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Rapporté de mes vacances en Allemagne. Ahhhhhhhhhh, l’Allemagne, ses paysages, sa modernité, son climat, ses piscines, ses naïades, sa rigueur… Non, pas sa rigueur…
FDF
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Y’a pas à dire; ça dénature le paysage…
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FDF
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Y’a pas à dire; ça dénature le paysage…
Ca, je n’admets pas. Et j’espère que beaucoup se rallient à mon avis. Que ce soit « l’oeuvre » d’une sous-merde ou de quelqu’un d’autre, je trouve ça impardonnable, et je pèse mes mots. Dans cette affaire, le braqueur en question n’a droit à aucune excuse, aucun prétexte et si j’étais à la place de la Justice, n’aurait droit à aucun avocat. Ce fumier a commis un acte des plus odieux qu’il soit ! Si la police arrive à mettre la main dessus, merci de me prévenir, j’irai l’accompagner jusqu’à sa prison. Mais vu dans l’état où cette affaire m’a mis, je pense qu’il n’aura pas besoin d’y aller… Fumier, va ! Ordure ! Menacer de cette façon une femme enceinte ne mérite qu’un seul jugemment, si vous voyez ce que je veux dire… Ignoble, inconcevable, barbare, les mots me manquent… C’est dans des cas comme ça qu’il faut intervenir, monsieur Sarkozy. Pour l’exemple.
FDF
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« Une femme enceinte a été menacée tôt lundi matin à son domicile à Porcheville (Yvelines) au cours d’un braquage, a-t-on appris de source judiciaire.
Vers 6H00, un commerçant qui sortait de chez lui a été agressé par trois individus cagoulés, qui l’ont aspergé de gaz lacrymogène et frappé avant de s’introduire à l’intérieur de son domicile, selon la même source.
L’un des braqueurs est entré dans la chambre du couple où se trouvait l’épouse du commerçant, enceinte, et il a pointé son arme sur le ventre de celle-ci afin de se faire remettre la recette, a ajouté la source judiciaire.
Les trois malfaiteurs ont pris la fuite avec un butin d’environ 3.000 euros, dont des chèques. »
Source: http://tinyurl.com/2u45dh3
FDF
Perpignan serait une poudrière où règne l’insécurité. Voilà ce que laisse penser un article fleuve publié dans le Figaro Magazine ce week-end et disponible sur le site internet du quotidien. Alors que Nicolas Sarkozy a annoncé en fin de semaine dernière une batterie de mesures pour lutter contre la délinquance, l’hebdomadaire revient sur plusieurs faits divers qui ont secoué la ville ces derniers mois, et dont Midi Libre s’est fait l’échos.
Les témoignages recueillis sont particulièrement forts. Notamment celui de Myriam P., une habitante du centre-ville, qui, selon le magazine, « se souvient des cris dans la rue, des insultes qui montaient, de la horde qui gonflait, se massait sous ses fenêtres, des projections// <![CDATA[// <![CDATA[// de pierres et de carrelages qui menaçaient de tomber dans la chambre de sa fille endormie et bientôt des coups de boutoir dans sa porte, après qu’une quinzaine de jeunes eurent défoncé le portail de son immeuble ».
Celui de Katy également, dont le compagnon a été agressé au poing américain et à la barre de fer par une quinzaine de jeunes alors qu’il voulait porter secours à des « gamins » tombés dans un « guet-apens ». « Longtemps, la France a été une terre d’asile. Aujourd’hui, c’est à notre tour de nous réfugier, parce que c’est trop tard et que la situation nous a échappé », estime la jeune femme de 35 ans dans l’hebdomadaire.
Le Figaro Magazine donne également la parole à Latifa, une Algérienne retraitée disant avoir honte de « ces Arabes »« ces Gitans » qui, selon elle imposent aux Perpignanais un « quasi couvre-feu ».
Le journaliste qui a signé l’enquête, Raphaël Stainville, rappelle aussi que « dans certains quartiers, comme le Bas-Vernet, les médecins ne se déplacent plus en urgence le soir et vous dirigent directement vers l’hôpital ».
et ces
Cliquez ici pour lire l’article sur LeFigaro.fr
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L’inévitable retour de bâton…C’était prévisible. Sarkö paie maintenant sa préférence non-nationale qu’il a imposée et le laxisme qu’il a su faire exercer…
FDF
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Communiqué de presse de Marine Le Pen, vice-présidente exécutive du Front National :
Sarkozy : un amnésique qui fait de la gonflette…
« Pris de vertige devant la dégradation d’une situation sécuritaire qu’il ne maîtrise plus, le chef de l’État n’est plus à une déclaration de contradiction près. Nous promettant une nouvelle « nouvelle loi » pour durcir le dispositif, celui qui a supprimé le renvoi dans leur pays d’origine des délinquants, nous propose d’envisager maintenant d’étendre les déchéances de nationalité. De qui se moque-t-on ?
Les propos du Président de la République qui procède d’une nouvelle gesticulation estivale, n’ont qu’un mérite, celui de confirmer officiellement le caractère criminogène de certaines immigrations, vérité pour laquelle le Front national est persécuté depuis trois décennies.
De l’action pas de la communication législative.
Si la déchéance de nationalité s’impose depuis dès années pour ceux qui ont abusé de notre hospitalité, et à supposer qu’elle soit réellement appliquée par les professionnels de la communication législative qui paradent au gouvernement, encore faudrait-il cesser de distribuer des cartes d’identité française comme c’est le cas aujourd’hui dans toutes les préfectures devenues de véritables usines à Français de papier.
Marine Le Pen, vice présidente du Front national, somme M. Sarkozy de tirer toutes les conséquences de ses déclarations en rétablissant l’expulsion systématique, effective et définitive des délinquants étrangers, en décrétant un moratoire immédiat sur l’immigration et en réformant profondément notre code de la nationalité. »
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L’islamisation sans fin… Allez, on va encore pleurer avec eux… En fait, je pense qu’il s’agit d’imams-surveillants. Ils doivent être là pour contrôler si tout se passe bien au niveau de l’islamisation de nos hôpitaux et du respect de la pratique (prières, repas halal, accouchements réalisés QUE par des femmes, etc…) ainsi que l’application stricte de la charia… Un pas de plus est fait. Mais va t’on les laisser faire encore longtemps? Nous sommes chez nous; nous les tolérons, mais eux, la tolérance, ils ne connaissent pas. Le respect des autres religions non plus d’ailleurs… Il est temps de mettre un frein.
FDF
« Après les prisons et l’armée, des aumôniers musulmans font leur entrée dans les hôpitaux français. En mars 2010, un premier groupe a officiellement pris ses fonctions dans certains hôpitaux de la région parisienne, où un nombre croissant de patients de confession musulmane réclament la présence d’une autorité religieuse à leurs côtés.
Bien qu’il repose sur le principe de laïcité depuis la loi de 1905, le droit français garantit à chaque citoyen le droit d’exercer sa religion dans l’enceinte d’institutions publiques et prévoit qu’une partie du budget de ces institutions puisse être allouée à la rémunération d’aumôniers par exemple. Selon le même principe, la « Charte de la personne hospitalisée », édictée par le ministère de la Santé, préconise le respect des préceptes de la religion du patient et lui donne le droit de pratiquer son culte à l’hôpital, que ce soit pour l’alimentation ou les rituels mortuaires.
Les aumôniers musulmans placés dans les hôpitaux ont tous été formés pendant un an à l’Institut de formation des imams de la Grande Mosquée de Paris. Outre les cours de théologie, ils ont également pu suivre des cours de droit, d’histoire de France et d’économie à l’Institut catholique de Paris. Objectif : mieux appréhender la gestion d’un lieu de culte ou la recherche de financement publique.
« Nous ne sommes pas des missionnaires »
Si, aujourd’hui, les aumôniers musulmans ont davantage accès aux hôpitaux, c’est grâce aux imams eux-mêmes qui ont écrit au président français, Nicolas Sarkozy, ainsi qu’à nombre de ministères et d’hôpitaux afin que des postes puissent être créés pour eux. Pour Abdelkader Khali, aumônier à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière « les hôpitaux grouillent de malades musulmans car il leur est encore difficile de s’orienter vers des cabinets particuliers. Avant l’arrivée des imams, les patients se retrouvaient souvent perdus sur les questions qui touchent à la foi, à leur santé et à leur religion. Ils ont souvent dû appeler la Grande Mosquée de Paris pour obtenir des réponses, mais la mosquée n’était pas toujours à même de répondre à tous les appels. »
À la Pitié-Salpêtrière, dans le XIIIe arrondissement de Paris, les deux aumôniers jouent le même rôle que les autres représentants religieux, catholiques, protestants ou juifs, celui d’intermédiaire entre les patients et le personnel hospitalier. Ils sont à l’écoute des patients et leur apportent des réponses à certaines questions religieuses. Mais c’est au patient d’en manifester le souhait et non l’inverse.
« Nous ne sommes pas là en tant que missionnaires ou pour répandre l’islam dans l’hôpital, et même si nous le voulions, le droit français, bâti sur le principe de laïcité, nous en empêche, explique Abbas Abd el-Nour. On fait appel à nous pour prodiguer les soins selon le rite musulman, ou pour prier avec la famille d’un patient décédé. Nous intervenons également en cas de désaccords entre les familles et le personnel hospitalier pour apaiser la situation. »
Le ramadan chez les malades
La mission de ces aumôniers n’est cependant pas sans difficultés au quotidien. « Depuis que nous sommes à l’hôpital, nous n’avons pas encore rencontré de problème grave, témoigne Abbas Abd el-Nour. Certains aumôniers bénévoles qui travaillent, ici à la Salpêtrière, ou ailleurs, ont rencontré quelques difficultés. Comme ce mari qui a refusé que son épouse, qui venait d’accoucher à l’hôpital Beaujon, soit examinée par un médecin homme ou qu’elle reste seule dans sa chambre. » Dans ces cas précis, c’est par le dialogue que les aumôniers parviennent à conseiller les patients ou leurs proches. Mais l’entêtement de certains nécessite parfois de faire appliquer de force le règlement de l’hôpital.
Parfois, des personnes souffrant de maladies graves, de problèmes cardiaques ou d’insuffisance rénale refusent parfois de se conformer à un traitement régulier. C’est ce dont témoigne encore Abbas al-Nouri : « Certains patients, notamment les plus âgés, refusent totalement l’idée de ne pas faire le ramadan. Ils disent qu’ils sont à l’article de la mort et qu’ils ont peur de se retrouver devant leur Dieu en n’ayant pas respecté le jeûne. Devant ce genre de situation, certains médecins se montrent compréhensifs et essaient de modifier l’heure de prise des médicaments selon celle de la rupture du jeûne, mais ce n’est pas toujours possible selon l’état de santé des patients. »
Don d’organe et crémation, que dit l’islam ?
Ce sont toutefois les questions morales qui représentent pour ces aumôniers la plus grande difficulté. « Des patients nous ont demandé le point de vue de l’islam sur le don d’organe, explique Abdelkader Khali. Nous ne donnons pas de réponse précise car la question est très sensible, et c’est au patient ou à sa famille de prendre la décision. Tout ce que nous pouvons faire, c’est les aider à réfléchir au travers de textes religieux. El l’aumônier d’ajouter : « Il y a également le cas de patients qui, souffrant de malformations cardiaques, ont besoin de valves fabriquées à base de tissus d’animaux et se posent la question de savoir si l’islam le permet. »
L’une des raisons qui a poussé les aumôniers musulmans à s’investir en milieu hospitalier est le fait que des patients décédés ont subi une crémation. Une pratique que l’islam interdit. « Dans le cas ou un malade décède et qu’il n’a pas de famille, ou si sa famille n’a pas les moyens de lui offrir une sépulture, dont la concession peut s’élever à 3 000 euros, la mairie prend la décision soit de lui faire subir une crémation, soit de l’enterrer dans une fosse commune où son corps restera cinq ans avant d’être brûlé, explique Abdelkader Khali. Lorsque nous sommes confrontés à ce cas de figure, nous demandons l’aide financière des fidèles pour pouvoir offrir des tombes aux musulmans dans le besoin. »
Aujourd’hui à Paris, une dizaine d’aumôniers musulmans sont rémunérés par les hôpitaux. Parmi eux, des femmes qui ont pour tâche notamment de laver les corps des patientes décédées. Dans les hôpitaux parisiens et en province interviennent aussi des aumôniers bénévoles dont le travail n’est pas toujours connu du public. Aussi n’est-il pas rare de voir certains d’entre eux sur les marchés très fréquentés de la communauté musulmane en train de distribuer des tracts promouvant leurs activités. »
Source: http://tinyurl.com/3y4jrlv
française : des rations de combat halal au menu
Posté par Novopress dans France, Société le 2 août 2010
02/08/2010
PARIS (NOVOpress France)
Signe des temps, après les rations « sans porc », voici les rations de combat individuelles « halal » à destination des troupes, non pas d’une quelconque république islamique, mais bien de l’armée française.
Les rations halal ont discrètement fait leur apparition depuis quelques mois, systématiquement distribuées au milieu des rations traditionnelles. Après les cantines scolaires halal, les rayonnages halal dans
les supermarchés et supérettes, les « fast food
» et Quick halal, c’est donc à l’armée de s’adapter à cette rapide évolution qui touche désormais tous les échelons de notre société. Une évolution qui amène à se poser cette question, qui ne serait pas sans conséquence si l’on devait faire appel à l’armée pour mater les émeutes dans les banlieues : quel est désormais le pourcentage de soldats français de confession musulmane ?
Vous êtes à juste titre scandalisés alors faites-le savoir à qui de droit.
Une ration estampillée halal veut dire qu’elle a été agréée moyennant finance par des officines islamiques donc nos soldats en opération non seulement ont de la nourriture rituelle à leur disposition mais l’armée subventionne ainsi le culte musulman, ceci en contradiction absolue avec la loi de 1905.
Qui sont les responsables? Le ministre des Armées sans oublier le donneur d’ordre Nicolas Sarkozy.
Adoptez la nouvelle façon de voter http://directdemocratie.wordpress.com
Imprimer cet article en 2 exemplaires en cliquant sur l’imprimante en haut de page à gauche et l’envoyer
au président de la République (sans affranchissement) à l’adresse qui se trouve en bas de cette page:http://www.elysee.fr/ecrire/
et au ministre des armées (affranchir ce courrier) dont l’adresse se trouve à cette page:
Vous pouvez aussi envoyer des courriels avec le message de votre choix et si vous voulez préserver votre anonymat utilisez la messagerie anonyme: http://anonymouse.org/anonemail.html
Un témoignage vu en commentaire sur le site Le salon Beige qui en dit long sur le respect de l’armée envers les non-musulmans:
Les rations, sur le terrain, sont livrées aux sections par cartons de 12, si ma mémoire est bonne. Un menu par carton. Distribué vite fait bien fait en bas du camion, et c’est parti pour 3 jours (on prend rarement une seule ration d’un coup). Pas le temps de faire la fine bouche et de faire le tour des camarades pour échanger à son goût.
Donc réponse : non, il n’y a pas de choix du menu. Quand vous avez un musulman dans votre section (il y en avait 2 dans la mienne), vous percevez systématiquement des rations sans porc. On peut supposer que ce sera la même chose pour les rations hallal.
Source: l’article du 2 Août 2010 du Salon Beige (http://www.lesalonbeige.blogs.com/)intitulé:
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Un évidence… Sarközy a toujours procédé ainsi. C’est comme ça qu’il a grugé les français aux présidentielles. Mais le peuple semble avoir enfin ouvert les yeux. On en reparle dans deux ans?
FDF
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03/08/2010
REUTERS/Pascal Rossignol
Les mesures sécuritaires du chef de l’Etat, un coup de com’? C’est, semble-t-il, l’avis de Marine le Pen, candidate à la présidence du Front national. Interrogée sur France Info, Marine Le Pen a affirmé que « les Français ont bien compris que depuis 2007 Nicolas Sarkozy chante en play back » en reprenant des propositions du FN, mais qu' »en réalité rien n’est fait ».
Pour la responsable FN, « la première chose à faire est d’arrêter de distribuer la nationalité française à tours de bras ». « Quand vous avez votre permis de conduire, jusqu’à nouvel ordre, vous ne l’avez pas à vie: on vous retire des points, vous pouvez perdre votre permis de conduire, c’est exactement la même chose », a-t-elle dit.
Modifier le code de la nationalité.
Selon Marine le Pen, l’intention de Nicolas Sarkozy de déchoir de la nationalité française « toute personne d’origine étrangère qui aurait volontairement porté atteinte à la vie d’une personne dépositaire de l’autorité publique » relève de l’évidence : « c’est quand même la moindre des choses », assène-t-elle.
D’après elle, « la vraie seule réforme possible, c’est la modification du code de la nationalité » : « Il faut changer les règles d’acquisition de la nationalité pour les soumettre à des conditions qui soient strictes et précises », a-t-elle expliqué, se disant en faveur de la « possibilité de déchoir de cette nationalité pendant un temps de probation ceux qui auraient abusé de notre hospitalité.
Délinquance et immigration.
Pour la responsable FN, les cartes de la délinquance et de l’immigration « se superposent de manière quasiment totale », « les Français le savent depuis 30 ans, il n’y a que Nicolas Sarkozy et ses amis du Parti socialiste qui continuent à nier cette situation ».
Elle a décrit « une situation de pré-guerre civile dans toute une série de quartiers » et dénoncé la suppression de « 12 000 policiers et gendarmes depuis 2002″. D’où, selon elle, la nécessité d' »appliquer les lois » actuelles et de « réarmer moralement la police et la gendarmerie ».
Source: http://tinyurl.com/2wartjj
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Tiens, ça me donne une idée, pour une prochaine manif anti islamisation: inviter les les citoyens à défiler avec leurs chiens parce que les «musulmans haïssent les chiens».
FDF
02 août 2010
L’immeuble (au centre) où serait construite la Cordoba House, un centre communautaire musulman comprenant théâtre, piscine, gymnase et centre de prières. Cette ancienne usine se situe à moins de deux coins de rue de Ground Zero.
Photo: AFP
New York
La publicité télévisée s’ouvre sur les mots «l’audace du djihad» écrits en lettres blanches sur fond noir. Suivent les images des avions s’encastrant dans le World Trade Center et de corps tombant des tours. Dans le même temps, une voix hors champ se fait entendre.
«Le 11 septembre, ils nous ont déclaré la guerre. Et pour célébrer le meurtre de 3 000 Américains, ils veulent construire une mosquée monstrueuse de 13 étages à Ground Zero. Cette mosquée est un monument à leur victoire. Et une invitation à d’autres», dit le narrateur sur un ton menaçant.
À la mi-juillet, deux chaînes de télévision américaines, CBS et NBC, ont refusé de diffuser cette pub, car elles jugeaient inacceptable l’amalgame entre les responsables des attentats contre le WTC et les promoteurs d’un centre communautaire musulman comprenant théâtre, piscine, gymnase et salle de prière, dont l’emplacement se trouve à deux blocs de Ground Zero.
Conçue par le National Republican Trust PAC, une organisation vouée à «la perpétuation de l’héritage de Ronald Reagan», la publicité controversée illustre la propension à l’islamophobie de plusieurs opposants à un projet qu’ils appellent abusivement la «mosquée de Ground Zero».
Il faut préciser que le projet de l’imam new-yorkais Faisal Abdul Rauf, reconnu pour son travail en faveur de la coexistence des religions, n’est pas le seul à susciter des réactions islamophobes ces jours-ci aux États-Unis. La construction de centres islamiques ou de mosquées dans certaines municipalités, dont Murfreesboro (Tennessee) et Temecula (Californie), suscite également une vive opposition qui confine parfois à l’intolérance ou à la haine.
«Ils détruisent la communauté. Ils détruisent le pays», a déclaré vendredi un des participants à une manifestation anti-mosquée à Temecula dont les organisateurs avaient encouragé les citoyens à défiler avec leurs chiens parce que les «musulmans haïssent les chiens».
Républicains
Le projet new-yorkais est cependant celui qui domine l’attention, non seulement à New York, mais également dans le reste des États-Unis. Ne craignant pas d’être associés à l’islamophobie ambiante ou de lui donner un vernis de respectabilité, plusieurs politiciens républicains, dont deux candidats potentiels à la Maison-Blanche, Sarah Palin et Newt Gingrich, ont exprimé récemment leur opposition à la construction du centre communautaire musulman.
L’ex-candidate à la vice-présidence a ainsi appelé les «musulmans pacifistes» à «répudier» un projet dont elle a assimilé la réalisation à un acte violent. «Il poignarde les coeurs», a-t-elle écrit sur son compte Twitter. De son côté, l’ex-président de la Chambre des représentants a laissé entendre que les musulmans auront le droit de construire une mosquée près de Ground Zero lorsque les juifs ou les chrétiens pourront construire des églises et des synagogues en Arabie Saoudite.
Sarah Palin et Newt Gingrich ne nagent pas à contre-courant. À New York même, une majorité de citoyens sont opposés à «la mosquée de Ground Zero», selon au moins un sondage. Le candidat républicain au poste de gouverneur de l’État, Rick Lazio, en a pris bonne note et a mis au défi son adversaire candidat démocrate, Andrew Cuomo, de participer à un débat portant uniquement sur ce projet appelé Cordoba House.
Même en Caroline-du-Nord, un candidat républicain à la Chambre des représentants a admis obtenir un vif succès dans sa circonscription rurale grâce à ses dénonciations d’un projet qui a reçu l’appui de tous les responsables new-yorkais et de plusieurs religieux juifs et chrétiens. Après avoir évoqué l’idée d’une «mosquée» près de Ground Zero devant une foule de fermiers et d’anciens combattants, il a confié à un journaliste du New York Times : «La réaction a été unanime. Il y avait du dégoût et du dédain pour cette idée.»
Tournure inattendue.
Le débat autour de la Cordoba House a pris une tournure inattendue vendredi lorsque la Ligue antidiffamation (ADL), une des plus importantes organisations de lutte contre l’antisémitisme et le racisme aux États-Unis, a annoncé son opposition au projet. Tout en dénonçant l’intolérance de certains opposants, l’ADL est arrivée à la même conclusion qu’eux?: «Construire un centre islamique à l’ombre du World Trade Center» est une mauvaise idée.
Mais qu’en est-il des droits des citoyens musulmans?? Selon le directeur de l’ADL, Abraham Fox, ces droits ne sauraient avoir la prépondérance sur la douleur des proches des victimes du 11 septembre, dont plusieurs sont opposés au projet de l’imam Rauf. C’est un peu ce que disait Sarah Palin en comparant la Cordoba House à un coup de poignard dans le coeur.
Source: http://tinyurl.com/38vmwqg
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Lyriade fait de la pub pour des bandes dessinées; sur l’Algérie, pour les mômes… En juillet, on commémorait les massacres d’Oran. Voir: http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=19620705
Ce n’est pas interdit de faire du commerce. Mais pas avec le sang des autres… Que penser: préférence non-nationale ou devoir de mémoire? En tout cas, ce n’est pas à nos enfants qu’il faut rappeler ces atrocités. C’est à ceux qui les ont commises. Tout faux, Lyriade, tout faux!
FDF
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Tout simplement honteux! C’est dans tous les cas de la propagande destinée à nos enfants. Inadmissible!
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Je pense particulièrement à ce que notre président appelle « la France d’en bas »: celle qui n’a plus les moyens de partir en vacances, de se nourrir, de survivre… Et à qui on demande encore de se serrer la ceinture…
FDF
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Un avion de ligne de série a été transformé en avion présidentiel réservé au chef d’État et à sa suite (ici, une version Air France de l’appareil)
L’Airbus A330 présidentiel devrait effectuer mercredi son premier vol de réception après travaux. L’avion, en chantier depuis mai 2009 chez Sabena Technics (ex-Sogerma) à Bordeaux, doit, en principe, être livré à l’Élysée en octobre prochain. Rarement un avion a fait autant fantasmer, voire délirer, sur ses emménagements. C’est en fait un avion de ligne de série qui est transformé en avion présidentiel réservé au chef d’État et à sa suite. Le Point.fr vous en détaille les coins et recoins.
LE PROFIL DU PASSAGER SARKOZY PASSÉ AU CRIBLE.
Un minimum d’étude marketing à partir du profil et des demandes de son client s’est imposé au maître d’oeuvre, la Direction générale pour l’armement (DGA), qui relève du ministère de la Défense. Nicolas Sarkozy voyage beaucoup, ce qui n’était pas le cas de ses prédécesseurs dont il a hérité de la flotte d’avions. Il se déplace en métropole au moins une fois par semaine, mais aussi à l’étranger. Il est souvent accompagné de personnalités et de chefs d’entreprises chargés du développement culturel ou économique du pays. Ses séjours sont courts et il remonte souvent dans l’avion à peine le dîner officiel terminé pour y passer la nuit pendant le vol retour. Pendant le trajet aller, il n’a pas manqué de se tenir au courant des dossiers. À noter, l’avion peut aussi être utilisé pour des rapatriements humanitaires.
À partir de ce cahier des charges, la DGA s’est mise à la recherche d’un long-courrier de moyenne capacité. Comme il ne serait pas politiquement correct de voler à bord d’un Boeing, un Airbus a été choisi. Dans la gamme, c’est le biréacteur A330-200 qui est le mieux adapté au profil présidentiel. Neuf ou d’occasion ? Compte tenu du nombre d’heures de vol annuelles relativement faibles par rapport à une compagnie aérienne classique, un avion de seconde main peut assurer le service présidentiel pendant près de vingt ans. De plus, au moment de la prospection, en pleine crise économique, les avions d’occasion sont légion. Il se trouve que ILFC, le plus gros loueur mondial, recherche des liquidités. Sa situation de filiale de l’assureur américain AIG le met au coeur de la crise financière de 2008. La DGA lui achète pour 60 millions d’euros l’A330-200 portant le numéro de série Airbus 240. Âgé de dix ans, cet avion ne totalise que 45.000 heures de vol et 7.500 cycles (séquence décollage-atterrissage avec pressurisation). Le même appareil sorti neuf des usines de Toulouse serait revenu à près de 180 millions d’euros. Dans tous les cas s’ajoute l’aménagement de la cabine et des équipements spéciaux qui sont l’objet du chantier actuel à Mérignac.
L’ANCIEN AVION DE VOS VACANCES AUX ANTILLES.
Peut-être, comme des centaines de milliers de Français, avez-vous déjà voyagé à bord du futur avion présidentiel, alors immatriculé F-OPTP quand il reliait Orly à Pointe-à-Pitre et à Fort-de-France aux couleurs d’Air Caraïbes ? La compagnie long-courrier louait cet avion à ILFC, mais l’a rendu pour acquérir un A330-300 mieux adapté au trafic antillais.
Cet A330-200 immatriculé F-OPTP a été victime d’une panne d’informations de vitesse début septembre 2008, assez proche de celle qui aurait causé le crash de l’Air France 447 Rio-Paris en juin 2009. Grâce essentiellement à la maîtrise de l’équipage, la perte de contrôle a été évitée. Un rapport des pilotes a été transmis aux autorités de tutelle et à Airbus. Mais, à Air France, les retours d’expériences des petites compagnies sont rarement pris en compte. Les sondes Pitot ont, bien sûr, été immédiatement changées par Air Caraïbes.
En version élyséenne, les 324 sièges de l’avion de ligne transatlantique ont disparu. Seule reste la « carrosserie » avec le fuselage, les ailes et les moteurs ; l’intérieur a été complètement vidé puis refait. Même le cockpit a subi quelques retouches.
À L’HORIZON, L’OCÉANIE.
Par rapport aux deux Airbus A319 CJ actuels, l’A330, plus volumineux, offre une autonomie importante de près de 22.000 km (contre 12.000). À condition de limiter le nombre de passagers, même l’Océanie sera accessible sans escale de Paris.
Schématiquement, on peut diviser l’A330 présidentiel en neuf volumes. Embarquons par une des portes avant sur le côté gauche de l’appareil. On se trouve face à une suite de cabines bordées par une coursive.
– Juste derrière le cockpit, la chambre présidentielle est aménagée avec un lit double, un dressing. Dans la salle d’eau, on trouve une douche.
– Le salon présidentiel comporte un bureau et des fauteuils autour d’une table basse.
– Un espace secrétariat.
– Une cuisine où, comme sur tous les avions, on ne prépare pas des plats, mais on les réchauffe.
– Une salle de télécommunications (VHF, HF, satellite) où sont notamment disposés les équipements de cryptage qui permettent de maintenir des liaisons confidentielles avec le sol. Les ordres liés à la dissuasion nucléaire peuvent également être transmis.
– Une salle de réunion insonorisée avec une table ovale et onze sièges.
– Ce qui a parfois été baptisé « hôpital » est un espace infirmerie permettant notamment d’apporter des soins en cas de rapatriement sanitaire.
– Une cabine de 60 places pour les accompagnateurs qui disposent d’équipements de travail pour communiquer avec le sol, dont Internet à haut débit. Ces dix rangées de fauteuils-lits, semblables à ceux des classes affaires, sont disposées 2 x 2 x 2.
– Tout à l’arrière, une cabine économique est réservée aux membres d’équipages et aux gardes du corps.
Tous ces espaces sont non-fumeurs, protégés par des alarmes de sécurité, comme c’est la norme en aéronautique.
Achat compris, le budget annoncé de l’A330 présidentiel est de 176 millions d’euros. En sera défalqué le prix de la vente des deux Airbus A319CJ actuellement utilisés par le gouvernement.
ET LE PILOTE SERA…
Comme tous les autres avions gouvernementaux français, l’A330 sera rattaché à l’Etec, l’escadron de transport, d’entraînement et de calibration, ex-Glam. Les autres avions (Falcon 50, Falcon X, A319CJ) sont basés à Villacoublay, mais la piste est trop courte pour permettre à l’A330 de décoller en charge. Le président Sarkozy embarquera donc à Orly pour ses voyages, mais l’avion n’y stationnera pas plus que quelques heures. Il y a quelques années, l’avion présidentiel y avait été tagué… C’est donc sur la base aérienne d’Évreux que l’A330 sera basé à l’abri du vandalisme.
Les équipages militaires seront communs aux deux A340 exploités par l’armée de l’air. Les deux types d’avions sont suffisamment semblables pour correspondre à une même qualification. Deux pilotes prennent place dans le cockpit, renforcés par un troisième dès que le vol dépasse neuf heures. Le ratio est de deux équipages par avion, contre six à sept pour un avion civil qui vole 18 heures sur 24. Les méthodes de pilotage sont exactement les mêmes que celles pratiquées dans le civil à Air France, CorsairFly, Air Caraïbes ou XL. Les entraînements ont lieu sur les simulateurs d’Air France installés à Roissy-CDG à raison de trois séances par an. Ces navigants sont formés aux particularités d’exploitation des opérations militaires quand, par exemple, il faut atterrir en zone de combat comme Kaboul.
Source: http://tinyurl.com/26puxbw
FDF
Manifestation en mai dernier à Tel-Aviv contre le projet du gouvernement d’expulser les immigrés clandestins et leurs enfants. Crédits photo : REUTERS
«Je veux rester en Israël.» Cette supplique répétée dans un hébreu sans accent par des dizaines de petits enfants d’origine asiatique ou africaine aux grands yeux apeurés hante la conscience de nombreux Israéliens. La décision prise par le gouvernement d’expulser 400 enfants d’immigrés en situation illégale tout en autorisant 800 autres à rester dans le pays a déclenché une vague d’indignation.
Benyamin Nétanyahou estime pourtant avoir fait preuve du maximum d’humanité. «Notre première considération est humanitaire, mais nous ne voulons pas encourager des centaines de travailleurs à affluer dans notre pays», a expliqué le premier ministre. Il faisait allusion à l’infiltration par la frontière égyptienne de milliers d’Africains, originaires d’Érythrée et du Soudan. Leur nombre pourrait atteindre 15.000 cette année, le double par rapport à 2009. Au total, quelque 200.000 travailleurs illégaux séjourneraient en Israël contre 90.000 légaux. Ils viennent des Philippines, de Thaïlande, de Chine, de Russie, de Turquie ou de Roumanie. Et servent de main-d’œuvre bon marché dans l’agriculture, le bâtiment, les services aux personnes âgées, à la place des Palestiniens, pour la plupart interdits de séjour par crainte des attentats.
«Les enfants ne doivent pas devenir un moyen d’obtenir un visa de séjour pour les parents», souligne Zvi Hauser, secrétaire général du gouvernement. Selon lui, il n’y a aucune raison de «dramatiser, ou d’agir uniquement en fonction d’élans de compassion (…) Les pays européens ont pris des mesures beaucoup plus dures contre les illégaux». Ce proche de Benyamin Nétanyahou souligne que des critères «impartiaux» ont été utilisés pour choisir les 800 enfants d’immigrants, qui pourront rester en Israël malgré l’expiration du permis de travail ou du visa de touriste de leurs parents. Les enfants de plus de 5 ans nés en Israël parlant l’hébreu, scolarisés, sont ainsi autorisés «exceptionnellement» à demeurer en Israël avec leurs parents. Détail important : ce dispositif ne concerne pas ceux qui se sont infiltrés et n’ont jamais eu un statut légal.
Le «geste» consenti par le gouvernement est toutefois loin de faire l’unanimité. Au sein du cabinet, 10 ministres sur 23 ont voté contre les expulsions d’enfants. «Nous ne pouvons pas faire payer à ces innocents les erreurs de notre politique d’immigration, ce n’est pas digne d’un État juif», s’indigne Yossi Peled, ministre sans portefeuille du Likoud, le parti de Benyamin Nétanyahou. «Ce n’est plus l’État que j’ai connu, qui expulse des enfants», s’est exclamé Benyamin Ben-Eliezer, ministre travailliste du Commerce et de l’Industrie.
Des personnalités de la société civile se sont mobilisées. Shevah Weiss, rescapé des camps de la mort nazi, ancien président du Parlement, a exprimé sa «honte» et a appelé le président Shimon Pérès à «mettre tout son poids moral dans la balance» pour empêcher ces expulsions. Péhéra Hodorof, président de la branche israélienne de l’Unicef, a estimé que les autorités ne pouvaient pas se permettre de «violer ainsi la convention internationale des droits de l’enfant» qu’Israël a signée.
Certains commentateurs ont eu la dent encore plus dure, tout en étant partisans d’une politique plus efficace pour endiguer l’immigration clandestine. «Sommes-nous devenus fous ? Nous allons être présentés dans les médias étrangers comme des rapaces, cruels, des sans-cœur avec des images d’enfants en pleurs, et des parents effrayés au milieu de policiers», prévoit Eytan Haber dans le quotidien Yédiot Aharonot. Ben Caspit, du quotidien Maariv, souligne pour sa part que le gouvernement ferait mieux de trouver une solution pour empêcher l’infiltration en masse d’Afrique plutôt que de s’acharner «sur quelques centaines d’enfants qui parlent hébreu, rêvent en hébreu et qui voudront une fois grands servir dans l’armée».
Source: http://tinyurl.com/26abhfd
Pourquoi s’agit-il d’une plaisanterie ?
Parce qu’en supposant que cette suggestion présidentielle, bonne dans son principe, devienne une loi et qu’elle soit appliquée avec la plus extrême sévérité, elle concernerait, au grand maximum, une dizaine de cas par an.
Cela ne gagnerait pas la guerre de subversion menée en France par les envahisseurs musulmans, à travers les gangs de racailles. Cette mesure de bon sens seule, est dérisoire quand dans le même temps le président de la république ordonne aux forces de l’ordre, cessez-le-feu et retraite, face aux émeutiers musulmans.
Les non musulmans mêlés aux racailles musulmanes sont tous, sans exception, des racistes : antifrançais, anti-blancs et bien sûr antijuifs [pas seulement des racistes : ce sont des Nazis].
Les autres minorités coupables elles aussi d’émeutes, d’agressions, délits et autres crimes, ne présentent pas le même danger subversif que les musulmans.
Ainsi, les gitans et les gangs africains posent de graves problèmes de sécurité. Ils doivent aussi être réprimés avec la plus grande sévérité, mais ces exactions relèvent du droit commun.
Alors que la revendication hégémonique musulmane est exprimée sans ambiguïté, non seulement dans nos rues par les racailles, mais aussi dans les mosquées que nous leurs payons chez nous. De plus elle est aiguillonnée depuis les pays de l’OPEP, où s’excitent les meneurs jihadiques.
Concrètement l’hégémonisme musulman s’appuie sur une évolution démographique très favorable. Il prend la voie politique. Il reçoit le soutient d’au moins la moitié de la classe politique française toutes tendances confondues, en plus de l’aide de nombreux magistrats et de la quasi-totalité des organes de propagande, naguère appelés média.
Nicolas SARKOZY n’a pas la moindre intention de mettre fin à l’invasion musulmane.
Il n’y est peut-être pas favorable, mais ce sujet ne le préoccupe pas. Et puis son attitude à l’intérieur, est cohérente avec la politique de soutien à l’hégémonisme musulman, pratiquée depuis cinquante ans à l’extérieur, par le quai d’Orsay.
Aujourd’hui, plus qu’auparavant, l’invasion musulmane pose une question qui dépasse tous les partis et courants politiques traditionnels. Certes, la première secrétaire du PS est mariée au principal avocat des nazislamistes en France. Certes, elle a offert la ville de Lille dont elle est maire, aux musulmans rigoristes. Certes par dogmatisme borné, le parti socialiste refuse de voir la réalité.
Mais tous les socialistes ne sont pas aveugles. A des degrés divers, on trouve des collabos et des citoyens lucides dans tous les partis. Les collabos de gauche sont plus nombreux, mais les collabos « de droite » sont plus nuisibles, car plus souvent à des postes de décision plus élevés.
Depuis quelques années, informer, expliquer, se lamenter, c’est inutile. A cause de l’emprise de la propagande et du délabrement de l’Education Nationale, l’espoir est très ténu de voir naître un grand mouvement populaire contre les envahisseurs, capable d’infléchir la politique, comme en Suisse avec l’UDC, ou aux Pays-Bas avec le PPV. Pour freiner les collabos, l’usage de la force est inévitable. Cette engeance ne doit plus nuire tranquille. Nous attendons d’un moment à l’autre, les premières liquidations de traîtres par la Résistance.
Août 2010
Source: Charles Dalger
Lu sur « Le Post » du 02 08 2010:
Le président veut créer des Français moins français que d’autres. Et si c’était lui qui a un problème avec la France?
« Chaque citoyen français, « calmement épris de sa femme et de sa patrie » (et chaque citoyenne aussi, rassurez-vous, l’emploi de la formule supra est juste destinée aux cinéphiles avertis), chaque citoyen français donc, entretient avec le président de la République, un rapport personnel. De de Gaulle à l’actuel locataire de l’Élysée, j’ai toujours été frappé de voir combien cette fonction inventée par de Gaulle, synthèse de la France des Capétiens et de la Nation de 1789, occupait dans la vie publique une place à ce point prégnante, que nous tous, citoyens, finissons par cultiver une relation particulière avec chaque président de la République. Lui c’est lui, moi c’est moi, mais, par la force des choses, « Il » s’imprègne dans ma vie.
Je prends un exemple simple. Le mien. J’ai aimé, d’un certain point de vue, même ceux que j’ai le plus vilipendé, tous les présidents de la Ve République. J’y ai vu, j’y vois encore des moments français. Chacun d’entre eux, à sa façon, compte tenu de ses qualités, incarna une part de l’esprit français, de son histoire, de sa culture, de ses tradition de ses ambitions. Ils ont été les marqueurs d’une continuité, ne cherchant jamais à rompre le fil de l’Histoire française, et si l’un d’entre eux parla de rupture, cela ne concernait que le capitalisme, pas la France.
De Gaulle fut le président des idéalités nationales, rêvant d’une France plus grande que ne l’est parfois le peuple français, entre France et Concorde, tante Yvonne et baby boom, Charlemagne et Napoléon.
Pompidou fut le président des notabilités paysannes, réinventant le rêve « bien de chez nous » d’une grande France industrielle, entre bon sens paysan et avant-garde branchée, DS et camembert, Colbert et Guizot.
Giscard fut le président des contradictions françaises, ressuscitant une sorte de despotisme éclairé façon république décrispée, entre dîners chez les Français moyens et diamants de Bokassa, Loi Veil et loi Peyrefitte, François Ier et Louis XV.
Mitterrand fut le président des ambiguïtés provinciales, incarnant cette palette des passions françaises qui va du gris clair au gris foncé, entre abolition de la peine de mort et écoutes illégales, Badinter et Tapie, Louis XI et Richelieu.
Chirac enfin, fut le président des fatalismes cocardiers, considérant que les Français savent mieux ce que qu’ils ne veulent pas plutôt que ce qu’ils veulent, entre suppression du service militaire et CPE, Raffarin tout mou et Villepin tout raide, Louis-Philippe et Albert Lebrun.
Depuis 2007, on s’interroge. A qui, à quoi rattacher l’actuel président de la République ? Serait-il capable par exemple, de citer, comme aimaient à le faire de Gaulle et Mitterrand, tous les souverains, tous les régimes, ayant gouverné la France depuis 987 ? Sans doute non. Du reste, depuis des années, on ne compte plus ses saillies contre l’histoire de France, la culture classique, la littérature, les humanités. Comment ne pas voir que cette haine de la France est à l’origine de la disparition sournoise et progressive des programmes d’histoire, de latin, de grec dans les collèges et lycées, le tout sous la houlette de l’ignare Luc Chatel ?
Il n’est pas innocent de constater que l’élu de 2007 proclama son envie de « rupture » tout au long de sa campagne électorale. D’une certaine façon, cela relevait de l’aveu inconscient et montrait surtout que cette volonté de rupture tenait de son histoire psychologique personnelle.
Ce week-end, Philippe Boggio a ironisé sur le site Slate.fr sur le fait que le chef de l’Etat français souhaitait inventer des citoyens français moins citoyens que d’autres, pointant le fait que cette volonté se heurtait au droit fondamental français, entre Constitution de 1958 et Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 (entre autres), et soulignant que ce président, fils d’apatride hongrois, était bien mal intégré pour méconnaître à ce point deux siècles d’histoire de la nationalité française. « Pour l’heure, c’est le président de la République qui transgresse la loi. Mal intégré lui-même, ces jours-ci. Heureusement, il ne s’agit pas d’un président 100% français. On peut toujours le renvoyer en Hongrie. Ou en refaire un apatride. »
Ce faisant, Boggio a pointé le vrai problème de celui qui préside aujourd’hui aux destinées de ce pays. Comme le disent parfois les psys, cette obsession de la pureté nationale, des racines, de l’identité révèle vraisemblablement une culpabilité enfouie et niée. Se sentant coupable de ne pas être assez français, de ne pas avoir accompli les efforts nécessaires pour le devenir, de ne pas être à la hauteur de ce pays, de son histoire, l’actuel président, personnalité narcissique pour qui ce sentiment doit être insupportable, se livrerait à un « déplacement ». Se sachant coupable de ne pas être assez français, il inventerait des plus coupables que lui qui ne mériteraient pas de l’être. Haro sur les Roms! Haro sur les immigrés et fils d’immigrés venus d’Afrique! Tous suspects des pires crimes, de l’excision au trafic d’être humains, du meurtre de policier à la polygamie, de la fraude aux allocs au trafic de drogue! Tous présumés coupables parce que moins français que lui au nom de sa restauration narcissique! Terrifiante perspective. »
Source: http://tinyurl.com/363y6pu
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Nous voilà aujourd’hui après les événements de Grenoble et d’ailleurs obligé de parler à nouveau de l’insécurité. Avec la politique du matamore couché, qui semble être la politique du pouvoir depuis longtemps sur tous les sujets et en particulier depuis 2007, nous risquons de devoir souvent en reparler.
Nul ne niera que le premier devoir d’un gouvernement est d’assurer la sécurité des citoyens. Le nouveau pouvoir en 2007 devait s’y attacher particulièrement compte tenu du mandat qu’il avait reçu et de la situation dramatique et ancienne qu’il connaissait fort bien.
La presse s’étonne aujourd’hui de voir des armes de guerre utilisées par les bandes à Grenoble et à Saint Aignan alors que ce n’est pas du tout un fait nouveau car il y a longtemps que la police sait que les armes de guerre sont stockées dans les quartiers. Les bandes sont en fait des armées organisées avec des chefs, une stratégie, des troupes. Il y a plusieurs années, la place de la Bastille avait été détruite par une armée de mille malandrins parfaitement entrainés et dirigés.
Le pouvoir fait dire à la presse qu’il « déclare la guerre » à la criminalité. Il n’avoue pas que c’est le contraire : il subit la guerre depuis très longtemps et ceci sans réaction notable, avec plus de 500 villes ou quartiers ayant gagné leur indépendance au profit de caïds et en conjonction avec l’islam. La capitulation publique est telle que lors des émeutes de Villiers-le-Bel, le gouvernement avait félicité les policiers parce qu’ils ne s’étaient pas défendus !
Pour faire croire qu’il commence à réagir, le pouvoir aujourd’hui change des préfets. Ceux-ci sont généralement des énarques lesquels ne sont guère préparés à gérer des problèmes de sécurité qui doivent plutôt les ennuyer. A la préfecture de la Seine-Saint-Denis, c’est maintenant un policier expérimenté. A Grenoble, préfecture de l’Isère, il en est de même, avec installation spectaculaire du nouveau. Ce n’est pas en soi une mauvaise idée mais honnêtement, cependant, les perspectives n’en sont guère améliorées.
D’abord l’on insiste officiellement sur le mal-être des banlieues comme si c’était la cause de la guerre. Certes il y a dans ces morceaux de territoires en état de sécession de multiples problèmes, dont le chômage endémique n’est pas le moindre ; toutes ces calamités ne sont pas nouvelles : elles sont le résultat des politiques menées par les pouvoirs successifs depuis des décennies et nullement le fait de la crise. Or il se trouve que le quartier de la Villeneuve à Grenoble avait reçu une véritable abondance d’équipements divers, dans la suite des trop nombreuses et inefficaces politiques de la ville dont il devait être une vitrine. Le mal-être est, certes, un terreau favorable pour les armées qui occupent le terrain parfois en se battant entre elles précisément pour des questions de territoires ; ce ne saurait constituer l’essentiel. Personne ne parle officiellement ou sinon à mots couverts des causes véritables à savoir l’immigration sauvage, l’islam, et la drogue.
Une autre analyse ne pousse guère à l’optimisme.
Faisons la supposition tout à fait gratuite qu’un grand nombre de préfets officiant dans ce que l’on appelle les zones sensibles soit débarqué et remplacé par des super policiers. Il faudrait du temps et une immense consommation de fonds publics, mais pourquoi pas ? Leur objectif serait d’attraper les délinquants ce qu’ils savent peut-être faire et ensuite de les faire juger.
Un obstacle se révèle tout aussitôt : la justice est paralysée soit par la lâcheté de certains magistrats, soit par le gauchisme de leur idéologie et c’est une autre face du désastre français. Un autre obstacle surviendrait aussi ; si l’on imagine que le succès arrive avec de nombreuses condamnations à la prison, que fera-t-on de ces prisonniers ? Qui ignore que les prisons sont scandaleuses et en état permanent de surcharge ? Enfin au bout du parcours et si l’on ne va pas au coeur des problèmes, ce sera une situation « talibanesque » : pour un délinquant attrapé et puni, dix autres renaîtront aussitôt.
On arrive inévitablement à l’idée que nous assistons à de pures postures électoralistes et il faut d’autres moyens pour gagner cette guerre.
La situation rappelle étrangement la guerre de 1939 ; les pouvoirs de gauche de l’époque avaient laissé grandir le nazisme alors qu’ils auraient pu l’arrêter plusieurs fois et ils sont ainsi directement co-responsables de la deuxième guerre mondiale avec tous ses massacres. S’apercevant trop tard de la catastrophe, ils ont déclenché une guerre qu’ils n’avaient pas préparée et ensuite ils ne l’ont pas livrée de peur d’énerver l’adversaire : ce fut la drôle de guerre. Bien entendu et par voie de conséquence ils l’ont perdu. Ce morceau d’histoire offre des ressemblances étranges avec la situation d’aujourd’hui.
Cette guerre que l’on nous livre pourrait certes être gagnée. Il faudrait des politiques qui veuillent la gagner et qui imaginent la stratégie nécessaire. Quiconque connaît un peu l’histoire des multiples guerres depuis des siècles observe qu’il y a toujours une stratégie à condition de vouloir gagner, de savoir où se situe l’adversaire et d’avoir beaucoup de talent.
Michel de Poncins
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Source: http://www.libeco.net
et LE PILORI http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilorigeneral.htm
(A diffuser largement)
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Un visionnaire, Malraux…
FDF
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» La nature d’une civilisation, c’est ce qui s’agrège autour d’une religion. Notre civilisation est incapable de construire un temple ou un tombeau. Elle sera contrainte de trouver sa valeur fondamentale, ou elle se décomposera. C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. A l’origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n’ont trouvé la réponse. De même aujourd’hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l’islam. En théorie, la solution paraît d’ailleurs extrêmement difficile.. Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l’aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d’Etat. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis » musulmane « , je pense moins aux structures religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet. Dès maintenant, le sultan du Maroc est dépassé et Bourguiba ne conservera le pouvoir qu’en devenant une sorte de dictateur. Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps. Actuellement, il est trop tard! Les « misérables » ont d’ailleurs peu à perdre. Ils préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d’eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l’avenir de leur race. L’Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus.
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André Malraux, le 3 juin 1956.
Publication originale de cette chronique, le 22 mai 2009
Le Québec est à nouveau mobilisé autour de la question du voile, la Commission Bouchard-Taylor n’ayant rien réglé. Certains parlent d’un nouveau « débat ». En réalité, il n’y a pas de débat, il n’y a jamais eu de débat. Il n’y a qu’une nouvelle confrontation due à une nouvelle provocation islamiste, qui nous plonge de force dans des problèmes causés par l’islam radical.
La question du voile ne peut être abordée sans examiner l’islam politique dont il est l’étendard. Pour régler le problème du voile, il faut d’abord faire reculer l’islam politique et l’évacuer de notre société, de la même manière que durant la Guerre froide, la gauche et la droite, qui comprenaient l’importance de la Liberté, l’ont défendue contre la menace du totalitarisme communiste
Un débat suppose que l’on puisse discuter ouvertement d’une question sans crainte de menaces de mort, de manifestations violentes, ou de poursuites.
Les discussions sur l’islam politique, qui avance furtivement sous couvert de religion partout dans le monde, y compris au Québec – faisant reculer la liberté d’expression, les droits des femmes, et notre sécurité – sont étouffées. Nos dirigeants se contentent de réagir aux provocations, ils sont constamment sur la défensive, ils sont pris au dépourvu à chaque nouvelle provocation. Pourquoi? Parce qu’il n’y a jamais eu une discussion ouverte sur l’islam radical et la menace qu’il fait peser sur notre société. Il n’y a jamais eu une prise de position claire et ferme par nos gouvernants démontrant qu’ils sont conscients de la menace et qu’ils ont à cœur le mieux-être de la nation. Nos élus s’en remettent lâchement à des Bouchard-Taylor ou à la commission des droits de la personne!
La question dépasse largement le voile, mais c’est souvent par le voile qu’elle nous arrive.
La dernière provocation nous vient par le biais de la Fédération des femmes du Québec qui, le 9 mai, a adopté, en assemblée générale spéciale, « la position proposée par leur conseil d’administration sur les signes religieux. En même temps qu’elles s’opposent à l’obligation qui est faite aux femmes de porter des signes religieux ici et ailleurs dans le monde, elles s’opposent également à l’interdiction du port de ces signes au sein de la fonction et des services publics québécois.»
Voici des extraits :
Fortement épaulée par des représentantes du Conseil islamique canadien et de Présence musulmane, la Fédération des femmes du Québec (FFQ) vient d’adopter une résolution banalisant le port du voile islamique dans les institutions publiques québécoises lors d’une assemblée générale spéciale qui s’est déroulé à l’université Laval, le 9 mai dernier, et à laquelle j’ai assisté en qualité d’observatrice.
INTIMIDATION
Présence musulmane Montréal a envoyé une mise en demeure à Sisyphe.org, intimant ses éditrices de publier sa réplique au texte de Mme Benhabib, vraisemblablement sous peine d’une poursuite en diffamation en cas de défaut d’obtempérer à son arrogant diktat.
Les poursuites et menaces de poursuites sont une tactique fréquemment employée par les islamistes pour punir leurs critiques ou les réduire au silence. Ils manipulent les systèmes juridiques démocratiques pour réprimer la liberté d’expression, abolir le discours public critique de l’islam, et faire progresser furtivement l’établissement des principes de la charia.
Il faut condamner sans réserve ces stratégies d’intimidation qui limitent le droit des citoyens de participer au débat public, et pointer un doigt accusateur en direction des islamistes qui abusent de nos lois.
La Cour suprême du Canada a jugé que «nous vivons dans un pays libre, où il est permis d’énoncer des opinions outrancières et ridicules tout autant que des vues modérées», et que «la controverse publique a parfois de rudes exigences, et le droit doit respecter ses exigences». Pour la Cour suprême, «l’important dans un débat sur des sujets d’intérêt public est que tous les aspects de la question sont présentés avec force». Ce jugement établit le droit pour l’ensemble du pays. Comme dit Tarek Fatah, les islamistes qui ont des problèmes avec la liberté d’expression devraient quitter le Canada.
Aucun autre groupe religieux ou ethnique au Québec n’utilise la stratégie de la guérilla juridique pour intimider les critiques. Les médias, les politiciens et les citoyens pratiquent d’ailleurs l’auto-censure, directement par le silence, ou indirectement en s’exprimant par «amalgames». Il faut dénoncer «tous les extrémismes» avec la même vigueur, disent-ils, pour éviter de «stigmatiser» injustement l’islam. Allons… l’intégrisme bouddhiste et hindou exige une mobilisation nationale… Il faut demeurer vigilants face au risque d’atteintes graves aux droits à l’égalité des chrétiennes, et ne pas baisser la garde face à la menace d’attaques terroristes par des témoins de Jehovah! Ce faisant, on détourne l’attention du véritable problème, celui de l’islam radical. On sème la confusion, on se perd dans des discussions absurdes sur la croix du Mont-Royal et les sapins de Noël. On ne règle jamais rien, on éteint des feux, et tout est toujours à recommencer, parce qu’inévitablement, il y aura d’autres provocations! C’est comme ça que l’islam politique avance.
INFILTRATION
Une autre tactique est celle de l’infiltration. Ici, des islamistes ont infiltré la Fédération des femmes du Québec et, en détournant le vocabulaire de la liberté et de l’égalité pour le rendre charia-compatible, elles ont réussi à faire progresser leur agenda d’islamisation de nos institutions. Voilà maintenant que le voile dans la fonction publique est l’instrument de choix favorisant l’émancipation de la femme musulmane! Les mollahs, les ayatollahs et les talibans rient dans leurs barbes. La Fédération des femmes du Québec est leur alliée!
DISCOURS VICTIMAIRE
Michèle Asselin, présidente de la FFQ, reprend le discours victimaire des musulmans qui se plaignent d’être l’objet de préjugés liés aux attaques du 11 septembre 2001. Et pourtant…
Elles vont et viennent en toute liberté, et en nombre croissant, dans les rues de Montréal et ailleurs au Québec. Les musulmans, hommes et femmes, bénéficient de la pleine liberté de conscience, ils ont leurs lieux de culte et centres culturels, ils jouissent des mêmes droits et libertés que les autres citoyens.
Les vraies victimes du 11 septembre, c’est l’ensemble de la population. Nous devons attendre des heures dans les aéroports en raison des lourds dispositifs de sécurité, nous devons financer des services de renseignement et de police pour nous protéger des fous d’allah. Nos libertés reculent à cause du refus des musulmans d’assumer leurs responsabilités et de collaborer pleinement avec les forces de l’ordre.
PRÉJUGÉS?
Les minorités musulmanes sont les seules à continuellement critiquer la majorité et à réclamer des restrictions à nos libertés, en particulier notre liberté de les critiquer, eux. Ils sont les seuls à proférer des menaces de mort ou de poursuites pour faire taire la critique. D’ailleurs, nos médias pratiquent l’auto-censure, par peur, et réservent aux musulmans un traitement privilégié par rapport à toutes les autres communautés et religions, sur lesquelles ils n’hésitent pas à s’acharner.
Des auteurs progressistes du Golfe persique écrivaient récemment sur le mal que font les musulmans à l’Occident tout en profitant de ses libertés et de ses services. L’un d’eux écrit que les musulmans en Occident «crachent dans le puits dans lequel ils puisent leur eau». Il reproche aux islamistes de «contrôler la vie des musulmans» et de favoriser «l’isolement, le repli et, à terme, le terrorisme djihadiste contre l’Occident». Il déplore que les musulmans «se retournent contre la société qui les a accueillis, leur fournit le toit, du travail et l’assurance santé.» Il trouve curieux de voir certains imams «maudire et insulter l’Occident dans les prêches qu’ils font dans des mosquées occidentales, et appeler de leurs vœux la destruction des pays occidentaux, alors même qu’ils sont placés sous la protection de la police de ces pays». Un autre auteur observe, parlant des islamistes, que la tolérance des Occidentaux envers les musulmans ne les a pas conduits à «reconnaître que le choix de la religion est une affaire personnelle. … Au contraire, ils sont devenus de plus en plus agressifs, parce qu’ils ont compris que l’Occident cédait à leurs exigences et les traitait avec tolérance. Ils ont donc gagné du terrain et de la popularité, et leur arrogance est devenue sans limites».
Les groupes islamistes, quant à eux, ont plus à cœur de défendre la réputation de l’islam que d’assurer la protection des musulmanes. Les médias et les bien-pensants jouent le même jeu, au nom d’une conception de l’anti-racisme que Tarek Fatah dénonce comme un «racisme de la moindre attente». Pourtant, selon une étude britannique, la plus grande crainte des musulmanes «n’est pas l’islamophobie ou d’être attaquées par des racistes ou arrêtées pour suspicion de terrorisme. Elles craignent avant tout leur propre famille».
LES QUÉBÉCOIS ONT RAISON DE SE MÉFIER DE L’ISLAM
Les Québécois ont raison d’être inquiets face à l’islam. Un sondage récent démontre leur résistance tenace face à cette religion, et leur opposition, dans une proportion de 74%, aux accommodements religieux. On peut avancer avec quasi-certitude que le taux de 74% serait largement inférieur si l’islam ne faisait pas partie de l’équation.
Voici quelques exemples, parmi tant d’autres, de situations qui expliquent sans doute leur résistance tenace face à l’islam:
– Un cheikh machiste, ancien grand mufti de Jérusalem, a été invité à Montréal par IRFAN-Canada pour une levée de fonds. Ce cheikh pourfend les lois occidentales qui criminalisent le viol par le conjoint. Nous étions présents à cette soirée, à laquelle ont assisté environ 500 personnes, dont une centaine de femmes. La FFQ n’a pas dénoncé cet événement, ni les autres féministes, musulmanes ou pas.
– «Souhaiter Joyeux Noël ou Bonne année aux mécréants est interdit. C’est un acte répugnant» – c’est l’attitude à l’égard des «mécréants» que recommandait à ses fidèles la mosquée Masjed Essuna Nabawiya en décembre dernier. Cette mosquée se décrit, sur oumma.com, comme la plus grande mosquée salafiste de Montréal, avec une capacité d’accueil évaluée entre 2500 et 3000 fidèles. Aucun musulman n’a dénoncé ce discours méprisant, suprématiste et peu propice au «vivre-ensemble».
– Au moins quatre prédicateurs radicaux ont été invités par l’Association étudiante musulmane de l’Université Laval (AEMUL), le 9 mai, pour marquer leur 20e anniversaire, au théâtre de la Cité universitaire. Ces prédicateurs comprenaient le machiste ancien grand mufti de Jérusalem, l’imam de la mosquée suprématiste Masjed Essuna Nabawiya de Montréal, ainsi que le Cheikh Ahmad Shehab. Personne n’a réagi.
– Un imam propage ouvertement la doctrine de l’islam radical suprématiste, misogyne et haineux, sans être inquiété par la commission canadienne des droits. Personne dans la communauté musulmane, ou chez les féministes, ne l’a dénoncé ouvertement. Il continue de propager ses enseignements en toute impunité, et à gagner de nouveaux adeptes à ses vues abjectes. La communauté musulmane démontre ainsi sa complète irresponsabilité, et son incapacité à faire le ménage dans ses rangs. Elle est la première responsable de la résistance tenace des Québécois face à l’islam. Le sort du voile dans la fonction publique n’y changera absolument rien.
– Khaled Mouamar, le président de la Fédération canado-arabe qui soutient ouvertement des groupes terroristes, a siégé à la Commission de l’immigration et du statut de réfugié, ce qui est incroyable. Cet exemple extrême démontre l’incurie de nos dirigeants, pour qui les droits des extrémistes passent avant la sécurité et le bien-être de l’ensemble de la population. Le résultat, c’est qu’on se méfie de tous les musulmans.
– Sondage: Reason to Fear, par Salim Mansur, Western Standard, 26 mai 2007 – 12 % des musulmans interrogés – un chiffre qui s’élève à 84 000 sur une population de 700 000 musulmans canadiens – se sont identifiés comme des extrémistes qui soutiennent le terrorisme. Même si l’on prend en compte la marge d’erreur de 4,4%, le chiffre arrondi à 7% de la population, le nombre des musulmans qui s’associent idéologiquement aux extrémistes est de 49 000. Pour mettre un peu de perspective, il y a deux fois plus d’extrémistes que de soldats canadiens au pays…
– Sondage: Glad to be Canadian, Muslims say –
Dans ce rapport, on occulte les différences idéologiques entre canadiens musulmans et non musulmans pour faire un portrait à l’eau de rose. Pourtant, il démontre que 53% des canadiens musulmans sont en faveur de l’adoption de tribunaux de la charia pour régler les litiges familiaux, que 27% des musulmans trouvent que les attaques planifiées à Toronto étaient justifiées (ou du moins ne disent pas qu’elles étaient injustifiées).
DÉNONCER L’ISLAMISME ET L’EXTIRPER DE LA SOCIÉTÉ
Discuter du foulard, c’est s’intéresser à l’arbre qui cache la forêt. C’est ignorer l’idéologie de l’islam radical qui progresse chez nous comme un cancer, et s’attarder à un symptôme sans jamais oser prononcer le mot « cancer », et l’extirper.
L’islam politique n’est pas une race, une ethnie ou une culture, pas plus que le fascisme ou le nazisme. Cette idéologie n’a pas sa place au Québec et au Canada. Il n’y a pas lieu d’en débattre, pas plus qu’on ne débattrait du nazisme. Cette idéologie doit être nommée, discréditée, et éradiquée de la société.
Nous avons tenu une conférence à Montréal en septembre dernier sur le thème: L’islam politique menace nos libertés, à laquelle 200 personnes ont assisté, ce qui confirme l’inquiétude des citoyens et leur intérêt pour le sujet. Les trois conférenciers, des musulmans, sont menacés de mort par des musulmans canadiens. Tout comme la députée Fatima Houda-Pépin, ils sont traités de traîtres par leurs coreligionnaires – souvent des membres influents de leur communauté -, parce qu’ils militent contre la charia et défendent avec acharnement la démocratie et nos libertés fondamentales, particulièrement la liberté d’expression. On a tout lieu de s’inquiéter du profond conflit d’allégeance des musulmans canadiens qui menacent leurs compatriotes, et du fait que ce genre de personnes puisse occuper des emplois donnant accès à des renseignements personnels sur les citoyens.
Tant que nos gouvernements ne s’attaqueront pas avec courage à l’islam politique qui menace la société, musulmans compris, tant que la communauté musulmane ne prendra pas ses responsabilités et ne fera pas le ménage dans ses rangs, tant que les médias persisteront à nous endormir avec un discours rose bonbon sur l’islam, tant que nous ne serons pas rassurés que la politique d’immigration est gérée de manière responsable et ne sert pas à transporter cette idéologie chez nous à dos d’hommes et de femmes… nous aurons toujours des « crises » à gérer, et le cancer finira par nous emporter.
Il faut combattre l’islam politique, et le vaincre. Voici des conseils tirés du manuel L’art de la guerre écrit par Sun Tzu il y a plusieurs siècles:
Citoyens… à vos armes! Vos ordinateurs sont vos kalashnikovs. Mobilisez-vous, écrivez aux députés, aux médias, et demandez-leur des comptes! Nous sommes à préparer un Manifeste, qui proposera des objectifs et un plan d’action.
Source : pointdebascule.canada.ca 9 Octobre 2009 par Annie Lessard, Marc Lebuis
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Bel exemple pour le reste du monde… Eh!, les canadiens! Vous êtes cons ou vous faites exprès? Quand on pense que les islamistes intégristes terroristes peuvent très bien se cacher sous une burqa… Vous voulez votre « 11 septembre »?
FDF
Le projet de construction d’une gigantesque mosquée à deux pas de Ground Zero à New York a reçu l’approbation du comité du conseil municipal de Manhattan-sud en dépit de l’opposition de quelques familles de victimes des attentat du 11 septembre qui le trouvent offensant.
La mosquée de 13 étages avec son centre culturel islamique a été approuvée à l’unanimité par les 12 membres du conseil du quartier financier.
Le projet de 100 millions de dollars, qui va s’appeler la Maison de Cordoue, (Cordoba House) remplacera l’ancien bâtiment de Burlington Coat Factory à l’angle de Park Place et de W Broadway, à seulement deux pâtés de maisons du site du World Trade Center.
“Je pense que ce sera un atout formidable pour l’ensemble de la communauté”, a déclaré Ro Sheffe, président du comité.
l’Imam Feisel Abdul Rauf, qui a contribué au lancement de l’Initiative Cordoba, dit que le projet est destiné à favoriser de meilleures relations entre l’Occident et les musulmans…
Daisy Khan, Directeur exécutif de l’Initiative Cordoba, a déclaré que des dons d’entreprises aussi prestigieuses que la Fondation Ford et le Rockefeller Brothers Fund vont financer la construction.
Il n’a pas fait exprès, mais bon. En ces temps difficiles avec les adeptes de la religion à Momo, mieux vaut être prudent et faire gaffe à ce qu’on raconte… Car « eux », ne nous louperont pas. Et puis, informer le peuple, c’est faire du tri dans ses papiers…
FDF
« Jean-Sébastien Stehli, rédacteur en chef du Figaro Madame et auteur du « Blog invité Figaro » Obama Zoom, a lâché cette petite phrase dans un article sur la future mosquée de New-York proche de Ground Zero :
« Certains voyaient également un geste de réconciliation, d’autant que l’imam est soufi, une branche spirituelle de l’islam, éloignée de l’islam intégriste qui prédomine. «
Stelhi tombe cependant naïvement dans le panneau du soufisme considéré comme un courant uniquement spiritualiste, alors que la charia n’est absolument pas condamnée dans ce courant islamique. Un des principaux théologien du soufisme, Al-Ghazali (1058-1111) dont les livres polluent toutes les Fnac de France, est tout à fait favorable à la lapidation (cf: Livre du Repentir) et au djihad armé (cf: La Mesure des Actes). Aussi, le journaliste devrait savoir que l’imam pilotant le projet Feisal Abdul Rauf a toujours refusé de condamner le Hamas,
Aussi le site Bivouac-ID rapporte :
« A plusieurs reprises, l’imam Feisal Abdul Rauf (…) a publiquement accusé les chrétiens d’avoir été les premiers à lancer des attaques massives contre des civils. De nationalité égyptienne, il a été présenté par le New York Time comme une voix “modérée” de l’islam. Toutefois en 2004, feisal Abdul Rauf a suggéré qu’il était important pour l’Occident de comprendre le point de vue des terroristes.(lire en anglais)
Le journaliste du très léger Figaro Madame se présente ainsi sur son blog (extrait) :
« J’ai été le co-fondateur d’Ici New York, le mensuel de New York en français, puis correspondant de journaux européens aux Etats-Unis. Après dix ans à San Francisco, je suis rentré en France en 2000 pour être rédacteur en chef adjoint à L’Express. Depuis juin 2009, je suis rédacteur en chef de Madame Figaro depuis juin 2009. Auparavant, en 2007, je suis devenu directeur général de l’agence de design et d’architecture intérieure d’Andrée Putman. En rentrant des cérémonies d’inauguration de Barack Obama, l’idée est venue, lors d’une conversation avec VSG, de créer OBAMAZOOM, un blog destiné aux accros de « 44th ». »
Source: http://tinyurl.com/33s4lgv