Francaisdefrance's Blog

12/09/2009

Pourquoi la délinquance repart à la hausse ?

Filed under: racaille,Uncategorized — francaisdefrance @ 17:52

Parce que les populations délinquantes sont de plus en plus nombreuses !

En vérité, la progression des « violences contre les personnes », relativement bien prise en compte par les statistiques, n’a jamais cessé : moins de 100.000 faits en 1975, plus de 200.000 en 1995, plus de 400.000 en 2008 (1).

En revanche, depuis 2002 les chiffres globaux de la délinquance stagnaient ou régressaient. Mais ils sont repartis à la hausse au cours des douze derniers mois : de plus de 12% pour les cambriolages ; de plus de 25% pour les attaques à main armée.

Explications :

La première explication est simple : la délinquance est le résultat du nombre d’individus à fortes tendances délinquantes en liberté. Or, de 2000 à 2007 la population pénitentiaire (2) s’est accrue, passant de 47.837 en 2000 à 64.003 en 2007. C’est ainsi 17.000 individus supplémentaires qui se sont trouvés hors d’état de nuire.

Mais, compte tenu des capacités d’hébergement des prisons, ce chiffre de 64.000 détenus est aujourd’hui un maximum que certains jugent même excessif : les bénéfices apportés à la sécurité de 2000 à 2007 par l’augmentation du nombre des détenus ont donc atteint un plafond.

Et si l’adoption de la nouvelle loi pénitentiaire en cours de discussion aboutit à vider les prisons, on assistera même mécaniquement à une flambée de la délinquance. C’est ce qui s’est toujours produit, dans le passé, à chaque libération exceptionnelle d’une masse de détenus.

Plus il y a de populations à forte criminalité relative, plus il y a de délinquance.

C’est aussi un fait statistique : la propension à la délinquance est plus élevée dans certaines populations que dans d’autres.

L’immense majorité des jeunes ne sont pas délinquants mais le pourcentage de ceux qui passent à l’acte est très supérieur à celui des vieux.

L’immense majorité des immigrés ne sont pas délinquants mais les actes de délinquance sont plus fréquents au sein des populations issues notamment du Maghreb et d’Afrique Noire que dans la population générale : lors des émeutes de 2005, Gérard Larcher – à l’époque ministre du travail, aujourd’hui président du Sénat – avait clairement souligné le rôle des jeunes d’origine africaine, issus de familles polygames, dans le développement des violences.

A cela il faut ajouter la tendance de certains immigrés à se solidariser contre la police avec les délinquants : un phénomène qui se constate massivement dans les banlieues de l’immigration et nulle part ailleurs !

Or, la population immigrée ne cesse de croître à hauteur de 200.000 entrées par an principalement issues d’Afrique Noire et du Maghreb.

Dans le même temps la population déjà présente mais issue de l’immigration connaît aussi un accroissement naturel : le nombre de jeunes issus de l’immigration augmente dans la tranche d’âge 13-25 ans, la plus propice au basculement vers la violence et la délinquance.

Ceci n’est pas sans conséquence : à partir du moment où les groupes de population qui servent de vivier privilégié à la délinquance augmentent de plusieurs pour cent par an… il n’est pas surprenant que la délinquance reprenne sa progression au même rythme.

Culture de l’excuse et désarmement moral de la police

D’autant plus que les actes de délinquance, en particulier lorsqu’ils sont issus des banlieues de l’immigration, bénéficient de la part de la sphère médiatique, du pouvoir politique et des autorités judiciaires de la culture de l’excuse. Ainsi la responsabilité individuelle se trouve trop souvent mise au second plan derrière la responsabilité collective supposée de la société présumée « raciste ».

La police, naturellement encline à contrôler plutôt les personnes les plus susceptibles d’être en infraction (plutôt les hommes jeunes que les vieilles femmes, par exemple), est souvent accusée de « chasse au faciès » : comme si la police devait interpeller un échantillon représentatif de la population générale et non un échantillon représentatif de la population délinquante, comme l’a fait justement remarquer le préfet de police de Paris.

La police est d’ailleurs fréquemment accusée de « bavures », y compris lorsque des « jeunes » se tuent tout seuls à la suite d’infractions routières ou pénales qu’ils étaient en train de commettre.

C’est dans cet esprit délétère que viennent d’être créés des comités Théodule de « conciliation » entre les « jeunes des banlieues » et la police, comme s’il s’agissait de deux bandes rivales…

Alors que, jusqu’à preuve du contraire, les policiers cherchent plutôt à faire respecter la loi que certaines bandes de jeunes enfreignent… y compris en caillassant des pompiers, des agents d’EDF, des conducteurs de train ou même des praticiens de SOS Médecins, peu susceptibles de participer à des « violences policières ».

« Antiracisme » et désarmement des citoyens

Au demeurant, la première défense contre la délinquance, c’est le citoyen, c’est la victime potentielle, qui a le droit et aussi le devoir de l’exercer. Or, là aussi nous assistons à une inversion des valeurs. La notion de légitime défense a disparu non des textes mais de la jurisprudence.

Un homme (ou une femme) agressé ou cambriolé est donc placé devant le choix suivant :

– se laisser faire, ce qui est contraire à sa dignité mais conforme aux recommandations officielles ;

– tenter de résister, y échouer et recevoir des coups supplémentaires ;

– tenter de résister, y parvenir et risquer alors de se voir poursuivi par son agresseur avec l’appui du parquet et des associations « humanitaires » et/ou « antiracistes ».

C’est ce qu’on appelle un jeu perdant/perdant.

Changer de paradigmes

Le rétablissement de la sécurité n’est pas affaire de mots. C’est affaire de paradigmes. Or, de Jospin à Sarkozy, les paradigmes dominants n’ont pas changé : l’ « antiracisme » et la « culture de l’excuse » continuent de régner en maîtres. Dans ces conditions, il n’est pas surprenant que les résultats en matière de sécurité de Brice Hortefeux soient assez comparables à ceux de Daniel Vaillant ; leur politique puise aux mêmes sources idéologiques ; leurs collaborateurs sont d’ailleurs les mêmes.

Ce n’est, en effet, pas par hasard si Brice Hortefeux a choisi comme directeur de cabinet le préfet Michel Bart, ancien directeur de cabinet de Daniel Vaillant lorsque ce dernier était ministre de l’Intérieur : mêmes hommes, mêmes politiques, mêmes idéologies, mêmes paradigmes… et mêmes (mauvais) résultats.

Il est donc vain d’attendre quoi que ce soit des alternances politiques puisqu’elles se font à l’intérieur du seul champ d’action permis par l’idéologie dominante.
Ce qu’il faut, c’est un changement des paradigmes :

– Abandon de l’ « antiracisme » et retour à la stricte égalité des citoyens ;
– Réhabilitation de la défense légitime et défense de la dignité des personnes ;
– Mise en œuvre du principe de précaution dans la refonte des politiques d’immigration et arrêt de toute immigration en provenance de pays dont beaucoup d’originaires en France sont mal intégrés.

Source : Polémia

« Chances pour la France »: Un prédateur sexuel togolais arrêté par la police à Trappes..

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 17:43
Un prédateur sexuel.. Prédateur, c’est grave, en 2009. Sexuel? Un bon remède: l’émasculation; pratique très en vogue dans leur pays…

BAISE2

TRAPPES
José, un Togolais de 35 ans, a été mis jeudi en examen à Versailles (Yvelines). Motif : il est soupçonné d’avoir violé et séquestré une jeune femme à Trappes le week-end dernier. La victime est entrée en contact avec cet Africain, déjà condamné pour escroquerie par le passé, via un « site internet dédiée à l’entraide dans la communauté africaine », révèle Julien Constant dans Le Parisien du 11 septembre.

Lors de la perquisition chez José, la police a découvert 28 000 euros en liquide et de nombreux passeports et cartes d’identité. Les policiers le soupçonnent également d’être un « marchand de sommeil » : il hébergerait de jeunes femmes africaines fraîchement débarquées en France en contrepartie de relations sexuelles. L’enquête est ainsi remontée jusqu’à une femme de 30 ans. Elle confie avoir été elle aussi contactée en 2006 par internet puis violée par le même homme. Lors de sa garde à vue, José a nié les faits. Pour lui, ces femmes étaient… consentantes. Pauvre con!


Novopress.info, 2009

L’islamisation de l’hôpital, aussi…

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 17:33

« ILS » essayent tout ! C’est dément ! Et personne ne se bouge? On va leur donner notre France, sans combattre ni résister?

franceestanousqw71

Les religions chrétiennes furent sanglantes et meurtrières en s’éloignant de leurs textes tandis que l’islam le fut en se rapprochant des siens « . Eric Conan


VIDEO:
http://www.youtube.com/watch?v=6pv-7yILM2Y&eurl=http%3A%2F%2Fwww%2Efdesouche%2Ecom%2F&feature=player_embedded

Les « écoute ma zique », y’en a marre! Pour une francisation des termes?

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 14:13

Tu ne diras point « spamming » mais « arrosage », « hacker » mais « fouineur », « hotline » mais « numéro d’urgence », « cracker » mais « pirate », « bombing » mais « bombardement », « worm » mais « ver », « flame » mais « message incendiaire »… Inquiet pour l’avenir de la langue française, le ministère de la Culture mène inlassablement le combat. Le français sera moderne et indépendant !

C’est pourquoi, chaque année, la Délégation générale à la langue française et aux langues de France (DGLF) édite son guide « Vous pouvez le dire en français ».

Quelles versions francisées êtes-vous prêts à adopter ?

Fouineur pour (”hacker”)
Bogue (pour “bug”)
Filoutage ou hameçonnage (pour “phishing”)
Arrosage (pour “spamming”)
Logiciel espion (pour “spyware”)

Site consacré à la francisation de termes


Il faudrait commencer par franciser les « d’jeunes » des banlieues. Mais, tache ardue en perspective…

Est-il dangereux de dénoncer le racisme anti-Blanc ? Oui…

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 14:04

Quel est le point commun entre un enfant juif qui se fait caillasser dans les rues de Paris, en France, et un enfant Zimbabwéen qui fouille les poubelles de Harare à la recherche de nourriture ? Sans qu’ils le sachent, tous les deux sont les victimes du racisme anti-blanc.

Il y a quelques mois, l’opinion française s’est émue des incendies de synagogues à répétition. Pourtant, lorsque les représentants et les intellectuels juifs se sont enfin décidé à dénoncer la vague d’antisémitisme dont leur communauté faisait l’objet, le phénomène n’en était pas à ses débuts mais s’était installé dans la durée depuis plus d’un an. En effet, en Mars 2001, un rapport de la commission Nationale des Droits de l’Homme signalait déjà une forte recrudescence d’incidents de ce type.

Le silence, à l’époque, avait été général parmi les personnalités du monde politique, associatif, intellectuel ou médiatique, y compris parmi celles de la communauté juive. La raison de ce silence trouve ses racines dans le racisme antiblanc. Pour tous, seul le racisme réel ou supposé des blancs devait être dénoncé. La violence et le comportement délinquant de nombreux adolescents maghrébins ou noirs faisaient l’objet d’un véritable tabou. Le discours convenu du moment n’autorisait à évoquer que les vagues concepts de « sentiment d’insécurité », « d’incivilités » et de « jeunes ». Par un étrange déplacement des culpabilités, dénoncer ces problèmes était considéré -en soi- comme un acte de racisme. Le racisme, quant à lui, ne devait être présenté que comme la tare morale des seuls blancs. Il était interdit d’admettre que des maghrébins de « première, deuxième et troisième générations », ou pourquoi pas des noirs, des juifs, des asiatiques, des indiens d’Amérique pouvaient l’être. Finalement, parce que la situation devenait intenable, des représentants de la communauté juive, notamment Marek Halter dans un article publié dans le Journal du Dimanche, ont brisé un tabou en révélant publiquement que ces actes antisémites n’étaient pas le fait de français de souche mais de jeunes maghrébins.

Pourtant, quelques mois plus tard et après une élection présidentielle mouvementée, le discours officiel a peu changé. Nos politiciens se complaisent à nouveau dans le politiquement correct en tenant des discours pleins de fermeté vis à vis de l’antisémitisme, mais sans aller au fond des choses. Il est de bon ton de répéter à l’envie que « Lorsqu’on touche aux juifs, c’est à la France qu’on touche ». Cette affirmation est inepte. De tels propos sont peut être rassurant pour les juifs mais surtout, ils permettent aux résistants de la dernière heure de ne rien changer à leur discours. En fait, il faudrait oser dire que c’est parce que depuis des années, on a laissé toucher à la France et aux Français qu’aujourd’hui, on touche aux juifs. C’est parce que depuis des années, on tolère une véritable haine à l’égard de tout ce qui est Français, parce qu’on tolère le racisme antiblanc et même parce qu’on en fait la promotion, parce qu’à certains jeunes, toutes les violences physiques et verbales ont été permises que ces jeunes n’ont plus hésité à s’en prendre ouvertement aux juifs. Avant les juifs, il y a eu toutes les victimes de tournantes, un phénomène dont les motivations parfois racistes sont connues depuis le début des années 90, il y avait eu toutes les agressions « gratuites » envers des blancs, Il y avait eut tous les caillassages, tous les feux de voitures, toutes personnes âgées brutalisées, toutes les manifestations de racisme antiflic qui se donnaient pour alibi « la haine ». Mais la haine de qui et la haine de quoi ?

Qui dénonçait le groupe Rap « Ministère Amer » au début des années 90 lorsque son chanteur déclarait ouvertement vouloir tuer des enfants blancs? Comment se fait-il qu’aujourd’hui, ceux qui dénoncent la propagation de musique « skinhead » soient frappés de mutisme lorsqu’il s’agit des propos d’une violence inouïe tenus par les rappeurs de « Sniper », « Lunatic » ou « la Brigade » alors que leurs textes suintent d’un racisme à peine voilé et incitent ouvertement aux agressions. Lorsqu’un jeune blanc commet des crimes violents, les médias savent toujours nous expliquer que certaines musiques et certains films ont pu l’inciter à passer à l’acte. Quand se penchera-t-on sur le message véhiculé par la musique qu’écoutent les jeunes délinquants maghrébins ou noirs ?

Contre la « majorité ethnique », tous les coups, tous les propos seraient-ils donc permis ? Pourquoi être surpris que certains jeunes expriment leur antisémitisme sans complexe quand, depuis des années, on a légitimé leur haine de l’autre, lorsque l’autre est blanc ?

Plus loin de nous, au Zimbabwe, la population, déjà ravagée par l’épidémie du SIDA, est désormais acculée à la famine, soi-disant à cause de la « politique de réforme agraire » du président Robert Mugabe. Depuis près de deux ans, économistes et experts financiers ont lancé des mises en garde contre les risques que cette politique allait faire peser sur le sud de l’Afrique. Depuis un an, de l’aveu même des dirigeants du Zimbabwe, on sait que des pénuries alimentaires étaient inévitables. Pourtant, ce n’est qu’aujourd’hui, lorsque le mal est fait, que les politiciens de l’Union Européenne se décident à prendre quelques sanctions contre les dirigeants de ce pays. Pourquoi ?

Tout simplement parce que, du fait de l’héritage colonial du Zimbabwe, ce sont des Blancs qui possèdent et cultivent une grande partie des terres du pays.

Qu’une réforme agraire soit nécessaire, nul ne le conteste : des accords ont été passés en 1998 sous les auspices des Nations Unis entre les fermiers blancs et le gouvernement de Robert Mugabe, puis en 2001 à Abuja. Ces accords, Le gouvernement Zimbabwéen les a systématiquement violés. En réalité, la politique de Robert Mugabe est motivée par la haine raciale à l’égard des blancs et ne constitue rien d’autres qu’un nettoyage ethnique : La quasi-totalité des fermes appartenant à des blancs ont été listées pour saisie, souvent sans raison valable, et les propos racistes de Robert Mugabe ne laissent aucun doute sur ses motivations.

Pourtant, en France, le racisme de Robert Mugabe a été accueilli avec le même silence, quand ce n’est pas avec l’assentiment des mêmes qui ont fait silence sur la montée de l’antisémitisme dans notre pays, et cela pour les mêmes raisons. Certains ont vu dans la dépossession des blancs du Zimbabwe un ultime combat contre la décolonisation et le racisme des blancs, voir une sanction méritée par ceux-ci ; ces grandes âmes, en retard d’un siècle, perçoivent encore les blancs du Zimbabwe sous les traits de soldats anglais arborant le casque colonial de l’empire britannique. Il leur est impossible d’imaginer que l’héritage colonial puisse aussi avoir apporté quelques richesses à l’Afrique : c’était le cas au Zimbabwe où l’agriculture était une des plus florissantes de cette partie du monde.

Dans la presse française, il est de bon ton, depuis le début de la « réforme agraire », d’évoquer systématiquement le fait que les blancs détiennent 75 % des meilleures terres du Zimbabwe, mais que ce soit eux qui en aient mis la plus grande partie en valeur n’est jamais mentionné. Certains oublient aussi de dire qu’en février 2000, 52 % des électeurs Zimbabwéens s’étaient prononcés contre l’éviction des fermiers blancs sans compensation, comme si pour eux comme pour Robert Mugabe, les résultats d’une élection devaient être ignorés dès l’instant qu’il s’agissait de « botter le cul des blancs ». Certains encore ont parlé des persécutions dirigés contre les membres de l’opposition Zimbabwéenne mais n’ont pas jugé utile de rapporter les véritables campagnes de violences contre les fermiers blancs. Ce sont enfin les mêmes qui répètent à l’envie que Robert Mugabe « se sert » du racisme anti-blanc à des fins électorales par simple refus d’admettre que Robert Mugabe >EST< raciste : Ceux-là ont toujours une réticence à admettre que le racisme n’est pas l’apanage des blancs, et plus encore que des blancs puissent faire l’objet d’attaques racistes.

Une telle attitude est-elle surprenante ? On se souviendra que les mêmes s’extasiaient jadis devant Staline quand les Ukrainiens mourraient de faims par millions pendant les années 30 ou devant Mao quand celui ci faisait mourir par dizaines de millions les paysans chinois pendant les « sixties ». Robert Mugabe fait penser, d’ailleurs, à un autre dictateur communiste qui avait eu un temps les faveurs de ces pères et mères La Morale soixante-huitards : Pol-Pot. Comme le tyran cambodgien, qui a massacré un tiers de son peuple, Robert Mugabe, après avoir chassé la quasi-totalité des blancs de son pays, risque de faire mourir de faim 6 millions de ses concitoyens, sans compter tous ceux qui, orphelins, malades du SIDA, sont déjà touchés par la folie de ce dictateur… Robert Mugabe pourra se flatter d’avoir infligé à un peuple africain la première famine directement imputable au racisme anti-blanc.

Il est grand temps de faire une mise à jour des bonnes consciences. Aujourd’hui, dans notre société, Le racisme anti-blanc, le tabou dont il fait l’objet ainsi que le tabou qui en est le produit dérivé, concernant le racisme des africains, des arabes, des asiatiques ou des amérindiens, ont des conséquences de plus en plus tangibles non seulement sur le quotidien des blancs mais sur celui d’autres groupes ethniques : La famine du sud de l’Afrique ou l’antisémitisme en France en sont deux exemples. Pour pouvoir dénoncer ce racisme qui nous touche, nous devons donc surmonter le double complexe hérité de la décolonisation et le traumatisme du nazisme qui nous font croire que tout ce qui est dans notre intérêt est forcément préjudiciable aux autres peuples.

N’ayons donc pas peur de combattre le racisme antiblanc : le fait de défendre en priorité nos intérêts, en tant que blancs, est non seulement normal, non seulement moral mais encore n’est pas incompatible avec l’intérêt d’autres groupes ethniques, bien au contraire…