Communiqué de Convergences nationales
13/04/2010
Après le lynchage révoltant d’un jeune homme à Grenoble par une bande de racailles, une nouvelle agression ignoble s’est produite à Toulouse la nuit dernière selon un scénario ressemblant étrangement à celui de Grenoble : un jeune homme et sa compagne ont été violemment pris à partie par des jeunes alors qu’ils regagnaient tranquillement leur domicile. Après avoir demandé, là aussi, une cigarette sans succès, quatre agresseurs ont frappé violemment son compagnon et ont fait subir des violences sexuelles à la jeune femme. Les suspects ont pris la fuite juste avant l’arrivée des secours.
Cette nouvelle agression illustre dramatiquement la montée des violences physiques contre les personnes que dénonçait Marine Le Pen lors de la récente émission « L’objet du scandale » et que M. Hortefeux et les médias font semblant d’ignorer, en mettant en avant la légère décrue des faits globaux constatés alors que les atteintes volontaires à l’intégrité des personnes ne cessent d’augmenter.
Pour Convergences Nationales, l’Etat doit prendre enfin la mesure de cette montée intolérable des agressions physiques. Il est d’abord urgent que le Gouvernement annule les réductions programmées d’effectifs dans la police et la gendarmerie. Il est ensuite impératif de revoir totalement la politique pénale et carcérale, en rétablissant une chaîne de la sanction suffisamment dissuasive et qui conduise à la certitude de la peine pour les criminels et les délinquants potentiels. Il est à cet égard inadmissible que plus de 80 000 condamnés à la prison ferme restent en liberté, et il faut à l’évidence augmenter la capacité carcérale en France. Au lieu de se préoccuper sans arrêt du sort des prisonniers et de pleurnicher sur leur situation, l’Etat ferait mieux d’assurer la sécurité des citoyens, première des libertés, en y mettant les moyens.
Et voila comment ils nous préparent à faire comme aux USA, sortir armés dans la rue , avec tous les criminels en liberté, les fous (pas si fous) en liberté, les racailles en liberté, les burkas (sans savoir qui se cache dessous) en liberté
qu’ils ne viennent pas se plaindre après si des bavures sont commises
pensons à protéger nos familles, nos biens, nos valeurs républicaines avant tout
avec toute la bave qu’ils nous laissent certains vont glisser grave
debout les FRANCAIS
Commentaire par simba — 13/04/2010 @ 13:24 |