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26/06/2010
Présentation du « niktamere 2″…
La chasse aux chrétiens et autres non-islamistes prend de l’ampleur…
Une motivation de plus pour la « résistance »…
FDF
Islamabad ordonne la surveillance des « contenus anti-islam » sur le Web

Le gouvernement du Pakistan a ordonné, vendredi 25 juin, la surveillance de grands sites sur Internet, dont Yahoo, Google et YouTube, afin d’éviter d’éventuels « contenus anti-islam ». L’Autorité pakistanaise des télécommunications (PTA) « a reçu des ordres du ministère de l’information et des technologies pour surveiller ces sites Web, ordres qui sont exécutés », a déclaré à l’Agence France-Presse un porte-parole de l’autorité.
Outre Google et Yahoo, les services de Microsoft, qu’il s’agisse de son moteur de recherche Bing ou de sa messagerie instantanée MSN, seront également contrôlés. Le Pakistan va par ailleurs interdire 17 autres sites, moins connus, jugés offensifs à l’égard des musulmans.
Le mois dernier, le Pakistan avait ordonné, pendant douze jours, sur injonction de la justice, le blocage de Facebook en raison d’un concours de dessins sur Mahomet jugé blasphématoire. Des milliers de Pakistanais avaient également manifesté. L’accès au site du réseau mondial de socialisation avait ensuite à nouveau été autorisé.
Source: http://tinyurl.com/29lppqw
Mon maillot n’est pas bleu…
Reçu par mail… Une très bonne réflexion engendre ces lignes…
FDF
21/06/2010
Voici un courrier, reçu ce matin, du caporal Lionel X.
« Ces jours-ci, je n’entends et ne lis qu’une chose : l’énorme malaise dû à l’affaire Anelka et au parcours de l’équipe de France. Je resens malheureusement de la violence et même de la haine envers tout cela. Et oui, moi, modeste caporal de l’armée de terre francaise, qui aura été séparé onze mois de sa fiancée et future épouse, car elle aussi est militaire.
Séparé pourquoi ? Mon maillot n’est pas bleu, dans mon dos, la plupart du temps, un gilet balistique et une musette de 40kg. Devant, pas de sponsors, un galon basse visibilité. Sur mon visage ? La tristesse, oui. Non pas pour m’incruster sur des plateaux télé à pleurer ma peine de n’avoir pas, soit-disant, représenter mon pays à la Coupe du monde de football. Mon salaire mensuel, pardon ma solde, ne dépasse pas 4 chiffres. Mais tous les jours je sers mon pays, ce pays qui m’a vu naitre, ce pays pour lequel, il y a peu, un camarade est tombé en Afghanistan, defendant une partie de la liberté du monde.
L’indignation de voir vos collègues journalistes ne relayer tout cela qu’avec une modeste bande passante en bas de l’écran, ou par un communiqué de quelques secondes me vexe, m’indigne. Servir son pays n’a-t-il plus de signification ? Nous a-t-on oubliés ? »
Scandales: un relent de république bananière !
Y aurait-il quelque chose de pourri au royaume de France ? En quelques jours, c’est un feu d’artifice de grivèleries, indélicatesses et détournements qui éclabousse nos élites !
Ministres, sous-ministres et autres protégés du gouvernement sont pris la main dans le sac, alors même qu’on annonce aux Français le retour de la rigueur… L’affaire Woerth-Bettencourt tient le haut du pavé. Comment Florence Woerth, épouse du ministre du Travail, pouvait-elle ignorer que sa cliente Liliane Bettencourt possédait des avoirs non déclarés à l’étranger, alors même qu’elle travaillait pour la société financière Clymène, chargée de la gestion de la fortune de la milliardaire ? Eric Woerth était-il au courant ? Il affirme le contraire, lui qui a eu un peu de mal à se souvenir avoir remis la Légion d’Honneur à Patrice de Maistre, patron de Clymène. Etait-ce en remerciement des sommes que lui avait versé -légalement- Liliane Bettencourt sur les conseils du même de Maistre ?
Voilà beaucoup de questions… Pour d’autres, on a les réponses. Ainsi, Fadela Amara, secrétaire d’Etat à la Ville, n’a pas fait de difficultés pour reconnaître qu’elle hébergeait des membres de sa famille dans l’appartement payé par la République.
Tout comme Christian Estrosi, ministre de l’Industrie, qui a choisi la franchise en faisant visiter aux journalistes ses deux appartements, payés par le contribuable.
Certains ne pouvaient guère nier, pris la main dans le pot de confiture. Le plus bel exemple, c’est sans doute celui de Christian Blanc, secrétaire d’Etat au Grand Paris, qui a fumé 12 000 euros de cigares en 6 mois, sur le budget du ministère !
Le président du Sénat visé par une plainte pour faux Il n’est même pas besoin d’être ministre pour se sucrer. Que penser de l’indemnité de 9 500 euros attribuée à Christine Boutin pour une mission fumeuse sur la mondialisation, une somme qui venait s’ajouter à sa retraite parlementaire ?
Ce scandale n’a pas servi de leçon à Jeannette Bougrab, nommée à la tête de la Halde par le gouvernement, et qui vient de faire voter, par le collège dirigeant l’instance de lutte contre les discriminations, un doublement de ses indemnités, histoire de passer de 6 900 à 14 000 euros par mois !
D’autres sont moins gourmands mais feraient mieux de réfléchir avant de dire des âneries. C’est le cas de Rama Yade, notre secrétaire d’Etat aux Sports, qui avait dénoncé le faste de l’hôtel des Bleus en Afrique du Sud, oubliant que la chambre qui lui était réservée coûtait encore plus cher.
Et que penser d’Alain Joyandet, secrétaire d’Etat à la Coopération, tancé une première fois pour un déplacement professionnel en jet privé, de nouveau en difficulté pour un permis de construire ?
Verra-t-on la fin de cette série digne d’une république bananière ? Voilà que Gérard Larcher, président du Sénat et maire de Rambouillet, est visé par une plainte pour faux, pour avoir annoncé 2 028 euros d’indemnités d’élus alors qu’il avait reçu 3 129 euros, plus que le plafond autorisé de 2 700.
A qui le tour ?
Retraites: la CGT se moque du monde !
Reçu par mail:
24 juin 2010
Les rédactions de tous les gros médiats reprennent généralement à l’envi le discours simpliste et démagogique des bureaucraties syndicales.Et surtout, les mots d’ordre discrets, via les syndicats de journalistes, consistent à surestimer à l’avance la mobilisation des malcontents revendicateurs. La prise en compte du malaise des usagers des services publics ne s’est introduite, et encore timidement, que dans les années récentes. Les expressions de « prise d’otages » du public, de « privilèges » des régimes spéciaux, ne se sont elles-mêmes introduites que de manière fort modeste, du fait d’une vraie souffrance ressentie par la majorité silencieuse des cochons de payants, assujettis aux monopoles du prétendu « service public ».
Place de la république à midi. Le métro parisien fonctionne très normalement. Je me rends à un rendez-vous fixé à proximité de longue date. Il m’amène au point de rassemblement du défilé commun des protestataires « conservateurs » de ce qu’il considèrent comme un acquis social : « la retraite à 60 ans ». Tout cela [presque] bon enfant. Ballons rouges et cars de la CGT, blancs de la CFDT, délégation du parti socialiste, brochures gauchistes en vente à la sauvette à la sortie du métro. Un pittoresque petit tract a été épinglé sur les platanes du quartier. Il propose de « taxer les robots ». Depuis la sympathique révolte de 1831 des canuts lyonnais contre les métiers à tisser de Jacquard la réflexion a passablement évolué. On n’envisage plus de briser sauvagement les affreux « bistanclaques » : on prétend fiscaliser leur utilisation. La droite archaïque boursicote, la gauche moderne bercycote.
Car on ne doit pas perdre de vue que cette belle journée de saint-jean, ne célèbre pas seulement la première apparition du soleil estival cette année. Elle a été choisie pour défendre les droits à pension, inéluctablement rognés par tout système de répartition. Amusant à première vue, le slogan anti-machiniste cité plus haut peut bien être tenu pour marginal. En 1998, Libération (1) considérait comme un gentil farfelu soixante-huitard cet informaticien britannique alors âgé de 45 ans qui lançait l’idée. Depuis, l’utopie a fait du chemin. Aujourd’hui, on la retrouve dans les projets élyséens de hausses des prélèvements. Le désarroi intellectuel actuel demeure sans contredit. L’idée générale continue de professer le maintien de l’emploi par une baisse artificielle et réglementaire de la productivité.
Bernard Thibault et la CGT peuvent bien plastronner. Au soir de la manif, avec le soutien de tous les autres appareils syndicaux et notamment celui de la CFDT, les renseignements généraux évaluaient à 797 000 le nombre des piétons, contre 395 000 le 27 mai : à peu près exactement le double sur toute la France, mais seulement 47 000 à Paris. Tous comptes faits : moins de monde dans la rue en 2010 qu’en 2009. En gros 800 000 personnes contre 1 200 000. « Le Monde » (2) peut quand même se satisfaire de ce qu’à Pamiers, on a observé le « plus gros défilé depuis 1995 ». Impressionnant. Et, à Strasbourg, nous assure-t-on « plusieurs milliers de personnes ont manifesté, certains au son des vuvuzelas ».
Notons cependant que tout avait été fait en haut lieu, involontairement sans nul doute, pour multiplier les maladresses, les grossièretés.
La personnalité dérisoire de Woerth, mise en avant comme s’il s’agissait de son projet personnel, « révélant » le 16 juin, soudain, comme un lapin tiré d’un chapeau ce projet de sauvetage de la répartition qui ne laisse aucune place ni à aucune forme de libre choix, ni à aucune considération pour les syndicats. « On » avait seulement fait mine de les écouter. Verrouillage total, comme d’habitude. Technocratie sans référence aux débats du parlement, comme depuis un demi siècle. Tout cela pour aboutir à un replâtrage provisoire, comme par le passé. La belle réforme que voilà. Et « on » nous parlait de « rupture » en 2006.
On a pu noter (3) une bonne remarque du secrétaire général de la CGT : « si 23 grévistes footballeurs permettent de changer l’agenda du chef de l’Etat, une telle mobilisation devrait faire de même.(…) J’ai déjà entendu une dizaine de gouvernements dire qu’ils ne reculeraient pas. Cela fera un de plus. »
Mais la vacuité de la prétendue majorité rejoint les carences de l’opposition. On finira par s’entendre – entre nuls.
Sans doute, après quelques mois d’agitation, Thibault sur le perron de l’Élysée, scellera donc une sorte d’accord qui lancera la campagne pour les présidentielles de 2012. Toute le monde sait très bien que, dans le cadre de la répartition, le déplacement de 60 à 62 ans peut difficilement être évité, quand l’Angleterre la fixe désormais à 66 ans, et que l’alignement du statut du secteur public sur celui du secteur privé relève de la plus élémentaire logique dans un pays qui a inscrit le mot Égalité dans sa devise nationale.
Voici en effet (4) ce que, pour financer le maintien du système en l’état « la CGT propose »:
– de lutter contre l’exil fiscal = [selon l’évaluation cégétiste] 15 milliards d’euros par an
– la suppression des exonérations de sécurité sociale patronale = [selon l’évaluation cégétiste] 30 milliards d’euros par an
– d’instaurer une cotisation retraite sur les revenus financiers des entreprises et des banques (260 milliards d’euros par an [selon l’évaluation cégétiste]) [au taux] de 8 %, qui est le taux appliqué aux cotisations sur les salaires = [selon l’évaluation cégétiste] 22 milliards d’euros par an pour les retraites.
– la mise en place d’une cotisation sur les stock-options = [selon l’évaluation cégétiste] 3 milliards d’euros par an pour la sécurité sociale.
– d’instaurer une cotisation sur la participation, l’intéressement, l’épargne d’entreprise = [selon l’évaluation cégétiste] 5 milliards d’euros par an pour la sécurité sociale.
Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? La CGT ne s’en tient pas à ces chimères arithmétiques de « financement » de la seule protection sociale. Sa doctrine fondamentale se résume invariablement dans le slogan : « de l’argent il y en a ». Et cela lui permet de « proposer » un peu plus haut « d’augmenter les salaires »:
– réévaluer l’ensemble des salaires dans toutes les branches d’activité.
– augmenter les retraites actuelles au minimum au niveau du SMIC à 1 600 euros par mois.
Tenons-nous en seulement aux deux points forts de l’arithmétique fiscaliste.
On conviendra qu’ils relèvent de la plus grande confusion. Il s’agit en effet de relever les recettes de l’État, pas celles de l’assurance vieillesse.
La suppression des « niches fiscales » peut paraître elle-même, et pour des raisons diamétralement inverse, de bonne philosophie. En revanche elle ne peut se concevoir que par un abaissement proportionnel des taux de prélèvements correspondants. La seule doctrine convenable en la matière consisterait à réduire d’un bon quart tous les taux de l’impôt sur le revenu, tranche par tranche. Autrement ce que propose la CGT revient à augmenter de 20 ou 30 % ce prélèvement déjà fort lourd.
De plus comme leur nom l’indique les « exils fiscaux » ne risquent pas de diminuer au vu des mesures que les cégétistes suggèrent. Débusquer les traîtres, persécuter les élites et traquer les riches, voilà un programme d’avenir.
La CGT, une fois de plus, en attendant de trahir comme toujours ses idéaux, se moque du monde.
Belgique: le mouvement LA DROITE n’est pas une dissidence du Parti Populaire !
COMMUNIQUE DE PRESSE
Démenti: le mouvement LA DROITE n’est pas une dissidence du Parti Populaire
Sous le titre « Une dissidence du PP fonde La Droite » l’agence Belga a diffusé aujourd’hui une dépêche faisant suite à notre communiqué de presse de ce matin.
LA DROITE est un mouvement politique et ne se présente en aucune manière comme un parti politique.
Même si 2 des 21 fondateurs sont d’anciens membres du Parti Populaire, la grande majorité des fondateurs sont membres du MR, du CdH et pour quelques uns sont encore membres actifs au PP.
L’affirmation d’une dissidence émanant du PP relève, dès lors, d’un raccourci intellectuel et nous y apportons le plus formel des démentis.
Les considérations sur la pseudo éthique du PP, provenant d’un homme inculpé dans une faillite frauduleuse de plus de 10 millions d’euros, sont quant à eux superfétatoires et hors propos. D’autant que Jean Zarzecki, membre du bureau politique et tête de liste du PP dans le Hainaut est impliqué dans une faillite de près d’1 milliards d’anciens francs belges et fait l’objet d’une enquête pour escroquerie par la justice française.
En matière d’éthique certains feraient mieux de se taire.
Anelka: son attitude ne date pas d’hier…
Continue à cracher sur la France, mon pote, continue… Surtout avec l’image musulmano-intégriste que tu trimbales…
Ca date du lundi 21 décembre 2009… Mais déjà là, ça couvait…
FDF
Les récents propos de Nicolas Anelka indignent la France, et, il ne faut pas chercher bien longtemps pour comprendre pourquoi :
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/12/16/01011-20091216FILWWW00418-la-france-pays-hypocrite-anelka.php
Nicolas Anelka, est fils de fonctionnaires de l’état (donc payés par nos impôts). Il a été formé au football à Clairefontaine avec les deniers du contribuable, soigné gratuitement grâce au système de santé français après une blessure au genou. C’est grâce au Paris Saint-Germain, club français, que sa carrière va décoller. En bref, ce joueur doit tout à la France. Du salaire de ses parents, en passant par son éducation, sa santé et sa réussite. Et alors…. ? Et bien, à limage des Johnny et d’autres évadés fiscaux qui doivent tout ce qu’ils ont à la Mère Patrie , Môssieur, payé à coups de millions, ne veut pas payer ses impôts en France.
Trop cher ! Cerise sur le gâteau, non content de cracher dans la soupe, il se permet d’insulter les Français. La France serait un pays d’hypocrites selon lui ! En égard à ses dires, on peut maintenant affirmer qu’en effet, quand on voit son exemple, le reste du monde va avoir du mal à penser qu’il a tort ! Quand le monde entier constate que jamais, Anelka ne chante la Marseillaise, et que bien peu de ses équipiers le font sauf quand un humoriste se fait passer pour le président de la République et « conseille » aux bleus de mettre la main sur le coeur pendant que résonne l’hymne national dans le stade. En conséquence, une question simpose : qui sont les hypocrites ? Ceux qui chantent la Marseillaise pour soutenir leur équipe, ou les joueurs de cette même équipe qui ne portent le maillot bleu que pour servir leur carrière (la mention « international » fait mieux sur un CV et cest vrai pour tous les sports) ?
Non môssieur Anelka, la France n’est pas un pays d’hypocrites et elle vous la fait savoir quand vous avez obtenu votre qualification pour le mondial en Afrique du sud d’une manière bien peu élégante. Les hypocrites, aujourdhui, ils portent le maillot bleu de l’équipe de France de football. De plus, n’est-ce pas une hypocrisie flagrante que d’insulter la France et les Français pour ensuite, porter le maillot bleu de notre équipe nationale ?. Un maillot bleu déjà déshonoré par une tricherie de son capitaine ?
A votre avis, môssieur Anelka, que pensent les Français quand ils voient les rugbymen chanter l’hymne national à tue-tête, quand l’humble et courageux Sylvain Marconnet est ému aux larmes d’être nommé Capitaine et que tous déclarent que c’est un honneur de porter les couleurs de la France ? Que pensent les Français quand ils voient une héroïque équipe de handball féminin, chanter avec conviction la marseillaise et être fière de leur maillot ? Que pensent les Français à l’exemple de cette star du handball qu’est Nicolas Karabatic (dont le palmarès doit vous rendre jaloux….), qui, pour promouvoir son sport dans son pays d’adoption, accepte de rentrer en France avec un salaire moins élevé qu’à l’étranger ?
Alors môssieur Anelka. Répondez nous franchement. Quels sont les exemples à suivre ? Le votre (cest vrai, fric, grosses bagnoles, frime et arrogance jusquà cracher sur la France et les Français, quel exemple !) ou celui des seigneurs que sont nos rugbymen et nos handballeurs(euses) ? A l’évidence, vous n’avez pas les mêmes valeurs…. Conclusion, ne vous étonnez pas si le public français ne se reconnaît pas dans une équipe où sévissent des profiteurs hypocrites .
Source:Reçu par mail…
Marseille: « quand la mosquée fait « boum »!!!
Ben, avec toutes ces pierres non utilisées, il y aura du stock pour les lapidations… Encore un combat d’imams. Je croyais que ce genre de manifestations était interdit, à part dans les « zones sensibles »?
FDF
La mosquée de Marseille au bord de l’implosion.
25 juin 2010

La maquette de la grande mosquée de Marseille. Aujourd’hui, on peut se demander si elle verra le jour.
Photo BAM
Ils avaient « posé la première pierre » dans une ambiance qui sentait bon le consensus. C’était le 20 mai dernier à Saint-Louis (15e). Et on pensait alors que la grande mosquée de Marseille, prévue pour 2012 et pour 5 000 fidèles, était bien sûr les rails. Mais ce projet à 22M€ vacille.
Demain doit se dérouler l’assemblée générale de l’association « La mosquée de Marseille » qui gère le dossier et au cours de laquelle on doit procéder à l’élection du bureau ainsi qu’à celle du président. Et deux camps pourraient bien s’opposer.
D’un côté, il y aura Noureddine Cheikh, le président de l’association, l’homme qui porte le projet depuis le début. De l’autre, une équipe pourrait être soudée autour de l’imam Ghoul, candidat potentiel, et de la trésorière adjointe Fatima Orsatelli, également conseillère régionale PS. C’est justement son engagement politique que ne tolèrent pas certains membres de l’association et quelques élus d’autres bords.
« Un élu doit rester à l’extérieur »
« On cherche à m’exclure mais rien dans les statuts de l’association ne m’interdit d’occuper une fonction politique« , s’insurge l’élue. Aujourd’hui, elle réclame plus de démocratie dans l’association et un meilleur équilibre dans le poids des interventions extérieures. Autrement dit, au niveau des dons (qui paieront entièrement la mosquée), elle voudrait qu’on cesse de privilégier l’Algérie. Un pays comme le Maroc a-t-il été négligé ?
Nourredine Cheikh, qui a toujours voulu jouer l’apaisement, balaie cette idée. « On est ouvert à tout le monde. D’ailleurs, à la cérémonie de la pose de la première pierre, les représentants diplomatiques étaient nombreux. Aujourd’hui, on veut l’égalité et construire cette mosquée avec tous les pays. Je vous signalerai que des liens devaient être tissés avec le Maroc. C’est madame Orsatelli qui en était chargée. Mais elle n’a rien fait. »
Quant à la double casquette de la trésorière, un autre élu, Mourad Goual (UMP), proche du maire de secteur Guy Teissier, monte au créneau : « L’association étant cultuelle, elle doit être composée de membres du culte. Un élu de la République n’a rien à y faire. Il peut être utile mais doit rester à l’extérieur. » Une démission de Fatima Orsatelli, également réclamée par la mosquée de la Porte d’Aix (la plus vieille de Marseille), éteindrait les passions.
Mais on n’en prend pas le chemin. Au contraire, l’assemblée générale devrait tourner au féroce bras de fer, au terme duquel le président pourrait perdre sa place. Le cas échéant, les donateurs potentiels, dont l’Algérie, pourraient se détourner d’une association qui aurait l’air trop perturbée. Ce qui signifierait la mort du projet…
Source: http://tinyurl.com/23yqdfg
Jean-Marie Le Pen: « ça n’engage que moi »…
Petite vidéo sympa et oh combien intéressante. Et que de vérités dites; sacré Jean-Marie!
FDF
On va le regretter, Domenech…
Battu, le Raymond, question salaire aussi…
Jean-Pierre Bernès, l’agent de Laurent Blanc, se serait rendu au siège de la FFF pour boucler le contrat de son client en tant que futur sélectionneur des Bleus. C’est ce que croit savoir la radio RMC. Le montant du salaire négocié ? 100 000 euros. L’ancien champion du monde 98 gagnerait ainsi plus du double du salaire de Raymond Domenech (46700€) aujourd’hui. La durée du contrat s’étalerait sur 2 ans, avec une option pour deux années supplémentaires.
100 000 euros par mois, cela peut paraître beaucoup, mais il faut bien noter qu’il s’agit là d’une baisse de salaire de près de 40 000 euros mensuel pour celui qui est encore pour un court moment l’entraineur des Girondins de Bordeaux (Laurent Blanc touche un salaire de 140.000 euros par mois en Gironde). Heureusement, les primes à la performance, qui représentent une grande partie des gains d’un sélectionneur en France, devrait permettre de combler cet écart…
Belgique: A la piscine de Marcinelle, la racaille a été nettoyée au Kärcher.
25/06/2010
A Wegimont, près de Liège, une classe vient d’annuler son excursion, à cause de la racaille qui sévit sur place. À Charleroi, à la piscine de délassement de Marcinelle, ils connaissent bien ce problème. Mais ils disent avoir nettoyé la racaille du site…
L’année dernière, le CSD, piscine en plein air de Loverval, on se réjouissait du pic de fréquentation. Raison invoquée: une sécurité renforcée.
L’année dernière, Laurent Leglise, le chef du service sécurité, nous déclarait: “ Notre équipe a fait un sacré nettoyage au Kärcher. La délinquance? Elle est quasiment disparue. Il reste encore certaines personnes qui essaient d’entrer sans payer, en escaladant les grilles. Mais on veille ”.
De quoi inspirer Wagimont?
Source: http://tinyurl.com/36o5q39
Les avants et après de la coupe du monde…
Ci-dessous deux vidéos témoins de l’esprit purement sportif de deux équipes et/ou de leurs « supporters » ayant participé à la coupe du monde de foot… Surprenant? Non, édifiant…
FDF
1) http://www.dailymotion.com/video/xdsuwd_buffet-halal-pour-tout-le-monde_news
2) http://www.dailymotion.com/video/xdt4uu_fier-d-eytre-algeyrien-y-ou-francai_news
NON à la grande mosquée de Villefranche-de-Rouergue!!!
25 juin 2010

– Imprimer la première page de l’article à propos de la mosquée, cité ci-dessus :
http://www.ladepeche.fr/article/2010/05/24/841494-Villefranche-Une-mosquee-en-projet.html, directement depuis le navigateur (Fichier [ > Mise en page | Aperçu avant impression ] > Imprimer… > Pages de:1 à:1)
Avec ça le destinataire va comprendre à propos de quoi on lui écrit.
Pour imprimer ce document pdf en trois pages seulement, ne pas imprimer la page de garde (qui ne contient guère que le titre)
Si vous le souhaitez, vous pouvez imprimer d’autres argumentaires à la place
– soit en trois pages eux aussi (voir la rubrique Argumentaires sitamnesty.wordpress.com/argumentaires au paragraphe Documents en 3 pages).
– soit vous pouvez bien entendu aussi imprimer un argumentaire en seulement une page, ou seulement deux pages, ou panacher en trois pages = 1 page + 2 pages etc. comme il vous plaira (voir les divers argumentaires proposés).
En priorité les élus, et ensuite optionnellement les habitants.
On note une étrange tendance récurrente des élus, toutes villes et toutes tendances confondues, à ne faire que le minimum syndical pour l’information des riverains lors d’un projet de construction de mosquée dans leur quartier alors pourtant que ces riverains sont bien évidemment concernés au premier chef. D’ailleurs il ne vient même jamais à l’idée des élus de consulter les riverains pour savoir s’ils veulent ou non d’une mosquée, à croire qu’ils n’ont pas confiance en la démocratie, hormis pour se faire élire et en faire ensuite à leur guise au mépris des habitants.
Puisqu’on ne peut pas compter sur les élus pour faire le travail d’information et de consultation pour lequel ils sont pourtant payés, on va le faire à leur place, toujours avec la même méthode citoyenne de tractage postal. La lettre destinée à la population sera la même que celle destinée aux élus, ne reste qu’à trouver les noms et adresses postales des riverains du projet.
Une fois informés, on peut compter sur les habitants pour aller demander des comptes à leurs élus.
Là encore c’est très simple.
On trouve sur l’annuaire du téléphone pagesjaunes.fr l’adresse de Quoi, Qui Centre des impôts Où Villefranche-de-rouergue dans l’aveyron (12) : rue Emile Borel
Si vous préférez, utiliser n’importe quel autre service cartographique indépendant, tel maps.google.fr ou Viamichelin.fr par exemple, en indiquant de même le nom de la rue et la ville.
Le plan permet de voir les rues voisines et donc d’obtenir, de proche en proche via l’annuaire, tous les nom-adresse de tous les habitants de toutes les rues riveraines du projet de mosquée. Cela va permettre d’informer le plus grand nombre possible de riverains.
Petit à petit, internaute après internaute envoyant lettre(s) après lettre(s), vos missives vont toucher élu après élu, habitant après habitant, au hasard, telles des gouttes de pluie.
Inexorablement, l’information va inonder le conseil municipal et la ville, jusqu’à la goutte qui fera déborder le vase, et ce sera peut-être celle que vous aurez envoyée.
L’URL court tinyurl.com à indiquer dans votre courriel pour le présent article est tinyurl.com/2WFoB6Q