Oh, au pire, il va se prendre trois mois avec sursis avec quelques jours de travail d’intérêt général, le pauvre petit Sékou (pardon, j’ai écrit le mot « travail, s’il voit ça, il va se sauver en courant…).
FDF
*******************Délibération du tribunal qui tombe à l’intant:
Le jeune accusé d’avoir participé à l’incendie d’un bus à Sevran en 2005 acquitté en appel !!! Saloperie de racaille !!!
La cour d’assises des mineurs de Paris a acquitté ce mercredi en appel un jeune accusé d’avoir participé à l’incendie d’un bus à Sevran en 2005. Le jeune homme comparaissait depuis mardi, en appel et à huis clos, devant la cour d’assises des mineurs de Paris.
Mineur au moment des faits et âgé aujourd’hui de 22 ans, Sékou avait été déjà acquitté en octobre 2007 par la cour d’assises des mineurs de Seine-Saint-Denis (avec un autre accusé) alors que l’avocat général avait requis contre lui 7 ans de prison. Le parquet général avait alors fait appel.
«C’est un dossier qui n’est pas clair, or le principe chez nous c’est quand même que le manque de clarté mène à un acquittement. J’espère que les jurés l’entendront de la même façon», avait déclaré mardi l’avocat de Sékou, Maître Eric Planterose.
06.01.10
Il avait été acquitté en première instance…
Le verdict dans le procès en appel d’un jeune accusé d’avoir participé à l’incendie d’un bus à Sevran en 2005 est attendu ce mercredi. Le jeune homme comparaît depuis mardi, en appel et à huis clos, devant la cour d’assises des mineurs de Paris.
Mineur au moment des faits et âgé aujourd’hui de 22 ans, Sékou avait été acquitté en octobre 2007 par la cour d’assises des mineurs de Seine-Saint-Denis (avec un autre accusé) alors que l’avocat général avait requis contre lui 7 ans de prison. Le parquet général avait alors fait appel.
«C’est un dossier qui n’est pas clair, or le principe chez nous c’est quand même que le manque de clarté mène à un acquittement. J’espère que les jurés l’entendront de la même façon», a déclaré mardi l’avocat de Sékou, Maître Eric Planterose.
Une femme handicapée sauvée in extremis
Le 2 novembre 2005, quelques jours après le début des violences urbaines dans les banlieues, une vingtaine de jeunes cagoulés avaient arrêté un bus près de la gare de Sevran-Beaudottes (Seine-Saint-Denis). Ils l’avaient caillassé et finalement incendié, « sans se rendre compte » (c’est pas moi, m’sieur!) qu’une femme handicapée y était restée bloquée. Elle n’avait été sauvée que grâce à l’intervention du conducteur du bus, qui l’avait sortie in extremis du véhicule.
Brûlée au deuxième degré sur 30% du corps et hospitalisée plusieurs mois, la victime ne s’est pas portée partie civile, à l’inverse du chauffeur de bus. Sékou, un multi-récidiviste déjà visé par seize procédures, nie s’être trouvé sur les lieux au moment de l’incendie. Ben voyons…
Eh oui: « chances pour la France »…