Francaisdefrance's Blog

09/09/2009

Ramadan: le repas de la rupture de jeûne revient à la mairie/mosquée de Lyon

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 18:39

09.09.2009

Ne parlez plus de la « mairie de Lyon ». Elle est en pleine mutation…

L'hôtel de ville de Lyon, « maison commune » de tous ceux qui habitent la ville / Archives Jean-Marc Collignon

L’hôtel de ville de Lyon, « maison commune » de tous ceux qui habitent la ville / Archives Jean-Marc Collignon

Pour la deuxième fois depuis 2001, ce repas va se dérouler, à la demande de la Grande mosquée, dans les salons de l’Hôtel de Ville. Au nom de la tradition lyonnaise de dialogue entre les religions.//

De purs laïcards s’en seraient autrement émus : pas la classe politique lyonnaise, globalement satisfaite à gauche, plus réservée à droite. Le repas de rupture du jeûne, un repas « festif et de partage » selon Christophe Geourjon (Modem) organisé habituellement à la Grande mosquée, se tient cette année le 15 septembre dans les salons de l’Hôtel de Ville. « D’habitude on organise plusieurs dîners, raconte le recteur de la mosquée, mais la période est plus ramassée cette année. Il n’y a donc qu’un seul repas de près de 300 personnes ». Et pas suffisamment de place à la mosquée. Kamel Kabtane a donc sollicité du maire de Lyon Gérard Collomb, la mise à dispoition des salons de l’Hôtel de Ville. Banco. Au nom du bien vivre ensemble. Lequelle s’incarne notamment dans le Groupe de dialogue « Concorde et Solidarité » créé à l’initiative de Gérard Collomb au début du premier mandat, et qui rassemble responsables chrétiens, musulmans, juifs et politiques lyonnais. « Je porte une égale attention aux différentes communautés qui composent notre cité car je veux que chaque Lyonnais, quelles que soient ses origines, ses convictions ou ses croyances les plus intimes, se sente pleinement représenté par son maire » a écrit Gérard Collomb sur son blog, hier, à l’issue d’une autre manifestation religieuse, chrétienne celle-ci : le vœu des Echevins.

Alors, y a-t-il source à polémique au repas de rupture de jeûne à la mairie ? En fin de compte, la classe politique à gauche est quasiment unanime: l’hôtel de ville est la « maison commune ». « C’est un geste visant à intégrer tous ceux qui habitent la ville » souligne Jean-Yves Sécheresse (PS). Même Etienne Tête (Vert) pense que « ce n’est pas une mauvaise idée ». Puis rigole : « Je suis toujours invité à ce dîner à la Grande mosquée, j’espère l’être à l’Hôtel de Ville dont je suis élu ». Thierry Braillard (PRG), connu pour ses combats en faveur de la laïcité, se contente d’un faiblard « je regrette », expliquant que « les croyances doivent s’exprimer uniquement dans la sphère privée ». La droite tente d’en faire une affaire plus politique : Michel Havard (UMP), sans en faire une affaire d’Etat estime que « c’est une faute de plus de Gérard Collomb ». Selon le député, qui sera de la fête, donner une salle de l’Hôtel de Ville pour une manifestation religieuse, ça n’est « pas très adroit ». Assimiler la rupture du jeûne à une manifestation religieuse, toute la question est là. « C’est une manifestation conviviale » assure Pierre-Yves Marguin au cabinet du maire de Lyon. « Pas même un bénédicité comme dans un repas chrétien » assure ce fin connaisseur de l’Eglise. Denis Broliquer, maire UMP du 2e, dit que cette invitation lui « pose question » et attend des réponses de la Grande mosquée sur son financement (invitations et repas sont pris en charge par la mosquée). Michel Forissier enfin , secrétaire départemental de l’UMP, est également « réservé, » mais dit ne pas vouloir « ouvrir de polémique sur tout ». Pas la concorde, mais presque.

Source: http://tinyurl.com/nmln5p

Photo: le sérieux de l’islam…

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 16:27

Ils vont dire qu’ils n’avaient pas vu ou qu’ils n’ont même pas regardé.

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La soumission à l’islam demande parfois beaucoup d’abnégation…

Merguez contre andouillette à Arras.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 14:18

Deux mosquées programmées à Arras

Lu dans La Voix du Nord du 7/09/09 :


La frange arrageoise de ce parti goûte peu un accord de permis de construire une mosquée, rue Ampère, donné par la Ville, et l’autorisation d’une vente de terrain pour la construction d’une autre, rue Matisse. Pas franchement emballée non plus par « les centaines de milliers d’euros dépensés pour l’exposition Bonaparte et l’ Égypte » ni par la programmation de Lââm et la fête orientale le 15 août ( note de l’Observatoire : le jour de l’Assomption, une véritable provocation gratuite). Le FN demande notamment « un débat public sur la nécessité et l’opportunité de telles constructions et de telles manifestations » dans un tract intitulé « Non à l’islamisation et à l’orientalisation de la France » diffusé par le conseiller municipal FN Jean-Marc Maurice. Le leitmotiv du parti ? « Pour que la fête de l’andouillette ne devienne pas demain la fête de la merguez ». Vous voilà maintenant au « coran »…

Lu sur: http://www.islamisation.fr

Enseignement de l’arabe: les menaces islamistes envers les autorités Françaises.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 14:01

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Quand l’école de la République pousse les élèves vers l’enseignement privé religieux

LE MONDE | 08.09.09
L’arabe, une langue d’avenir ? Les Danois y croient. Copenhague vient d’introduire, à cette rentrée, l’arabe dans les collèges. Tout en accélérant l’intégration des 10 % des 31 000 collégiens d’origine palestinienne, libanaise et irakienne, la capitale danoise veut préparer les bataillons de commerciaux qui partiront demain, espère-t-elle, à l’assaut des pays du Golfe. Un discours simple et pragmatique qui n’a pas cours en France, où l’enseignement de l’arabe, pourtant centenaire, est laissé à l’abandon par l’éducation nationale, au profit des mosquées qui ont capté la demande.Que quelques lycées prestigieux de centre-ville regroupent des classes d’arabophones ne doit pas faire illusion. Reléguée dans les zones d’éducation prioritaire, la langue arabe ne parvient pas à quitter son ghetto. Dans l’enseignement secondaire, les effectifs sont faméliques : 7 300 collégiens et lycéens étudient la langue arabe, soit deux fois moins qu’à la fin des années 1970. Parmi ces élèves, 1 800 suivent les cours du Centre national d’enseignement à distance (CNED) et 1 500 résident à La Réunion et à Mayotte.

A l’école primaire, apprendre l’arabe passe par les cours d’Enseignement de langue et de culture d’origine (ELCO). Formalisé dans les années 1970 pour préserver « l’identité culturelle » des enfants d’immigrés, ce dispositif est confié aux pays d’origine mais contrôlé par l’éducation nationale. Avec plus de 35 000 élèves, dont 22 679 en arabe, les cours sont dispensés en dehors du temps scolaire. Le dernier rapport de l’éducation nationale consacré aux ELCO, publié en mars 2006, relève que les cours d’arabe « ne sont pas convaincants ». Non qu’ils se soient transformés en cours de religion, comme les inspecteurs l’ont maintes fois entendu, mais à cause de leur piètre qualité : méthodes jugées d’un autre âge, absence de lien entre l’arabe dialectal et arabe standard, rappel constant au pays d’origine et à son régime politique…

La comparaison avec les autres langues « rares » joue en la défaveur de l’arabe. Le chinois, porté par un effet de mode qui ne faiblit pas, attire environ 15 000 élèves dans le secondaire, le portugais 12 000, le russe 14 000 et l’hébreu 7 000. Cet échec sonne, pour nombre d’arabisants, comme un symptôme du rejet des Maghrébins dans la société française. « L’enseignement de cette langue se porte aussi mal que les populations qui la parlent », résume Abdellatif Naguaoui, professeur d’arabe au lycée Alfred-Noble de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Traduire : l’arabe est aussi mal aimé que la communauté qui le parle.

Du haut en bas de la pyramide de l’éducation nationale, on déplore « un abandon de l’arabe », selon les termes de l’inspecteur général d’arabe, Bruno Levallois. En tant que langue de communication, l’arabe apparaît pourtant en plein renouveau grâce à la scolarisation massive dans les pays du Golfe, à la simplification linguistique à l’oeuvre grâce aux nouveaux médias, comme Al-Jazira.

La « frilosité » des ministres de l’éducation nationale est souvent mise en accusation par la petite communauté arabisante. Seuls Jean-Pierre Chevènement et Jack Lang échappent à l’opprobre : le premier pour son discours intégrateur porteur pour la langue, le second pour son volontarisme qui a permis la création de postes de professeurs et l’intégration de l’arabe parmi les langues vivantes du primaire, une mesure abandonnée peu après son départ.

Tous les défenseurs de la langue se remémorent comme une vexation la déclaration d’Azouz Begag. L’éphémère ministre délégué à la promotion de l’égalité des chances du gouvernement Villepin avait défendu le développement de l’enseignement du chinois dans les ZEP, pour favoriser une meilleure insertion professionnelle de ces jeunes bien sûr, mais aussi les mettre au contact avec « une langue de culture ». Il n’avait pas eu un mot pour l’arabe.

Benoît Deslandes, l’actuel président de l’Association française des arabisants, a conservé un souvenir blessant de sa tentative, alors qu’il était professeur, il y a quelques années, de « vendre » l’arabe à un lycée de centre-ville. « Nous n’avons pas d’Arabes ici », lui avait répondu le proviseur. « Vous avez des Anglais ? » lui avait rétorqué l’enseignant. Cette insolence lui a valu la porte.

L’expérience vécue en 2009 par l’inspecteur pédagogique régional d’arabe, Michel Neyreneuf, montre que les réticences sont toujours là. Après avoir travaillé pendant des mois, sur le terrain, à l’ouverture de classes dites bilangues (deux langues vivantes enseignées dès la sixième) dans l’Oise, il voit l’expérience repoussée d’un revers de main par le rectorat. Le motif, exprimé ouvertement ou non, étant toujours le même : proposer l’arabe, c’est prendre le risque de « stigmatiser » des collèges. D’où un double échec : cette langue ne trouve pas sa place dans les établissements en quête d’excellence et déserte les plus en difficulté.

Partout, le scénario se répète : des effectifs de collégiens qui ne permettent plus le maintien de l’enseignement de l’arabe au lycée ; des professeurs d’arabe en partie désoeuvrés (60 % d’entre eux sont remplaçants, 6 % enseignent une autre discipline) ; une absence d’offre dans les lycées professionnels ou dans les formations technologiques qui proposeraient pourtant des débouchés aux élèves maîtrisant cette langue. Jean-François Copé s’est fait l’écho de cette préoccupation, samedi 5 septembre, lors du campus des jeunes de l’UMP à Seignosse (Landes) : « Il y a des emplois en lien avec le développement économique des pays arabes, nous devrions assurer à tout jeune la possibilité d’apprendre cette langue », a déclaré le président du groupe UMP à l’Assemblée nationale,

Numériquement parlant, avec 4 000 à 5 000 inscrits, le sort de l’arabe est plus enviable à l’université. Mais le public, composé pour les deux tiers d’étudiants en pleine quête identitaire, n’est pas facile, concède le directeur des études arabes et hébraïques à l’université Paris-IV, Frédéric Lagrange. Il a vu cette proportion d’heritage students, selon la formule anglo-saxonne, grossir au fil des années. Nombreux sont ceux qui viennent de filières technologiques au lycée et se retrouvent en grande difficulté sur les bans de la fac. Parmi eux, nombre de jeunes femmes qui se cherchent un avenir dans la communauté, constate l’historien Benjamin Stora, qui les côtoie à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco).

« L’enseignement de l’arabe est parasité par le sacré et tous les problèmes socioéconomiques de gens qui veulent apprendre cette langue pour se forger une identité islamique », regrette Stéphane Valters, professeur d’arabe à l’université du Havre. Quelques-un(e)s possèdent déjà des rudiments, voire plus, de la langue, apprise dans un contexte religieux. « Cela s’entend. Ils ont des intonations qui impliquent une longue pratique de la psalmodie », explique M. Lagrange.
Sur le même sujet
Des associations culturelles et des mosquées ont pris le relais de l’éducation nationale pour enseigner la langue et l’écriture arabe.

Car si l’arabe est en crise au collège et au lycée, il est en plein boom dans les mosquées. Au Val d’Argenteuil (Val-d’Oise), l’institut Al-Ihsane, installé dans la « mosquée Renault », ainsi surnommée parce qu’elle est installée dans une ancienne usine du constructeur automobile, affiche 635 inscrits entre 5 et 16 ans pour la prochaine rentrée. « Sans publicité », se flatte Abdelkader Achebouche, son président. Il ne souffre pas du tout de la concurrence de la mosquée Dassault – installée dans un ancien entrepôt de l’avionneur – à qui l’on prête quelque 400 élèves, issus de familles d’origine marocaine, quand son institut regroupe ceux d’origine algérienne.

Dans les classes d’Al-Ihsane, les cahiers des élèves inscrits en 2008 témoignent d’un travail scolaire assidu – quatre heures par semaine avec bulletins de notes et appel aux parents en cas d’absence. Chaque cours commence par une demi-heure de Coran, l’essentiel du temps étant ensuite consacré à un cours de langue « ordinaire ». « Les parents recherchent une éducation islamique, mais ils veulent aussi maintenir le lien avec le pays d’origine », explique M. Achebouche. La mosquée rassure parce qu’elle apporte à la fois le Coran, la langue et un encadrement.

Preuve que cet afflux d’élèves vers les mosquées signe un retour à la langue et aux racines, il s’observe aussi dans les associations laïques. « L’ancienne génération avait honte d’elle-même et la connaissance de l’arabe était un handicap plutôt qu’un atout. La jeune génération ne raisonne plus comme ça », observe Amar Rahaouni qui anime l’association Enfance et familles des deux rives à Pierrefitte (Seine-Saint-Denis). A Paris, l’engouement est réel pour les cours d’arabe organisés à l’Institut du monde arabe (IMA) : « Nous avons commencé avec 10 enfants de 7 à 12 ans il y a cinq ans, nous en avons 190 aujourd’hui dont un bon nombre vient de banlieue », raconte Sophie Tardy, responsable du centre de langues et de civilisation de l’IMA.

Ce repli sur les associations inquiète le monde enseignant qui regrette d’autant plus le manque de volontarisme de l’éducation nationale. « Si la langue et la culture deviennent la propriété des communautés, nous sommes mal partis », regrette Bruno Levallois. *« Si on ne donne pas à leurs enfants la possibilité d’apprendre l’arabe à l’école, les familles se tourneront de plus en plus vers la mosquée », soutient Yiayha Cheikh, professeur au lycée Romain-Rolland de Goussainville.

*Là, c’est flagrant: les musulmans eux-même considèrent que leurs mosquées ne sont pas QUE des lieux saints… Ils nous les montrent comme des menaces. En fait, elles le sont, on le savait …

Racaille: Une insécurité grandissante.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 13:53

9 septembre 2009

« Les témoignages étaient unanimes, hier soir, pour dénoncer une montée de l’insécurité dans le centre-ville de Saint-Paul. “Depuis plus de deux ans, on n’est pas gâtés”, explique la tante de l’une des deux victimes de l’agression. “Surtout dans cette rue derrière la poste où beaucoup de « jeunes » viennent boire, fumer ou se soulager. Ils vont dans tout le centre-ville, ils volent”. Un riverain explique lui aussi avoir échappé de peu à une agression samedi dernier, à proximité de la mosquée. “Ces derniers temps, on ne sent plus en sécurité ici. Il y a plusieurs secteurs qui craignent: le coin de la mosquée près de la gare routière, la place Saint-Cécile et le croisement des rues Marius-et-Ary Leblond et Suffren. Mais après 18h, il n’y a plus personne, ils doivent repartir en bus”.

Pour l’anecdote, la place Saint-Cécile sera bientôt détruite après des années de bataille de la part des commerçants du quartier. Un autre voisin, hier soir, pointait, lui, du doigt l’absence de toilettes publiques dans ce secteur. “Tout cela ne serait probablement pas arrivé si le centre-ville était correctement équipé”. Difficile d’en juger.

Une chose est sûre, cette agression devrait faire beaucoup parler en pleine période électorale (régionales 2010) . Car il faut rappeler que la gendarmerie du centre-ville, rue du Commerce, a été fermée fin 2008 et transférée à l’Etang, sans consultation politique. Le thème de l’insécurité devrait faire son ) apparition dans la campagne ».

Lu sur: http://www.clicanoo.com

Aux grands maux les grands remèdes ! a bon entendeur…

Droit de cité au ciné pour les minorités.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 13:42

Droit de cité au ciné pour les minorités

Est-ce cette fiction du comédien et humoriste belge Benoît Poelvoorde qui dépasse la réalité, ou bien la réalité dépasse-t-elle cette fiction ?

Le CNC (Centre National du Cinéma et de l’image animée) s’est même doté d’une commission, « Image de la diversité»  assortie d’un fonds (8,7 millions d’euros sur la période 2007/2008). Son but est d’attribuer des aides aux œuvres cinématographiques et audiovisuelles contribuant à la représentation de la diversité en France

Le fonds « Image de la diversité»  a dernièrement soutenu les films les plus convenus comme : Entre les murs, Welcome, Neuilly sa mère… la série Tv « Plus belle la vie»  et le téléfilm Aïcha de Yamina Benguigui. Des choix conforment à l’idéologie dominante et aux critères imposées par la police de la pensée.

Et n’oubliez pas, comme le dit Benoît Poelvoorde à la fin de la vidéo, « Envoyez très vite vos photos à Canal +» . Mais aussi à la commission « Image de la diversité» du CNC.

VIDEO:

http://www.dailymotion.com/video/x89oon_droit-de-cite-au-cine-pour-les-mino_creation

Novopress.info, 2009

Blanche-Neige est une chienne!

Filed under: racaille — francaisdefrance @ 13:38

A écouter, sans vomir… Bon courage.


http://www.deezer.com/listen-3767787

La vérité sort parfois de la plume des lecteurs.

Filed under: islam,racaille,Uncategorized — francaisdefrance @ 13:34

immigration, déliquance
J’ai reçu d’un lecteur une lettre dont je donne ci-après l’intéressante substance. Ce lecteur veut bien me dire qu’il prend connaissance de mes chroniques avec intérêt.

Elles lui paraissent pertinentes et argumentées, mais, me dit-il, généralement en-dessous de la vérité. La réalité en France, me dit-il, est beaucoup plus mauvaise que celle que vous décrivez. Peut-être s’agit-il chez vous de prudence. Et il est vrai, poursuit-il, que la liberté d’expression est chez nous très limitée.

Une démonstration nouvelle vient d’en être apportée par l’affaire du préfet Girot de Langlade. Un magistrat consulté à ce sujet a déclaré à la presse qu’une plainte doit faire l’objet d’une enquête impartiale et d’un jugement. Elle peut s’avérer sans fondement et même carrément calomnieuse. Or, la hiérarchie du préfet, avant même que la moindre enquête ait été menée, a pris une sanction publique contre ce haut fonctionnaire qui, déjà à deux reprises, avait l’objet de plaintes rejetées par le tribunal parce qu’injustifiées.

Il s’agit donc là de toute évidence, de la part de la hiérarchie de ce préfet, de racisme anti-blanc, sous la dictature du « politiquement correct », encouragée par des associations subventionnées par le contribuable, dont l’une au moins a servi de caisse à un parlementaire socialiste pour lui permettre d’acheter des montres de milliardaire… au nom de la « solidarité sociale » !

Motif du « crime ». Le préfet Girot de Langlade s’est laissé aller à dire qu’il y avait beaucoup de Noirs en France, ce qui est aussi évident que dire qu’il y a de l’eau dans la Seine. On sait aussi qu’a été créée une organisation également largement subventionnée chargée de dénoncer tout Français qui aurait fait preuve de « discrimination » à l’égard d’un immigré de couleur. Je comprends, poursuit mon lecteur, que dans un tel climat de racisme officiel anti-blanc, on fasse attention.

Quoi qu’il en soit, que l’on ose parler ou que l’on se taise, ces aberrations n’empêchent pas la France mal gouvernée d’aller très mal pour trois raisons principales.

La première est l’extrême complexité d’un appareil d’État tentaculaire. Dans les sociétés antiques et primitives, une langue secrète était inventée que seuls pratiquaient le souverain et ses grands-prêtres, afin de sacraliser le pouvoir et de se distinguer de la plèbe. Il en est ainsi en France, avec ses centaines de milliers de textes officiels, souvent contradictoires et incompréhensibles. Le dernier exemple précis que l’on peut en donner est particulièrement significatif : un seul article portant sur la réforme de la taxe professionnelle compte 107 pages (pas lignes, je dis bien pages), si bien que le député rapporteur général de la commission des finances de l’Assemblée nationale lui-même a déclaré que pas plus de 20 personnes en France pouvaient comprendre quelque chose à ce charabia.
C’est là un signe de la décadence profonde où est engagée la France, dirigée par des politiciens et des fonctionnaires aux ordres aussi dogmatiques que prétentieux.

Deuxième cause de l’état alarmant de la France : le poids d’une fiscalité multiforme et écrasante qui ruine le pays en faisant fuir sa richesse alors qu’on pratique par démagogie électoraliste une redistribution massive notamment aux immigrés du tiers-monde qui, chaque jour, déferlent plus nombreux chez nous. Ce qui n’empêche nullement 14 % de ceux qui vivent en France d’être sous le seuil de pauvreté, soit plus de 8 millions d’individus dans un pays en faillite financière où la dette globale de l’État s’élève à 2000 milliards d’euros. La preuve évidente de l’échec total d’une politique ubuesque.

Enfin, troisième cause, la plus grave, de l’effondrement à terme d’un pays livré au mensonge et à la démagogie : la fin de l’identité française. On sait, écrit encore mon lecteur, que les Français dans leur majorité ne voient pas plus loin que leurs prochaines vacances, et les hommes politiques que la prochaine élection. Mais lorsqu’on va au-delà de l’analyse à court terme pour passer à l’analyse historique, force est de constater que, sur la base de 200 000 à 300 000 immigrés venant pour la plupart du tiers-monde, plus l’accroissement naturel de ces populations immigrées, au nombre déjà de quelque 10 millions en France, la majorité de la population vivant dans notre pays sera dans quelques décennies, disons un siècle, africaine, orientale et musulmane.

À partir de ce moment-là, la minorité encore authentiquement française prendra peur et cherchera un sauveur qui alors agira de façon draconienne. Mais ce sera trop tard. Il en résultera une guerre civile ethnique, avec l’intensité de la guerre d’Espagne. L’Algérie pourrait bien, dans cette hypothèse, tenir en France le rôle que tient le Pakistan dans la guerre en Afghanistan en fournissant armes et effectifs. Le nombre des victimes et les destructions seraient considérables. À la guerre des races s’ajouterait la guerre des religions. À la célèbre question posée en 1944 : « Paris brûle-t-il ? », cette fois-ci, on pourra répondre : « Oui, Paris brûle. Sa cathédrale et ses musées. »

D’ores et déjà, dans les banlieues est de Paris, on observe une sorte d’insurrection quasi-permanente et au sein même de la capitale, des campements d’Afghans, d’Irakiens et autres, se sont créés, où l’on se bat au couteau et où on vole aux alentours. Partout, la délinquance est en augmentation. Une constatation s’impose finalement : les gouvernants qui auront contribué à ce résultat dramatique et irréversible sont des criminels.

Voilà, cher Monsieur, conclut mon lecteur, ce qu’il faut dire et développer. Il y faut de la lucidité et du courage, des vertus qui, dans la France d’aujourd’hui, présentent, hélas ! beaucoup de risques…

Source: Lambert Christian – mardi 08 septembre 2009


On y diplôme des étudiants parlant à peine le français: «Graves irrégularités» à la fac de Toulon.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 13:28

Pas de panique; c’est la même combine avec les étudiants d’autres pays… Et ça ne doit pas toucher que la fac de Toulon. Ahhhhh, ces « directives »…

08/09/2009

Un rapport de l’Inspection générale pointe le rôle du président de l’université dans l’admission et la validation des études d’étudiants chinois parlant à peine le français.

L’affaire du trafic présumé de diplômes à l’université de Toulon au profit des étudiants chinois rebondit. Selon le président de l’université toulonnaise Laroussi Oueslati, le rapport de l’Inspection générale n’a trouvé maucune preuve démontrant l’existence de ce trafic. Mais le rapport, qui n’a pas été rendu public, relève, d’après le ministère, de «graves irrégularités dans l’application des textes réglementaires régissant la procédure d’admission des étudiants étrangers et de validation de leurs études». Il n’est pas question de transactions d’argent. Dans les entorses au règlement, dénoncées par le rapport, «la responsabilité du président de l’établissement est engagée», tranchent les inspecteurs. C’est pourquoi, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a demandé mardi la saisine de la section disciplinaire du conseil d’administration de l’université.

Le président de l’université de Toulon Laroussi Oueslati et trois de ses vice-présidents se sont rendus mardi matin au ministère pour être directement informés par Valérie Pécresse du contenu de l’enquête administrative, qui n’a pas été rendu publique. Laroussi Oueslati s’est déclaré «satisfait» des annonces de sa ministre de tutelle. «Des dysfonctionnements ont été seulement constatés dans la procédure de recrutement des étudiants internationaux. Il y a lieu de rechercher l’origine de ces dysfonctionnements», souligne-t-il.

L’affaire des diplômes avait éclaté en avril dernier lorsque le Monde avait révélé que plusieurs centaines d’étudiants chinois inscrits à l’Institut d’administration des entreprises (IAE), un des départements de l’université de Toulon, étaient suspectés d’avoir acheté leurs diplômes depuis quatre ans. Ces lauréats qui pour la plupart ne maîtriseraient pas le français, auraient déboursé jusqu’à 2700 euros, affirmait le quotidien. Des accusations qui avaient été fermement démenties par le responsable de l’IAE. A la fin juillet, Le Monde s’était procuré le pré-rapport d’enquête administrative. Celui-ci ne concluait pas à l’existence d’un trafic institutionnalisé à but lucratif de places ou de diplômes mais pointait déjà du doigt les procédures de recrutement. Ce rapport écartait la responsabilité de l’IAE, d’abord mise en cause, mais dénonçait certaines pratiques de Laroussi Oueslati, en particulier concernant les admissions des élèves.

Des «étudiants présidents»

Selon Le Monde, il aurait contourné les commissions de sélection des candidats étrangers et «transféré les dossiers d’environ 140 étudiants chinois directement à l’agent chargé des inscriptions administratives». «Arrivés plus tardivement en cours et ne parlant pas ou peu le français, ces étudiants ont d’ailleurs vite été appelés ‘les étudiants-président’, racontait une enseignante dans le pré-rapport. «Ces irrégularités, au moment où elles se produisaient, ont été signalées au président et à son équipe mais ils n’ont pas souhaité en tenir compte», notait le rapport cité par Le Monde.

Laroussi Oueslati s’était dit choqué par les fuites et avait reproché aux inspecteurs d’avoir changé l’objet de leur enquête, faute d’éléments sur le trafic présumé de diplômes. «Je regrette que n’ayant pas pu mettre en évidence une quelconque malversation, ce soit les procédures de recrutement qui soient mises en cause», confiait Laroussi Oueslati. Quant au fait que des étudiants chinois ne parlaient pas français, il rappelait la responsabilité de l’Agence CampusFrance et des services consulaires en Chine chargés de faire passer les tests de langue aux étudiants chinois désireux d’aller en France.

Source: lefigaro.fr avec AFP

Deux mille femmes (seulement?) portent la burqa en France.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 13:19

Ca, ce sont des chiffres « officiels ». On peut donc multiplier par 2, 3, voire plus… Et ces chiffres ne tiennent pas compte des femmes portant le niqab, le hidjab, le tchador et autre « déguisements ».

En outre, seul, Le Figaro (la source de cette info) a eu accès à ces données confidentielles… Vous avez compris?
09/09/2009

Une femme vêtue d'une burqa à Vénissieux, près de Lyon. Les parlementaires réclament une évaluation plus précise du nombre de personnes portant un voile intégral.
Une femme vêtue d’une burqa à Vénissieux, près de Lyon. Les parlementaires réclament une évaluation plus précise du nombre de personnes portant un voile intégral. Crédits photo : AFP

L’évaluation est contenue dans un rapport confidentiel du ministère de l’Intérieur sur l’islam que Le Figaro a pu consulter.

Quelque 2 000 femmes porteraient la burqa en France. Le chiffre apparaît dans un rapport sur l’islam, rédigé cet été par la sous-direction de l’information générale du ministère de l’Intérieur et resté confidentiel. La note, que Le Figaro a pu consulter, évoque notamment les mouvements radicaux comme le salafisme, qui prône un retour à la vie du prophète et commande aux femmes de porter le voile intégral. S’il est impossible de les compter individuellement, les policiers se sont livrés à une estimation sur la base des lieux de culte salafistes. Le «chiffre de moins de 2 000 femmes paraît crédible», peut-on lire.

«C’est une évaluation plus raisonnable mais toujours sous-estimée», juge André Gerin, le président de la mission parlementaire sur la burqa qui reprend ses travaux aujourd’hui.

L’ancien maire de Vénissieux, en banlieue lyonnaise, alarmé par l’augmentation du nombre de ces femmes totalement dissimulées, avait lancé le débat au printemps, réclamant une commission d’enquête parlementaire. Nicolas Sarkozy avait affirmé, lors de son discours devant le Congrès à Versailles, que «la burqa n’était pas la bienvenue en France».

«Dire clairement non à l’intégrisme»

Alors que certains députés appelaient déjà à une loi pour proscrire le voile intégral de l’espace public, une note d’une autre direction de la police, celle du renseignement intérieur, avait semé le trouble en recensant «367 femmes» portant la burqa en France. «C’était totalement absurde !» s’emporte André Gerin. «On en compte plus dans la seule agglomération lyonnaise !» Depuis, le ministère de l’Intérieur assure qu’il ne s’agissait que «d’un échantillon et bien entendu pas du chiffre global».

La mission parlementaire, un temps ébranlée, réclame toujours une évaluation plus précise. «Pour mieux cerner le phénomène et apporter des réponses pragmatiques», explique Éric Raoult, rapporteur UMP de la mission. «C’est pourquoi nous allons également consulter les bailleurs sociaux, très proches du terrain, ou encore les rectorats qui sont au courant lorsque se posent des problèmes d’identification des mères à la sortie du primaire.» Ces institutions pourraient cependant se montrer réticentes à rassembler des informations jugées sensibles sur les familles.

Mais la burqa n’est pas qu’un «problème de nombre», selon André Gerin. Elle démontre «la montée de l’intégrisme depuis quinze ans». «Au départ, les Belges, les Hollandais et les Anglais jugeaient ce phénomène marginal. Ils se réveillent aujourd’hui avec dans certaines villes, de nombreuses femmes en burqa», assure Mohamed Abdi, le conseiller spécial de Fadela Amara. Les antagonismes se sont fait jour en Hollande ou encore en Belgique, avec «des agressions de femmes voilées», assure le conseiller. «C’est pourquoi il faut être ferme en France et dire clairement non à l’intégrisme. Cela nous évitera la montée du racisme.»

Fadela Amara, qui s’est prononcée à plusieurs reprises pour une loi, réfléchit à une interdiction de la burqa dans le service public : écoles, hôpitaux, mairies… mais aussi dans les transports. Enfin, des contrôles d’identité seraient effectués dans les lieux sensibles comme les gares et les aéroports. Une procédure que les juristes doivent toutefois encore valider.

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Le type même du blog « anti-Blancs »…

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 09:46

Dans le genre, on ne fait pas mieux, en restant à peine au dessus des lois antidiscrimination…

voir:   http://diversite.20minutes-blogs.fr/

Extrait:

09.09.2009

Tintin au Congo: Le CRAN va saisir le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand

Face aux très nombreuses demandes d’intervention au sujet de Tintin au Congo, qui présente les Noirs comme de grands enfants incapables, le CRAN a d’abord exploré la voie d’une discussion avec les éditions Casterman et souhaite toujours privilégier le dialogue, ainsi que la pédagogie.
Le CRAN est favorable à ce qu’un additif soit placé en préface de l’album pour expliquer tout particulièrement à l’intention des plus jeunes, l’idéologie illustrée par cet album.

Nous demandons au ministre de la culture, Frédéric Mitterrand, de se prononcer sur cet album. Il appartient aussi à l’Etat de prendre ses responsabilités sur cette question.

Un petit rappel à l’intention de M. Lozes: l’idéologie est un terme à employer lorsque l’on parle du nazisme ou voire même de l’islam. Mais dans le cas présent, si Tintin est une idéologie, qu’étaient Hitler, Staline et Cie???