Francaisdefrance's Blog

26/08/2009

La « dernière » du gouvernement: pourquoi la France (pas les Français…) affiche un taux de natalité si élevé

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 19:03

durex

Je rabâche, je rabâche, mais:

« Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »
(Houari Boumedienne président algérien,  discours à l’ONU en 1974.)

26/08/2009

<La France est, avec l’Irlande, le pays de l’UE le plus performant en matière de natalité, avec un taux de fécondité supérieur à 2 enfants par femme. Bien loin devant l’Italie, l’Espagne ou l’Allemagne qui se situent à 1,4. Explications.

Comment expliquer ce taux de natalité record?

Pour Nadine Morano, secrétaire d’Etat à la famille, la natalité record observée en France est « le résultat d’une politique familiale courageuse et volontariste ». L’Etat consacre en effet à la politique familiale, toutes dépenses confondues, 83 milliards d’euros, soit c’est 5 points du PIB, selon ses calculs. Impressionnant… même si ce chiffre est à relativiser, selon Hélène Périvier, chercheur à l’OFCE. Il comprend en effet aussi les dépenses liées à la lutte contre la pauvreté, comme le revenu de solidarité active (RSA), qui a remplacé l’allocation parents isolé, mais qui n’a pas vocation exclusive à soutenir la natalité. Cela dit, même dans une acception plus restrictive, les sommes consacrées à  la politique familiale représentent tout de même 3% du PIB, ce qui place la France dans le haut du panier en Europe.

Les instruments principaux de la politique familiale en France

Il y a d’abord les aides financées par la Caisse d’allocation familiale (CAF), qui représentaient 37 milliards d’euros en 2008, selon Eurostat. Parmi elles, les allocations familiales, l’Allocation de Rentrée Scolaire (ARS), ou encore les dépenses d’action sociale.La CNAF verse également un total de 7,3 Md€ en 2007 pour l’allocation de logement familiale et pour la prise en charge des APL des allocataires ayant charge de famille.

Les allègements d’impôts sont également une des composantes de la politique familiale. A l’exception de la CSG (contribution sociale généralisée) et de la CRDS (contribution pour le remboursement de la dette sociale), les impôts directs prennent en compte la dimension familiale pour le calcul des impôts à payer, notamment à travers le système du quotient familial.

Ces dépenses expliquent-elles vraiment le fort taux de natalité observé en France ?

Non, selon Hélène Périvier. Elle observe que les  Etats Unis ont une politique familiale atrophié, mais un taux de fécondité supérieur à celui de la France. Et que, inversement, dans les pays nordiques, le taux de fécondité est inférieur à 2 alors que l’investissement en politiques familiales est plus généreux.  Faire un enfant, ce n’est pas une décision qui dépend seulement des aides familiales. De nombreux autres paramètres, culturels et sociétaux, entrent en ligne de compte. Ainsi, plus de 20% des femmes en âge de féconder n’ont pas d’enfants en Allemagne, contre 10% seulement en France. « Chez nous, la mère active est valorisée et admirée alors qu’en Allemagne, elle est vue comme une mauvaise mère », explique Hélène Périvier.

La France peut-elle se contenter de son taux de fécondité actuel ?

Non. Le taux de fécondité actuel ne permet pas encore le renouvellement des générations, comme l’indique le Bulletin mensuel d’information de l’Institut national d’études démographiques de mars 2009. L’effectif annuel des naissances a augmenté de 9 % depuis 10 ans en France métropolitaine. Mais contrairement à ce qu’on pourrait penser, cette hausse ne s’explique pas par une augmentation de la fécondité. Les couples ont simplement eu leurs enfants plus tardivement. C’est ce retard qui explique la hausse actuelle de l’indice de fécondité, mais celui-ci avait été en baisse pendant de nombreuses années auparavant.

Comment améliorer ce taux de fécondité ?

Pour France Prioux, démographe à l’INED, « La France a compris avant les autres la nécessité d’avoir des enfants », notamment pour assurer la viabilité du système de retraite. Hélène Périvier, de son côté, fait remarquer que « notre politique familiale a un effet redistributif en U, c’est-à-dire que les foyers les moins favorisés et les foyers les plus aisés sont bien soutenus quand ils ont des enfants. En revanche, les classes moyennes ne bénéficient pas beaucoup des prestations sous condition de revenus et des allégements d’impôts ». Parmi les pistes évoquées par l’économiste, le versement des allocations familiales dès le premier enfant, l’extension du mode de garde généralisé aux moins de trois ans, ou encore la prise en compte des revenus dans le calcul des aides familiales.>

Et vous, Français, vous goberez ça?

La ville de Grigny gérée par le préfet.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 17:22

Il faut vite leur construire une mosquée !

Ah? Il en ont déjà? Bon tant pis.


La mesure est spectaculaire : le préfet de l’Essonne, Jacques Reiller, s’est substitué à la municipalité communiste de Grigny pour régler le budget de cette commune de 26 000 habitants. Grigny est une ville symbole des banlieues françaises, parmi les plus pauvres et les plus sensibles d’Ile-de-France. Elle connaît une crise budgétaire sans précédent, signe de la fragilité des quartiers les plus difficiles.

Endettée, croulant sous les dépenses dues à la pauvreté et à la jeunesse de ses habitants, disposant de ressources très limitées, la commune n’arrive plus à faire face à ses obligations financières. De 1,9 million d’euros en 2006, le déficit est passé à 9,8 millions en 2008 et 15,5 millions en 2009, soit un tiers du budget communal.

Cette situation, qualifiée d’« inextricable » par des experts, a conduit la préfecture de l’Essonne à décider d’augmenter de 50 % les taxes foncières et de 44,26 % la taxe d’habitation dans la ville, suivant les recommandations de la chambre régionale des comptes (CRC) d’Ile-de-France. Cette mesure, qui prolonge des hausses de 3 % en 2007 et 10 % en 2008, également décidées par le préfet, s’accompagne de la réduction autoritaire des dépenses de personnel et des subventions aux associations.

La préfecture insiste sur le caractère « exceptionnel » de la situation. En France, seuls deux ou trois précédents peuvent être évoqués, souligne le préfet délégué à l’égalité des chances, Eric Freysselinard.

La préfecture reconnaît – avant même leur mise en oeuvre – que les mesures décidées seront insuffisantes : la hausse des impôts et les mesures d’économies devraient seulement permettre de faire redescendre le déficit à un peu plus de 10 millions d’euros.

source : lemonde.fr


L’intégralité de l’article est à lire dans l’édition du Monde datée du 27 août et sera en ligne dans l’après-midi

J’en connais qui vont être « en manque »… Interdiction de cracher dans la rue pour cause de grippe A.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 17:02

Il est certain que « notre » racaille chez qui cette pratique dégoûtante est devenue un sport national vont devoir trouver autre chose pour se rendre « intéressants »… Quoique… Il leur reste la musique arabe à fond dans leurs caisses.

25/08/2009

INITIATIVE SARTHOISE

Interdiction de cracher dans la rue pour cause de grippe A

Daté de mardi, un arrêté municipal de la ville de Coulaines, dans la Sarthe, interdit désormais de cracher dans la rue pour lutter contre la propagation de la grippe A.

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Interdire le crachat sur la voie publique. Telle est l’idée de Christophe Rouillon, maire socialiste de Coulaines, une petite ville de la Sarthe de 7.700 habitants, pour lutter contre la propagation de la grippe A. Daté de mardi, l’arrêté municipal – qui interdit désormais de cracher dans la rue – se veut « pédagogique, préventif et dissuasif ». Les contrevenants pris sur le vif écoperont seulement d’un avertissement et d’un rappel à la loi, car les forces de polices municipales et d’État ne sont pas autorisées à verbaliser pour cette raison.

« Le crachat est un vecteur possible de la diffusion de la grippe A. On ne luttera pas contre la diffusion du virus H1N1 seulement par la vaccination », justifie le maire de Coulaines, qui a eu cette idée en lisant « des documents du ministère de la Santé. » L’environnement local a aussi son importance : « Dans ma ville, il y a 50 % de logements sociaux et la population est très concentrée. La multiplication des crachats peut donc avoir des conséquences en matière d’hygiène et de santé pour la population », explique Christophe Rouillon, qui est aussi vice-président de l’association des maires de France. Déterminé, il a adressé un courrier à Jean-Pierre Escalettes et à Michel Platini, respectivement présidents de la Fédération française de football (FFF) et de l’UEFA. Son objectif ? Que les joueurs montrent le « bon exemple » sous peine de recevoir un carton jaune, voire un rouge… Les institutions du ballon rond n’ont pas encore donné suite. D’ailleurs, éviter les crachats n’est pas une mesure réellement efficace pour endiguer la diffusion du virus…

Une question annexe

« Il n’a jamais été dit dans le plan pandémie qu’il ne fallait pas cracher par terre », note, amusé, le professeur Bruno Lina, président du comité scientifique du Groupe d’expertise et d’information sur la grippe. « Généralement, l’infection ne passe pas par la salive, mais via les gouttelettes de mucus sécrétées par le nez, comme lors d’un éternuement, par exemple », souligne-t-il. Pour qu’un crachat porteur du virus H1N1 contamine le passant malchanceux, il faudrait que la substance s’accroche à ses chaussures et arrive jusqu’à son domicile. « Le scénario est possible, mais poussé à l’extrême. La question du crachat est annexe dans la propagation du virus, même si elle n’est pas nulle », juge Bruno Lina. En somme, se laver les mains avec une solution hydro-alcoolique et porter un masque restent les meilleurs gestes barrières pour ne pas tomber malade.

Peu de communes devraient donc suivre l’initiative sarthoise. Mais le maire de Coulaines se défend de toute fantaisie, et avance un dernier argument pour séduire. « Le risque de pandémie est l’occasion de rétablir des comportements collectifs respectueux des autres… »