Francaisdefrance's Blog

07/01/2010

Piqûre de rappel: la loi de 1905…

Sous couvert de subventions aux associations, les mairies financent la construction de mosquées. “Pas de problème” pour Daniel Vaillant, maire (PS) du 18 ème arrondissement. Mais la loi 1905 “sur la laïcité” est-elle respectée?

Illustration par un article de 20 minutes.fr:

“Alors qu’Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) vient d’ouvrir une nouvelle salle de prière et que plusieurs communes d’Ile-de-France cherchent à faire de même, 20 Minutes se penche sur les « méthodes » utilisées. Dans la plupart des cas, le sujet est tabou.

A Epinay, début avril, le maire Hervé Chevreau (MoDem) a inauguré un centre de 1 400 places, financé par ses soins pour 2 millions d’euros. Officiellement, il s’agit d’une salle polyvalente mise à disposition d’une association. La loi de 1905 sur la laïcité est donc respectée.

En réalité, la structure sert de mosquée. « Oui, c’est une subvention déguisée, admet volontiers Hamid Bou shaki, président de l’association IMS (Intégration musulmane spinassienne). Mais on le fait déjà pour les synagogues. Pourquoi y aurait-il deux poids, deux mesures ? »

Autre exemple, dans le 18e. Après sept ans de réflexion, la mairie veut rendre des associations musulmanes propriétaires de leur mosquée. La Ville va donc investir 22 millions d’euros pour construire deux bâtiments, dont l’un comprendra deux salles de prière de 1 000 places chacune. Une fois la construction achevée, en 2013, la municipalité vendra les bâtiments aux associations, pour 6 millions d’euros.

Ainsi, « Paris ne construit pas une mosquée mais un institut culturel sur l’islam, décrypte Daniel Vaillant, maire (PS) du 18e. Si l’association veut en faire une mosquée, pas de problème ! »

Seule énigme : comment ces associations peuvent-elles réunir une telle somme et d’où viendrait cet argent ?

A Saint-Denis, Bobigny (Seine-Saint-Denis) ou rue de Tanger (19e), faute de subsides, les projets de mosquée sont au point mort.

Dans le 18e, Daniel Vaillant promet que « la pompe est amorcée ». Mais en face, on avoue qu’aucun euro n’est encore collecté. « Ne parlons pas des choses qui fâchent, plaisante Oumar Niambaté, porte-parole de la mosquée Al Fath (18e). L’islam n’admet pas le crédit, mais Allah apporte toujours des solutions. Nous y arriverons grâce aux dons des fidèles et des Etats musulmans qui nous soutiennent. »

Si l’astuce juridique du 18e a ses limites, elle permettra sans doute d’éviter la mésaventure montreuilloise. Saisie par l’extrême droite, la justice avait annulé, en 2007, un bail à un euro symbolique cédé par la mairie de Montreuil (93) à une association pour une mosquée considéré comme contraire à la loi de 1905. L’affaire est actuellement portée devant le Conseil d’Etat. En attendant, « les musulmans pratiquent l’islam des caves et des pieds d’immeuble. C’est inacceptable », déplore la mairie.”

(Source : 20minutes.fr du 17 avril 2009).

Extrait de l’article 2 de la loi du 9 décembre 1905 relative à la séparation des Églises et de l’État :

“La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. En conséquence, à partir du 1er janvier qui suivra la promulgation de la présente loi, seront supprimées des budgets de l’État, des départements et des communes, toutes dépenses relatives à l’exercice des cultes. ”

Nouvelles mosquées : financées à 30% par l’argent public

Mais la parade a été vite trouvée: on ne nomme plus ces verrues des « mosquées », mais des « lieux cultuels et culturels »; donc… Les b….., comptez-vous! Et les municipalités s’en donnent à coeur joie afin de donner en toute légalité leur bénédiction et NOTRE argent afin de pouvoir « leur » construire leurs lieux de paix, d’amour et de tolérance… Continuons en ce sens et nous serons bientôt « leurs » esclaves. Et là, on va beaucoup mois rigoler, croyez-moi… Mais nos élus auront été élus, grâce aux voix musulmanes… C’est le but principal de leur comportement actuel. Je vous fais un dessin?

Allez, je vous remémore cette fameuse citation de Boumédiene, ça ne mange pas de pain:

« Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire ». (Discours à l’ONU, 1974)

FDF

Islam: La cuisine, ça peut aussi servir à faire la guerre…


6 janvier, 2010

EurabiaIslamized street (Puteaux, France, 2009)

Peut-être que l’interprétation du Coran serait désormais enseignée dans les écoles d’Oxford, et que ses chaires démontreraient à un peuple de circoncis la sainteté et la vérité de la révélation de Mahomet.Gibbon (Déclin et Chute de l’Empire romain, 1788)

L’égalitarisme universaliste, dont ont jailli les idéaux de la liberté et d’une vie collective dans la solidarité, la conduite autonome de la vie et de l’émancipation, la moralité individuelle de la conscience, les droits de l’homme et la démocratie, est l’héritage direct de l’éthique judaïque de la justice et de l’éthique chrétienne de l’amour. Cet héritage, essentiellement inchangé, a été l’objet d’une appropriation et d’une réinterprétation critiques continuelles. A ce jour, nous n’avons aucune autre option. Et à la lumière des défis courants d’une constellation postnationale, nous continuons à nous nourrir de cette source. Tout le reste n’est que du bavardage post-moderne.Jürgen Habermas (1999)
Une société musulmane juvénile au sud et à l’est de la Méditerranée se prépare à coloniser – le terme n’est pas trop fort – une Europe sénescente (…) Ce que seront les conséquences de ces changements est très difficile à dire. Une islamicisation rampante d’une chrétienté décadente est un résultat imaginable: alors que les vieux Européens deviennent encore plus vieux et leur foi religieuse encore plus faible, les colonies musulmanes dans leurs villes deviennent plus grandes et plus ostensibles dans leur observance religieuse. Un retour de bâton contre l’immigration par la droite économiquement néanderthale en est un autre: des électorats vieillissants se tournent vers des démagogues qui offrent des frontières étanches sans expliquer qui exactement va payer les pensions et les soins de santé. Ni ne pouvons-nous éliminer la possibilité d’une fusion heureuse entre des musulmans de deuxième génération rapidement secularisés et leurs voisins post-chrétiens. D’ailleurs, nous pourrions bien nous retrouver avec les trois à la fois: situation 1 en France, situation 2 en Autriche, et situation 3 en Grande-Bretagne. Niall Ferguson
L’Europe peut-elle rester la même avec en son sein des peuples différents ? Caldwell est à ma connaissance le premier à poser la question dans toute son étendue et dans toute sa complexité. (…) L’Europe avait-elle vraiment besoin de tous ces immigrés ? L’argument “capitaliste” est que cette main-d’œuvre a sauvé beaucoup d’industries. En fait c’était des industries condamnées. L’immigration a retardé les gains de productivité, et au prix de coûts latéraux dont le calcul n’a jamais été fait. L’argument “socialiste” est que le rajeunissement général provoqué par l’immigration, avec son taux élevé de natalité, a permis de sauver le Welfare State. Mais il est devenu évident qu’elle ponctionne ce Welfare State plus qu’elle ne lui apporte. Il est donc facile de réfuter ces deux arguments. Mais si on ne le fait pas, si on n’ose pas le faire, c’est à cause du second problème : la difficulté que rencontre l’Europe avec l’islam. Alain Besançon
Peut-on avoir la même Europe avec différentes personnes? Pourquoi l’immigration massive s’est-elle produite quand si peu de personnes le voulaient réellement ? Les immigrés veulent une meilleure vie mais combien d’entre eux veulent une vie européenne ? Pourquoi la fierté ethnique des minorités est-elle une vertu et un nationalisme européen une maladie ? Le politiquement correct est-il autre chose que de la crainte déguisée en tolérance?
Bien sûr que des minorités peuvent modeler un pays. Elles peuvent même conquérir des pays. Il y avait probablement moins de Bolcheviks en Russie en 1917 que d’islamistes en Europe aujourd’hui.
Si la diffusion de la cuisine pakistanaise est la plus grande amélioration de la vie publique britannique au cours du demi-siècle passé, il est également à noter que les bombes utilisées pour les attaques déjouées des transports en commun de Londres du 21 juillet 2005 avaient été faites à partir d’un mélange de peroxyde d’hydrogène et de farine pour chapati. Christopher Caldwell

Cuisine ethnique, diversité culturelle, émeutes raciales, tension sociale, attentats …

Et si la cuisine, ça pouvait aussi servir à faire la guerre?

Au lendemain du désormais traditionnel rituel d’incinération de nos voitures tandis que nos belles âmes font tout leur possible pour interdire le débat sur l’identité nationale et donc sur la place de l’immigration en France …

Et que, fidèle à ses habitudes de girouette idéologique (que ne ferait-il pas pour prendre une énième fois la gauche à contre-pied ?), notre Sarko national nous ressort le droit de vote des étrangers

Retour, avec Michel Gurfinkiel, sur l’important ouvrage sorti en mai dernier du journaliste américain Christopher Caldwell concernant la vague d’immigration musulmane sans précédent que l’Europe connaît depuis la guerre (“Réflexions sur la Révolution en Europe”).

Et qui, paraphrasant le titre de la célèbre critique de la Révolution française par le père du (néo)conservatisme anglo-américain Edward Burke (n’avait-il pas précédemment pris la défense des “colonisés” tant irlandais qu’américains ou même indiens?), a le mérite de pointerla véritable révolution que cette immigration est en est train d’imposer à une Europe minée à la fois par sa perte des valeurs et sa propre démographie en chute libre.

Montrant, contre la bien-pensance habituelle, que cette immigration n’était ni inévitable ni nécessaire (elle a surtout servi à maintenir à flot des industries dépassées), il rappelle aussi, comme on l’ a vu avec les récentes manifestations contre l’offensive israélienne de Gaza, leretour de l’antisémitisme et de la violence qu’elle favorise.

Comme la tentation de nos dirigeants d’en rendre à nouveau les Juifs responsables de par leur refus de négocier leur propre disparition comme prétendue seule solution du conflit israélo-palestinien …

Europe/ La Révolution par l’immigration
Le journaliste américain Christopher Caldwell enquête sur l’immigration islamique en Europe. Un chef d’œuvre. Et un signal d’alerte.
Michel Gurfinkiel.
Mercredi 20 mai 2009

Edmund Burke avait été, à la fin du XVIIIe siècle, l’un des chefs du parti libéral anglais, les whigs. A ce titre, il avait pris le parti des catholiques irlandais contre leurs maîtres protestants, celui des Insurgents, les rebelles américains, contre la Couronne, et enfin celui de l’Inde contre la colonisation. Mais le même Burke devint, après 1789, l’un des adversaires les plus résolus de la Révolution française, et surtout son premier adversaire intellectuel d’envergure, alors que les autres libéraux avaient tendance à l’approuver et à la soutenir. Dans une série d’essais publiés entre 1790 et 1792, sous le titre général de Réflexions sur la Révolution en France, il devait s’en expliquer. Le nouveau régime continental, notait-il, était libéral et démocratique en théorie, mais despotique en pratique ; tout en invoquant la liberté, il la supprimait ; sous couvert de philosophie et de raison, il donnait libre cours à des pulsions destructrices. Il constituait donc une fraude – ou une perversion. Si bien qu’en le combattant, les vrais libéraux ne trahissaient pas leurs convictions, mais au contraire les défendaient.

Christopher Caldwell, un journaliste américain de renom, grand reporter au Weekly Standard, mais aussi éditorialiste au New York Times et au Financial Times, est peut-être le Burke de ce XXIe siècle qui commence. Il s’est mis de lui-même dans la filiation du grand whig en intitulant Réflexions sur la Révolution en Europe un livre récemment publié chez Penguin. Mais c’est surtout par le fonds qu’il soutient la comparaison. Comme Burke, Caldwell décrit une Révolution que les libéraux et autres esprits généreux – la gauche, en termes d’aujourd’hui – se croient forcés de soutenir. Comme lui, il conclut à un piège dangereux. La principale différence, c’est que la crise française des années 1790 était de nature politique et sociale ; tandis que la crise européenne actuelle se situe dans les domaines démographique, culturel et religieux. Il ne s’agit plus, comme voici deux cents dix ans, d’abolir les ordres privilégiés ou la monarchie, mais d’accélérer la substitution d’une population à une autre dans toute l’Europe, et donc d’une civilisation par une autre.

On l’aura compris, Caldwell parle de l’immigration non-européenne et de ses conséquences. D’autres auteurs s’y sont essayés depuis une trentaine d’années. Rares sont ceux qui ont pu se faire entendre. La force de Caldwell, c’est d’avoir mené une enquête particulièrement complète, dans tous les pays européens. Et d’avoir évité tout ce qui pourrait, de près ou de loin, s’apparenter au racisme. Il ne dénonce pas, mais observe, avec minutie. Ses conclusions ont d’autant plus de poids.

Selon lui, les immigrants ont été plutôt bien traités depuis les années 1950, et leur condition n’a cessé de s’améliorer. Partout où ils ont souhaité s’intégrer au pays d’accueil, ils ont pu le faire. Et enfin, là où ils ne l’ont pas souhaité, l’Europe n’a pris aucune mesure de rétorsion, mais au contraire cherché à s’adapter elle-même à cette nouvelle présence. Une telle capitulation constitue, a priori, un « mystère ». En fait, elle ne fait que refléter le collapsus démographique du continent (« un quart de la population a plus de 60 ans ») et les valeurs pacifistes et ultra-démocratiques qui ont prévalu après la Seconde Guerre mondiale.

Ce qui donne à cette évolution un tour alarmant, c’est que la plupart des immigrants, aujourd’hui, sont originaires de pays musulmans, et que l’islam se pense et se conduit en civilisation universelle et conquérante. Le refus d’intégration n’est donc plus une exception, mais la règle. Et la tolérance européenne facilite l’entrée massive de populations décidées à remodeler l’Europe à leur image. « On peut affirmer avec certitude que l’Europe ne sortira pas indemne de sa confrontation avec l’islam », note Caldwell. « A l’heure actuelle, c’est à l’islam et non à la civilisation européenne ou ses valeurs démocratiques que les immigrants accordent une légitimité politique… Ils acceptent les institutions européennes dans la mesure où celles-ci ne freinent pas l’expansion de l’islam. Ils les rejettent quand elles deviennent un obstacle. »

Caldwell consacre plusieurs pages de son livre à l’avenir des Juifs européens. Sur ce sujet comme sur les autres, on ne peut qu’admirer sa lucidité. Il observe que pour beaucoup de musulmans, l’antisémitisme, y compris sous ses formes négationniste et néo-nazie, est « un moyen commode de participer à la culture européenne sans s’intégrer ». Il redoute aussi ce qu’il appelle « la tentation du bouc émissaire » : plutôt que de se mesurer à telle ou telle forme de violence islamique, de nombreux responsables européens affirment que celle-ci cessera, ou baissera en intensité, « quand le conflit israélo-palestinien sera résolu ». Ce qui revient à offrir aux Juifs un choix « horrible » : abandonner leurs frères israéliens ou être considérés comme les vrais responsables d’atrocités éventuelles commises sur le sol européen.

Lu sur: http://jcdurbant.wordpress.com/

750 euros pour le port de la burqa: « pas assez cher, mon fils »…

Attention! Les réactions du peuple musulman de France et d’ailleurs vont pleuvoir! Quoique par ce temps, la burqa, c’est plutôt réchauffant.

FDF

07/01/2010

Jean-François Copé a dévoilé le contenu de sa proposition de loi sur le voile intégral.

La burqa au Pakistan.

« Le port de la burqa serait passible d’une contravention, probablement de 4e classe, c’est-à-dire de 750 euros », a prévu Jean-François Copé dans la proposition de loi qu’il déposera dans « les quinze jours ». Le président du groupe UMP à l’Assemblée a dévoilé le contenu de sa loi sur le voile intégral dans un entretien au Figaro magazine à paraître samedi. Il souhaite qu’elle s’applique « à toute personne sur la voie publique dont on constaterait que le visage serait intégralement masqué ».

La proposition de loi prévoit également une « contravention aggravée pour une personne qui obligerait une femme à porter un voile intégral », précise Jean-François Copé à l’hebdomadaire.

Vote juste après les régionales

Invité de l’émission « les questions du mercredi » sur France Inter, il a réaffirmé mercredi que le port du voile intégral soulevait une double question, « le respect des femmes » et « la sécurité ».

En conséquence, il compte déposer « dans les quinze jours » à la fois la résolution parlementaire et la proposition de loi cosignées par ses collègues UMP François Baroin et Nicole Ameline ainsi que « tous les députés qui le souhaiteront », « afin qu’elles soient discutées au lendemain des élections régionales » prévues les 14 et 21 mars, précise-t-il au Figaro Magazine.

Mercredi, le PS s’est officiellement prononcé contre cette loi.

Source: lexpress.fr

Ne riez pas, c’est officiel: 29.000 sans-papiers expulsés en 2009 par la France.

Heuhhhhhhh, et combien sont déjà revenus, sous un autre nom???

FDF

29.000 sans-papiers expulsés en 2009 par la France

La France a expulsé de son territoire quelque 29.000 étrangers en situation irrégulière en 2009, un chiffre comparable à celui de l’année précédente mais supérieur à l’objectif de 27.000 assigné par le président Nicolas Sarkozy.

Eric Besson, promu il y a un an au poste de ministre de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Développement solidaire, n’ pas précisé le chiffre exact. Mais il aura donc fait autant que son prédécesseur Brice Hortefeux qui, en 2008, avait expulsé 29.799 étrangers en situation irrégulière contre un objectif de 26.000.

Le transfuge du PS, qui est sévèrement critiqué par les associations de défense des droits immigrés, a répété sans cesse ces derniers mois que les étrangers en situation irrégulière avaient vocation à être expulsés.

Malgré un concert de protestations, il a ainsi renvoyé en décembre 2009 neuf Afghans dans leur pays après avoir expulsé trois autres en septembre. Soit au total 12 Afghans éloignés alors que 250 autres ont bénéficié dans le même temps du statut de réfugié, a-t-il précisé.

En annonçant jeudi sur Europe 1 le chiffre de 29.000 expulsions en 2009, M. Besson a souligné que la Grande-Bretagne, destination privilégiée des Afghans, en avait reconduit 1.000 pendant la même période.

Sur le chiffre de 29.000 reconduites annoncé, M. Besson n’a pas précisé le nombre de retours contraints et celui des retours volontaires. Il n’a pas non plus précisé le nombre de sans-papiers expulsés hors du territoire de l’Union européenne.

Selon un document de l’Assemblée nationale consulté par l’AFP et analysant les 14.844 reconduites exécutées au premier semestre 2009, les Roumains arrivent en tête (4.346), suivis des Algériens (1.552) et des Marocains (1.550).

« Je ne fais pas du chiffre », s’est défendu M. Besson qui a assuré mener une politique migratoire « ferme et juste ».

L’éloignement des étrangers en situation irrégulière coûte à l’Etat environ 232 millions d’euros par an, soit 12.000 euros par reconduite, selon des chiffres communiqués il y a quelques mois par le ministère. La Cimade a évalué à 27.000 euros le prix de chacune des 20.000 reconduites forcées réalisées en 2008.

Le ministre a par ailleurs annoncé que 175.000 étrangers étaient rentrés de manière régulière en France au titre du long séjour et que 108.000 autres avaient été naturalisés.

En 2008, il y a eu 107.000 naturalisations, dont 91.000 par décrets et 16.000 par mariage. Environ la moitié des naturalisés sont originaires d’un pays du Maghreb, 13 % d’Afrique, 13 % d’Asie, 6 % de pays de l’UE, 7,2 % d’autres pays européens et 5 % d’Amérique.

La lutte contre l’immigration clandestine reste un des objectifs majeurs de M. Besson pour 2010, conjuguée avec la volonté de parvenir à un équilibre entre immigration professionnelle et immigration familiale qui reste la principale porte d’entrée en France.

Son ministère souhaite conclure cette année trois nouveaux accord de gestion des flux migratoires, après les neuf signés depuis 2007 (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Cap Vert, RD Congo, Maurice, Gabon, Sénégal et Tunisie).

Selon un document, des négociations sont en cours avec des pays de l’Afrique sub-saharienne, les grands pays émergents (Brésil, Chine et Vietnam) et la zone des Balkans occidentaux où M. Besson s’est rendu en décembre 2009.

La visite intervenait immédiatement après la décision de l’UE de supprimer le visa pour les ressortissants de Serbie, Macédoine et Monténégro. A cette occasion, M. Besson avait signé avec les autorités des trois pays un accord sur la mobilité des jeunes.


Ne râlez pas, les associations pro-immigration clandestine; ce sont des chiffres officiels, pour calmer le peuple…Ils sont toujours là ou revenus en France, vos « protégés ». Au fait, au lieu de crier au scandale au nom des Droits de l’Homme, combien chacun d’entre vous peut en abriter, des clandestins??? Simple question de logique…

FDF


Source: lepoint.fr

Panier de crabes. Que se passe t’il à la mosquée de Paris?

Saâd Lounés écrit à El Khabar, au sujet du point de vue de l’Islamologue Sadek SELLAM. Le quotidien EL-KHABAR a publié le 3/01/2010 sur son site en français un étonnant article très documenté sur « Le règne de Dalil Boubekeur à la mosquée de Paris ».

La somme de révélations qu’il contient ne peut provenir que de sources de renseignement, parce qu’introuvables autrement, sur la gestion opaque de la Mosquée et l’histoire de la famille Boubekeur contre la révolution algérienne et ses connivences avec le pouvoir colonial.

Cela veut dire que l’Algérie a du mal à se séparer de Dalil Boubekeur qui ne veut pas quitter son poste et cherche des alliances dans le gouvernement français et dans les milieux sionistes, profitant du froid qui s’est installé dans les relations entre Alger et Paris.
Cela veut dire aussi que si Boubekeur n’accepte pas son remplacement, il y aura d’autres révélations plus infamantes.

Le gouvernement algérien soupçonne Boubekeur de comploter pour lui faire perdre le contrôle de l’Institut Musulman de la Mosquée de Paris, administré par la Société des Habous. Le pouvoir algérien semble craindre un nouveau «coup d’Etat» au profit du rival marocain, suite à la perte par Boubekeur de la présidence du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), présidé depuis juin 2008 par le marocain Mohammed Moussaoui.

La nomination du recteur de la Mosquée de Paris a toujours donné lieu à de chaudes empoignades diplomatiques et une résurgence coloniale de la françalgérie.

Le candidat le plus pressenti pour remplacer Boubekeur est Mustapha Cherif, professeur de philosophie, islamologue, qui fut ministre et ambassadeur.

Source: algerienetwork.com

Le Pen réclame un référendum sur l’immigration… Et il a bien raison.

Bien dit, Monsieur Le Pen; mais vous n’êtes pas sans savoir que notre République est dirigée par un seul homme, un « président » qui ne demande jamais l’avis de ceux qui l’ont élu (ni du peuple en général) pour faire passer ses caprices… Les référendums, ce serait très mauvais pour lui… Et il en est conscient. C’est pas beau, la démocratie?

FDF

06/01/2010

Jean-Marie Le Pen a assuré que les listes FN devraient atteindre « dans 10 à 12 régions au moins » la barre des 10 %.
Jean-Marie Le Pen a assuré que les listes FN devraient atteindre « dans 10 à 12 régions au moins » la barre des 10 %. Crédits photo : AP

Le président du FN estime que le débat sur l’identité nationale est monopolisé par «les députés babouches».

«Nicolas Sarkozy a involontairement réveillé les Français.» Jean-Marie Le Pen, qui présentait mercredi ses vœux à la presse, veut croire que le débat sur l’identité nationale engagé par le chef de l’État va favoriser le redressement du Front national lors des élections régionales de mars. L’ancien candidat à l’Élysée a assuré que les listes FN devraient atteindre «dans 10 à 12 régions au moins» la barre des 10 % des voix qui permet de se maintenir au second tour et d’obtenir des élus.

Jean-Marie Le Pen a critiqué «un débat truqué», «orienté» et «organisé, selon les techniques du Second Empire, dans les préfectures et les sous-préfectures». Le président du FN reste fidèle à sa tactique des «petites phrases» susceptibles de provoquer un tollé. Il a ainsi jugé que le débat sur l’identité nationale est monopolisé par «les députés babouches» de la majorité, qui ont succédé, à l’en croire, aux «députés godillots» de jadis. Interrogé sur les accusations de «dérapages» à l’occasion de ces réunions, le président du FN les a jugés «vraiment modestes». «Moi, je ne roule pas sur les rails de la majorité, a-t-il ajouté, par conséquent, ma liberté de parole est entière».

Le député européen a prédit «des conclusions prémâchées par les scribes de l’Élysée». Invoquant l’exemple du référendum suisse sur les minarets, il a réclamé à cor et à cri «un référendum sur l’immigration, qui pèse sur la vie française, ses finances, la sécurité, le chômage et l’école».«Le résultat s’imposera de gré ou de force aux oligarques qui dirigent la France», dit-il. Pour le président du FN, le chef de l’État «a perdu la main, perdu la chance».

Écriture de ses Mémoires

Interrogé sur l’opportunité d’interdire le port de la burqa, Jean-Marie Le Pen s’y est dit favorable, sans pour autant juger une loi nécessaire. Le député européen n’a pas critiqué l’islam et n’a pas invoqué des arguments relatifs à l’égalité des sexes. «Il est interdit de se promener masqué dans les rues, dans les espaces publics en France, s’est-il borné à déclarer. Que ce masque soit d’origine religieuse, ethnique ou folklorique, il en est de même.»

Jean-Marie Le Pen a jugé qu’il suffirait d’appliquer les «règlements de police». Sans «la faiblesse de l’État», «personne n’aurait osé cette provocation qui consiste à se déplacer masqué». «Il ne me semble pas nécessaire de faire une loi, a-t-il ajouté. Je ne crois pas à l’efficacité de la multiplication des lois. Nous aurions plutôt besoin d’un toilettage».

Jean-Marie Le Pen, tête de liste FN dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, livre sa dernière campagne électorale. Il a confirmé que le congrès chargé de départager les deux candidats déclarés à sa succession à la tête du FN – Marine Le Pen et Bruno Gollnisch – se déroulera soit dès la fin de cette année, comme l’espère sa fille, soit au début de 2011. Âgé de 81 ans, et élu député pour la première fois en 1956, Jean-Marie Le Pen entend se consacrer à l’écriture de ses Mémoires après avoir quitté la présidence de son parti. «Ce que j’ai à dire n’est peut-être pas tout à fait sans intérêt», a-t-il argumenté avec coquetterie. Entouré de journalistes, une coupe de cidre à la main, le président du FN s’est lancé dans un récit du témoignage de François Mitterrand au procès du général Salan en 1962.

Source: lefigaro.fr

Chances pour la France: Un adolescent tué par arme blanche à Cergy!

Dommage pour le môme… Mais bon, personne ne l’a forcé à intégrer une bande… Vous savez, ces fameuses bandes composées essentiellement de « jeunes issus de l’immigration » et qui ne pensent qu’à se battre et qui font fi des lois du pays qui les a accueillis. Et qui « niquent le système »! Le problème est que parfois (on ne sait pas tout…) ce sont des vrais Français de souche qui font les frais de ces rixes car ils avaient le malheur de se trouver au mauvais endroit, au mauvais moment… Mais ça, on évite d’en parler… Ca fait tache.  Au fait, il n’y en n’a pas un qui avait promis en de « kärchériser » les banlieues avant son élection et tout récemment encore, a PROMIS de résoudre ces problèmes de rivalités entre bandes et de mettre fin à la violence de la racaille? C’est comment son nom, déjà plus? Mais si, vous savez, ça commence par un « S », comme Sécurité…

FDF

06/01/2010

Un jeune de 16 ans est mort mercredi de trois coups de couteau lors d’une rixe dans un centre commercial de cette ville du Val d’Oise, en région parisienne.

L’adolescent, âgé de 16 ans, est décédé à l’arrivée des secours. Les pompiers étaient intervenus dans le centre commercial des Trois Fontaines à Cergy (Val d’Oise) suite à une bagarre à l’arme blanche. «Il a reçu trois coups de couteau», a précisé une source proche du dossier.

Plusieurs jeunes ont été interpellés dans le centre commercial et étaient entendus mercredi soir, selon cette même source. La police judiciaire de Versailles a été saisie de l’enquête.

Règlement de comptes entre deux bandes rivales

«La rixe a opposé plusieurs jeunes dans le centre commercial», a précisé une source policière. Il s’agirait «d’un réglement de comptes entre deux bandes de Marcouville et des Louvrais (deux quartiers de Pontoise, ville voisine de Cergy)».

Selon Le Parisien, une bagarre aurait opposé la victime à quatre ou cinq autre jeunes : «Après un jet de gaz lacrymogène qui a provoqué un début de panique dans le centre, l’un des agresseurs a sorti un couteau et a porté un coup à la victime, dans la poitrine, au côté gauche».

Quelques échauffourées s’en sont suivies dans le quartier de Marcouville, «rapidement maitrisées par une forte présence policière», a indiqué une source proche du dossier. Deux compagnies de CRS et une compagnie de sécurité du Val d’Oise avaient été déployées sur place en début de soirée.

Faits similaires à Sarcelles

Il y a deux semaines à Sarcelles, dans le même département, deux adolescents avaient été blessés, dont un grièvement, lors d’une rixe à coups de couteau près d’un arrêt de bus.

Une des victime, âgée de 17 ans, avait été grièvement blessée au thorax. La deuxième, âgée de 15 ans, avait été blessée à la main. Les premiers éléments de l’enquête indiquaient que les deux adolescents avaient été agressés par des jeunes de Sarcelles parce qu’ils venaient de Villiers-le-Bel.


Source: lefigaro.fr

Excellente nouvelle! Les groupes anti-islamistes gagnent du terrain!

Bientôt chez nous, en France… Prenons exemple pendant qu’il est encore temps.


FDF

07/01/2010

Pour ces associations, le but est d’empêcher l’islam radical de devenir «une force politique en Europe» et de «récupérer» leurs centres-villes.


Stop à l’islamisation de l’Europe, Ligue de défense anglaise et galloise, Casuals United : ces organisations, aux noms souvent évocateurs, sont particulièrement actives. Créée en mars dernier, la Ligue de défense anglaise (EDL) est déjà à l’origine d’une dizaine de manifestations à Birmingham, Londres, Manchester ou Leeds contre «l’extrémisme et le terrorisme islamique». «Nous ne sommes pas des nazis ou des racistes, explique Tommy, un porte-parole du mouvement. Plusieurs centres-villes sont infestés d’extrémistes. Certaines femmes ne veulent plus aller faire leurs courses par peur de cette vingtaine d’hommes habillés en robes islamiques qui crient des slogans antibritanniques et qui appellent au djihad et à la haine raciale. Ce sont nos centres-villes et nous voulons les récupérer.» Même son de cloche du côté du groupe Stop à l’islamisation de l’Europe (SIOE), crée au Danemark en 2007 et qui est apparu cette année en Grande-Bretagne. «Notre but est d’empêcher l’islam radical de devenir une force politique en Europe», peut-on lire sur leur site Internet.

Pourtant, plusieurs organisations de lutte contre le racisme dénoncent les liens de ces groupuscules avec les partis d’extrême droite et le hooliganisme. «EDL et les autres sont des groupes racistes, un club d’alcooliques, qui n’a qu’un but : attaquer les Asiatiques», explique Unis contre le racisme.

Figure du hooliganisme

Plusieurs membres du British National Party (BNP), l’équivalent britannique du Front national, ont été pris en photo lors des manifestations. Casuals United est, elle, organisée autour de plusieurs supporteurs des équipes de football britanniques. Son leader, Jeff Marsh, également cofondateur de la Ligue de défense galloise, est une des grandes figures du hooliganisme de Cardiff. Il a été emprisonné à trois reprises pour violence et a écopé d’une peine de deux ans de prison pour avoir poignardé deux fans de l’équipe de Manchester United. «Les hooligans de clubs rivaux sont unis sur ce sujet, dit-il. C’est une véritable armée qui est prête… Nous luttons contre les prêcheurs de la haine qui encouragent activement les jeunes musulmans dans ce pays à prendre part au djihad contre la Grande-Bretagne.»

Des propos qui inquiètent les autorités. «Si vous regardez le type de manifestations qu’ils organisent, le langage utilisé et les cibles choisies, c’est assez clair que leur tactique est la provocation», indique le secrétaire britannique aux Communautés, John Denham, qui compare les méthodes des groupuscules à celle de l’Union des fascistes britanniques en 1930.

Des provocations qui ont déjà engendré la violence à Harrow, au nord-ouest de Londres, en septembre dernier, lorsque des militants d’Unis contre le racisme et des membres des communautés musulmanes locales ont affronté dans la rue les partisans de Stop à l’islamisation de l’Europe venus manifester contre la construction d’une mosquée de cinq étages. Dix personnes ont été arrêtées.

Même scénario à Birmingham, où les forces de l’ordre ont emprisonné 35 personnes après avoir été la cible de bouteilles en verre et de briques.


Source: lefigaro.fr

Racaille. Saint Denis: Un médecin jette l’éponge.

Chances pour la France, stigmatisation des jeunes des cités, etc…

Agressions, trafics, loi des caïds, impunité, policiers insultés, immigration subsaharienne, polygamie, rejet de la France et des Blancs, fuite des habitants…


Agressé pour la deuxième fois dans son cabinet de la cité Floréal à Saint-Denis, un médecin met la clé sous la porte. Témoignage.

Il y a presque deux ans, Le Point (n° 1742 du 2 février 2006) s’était immergé deux semaines dans un quartier chaud du « 9-3 » : la cité Floréal-Saussaie-Courtille, à Saint-Denis. Nous avions alors raconté le quotidien des habitants confrontés à une poignée de caïds qui imposaient leur loi. Depuis, dans cette cité qui au premier abord n’a rien d’un ghetto, la violence est encore montée d’un cran. Vendredi dernier, l’école maternelle Pasteur était fermée après l’agression d’une enseignante sur le parking de l’établissement. A la poste, un écriteau indiquait qu’à la suite d’une attaque à main armée le bureau resterait fermé deux jours. A quelques mètres de là, l’un des trois kinésithérapeutes du quartier se remettait d’une agression, survenue lundi à son cabinet, et d’un vol de 80 euros. Dans l’immeuble d’en face, le médecin généraliste prenait la décision de quitter la cité après avoir été attaqué lui aussi dans son cabinet. Le docteur Philippe Adjadj, 42 ans, issu lui-même d’une cité, exerçait ici depuis sept ans et demi. Pour tous, il était celui qui soigne mais aussi celui qui écoute, conseille, réconforte… Il y a deux ans, il avait raconté au Point sa fierté d’être médecin au coeur de ce quartier défavorisé mais aussi la difficulté d’y rester. Aujourd’hui, la mort dans l’âme, il s’en va et explique pourquoi.

« La salle d’attente était pleine à craquer. Remplie de petits bouts de chou de 0 à 3 ans avec leur maman. Vers 18h30, on a frappé à la porte, c’était un homme plié en deux, soi-disant blessé. Ma secrétaire lui a ouvert. Trois Blacks, la capuche bien enfoncée et le pull à col roulé relevé jusqu’aux oreilles, sont rentrés de force dans le cabinet. Ils avaient des bombes lacrymogènes, ils ont hurlé sur les enfants et les mamans qui voulaient s’enfuir. Ils ont pris la caisse, mon portable, ma carte bancaire avec le code. Le tout en moins de dix minutes.

Le kiné lundi, moi mardi, la poste mercredi et, la semaine d’avant, l’institutrice. Depuis un an, la cité croule sous les agressions, et il ne se passe rien. On deale, on arrache les sacs en toute impunité. Les caïds tiennent au moins trois immeubles. Ils ont les clés des caves, des parties communes, des garages dans lesquels ils font leur business tranquillement. Chaque fois qu’un serrurier vient, ils l’agressent pour récupérer les nouvelles clés. »

« Ici, c’est le ghetto. » « Ici, il n’y pas plus d’autorité. Les policiers, vous les voyez le matin lorsqu’ils viennent acheter leurs croissants à la boulangerie. Et puis, c’est fini. Mais comment leur en vouloir ? Ils sont débordés et eux-mêmes se considèrent désormais comme des victimes… Dès qu’ils entrent dans la cité, on les insulte, on leur lance des projectiles, et sans doute on leur tirera dessus comme à Villiers- le-Bel. Il faudrait une présence policière permanente et une antenne de justice. Nous payons tous de lourdes taxes professionnelles, moi, par exemple : 6 500 euros par an. A quoi sert cet argent ?

J’établis par semaine entre deux et cinq ITT [incapacité totale de travail] à la suite d’agressions. La violence est extrême. Avant, les voyous piquaient le sac et s’enfuyaient. Aujourd’hui, ils volent et tabassent gratuitement. Le jour où j’ai été attaqué, une femme a été agressée dans sa voiture, ils l’ont défigurée pour lui voler son véhicule…

C’est la deuxième fois en moins de deux ans que l’on m’attaque. Une de trop. En septembre 2005, trois jeunes cagoulés m’avaient menacé avec une arme et j’avais pris un coup de pistolet sur la tête. Une patiente m’avait aidé à les faire fuir en leur jetant une chaise dessus. Le lendemain, j’avais les trois noms de mes agresseurs dans la boîte aux lettres. Trois noms que j’ai communiqués à la police. Jamais personne ne m’a tenu informé de la suite de l’enquête. Un jour, j’ai téléphoné au lieutenant qui avait pris ma plainte. « Vos agresseurs ont été arrêtés, ils sont à la prison de Villepinte », m’a-t-il répondu. J’ai appris qu’ils étaient ressortis quatorze jours plus tard de la « prison PlayStation », comme on l’appelle ici. Jamais je n’ai été convoqué chez un juge, jamais je n’ai reçu la moindre lettre du tribunal.

J’ai 42 ans, et je ne veux pas que mes quatre enfants se retrouvent orphelins parce qu’un gamin de 17 ans m’a tué pour 50 euros. Depuis mon agression, ma femme ne dort plus. Moi-même, j’exerce la peur au ventre. Quand je fais mes visites le matin, je me dis que je risque de me faire attaquer. Dès que la sonnette du cabinet retentit, je sursaute. Chaque soir, un patient m’attend pour m’accompagner jusqu’à la voiture.

Je pars le coeur gros. C’est pour aider les autres que je suis venu ici. Après ma première agression, tout le monde m’a conseillé de partir : « Tu en as assez fait, laisse tomber. » J’ai choisi de rester, d’aller jusqu’au bout. J’aime mon travail. J’ai vraiment l’impression d’être utile. Sur vingt consultations, dix sont médicales, le reste, c’est du soutien psychologique ou social. Les gamins viennent me voir pour préparer un exposé ou résoudre un problème de maths. Presque 20 % de mes actes sont gratuits : il y a celui qui est malade et en situation irrégulière, celui qui n’a pas fait les papiers pour obtenir la CMU. Qui va s’occuper d’eux désormais ?

Il y a neuf mois, la mairie de Saint-Denis a organisé une réunion pour essayer de réorganiser les soins. Tous les professionnels de santé étaient invités, mais nous n’étions qu’une vingtaine. On nous a fait comprendre qu’il fallait désormais que l’on se regroupe dans une sorte de centre de soins bunkérisé avec des vigiles. Faut-il examiner les gens avec un gilet pare-balles et une arme à la main ?

Ici, c’est le ghetto. Depuis plusieurs années, ne s’installent que les plus pauvres, venus d’Afrique noire… La situation a commencé à se dégrader avec la vague antisémite qui a déferlé sur la Seine-Saint-Denis au milieu des années 90. Toute la population juive installée depuis trente ou quarante ans a quitté les lieux. Les familles maghrébines lui ont emboîté le pas. Chaque fois, elles ont été remplacées par des familles venues d’Afrique noire, parfois polygames. Le problème de la polygamie ne saute pas aux yeux parce que chaque épouse a un statut de mère isolée et un appartement où elle vit avec ses enfants. Les enfants sont déboussolés. Ils ne se reconnaissent pas comme français. Ils n’ont pas ici leurs grands-parents, leurs oncles, leurs tantes, ils se sentent isolés. La violence est montée au fur et à mesure qu’ils grandissaient. »

« Aucune limite. » « Quelles motivations pour les jeunes ici quand le type à côté de chez vous n’a rien, celui d’en dessous non plus et qu’ils sont tous de la même couleur de peau que vous ? Dès que vous avez un boulot correct, vous partez, parce que vous ne pouvez pas faire grandir vos enfants dans de bonnes conditions. Le tissu familial aussi s’est délité. Beaucoup de femmes se sont retrouvées seules pour élever leurs enfants parce que le mari est parti vivre avec une autre. Faute de père, le gamin se prend pour le chef à la maison. Dans mon cabinet, les enfants courent dans tous les sens, ouvrent les placards, touchent à tout. Je leur dis d’arrêter, une fois, deux fois, ils recommencent. A la troisième, je les prends par l’épaule et je menace de les mettre dehors. La fois suivante, leur comportement a changé, ils sont plus calmes. J’explique alors à la mère que ce n’est pas à moi de les cadrer, mais à elle. Ces enfants auxquels personne ne fixe de limites, dans cinq ans, ils commenceront à s’attaquer aux gamins de leur âge.

Avant, dans mon cabinet, on pouvait parler de tout sans tabou : Israël, l’Aïd-el-Kébir, Noël… Parfois, j’hésitais même à ouvrir la porte de la salle d’attente quand j’entendais mes patients discuter de tout, ensemble, entre musulmans, juifs, catholiques. Aujourd’hui, j’entends des mères de familles africaines dire à leurs enfants de ne pas parler aux Blancs. Et certains jeunes Blacks me disent que la cité leur appartient. »

Source : Le point.fr
Merci de l’info à JLB…

Narbonne. En liberté conditionnelle, Omar cambriole avec son amie…

Chronique du laxisme ordinaire…

« Connaissait vous la première obligation d’une personne en liberté conditionnelle ? » à cette question du juge Sylvie Duez, Omar hoche la tête. « C’est de ne pas se retrouver devant un tribunal ! »

Hier, un jeune couple comparaissaient devant le tribunal de Narbonne pour des cambriolages commis les 29 et 30 décembre à Port-Leucate. La personnalité d’Omar, 26 ans, crâne rasé, fait frémir. Originaire de Savoie, il était en liberté conditionnelle depuis deux ans, alors qu’il avait été condamné en 2004 à 12 ans de prison pour viol en réunion commis sous la menace d’une arme. Depuis sa sortie de prison, l’homme a déménagé sans avoir prévenu ni les juges de sa région d’origine, ni ceux de Narbonne, contrairement à ce que la loi impose. Il ne s’était pas non plus rapproché du fichier des// délinquants sexuels. Des manques dus, selon lui, à une « mauvaise information ». « Rien ne me prouve qu’il ait été mal renseigné, souligne le substitut du procureur Philippe Romannelo. Par ailleurs, il devait indemniser sa victime et il ne l’a pas fait » .
Omar s’est installé à Port-Leucate avec Marine en février. Ils sont chômeurs, en fin de droits. La semaine dernière, il a visité plusieurs maisons de la commune pour y dérober nourriture, alcool, matériel hi-fi, téléphone, outils, sèche-cheveux… La liste est longue.
Pour une habitation, il est passé par la fenêtre, restée ouverte. Pour l’autre, il a cassé la porte. Avant de s’attaquer à trois appartements d’un même immeuble. Au moment de repartir avec un téléviseur, il a sollicité l’aide de sa compagne, Marine âgée de 21 ans qui visiblement le suit sans trop poser de question. Pourtant, elle connaît le sulfureux passé de son ami. Et lorsque le juge Duez évoque des « faits similaires qui se sont déroulés les jours précédents »

Omar affirme : « C’est pas nous ».

La jeune femme écope d’une peine de 6 mois de sursis. Quant à Omar, qui était incarcéré depuis son interpellation, il restera en prison. Le tribunal l’a condamné à 2 ans et ordonné un maintien en détention.

Omar? Il n’a pas à s’inquièter; dans quelques mois, il sera à nouveau dehors. Ben oui, c’est du racisme d’appliquer NOTRE justice à un individu « issu de l’immigration »…

FDF

Quick halal:On peut aussi en rire…

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Racaille: « En une décennie, le phénomène des voitures brûlées s’est étendu et banalisé ». Et on ne compte rien faire???

Il y a dix ou quinze ans, la publication des statistiques sur les voitures brûlées lors du Nouvel An, en particulier à Strasbourg, créait un émoi politique et médiatique important. La droite accusait le gouvernement Jospin, alors au pouvoir, de ne pas répondre aux problèmes d’insécurité. En septembre 1999, le chef de l’Etat, Jacques Chirac, s’alarmait ainsi devant le congrès des sapeurs-pompiers de la hausse du nombre d’incendies dans le cadre des violences urbaines : il livrait le chiffre, jugé inquiétant, de 14 000 incendies volontaires pour 1998. Une année qui s’était conclue par une Saint-Sylvestre agitée à Strasbourg mais très calme dans le reste de la France : à peine une centaine de véhicules incendiés, au total, selon les statistiques transmises à l’époque au Monde.

Une décennie plus tard, le ministre de l’intérieur, Brice Hortefeux, peut se féliciter publiquement d’avoir permis aux Français de passer une soirée de Saint-Sylvestre « calme », alors que 1 137 véhicules ont été incendiés dans la nuit. « La tendance à la hausse a été enrayée », s’est réjoui M. Hortefeux en référence aux statistiques de l’année précédente, les pires jamais enregistrées avec 1 147 véhicules carbonisés. Mais cette appréciation positive est invalidée par l’analyse des années précédentes : 878 voitures brûlées en 2008, 397 en 2007, 425 en 2006, 337 en 2005, 324 en 2004, selon les chiffres officiels alors transmis à la presse par le ministère de l’intérieur.

Deux facteurs semblaient pourtant se conjuguer pour en réduire le nombre en 2009. D’abord une couverture a minima du sujet par les télévisions, fortement critiquées dans les années 1990 et après les émeutes de 2005 pour avoir contribué à une émulation négative entre quartiers sensibles : avant le réveillon de cette année, elles sont restées extrêmement sobres, sinon silencieuses sur le sujet. Ensuite, une présence policière exceptionnelle : 45 000 policiers et gendarmes mobilisés pour le 31 décembre 2009, 34 000 pour le 14 juillet 2009… soit des capacités proches du maximum, de l’avis des syndicats de policiers.

Le Nouvel An masque un mouvement de banalisation du phénomène : depuis cinq ans, le ministère de l’intérieur ne parvient pas à faire diminuer le nombre global d’incendies de voitures, ceux du Nouvel An et du 14-Juillet comme ceux du quotidien.

Alors que l’année 2005, marquée par les trois semaines d’émeutes dans les banlieues, avait été qualifiée d’exceptionnelle (45 588 véhicules incendiés, dont 10 000 pendant les émeutes), la tendance est restée globalement défavorable, très loin des statistiques évoquées en 1999 par le chef de l’Etat. Encore 44 157 voitures brûlées en 2006, 46 814 en 2007, un peu plus de 40 496 en 2008 et probablement plus de 40 000 en 2009, si on en croit les premiers chiffres rapportés par Le Figaro.

Les autorités policières insistent sur le fait que les violences urbaines n’expliquent qu’une partie des feux. Elles mettent en avant la « multiplicité des motivations des incendiaires », en particulier les escroqueries à l’assurance, la volonté de faire disparaître des traces ADN ou digitales dans des voitures volées, des vengeances personnelles, des conflits de voisinage… Une analyse validée par la dispersion des incidents sur la quasi-totalité du territoire : alors que le phénomène touchait presque uniquement les quartiers sensibles il y a quelques années, des territoires ruraux et périurbains sont désormais concernés.

Mais l’expérience de ces dernières années montre que l’incendie est devenu un outil banal de manifestation, de colère mais aussi de joie. Tous les rassemblements importants impliquant la jeunesse sont devenus à risque : le Nouvel An, donc, mais aussi les nuits des 13 et 14 juillet (500 véhicules), les matches de football (au moins 300 véhicules brûlés en France en marge du match Egypte-Algérie), les élections importantes (730 voitures le soir de la victoire de Nicolas Sarkozy en 2007). Un phénomène unique en Europe à cette échelle.


piqué sur http://extremecentre.org/2010/01/06/ethnographie-des-nouveaux-folklores-d%e2%80%99inspiration-multiculturelle-tristes-tropiques-ii/#more-17784

Voile intégral : Buffet accuse l’UMP de se servir du débat pour « stigmatiser » l’islam.

Les muzz doivent bien se foutre de nous, au vu de l’importance qu’on leur donne avec tout ce charivari à la française les concernant… Un loi en bonne et due forme interdisant une fois pour toutes le port de la burqa sur notre territoire les remettra à leur place… Ils veulent vivre en France? Pas de problème; mais qu’ils s’adaptent. Mais ils ne sont pas venus pour se plier à nos lois républicaines; ils sont venus tenter d’imposer les leurs. A nous tous de na pas les laisser faire…
FDF

La secrétaire nationale du PCF, Marie-George Buffet, a réaffirmé mercredi l’opposition de son parti à une loi interdisant le voile intégral , accusant l’UMP de se servir de ce débat pour « stigmatiser l’islam ». « Je ne pense pas que la solution au problème de la burqa passe par une loi. Je pense que ça passera, au contraire, par une mobilisation, par le dialogue et par le combat pour la laïcité et le droit des femmes », a affirmé la numéro un communiste lors de ses voeux à la presse.

« Ce voile intégral n’est pas d’abord un signe religieux, mais avant tout un signe de domination patriarcale. L’UMP se sert de ce débat pour stigmatiser l’islam alors même que 99 % des femmes musulmanes le refusent », a-t-elle dit.
Ces femmes musulmanes pensent qu' »elles ont droit à cette liberté, et c’est avec elles que nous avançons », a ajouté la députée de Seine-Saint-Denis. « Je suis contre tout enfermement des femmes parce que je pense que la femme a le droit à la liberté, à l’égalité, un droit de choisir. » « Il faut passer par une mobilisation de tous ceux qui veulent l’égalité entre les hommes et les femmes », a-t-elle insisté.

Interrogée sur la position du député PCF André Gerin, président de la mission d’information parlementaire sur le port du voile intégral, Marie-George Buffet a répondu : « J’attends de voir le rapport de la commission ». Le Parti communiste français a été « sollicité » pour donner son avis à cette commission et il l’adressera jeudi, a-t-elle dit. Mercredi, le Parti socialiste a exprimé son opposition  » par principe  » à une loi interdisant le voile intégral.

Source: lepoint.fr