Francaisdefrance's Blog

11/09/2009

Racaille. On se croirait en 2009; mais, nous y sommes !!!

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 19:56

<<C’était des coups de couteau, des coups de hache, puis de fusil>>

Lamence Madzou dirigeait, à la fin des années 80, les Fight boys de Corbeil-Essonnes. Bagarres, intimidations, vols, contrôle du trafic de drogue, il raconte le quotidien d’un gang dans un livre coécrit avec une sociologue.

J’étais un chef de gang : Lamence Madzou, né en 1972, assume pleinement le titre retenu par son éditeur (La Découverte) pour son livre qui sort en librairie le 18 septembre. «Je n’ai jamais renié mon passé», dit l’ancien chef des Fight boys. Il y a vingt ans, il fut avec trois autres adolescents de Montconseil, une cité de Corbeil-Essonnes, à l’origine des «Fight», d’abord bande puis gang, dont il raconte aujourd’hui la brutale épopée.

De la constitution d’un simple groupe de copains jusqu’à la «Guerre des trois ans» qui, de 1988 à 1991, vit les bandes du nord et celles du sud de l’Ile-de-France s’affronter pour le contrôle du centre de Paris et de la Défense, l’ancien chef des Fight décrit leur montée en puissance sur la ligne du RER D. Son récit est né de sa rencontre avec Marie-Hélène Bacqué, professeure de sociologie à l’université d’Evry (Essonne) et auteure de nombreux travaux sur les quartiers populaires.

«L’idée était de raconter le parcours d’un jeune de banlieue qui va progressivement s’imposer en meneur de bande, explique la sociologue. C’est son expérience vue de l’intérieur qui m’a intéressée. Le témoignage de Lamence montre que les bandes de l’époque ne se constituaient pas sur un ressenti de ghetto ou de ségrégation mais, au contraire, parce que ces jeunes se sentaient disséminés, minoritaires et qu’ils avaient besoin de se retrouver. Il montre aussi comment ces jeunes se sont construit une identité noire en réaction au racisme et à la ségrégation.»

Lamence Madzou a été incarcéré à «cinq reprises pour une durée totale de quatre ans». Aujourd’hui, il est père d’un petit garçon de 5 ans. Il s’apprête «à devenir régisseur d’une résidence HLM en Essonne».

Extraits de son récit.

Le Chef

«Une bande, c’est un groupe de potes soudés qui viennent plus ou moins du même coin. C’est ce que nous étions à nos débuts. Nous sommes devenus un gang parce que nous étions plus organisés, plus nombreux, avec une hiérarchie, un commandement. [.] Au tout début, quand j’avais 15-16 ans, je me suis fait un nom seul, dans les bagarres, au fur et à mesure des embrouilles, et les embrouilles, ça pleuvait. Quand il fallait se battre, j’étais toujours devant. Quand il fallait motiver les autres, c’était moi qui le faisais. Je menais la troupe sans m’en rendre compte réellement mais, au fur et à mesure que nos rangs grossissaient, il est apparu évident qu’il fallait un leader.»

«Je pense qu’ils aimaient ma façon d’être, de me comporter. Je ne parlais pas beaucoup mais j’agissais. Surtout, je n’étais jamais en retrait et quand il se passait quelque chose, j’étais devant, systématiquement. Quand on venait me chercher à n’importe quelle heure, pour une histoire, n’importe laquelle, je venais. Mon implication était totale, et mes amis savaient qu’en toutes circonstances ils pouvaient compter sur moi. Si le mec avait une histoire avec sa nana et qu’il ou elle éprouvait le besoin de venir m’en parler, j’étais là pour les aider. Des problèmes au sein de la famille ? On trouvait des solutions. Besoin d’argent ? On faisait le nécessaire. Un jour, deux potes en vacances à Marseille étaient en galère, c’était chaud pour eux. Ils appellent dans la soirée et, huit heures plus tard, on est là-bas on débarque chez les mecs qui les ont embrouillés. Vous imaginez la suite. C’était cela notre famille, et nous la défendions coûte que coûte.»

Les filles

«Avec les bandes, l’ambiance est devenue très testostérone, mâle et plutôt machiste mais, dans l’ensemble, les femmes étaient respectées et acceptées. Ce n’est qu’ensuite, au fur et à mesure, que les violences s’amplifiaient, que les choses ont vraiment commencé à changer. Dorénavant, durant les bagarres, leur rôle se limitait à porter les sacs contenant les armes ou à espionner pour le compte d’un camp ou l’autre, parfois les deux. Elles savaient passer d’un clan à l’autre avec une dextérité très féminine. C’est ainsi qu’elles nous informaient sur tout ce qui se tramait dans le camp opposé. Cette position leur donnait une espèce de pouvoir qu’elles savaient utiliser pour leurs propres intérêts : faire des embrouilles à un amoureux qui les avait éconduites ou parce qu’on leur avait fait une réputation de salope, ou simplement par vice. Au tout début, on se battait à vingt contre vingt ou en tête à tête. Les conflits se réglaient d’homme à homme ou de bande à bande. Mais après il n’y avait plus de règles. C’était des coups de couteau, des coups de hache, puis des coups de fusil. Il paraissait évident que les filles n’avaient plus leur place dans tout ça. [.] Et puis aucun mec ne pouvait tolérer que sa petite amie traîne avec des mecs ou traîne tout court. C’était un sujet de honte du genre : « Ta meuf est une racaille », et ça la fichait plutôt mal.»

Les territoires

«La gare de Lyon est devenue notre quartier général [en 1988, ndlr]. A partir de la gare de Lyon, tout ce qui était derrière était à nous. A compter de ce moment-là, les choses ont pris une autre tournure ; on est passés à une logique de guerre. [.] Quand on voulait monter à Paris, le mot d’ordre c’était : le train part de Moulin-Galant à 14 heures, donc tu regardes à quelle heure il arrive dans ta gare. C’est tout. Il y avait trois-quatre mecs qui montaient à Moulin-Galant, trente à Corbeil, dix au Bras-de-Fer, trente ou quarante à Evry, trente à Grigny, cinq ou dix à Juvisy, vingt à Vigneux, vingt à Villeneuve-Saint-Georges [des stations de la ligne D du RER], et quand on arrivait à la gare de Lyon, il y avait ceux qui étaient dans Paris. A la fin, on dépassait largement la centaine. [.] Nos adversaires traînaient tous à gare du Nord. Pendant la « Guerre des trois ans », on ne s’est pas battus pour le contrôle de Paris ou pour une suprématie quelconque, mais parce qu’il y avait des gens plus forts qui ne nous respectaient pas et qui ne reconnaissaient pas les gens de la banlieue sud. Il a fallu leur prouver que nous étions au moins aussi forts qu’eux pour nous faire respecter. Les positions étaient définies : nous à la gare de Lyon et les Requins juniors à la gare du Nord. C’était le Nord contre le Sud. La grande guerre se déroulait maintenant dans Paris : honneur au vainqueur et mort au vaincu. Le premier endroit à prendre était Châtelet-Les-Halles, c’était un point stratégique.»

«Une boîte, le Midnight Express, était le QG des Requins à La Défense. Un jour, on décide d’y rentrer. Pour accéder à l’entrée du Midnight, il faut emprunter un escalier étroit qui descend jusqu’à la porte d’entrée. C’est là que nous croisons les Requins, deux de mes anciens amis. On se regarde. La situation est claire : ils ne peuvent rien faire. Alors je leur dis de nous suivre. Ils obéissent, et on va tous dans les garages souterrains. Là, je demande à tout le monde, une quinzaine d’hommes, de ne plus bouger. Je m’éloigne un peu et je sors mon 357 Magnum. J’ai lu la panique dans les yeux des deux Requins. Personne ne savait ce que j’allais faire. Je retire alors toutes les balles de l’arme, sauf une. Je tends mon Magnum au premier en lui disant : « On se connaît, on se connaît bien même. Il parait que tu veux me tuer, alors, tiens, vas-y. » Il sursaute, paniqué : « Mais non, on se connaît, putain ! » Je tends l’arme à son pote : « Et toi, tu veux aussi me descendre ? » Même réaction. Alors, je regarde l’arme puis je les regarde durant un instant. J’aurais pu les abattre. Cela m’a effleuré mais je me suis souvenu qu’ils avaient été mes amis.»

Les politiques

«En 1996, il y a eu des émeutes, des bus brûlés, des affrontements avec la police. Les habitants de Corbeil avaient le sentiment qu’il n’y avait pas de vraie réaction malgré la recrudescence des voitures brûlées, des appartements cambriolés, des cassages en règle et des agressions en série. On avait presque l’impression que toute l’attention de la municipalité [conduite par Serge Dassault, alors RPR, ndlr] allait aux Tarterêts, que ce quartier était le seul qui avait des problèmes. Les jeunes des Tarterêts bénéficiaient de tous les avantages que pouvait leur offrir la municipalité : vacances gratuites, projets à profusion, aides en tous genres. Ceux de Montconseil avaient l’impression que plus on cassait, plus on était récompensé. Alors, c’est ce qu’ils ont fait eux aussi. [.] On intéressait plein de gens, mais la mairie d’Evry [commune voisine de Corbeil] ne voulait rien savoir. Pourtant, quand Manuel Valls, le maire d’Evry [membre du PS], s’est présenté pour la première fois, j’ai organisé des réunions pour lui. Il est venu chez moi lors d’une de ces réunions. Il a gagné les élections en mars 2001, et il nous a oubliés aussi vite. Pire, durant toutes les embrouilles, Evry est passé en zone sensible, a obtenu un Grand Projet de ville avec Corbeil pour lequel ils ont dit recevoir 100 millions d’euros pour chaque ville. Avec autant d’argent, ils n’ont rien fait pour les jeunes ; ils ont fermé les maisons de quartier, tout est resté centralisé à la mairie.»

Le business

«Le shit semblait rentable alors, avec mes associés, nous avons investi dans ce domaine. Je suis passé à la phase 1 : nettoyer le quartier des toxicos et des vendeurs de came trop visibles. Chez nous, c’était une plaque tournante. On les a tout bonnement éclatés du premier jusqu’au dernier sous prétexte qu’on ne voulait plus de drogue dans le quartier. Une fois cette épuration faite, on est passés à la phase 2 : on a placé nos propres vendeurs sur le terrain. [.] On a pris pied dans tous les quartiers de la ville avec quatorze vendeurs au total et on s’est implantés dans les villes voisines. C’était facile, personne ne s’opposait vraiment à nous, ils avaient trop peur des représailles. Certains admiraient notre façon d’opérer : on faisait bouger les choses, il y avait à manger pour tout le monde. On vendait tout : du gros au détail. Ça roulait pour nous, on se faisait facilement 70 000 francs par mois [10 670 euros]. On a fini par braquer nos grossistes.»

«L’argent change les rapports : je n’étais plus la crapule finie, infréquentable. Tout le monde m’adorait, j’existais. C’était une période d’opulence. J’avais sept voitures, un téléphone portable Motorola dernier cri, je bouffais au resto, je portais des costards, il y avait des mecs pour conduire mes caisses et transporter mes parents, mes frères et ma meuf. [.] Je n’avais que 20 ans et j’avais la belle vie : c’était la bonne époque. [.] L’équipe que j’avais aux Tarterêts était composée de voleurs hors pair. Voitures, cambriolages, ils étaient efficaces et de surcroît c’étaient de sacrés bons pilotes. Ils adoraient faire des courses-poursuites avec les flics pour le fun ou par provocation, ce qui les avait rendus très populaires.»

«Très vite, pratiquement tout le quartier s’y est mis et on s’est diversifié. Il y avait des équipes qui travaillaient le matin. Elles attendaient les camions de livraison de meubles et hi-fi, et en deux minutes, dès que le livreur s’absentait, son camion, fermé ou pas, était pillé. Les apparts étaient surveillés et dès que les proprios s’absentaient pour emmener leurs gosses à l’école, leurs apparts étaient refaits. Des squats étaient ouverts dans la cité pour stocker ou y habiter, et si le gardien avait le malheur de s’interposer, il prenait une rouste ou son local ou sa voiture étaient saccagés. Une espèce d’omerta s’est mise en place.»

«Les Tarterêts commençaient à être connus comme une plaque tournante, un endroit où on trouvait de tout. Tout le monde en était, chacun dans son biz, même les microbes cambriolaient les écoles, des vrais fouteurs de merde. Les gens d’autres quartiers ou d’autres départements venaient pour faire affaire ou proposer des deals genre : «J’ai ma voiture, je veux toucher l’assurance mais il faut la faire disparaître» ; pas de problème, on s’en occupait moyennant un petit budget. Ou alors : «J’ai mon magasin, j’ai besoin qu’il soit cambriolé pour l’assurance» ; ok, c’est comme si c’était fait. Ou encore : «Ma femme a un amant, vous pouvez lui casser la gueule ?» ; t’inquiète, ce sera avec plaisir. Les gens venaient pour tout et n’importe quoi, et nous, on encaissait. Comme on faisait peur, pas mal de monde venait à nous pour régler des différends.»

source : liberation.fr

Rambouillet: violée au nom du coran…

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 19:54

RAMBOUILLET
Brahim dort en prison depuis hier à la prison de Bois d’Arcy (Yvelines). Il est accusé d’avoir violé, séquestré et battu son épouse. Le calvaire de sa femme démarre dimanche dernier. Son mari lui fait subir un véritable interrogatoire après s’être absenté quelques jours dans sa famille basée à Saint-Etienne (Loire).

Puis Brahim la frappe. La victime veut déposer plainte. Elle n’en a pas le temps. Il la séquestre puis la viole. Finalement, l’épouse parvient à alerter son père. La police intervient enfin. Pendant sa garde à vue, Brahim a expliqué aux enquêteurs que le Coran « donnerait le droit d’avoir des rapports avec son épouse sans lui demander son avis », relate Le Parisien du 11 septembre.

L’islam, religion de paix, d’amour et de tolérance…


Novopress.info, 2009, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine

Interview apocryphe de Brice Hortefeux. La racaille n’est pas où on le pense…

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 19:48

Humour:

Peachy Carnehan et Gaia Felis n’ont pas rencontré le ministre de l’Intérieur après sa sortie réussie au campus d’été de l’UMP à Seignosse. Révélations apocryphes sur « le péril Auvergnat ».

Peachy Carnehan : Monsieur le ministre, vous niez fermement avoir tenu des propos racistes lors du campus d’été de l’UMP à Seignosse. Pourtant la vidéo diffusée par Le Monde.fr peut laisser croire le contraire.

Hortefeugate001.jpgBrice Hortefeux : J’en ai plein les bottes de cette histoire, alors je vais vous le répéter une fois de plus. J’ai simplement dit en parlant des Auvergnats : « Quand il y en a un, pas de problème. C’est quand il y en a plusieurs que ça peut poser des problèmes« .

P.C. : Vous ne parliez donc pas des arabes ?

B.H. : Bien sûr que non. Vous savez, à l’UMP ce n’est pas très courant d’évoquer ou de fréquenter des maghrébins. Moins on en parle, mieux on se porte ! Ah ! Ah ! Ah !

P.C. : Tout de même, c’est curieux. Quelques secondes avant, sur la vidéo, on jurerait le contraire. Notamment quand vous déclarez à propos du jeune homme qu’il « ne correspond pas du tout au prototype« .

LE PUY-DE-DÔME, ZONE DE NON-DROIT

Hortefeugate002.jpgB.H. : Oui, au prototype de l’Auvergnat. C’est parce que vous ignorez ce dont ils sont capables, les Auvergnats. C’est tout « voleurs de poules« , « dealers » et « racailles » ces gens-là. Vous n’imaginez pas ce qui se trame dans les cités du Massif central ma bonne dame ! On y viole, on y pratique des tournantes et on y vend la drogue pour se procurer des armes. Le Puy-de-Dôme, par exemple, est une zone de non-droit où des barbus psalmodient des versets du Coran avant de se faire exploser à tout bout de champ !

P.C. : Heu… vous parlez toujours des Auvergnats là ?

B.H. : Bien sûr. Au Puy-en-Velay et à Aurillac, « le couscous et le tapis volant » ce n’est pas un cliché. Les monts du Cantal sont peuplés de délinquants illettrés qui se reproduisent comme des lapins. L’Auvergnat est fourbe, menteur, voleur, paresseux, bruyant. C’est pour cette raison que j’ai dit au jeune Mouloud qu’il ne correspondait pas du tout au prototype.

P.C. : Amine. Il s’appelle Amine.

B.H. : Amine, Mouloud, c’est pareil. Ah ! Ah ! Ah ! En tout cas il n’avait pas le profil de l’égorgeur de mouton dans la baignoire celui-là, sinon on ne l’aurait pas laissé entrer au campus d’été de l’UMP.

Source: www.nordenstar.com

Neuf députés UMP demandent la démission de Yazid Sabeg. Et pour cause…

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 15:17

10 septembre 2009

Neuf députés UMP, membres de la mission parlementaire sur le port de la burqa, ont demandé mercredi la démission de Yazid Sabeg après que le commissaire à la diversité ait estimé que le débat sur la burqa pourrait être « un nouveau piège ».

«C’est avec stupéfaction que les députés membres de la mission sur le voile intégral (burqa) ont pris connaissance des déclarations de Yazid Sabeg», écrivent dans un communiqué les neuf députés, Jacques Myard, Lionnel Luca, Georges Mothron, Yves Albarello, Jacques Remiller, Françoise Hostalier, Bérangère Poletti, Arlette Grosskost et Patrice Calmejeane.

«Ces propos mettent directement en cause le travail de la mission parlementaire et foulent au pied l’égalité des sexes et la dignité de la personne», dénoncent les signataires. Source

ÉCOUTEZ – Paul Girot de Langlade : « On pourrait mettre Hortefeux à la retraite… »

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 15:14

Paul Girot de Langlade est visé par une enquête judiciaire pour « injures publiques à caractère racial », après la plainte d’une employée de sécurité de l’aéroport parisien d’Orly.

Soupçonné de propos racistes, le préfet Paul Girot de Langlade a été mis mercredi matin « à la retraite d’office ». La décision a été prise en conseil des ministres avec l’approbation de Brice Hortefeux, ministre de l’Intérieur. Jeudi, c’est au tour de ce dernier de devoir affronter la polémique après des propos relevés dans une vidéo publiée sur lemonde.fr et présumés racistes par l’opposition. Le préfet mis à la retraite tient sa revanche et avoue s’amuser de la situation. Écoutez-le :

France/Terre d’accueil et poubelle du monde: Les visas long séjour valent désormais titres de séjour!

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 15:09

Et l’on s’étonne que la plupart des geôles de France « abritent » un très fort pourcentage d’ immigrés…

LE MONDE | 10.09.09
Selon M . Besson, cette mesure concernera « près de 100 000 étrangers par an, soit 75 % des flux entrant sur notre territoire pour une durée supérieure à trois mois ».

Le premier visa long séjour valant titre de séjour a été délivré, mercredi 9 septembre, par le ministre de l’immigration, Eric Besson. Désormais, l’étranger arrivant en France avec un visa de long séjour n’aura plus à demander une carte de séjour.

Il lui suffira d’effectuer auprès de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) les formalités de visite médicale et du contrat d’accueil et d’intégration (CAI). Il n’aura à se rendre en préfecture qu’au moment du renouvellement de son titre de séjour. Instaurée par la loi sur l’immigration du 20 novembre 2007, cette mesure supprime l’instruction successive, et quasi identique dans son contenu, de la demande de visa au consulat puis celle du premier titre de séjour à la préfecture.

Islam/islamisme : Rioufol provoque l’incompréhension.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 13:02

10.09.2009

Suite aux très nombreux commentaires succédant à une note de Ivan Rioufol sur son blog du Figaro (  « Il est en effet essentiel de faire la différence entre islam et islamisme, pour combattre exclusivement cette dernière idéologie violente, machiste, anti-démocratique » ), le journaliste tente aujourd’hui maladroitement de se justifier en enrôlant Fadela Amara dans la partition de la musulmane de l’islam du juste milieu (quelle représentativité!), ou en énonçant l’évidence qu’être de culture ou d’origine musulmane (donc très souvent modéré) ne signifie pas forcément être un musulman pratiquant suivant la charia (sans blague !).

Lire sa réponse : Pourquoi je différencie islam et islamisme

Alors que toutes les plus grandes mosquées sortant de terre en France sont aux mains des radicaux de l’UOIF: Grande mosquées de Poitiers, Mulhouse, Nantes, Bordeaux (bientôt) Marseille (en collaboration avec d’autres associations), Tremblay, Woippy, Arras, Caen , Lille, ou du Milli Gorus ( Metz bientôt), Vénissieux), que la Grande mosquée de Strasbourg (financée par les collectivités publiques ) a acceuilli en grande pompe un des plus grands islamistes contemporain en décembre 2008 ( Muhammad Said Ramadan al-Bûti, auteur du best-seller syrien Jihâd,  portrait détaillé ces prochaines semaines), Ivan Rioufol voudrait que l’islamisme des mosquées citées ne soit pas l’islam authentique et représentatif, car intégriste et violent. On sourirait si le sujet n’était pas aussi grave, car comme a raison d’en avoir peur l’éditorialiste « Une possible guerre civile est, à terme, une issue que je redoute « 

Ses lecteurs, choqués par une telle malhonnêteté intellectuelle (car Rioufol est loin d’être stupide…mais doit bien gagner sa vie en se moulant dans le système), remettent en place l’éditorialiste dans 115 commentaires souvent pertinents :

« Mr Rioufol, Comment voulez différencier islam et islamisme alors que les musulmans ne dénoncent pas haut et fort l’islamisme? A quand une marche des musulmans de France contre l’intégrisme musulman? Dans quel journal, publication ou sur quel plateau de télévision ou station de radio a-t-on entendu des responsables de l’islam de France dénoncer l’islamisme? A part quelques voix de musulmanes ou ex musulmanes comme Ayaan Hirsi Ali le silence est pesant et lourd de sens. »

« Breve réponse. 1 – Le fait que des musulmans pratiquent moderement ou pacifiquement l’islam, ne signifie pas qu’ils le fassent conformement à une version modérée ou pacifique de la doctrine islamique. La distinction islam-islamisme suppose deux corpus théoriques distincts, distinguables, et non deux ou x pratiques différentes La pratique et la théorie sont deux choses distinctes. « 

 » Tout cela n’est pas très sérieux. Comment demander au monde libre de tolérer une idéologie totalitaire sous prétexte que certains la pratiquent mal? Cela devient d’ailleurs tout à fait irrationnel quand l’on finit par considérer ceux qui négligent l’Islam d’être ses vrai représentants et ceux qui respectent ses principes de pratiquer une déviance.Mr Rioufol, je comprends votre intention qui est de ne pas assimiler les musulmans de culture à des Malékites ou des Hanéfites sérieux, mais ce n’est pas en trichant et en occultant la réalité que les choses s’arrangeront. »

« Fadela Amara défend des idées républicaines mais ce ne sont pas des idées émanant de l’Islam. Les idées d’égalité (en particulier homme/femme) sont des idées occidentales qui ne sont en rien des concepts musulmans.Que Fadela Amara défende les idées républicaines tant mieux car elle est peut-être plus amenée à être écoutée sans être traitée d’islamophobe. Mais en rien elle ne défend un islam même modéré car quel que soit l’islam celui-ci ne prônera jamais l’égalité homme/femme. Ou s’il le fait ce sera un islam dévoyé c’est à dire « sorti de la voie ». Ce ne sera donc plus un islam. »

« Vouloir différencier l’islam et l’islamisme reviendrait à la même question que vouloir différencier la Chrétienté et le catholicisme ou encore les juifs et le judaïsme : C’est à dire faire la différence entre bonnet blanc et blanc bonnet. Arrêtons de jouer sur les mots ! Cette pratique appartient au politiquement correct. »

Les 115 commentaires

Ivan Rioufol, l’analyste qui voyait en Nicolas Sarkozy l’homme de la rupture, l’homme de la droite de conviction, risque de se couper de son lectorat et de perdre son brevet d’incorrection politique. Dommage, car la France a besoin de sa plume (quand elle n’est pas atlantiste) et de ses foucades contre l’invasion migratoire…

Source: Joachim Véliocas

Julie, l’adolescente fugueuse, a été violée… par des Turcs !!!

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 12:59

Vive l’entrée de la Turquie dans  l’UE! Ils n’y sont pas encore et voilà encore une preuve des bienfaits de leur éventuelle arrivée. « L’avant-garde » est déjà là: ça promet…

Fin août, elle avait disparu près d’une semaine d’un camping près de Perpignan . Julie, l’adolescente de 14 ans qui avait été retrouvée à Toulouse cinq jours après sa disparition, a été victime de viols. C’est ce qu’indique jeudi le procureur de Toulouse après les révélations de La Dépêche du Midi . En revanche, il n’a pas confirmé la séquestration avancée par le journal. Les autorités auraient volontairement caché ces faits pour ne pas alerter les agresseurs présumés. Lire la suite l’article

«L’enquête a permis de conclure qu’elle avait fait de mauvaises rencontres et qu’on avait abusé d’elle sexuellement. Nous avons ouvert une information judiciaire contre X, pour viols en réunion sur mineure de 15 ans et viols sur mineure de 15 ans», a déclaré le procureur lors d’une conférence de presse. «Nous avons actuellement en garde à vue trois personnes. Deux hommes de 34 ans et 22 ans, de nationalité étrangère, turque, et une femme qui pourrait avoir eu un rôle facilitateur. Nous avons encore des personnes identifiées pas encore interpellées», a également dit le procureur sans donner plus de précisions.

La jeune fille avait fugué le 19 août d’un camping d’Elne, dans les Pyrénées Orientales, où elle était en vacances avec ses grands-parents et sa petite soeur. Après l’avoir retrouvée le 25 à l’aube à Toulouse, les enquêteurs avaient affirmé qu’elle avait eu la chance de ne pas avoir fait de mauvaise rencontre. «Elle était alors déclarée en bonne santé. Conçu de toutes pièces (…) ce scénario de l’heureux dénouement n’était destiné, selon une source proche de l’enquête, qu’à tromper la vigilance des agresseurs que l’annonce de l’ouverture d’une enquête aurait pu mettre en fuite», écrit le journal.

Contexte familial difficile.

Selon le scénario décrit à l’époque, la jeune fille aurait à son départ du camping été prise en stop par un homme âgé d’une trentaine d’années. Celui-ci l’aurait ensuite quittée deux jours plus tard sur le parking d’une grande surface. On connait la suite…

Source: J.B. (lefigaro.fr) Avec AFP