Francaisdefrance's Blog

10/09/2009

Racaille, millionnaire, philanthrope.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 20:37

Vous admirerez la photo plus bas à droite…

Jeudi 10/09/2009

Singulier destin que celui de Rodolphe Pedro, né en Suisse puis élevé dans les banlieues françaises, renvoyé de l’école à 16 ans et porteur aujourd’hui d’un projet d’université de la finance dans les quartiers, qui ouvre jeudi à Lyon.

 -- Cliquez pour voir l'image en entier

« Vous dites que personne ne vous a donné la chance de montrer de quoi vous êtes capables. Je vais vous prendre au mot. Vous pourrez accéder à un métier soi-disant réservé à une élite. Une élite qui ne pense qu’à se protéger en gardant les meilleures places. Mais le ciment de chaque réussite, c’est le travail. Que vous soyez de Guinée ou d’Algérie, diplômé ou pas, vous êtes bienvenus. Je suis au delà de ça. Mais faut se lever tôt. Vous êtes prêts ? »

L’homme qui s’exprime ainsi devant un parterre très bigarré s’appelle Rodolphe Pedro (assis, au centre) et a connu un destin singulier, si destin est le mot qui convient pour un personnage qui a tant lutté contre la fatalité. Né en Suisse au début des années 1970, il y vit sept ans d’insouciance avant de se retrouver en banlieue parisienne où son père, un Pied noir chassé à l’indépendance algérienne, éducateur de son état, a décidé de s’installer à la suite d’une controverse avec son patron. A l’école, l’enfant n’en mène pas large. Son accent vaudois le désigne à la vindicte de camarades diablement plus aguerris. Pas besoin d’être bronzé pour être étranger…

Lassé de prendre des coups, Rodolphe se met à les rendre, au détriment de ses résultats en classe. De petite victime le voilà petit caïd, petit délinquant même dira le directeur aux parents qui s’affolent et déménagent à nouveau, dans la banlieue de Lyon. Rien pourtant ne va enrayer une décennie d’échec scolaire. A 16 ans, Rodolphe est définitivement éjecté par l’école de la République. Il commence alors sa longue aventure dans les affaires par le commerce de voitures en Afrique, puis investit ses gains dans la production d’étuis de lunettes en Pologne. A 21 ans, il achète à Clermont-Ferrand une usine de fabrication d’étuis à lunettes en difficulté financière, mais ne parviendra pas à redresser la barre et fait faillite.

« On va travailler votre présentation, surtout face aux gens habitués à votre instabilité », poursuit Rodolphe Pedro à ses élèves. « Ca fait déjà quatre fois que tu viens me voir et quatre fois que t’avais un boulot ! T’as été viré, t’as fait une garde à vue et tu viens me dire que t’es conseiller financier ? Ils doivent comprendre que ce n’est pas votre énième petit boulot. Conseiller en patrimoine, c’est peut-être le métier de votre vie ! »

Rodolphe Pedro met six mois à remonter une entreprise de spectacle à Lyon. Qui cartonne jusqu’à ce qu’une dénonciation infâmante le fasse tomber dans l’enfer de la justice française. Il finira par sortir blanchi. « Qui tu es, d’où tu viens. Tout est là. La France, c’est encore la monarchie, les castes, les codes. Et personne ne se demande pourquoi ce sont toujours les mêmes en prison. Fils de chômeurs, en échec scolaire. Pourquoi il n’y a plus de mobilité sociale ? Même pas 1% de fils de prolos dans les grandes écoles ! Je ne veux pas les excuser, mais c’est quoi leurs perspectives ? »

Il fonde alors en 1997 la Compagnie française de Conseil et d’Investissement (CFCI). Les six premières années, il travaille comme un forcené, seul avec Sonia, sa compagne d’origine marocaine, mère aujourd’hui de ses quatre filles. La CFCI est désormais la première société indépendante de conseil en patrimoine en France, un milliard d’euros sous gestion et 105 collaborateurs à Lyon, Paris, Marseille et Ferney-Voltaire, à côté de Genève. Parmi eux, 80% sont beurs ou black et 90% n’ont pas de diplôme. En moyenne, ils gèrent un encours de 3 millions d’euros et gagnent 3500 euros par mois. Rodolphe Pedro, devenu millionnaire, assure une partie des six mois de formation. Dès la troisième semaine, les nouvelles recrues doivent apporter une affaire. Il leur suffit de vendre un des contrats de capitalisation que la CFCI conçoit elle-même et qui sont hébergés au Crédit Mutuel, Dexia ou HSBC. La société ouvre un nouveau bureau tous les trimestres et va doubler ses effectifs.

« Le plus dur c’est pas la formation, tout le monde peut devenir conseiller en patrimoine. C’est de lutter contre soi, se dépasser », dit Nassim Boughanmi. Ce garçon de 30 ans livrait des cuisines quand il a rencontré Rodolphe Pedro. Il dirige aujourd’hui 38 collaborateurs à Paris. « Je n’avais jamais imaginé que j’allais vivre tout ça, dîner au Bristol, aller à Miami. On me dit t’es une exception, t’es un gagnant : c’est pas vrai. J’aurais pu rester à 1000 euros toute ma vie. Un alcoolique doit arrêter de boire. C’est super dur. Même chose pour les banlieues, faut arrêter de rouiller. Il y a des pépites plein nos quartiers. »

Les statistiques françaises estiment que 150 000 jeunes sortent chaque année sans diplôme du système éducatif, dont les deux tiers se retrouvent au chômage. De son côté, l’enquête « Besoins en Main d’œuvre 2008 » indique que les banques et assurances ont 50 000 intentions d’embauche. La moitié sont difficiles à pourvoir, faute de candidats. Par ailleurs, la France compte 5000 conseillers en gestion de patrimoine indépendants contre 40 000 en Grande-Bretagne et 35 000 en Italie.

« J’ai formé 200 jeunes à la CFCI. Je peux pas sauver tout le monde ! » Rodolphe Pedro lance donc « UniFin », une université de la finance en banlieue. Une université mobile, qui peut créer 10 000 emplois dans les quartiers et favoriser l’épargne populaire. Pour trouver le soutien nécessaire au projet, il a déjà vu la moitié du gouvernement Sarkozy. L’accueil est enthousiaste, mais tarde à se concrétiser. « Peut-être faut-il attendre les élections », sourit-il.

Lui, tempérament de lutteur comme son frère Richard, champion du monde de full-contact qui habite à Lausanne, n’attendra pas. Il s’allie à l’école supérieure de commerce de Lyon, l’IDRAC, et finance de sa poche la première session, gratuite pour les participants, qui démarre à la mi-septembre.« Les fonctionnaires sont des tordus. Je leur dis rassurez-vous. Je suis domicilié en Suisse. J’ai fait mon oseille avant de vouloir aider les autres. J’ai un chalet à Nendaz, la plus belle voiture du marché et mes gamines sont toutes à l’école privée. Et c’est pas vous qui me l’avez donné, c’est mon travail. Si je veux retourner dans les quartiers, c’est que j’ai du mal à dormir. Je n’ai pas oublié d’où je venais. J’imagine que vous, vous dormez bien ? »

Serge Michel (Business Bondy Blog)
Photos : Paolo Woods

Pour Brice Hortefeux, « un Arabe, ça va, beaucoup, ça pose un problème… » Eh, la Halde! Vous faites quoi, là?

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 20:21

Et on vient nous em…… avec la discrimination, le racisme, les immigrés, les « chances pour la France », etc…

B. Hortefeux va t’il suivre celui qu’il a lui-même viré (le Préfet de l’Indre)??? Certainement pas. le « patron » veille… Les « petits », oui, tombent sous le coup des lois en faveur des étrangers ou issus de l’immigration. Les « intouchables », ça m’étonnerait…

FDF

Logo L'Express.fr, tous les jours, toute l'info


jeudi 10 septembre 2009

Pour Brice Hortefeux, un Arabe, ça va, beaucoup, ça pose un problème...
Dans une vidéo mise en ligne par LeMonde.fr, le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux s’entretient avec un jeune militant d’origine arabe à l’université d’été de l’UMP. La plaisanterie tourne vite au dérapage…

Lire la suite >

Chances pour la France…

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 18:51
Plan Epervier en Ardèche pour Amrani évadé de la prison de Joux-en-Ville
Le plan Epervier a été déclenché mercredi soir dans le sud de l’Ardèche où Mohamed Amrani, évadé mardi de la prison de Joux-en-Ville (Yonne) où il purgeait une peine de 18 ans de réclusion criminelle, a été aperçu, a indiqué jeudi la gendarmerie.

Condamné pour un braquage avec tentative de meurtre, le fugitif est considéré comme dangereux.

Mercredi, le parquet de Privas avait indiqué que « Mohamed Amrani (avait) été aperçu sur Vallon-Pont-d’Arc » et qu’il était recherché dans une « zone boisée et accidentée ».

Mohamed Amrani, 39 ans, est né à Aubenas (Ardèche). Il s’est évadé le même jour que Jean-Pierre Treiber, unique suspect du meurtre de Géraldine Giraud et Katia Lherbier en 2004, évadé, lui, de la maison d’arrêt d’Auxerre. Les deux évasions présentaient des similitudes dans leur mode opératoire.

« La zone où sont concentrées les recherches est boisée et accidentée », a encore précisé le procureur de Privas.

Selon les gendarmes, Mohamed Amrani avait déjà tenté de s’évader à plusieurs reprises.

Le plan Epervier est un dispositif de quadrillage d’une zone destinée à retrouver un fuyard. Mercredi, c’est une variante du plan Epervier, le plan Milan, qui avait été déclenché dans l’Yonne, pour chacun des deux évadés.

source : AFP

Pardon; il y a un second « dhimmi du jour »…

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 18:37

Rupture du jeûne du Ramadan : discours de Jean SarkÖzy:


VIDEO:
http://www.dailymotion.com/video/xaf4kl_rupture-du-jeune-du-ramadan-discour_news

A Suresnes, Christian Dupuy, Vice-président du Conseil général des Hauts-de-Seine, Maire de Suresnes, et Jean Sarkozy, président du groupe de la Majorité au Conseil général des Hauts-de-Seine, participaient à l’Iftar, le repas qui est pris chaque soir par les musulmans au coucher du soleil pendant le jeûne du mois de ramadan.

Papa n’aurait pas fait mieux…


Islam. Autre forme d’invasion: la propaganda financière.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 16:40

sept2009

« ILS » ne reculent devant rien. « LES » voilà sauveurs de l’économie mondiale. Et dire qu’il y en qui y croient…


Lu sur: http://www.al-kanz.org

Finance islamique : colère de deux députés socialistes

Finance islamique. La France rêve depuis des mois de rattraper son retard par rapport à Londres, place financière dynamique qui a fait de la finance islamique un enjeu capital. C’est pourquoi les plus hautes autorités de l’Etat travaillent à rendre le pays attrayant pour les capitaux islamiques. L’an dernier, une table ronde a été organisée au Sénat : il s’agissait pour la commission des finances, chapeautée par Jean Arthuis, de préparer le terrain pour permettre à la finance islamique de s’installer en France. Quelques mois plus tard, l’Etat français modifiait sa législation fiscale pour la rendre compatible avec la shari’a (loi islamique) (voir Finance islamique : murabaha et sukuk, des produits désormais français). Ces modifications levaient en partie les obstacles juridiques et fiscaux qui rendaient jusque-là impossibles des transactions shari’a-compatibles.

La finance islamique au secours des entreprises françaises

Par ailleurs, une députée UMP, Chantal Brunel, rédigeait une proposition de loi « tendant à favoriser l’accès au crédit des petites et moyennes entreprises » dans laquelle elle suggérait « l’adaptation […] du régime de la fiducie pour permettre à la place de Paris d’accueillir plus commodément des fonds en provenance notamment du Moyen-Orient susceptibles de s’investir selon les techniques de la finance islamique, et offrir ainsi la possibilité aux établissements financiers français de développer l’émission d’instruments financiers, tels que les sukuk « . En d’autres termes, adapter la législation fiscale française à la loi coranique, à l’islam, permettrait de relancer l’économie : le crédit serait facilité et les petites et moyennes entreprises trouveraient les sources de financements qui leur font aujourd’hui défaut. Sauf qu’en réalité ce sont les capitaux du Golfe qui sont visés et non les PME.

Une colère bien tardive

Mais voilà qu’aujourd’hui, alors que l’affaire était pliée et que le gouvernement Fillon, par la voix de Christine Lagarde, ministre de l’Economie et des Finances, communique sans fard, deux députés socialistes, Henri Emmanuelli et Jérôme Cahuzac découvrent que la finance islamique s’est installé en France. Pas contents, les deux compères ont piqué une colère lors de l’examen de la proposition de loi de Chantal Brunel, s’offusquant de ce qu’un amendement « d’introduire dans notre code civil certaines dispositions compatibles avec la charia ». Rappelons à toute fin utile que ce projet est prévu depuis plusieurs mois comme en témoignent les sites du Sénat et du ministère de l’Économie et des Finances, ainsi que toutes les interventions publiques de Mme Lagarde et du sénateur Marini. Même Fadela Amara s’est prononcée pour la shari’a, puisqu’il s’agit de finance islamique (plus de précisions dans un prochain billet).

Si on peut comprendre qu’introduire les termes « Coran », « shari’a », « islam » dans le Code civil français puisse gêner aux entournures, on s’étonnera du soudain réveil de ces deux députés socialistes. Reste que les carottes sont cuites et que la Realpolitik aura assurément le dernier mot. La France ne peut faire aujourd’hui sans la finance islamique, c’est-à-dire sans l’islam. Henri Emmanuelli et Jérôme Cahuzac devraient lire Beaufils : Crise financière et récession : « C’est plutôt le Coran qu’il faut relire ».

******************************************************************************************************

Version Française:

Financement des PME: polémique autour de la « finance islamique »

La question de la « finance islamique » a provoqué la colère d’Henri Emmanuelli et Jérôme Cahuzac (PS) mercredi à l’Assemblée en commission lors de l’examen d’une proposition de loi UMP sur le financement des PME.

Présenté au Sénat il y a quelques mois, un amendement prévoit « d’introduire dans notre code civil certaines dispositions compatibles avec la charia », a déclaré le député PS Jérôme Cahuzac, qui assure reprendre les propos de l’auteure du texte, Chantal Brunel (UMP).

Présent en commission avec M. Emmanuelli, M. Cahuzac a indiqué que les députés PS avaient rejeté la proposition de loi de Mme Brunel, amendée au Sénat. Fait rare, ils avaient pourtant voté pour en première lecture en mars, avant la navette au Sénat et l’ajout de l’amendement polémique.

L’amendement « permettait la conformité de certaines opérations (financières) aux lois coraniques et j’ai utilisé une fois le mot charia », a indiqué à l’AFP Mme Brunel.

« L’amendement est technique et permet aux obligations islamiques, dite +sukuks+, de s’investir en France. Ce n’est pas une disposition pour adapter la fiducie à une religion mais pour ouvrir nos marchés à une économie qui dépend d’une religion », affirme-t-elle.

Une « association d’innovation pour le développement économique et immobilier », qui assure faire la promotion de la « finance islamique » depuis 2005, s’est félicitée dans un communiqué de « la proposition d’inclure des produits dit charia » en droit français.

L’examen de la proposition de loi aura lieu le 17 septembre.

Racisme anti-blancs: UN NOUVEAU « GANG DES BARBARES » A GARGES-LES-GONESSE !

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 11:47
Mercredi 9 septembre 2009


Seul l’hebdomadaire départemental La Gazette du Val d’Oise du 9 septembre rapporte une affaire de torture sordide n’ayant rien à envier à l’affaire Halimi au niveau de l’inhumanité. Mais voilà, la victime s’appelle Patrick, les agresseurs sont arabes, cela ferait désordre à la une du journal télévisé de 20H. D’autant que les agresseurs qui ont fait perdre l’usage d’un oeil à leur victime, seront déjà libres dans 18 mois…

Extrait de La Gazette du Val d’Oise :

 » Une violence inouie au fond d’un local à poubelle. Mardi 1er septembre, après six jours d’enquête, la police a interpellé deux jeunes de 23 ans qui étaient recherché pour avoir frappé un autre homme à coup de ceinture, dans un local à poubelle de l’impasse Germain-Soufflot. Pour une raison qui reste à préciser, Patrick, originaire de Garges-lès-Gonesse avait été frappé par les deux hommes le 21 août. Sous la violence des coups de ceinture, portés, notamment au visage; il a définitivement perdu l’usage d’un oeil. Il avait déposé plainte cinq jours après son passage à tabac. Présentés, mercredi 2 septembre, en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Pontoise, Youssif, domicilié à Garges, et Siyed, originaire de Sarcelles, ont été condamné à 18 mois de prison ferme »

Questions :

– Où sont les médias nationaux ?

– Le racisme anti-blanc a l’air évident, où sont SOS-Racisme; le Mrap, la LDH ? Pourquoi nos impôts devraient financer ces associations partiales niant depuis 30 ans le racisme anti-français et anti-chrétien ?

– Pourquoi Nicolas Sarkozy a-t-il abolit la double peine, ce qui va permettre aux jeunes arabes de rester sur notre territoire après leur peine.

– Pourquoi, dans le droit Français, l’antisémitisme est une circonstance aggravante, donc plus sévèrement réprimée que le racisme anti-français, anbti-Chrétien, anti-blanc ? Comme l’a démontré Jean Robin dans son livre la Judéomanie, en faire plus pour certaines communautés peut génèrer du racisme chez les communautés discriminées négativement de fait. En l’occurence il s’agit des Français blanc et chrétiens qui ne bénéficient ni d’un droit spécifique, ni de l’attention des associations, si ce n’est lAgrif ostracisée par le système.

– On notera la différence de traitement avec l’affaire de Bobigny où un individu défiant la police a perdu un oeil.

Ce billet ne concerne pas directement l’islamisation, mais j’ai jugé nécessaire de le publier concernant la gravité et le silence entourant cette affaire.

Joachim Véliocas.

PS: Sur la même page, La Gazette du Val d’Oise rapporte une série de rixes à Garges les Gonesses ayant fait 3 blessés sérieux au couteau. Le nom des émeutiers ? Mounir, Mohamed, Ahmed, Aboubakar, Mohamed. Les faits se sont produits dimanche 6 à 17h30 sur le parking du Conforama. Toujours sur la même page, on apprend qu’un ado de 14 ans a été planté par un tournevis à Sarcelles, le 4 septembre…

http://www.islamisation.fr/

Préférence non-nationale: (Me Gilbert Collard) – « On a l’impression que les préfets sont les valets de la République »

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 11:43

09/09/2009

Le Préfet Girot de Langlade sanctionné par les associations anti-blancs, en fait…

INTERVIEW (Me Gilbert Collard) – « On a l’impression que les préfets sont les valets de la République »

Propos recueillis par Ségolène Gros de Larquier et à voir sur: http://tinyurl.com/om6wx3

« Le plus petit gardien de la paix a le droit à une audience disciplinaire contrairement au préfet ! » Telle est la réaction de Me Gilbert Collard après la mise à la retraite d’office de son client, le préfet Paul Girot de Langlade . Une décision prise mercredi en Conseil des ministres. Visé par une enquête judiciaire pour « injures publiques à caractère racial », après la plainte d’une employée de sécurité de l’aéroport parisien d’Orly, Paul Girot de Langlade avait déjà été suspendu à la mi-août de ses fonctions.

Interrogé par lepoint.fr, Me Gilbert Collard dénonce la façon dont le ministère de l’Intérieur a géré l’affaire. L’avocat entend saisir le tribunal administratif et aller jusqu’à la Cour européenne « qui se fera un plaisir de voir comment la France traite ses préfets ».

Les associations « anti-blancs » à la fête: le préfet accusé de racisme est mis à la retraite d’office.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 11:29

09/09/2009 «J'irai jusqu'au bout», a déclaré mercredi Paul Girot de Langlade.
«J’irai jusqu’au bout», a déclaré mercredi Paul Girot de Langlade.

Paul Girot de Langlade, accusé d’avoir tenu des propos racistes lors d’un contrôle à un aéroport, a été placé en retraite en Conseil des ministres mercredi. Il continue de nier les faits et promet d’attaquer en justice son ministre de tutelle, Brice Hortefeux.

« Fin de carrière pour Paul Girot de Langlade. Le préfet, accusé d’avoir insulté de manière raciste une employée noire de la société Securitas, lors d’un contrôle de sécurité à l’aéroport d’Orly, a été mis à la retraite d’office en Conseil des ministres mercredi, comme l’avait annoncé Europe 1 dès la semaine dernière. La radio évoquait également une mise à la retraite sans solde, ce qui n’a pas été précisé mercredi.

Le préfet, âgé de 63 ans, était suspendu de ses fonctions depuis la mi-août et l’ouverture d’une enquête judiciaire contre lui pour «injures publiques à caractère racial». Il a toujours nié les faits qui lui sont reprochés. Selon l’employée de Securitas, qui avait porté plainte, il lui aurait lancé, irrité de devoir vider ses poches à un portique de sécurité : «On se croirait en Afrique », suivi d’un « il n’y que des noirs ici ».

Une femme qui accompagnait le préfet aurait également dit : «De toute façon, il n’y a que des personnes de couleur comme vous qui montent au créneau». La plainte en justice de l’employée, déposée fin juillet, avait été complétée quelques jours plus tard par deux autres, émanant de ses collègues.

«Cabale»

Paul Girot de Langlade, préfet hors cadre, a toujours assuré qu’il n’avait jamais tenu ces propos, qui lui ont valu d’être suspendu de ses fonctions de coordinateur local pour La Réunion des États généraux de l’outre-mer français. Il faisait pourtant l’objet de deux autres plaintes, classées sans suite, pour des propos racistes tenus en 2007 et 2008, à l’encontre des gens du voyage qu’il tenait pour responsables de la délinquance et «vivant d’escroqueries et de rapines». Ces deux sorties lui avaient valu son détachement «hors cadre».

Le préfet avait contre-attaqué fin août en accusant à son tour le ministre de l’Intérieur d’avoir monté une «cabale» contre lui. Selon Paul Girot de Langlade, Brice Hortefeux aurait «téléguidé» ces plaintes, «probablement pour faire oublier son passage au ministère de l’Intégration où il a mené une politique plus sévère que dans le passé et pour se refaire à bon compte une virginité de parfait antiraciste».

L’Intérieur avait répondu qu’il «n’y a jamais eu le moindre coup monté» et que «le ministre n’a pas d’influence sur les dialogues qui peuvent se tenir dans les aéroports». Une procédure discipinaire avait été lancée contre le préfet par le ministère la semaine dernière.

«On n’est plus dans une démocratie»

Très remonté, Paul Girot de Langlade a réagi mercredi au micro de RTL en expliquant : «Moi je continue sur ma lancée, on va attaquer le ministre. Il aurait pu au moins me prévenir, me convoquer, il y a des conseils de discipline qui sont prévus pour ça, je ne suis pas passé devant, tout ça ne tient pas la route».

Selon lui, cette sanction est «injuste et sans fondement». Et d’ajouter : «On n’est plus dans une démocratie, on est dans une dictature, et je n’accepte pas cette affaire-là, je m’attendais à ce qu’au moins, ils me fassent passer devant un conseil de discipline, ils n’ont même pas eu ce courage-là», a-t-il dit. «Même ça, ça m’est refusé, je ne suis plus ni triste ni en colère, mais je suis déterminé, j’irai jusqu’au bout». »

Source: (lefigaro.fr) avec agences

Nous vous assurons de tout notre soutien, Monsieur le Préfet.

FDF