Francaisdefrance's Blog

28/01/2010

Islamisation de l’europe. On vous fait un dessin?

Merci à Steph Bergol…

Créés pour emmerder: SOS Racisme 29 et le Mouvement des jeunes socialistes du Finistère…

Les associations-parasites s’en donnent à coeur joie. Qu’elles en profitent, ça ne va pas durer…

FDF

Sous la pression de SOS Racisme, l’UMP censure encore un de ses sites

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27/01/2010

BREST

L’UMP du Finistère avait paru faire un petit écart par rapport à la pensée unique. Il a suffi que le MJS et SOS Racisme fassent les gros yeux pour que son président se confonde en excuses.

« Depuis plusieurs semaines, la presse algérienne se fait l’écho de tensions entre la communauté chinoise installée en Algérie et la population locale. (…) Mais que les Algériens se rassurent, leurs immigrés chinois ne brûlent pas encore le drapeau national dans la rue… » Lecteurs assidus du blog de l’UMP de la deuxième circonscription du Finistère, le Mouvement des jeunes socialistes du Finistère et SOS Racisme 29 n’ont pu supporter ce tableau : ils ont porté plainte pour incitation à la haine raciale.

Le texte n’était pourtant pas très virulent – bien moins en tout cas que ceux de certains médias algériens comme Jijel Info après les graves incidents qui ont opposé immigrés Chinois et Algériens de souche à Bab Ezzouar (photo), dans la banlieue d’Alger, en août dernier. De nombreux journaux et sites web français en avaient déjà fait état avant l’UMP 29, sans susciter apparemment la même ire de la part du MJS et de SOS Racisme.

Alerté, Patrick Berthelot, président de l’UMP dans le Finistère, a fait exactement ce que n’importe quel spécialiste de la communication de crise lui aurait conseillé de ne pas faire : il a désavoué son webmestre, Jean-René Le Leannec. Il a même annoncé dans la foulée les excuses publiques réclamées par le duo socialistes-sosistes !

« Jean-René est apprécié des militants », note un ancien adhérent brestois de l’UMP. « Patrick Berthelot, un personnage secondaire arrivé à la présidence en tant que plus petit commun dénominateur*, a pris un risque pour l’UMP… ou pour son propre poste. »

L’article a été aussitôt retiré du site. On a juste oublié de supprimer aussi les commentaires des lecteurs, dont le plus éloquent tenait en deux mots : « Sans couilles ». On a aussi censuré au passage un précédent post de Jean-René Le Leannec intitulé « Les minarets en Suisse …c’est NON …et chez nous …à Barbès ? », avant de le supprimer totalement. Il avait été publié le 30 novembre 2009 sans susciter de réaction du président local de l’UMP. Il est vrai que les jeunes socialistes ne lui avaient pas dit quoi faire à l’époque.

Tant qu’ils se sentent écoutés, ils devraient aussi exiger la suppression immédiate d’un post publié le 11 décembre 2009 par le même Jean-René Le Leannec sous le titre : « L’identité nationale… déjà d’actualité le 5 mars 1969… » Il est constitué de ce texte du général De Gaulle :

« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoire ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec turbans et djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants.

Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et les Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcher de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ?

Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées. »

Une autre vision de « La France d’après » que celle que l’UMP veut montrer à quelques semaines des élections régionales.

* « La notoriété de Patrick Berthelot est restée confinée à la presqu’île de Crozon », écrivait Le Télégramme en 2008 lors de son accession à la présidence de l’UMP 29.

vu sur http://fr.novopress.info/47010/sous-la-pression-de-sos-racisme-lump-censure-encore-un-de-ses-sites/

La « Catho » de Paris a diplômé ses premiers responsables musulmans.

27/01/2010

Lundi 25 janvier, une vingtaine d’étudiants, responsables d’associations, imams ou aumôniers musulmans ont reçu leur diplôme à l’Institut catholique de Paris

Messaouda Houha est l’une des six femmes à avoir reçu lundi soir 25 janvier le diplôme universitaire « interculturalité, laïcité et religions », remis par François Bousquet, vice-recteur de l’Institut catholique de Paris. À 47 ans, cette mère de cinq enfants, arrivée il y a neuf ans de son Algérie natale, fut d’abord aumônier de prison agréée. Elle est désormais aumônier militaire, à l’hôpital militaire de Lyon et à l’École de santé.

Si elle a suivi la formation mise en place en 2007 par la faculté des sciences sociales et économiques (Fasse) de l’Institut catholique de Paris, destinée aux cadres religieux, culturels et associatifs en priorité de confession musulmane, c’est parce que « le religieux », elle avait « grandi dedans », alors qu’elle n’avait « pas grandi avec l’histoire de la France ».

« La formation m’a permis de comprendre les institutions et le droit des religions, précise-t-elle, mais aussi de découvrir la force du dialogue. »

Vivre leur religion de manière sereine dans un pays sécularisé

Autres diplômées : Marwa Cherif, 22 ans, étudiante en orthoptie, et… sa mère, épouse du président du conseil régional du culte musulman de Normandie. « Cela m’a permis de voir les choses sous un autre angle », explique Marwa, qui a écrit un mémoire sur les conséquences fiscales de la loi de 1905.

« La formation m’aide pour les aspects juridiques et pratiques », précise sa mère, Rim, très engagée dans le monde associatif et qui a consacré son mémoire au « rôle de la femme dans une association musulmane ». Rim confie avoir apprécié l’ouverture interculturelle, « essentielle pour comprendre l’autre, sa culture ». Tout comme Rachid Ayach, 39 ans, diplômé de théologie de l’université de Médine (Arabie saoudite), qui a également suivi avec succès la formation.

Commerçant et aujourd’hui imam bénévole du Centre culturel islamique de Bourg-en-Bresse (Ain), Rachid estime que cette formation lui permet « de mieux comprendre, donc de mieux expliquer les codes culturels de la société française et les principes du pacte social sur lequel repose la société, et d’aider les musulmans à vivre leur religion de manière sereine dans un pays très sécularisé ». Son mémoire porte sur le « rôle religieux et social de l’imam en France ». Rachid espère qu’il lui permettra, avec son diplôme, de devenir imam salarié.

La formation suscite un intérêt croissant

Licencié en science islamique, aumônier militaire musulman après avoir été technicien en maintenance aéronautique et conseiller en insertion socioprofessionnelle, Abdelhakim Mokhaissi, 32 ans, a particulièrement apprécié les cours de médiation et de droit des cultes : « Être parmi les hommes au quotidien, dans les moments de joie comme de peine, demande des connaissances et des compétences. Plus ces dernières sont développées, plus il est facile de relativiser. »

Aucun des 22 diplômés de la promotion 2009 ne se plaint de l’investissement exigé (quatre cents heures de travail, dont deux cent dix de cours le week-end !) par une formation qu’Olivier Bobineau, sociologue, directeur et maître d’œuvre du contenu pédagogique du diplôme, qualifie de « véritable antichoc des civilisations ».

Lancée sur une idée de la République française et réalisée paradoxalement par l’Institut catholique de Paris en raison du refus, au nom de la laïcité, des universités publiques de dispenser un programme de mise à niveau à des étudiants de confession musulmane, la formation suscite d’ailleurs un intérêt croissant. Cette année, une trentaine d’étudiants, dont quatre femmes et, pour la première fois, des Africains, se sont inscrits.

Source: la-croix.com

Affaire Geert Wilders: le soutien d’un citoyen Français. Exemple à suivre…

« Voici la lettre que j’ai envoyée le 21 janvier 2010, par la Poste et par courriel, à l’ambassadeur des Pays-Bas à Paris :

Monsieur l’Ambassadeur

Au moment où s’ouvre le procès de votre compatriote Geert Wilders il m’est venu à l’esprit cette conviction. Si Winston Churchill était encore parmi nous, il aurait pu adresser à ceux qui ont décidé d’envoyer Monsieur Wilders en procès un message semblable à celui qu’il adressait, l’année de ma naissance, à Messieurs Daladier et Chamberlain revenant de Munich :

« Vous avez choisi de faire un honteux procès à Monsieur Wilders pour n’avoir pas à affronter l’envahissante violence islamique dans votre pays et en Europe. Vous porterez la honte, mais vous devrez affronter l’envahissante violence islamique ».

Aux Pays-Bas comme en France, des démocrates à la dérive entretiennent délibérément une confusion qu’ils ont eux-mêmes créée. Ils veulent faire croire que la mise en lumière des explicites appels à la violence contenus dans le Coran exprime du mépris pour ceux des musulmans qui sont pacifiques, dont la très grande majorité d’entre eux qui n’ont jamais CHOISI d’être musulmans.

Parce que je me suis moi-même indigné contre cette écoeurante entreprise, je veux ici vous répéter dans quels termes j’ai exprimé cette indignation, en octobre 2008, dans le numéro 59 de la revue Riposte Laïque éditée sur Internet :

«  »Je suis sereinement islamophobe. J’ai la phobie, la crainte de l’islam, et cela entraîne chez moi de l’aversion pour cette religion tout simplement parce qu’elle me menace et nous menace tous, parce qu’elle méprise les femmes et les empêche de vivre, parce qu’elle empêche des peuples entiers d’accéder aux libertés démocratiques, parce qu’elle cultive et pratique la violence dans les pays où elle domine et, maintenant, dans le monde entier, parce qu’elle empêche de vivre en paix dans la diversité et la solidarité, parce qu’elle donne une image épouvantable de la religion, laquelle n’est nullement, pour moi, une ennemie.

Mon islamophobie n’entraîne chez moi nulle petite trace de racisme. Je respecte a priori les Arabes, les Turcs, les Pakistanais, les Indiens, les Indonésiens, les Africains et tous les peuples chez lesquels l’islam est très implanté, exactement comme je respecte a priori, ni plus ni moins, les Français, les Anglais, les Belges, les Hollandais, les Espagnols, les Italiens… chez lesquels l’islam est moins présent.

La démarche qui veut faire de l’islamophobie un racisme doit être dénoncée pour ce qu’elle est, une flagrante malhonnêteté. Même quand c’est la démarche de « dignitaires » – en réalité fort peu dignes – qui siègent dans une commission dite « des droits de l’homme » à l’ONU, droits de l’homme dont ils sont en train d’inverser, tout simplement, la définition, ce qui devrait révolter et mobiliser les États démocratiques dignes de ce nom. » »

Cette dernière précision visait la démarche persistante de la dite « Commission des droits de l’homme » pour faire interdire, non pas la transmission et la justification des appels à la violence religieuse mais la CRITIQUE de ces appels, ainsi que toute autre critique des religions. Comme je l’ai fait auparavant durant de longues années, et comme je continue de le faire, j’affirme que c’est au contraire l’ENSEIGNEMENT et la JUSTIFICATION des violences prétendument voulues par Dieu qui doivent être très fermement rejetées par les croyants pacifiques de toutes les religions, dont ceux qui sont musulmans, comme par tous les authentiques défenseurs agnostiques ou athées des droits humains.

J’espère que les juges auxquels on demande de condamner Monsieur Wilders refuseront de le faire, et qu’ils condamneront au contraire, comme lui-même, LES CAUSES de son indignation et la justification multiforme de ces causes.

L’honneur de votre pays, un instant entaché par l’indigne démarche de quelques adversaires des droits humains serait alors rétabli, pour le plus grand bien des hollandais et des autres européens.

Parce que je ne crois pas que les initiateurs du honteux procès fait à Monsieur Wilders sont représentatifs du grand peuple que vous représentez en France, je vous prie de croire, Monsieur l’Ambassadeur, à mes très respectueux sentiments. »

P. R., un simple citoyen français.

Dhimmitude: Le maire de Strasbourg juge l’islam « en adéquation avec les valeurs européennes »…

Encore un élu lèche-babouches… C’est pas possible, il y a un nid???

FDF




Le maire de Strasbourg juge l’islam « en adéquation avec les valeurs européennes »

27 janvier 2010 | Imprimer cet article

Le maire de Strasbourg juge l'islam « en adéquation avec les valeurs européennes »27/01/2010
STRASBOURG

L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a élu lundi à sa présidence le Turc Mevlüt Çavusoglu, seul candidat en lice, pour un an renouvelable. C’est la première fois que la Turquie, membre fondateur de l’ACPE depuis 1949, accède à cette fonction. Mevlüt Çavusoglu est cofondateur du Parti Justice et Développement (AKP), le parti islamiste « modéré » au pouvoir à Ankara. La Turquie prendra également la présidence du Comité des ministres du Conseil de l’Europe pour une durée de six mois à partir de novembre 2010.

Roland Ries, sénateur-maire PS de Strasbourg, a adressé dès lundi une lettre de félicitations au nouveau président, en spécifiant : « Alors que, dans de nombreux Etats, l’Europe fait face à un repli identitaire, votre élection constitue en particulier le symbole de l’adéquation entre l’islam et les valeurs européennes. »

Le 11 janvier, le prédécesseur de Mevlüt Çavusoglu à la présidence de l’ACPE, l’Espagnol Lluis Maria de Puig, indiquait dans un communiqué officiel que « la pratique de la dissolution de partis politiques en Turquie reste une source d’inquiétude ». Il faisait référence à la récente dissolution du Parti de la Société Démocratique (DTP) pro-kurde, à la suite d’une décision de la Cour constitutionnelle turque.



Source: Novopress.info, 2010

Des primes à la conversion en France ? Rien d’étonnant; « ILS » essayeront tout!

28.01.2010

La finance islamique, c’est ça, aussi…

FDF

Le mensuel catholique Il est vivant n°267 de janvier 2010 rapporte un témoignage inquiétant page 17. Des françaises de souche seraient corrompues par des islamistes pour porter le voile, méthode pratiquée jusque là seulement par les mouvements islamistes du Moyen-orient et d’Afrique :

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Source: islamisation.fr

Arrêtez le procès de Geert Wilders ! La mascarade a assez duré !

Faut-il stopper Le procès de Geert Wilders ?

27 janvier 2010

Un article que nous avons traduit du Wall Street Journal, demande l’arrêt immédiat du procès de Wilders. Mais pas comme on pourrait l’espérer, dans l’idée de protéger la liberté d’expression d’un homme politique néerlandais, mais plutôt dans le but de conserver intacts les vilains secrets du Coran et de pouvoir continuer à taire la vérité sur le message de la “Religion de Paix”.

Arrêtez le procès de Geert Wilders Par Leon de Winter

Ce qui devait au départ être un procès contre Geert Wilders accusé d’” islamophobie” a presque été transformé en son contraire : un procès historique sur le message du Coran.

Le tribunal d’Amsterdam poursuivant l’homme politique néerlandais controversé est aujourd’hui obligé de répondre à la question si oui ou non ce livre sacré pour plus d’un milliard de croyants, peut être comparé au livre d’Hitler ”Mein Kampf”, l’une des publications les plus vils dans l’histoire de la civilisation occidentale. Demandez vous ce qui pourrait mal tourner.

Dans ses écrits et discours, M. Wilders a estimé que ces deux œuvres sont semblables en termes d’antisémitisme et d’incitation à la haine, et a donc appelé à une interdiction de publication sur le Coran, similaire à celle mise en place pour Mein Kampf. C’est ce qui  a déclenché des poursuites contre M. Wilders, pour propos discriminatoires et injurieux à l’encontre des musulmans et de l’islam. Le politicien néerlandais, cependant, nie avoir insulté les musulmans. Il insiste que lui met l’accent sur l’Islam radical et le Coran, qu’il considère non seulement comme un texte religieux mais aussi un pamphlet politique encourageant les musulmans à discriminer et, si nécessaire, à tuer les juifs, les chrétiens, les apostats et les autres infidèles. C’est pourquoi M. Wilders réclame le droit de critiquer et de condamner l’islam.

Suite aux plaintes déposées par des activistes musulmans pour la plupart, et des radicaux de gauche, le procureur de district d’Amsterdam en 2008 n’avait d’abord trouvé aucune base légale pour entamer des poursuites contre M. Wilders. Mais les procureurs ont été forcés de changer de cap après qu’une cour d’appel partisane a ordonné ces poursuites contre M.Wilders et de fait, a condamné l’homme politique avant tout procès et sans que M. Wilders ait une chance de se défendre. Cette intervention inhabituelle de la cour, illustre la confusion néerlandaise sur le conflit existant entre deux droits essentiels : le droit à la liberté d’expression et le droit à la protection contre la discrimination.

Selon les sondages, le Parti de la Liberté de M. Wilders , un mouvement libertarien-conservateur à tendance populiste, est actuellement le parti politique le plus populaire aux Pays-Bas. Si des élections avaient lieu aujourd’hui, M. Wilders serait un challenger sérieux pour le poste de Premier ministre. Les détracteurs de M. Wilders se trompent s’ils pensent que la condamnation pourrait lui nuire politiquement. Quelle que soit l’issue du procès, il en sortira gagnant : Si le tribunal restreint le droit de M. Wilders à sa liberté d’expression, de nombreux Hollandais vont interpréter cela comme un effort de la classe politique politiquement correcte  de limiter la force croissante du Parti de la Liberté, ce qui ne fera qu’attirer vers lui encore plus d’électeurs. Si, à l’invers, le procureur public ne parvient pas à prouver que M. Wilders a délibérément insulté les musulmans en raison de leur religion, l’opinion de M. Wilders sera considérée comme justifiée. Et là encore, il en tirera un gain politique.

Plus important encore, les poursuites contre M. Wilders pourraient au bout du compte, créer sans le vouloir une crise entre les Pays-Bas et le monde islamique. Ce qui se retrouve sur la sellette n’est pas tant Geert Wilders, mais le livre saint de l’Islam. Le 20 janvier dernier, le premier jour du procès, l’équipe de la défense de M. Wilders a présenté à la cour une liste de témoins experts qui révèle ce que sera  sa stratégie de défense. Les témoins experts, un groupe d’universitaires de renommée internationale, d’une part et, d’autre part, des islamistes radicaux (dont Mohammed Bouyeri, l’assassin de Theo van Gogh, et Mesbah Yazdi l’influent ayatollah iranien, radicalement anti-sémite et religieux mentor du président iranien Ahmadinedjad), seront appelés à témoigner sur le message du Coran et sur la comparaison faite avec Mein Kampf par M. Wilders. Comme M. Wilders l’a déclaré lors de la première et seule audience à ce jour, si ses déclarations sur le Coran et Mein Kampf s’avèrent correctes, il ne peut pas être condamné pour avoir dit la vérité. Ainsi l’équipe chargée de sa défense se concentrera sur les points violents et extrêmes dans le Coran, en les comparant à des paragraphes dans Mein Kampf.

L’accusation ne s’est pas opposée à l’appel des témoins dans le but de faire la lumière sur le Coran et Mein Kampf mais elle a seulement objecté sur le  grand nombre de témoins cités (17 en tout). Donc très probablement la cour devrait permettre à la plupart des témoins sur la liste de témoigner. Sans aucun doute, il y a de nombreuses remarques anti-juives dans le Coran. Selon certains chercheurs, il y en aurait même davantage dans le Coran que dans Mein Kampf. Il est donc tout à fait concevable que le tribunal juge que Geert Wilders était dans son droit lorsqu’il a comparé le Coran à Mein Kampf. Tout est possible dans ce procès absurde.

Les trois juges saisis de l’affaire, sans doute des hommes décents, modestes, hollandais postmodernes avec donc un minimum de connaissances de l’islam, de sa culture et de ses traditions, se voient maintenant obligés de débattre de la nature d’un texte religieux, chose qui ne s’était encore jamais vue dans un tribunal d’une société éclairée. Devant les juges et les caméras de télévision, le texte fondateur  de toute une civilisation sera critiqué et mis en comparaison avec l’un des textes les plus inhumains écrit au 20e siècle, ce qui constitue sans aucun doute une insulte profonde pour les musulmans, radicaux ou non.

Mais il y a une porte de sortie. Le bureau du procureur de l’État a respecté l’ordonnance de la cour d’appel de poursuivre M. Wilders. Le procès a commencé. Il devrait maintenant demander au tribunal l’acquittement. Ce procès absurde doit s’arrêter immédiatement.

Source : Wall Street Journal via Atlas Shrugs



Source:  http://www.bivouac-id.com/2010/01/27/faut-il-stopper-le-proces-de-wilders/

A diffuser à votre épicier pas à ceux qui sont déjà convaincus …….

Clandestins: l’autre cancer de la France…
27/01/10 16:36
A son journal du soir, le 19h45 du 25 janvier 2010, la chaîne de
télévision M6 a indiqué que le sondage en ligne
qu’elle avait effectué sur la question « Clandestins : la France doit-elle
accorder le droit d’asile aux familles kurdes ? » (débarquées en Corse le 22 janvier) avait amené 73% de «
non »,
20% de « oui » et 7% de « sans opinion »,
sur 34 506 réponses. La présentatrice en était consternée! C’est encore pire que la votation suisse…
Le divorce entre les peuples européens et leurs « élites » est total.
Relisons Jean Raspail, et reprenons notre destin en mains.
Jean Raspail : « Toute l’Europe marche à la mort »
« J’ai tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence
d’un colis piégé. Difficile de l’aborder de
front sans qu’il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile.
C’est pourtant l’interrogation capitale.
J’ai hésité. D’autant plus qu’en 1973, en publiant Le Camp des saints,
j’ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je
n’ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont
Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce
qu’« ils sont chez eux chez moi »
(Mitterrand), au sein d’une « Europe dont les racines sont autant
musulmanes que chrétiennes » (Chirac), parce que
la situation est irréversible jusqu’au basculement définitif des années
2050 qui verra les « Français de souche » se
compter seulement la moitié la plus âgée de la population du pays, le
reste étant composé d’Africains, Maghrébins ou
Noirs et d’Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir
inépuisable
du tiers monde, avec forte dominante de
l’islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne
faisant que commencer.
La France n’est pas seule concernée. Toute l’Europe marche à la mort.
Les
avertissements ne manquent pas rapport
de l’ONU (qui s’en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude
Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment , mais
ils sont systématiquement occultés et l’Ined pousse à la désinformation.
Le silence quasi sépulcral des médias, des
gouvernements et des institutions communautaires sur le krach
démographique de l’Europe des Quinze est l’un des
phénomènes les plus sidérants de notre époque. Quand il y a une naissance
dans ma famille ou chez mes amis, je ne
puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour
lui dans l’incurie des « gouvernances » et
qu’il lui faudra affronter dans son âge d’homme.
Sans compter que les « Français de souche », matraqués par le tam-tam
lancinant des droits de l’homme, de «
l’accueil à l’autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés
par tout un arsenal répressif de lois dites
« antiracistes », conditionnés dès la petite enfance au « métissage »
culturel et comportemental, aux impératifs de
la « France plurielle » et à toutes les dérives de l’antique charité
chrétienne, n’auront plus d’autre ressource que
de baisser les frais et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule
« citoyen » du Français de 2050. Ne
désespérons tout de même pas. Assurément, il subsistera ce qu’on appelle
en ethnologie des isolats, de puissantes
minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français et pas
nécessairement tous de race blanche qui parleront
encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront
à rester imprégnés de notre culture et de
notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en
génération. Cela ne leur sera pas facile.
Face aux différentes « communautés » qu’on voit se former dès
aujourd’hui
sur les ruines de l’intégration (ou
plutôt sur son inversion progressive : c’est nous qu’on intègre à «
l’autre », à présent, et plus le contraire) et
qui en 2050 seront définitivement et sans doute institutionnellement
installées, il s’agira en quelque sorte je
cherche un terme approprié d’une communauté de la pérennité française.
Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa
natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de
solidarité, peut-être même ses zones
géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses
places
de sûreté et, pourquoi pas, sa foi
chrétienne, et catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient
encore.
Cela ne plaira pas. Le clash surviendra un moment ou l’autre. Quelque
chose comme l’élimination des koulaks par
des moyens légaux appropriés. Et ensuite ?
Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que
par des bernard-l’ermite qui vivront dans
des coquilles abandonnées par les représentants d’une espèce à jamais
disparue qui s’appelait l’espèce française et
n’annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle
qui dans la seconde moitié de ce siècle se
sera affublée de ce nom. Ce processus est déjà amorcé.
Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement
qu’en privé et qui nécessiterait auparavant
que je consultasse mon avocat, c’est que les derniers isolats résistent
jusqu’à s’engager dans une sorte de
reconquista sans doute différente de l’espagnole mais s’inspirant des
mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à
écrire là-dessus. Ce n’est pas moi qui m’en chargerai, j’ai déjà donné.
Son auteur n’est probablement pas encore né,
mais ce livre verra le jour à point nommé, j’en suis sûr.
Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de
perplexité navrée, c’est pourquoi et
comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français
concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose
dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France (évitons le
qualificatif d’éternelle qui révulse les belles

consciences) sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé. Je me pose la

même question à propos de toutes ces
associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes
ces ligues, ces sociétés de pensée, ces
officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans
tous
les rouages de l’Etat (éducation,
magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires
innombrables, ces médias correctement
consensuels et tous ces « intelligents » qui jour après jour et
impunément
inoculent leur substance anesthésiante
dans l’organisme encore sain de la nation française.
Même si je peux, à la limite, les créditer d’une part de sincérité, il
m’arrive d’avoir de la peine à admettre que
ce sont mes compatriotes. Je sens poindre le mot renégat, mais il y a une
autre explication : ils confondent la
France avec la République. Les « valeurs républicaines » se déclinent à
l’infini, on le sait jusqu’à la satiété,
mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d’abord une
patrie charnelle. En revanche, la
République, qui n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux
d’idéologie, idéologie avec un grand « I
», l’idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu’ils trahissent
la première pour la seconde.
Parmi le flot de références que j’accumule en épais dossiers à l’appui
de
ce bilan, en voici une qui sous des
dehors bon enfant éclaire bien l’étendue des dégâts. Elle est extraite
d’un discours de Laurent Fabius au congrès
socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « Quand la Marianne de nos mairies
prendra le beau visage d’une jeune
Française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un
pas
en faisant vivre pleinement les valeurs
de la République. »
Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure : «
Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra
endiguer le raz de marée constitué par les millions d’êtres humains qui
partiront un jour de la partie méridionale
et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement
ouverts du riche hémisphère septentrional, en
quête de survie. » (Président Boumediene, mars 1974.)
Et celle-là, tirée du XXe chant de l’Apocalypse : « Le temps des mille
ans s’achève. Voilà que sortent les nations
qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable
de
la mer. Elles partiront en expédition sur
la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville
bien-aimée. »
Source:  Jean RASPAIL dans Le Figaro n° 18619 du jeudi 17 juin 2004 : « La Patrie
trahie par la République »

Piqûre de rappel: La traite musulmane…

Après l’Afrique, l’Occident… Prenons les devants.

FDF


La traite musulmane — au-delà de l’horreur

Ce livre de Tidiane N’Diaye est l’une des choses les plus fortes et les plus douloureuses qui soient à lire:

Sous l’avancée arabe, (…) des millions d’Africains furent razziés, massacrés ou capturés, castrés et déportés vers le monde arabo-musulman. Cela dans des conditions inhumaines, par caravanes à travers le Sahara ou par mer, à partir des comptoirs à chair humaine de l’Afrique orientale.

Telle était en réalité la première entreprise de la majorité des Arabes qui islamisaient les peuples africains, en se faisant passer pour des piliers de la foi et les modèles des croyants. Ils allaient souvent de contrées en contrées, le Coran d’une main, le couteau à eunuque de l’autre, menant hypocritement une «vie de prière», ne prononçant pas une parole sans invoquer Allah et les hadiths de son Prophète.

Et l’auteur nous livre (presque) tous les détails. Les tactiques employées inspirées du djihad (attaques surprises en pleine nuit, suivies du massacre des vieux) puis enseignées aux partisans, le cynisme, la zizanie, les justifications racistes bestiales, les motivations mercantiles, la légalisation et la sanctification de la traite, l’effondrement des civilisations africaines, le dépeuplement systématique de régions entières, grandes comme des pays européens, et les cortèges d’esclaves, le long de routes marquées de part et d’autre par les squelettes blanchis et les dépouilles plus récentes, mutilées, de leurs prédécesseurs tombés en chemin, les castrations systématiques, souvent totales (75% de mortalité, mais une valeur multipliée sur le marché), les avortements et assassinats réguliers des enfants des esclaves sexuelles, l’épouvantable «normalisation» de ces processus, des siècles durant:

Stanley constata que dans certaines régions d’Afrique, après leur passage [des négriers arabo-musulmans], il ne subsistait guère plus de 1% de la population. Dans le Tanganyika, les images des horreurs de la traite étaient visibles partout. Nachtigal, qui ne connaissait pas encore la région, voulut s’avancer jusqu’au bord du lac. Mais, à la vue des nombreux cadavres semés le long du sentier, à moitié dévorés par les hyènes ou les oiseaux de proie, il recula d’épouvante.

Il demanda à un Arabe pourquoi les cadavres étaient si nombreux aux environs d’Oujiji et pourquoi on les laissait aussi près de la ville, au risque d’une infection générale. L’Arabe lui répondit sur un ton tout naturel, comme s’il se fût agi de la chose la plus simple du monde: «Autrefois, nous étions habitués à jeter en cet endroit les cadavres de nos esclaves morts et chaque nuit les hyènes venaient les emporter: mais, cette année, le nombre des morts a été si considérable que ces animaux ne suffisent plus à les dévorer. Ils se sont dégoûtés de la chair humaine.»

Et les chiffres, les comparaisons, les estimations. Les dates, les décisions. Quelques dessins et photographies. La reconnaissance de la lutte contre l’esclavage par divers mouvements civiques, religieux et politiques de l’Occident, mais aussi les tergiversations des acteurs des grandes puissances après que tout cela ait été révélé et officiellement condamné. Les veuleries, les complicités. Mais surtout: la totale absence de repentir, de quelconque regret, des Musulmans ou des Arabes actuels:

Il serait grand temps que la génocidaire traite négrière arabo-musulmane soit examinée et versée au débat, au même titre que la ponction transatlantique. Car, bien qu’il n’existe pas de degrés dans l’horreur ni de monopole de la cruauté, on peut soutenir, sans risque de se tromper, que le commerce négrier arabo-musulman et les jihâd (…) provoqués par ses impitoyables prédateurs pour se procurer des captifs furent pour l’Afrique noire bien plus dévastateurs que la traite transatlantique. Et ce, encore sous nos yeux aujourd’hui (janvier 2008), avec son lot de massacres, avec son génocide à ciel ouvert.

L’auteur décrit les différents types d’esclavage. Celui des Africains entre eux (qu’il assimile à un servage), celui des Arabes, puis celui des Occidentaux. Il passe en revue les grands événements, les capitulations et les actes de résistance (contre Saladin, par exemple, qui finit par écraser les révoltés noirs), fait le portrait des acteurs marquants, de criminels abjects, et de héros, et héroïnes, de la tragédie. Il dessine les routes de l’esclavage, en explique les motivations, les impératifs, les sources et les utilisations; il cite les témoins.

Son approche de l’Islam est très équilibrée. Il veut croire que le Coran permet des interprétations humanistes, digne d’une religion normale; il cite des hadiths utilisables dans ce sens, conteste la validité d’interprétations racistes des textes, mentionne des Musulmans qui ont combattu l’esclavage, et prend la peine, à plusieurs reprises, d’affirmer que les motivations religieuses des négriers servaient de paravent à des intentions purement criminelles. Mais il relève tout de même que

L’esclavage étant validé et institutionnalisé par l’Islam, il eût été impie chez les Arabes de le remettre en cause. «L’esclavage en terre d’Islam reste un sujet à la fois obscur et hypersensible, dont la seule mention est souvent ressentie comme le signe d’intentions hostiles», notait ainsi l’historien Bernard Lewis.
(…)
Ces Arabes commettaient les pires crimes en Afrique, mais pensaient qu’ils n’en restaient pas moins fidèles aux principes de l’Islam, qui autorisent l’esclavage. Leurs actions étaient favorisées par les moeurs et encouragées par des traditions religieuses qui, à leurs yeux, étaient plus fortes que toutes les lois de la terre. Ils n’avaient donc à cacher leurs crimes qu’aux croiseurs européens, puisque leurs gouvernements les approuvaient entièrement.

Et on ne peut pas manquer d’être troublé, même si l’ouvrage ne le signale pas, par le parallélisme entre le phénomène religieux islamique et ce que l’auteur nomme l’«extinction ethnique programmée» menée par des Musulmans en Afrique.

À lire absolument. Je recommande d’en acheter plusieurs exemplaires pour les bibliothèques de vos écoles.

Une autre citation sur les relations du phénomène avec l’histoire européenne:

L’Afrique du Nord que les Occidentaux ont longtemps qualifiée de Barbarie, du grec barabaros qui désigne tout étranger à la civilisation gréco-romaine, est une vaste étendue de terres en grande partie désertiques. Ses habitants, appelés Barbaresques, étaient des brigands qui, jusqu’au XIXe siècle, pillaient les navires européens en Méditerranée. Ils menaient également de nombreux raids sur la terre ferme en Corse, en Sardaigne, sur les côtes d’Espagne, de France, d’Italie et de Grèce.

Ils capturaient des Européens et ne les rendaient à leurs familles que contre rançon ou les réduisaient en servitude. Ces Barbaresques asservirent ainsi pendant des siècles de nombreux captifs chrétiens. On disait d’eux: «Plus que des marchandises pillées, les Barbaresques tiraient profit des captifs. Le chrétien cessait d’être un infidèle qu’on arrachait à son pays pour devenir un objet de négoce, dont on essayait de se débarrasser le plus vite et le plus cher possible.» Pendant des siècles, l’Église catholique n’eut de cesse de les racheter. C’est cette piraterie qui sera l’un des motifs essentiels de la colonisation de l’Algérie par la France.

Le rachat des esclaves de Musulmans par des organisations chrétiennes se poursuit. Voir par exemple:

Enfants esclaves: A nouveau, 200 d’entre eux ont été libérés. La plupart font état de mauvais traitements et d’islamisation forcée.

Voir aussi cette interview de l’auteur.

Source: http://www.ajm.ch/wordpress/?p=1098%3E

« Les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant 13 siècles » : François Desouche
June 8th, 2008

Indre et Loire: Vols, violences et stupéfiants, ça marche fort…

Sécurité

Les chiffres sont extrêmement éloquents. En un an, le nombre de faits de délinquance attribuables à des mineurs a augmenté très fortement passant de 1.287 en 2008 à 1.644 en 2009. La hausse du nombre de mineurs mis en cause est très supérieure à la tendance nationale. … > Article complet

Invasion-Paris: 10.575 « nouveaux français » par naturalisation en 2009.

Vive la France !


27/01/2010

10.575 personnes ont été naturalisées françaises en 2009 à Paris, soit une augmentation de 48% par rapport à 2008, et de 247% par rapport à l’année 2005, indique aujourd’hui PPrama, la lettre hebdomadaire de la préfecture de police (PP).

Selon la PP, cette augmentation est notamment due à la mise en cohérence du mode de traitement des dossiers. Les procédures bureautiques ont été considérablement simplifiées et, côté usagers, une aide par Internet à la constitution de dossiers a été mise en place, ce qui a permis d’accélérer les délais de traitement.

La PP indique également que 112.387 titres de séjour, dont 30.688 en 1ère délivrance et 81.699 en renouvellement, ont été délivrés par la préfecture de police pour l’année 2009.

Source: AFP

Et notre cher président Sarkö Ier qui vient de nous PROMETTRE une baisse du chômage imminente…

FDF

Précisions sur Titine, la « voix du peuple » (quel peuple?).

Martine Aubry

ou plus exactement Madame Jean-Louis Brochen
« Jean-Louis Brochen l’avocat des islamistes »

Le saviez-vous ?
Le 20 mars 2004, divorcée de Xavier Aubry dont elle a gardé le nom, elle épouse en secondes noces l’avocat
lillois Jean-Louis Brochen.
Il fut même bâtonnier du barreau de Lille. A 63 ans, Jean-Louis Brochen, ex-adjoint à la culture à la mairie de
Lille, est à la ville le mari de Martine Aubry, la nouvelle patronne du parti Socialiste. Celui-ci s’est forgé une
solide réputation de militant et de défenseur des causes ardues. Il est surnommé “l’avocat des islamistes”. En
1993, il représente les 17 lycéennes voilées exclues par le lycée Faidherbe
. En 2001, aux assises de Douai, il
défendra l’un des trois rescapés du gang de Roubaix.
Ajoutons qu’il a aussi défendu le sinistre groupe de Rap « Sniper » ouvertement raciste (anti-blanc bien
sûr !) de passage à Lille en 2003….
Maître Brochen était adjoint à la Culture de la mairie de Lille lorsque Martine Aubry, son épouse, a
succédé à Pierre Mauroy.
Et c’est à Lille que l’on trouve, entre autres, les piscines réservées aux
femmes.

Jean-Louis Brochen, Avocat – né en 1945, Spécialités : avocat des islamistes.
« Mais les concessions aux revendications islamistes existent surtout à Roubaix, le « beau jardin de
l’islamo-gauchisme » comme l’ont rebaptisé des militants des Maghrébins laïques. Là-bas, la gauche
plurielle dépend en grande partie du score des verts. Or, la section verts de Roubaix est aux
mains de deux lieutenants de Tariq Ramadan : Siham Andalouci, de Présence musulmane, et Ali
Rhani
, du Collectif des musulmans de France. Le chef de file aux élections, Slimane Tir, défend lui
aussi Tariq Ramadan, Une Ecole pour tous et les Indigènes de la république
.

Autant d’initiatives
relayées sur le site Internet des verts de Roubaix, mais aussi par le biais d’un centre de réflexion :
Rencontre et dialogue. Il s’agit essentiellement d’animer des conférences pour mettre en contact les
prédicateurs des Frères musulmans
– Tariq Ramadan et Hassan Iquioussen – et la jeunesse de
Roubaix. Au grand dam des Maghrébins laïques, qui ne supportent plus de subir les effets secondaires
de cette propagande. L’un d’eux, Messaoud Bourras, ne voit plus ses enfants parce que sa femme ne
le juge pas « assez bon musulman ». Il se bat contre l’influence des islamistes dans sa ville et il a mené
campagne contre la venue de Hassan Iquioussen –le prédicateur décrivant les juifs comme le « top de
la félonie »- à l’invitation de Rencontre et dialogue. Quitte à rencontrer l’hostilité de la gauche locale.
Pour s’être ému dans un journal local du fait que la municipalité soutienne « une association qui
s’adonne ainsi au négationisme », Messaoud Bourras est aujourd’hui poursuivi en justice par
Rencontre et dialogue et leur avocat, Jean-Louis Brochen. Avocat des islamistes depuis des
années , Maître Brochen était adjoint à la Culture de la mairie de Lille lorque Martine Aubry,
dont il est l’époux, a succédé à Pierre Mauroy ».
(Comme le met en note Caroline Fourest, dans son livre La tentation obscurantiste, dont est tiré cet
extrait : Jean-Louis Brochen a été l’avocat d’un des accusé du gang de Roubaix et en 1994 il avait
défendu les lycéennes voilées exclues du lycée Faidherbe de Lille.)

A divulguer impérativement …..

« Chances pour la France »: Yassine Khaloir suspecté d’homicide aggravé.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 10:13

Saint-Nazaire (44). Femme au visage lacéré : le petit-ami « suspecté » de crime aggravé

24 janvier 2010

L’ex-compagnon de Marina Lebeau tuée mercredi soir à Saint-Nazaire devait être déféré au parquet de Nantes cet après-midi, rapporte Presse OcéanYassine Khaloir, 24 ans, a avoué avoir porté les coups ayant entraîné la mort de la jeune femme.


Tout serait parti d’une dispute. Yassine Khaloir n’aurait pas supporté d’être quitté par sa compagne Marina Lebeau, raconte Presse Océan. Selon ses premières déclarations, il aurait été pris d’un accès de colère, aurait frappé la jeune femme avant de prendre la fuite. Le jeune homme n’aurait appris la mort de sa victime que le lendemain au journal télévisé. Il s’est rendu vendredi à la gendarmerie du Pellerin (44) et devait être déféré cet après-midi au parquet de Nantes.
Le Nouvel Observateur rappelle que l’autopsie pratiquée vendredi prouve que les coups portés (elle avait le visage lacéré) sont bien à l’origine du décès. Marina Lebeau était enceinte de 7 mois. Yassine Khaloir est dont suspecté d’homicide aggravé.


NDLR: « Suspecté », oui, sinon c’est du racisme, même si on relate qu’il a avoué…

FDF

Halal poubelle…

ROUBAIX / RUE DE LANNOY

« Les cinq dernières années ont été un enfer »

28 janvier 2010

Martine et Jean-Luc Delcour ont tenu durant 30 ans, rue de Lannoy, une boucherie traditionnelle qu'ils ont fermée en novembre dernier.
Martine et Jean-Luc Delcour ont tenu durant 30 ans, rue de Lannoy, une boucherie traditionnelle qu’ils ont fermée en novembre dernier.

Dans un « Clic-clac » du 1er janvier, une lectrice déplorait la fermeture de la boucherie Delcour rue de Lannoy. Les gérants nous ont contactés et expliqué les raisons de leur départ.


Cette lectrice s’interrogeait ainsi : « Il sera bientôt impossible de trouver à proximité une côte de porc ou du jambon de qualité. Est-ce parce que cela demande trop de travail que plus personne ne reprend ce genre de commerce ? » Il est exact qu’à Roubaix, les boucheries traditionnelles se comptent sur les doigts d’une main mais Martine et Jean-Luc Delcour ne se plaignent pas de la pénibilité de l’activité. Ils dénoncent un environnement hostile. Durant 30 ans, ils ont tenu la boucherie installée au 267 rue de Lannoy. « C’est vrai que notre clientèle, composée de personnes âgées, ne se renouvelait pas beaucoup , dépeint Martine Delcour. Mais la fréquentation restait suffisante. Nous aurions pu continuer… » Il est indéniable que les habitudes alimentaires ont changé. Jean Vincent, boucher traditionnel installé boulevard de Fourmies, le confirme. « Pour nous démarquer des grandes surfaces, nous proposons des produits de qualité donc plus onéreux.
Forcément, tout le monde ne peut pas se le permettre… » Dans ce secteur plus favorisé, lui n’a jamais subi de remarques désobligeantes.



De leur côté, les Delcour ont préféré fermer boutique en novembre 2009, vendre l’immeuble et tirer un trait sur le fonds de commerce. Ils ont emménagé à quelques dizaines de kilomètres, profitent de leur retraite mais gardent un goût amer de leur départ prématuré. « Des jeunes ont manifesté leur écoeurement parce que nous n’étions pas une boucherie hallal, relate Jean-Luc Delcour.
Une fois, un adolescent a même craché sur mon comptoir… » Son épouse poursuit : « Nous recevions des jets de soda ou de yaourt sur notre vitrine. » Des comportements isolés ? « Je ne suis pas au courant de ces agissements , indique un travailleur social des Trois Ponts. Mais je ne peux pas dire que c’est impossible. Ça pourrait se produire car l’influence cultuelle est très forte dans les quartiers. » Un autre professionnel, exerçant dans les quartiers Est, et préférant conserver l’anonymat, complète laconiquement : « La situation est explosive… » Nathalie Desfrennes, présidente de l’association Commerces et Quartiers et de l’union des commerçants de la rue de l’Épeule, se souvient à son tour d’une anecdote : « Un client a protesté dans mon magasin parce que je mangeais une clémentine en période de ramadan ! »


Problème de voisinage
« Une partie de notre clientèle, vieillissante et dépendante, ne pouvait plus se déplacer , reprend M. Delcour. Certains ont arrêté, m’ont-ils dit, de commander des saucisses ou du jambon parce que leur auxiliaire de vie refusait de transporter des morceaux de porc. » (Lire notre encadré) Autre souci de taille rencontré par le couple Delcour : des voisins encombrants : « Ils nous empêchaient de dormir. Lorsque mon mari leur faisait des remarques, ils nous insultaient. À force, nous n’osions plus rien dire… » Les Delcour ont donc quitté l’appartement qu’ils habitaient au-dessus de la boucherie et se sont installés à 35 km de leur lieu de travail.
Lassitude et désarroi ont subrepticement pris le dessus : « Les cinq dernières années ont été un enfer ! » , résume Mme Delcour. Jusqu’au jour, le 30 août 2008, où elle a été agressée par un occupant non identifié de la maison voisine : « Nous faisions des travaux dans la cour. De l’eau a dû passer par-dessus le mur… Un homme a surgi perché sur une échelle pour nous menacer, puis a frappé à la porte du garage, j’avais toujours le tuyau d’arrosage dans les mains… » L’individu s’empare alors du tuyau, le coince dans la bouche de Mme Delcour et lui tord le bras, relate-t-elle.
« Si sa femme n’était pas intervenue, je serais morte ! » Cette agression vaudra à Martine Delcour trois semaines d’arrêt. Elle dépose plainte (procès verbaux et certificats médicaux ont été présentés à la rédaction, ndlr). La suite, elle l’ignore. « Pour notre part, nous avons continué à vivre dans la peur. » « C’est le procureur qui décide de la procédure. Les plaintes contre X sont difficiles à résoudre », indique-t-on au commissariat. « Nous avons également alerté la municipalité, relate Jean-Luc Delcour. M. Rousselle (maire adjoint des quartiers centre, ndlr) nous a rencontrés mais les problèmes ont persisté. » « Je les ai vus à plusieurs reprises, confirme Jean-Pierre Rousselle. À chaque fois, j’ai fait le nécessaire : appelé la police municipale ou nationale, sollicité les services municipaux. J’ai même organisé une réunion en mairie avec le propriétaire du bâtiment voisin ! » Des actions qui, selon l’élu, ont calmé temporairement les tensions. « Puis les problèmes ressurgissaient, les locataires changeaient… »

Et le couple Delcour a baissé les bras… et le rideau…

Source: nordeclair.fr

l’USM appelle Mam à poursuivre Zemmour. Ben oui, il ose dire tout haut…

Ahhhhhh, la liberté d’expression… Si si, même en France, c’est hautement censuré et ce n’est pas fini…

FDF

Mercredi 27 Janvier 2010

Lundi 27 janvier, Eric Zemmour dénonce dans sa chronique sur RTL les juges qui ont libéré les Kurdes débarqués sur la plages corses. L’Union des syndicats de magistrats, le plus gros syndicat de la profession, a réagi violemment en exigeant du Ministre de la Justice des sanctions contre le journaliste.

C’est vrai, Eric Zemmour n’y va pas avec le dos de  la cuillère. Mais c’est exactement la promesse éditoriale de sa rubrique radiophonique sur RTL, Z comme Zemmour.
Hier donc, le journaliste, qui travaille par ailleurs au Figaro, s’en est pris de façon polémique à la décision des juges des libertés de faire libérer les malheureux clandestins kurdes débarqués ce week-end. regardez pour vous faire une idée :

La lettre de l’Union des syndicats de magistrats.

Z comme Zemmour : « Les passeurs peuvent dire merci A présent, voici la lettre que le premier syndicat de magistrats a expédié au Ministre de la Justice Michelle Alliot-Marie, et que Marianne2.fr s’est procurée :

Paris, le 26 janvier 2010

Madame le Ministre d’Etat,

Ce matin même, sur la radio RTL, le chroniqueur Eric ZEMMOUR a tenu des propos inadmissibles à l’encontre des magistrats, et plus particulièrement à l’encontre de ceux ayant eu à connaître du contentieux des étrangers en situation irrégulière.

En effet, M.ZEMMOUR n’a pas hésité à accuser certains magistrats d’user de leurs fonctions à des fins partisanes en raison de leur appartenance syndicale, et ce faisant de « mener une guerre contre les gouvernements essayant d’endiguer l’immigration clandestine », en « s’amusant à libérer des clandestins ». Il a notamment reproché aux juges qui ont été amenés à remettre en liberté des personnes déférées dans le cadre de ces procédures de « dénicher l’erreur de procédure qui ruinera le travail policier », de « défaire par leur pinaillage juridique le travail policier », tout en se « drapant dans le respect du droit alors qu’ils prêchent la morale droit de l’hommiste », de « faire jouer les conventions européennes contre le droit national , alors qu’ils jugent au nom du peuple français », et de « se donner le frisson de sauver ceux qu’il assimilent aux juifs persécutés par les nazis , alors qu’ils mènent une guérilla contre une loi démocratiquement voulue ».

Ces accusations extrêmement graves portées à l’encontre de magistrats, qui sont de fait traités de factieux violant leur obligation d’appliquer la loi, sont, s’il était possible, aggravées par la suite des propos, puisque M.ZEMMOUR les qualifie de surcroît « d’alliés objectifs des mafias de passeurs et des patrons exploiteurs de main d’oeuvre bon marché », « sapant la protection sociale, les politiques d’intégration, et pourrissant la vie des classes laborieuses ».

L’Union Syndicale des Magistrats s’insurge contre ces propos outranciers, qui visent à discréditer de manière fallacieuse l’institution judiciaire et ceux qui la servent. M.ZEMMOUR semble en effet oublier que les décisions qu’il critique ont été prises en application des lois relatives au séjour des étrangers, lois qui imposent à l’Etat de respecter certaines procédures, et ce à peine de nullité. Les juges se sont donc bornés à faire respecter par l’Etat les règles votées par la représentation nationale.

L’Union Syndicale des Magistrats rappelle qu’il n’est pas concevable, dans un Etat de droit, d’exiger des juges, pour soutenir telle ou telle politique, qu’ils piétinent la loi alors qu’ils ont pour devoir de l’appliquer.

Depuis votre arrivée au Ministère de la Justice, vous avez indiqué à plusieurs reprises que vous soutiendriez systématiquement les magistrats lorsque ceux-ci se trouveraient injustement mis en cause.

L’Union Syndicale des Magistrats vous demande donc quelle mesure vous entendez prendre en réaction à ces propos inacceptables, qui tendent à discréditer l’institution judiciaire, et affaiblissent l’autorité de l’Etat.

Veuillez croire, Madame le ministre d’Etat, en l’assurance de ma haute considération.

Christophe REGNARD

Président
On lira cette lettre comme l’on voudra. Le conflit de deux légitimités, celle de la justice et celle du journalisme. On notera cependant qu’Eric Zemmour, quoiqu’on pense de ce qu’il dit, n’émettait qu’une opinion. Tandis que l’USM a fait une lettre de délation exigeant une mesure, c’est-à-dire probablement une plainte, contre un journaliste.   vu sur http://www.marianne2.fr/Exclusif-l-USM-appelle-Mam-a-poursuivre-Zemmour_a184358.html

Niqab: le grand jeu de la « stigmatisation » est sorti !

Sortez vos mouchoirs!

«Ce n’est pas le niqab qui leur pose problème, c’est le fait qu’on soit musulmans»

27.01.10
Une femme portant le voile intégral à Paris, le 23 juillet 2009.
Une femme portant le voile intégral à Paris, le 23 juillet 2009./LE FLOCH/SIPA

Alors que la mission d’information sur le port du voile intégral vient de rendre son rapport, Lilou, qui vit en Seine-Saint-Denis et porte le niqab, explique à 20minutes.fr pourquoi elle continuera à le faire même si le Parlement vote l’interdiction…

Dans quelles circonstances portez-vous le voile intégral?
Je le porte seulement quand j’en ai envie. Je le mets souvent, mais il m’est arrivé de ne pas le mettre pendant un an. Selon moi, ce n’est pas une tenue obligatoire. Je le mets si je veux, sinon, je ne le mets pas. Mais depuis que les politiques se sont emparés de la question, j’ai encore plus envie de le mettre. Et si une loi d’interdiction générale est votée, je continuerai de toute façon à le mettre quand j’en ai envie et où j’en ai envie.

Pourquoi?

Je considère que c’est une atteinte à mes libertés. Sans même parler de religion, ce n’est qu’un bout de tissu. Demain, ce sera quoi? On va nous interdire de porter des manteaux longs, des chaussettes? Chacun s’habille comme il veut, pourquoi accepter que des filles se baladent très dénudées dans la rue et pas l’inverse? On en a marre, il faut qu’on nous laisse vivre!

Dans votre vie quotidienne, pour aller à la banque par exemple, votre voile est-il un obstacle?

Dans les banques, depuis longtemps on ne peut plus porter le niqab pour des questions de sécurité. Moi, j’ai un compte à La Poste, et il n’y a pas de problème. Quand je retire de l’argent, je soulève le voile pour montrer mon visage à la guichetière en même temps que ma carte d’identité. Et si c’est un guichetier, c’est toujours une femme qui me demande de lui montrer mon visage. Ça s’est toujours bien passé parce que j’ai toujours rencontré des gens assez courtois à la mairie et dans les services publics.

Donc une résolution ou une loi d’interdiction générale ne changerait rien pour vous?

Non. Ou plutôt si, les gens vont se permettre d’être plus agressifs envers nous. Déjà, ça ne se passe pas bien. J’entends à chaque fois les mêmes remarques. On me traite de «Belphégor», on m’insulte. On m’a même craché dessus (NDLR: question crachats, les mâles musulmans le pratiquent à outrance, surtout les racailles, et ils savent bien pourquoi…). Et une fois une personne âgée en déambulateur a pris la peine de traverser la rue pour venir me dire: «Sarkozy va s’occuper de vous!» Elle m’a dit qu’elle s’était battue pour les droits des femmes. Très bien, mais pour moi, être libre ce n’est pas poser nue pour un pot de yaourt. Je comprends que le voile intégral choque les gens, on ne peut pas accepter tout le monde. Mais on doit garder son avis pour soi.

Vous ne pensez pas qu’ils vous agressent parce qu’ils ont peur, parce qu’ils ne voient pas votre visage?

Non. Au contraire, c’est quand je porte juste le hijab que c’est le pire. Quand on porte le voile intégral, les gens ne savent pas qui il y a en dessous, donc ils osent moins. Ma mère, qui porte un tout petit voile, s’est faite insulter dans un supermarché. Ce n’est pas le niqab qui leur pose problème, c’est le fait qu’on soit musulmans.
Il y avait des femmes qui portaient le voile intégral avant le 11 septembre, et qui vivaient normalement. Mais aujourd’hui, on est stigmatisées, on nous met dans des cases. Aujourd’hui, les politiciens en parlent parce que ça les dérange, mais une loi d’interdiction générale serait abjecte: imaginez une femme qui est obligée de porter le voile intégral par son entourage. Elle va rester enfermée chez elle. Ce sera une deuxième prison pour elle.


Source: .20minutes.fr

Encore une fois, nous sommes en France et vous, les musulmans, vous êtes chez nous, car on a bien voulu vous accueillir. Alors, vos coutumes dégradantes et ancestrales, vous les pratiquez chez vous et pas dans NOS rues et NOS lieux publics. Nous n’avons pas à subir vos fantasmes. Imaginez nos filles et épouses faisant du tourisme dans les pays du Maghreb en tenue légère à cause de la chaleur. C’est la case prison direct, non? Alors, vous prônez la « tolérance » en France et pour vous. Balayez devant votre porte et après on cause…

FDF