Francaisdefrance's Blog

24/09/2009

Islamisation : résistance à Bayonne où la Gauche déraille…

Filed under: dhimmitude,islam,islamisation,mosquée — francaisdefrance @ 20:23

23 septembre 2009

Au mois de mars dernier, Louis-Pierre CLEMENTI, responsable du Front National dans les Landes, apprenait que dans le département voisin, à Bayonne, un projet de mosquée avec un énorme minaret, était en construction, dans le plus grand secret.

Défenseur des traditions françaises, du paysage basque et de la laïcité face à ce projet imposant, il a aussitôt réagi et est aujourd’hui condamné. Interview par Julien SANCHEZ.

– Pour en savoir plus, rendez-vous sur http://codepaf.wordpress.com/
– Pour envoyer vos dons : CODEPAF – COmité de DEfense des PAysages de France, Société de Fait – 583 chemin de Milord – 40220 TARNOS

source

Addendum : la gauche bayonnaise porte également plainte contre 3 sites internet
opposés à la construction de la mosquée de Bayonne.

Source: http://www.fdesouche.com/articles/68387

Les frimeurs en « BM » vont enfin trinquer?

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 20:13

Cinquante agents du fisc dans le chaudron des cités

Va t’on enfin en finir avec cette provocation incessante de la racaille ?
24/09/2009

Directeur général des Finances publiques au ministère du Budget, Philippe Parini assure que les textes visant à lever le secret fiscal entre la police et les agents du fisc «seront pris dans les deux à trois mois».
Directeur général des Finances publiques au ministère du Budget, Philippe Parini assure que les textes visant à lever le secret fiscal entre la police et les agents du fisc «seront pris dans les deux à trois mois».

La police, la gendarmerie et le fisc vont désormais coopérer de façon directe pour détecter, dans les cités, les signes extérieurs de richesse d’individus ne déclarant pas de revenus.

Est-ce la fin des costumes Hugo Boss, des Touareg, des Cayenne et autres Mercedes ML clinquants au pied des barres ? Des agents du fisc vont être spécialement affectés au suivi des cités où prospère l’économie souterraine. Ils seront cinquante pour commencer, répartis dans dix-sept départements, de la région Ile-de-France aux Bouches-du-Rhône, en passant par la Haute-Garonne, l’Isère, la Marne, la Moselle, l’Oise, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin et la Seine-et-Marne. Leur mission : détecter les signes extérieurs de richesse des parrains locaux de la drogue, les appartements, les commerces, les voyages au soleil et même les parts de chevaux de course achetés sans revenu déclaré.

Cette idée d’utiliser l’arme fiscale, que l’on croyait intrinsèquement liée à la création des Groupes d’intervention régionaux (GIR) par Nicolas Sarkozy en 2002, aura mis sept ans à aboutir. Elle s’est donc concrétisée mercredi par la signature d’un protocole entre le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, et son homologue du Budget, Éric Woerth.

Concrètement, la police, la gendarmerie et la direction générale des finances publiques vont désormais coopérer de façon directe dans ces affaires, sans qu’aucun service ne puisse se retrancher derrière un quelconque «secret professionnel», comme cela était trop souvent le cas. Des blocages qui avaient suscité le courroux du chef de l’État au printemps dernier.

Le protocole Hortefeux-Woerth fixe le cadre juridique de cette nouvelle collaboration : uniquement des «échanges de renseignements et de documents de nature fiscale» sur «certains individus dans des quartiers réputés sensibles». La police souhaiterait notamment profiter des outils spéciaux du fisc qui peut d’un clic remonter l’historique des mouvements bancaires d’un suspect et le croiser avec tout un tas d’autres fichiers, même ceux de la Sécurité sociale. Le pouvoir inquisitorial des fonctionnaires de Bercy pour faire rentrer l’impôt dépasse – et de loin – celui accordé à la police pour traquer les voyous.

Jusqu’alors, les agents du fisc étaient plutôt réticents à poursuivre les caïds ou les chefs de certains clans sédentarisés de «gens du voyage». «Question de culture», explique un commissaire de police. Selon lui, «au-delà de la peur que peuvent inspirer les chefs de gangs aux fonctionnaires en cravate de Bercy, il y avait aussi le fait que la rentabilité du redressement fiscal d’un gros commerçant ou chef d’entreprise semblait plus évidente». Mais les mentalités ont évolué et les agents de Bercy ont peu à peu acquis des «réflexes de chasseurs», dit-on à la PJ. Le gros gibier des cités aussi a évolué, investissant notamment dans des restaurants ou des boîtes de nuit pour s’offrir des villas de rêve au pays. Autant d’angles d’attaque pour les nouvelles équipes communes de Bercy et de l’Intérieur.

Directeur général des Finances publiques au ministère du budget, Philippe Parini assure que les textes visant à lever le secret fiscal entre la police et les agents du fisc «seront pris ans les deux à trois mois». Bercy va pouvoir constituer, selon lui, des «bases imposables» pour lever l’impôt chez les caïds des cités qui ne déclarent pas leurs revenus. Les textes visant à définir les signes extérieurs de richesse ont été définis il y a plus de vingt ans. Se fondant sur des éléments, comme le fait de jouer au golf ou de posséder un yacht, ils ne conviennent pas forcément à ce nouveau public qui roule en gros 4X4 ou en voiture de sport, collectionne les écrans plats, les chaînes hifi et les voyages en première classe dans les hôtels de luxe des pays du pourtour méditerranéen avec leurs multiples conquêtes attirées par l’argent facile.

Source: lefigaro.fr

Durant les six premiers mois de 2009, en France, 22 millions d’euros ont déjà été saisis aux trafiquants, en argent, voitures, bijoux et immeubles. L’ampleur des prises espérées grâce à la nouvelle coopération avec Bercy va obliger dans les deux mois à créer une Agence nationale de gestion des biens saisis. Pour administrer au mieux ces prises de guerre et décharger les magistrats de ce fardeau comptable.

Invasion islamique: après, les mosquées, les cimetières, voici NOS écoles!

Filed under: dhimmitude,islam,islamisation,musulmans — francaisdefrance @ 19:58

L’école, un nouveau terrain à conquérir pour l’islam de France

Lu sur LE MONDE | 24.09.09

L’islam de France tient sans doute là son chantier d’avenir. Alors que la construction de lieux de culte se normalise, que la question des carrés musulmans dans les cimetières est régulièrement prise en compte par les autorités, l’attention se porte désormais sur les besoins éducatifs des nouvelles générations. L’annonce de l’ouverture cette année de trois établissements scolaires privés musulmans à Montigny-le-Bretonneux (Yvelines, 29 élèves), Marseille (une quarantaine) et Toulouse (30 inscrits) illustre cette tendance. « Il y a des parents et des enseignants motivés, la communauté musulmane est mûre et les cadres maîtrisent mieux l’ingénierie nécessaire pour ce type de dossiers », explique Bernard Godard, auteur des Musulmans en France (Robert Laffont, 2007). Et d’ajouter : « Le phénomène ne peut que progresser. »


Privé catholique: 10 000 établissements scolarisent 2 millions d’élèves de toutes confessions, de la maternelle à la terminale, soit 17 % des effectifs. La majorité est sous contrat avec l’Etat.

Privé juif: 240 établissements scolaires juifs accueillent 30 000 élèves de confession juive de la maternelle à la terminale, soit un tiers de la population potentiellement concernée ; un tiers est scolarisé dans l’enseignement catholique ; le dernier tiers dans le secteur public. 85 % des élèves le sont dans des établissements sous contrat avec l’Etat.

Hors contrat. La création d’écoles primaires catholiques et juives hors contrat se développe à l’initiative de parents insatisfaits de l’offre de leur communauté.

Au total, seuls quelque 650 élèves fréquentent ces collèges et lycées ouverts depuis le début des années 2000. La faiblesse des effectifs masque l’émergence d’une demande de choix scolaire dans ces classes moyennes mais aussi un risque de repli communautaire. « Notre projet répond à un grand espoir pour beaucoup de familles, déçues par l’enseignement public, confrontées à un manque de places dans le privé catholique et plus regardantes sur l’éducation religieuse », confirme Hakim Chergui président de l’association Al Kindi, qui gère l’établissement de Décines (Rhône), le plus grand de France avec 343 élèves. Au lycée Averroès de Lille (140 élèves), le seul à disposer d’un contrat d’association avec l’Etat – et donc du financement public des salaires des enseignants -, le directeur El Hassane Oufker assure avoir reçu cette année 110 candidatures pour 56 places.

« Tenir le cap financier »

Rendues urgentes pour certaines familles par l’adoption de la loi de 2004 qui interdit le port du foulard islamique dans l’enseignement public, ces ouvertures d’établissements répondent au désir des parents d’offrir à leurs enfants un « environnement musulman » et un « meilleur encadrement ». Outre le programme de l’éducation nationale, les élèves y suivent des cours de langue arabe et de une à trois heures d’éducation religieuse, selon les projets.

La plupart des établissements ont été lancés à l’initiative ou avec le soutien de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), en pointe sur ce dossier. Le projet de Toulouse fait, lui, directement référence à la loi de 2004. « Que faire, sinon, des filles qui désirent rester voilées ? », s’interroge son responsable, Abdelfattah Rahhaoui. Le site Internet du collège précise aussi, sans fard, que l’établissement « a pour objectif l’éducation de la jeune génération musulmane », menacée de « grand danger dans les collèges et lycées publics (drogues, cigarettes, violence, relations illicites) ».

Mais, heureusement, ces projets se heurtent à plusieurs obstacles : la recherche de locaux adaptés, le financement des salaires enseignants durant cinq ans (avant de signer un contrat d’association avec l’Etat) et la mobilisation des familles pionnières. A Lille, le lycée est à l’étroit dans l’enceinte de la mosquée d’un quartier excentré et ne peut plus accueillir de nouveaux élèves. Lancé sans soutien et englué dans des problèmes administratifs, le collège musulman d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), le premier du genre, connaît une situation plus que critique.

« L’une de nos difficultés sera de tenir le cap financier », explique aussi Slimane Bousanna, président de l’Institut de formation de Saint-Quentin-en-Yvelines, qui gère le collège de Montigny-le-Bretonneux ; son budget, pour l’année, n’est toujours pas bouclé. Les frais d’inscription – de 750 à plus de 2 000 euros par an – ne suffisent pas à couvrir les frais.

A charge pour les mécènes français ou étrangers, déjà sollicités pour la construction de mosquées, de compléter les budgets.

Exigences: La prudence de beaucoup de parents limite aussi le développement de ces structures. « Même intéressées, certaines familles attendent que les établissements aient fait leurs preuves avant d’y inscrire leurs propres enfants », souligne M. Bousanna. « Elles veulent des garanties sur la qualité des enseignants qui travaillent hors contrat », rappelle aussi M. Oufker.

Du côté de l’éducation nationale, la normalisation est en route. « La demande pour de tels établissements est légitime », indique-t-on au rectorat de l’académie de Toulouse, qui a bataillé avec les porteurs du projet Alif pour obtenir un dossier en règle. « On est passé d’une situation de paria à la normalité, indique de son côté M. Chergui. Comme le privé catholique, on contribue au service public d’éducation. » Désormais, certains plaident pour l’installation d’aumôniers musulmans dans les établissements publics, aux côtés des 2 000 aumôneries catholiques.

Oui; et bien, on a du boulot pour s’opposer à tout ça (surtout avec des politiques qui applaudissent des deux mains cette invasion…)

FDF

Immigration: que du bonheur… Vive les bienfaits de la diversité!

Filed under: immigration,racaille — francaisdefrance @ 19:17

Emeute multiethnique à Vauréal : un blessé par balle

PONTOISE1

VAUREAL (NOVOpress)
Le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, s’est déplacé cet après-midi à Vauréal (Val-d’Oise) pour constater une nouvelle fois les bienfaits de la France de la diversité. Cette commune a été mise à feu et à sang mardi soir, dans le quartier des Toupets, suite un règlement de compte entre deux bandes multiethniques.
En début de soirée, une quinzaine de jeunes issus de la « diversité » se battent à coups de barres de fer et de bombes lacrymogènes. Les forces de l’ordre interviennent et tentent de calmer les brutes. Mais à 21h30, la situation dégénère. Plusieurs groupes multiethniques sont repérés dans le quartier des Toupets et celui de la Côte des Carrières à Jouy-le-Moutier. La police doit solliciter des renforts. C’est alors qu’un individu tombe, victime d’une arme à feu.

Caillassés, les pompiers ne pourront secourir le blessé que sous la protection des policiers et des gendarmes. Le calme n’est revenu qu’à 1 heure du matin. Le quartier a été ravagé par une centaine de personnes. Aucune interpellation n’a été réalisée. Nouveau témoignage des haines et des violences que génère la société multiraciale, étrangère à l’histoire et à la culture de la France.


Novopress.info, 2009,

Délinquance: encore une petite?

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 19:13

VAL-D’OISE

Vidéo 1 : Agressions en série très violentes aux abords du lycée de Gonesse (Val d’Oise).

Gonesse : agressions en série aux abords d’un lycée

Le maire de Gonesse (Val d’Oise) et des parents d’élèves tirent la sonnette d’alarme : plusieurs lycéens ont été violemment agressés par des bandes de jeunes depuis le début de l’année scolaire en se rendant au lycée René Cassin. «Il y a eu onze agressions depuis le début de l’année scolaire et neuf dépôts de plaintes», a déclaré Jean-Pierre Blazy, maire (PS) de Gonesse, confirmant une information de France Bleu.

«Trois jeunes ont été interpellés», selon le maire qui «demande que la police nationale soit réellement présente». «Il s’agit de violences crapuleuses, de racket et de vols à proximité du lycée», selon Jean-Pierre Blazy, qui dénonce un «manque de moyens».

«Mon fils a été agressé par quinze à vingt jeunes qui l’ont roué de coups et tapé à coups de barre de fer», témoigne une mère d’élève qui préfère garder l’anonymat. «Il faut une mobilisation générale. J’en appelle au ministre de l’Intérieur, au préfet. La police est complètement absente», dénonce-t-elle. Le lycéen agressé, âgé de 17 ans, s’est vu prescrire 5 jours d’ITT (interruption totale de travail). «Il est choqué, prostré, incapable de se projeter dans son avenir», ajoute sa mère, qui a déposé plainte. «Il n’y a pas eu d’interpellation. Nous avons peur des représailles», ajoute cette mère de famille, «on ne vit plus, on a cette angoisse en laissant nos enfants devant la porte de l’établissement».

La préfecture déclare que le «dispositif de sécurité a été renforcé» tout en refusant de donner plus de détails. «Le renfort d’effectif est temporaire, il est le bienvenu mais ce n’est pas la solution sur la durée», selon le maire de Gonesse qui réclame «200 à 300 policiers supplémentaires judicieusement répartis sur le département».

Le lycée René Cassin de Gonesse compte 1.400 élèves. Selon des parents d’élèves, des agressions se sont déjà produites l’année dernière. «Comme il n’y a pas de réponse, cela va crescendo», explique une mère d’élève souhaitant garder l’anonymat.

Leparisien.fr

Délinquance issue de l’immigration: les chiffres…

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 19:10

Bandes : 67 % d’origine maghrébine – 17 % d’origine africaine.


Des rapports des RG se sont penchés sur la composition des bandes, leur usage de la violence, ainsi que sur l’origine ethnique de leurs membres.
Les renseignements généraux ont établi un profil type des principaux délinquants dans ces groupes, à partir de l’étude de 436 meneurs. 87 % ont la nationalité française ; 67 % sont d’origine maghrébine et 17 % d’origine africaine. Les Français d’origine non immigrée représentent 9 % des meneurs, selon les RG.

«Selon les RG, le racisme anti-blanc est une réalité quotidienne.»

Les jeunes d’origine africaine ancrés dans la délinquance présenteraient des particularités : l’une d’elles serait « l’extrême violence de leurs actes ». Selon le rapport, « ces jeunes réagissent de façon démesurée, surtout lorsqu’ils sont en groupe. Le fait de tuer est complètement banalisé par la télévision (…). Donner la mort s’inscrit dans une sorte de parcours initiatique qui permet d’être reconnu et de s’élever dans la bande, d’autant que l‘excuse de la provocation, sous une forme quelconque, vaut toujours absolution. »

Dans le même rapport, les policiers parlent déjà d’ »acharnement », de « sauvagerie » et de « barbarie », citant l’utilisation épisodique d’armes destinées à infliger des blessures graves, comme des gourdins à clous, sans parler des armes à feu.

Les renseignements généraux n’ont pas conduit d’étude spécifique sur l’antisémitisme en banlieue. En revanche, les violences constatées à l’occasion de la manifestation lycéenne du 8 mars 2005 ont incité les policiers à se pencher sur le racisme anti- »Blanc », « une réalité quotidienne », selon le titre d’une étude du 4 juillet 2005.

Les RG y citent des exemples de menaces et d’agressions, notamment contre les personnes qui travaillent pour les bailleurs sociaux ou les services publics. (Le Monde) (archive texte complète FDS)
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Notez dans ce texte qu’il existe des « Français d’origine non immigrée  ». Selon le discours officiel, nous sommes « tous des immigrés ».

source : fdesouche

Islamisation: Les ELCO : 40 ans de propagande islamique au sein des écoles françaises.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 19:08

Depuis près de quarante ans sont organisés sur le territoire français au sein de l’éducation nationale des “enseignements de langue et de culture d’origine” (ELCO). Peu médiatisés, ils constituent pourtant une réalité importante dans de nombreuses écoles françaises.

Un enseignement communautaire

Les ELCO sont destinés aux élèves issus de l’immigration.  Ils résultent de traités passés par la France au milieu des années 70 avec les pays sources d’immigration. D’autres pays européens ont également signé ce type d’accords ; il s’agissait à l’époque de permettre aux enfants concernés de conserver un lien étroit avec la culture d’origine dans la perspective d’un retour au pays des familles immigrées.

Ces cours sont dispensés aux élèves originaires des pays suivants : Algérie, Maroc, Tunisie, Turquie, Serbie. Ces enseignements sont organisés par pays d’origine : par exemple les ELCO algériens ne concernent que les élèves d’origine algérienne.

Ces cours qu’on peut donc qualifier de communautaires se déroulent au sein des établissements scolaires, à raison de 3 heures par semaine. Ils ont lieu le plus souvent après la classe ordinaire (dans certains établissements, toutefois, ils prennent place dans le temps scolaire et les élèves concernés quittent alors leur classe pour rejoindre le cours ELCO).

Les deux-tiers des ELCO concernent les élèves des écoles primaires mais ils sont également proposés au collège et, plus rarement, au lycée.

Programmes établis par les pays organisateurs

Ces cours sont dispensés par des enseignants étrangers, choisis et rémunérés par le pays organisateur (par exemple c’est un enseignant algérien venu d’Algérie et choisi par son pays qui assurera, en France, un ELCO algérien). Chaque année, une délégation de chaque pays organisateur d’ELCO rencontre le ministère français de l’éducation nationale pour ajuster la carte des ELCO en fonction des besoins.

Bien que le ministère français de l’éducation se fasse communiquer une traduction française de ces programmes, il ne lui est cependant pas possible de vérifier que les enseignements effectivement dispensés dans les classes  leur sont conformes. Ainsi que le montrent ces programmes traduits en français transmis par les autorités des pays d’origine, qu’il s’agisse de la partie linguistique du programme ou de ses volets culturels et religieux, les ELCO turcs et maghrébins consistent pour une part en un enseignement fondé sur le Coran. Le programme turc se caractérise en outre par l’omniprésence des proclamations nationalistes.

Les ELCO se déroulent dans la langue d’origine. Le ministère français de l’éducation ne disposant que de quelques inspecteurs parlant l’arabe ou le turc, il ne peut exercer, en pratique, de contrôle sur ces enseignements.

L'ELCO à Montighy

Les ELCO ne sont pas obligatoires mais les familles volontaires sont nombreuses : environ 60 000 élèves sont concernés annuellement rien que pour les deux communautés maghrébine et turque. Ces dix dernières années, les effectifs ont baissé pour les ELCO marocains et tunisiens alors qu’ils restent inchangés pour les enseignements algériens et sont en augmentation pour les enseignements turcs.

Au total, les ELCO sont dispensés par 700 enseignants algériens, marocains, tunisiens et turcs.

Les services du ministère de l’intérieur ont appelé à plusieurs reprises l’attention des pouvoirs publics sur les risques liés aux ELCO : non respect du principe de laïcité ; encouragement du communautarisme ; diffusion du fondamentalisme. Il est probable que les ELCO ont par exemple joué un rôle non négligeable dans l’extension de la pratique du port du voile dans la population immigrée. De même, le ministère de l’intérieur a signalé à plusieurs reprises que certains enseignants ELCO exerçaient par ailleurs, en dehors des cours eux-mêmes, dans des associations islamistes et des écoles coraniques.

En dépit de ces informations et mises en garde, les différents gouvernements français n’ont jamais voulu remettre en question ces ELCO, auxquels tiennent les populations immigrées aussi bien que leurs pays d’origine.

Source : Veille-Education.

Racaille: fin du ramadan et reprise des « activités »…

Filed under: musulmans,racaille,ramadan — francaisdefrance @ 19:03

Dole : des « jeunes » cagoulés attaquent la police et mettent le feu

23 septembre 2009

Un salon de coiffure et quatre voitures calcinés, plusieurs autres véhicules dégradés, des policiers et des pompiers attaqués à coups de pierres et de cocktails Molotov, des rues barrées par des poubelles enflammées… A Dole (Jura), le quartier des Mesnils-Pasteur a renoué avec ses heures les plus sombres.

Des cocktails Molotov sont lancés en direction d’une patrouille.

Tout a commencé en début d’après-midi lorsque les policiers sont alertés par des habitants pour mettre fin au « rodéo » d’un « jeune » à moto, phénomène fréquent dans le quartier. Sur place, les forces de l’ordre sont accueillies par un groupe d’individus hostiles. Tout va dégénérer quelques heures plus tard. Des poubelles sont incendiées et, vers 21 heures, un fourgon essuie un premier jet de pierres qui fait voler en éclats une vitre du véhicule.

Vers 22 heures, ce sont des cocktails Molotov qui sont lancés en direction d’une patrouille. Deux voitures stationnées le long du salon de coiffure sont incendiées. Le feu se propage rapidement au bâtiment, qui sera entièrement détruit. Une partie des habitants de la tour toute proche est évacuée, les autres restant confinés dans leurs appartements.

« Pourquoi la police ne les met pas en prison. Ils attendent quoi ?»

« Pourquoi la police ne les met pas en prison. Ils attendent quoi ? » réagit un riverain. L’exaspération ne s’accompagne malheureusement pas de témoignages qui permettraient aux enquêtes d’aboutir, comme on l’a vu dernièrement avec l’affaire des plombs tirés sur des enfants. Pourtant, cette fois, Patrick Péchard, commandant de police, veut y croire. « Un palier a été franchi, la sécurité des habitants directement menacée et il faut que tout le monde se réveille… » source

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Rachid Tasra : «Je savais pas»…

Rachid Tasra, un Dolois de 18 ans, était jugé hier en comparution immédiate pour refus d’obtempérer aggravé par la mise en danger de la vie d’autrui, recel de vol en récidive légale, délit de fuite et outrages.

« Je ne savais pas, cette moto, elle était à personne… »

Le jeune homme, qui circulait à très vive allure dans les rues de Dole avait percuté une camionnette après avoir grillé un feu rouge. Sur place, les policiers s’étaient retrouvés face à un petit groupe de jeunes hostiles. Le motard, blessé à une main, avait été se faire soigner à l’hôpital de Besançon, où les policiers l’ont interpellé.

Le prévenu a d’abord nié, mais du sang retrouvé sur la camionnette l’a confondu. La moto, sans plaque, avait été volée le 12 septembre. « Je ne savais pas, cette moto, elle était à personne… », explique le prévenu, par ailleurs non titulaire du permis. Majeur depuis juin, il a été condamné de nombreuses fois par le tribunal pour enfants de Lons pour vol aggravé, violence en réunion, outrage, etc.

Rachid Tasra a déjà été condamné de nombreuses fois pour vol aggravé, violence en réunion, outrage.

Le prévenu explique que, s’il avait su que la moto n’avait pas de plaque et était volée, jamais il n’aurait poussé jusqu’au centre-ville. « Cela montre bien que pour vous, il y a la ville et le quartier. Mais la loi est la même partout. On ne roule pas sans permis et sans plaque.»

L’avocat plaide la relaxe sur le recel et l’indulgence du tribunal sur le reste du dossier. Le prévenu, décrit par les experts comme vif et intelligent, est en difficulté avec sa famille. « C’est parce que la police a prévenu son père qu’il s’est énervé lors de sa garde à vue » explique l’avocate. Elle  insiste sur le fait que le prévenu, encore bien jeune, n’est pas « perdu pour la société ». Titulaire d’un CAP d’électricien, il est en route « vers davantage de maturité ».

Deux ans de prison dont 16 mois assortis du sursis avec mise à l’épreuve pendant trois ans et obligation de travailler. (source)

«Dans de nombreux pays européens, si vous lancez un cocktail molotov, les forces de l’ordre font feu.» Bruno Beschizza, commandant de police, 30 mars 2009

«Plus une société est culturellement hétérogène, plus elle est violente. On s’explique mal l’enthousiasme débridé et sans nuance des médias, ou de personnalités de gauche,  leur ignorance, ou leur indifférence, face à des risques criminels manifestement liés à la « diversité »». (relire)

Vidéos sur:  http://www.fdesouche.com/articles/68219

Racisme anti-blancs: enfin, ça se réveille!

Filed under: racaille,racisme — francaisdefrance @ 09:54

Bravo à cette excellente initiative! Pourvu qu’elle fasse des émules. Il est grand temps que la peur change de camp!

FDF

Ardennes

Chauny

Contre le racisme anti-blanc
Il crée son association

Didier Petitjean, membre du FN, affirme ne pas vouloir politiser l’action de l’association.

Sous peu, une association militant contre le racisme anti-blanc va voir le jour à Chauny. Elle se veut nationaliste… et ouverte à tous.

Voilà (enfin)  une association qui risque de ne pas passer inaperçue.
D’ici quelques jours, une structure, qui va lutter contre le racisme anti-blanc, va voir le jour dans la cité.
Son fondateur, Didier Petitjean, a pris l’initiative d’une telle association après qu’il ait longuement échangé avec des habitants qui, selon lui, en ont assez d’être la cible d’insultes du type « sale blanc ».
« Nous constatons certaines injustices. Lorsqu’une personne qui a la peau blanche se fait insulter, voire frapper, les autorités (NDLR : mairie et gendarmerie) ne font rien. À l’inverse, lorsqu’une personne de couleur est la victime, l’auteur risque une condamnation en justice. Les Chaunois en ont ras-le-bol », souligne Didier qui est le futur président de l’association.
L’objectif de ce groupe est de promouvoir le sentiment nationaliste. Un mot auquel le responsable tient, car pas question de mélanger les genres.
« L’association est ouverte à tous, y compris aux personnes de couleur. En revanche, ceux qui auront des idées néonazies, je n’en veux pas. Je me donne le droit de faire le tri à < l’entrée >. Ce que nous voulons, c’est prôner le respect de notre pays, la France, et défendre ses valeurs. L’association sera un lieu d’écoute et d’échange pour les jeunes, entre autres, où le respect sera présent.
Nous organiserons des manifestations comme des réunions publiques sur la délinquance ou des soirées à thème pour que la ville bouge un peu plus. »
L’organisation semble déjà bien rôdée, il faut dire que Didier Petitjean est connu localement au niveau politique. Il dirige le Front national des jeunes de l’Aisne et est partie prenante dans la section du FN chaunois.
Et la politique ?
Justement, la naissance aujourd’hui d’une telle association, avec les sous-entendus qu’elle véhicule, n’est-elle pas le fruit d’un travail mené en sous-marin par le FN ? Le futur président s’en défend mordicus. « Il n’est pas question de mêler le Front national à cette association. L’initiative vient de moi seul. Je n’ai pas consulté mes instances dirigeantes puisque de toute façon ce n’est pas politique. »
Admettons, mais le militant concède que cette implantation pourrait servir à la création d’une liste pour les futures (et assez lointaines) échéances électorales.
Reste à savoir si la présence affichée de défenseurs des blancs ne va pas ajouter de l’huile sur un feu qui ne demande qu’à être ravivé.
À l’association désormais de rester dans les clous ! Une tâche difficile, compte tenu des événements à caractère raciste survenus depuis un an en ville.

Source: http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/352781/