alimentaires. Les vieux clichés, allant de Louis de Funès dans L’aile ou la cuisse aux aventures de Tintin en Amérique en passant par la vache folle ou la grippe porcine sont tenaces. Il permettent ainsi de lutter contre les tentatives américaines d’imposer, par exemple, une crème de jambon sec à tartiner .

Toutefois les habitudes alimentaires ont considérablement changé dans notre pays et surtout en termes de temps consacré à la prise des repas.

Un repas sur cinq est pris hors du foyer, dure en moyenne vingt minutes et se limite à deux plats et une boisson non alcoolisée. Trente ans plus tôt, ce même repas durait une heure et midi, comprenait cinq plats et ne se concevait pas sans vin.

La restauration domestique n’est pas mieux lotie : beaucoup de femmes travaillent hors du foyer , consacrent moins de temps à la confection des repas, ont perdu un certain savoir-faire culinaire.

Enfin, le grignotage permanent et l’investissement maximum des industriels sur ce segment du grignotage contribuent grandement à favoriser l’obésité.

Un phénomène qui prend de l’ampleur

L’obésité touche de plus en plus de Français, victimes de l’adjonction de plus en plus importante de sel et de sucre dans les aliments, du grignotage, de la publicité télévisuelle incitatrice, de la composition des repas et bien sûr, de la génétique.

La sédentarisation est aussi un facteur aggravant. Les Français ne marchent plus guère et prennent leur voiture sous le moindre prétexte. La réalité de l’obésité dépend du milieu social, des générations, mais aussi des races et des régions où l’on enregistre un fort pourcentage de pauvreté. Depuis quelques années, l’Education Nationale a multiplié les campagnes contre le gras. mais les résultats ne sont pas probants…

Pour enrayer la mal-bouffe et obéir aux règles de conservation des aliments, les industries de l’alimentaire ont des contraintes lourdes. On en veut pour preuves les additifs autorisés ( au nombre de 640 ) pour les produits élaborés. Et que dire des jambons injectés à 40 % de saumure, des huiles et autres marinades destinées à rehausser le goût et la qualité apparente du produit. Quant aux produits directement importés des Etats-Unis ou faits selon les règles de l’Oncle Sam, les « mac-do » contiennent 51 % de viande et 49% de protéines végétales de soja. Les Nuggets sont composés de seulement 20% de viande…

La mondialisation frappe le domaine de l’alimentation sournoisement. Depuis des années, en effet, les grands groupes alimentaires transforment les coutumes locales alimentaires pour globaliser les productions et augmenter la profitabilité par le bras de levier des volumes.

Se pose enfin la question de savoir comment les services vétérinaires, les services de répression des fraudes et les douanes protègent le consommateur. La sécurité alimentaire est une des forces de notre industrie alimentaire.

La traçabilité devient une culture d’entreprise, un mode de management et d’organisation dans les entreprises. Quant à l’hygiène, elle fait partie intégrante du processus de fabrication au point que les ateliers d’élaboration en France sont plus propres que… les hôpitaux et les salles d’opérations.

Les tendances du marché alimentaire

Le marché de l’alimentaire est mature, aussi la concurrence est rude entre les différents acteurs pour gagner de nouvelles parts de marché. L’export ne permet pas une forte expansion et l’alimentation reste régionalisée grâce à une culture des régions et à cause de circuits courts générés par les produits frais qui ne peuvent, pour des raisons de sécurité alimentaire, faire l’objet de déplacements géographiques importants.

Parallèlement à tout cela, on assiste à un regroupement par métiers et spécialité des productions en particulier dans le domaine de la viande à une dé-saisonnalisation regrettable des consommations . Dans le même temps, les consommateurs sont appâtés par les plats tout préparés, l’offre de plus en plus importante de sauces toutes faites et de salades épluchées. La consommation de viande de bœuf et de porc est en baisse constante au profit de la volaille, réputée moins grasse, moins chère, plus légère et sans les interdits religieux juifs et musulmans.

Enfin, la montée en puissance du phénomène Hallal a de très importantes répercussions sur le secteur alimentaire national

La percée du hallal

Il y a plus de trente ans, un fabricant français, invente le premier piège rituel permettant de tuer industriellement les bovins en respectant le rite halal ou kasher. Aujourd’hui, ce marché qui ne concerne pas uniquement la viande, mais aussi les plats cuisinés, les ingrédients, pâtisseries et autres préparations culinaires représente jusqu’à vingt pour cent du marché dans certains secteurs. Ce marché représente un potentiel de 5 milliards et des publicités télévisuelles importantes.

Les rites d’abattage clandestin effectués dans des conditions déplorables d’hygiène, demeurent. Pourtant Les industriels de l’abattage, volaillers et autres groupes Bigard-Socopa-Charal se sont engouffrés dans la brèche et consacrent parfois plus de 25 % de leur activé (Société Elivia-Villers-Bocage) à l’abattage rituel musulman. La société Charal Metz consacre cent pour cent de son activité au hallal, tout comme Bigard à Quimperlé et Soccopa dans la Sarthe.

Phénomène identique dans le monde de la volaille, la société Délice Mondial ne produisant que du hallal à Plouay, dans le Morbilhan profond !

Le marché hallal est entre les mains de 40 sociétés de distribution qui se partagent le marché grâce à l’agrément de l’une des trois grandes mosquées de Paris, Evry ou Lyon. Ces dernières n’oublient pas le sens du petit commerce, contestant certains agréments délivrés à telle ou telle société. Ces sociétés délivrent le certificat de conformité aux rites religieux juifs ou musulmans, prélèvent une taxe qui servira en partie à rémunérer la mosquée ou le consistoire, l’administration religieuse musulmane étant organisée par décret du ministère de l’intérieur sur le modèle de la religion juive.

La fabrication des produits halal (ou kasher) obéit à des règles contraignantes précises relatives notamment au non mélange avec des produits non certifiés. L’abattage rituel est réalisé dans des conditions horribles, la bête saignée sans anesthésie préalable, ce qui a d’ailleurs des conséquences sur l’apparition d’hématomes dans les muscles du dos de la bête et qui nuisent ainsi à la qualité de la viande. En dépit des promesses faites à l’organisation de défense des animaux et à Brigitte Bardot par les autorités, rien n’est fait pour mettre fin à l’exception musulmane et juive de l’abattage rituel.

Il faut dire que la marché rituel est particulièrement juteux pour l’industriel qui vend le kilo de viande 1 € plus cher que la viande non sacrifiée rituellement. Pour leur part, l’inspecteur de la mosquée et le sacrificateur sont payés par la mosquée. Enfin, plus de cinquante pour cent des bêtes abattues selon le rite juif rejoignent le circuit laïc, car non acceptées par le sacrificateur. Enfin, seule la partie avant des animaux étant considéré comme noble par les musulmans, notre boucher de quartier écoule ainsi des trains arrière de viande la viande sacrifiée selon le rituel halal.

Les projets de grand laboratoire halal ont échoué à la fin des années 90 alors que Pasqua était ministre de l’Intérieur et que l’Arabie saoudite était au premier rang des investisseurs. Les abattoirs français ont donc bénéficié de la manne musulmane… et écoulé dans les circuits non religieux de la distribution des produits abattus ou préparés selon le rite halal ou kasher. En effet pour limiter les refus des inspecteurs juifs ou musulmans, toute la production suit souvent le même traitement… rituel même lorsqu’elle est destiné à la consommation classique.

Source : Polémia.

vu sur http://fr.novopress.info/64900/obesite-banalisation-du-gout-et-hallalisation/


Si c’est lui qui le dit…

Le voilà qui joue l’apaisement, le père Boubakeur… Quoique c’est son intérêt… Mais ce qu’il annonce, ce n’est pas trop compatible avec les principes de la « religion » du prophète, qui est d’islamiser le monde Occidental… Bon; après, c’est lui qui voit…

FDF

Dalil Boubakeur : “On ne construit pas une mosquée à Ground Zero comme ça”.


17/08/10
Le soutien apporté par Obama à la construction d’une mosquée, à proximité du site des attentats du 11 septembre 2001, provoque une vive polémique aux Etats-Unis. Le recteur de la Grande Mosquée de Paris, comprend l’émotion que suscite le projet parmi les Américains.

France-Soir – Quel regard portez-vous sur ce projet de mosquée à Ground Zero ?
Dalil Boubakeur – Cette affaire ravive les affres dans lesquels était plongée l’Amérique au moment du 11 septembre 2001. A cause du terrorisme, l’islam était devenu, pour elle, potentiellement dangereux. Cet attentat nous a coûté cher. Il a été commis au détriment de l’islam modéré.
F.-S. 68 % des Américains se disent opposés à ce projet…
D. B. Cela touche à un point sensible de l’Amérique. C’est un événement qui a suscité beaucoup de douleurs, une plaie qui demeure ouverte. On peut comprendre que la construction d’un lieu de culte musulman à cet endroit puisse rencontrer des réactions d’hostilités. Il y a des lieux symboliques qui réveillent la mémoire, qu’on le veuille ou non. Et il n’est pas très bon de réveiller les souvenirs. Rappelez-vous l’histoire du couvent d’Auschwitz, c’est un peu la même chose.

F.-S. Vous comprenez donc cette opposition.
D. B. On ne construit pas une mosquée comme ça, dans un site aussi symbolique. Il faut qu’elle ait une fonction d’apaisement, qu’il s’agisse d’un lieu de réconciliation, pour justifier qu’elle soit présente, là. Si cet édifice religieux peut apaiser la sensibilité des Américains, alors c’est bien. Si c’est le contraire, il apparaîtra comme une provocation. Cela doit s’accompagner d’une explication formelle. Apparemment, les promoteurs de cette mosquée n’ont pas assez communiqué sur le sens de ce projet. Peut-être pourrait-on trouver un autre emplacement dans Manhattan ?

F.-S. Obama lui-même semble désormais reculer sur la question.
D. B. Oui, Obama a fait un pas en arrière. Il dit maintenant qu’il ne parlait pas « du bien-fondé » de l’installation d’une mosquée à Ground Zero, mais, de façon générale, « du droit » à construire une mosquée. Le recul d’Obama s’explique sans doute par le fait qu’il tient compte de la résonance de l’opinion américaine. D’un autre côté, la bonne volonté du président américain, qui a des sympathies pour l’islam, ne peut être remise en cause. Ces derniers mois, il a insufflé une marque nouvelle à la politique classique américaine, celle de ses prédécesseurs, celle de Bush notamment.

Source: http://tinyurl.com/2cd33ur

Un appel pour que la France rembourse à Haïti la dette de son indépendance…

Là, je trouve qu’ils ne manquent pas d’air, les mecs. Remarquez: qui ne tente rien, n’a rien… Encore une population qui est française quand ça l’arrange…

FDF

16.08.10 | 13h40

Dans une lettre ouverte au président Nicolas Sarkozy, publiée lundi 16 août dans le quotidien Libération, un groupe d’intellectuels et de responsables politiques appelle la France à rembourser à Haïti 17 milliards d’euros, une estimation des sommes qui furent exigées par Paris en échange de l’indépendance, obtenue en 1804, de son ancienne colonie. Cet appel est notamment signé par le linguiste américain Noam Chomsky, le philosophe français Etienne Balibar, ou encore les eurodéputés écologistes Daniel Cohn-Bendit et Eva Joly.

« Considérant les besoins financiers criants de ce pays dévasté par le terrible séisme du 12 janvier, nous vous pressons donc, monsieur le président, de restituer à Haïti, la première république noire de l’histoire, la dette historique de son indépendance », écrivent les signataires.

« UNE DETTE ILLÉGITIME »

Ils rappellent qu’après l’indépendance d’Haïti, le roi Charles X (1824-1830) imposa aux Haïtiens de payer à la France 90 millions de francs or, sous la menace d’une invasion militaire et d’une restauration de l’esclavage. « Cette indemnité a fait ployer des générations de Haïtiens sous le poids d’une dette illégitime, dette que la nation haïtienne n’a fini de payer qu’en 1947 », ajoutent-ils.

Les signataires se présentent comme un « groupe de soutien au comité pour le remboursement immédiat des milliards envolés » d’Haïti. Ce comité est à l’origine de la mise en ligne, le 14 juillet dernier, d’une parodie du site Internet du ministère des affaires étrangères français, sur laquelle était faussement annoncé un remboursement de ces sommes. Le site a également mis en ligne lundi le texte de la pétition ainsi que la liste de la centaine de signataires.


Vu sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2010/08/16/un-appel-pour-que-la-france-rembourse-a-haiti-la-dette-de-son-independance_1399330_3222.html#xtor=AL-32280184

11 septembre 2010: 3° Journée Internationale Contre le Terrorisme.

Ile de France

“Artistes et citoyens ensemble contre le terrorisme” à l’Auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris et première marche « Justice pour les victimes du terrorisme »

En région : nous annoncerons au fur et à mesure toutes les initiatives et les soutiens des municipalités qui nous seront communiqués.La mobilisation contre le terrorisme, contre les talibans, contre les concessions aux terroristes qui commence à sourdre au Pakistan nous donne la responsabilité de dire NON AU TERRORISME de plus en plus fort. En Ile de France 11 septembre de 16 h à 18 h 30

“Artistes et citoyens ensemble contre le terrorisme” à l’Auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris *Sous le parrainage de la Ville de Paris.

Avec la chanteuse Marlène Samoun accompagnée de son guitariste Pascal Storch

les musiciennes classiques

Mathilde Febrer

Mélisande et Annie Ouaknine

qui interpréteront l’Hymne aux Victimes du Terrorisme

« Por Ellos » composé par Manuel Carrasco

Lecture de textes par les comédiens Nathalie Roussel et Eric Pierrot

Avec la participation deFodé SyllaRichard Rossin, Diagne Chanel, Malka Marcovich, Bertrand Lebeauet de nombreux témoignages. Réservation strictement obligatoire

Marche “Justice pour les victimes du terrorisme”

avec Fodé Sylla, Parrain du Collectif Contre le Terrorisme

départ à 19 h

(le parcours parisien sera précisé ultérieurement)

Des Pakistanais ont trouvé le courage de se dresser contre le terrorisme, après les massacres d’Ahmadis et de Soufis. Nous devrons avoir celui de marcher pour que justice soit rendue à toutes les victimes du terrorisme.


Source: http://tinyurl.com/27gtz7b

Les combattants du djihad font de l’humanitaire au Pakistan…

L’islam ne recule devant rien pour ne montrer qu’un côté faussé de l’idéologie qu’il répand… La preuve, au Pakistan, les intégristes donnent dans l’humanitaire. Ce n’est pourtant pas le genre de la maison…

Malins, les types; qui pourrait leur reprocher ça?

FDF

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Aman Ullah ne décolère pas. Il fait partie des 20 millions de déplacés pakistanais, suite aux inondations qui touchent le pays. Depuis seize jours, il loge avec sa femme et ses quatre enfants sous une tente, au milieu d’un camp installé dans une école publique de Nowshera, près de Peshawar. Il exhibe ce qu’il a reçu des autorités pour le déjeuner : un plat de riz. « Les ONG et la population locale donnent des vivres. Le problème, c’est que les autorités détournent l’aide », accuse-t-il, exaspéré. Et il raconte : « Hier, un homme est venu à bord d’un 4 x 4 rempli de dattes, de glace, d’eau, de pain et de conserves. À peine arrivé, la police a saisi sa voiture. Quelques heures plus tard, nous n’avons reçu que du pain. Les policiers avaient pris tout le reste. »

Cette corruption discrédite les autorités civiles. Elle renforce aussi la popularité des organisations humanitaires islamistes liées à des groupes terroristes et qui sont plus efficaces. Parmi elles, le Falah-e-Insanyat. Ce mouvement est la branche caritative du Lashkar-e-Taiba, un groupe terroriste pakistanais responsable des attentats de Bombay, qui ont tué 186 personnes en novembre 2008.

Toutes les zones sinistrées quadrillées

À quelques kilomètres du camp de Nowshera, au bord d’une route, un docteur du Falah ausculte ses patients : des enfants, des hommes et des femmes malades de la diarrhée ou de la gastro-entérite. Derrière lui, dans un garage de trois mètres sur trois, un humanitaire, vêtu d’un gilet jaune fluo marqué du nom de l’organisation, donne des médicaments sous le regard d’Abdul Rauf, le chef du mouvement, venu inspecter le travail de ses humanitaires : « Nous sommes présents dans toutes les zones sinistrées du pays, distribuons de la nourriture à 40.000 personnes par jour et nos médecins ont examiné 123.000 malades depuis trois semaines. Nous avons 37 ambulances rien qu’à Nowshera. »

L’aide du Falah reste limitée par rapport à d’autres ONG qui logent des milliers de personnes dans des écoles et sous des tentes. À Nowshera, son centre de distribution de nourriture n’est qu’une toile suspendue au-dessus d’un terrain boueux. La nourriture est entreposée dans une tente. Peu importe. Les inondations sont une occasion de vanter les actions du mouvement et de recruter. « Beaucoup de volontaires nous ont rejoints dans les villes où ils collectent des fonds pour nous », se réjouit Abdul Rauf.

Derrière lui, clouée sur un mur, une gigantesque bannière aux allures de panneau publicitaire énumère les actions du mouvement. Murtaza, un père de famille qui a fui les inondations, observe la pancarte. Il est venu consulter un de leurs médecins pour son bébé qui souffre de problèmes de peau à cause de la chaleur. « Je ne les connaissais pas avant. Ici, nous avons tout perdu alors toute aide est la bienvenue. Ce que le Falah accomplit est bon aux yeux d’Allah. »

Source: http://tinyurl.com/264p37b

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